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loulou123

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  1. Le Journal de Montréal 13/08/2007 Benoit Labonté et André Lavallée ont été désignés par le comité exécutif pour peaufiner le plus important projet de développement dans l’histoire moderne de Montréal, soit le CHUM, quant au volet touchant le Plan d’urbanisme. À titre de maire de l’arrondissement Ville-Marie, Benoit Labonté estime que l’aspect structurant de ce projet est très impressionnant et qu’il sera nécessaire «d’étudier les projets reliés à la gestion des déplacements, à l’accessibilité, à l’harmonisation en milieu urbain et à l’intégration des éléments patrimoniaux», a commenté M. Labonté. André Lavallée, maire de Rosemont/La Petite-Patrie et responsable politique de l’aménagement et du transport collectif, confirme l’option prioritaire qui sera retenue dans le grand quartier du CHUM et que le Journal avait déjà annoncée en primeur l’an dernier: le transport en commun sera priorisé et les déplacements en auto seront découragés autour du futur CHUM. «Il y a des aspects importants dans ce projet quant à son intégration dans un secteur sensible de Montréal», a commenté André Lavallée. Il prévoit d’ailleurs une étude d’envergure pour favoriser un plan de déplacements intégrés basé sur le métro, l’autobus, le vélo et le taxi. Pour sa part, le maire Benoit Labonté, qui est aussi responsable politique de la culture à Montréal, pilotera des études en vue de fournir un plan d’action pour mettre en valeur le square Viger qui pourrait devenir, à côté du Quartier des Spectacles, un musée à ciel ouvert d’œuvres d’art. Du côté gouvernemental, le travail avance lentement, mais il avance. Plusieurs vieux bâtiments de la rue Saint-Denis, au sud du boulevard René-Lévesque, ont franchi l’étape de l’expropriation.
  2. 13/08/2007 Un nouveau lien routier entre Montréal et Laval pourrait être construit grâce au prolongement de l'autoroute 440. Le tracé passerait par Sainte-Dorothée, traverserait la rivière des Prairies et se rendrait à l'autoroute 40 via l'Île-Bizard, Pierrefonds et Kirkland. Ce sont les travaux de prolongement des autoroutes 25 et 30 qui ont ravivé cette vieille idée. Le projet avait déjà été présenté une première fois il y a 35 ans, mais il avait été mis sur la glace après le moratoire de 1977. Les maires de l'ouest de l'île préfèreraient un boulevard urbain, mais le maire de Laval Gilles Vaillancourt croit qu'une autoroute est la seule solution pour régler les problèmes de circulation.
  3. L’arrondissement de Verdun amorcera aujourd’hui les travaux de reconfiguration du boulevard LaSalle annoncés lors d’une rencontre de citoyens en mai dernier. L’arrondissement procédera d’abord à un prémarquage puis au marquage de la chaussée et à l’installation de balises servant à identifier le resserrement des voies sur le boulevard LaSalle, et la nouvelle configuration des intersections Bannantyne/LaSalle et Verdun/LaSalle. Ces travaux devraient être complétés au cours de la prochaine semaine. «La reconfiguration du boulevard LaSalle donnera un nouveau cachet à cette artère et améliorera du même coup la qualité de vie des riverains», souligne le maire de l’arrondissement, Claude Trudel. Pour sa part, André Savard, conseiller d’arrondissement et président de la Commission de la circulation et des travaux publics, rappelle que cette nouvelle configuration vise à accroître la sécurité des résidants qui traversent le boulevard LaSalle pour accéder aux nombreux parcs situés en bordure de la rive. De plus, ce réaménagement permettra de réduire la vitesse dans le secteur. Rappelons que les travaux comprennent le rétrécissement du boulevard LaSalle en limitant la circulation à une voie dans chaque sens entre les rues Leclair et Richard. Cette opération sera réalisée par un marquage sur la chaussée ainsi que par l’installation de bacs et de «bollards» (petits poteaux avec des bandes réfléchissantes). Les traverses piétonnières situées aux intersections des rues Rolland, Valiquette et Riverview ont déjà été aménagées au cours des dernières semaines en fonction de ces changements. D’autre part, l’intersection de la rue Bannantyne et du boulevard LaSalle ainsi que celle de la rue de Verdun et du boulevard LaSalle seront reconfigurées. Afin de diminuer les impacts de ce réaménagement pour les résidants de la rue Verdun, un stationnement prendra place devant les bâtiments situés aux adresses civiques 6001 à 6041, rue de Verdun.
