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loulou123

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  1. le 16 novembre 2007 Après des années et des années d’attente, les citoyens de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville ont enfin reçu la confirmation que le Complexe aquatique, sportif et communautaire de Cartierville (CASC) verra le jour. L’administration de la Ville de Montréal a confirmé mercredi lors d’une conférence de presse tenue à l’Hôtel de ville de Montréal qu’elle investissait 2,9 M $ dans le projet du complexe de Cartierville. Le YMCA du Grand Montréal, a annoncé un investissement de 4,65 M $ et devient le maître d’œuvre du projet. Il aura la responsabilité de la construction du complexe et en sera le gestionnaire par la suite. Le Complexe aquatique, sportif et communautaire de Cartierville sera construit sur un terrain à l’angle du boulevard Laurentien et de la rue Louisbourg. Au total, l’édifice comptera 65 000 pieds carrés de superficie. Il abritera une piscine de 25 mètres comptant six corridors, une pataugeoire, un gymnase double avec une piste d’entraînement surélevée, un centre de conditionnement physique, une garderie pour les jeunes enfants et plusieurs salles polyvalentes. «C’est un grand jour pour l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville. Nos citoyens attendent la concrétisation de ce projet depuis 13 ans. Nous avons tenu nos promesses qui étaient de mettre les efforts nécessaires pour permettre au Complexe aquatique, sportif et communautaire de Cartierville de voir le jour. Nous désirons remercier la Ville de Montréal et le YMCA du Grand Montréal qui par leur contribution financière, démontrent clairement qu’ils croient au CASC. Voilà la preuve qu’en travaillant ensemble, avec le milieu, nous pouvons accomplir de grandes choses», a déclaré la mairesse de l’arrondissement, Marie-Andrée Beaudoin. Pour sa part, le ministère de l’Éducation, du Loisir et de Sport avait déjà annoncé un investissement de 7 449 300 $ dans le cadre du Programme de soutien aux installations sportives et récréatives. Un programme qui vise à favoriser l'adoption et le maintien d'un mode de vie physiquement actif en facilitant l'accès à des installations modernes et sécuritaires adaptées aux activités des athlètes, des jeunes sportifs de la relève et de la population en général. L’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville assumera le coût d’achat du terrain d’une valeur approximative de 3 M$. Le coût global du projet s’élève à 14 998 600 $. «Favoriser l’adoption et le maintien d’un mode de vie physiquement actif en facilitant l’accès à des installations modernes et sécuritaires est une priorité pour le gouvernement du Québec et c’est pourquoi celui-ci a attribué près de 7,5 M$ à la réalisation de ce projet. Aujourd’hui, je suis heureuse de constater que la population de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville pourra bientôt profiter d’infrastructures sportives à la hauteur de ses besoins grâce à la mobilisation des partenaires du milieu », a mentionné la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Michelle Courchesne. «Pour nous, le Complexe aquatique, sportif et communautaire est un rêve qui se réalise car ce sera le premier YMCA à voir le jour depuis les 20 dernières années», a souligné Stéphane Vaillancourt du YMCA du Grand Montréal. «Nous sommes très fiers de participer à la réalisation de ce complexe et de contribuer au nouvel essor de ce quartier ». La seule conseillère de l’opposition au conseil d’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, Noushig Eloyan était elle aussi heureuse du dénouement de la situation, tout en gardant une certaine réserve. «Je suis évidemment très heureuse que le gouvernement du Québec ait décidé de s’impliquer et de faire débloquer les choses. Par contre, je ne serai contente que lorsque les travaux vont commencer sur le site, parce qu’à ma connaissance, c’est la cinquième fois qu’on l’annonce et qu’on s’en vante à la ville», a affirmé Mme Eloyan. Selon cette dernière, il s’agit d’un projet crucial dans le développement et la revitalisation du secteur.
  2. le 16 novembre 2007 Une nouvelle statue du Sacré-Cœur a été installée en devanture de l'église Saint-Denis. Dimanche 11 novembre, le curé, André Anctil, a procédé à la bénédiction devant quelques fidèles. Cette statue provient de l'ancienne église Sainte-Élisabeth du Portugal dans le quartier Saint-Henri. Cette église était fermée à la suite d'un incendie. La statue avait été épargnée. Elle a été acquise grâce à la générosité des paroissiens de la paroisse Saint-Denis. Un montant avoisinant 8 000 $ a pu être amassé. La nouvelle statue remplace celle qui était déjà en place, à l'angle Laurier et Berri, sur le terrain de l'église. Le socle menaçait de tomber et un cordon de sécurité empêchait les gens de s'approcher. La nouvelle statue a été bénie par le curé André Anctil, de la paroisse Saint-Denis.
  3. 16.11.2007 Un concept d’éclairage très distinct illumine désormais la façade de la CinéRobothèque de l’ONF. Une succession de lettres géantes éclairées par des diodes électroluminescentes (DEL) forme le mot «cinéma» et indique l’entrée du bâtiment par une pulsation multicolore de la gauche vers la droite. Aboutissement d’une collaboration entre le Partenariat du Quartier des spectacles et l’Office national du film du Canada, cette nouvelle réalisation du plan lumière est signée Axel Morgenthaler d’après un concept original d’Intégral Ruedi Baur et d’Intégral Jean Beaudoin. Elle est la première d’une série d’interventions à venir dans le Quartier Latin, qui compte de nombreux édifices à vocation culturelle. La signature lumineuse viendra par la suite compléter cette installation afin de lier définitivement l’édifice avec l’espace piétonnier et d’identifier la CinéRobothèque comme un des lieux de diffusion incontournables du Quartier des spectacles.
  4. en fait qu est ce que c etait arriver avec le projet d installer un écran géant sur magill ,je me souvien que pas si long temps il ya un qui a proposer de le faire ,ya t il quelqu un qui a des nouvelles ? Pour tes photos de nuit je les trouve formidable ,j ai toujours aimer les photos de nuit surtout du centre ville ,tu pourra essyer de prendre des photos du crystal avec sa pointe allumer .
  5. 16 novembre 2007 - La Presse La Ville de Montréal relance l'aménagement du 6000, rue Saint-Denis, où on avait songé à implanter le CHUM. La Société de transport de Montréal (STM) compte vendre les garages qui s'y trouvent, et l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie souhaite y implanter un projet similaire à celui du technopôle Angus, a appris La Presse. La STM a récemment signé une entente avec la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) pour mettre en valeur ses «actifs immobiliers excédentaires». Selon un document obtenu par La Presse, la SHDM étudie l'aménagement des terrains des centres de transport Saint-Denis et Mont-Royal, où se fait l'entretien des autobus. L'arrondissement de RPP souhaite du même coup aménager l'imposant quadrilatère situé entre les rues Saint-Denis, le boulevard Saint-Laurent, la rue de Bellechasse et le viaduc Rosemont-Van Horne. «Ce sera un projet mixte qui s'étendra sur plusieurs années qui comportera des petites entreprises, des logements et des commerces de proximité», explique le maire de l'arrondissement, André Lavallée. Le projet inclurait aussi les immeubles au sud du viaduc, notamment la Place de la mode. Durant son dernier mandat, le gouvernement du Parti québécois planifiait la construction d'un centre hospitalier universitaire à cet endroit. Le zonage a d'ailleurs été changé pour le construire. La STM a même reporté les travaux de rénovation de ses garages dans l'éventualité d'une expropriation. La construction de l'hôpital a toutefois été déplacée au centre-ville. Le maire de l'arrondissement fait valoir qu'il s'agit d'un emplacement stratégique, notamment en raison de sa proximité avec la ligne orange du métro et avec le futur campus de l'Université de Montréal, qui sera construit sur le terrain de la gare de triage d'Outremont. M. Lavallée explique que les changements au plan d'urbanisme et les consultations publiques seront entrepris sous peu. Les terrains de la STM au coin de la rue Saint-Denis et du boulevard Rosemont ont une superficie d'un peu plus de 36 000 m2 et une valeur d'environ 11 millions au rôle d'évaluation. La Ville et la STM sont propriétaires d'environ la moitié des terrains du quadrilatère. Montréal a déjà lancé un projet d'habitation d'environ 550 logements à la place des anciens ateliers municipaux situés à proximité. Le projet prévoit aussi la construction d'une résidence pour personnes âgées au-dessus du métro Rosemont. Situé au coin de la rue Fullum et de l'avenue du Mont-Royal, le centre de transport Mont-Royal est quant à lui moins vaste. Il fait près de 18 000 m2 et vaut un peu plus de 2,1 millions de dollars. La mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, Helen Fotopulos, indique qu'il s'agira en grande partie de construction résidentielle, hormis la façade sur l'avenue du Mont-Royal, où seulement des commerces pourront s'installer. Le projet résidentiel pourrait englober le terrain d'un ancien concessionnaire automobile de l'autre côté de la rue Fullum. La SHDM a investi 18 000$ pour étudier le potentiel immobilier des deux propriétés de la STM. L'organisme paramunicipal prévoit terminer ses évaluations au début de 2008. En mai dernier, la STM a modifié le mandat de sa filiale Trangesco, responsable de la commercialisation du métro, pour permettre ce partenariat. Selon les documents soumis au comité exécutif, la STM estime que son «patrimoine immobilier» et ses «droits aériens» représentent un «potentiel de développement intéressant». Trangesco a ainsi signé une entente avec la SHDM. Les édicules du métro offrent la possibilité de construire des édifices en hauteur. La STM a récemment donné son accord pour intégrer une des sorties du métro Place-des-Arts à un projet immobilier à l'angle de la rue De Bleury et du boulevard de Maisonneuve.