  4. L’arrondissement de Lachine présente un nouveau visage avec la fin des travaux du mur antibruit et les nombreux travaux de réfection routière, de pavage, de trottoirs et de bordures qui sont présentement en cours. Une quinzaine de rues ou de portions de rues sont en chantier sans compter le prolongement de la rue Victoria pour relier Saint-Pierre à Lachine par voie routière et cyclable. L’ensemble des travaux divers, tels que la réfection des pavages, trottoirs et bordures, l’installation de mobilier d’éclairage, la réfection d’installations sportives, l’amélioration de parcs et d’espaces verts, le remplacement de conduites d’égout et d’aqueduc, l’aménagement de pistes cyclables et l’amélioration des grandes voies de circulation, représente un investissement de plus de 50 millions de dollars. «Cette amélioration de nos voies publiques est possible grâce à la mise en commun de sommes venant de l’Arrondissement, de la Ville de Montréal, de l’agglomération de Montréal et du ministère des Transports du Québec, a déclaré au Messager le maire de l’arrondissement, Claude Dauphin. Notre bilan en ce qui a trait à l’entretien de nos rues est excellent. Cela peut occasionner des inconvénients aux usagers, mais nous tentons d’effectuer ces travaux rapidement. D’ailleurs, j’aimerais remercier les citoyens pour leur collaboration à respecter la signalisation spécifique liée aux travaux et pour leur patience».Une quinzaine de rues ou de portions de rues sont en chantier dans l’arrondissement de Lachine qui présente déjà un nouveau visage avec la fin des travaux du mur antibruit le long de l’autoroute 20 et les nombreux travaux de réfection qui sont présentement en cours.
  5. La Presse Le vendredi 10 août 2007 L'administration du maire Gérald Tremblay donne le feu vert au projet du CHUM au centre-ville, mais craint un impact monstre sur la circulation pendant et après les travaux de construction. Elle commande donc une vaste étude de circulation. «C'est une première pour le comité exécutif de Montréal, explique André Lavallée, responsable du transport à la Ville. On ne veut pas juste étudier la fluidité de la circulation. On veut aussi inclure les autos, le vélo, les transports en commun, comme un éventuel tramway, ainsi que les piétons, et le projet de développement du Quartier de la santé au-dessus de l'autoroute Ville-Marie.» Les élus du comité exécutif, qui ont déposé leurs recommandations mercredi à la suite du rapport de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) sur le projet d'hôpital universitaire, vont plus loin. Ils demandent des mesures musclées pour favoriser les transports en commun, comme le paiement de la carte mensuelle aux employés de l'hôpital ou le remboursement des frais de taxi, ainsi que des vestiaires et des douches pour les cyclistes. En contrepartie, les élus ne croient pas nécessaire de fermer une bretelle de l'autoroute Ville-Marie - à la hauteur de Sanguinet - pour mener à bien un plan de gestion de la circulation. À ce sujet, on précise que l'autoroute Ville-Marie est l'une des principales voies d'accès au centre-ville et qu'elle permet un «accès rapide» entre le Centre universitaire de santé McGill (CUSM) et le CHUM. En ce qui concerne les maquettes de construction, le comité exécutif juge que l'OCPM a raison de signaler que les tours du centre de recherche feront ombrage au Vieux-Montréal et au secteur de l'hôtel de ville, rue Notre-Dame. Les élus demandent donc au CHUM de redistribuer les volumes des bâtiments près de la rue Saint-Antoine et d'améliorer la «relation» avec la place Chénier, le square Viger et le Champ de Mars. Actuellement, les tours projetées s'élèveraient sur neuf