  6. Vendredi 16 Novembre 2007 Des résidents et des représentants d'organismes de Côte-des-Neiges ont remis une pétition de 3845 noms aux instances de la Ville de Montréal hier matin. Les signataires demandent l'achat par la Ville du terrain de l'hippodrome et du même souffle le développement d'un projet résidentiel incluant 2500 logements sociaux. " Si nous mettons l'accent sur le logement social, c'est parce que les gens du quartier sont confrontés quotidiennement à l'insalubrité, aux loyers trop élevés et au manque d'espace. Dire qu'il n'y a pas assez de logements sociaux à Côte-des-Neiges, c'est comme dire qu'il fait froid en hiver ", explique Denyse Lacelle, coordonnatrice du Conseil communautaire de Côte-des-Neiges/ Snowdon.
  7. le jeudi 15 novembre 2007 L'arrondissement Ville-Marie et l'entreprise Communauto lancent un programme d'autopartage destiné aux entreprises du centre-ville. Le projet ajoute 24 nouvelles voitures dans 12 points de service du quartier des affaires. Le service vise essentiellement une clientèle corporative, mais les voitures seront disponibles pour l'ensemble des membres de la coopérative. Communauto pourra stationner ses voitures en bordure de la rue, une première au centre-ville, plutôt que d'utiliser un terrain de stationnements. Cette nouvelle offre permettra aux organisations et aux entreprises d'inciter encore plus leurs employés à se rendre au travail en transport en commun, en vélo, ou à pied. [...] Plus d'excuses pour se rendre au centre-ville en auto. — Directrice générale de Voyagez Futé, Bernadette Brun Les services d'autopartage d'inscrivent dans le plan de développement durable adopté en septembre dernier par l'arrondissement Ville-Marie qui s'engage à faire une plus grande place aux véhicules libre-service. Nous croyons fermement que l'autopartage est une voie d'avenir pour beaucoup de nos citoyens. Avec les espaces de stationnement que nous mettrons à la disposition de Communauto, nous faciliterons l'accès aux citoyens, aux organisations et aux entreprises du centre-ville. — Le maire de l'arrondissement Ville-Marie, Benoît Labonté Entreprise à vocation sociale, Communauto compte plus de 13 500 membres et un parc automobile de 700 véhicules au Québec, dont 535 à Montréal.
  8. Presse Canadienne Le jeudi 15 novembre 2007 Montréal L'éditeur Michel Brûlé a dévoilé une statue en hommage au général Charles de Gaulle devant le bureau des Éditions des Intouchables, à Montréal. L'ex-premier ministre Bernard Landry était présent à ce dévoilement. Pour Michel Brûlé, il était important de commémorer le «Vive le Québec libre» de Charles de Gaulle, un événement marquant dans l'histoire du Québec à ses yeux. Il a déclaré que l'ex-maire Pierre Bourque a refusé cet honneur tandis que le maire actuel de la Ville, Gérald Tremblay, était d'accord en autant que la statue «demeure cachée», selon ses dires. Pour M. Landry, le général de Gaulle a une «importance planétaire». Selon lui, de Gaulle a fait connaître la cause du Québec à travers le monde. M. Landry a déclaré qu'au moment où le général a fait sa célèbre déclaration, des analystes de toutes les villes du monde se sont tournés vers la Belle Province et ont tenté d'étudier et de comprendre la question québécoise.Bernard Landry, l'éditeur Michel Brûlé et Aslan, créateur du buste, posent devant la statue du général Charles de Gaulle.
  9. le 15 novembre 2007 De plus en plus sollicité par le train de banlieue Saint-Jérôme–Montréal, le pont quasi centenaire qui enjambe la rivière des Prairies et relie Laval et Montréal à l'île Perry, au sud du quartier Laval-des-Rapides sera remplacé par un neuf, d'ici la fin novembre. L'intervention, prévue depuis près de deux ans, est nécessaire en raison de l'augmentation de la fréquence des trains de banlieue qui y circulent. «On veut augmenter la capacité du pont. Le train de banlieue est un succès et est toujours en croissance», fait valoir le porte-parole du CP, Michel Spénard. Avant de procéder au remplacement de la vieille structure, le CP procédera au démantèlement de la passerelle piétonnière, où est également aménagée une piste cyclable. Cette opération sera amorcée le lundi 19 novembre et s'échelonnera sur une semaine, précise le porte-parole de la compagnie ferroviaire. La firme de construction Euler, en collaboration avec la firme d'ingénierie MLC Associés, se chargera de cette portion des travaux. «C'est ce qui aura le plus d'impact sur le public», dit-il. Le reste des travaux, soit le remplacement du pont par une nouvelle structure préfabriquée, peut se faire en un week-end, assure-t-il. Si tout se déroule comme prévu, l'horaire du train de banlieue, qui n'est pas en service la fin de semaine, ne sera pas touché. La ligne Saint-Jérôme–Montréal effectue trois arrêts sur le territoire lavallois: à Sainte-Rose, Vimont et à la station intermodale Concorde. L'ensemble des travaux, y compris la réinstallation de la passerelle, devrait être achevé au plus tard le lundi 17 décembre. Le remplacement du pont devrait se faire en un week-end, estime le Canadien Pacifique.
  10. jeudi, 15 novembre 2007 Madigan Communications a lancé à Montréal un réseau d'affichage extérieur utilisant les échafaudages des édifices en restauration. Les deux premiers annonceurs à avoir utilisé ces panneaux géants sont Sony, pour promouvoir son nouveau téléviseur Bravia, et Tours Transat, pour célébrer son 20e anniversaire. "Notre plan de développement des affaires doit nous permettre de nous installer dans les principales villes du pays de manière à implanter cette nouvelle façon de faire en matière d'affichage extérieur en format géant. Nous désirons concentrer nos efforts sur les annonceurs qui cherchent à optimiser leur image de marque, comme LG, Apple, Samsung, Panasonic, L'Oréal et Chanel", dit Jean-Claude Henri, président de Madigan. Madigan est une société spécialisée en gestion de projets de marketing, développement des affaires et ventes de concepts d'affichage.
  11. le mercredi 14 novembre 2007 Radio-Canada a besoin de moderniser ses équipements. La société d'État a besoin d'argent. La SRC a commencé, mercredi matin, à présenter à ses employés un projet d'étude sur la modernisation de la Maison de Radio-Canada et sur le développement de son site. Une étude En entrevue avec Radio-Canada.ca, la directrice générale de la Division immobilière de la SRC, Sonia Trudel, insiste pour parler, à cette étape-ci, d'étude. « Ce n'est pas un projet. C'est une étude qu'on est en train de faire pour trouver une façon de développer le site ». Il s'agit, précise-t-elle, de tirer un financement que la société pourrait réinvestir dans la modernisation de son complexe immobilier. Immeubles vétustes Car, c'est là le coeur du problème. Les immeubles du boulevard René-Lévesque ont déjà 35 ans. Ils ont besoin de rénovations majeures. La Société a posé quatre conditions pour le succès du projet de rénovations. La quatrième se lit comme suit: financer le projet sans l'apport de fonds publics et sans toucher à l'argent des programmes. La société cherche donc un apport financier extérieur. Le besoin n'est pas nouveau. Radio-Canada cherche, depuis 2001, des moyens de financer la modernisation de ses installations et de répondre à ses besoins à long terme. Long terme, l'expression revient à plusieurs reprises au cours de la présentation aux employés. Le directeur des Affectations spéciales et communications, Division immobilière, Ronald Prud'homme, n'hésite pas à parler d'un nouvel aménagement intérieur qui devra durer 35 ans. « Ça va bien maintenant. Il faut toujours se poser la question: allons-nous être aussi d'avant-garde dans cinq ans, dix ans, quinze ans? On se pose la question sur nos aménagements comme soutien à la production. » Le soutien à la production implique, notamment, le travail d'équipe. Les responsables de l'étude se penchent sur les groupes qui travaillent beaucoup en équipe. On fait des analyses sectorielles pour trouver qui sont les partenaires naturels pour qu'on ait la proximité optimale entre les groupes qui sont appelés à travailler ensemble. — Ronald Prud'homme Un potentiel de financement Pour financer ces travaux, la Société possède un atout majeur : son site. Le site de Radio-Canada a 1,1 million de pieds carrés, selon M. Prud'homme. À peu près la moitié, formée par les terrains situés à l'est et à l'ouest de la tour, peut être développée. Selon l'étude présentée aux employés : les stationnements extérieurs disparaîtraient; des immeubles multi-fonctionnels seraient construits sur les terrains qu'ils occupaient; on creuserait deux étages de parkings sous-terrains. Mais Radio-Canada ne veut pas vendre à n'importe quel prix. Ronald Prud'homme précise : « Si on vend les terrains, on veut que tout éventuel développement ait une cohérence avec Radio-Canada; que ça s'intègre bien au quartier, que ça soit un développement équilibré ». Il ajoute qu'un grand site a un atout : « Il permet d'accueillir plusieurs fonctions : on parle de résidences, de bureaux, de commerces ». Des places seraient aussi aménagées pour faire du développement un projet vert. Et les citoyens du quartier? Les citoyens qui vivent à l'ombre de la tour n'ont pas été oubliés. Sonia Trudel précise : « On a fait venir des représentants de chacun des groupes qui sont importants et on les a consultés pour voir ce qu'ils aimeraient voir sur le site. » On leur a ouvert les portes pour leur montrer le besoin de modernisation. Théoriquement, on devrait être plus près de ce que les gens aimeraient voir dans leur communauté. En tout cas, c'est notre objectif. — Sonia Trudel La Société déposera dans une semaine et demie un plan directeur à la Ville de Montréal, que les développeurs seront tenus de respecter. Suivra l'étape de consultation des experts en urbanisme et en mobilier urbain.
  12. Le Journal de Montréal 15-11-2007 Montréal est en voie de devenir la capitale mondiale des effets spéciaux, à tel point qu'on craint une pénurie de talents pour animer les studios de la métropole. «On contrôle 80% des logiciels d'effets visuels sur le marché mondial», indique Danny Bergeron, de Mokko Films, dans le Vieux-Montréal. Montréal est déjà la capitale des jeux vidéo au Canada; dans les prochaines années, il pourrait bien devenir celle des effets spéciaux. «En 2000, on a été découverts par les Américains. Avant, on n'était même pas un joueur important», ajoute-t-il. Le nombre de films américains dont on a confié les effets spéciaux à Montréal est en hausse fulgurante depuis sept ans. Ça représente 80 % du chiffre d'affaires des studios québécois. Montréal rafle en moyenne de 30 à 50 contrats d'effets pour films à gros budget chaque année, des films qui dépensent en moyenne de 5 à 6M$ en effets spéciaux. Si la tendance se maintient, le Québec manquera d'artistes pour fournir la demande. En effet, il n'est pas rare que certains effets spéciaux soient confiés à des studios de Toronto et Vancouver parce que les compagnies québécoises ne peuvent travailler sur toutes les scènes d'un film. «Il nous faut plus de talents, on sollicite les écoles pour qu'elles augmentent le bassin de talents», indique Jean-Yves Martel, de FX Cartel, un entrepreneur en effets spéciaux dont la compagnie a généré 20 M$ dans l'industrie depuis 2003. Nouveau studio Signe d'une industrie en santé, le studio Mokko Films construit en ce moment un autre studio pour doubler sa capacité de production. Le nombre d'employés grimpera à 60. Le studio vient tout juste de terminer il y a trois semaines les effets visuels du Merveilleux Emporium de M.Magorium (Dustin Hoffman, Natalie Portman), prochain blockbuster de Fox. On parle d'un budget de 10 M$ en effets spéciaux, dont près de la moitié est allée à Montréal. Environ 30 artistes y ont travaillé dans la dernière année et demie. Mais qu'est-ce qui charme tant les Américains dans le travail des artisans québécois? «On est bons au Québec pour marier la technologie et l'art, le Cirque du Soleil l'a démontré», dit Danny Bergeron. On espère prochainement obtenir les contrats d'effets spéciaux des films Death Race et The Mummy 3, qui ont été tournés à Montréal récemment. Une délégation québécoise se prépare à partir pour Los Angeles en janvier, question de convaincre les productions d'envahir les studios de la métropole. «On est les meilleurs du monde, il ne reste qu'à le laisser savoir», conclut Danny Bergeron.
  13. Jeudi 15 Novembre 2007 " En 2008, nous franchirons une autre étape très importante: l'embellissement. Un fonds de 250 000 $ sera consacré uniquement à des projets d'embellissement. Nous voulons que nos propres installations soient non seulement propres, mais qu'elles soient jolies. Nous devons donner l'exemple ", a ajouté Marcel Tremblay, du comité exécutif de la Ville de Montréal. Les projets sont nombreux en 2008 : présence prolongée de la brigade de la propreté, harmonisation de la réglementation et mise en place d'un système de saisie des constats électroniques, sans compter un programme ambitieux de nettoyage des graffitis d'un million de dollars, dont une portion sera consacrée à la réalisation de murales de qualité.
  14. Et les voyageurs d autobus et du métro qui sont les victimes malheureusement ,ce qui encourage pas d abandonner la voiture.
  15. loulou123

    Montréal vs. Toronto

    Pareil pour moi , le pessimisme n améne a rien , il faut voir grand , avoir de la vision pour avancer ,comme Toronto a pu s avancer dans la culture pour arriver a ce qu elle est maintenant (surtout qu elle est était loin dériére Montreal ) Montreal peut le faire pareil sinon mieu si on voit grand et on garde la confiance en soie ,si on veut on peut je suis convaincu par ca.
  16. loulou123

    Quartier Concordia

    Moi je pense que le gazon de cette place a besoin de plus d entretient , il ya des éspace vide au milieu de la terre (sans gazon) vous pouvez le remarquer dans la photo prise par catalaw , mais c est vrai qu il ya beaucoup de monde qui passent par laba ,ils peuvent mettre un petit siége qui entoure les places gazonné a fin de le laisser dans une bonne état.
  17. Oui c est ce que j ai compri moi aussi , mais le probléme qu il ya des commerces a l intérieure de la station Lionel-Groulx qui sont encore vides ,ils sont pas encore louer ,c est pour ca ,ca métonne un peu cette nouvelle.
  18. loulou123

    Montréal vs. Toronto

    le mardi 13 novembre 2007 Le « Rendez-vous novembre 2007 - Montréal métropole culturelle » prend fin mercredi. Pendant deux jours les quelque 1300 participants à la rencontre se sont penchés sur cinq grandes orientations, qui ont, ensuite, été déclinées en objectifs. L'objectif final : donner à Montréal les moyens de devenir une métropole culturelle du XXIe siècle reconnue au Canada et à l'étranger. Les gouvernements moteurs Les gouvernements tant municipal, provincial que fédéral font leur part. Mardi, chaque palier gouvernemental a annoncé l'injection de 40 millions de dollars dans la réalisation du Programme particulier d'urbanisme, secteur Place des Arts du Quartier des spectacles. La comparaison entre Montréal et Toronto montre que l'administration de la première donne plus d'argent pour la culture que la seconde. Les subventions accordées à la culture par les deux villes en 2003 : Montréal : 59 472 000 $ ou 32 $ par personne Toronto : 33 265 050 $ ou 13 $ par personne Le point faible : le secteur privé La faiblesse que Montréal manifeste par rapport à la Ville-Reine vient du secteur privé. Les donateurs privés sont beaucoup plus nombreux à Toronto. La capitale ontarienne s'est enrichie, au cours des dernières années, de sept grands projets, dont la rénovation du Musée royal de l'Ontario, celle du Musée des Beaux-Arts, le Square Dundas et la nouvelle maison de l'Opéra. Ces grands travaux ont été financés à 70% par le secteur privé. Selon le conseiller en gestion d'entreprise, Michel Guay, il est beaucoup plus facile de faire des campagnes de financement à Toronto qu'à Montréal. Il parle même de sommes dix fois plus importantes. Montréal peut-elle gagner la bataille? Dans ces conditions, Montréal peut-elle espérer gagner la bataille contre Toronto? La réponse semble évidente quand on sait qu'en 2004, 1,5% des Québécois ont donné de l'argent à des organismes artistiques et culturels. Ailleurs au Canada, la moyenne était de 2,8%. La valeur totale des dons se chiffrait à 27 millions de dollars au Québec, et à 188 millions au Canada. Selon Isabelle Hudon, la présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, la culture est vue au Québec comme une responsabilité de l'État, encore plus qu'ailleurs au Canada. Pour elle, la participation des entreprises à la culture est prioritaire et elle veut les convaincre de faire plus d'efforts. Mme Hudon souligne que les entreprises et gens d'affaires québécois sont généreux. Ils subventionnent principalement trois secteurs : la religion, la santé et l'éducation. La culture arrive loin derrière. La part du privé dans le financement des arts est de 13 % au Québec contre 26 % ailleurs au Canada. Qui fait l'art? La chroniqueuse culturelle du quotidien The Globe and Mail, Kate Taylor, ne cache pas que les grands projets ont transformé le visage de Toronto. Mais elle refuse de tout ramener à une question d'argent. Selon elle, ce qui est important, c'est la présence d'une vivacité culturelle à Montréal. Trouver de l'argent pour faire de grands projets de construction, c'est très bien ; mais, à la fin, ce sont les artistes qui font l'art. — Kate Taylor, journaliste au Globe and Mail De son côté, Simon Brault, le président de Culture Montréal, admet que la métropole québécoise traîne un peu de la patte en termes de grands projets. « Montréal, c'est d'abord une ville de petites et moyennes institutions culturelles et de grands événements. Montréal n'est pas une ville qui a un avenir dans le gigantisme institutionnel », dit-il. M. Brault croit que Montréal ne devrait pas mener la bataille du gigantisme, des investissements privés, des infrastructures. Il affirme que notre ville perdrait cette guerre. Je pense que la vraie bataille qu'on doit mener, c'est d'être vraiment une métropole culturelle du XXIe siècle qui s'illustre par la qualité de sa création. — Simon Brault, président de Culture Montréal
  19. loulou123

    Quartier Concordia

    Presse Canadienne (PC) 13/11/2007 Le monument à Norman Bethune à l'angle de la rue Guy et du boulevard De Maisonneuve, à Montréal, sera restauré en vue des célébrations, en octobre 2008, du 70e anniversaire du départ de Montréal pour la Chine de ce héros canadien. La statue du Dr Bethune a été enlevée de son socle hier pour être transportée et restaurée au Centre de conservation du Québec. La statue avait été offerte à la Ville de Montréal par la République populaire de Chine en 1976. Norman Bethune, mort le 12 novembre 1939 en Chine, est connu pour ses actions humanitaires en Espagne durant la guerre civile espagnole et en Chine durant la Guerre sino-japonaise. En Chine, il a notamment soigné des blessés sur les lignes de front dans des conditions de guérilla. Il s'est aussi consacré à la formation en premiers soins, en mesures sanitaires et en interventions chirurgicales simples. Avant de séjourner en Chine, il a pratiqué la médecine à l'Hôpital du Sacré-Coeur et à l'Hôpital Royal-Victoria, à Montréal. De la Première Guerre mondiale jusqu'à sa mort, Norman Bethune s'est fréquemment illustré dans une longue série de réalisations pour venir en aide à l'humanité. Mao Tsé-Toung, chef de la République populaire de Chine de 1949 à 1976, a écrit un essai en hommage à Norman Bethune. Le médecin canadien est encore de nos jours considéré comme un héros en Chine.
  20. La Presse Le mardi 13 novembre 2007 Ottawa, Québec et la Ville de Montréal ont confirmé hier leur participation financière à parts égales dans le projet de 120 millions du Quartier des spectacles, mais le secteur de la Place des Arts ne sera pas le seul touché. La Ville s'apprête à démolir l'édifice situé au coin sud-est de Saint-Laurent et de Sainte-Catherine pour un projet culturel de 20 millions. La première journée du Rendez-vous de la culture aura aussi permis aux gens d'affaires et au milieu culturel de s'apprivoiser un peu. La Ville de Montréal peut dès maintenant procéder à la démolition de l'édifice situé à l'intersection de Sainte-Catherine et Saint-Laurent pour y ériger un édifice culturel au coût de 20 millions, a appris La Presse. Désormais propriétaire du 222, Sainte-Catherine Est, Montréal entreprendra sa démolition sous peu puisque le service des pompiers a condamné cet édifice jugé non sécuritaire. Et ce, même si un locataire de l'édifice, propriétaire d'un peep show, conteste l'expropriation devant le tribunal. Le maire Gérald Tremblay a d'ailleurs dit vouloir procéder le «plus rapidement possible» avec ce dossier en clôture de la première journée du Rendez-vous Montréal, métropole culturelle. Le projet aurait même pu faire l'objet d'une annonce lors de cette rencontre, qui a attiré plus de 1000 participants hier, s'il avait été acheminé à temps au gouvernement du Québec, fort intéressé par un changement de vocation de ce secteur de Montréal. «C'est un très beau projet, structurant, magnifique, a déclaré à La Presse le ministre du Développement économique, Raymond Bachand. Il a besoin d'un coup de pouce pour sa phase de construction, mais le seul problème, c'est que j'ai reçu le projet il y a deux semaines. J'aurais aimé le recevoir il y a deux mois parce qu'avec Ottawa, cela aurait été plus facile.» Le porte-parole de la Corporation de développement urbain du faubourg Saint-Laurent, Réjean Séguin, explique que la participation de Québec et d'Ottawa est rendue nécessaire «pour s'assurer que les loyers restent bas et accessibles pour des organismes culturels». Cette participation financière au projet devrait permettre de maintenir le coût des loyers sous la barre des 20$ le pied carré, alors que ce tarif est normalement dépassé dans le centre-ville. «Si on donne un signal fort, ajoute M. Séguin, avec uniquement des gens du secteur culturel dedans, ça va donner l'impulsion qui manque dans le quartier. C'est un montant minime qui est demandé des gouvernements, entre quatre et cinq millions.» Mis en branle par l'arrondissement de Ville-Marie, ce projet a été développé par le Technopôle Angus. L'édifice compterait six étages où la station CIBL veut s'installer. On pourrait également y retrouver une librairie, un restaurant et d'autres organismes culturels comme une maison de la photographie, notamment. La Vitrine culturelle, lieu de vente de billets de dernière minute et de promotion des spectacles présentés à Montréal, devrait aussi y trouver son toit permanent. Pour l'instant, ce guichet unique est abrité par la Place des Arts. Un projet de 120 millionsOttawa, Québec et la Ville de Mont-réal ont confirmé hier leur participation à parts égales, soit 40 millions chacun, dans le Programme particulier d'urbanisme (PPU) du Quartier des spectacles. Dès la fin des festivals l'été prochain, les travaux d'aménagement débuteront pour créer la Place du Quartier des spectacles, un espace public de la dimension du square Victoria qui permettra d'ancrer les festivals de façon permanente tout en créant des espaces verts et des vitrines habitées par des commerces.
  21. De plus en plus il prend une belle allure ,j ai hate de le voir dans la section complété ,merci Gilbert pour la photo.
  22. mardi 13 novembre 2007 La restauration du grand obélisque à la mémoire des Patriotes de 1837-1838 installé au coeur du cimetière de la Côte-des-Neiges est terminée. Alors que l'on souligne cette année les 170 ans de ces révolutions manquées, une équipe d'ouvriers s'est affairée, au cours des derniers mois, à démonter puis à reconstruire dans les règles de l'art ce monument inauguré en 1858.
  23. 12-11-2007 Après plusieurs années de vaches maigres, le tournage de films étrangers a repris de la vigueur à Montréal. En 2007, rapporte le quotidien La Presse lundi, les retombées économiques des tournages internationaux ont rapporté près de 200 millions à la Ville, soit deux fois plus qu'en 2006. En 2002 et en 2003, les retombées économiques des tournages étrangers pour la Ville de Montréal avaient atteint les 400 millions $, avant de tomber à 150 millions $ en 2005. Pour l'ensemble de la province, les tournages de productions américaines et de coproductions internationales auront engendré des revenus de 300 millions $, contre 200 millions $ en 2006 et moins de 100 millions $ en 2005.
  24. La Presse Le lundi 12 novembre 2007 Bonne nouvelle pour les amateurs de lecture: 30 millions de dollars seront investis en trois ans dans les bibliothèques municipales de Montréal. La Ville de Montréal et le gouvernement du Québec fourniront chacun la moitié de cette somme, à laquelle s'ajouteront 7,5 millions venant des arrondissements. Le plan: enrichir les collections, embaucher du personnel, rénover les bibliothèques et en construire cinq nouvelles. «Ces investissements mettent fin à une triste réalité», a déclaré hier le maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui était accompagné de la ministre de la Culture, Christine St-Pierre. Le réseau des bibliothèques municipales de Montréal accuse en effet un retard sur la moyenne des grandes villes canadiennes, selon le Diagnostic des bibliothèques municipales publié en 2005 (voir tableau). Montréal compte deux fois moins de bibliothécaires par habitant que Toronto et dépense 25% de moins. Après avoir constaté ces lacunes, la Ville avait établi un plan de redressement de 125 millions en 10 ans pour rejoindre la moyenne canadienne. La nouvelle enveloppe permettra donc d'entamer la première phase de ce programme. «Dans 10 ans, il y aura 16 bibliothèques de plus dans l'île de Montréal et 1,5 million de nouveaux documents», a annoncé Gérald Tremblay. Si les sommes sont récurrentes, bien sûr. La ville compte actuellement 44 bibliothèques et 3,2 millions de livres Compétence d'arrondissement Le maire n'était pas en mesure hier de dire comment les sommes seront réparties et surtout où les nouvelles bibliothèques seront construites. «On est en train de faire la planification, a répondu M. Tremblay. Aujourd'hui, on a l'annonce de la vision.» Deux nouveaux bâtiments seront érigés dès l'an prochain. Or, certains arrondissements de la ville sont moins choyés que d'autres sur le plan des ressources humaines et de la superficie de leurs bibliothèques. Selon le Diagnostic des bibliothèques municipales, Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce et Rosemont-La Petite Patrie sont loin derrière les bibliothèques de l'ouest de l'île. De plus, la gestion des bibliothèques relève des arrondissements depuis cinq ans, ce qui a parfois causé problème. Le conseil d'arrondissement d'Hochelaga-Maisonneuve a décidé en 2005 de supprimer deux postes de bibliothécaires... mais la pression des citoyens a fait reculer le conseil. Devrait-on s'inquiéter de la gestion des nouveaux fonds? Pas du tout, a répondu Louise Guillemette-Labory, directrice associée des bibliothèques de Montréal. «On doit rendre un rapport financier chaque année au gouvernement du Québec. Et la qualité des bibliothèques est devenue un enjeu très important pour tous les arrondissements.»
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