étages, pour une hauteur de 80 mètres. «On pense que la partie du CHUM qui est près du Vieux-Montréal devra se construire sur une plus large superficie de terrains. L'hôpital pourrait par exemple se développer sur la place qui fait face à la rue Berri, et on n'aurait qu'à déplacer les oeuvres d'art», avance M. Lavallée. Le patrimoine bâti Quant à l'intégration du patrimoine bâti au vaisseau amiral du CHUM, notamment l'église Saint-Sauveur et la maison Garth, la Ville estime que le «rappel historique» proposé par le promoteur n'est pas suffisant. On demande que ces «bâtiments ou des parties de ces bâtiments soient intégrés aux constructions, par l'effet combiné de la conservation d'éléments bâtis et du rappel de la présence de ces bâtiments en ces lieux». Les élus du comité exécutif jugent par ailleurs que les promoteurs du CHUM doivent redoubler d'efforts pour rehausser la valeur culturelle du secteur, en prolongeant l'ambiance de la rue Saint-Denis, au nord du boulevard René-Lévesque, jusqu'au Vieux-Montréal. À ce sujet, André Lavallée, responsable du dossier auprès des élus, affirme que «Saint-Denis ne peut pas être traitée par le CHUM comme une ruelle». «Saint-Denis est un parcours historique qui débouche sur le Vieux-Montréal. Au début, le CHUM faisait en quelque sorte presque table rase des façades. Il faut les préserver, et conserver l'échelle des bâtiments», ajoute M. Lavallée. Finalement, l'administration Tremblay demande un partage des coûts à parts égales pour changer les conduites d'eau qui desserviront l'hôpital. L'une d'elles est âgée de 100 ans, et un «bris majeur serait intolérable» lorsqu'il y aura des milliers de patients et d'employés. Les coûts à partager sont estimés à 20 millions, soit 1,4% du budget total de construction du CHUM, qui est de 1,5 milliard.
  6. Vendredi 10 Août 2007 La Ville n'a pas le choix. Le collecteur situé sous la rue Sherbrooke entre les rues Beaudry et Montcalm est dans un piteux état et doit être réparé dans des délais rapides. C'est ce qu'a annoncé, hier matin, le responsable des infrastructures de la voirie et de la gestion de l'eau au comité exécutif, Sammy Forcillo. La facture de ces ouvrages atteindra 2,6 millions $. En juin dernier, la chaussée s'est effondrée sur la rue Sherbrooke, juste devant l'ancienne bibliothèque municipale. Sur le champ, la Ville a ordonné l'inspection du collecteur afin de déterminer les causes de l'affaissement de la chaussée. Deux semaines plus tard, des travaux étaient amorcés pour réduire le débit d'eau dans la conduite afin d'identifier les alternatives possibles pour éviter l'effondrement de la conduite existante. Ces travaux de réfection de la conduite viennent tout juste d'être complétés. Toutefois, la situation d'urgence, la volonté d'éviter des inconvénients supplémentaires aux résidents du secteur motivent la décision de l'administration municipale d'agir de manière accélérée en procédant immédiatement à la mise en place de la solution permanente. " Ce que nous vivons est l'évidence même qu'il y a du rattrapage à faire dans l'entretien des infrastructures négligées par le passé ", a commenté M.Forcillo. La partie visée par les réparations a été construite en briques en 1909. Elle sera remplacée par une nouvelle conduite de 2,1 mètres de diamètre en béton armé. CIRCULATION À compter du 25 août et pendant toute la durée des travaux, une voie sera rouverte à la circulation sur la rue Sherbrooke en direction Est. Des trajets alternatifs sont proposés aux automobilistes. (Jean-Claude Grenier)
  7. Vendredi 10 Août 2007 Le projet du futur Centre hospitalier de l'Université de Montréal au centre-ville a franchi une étape importante, hier, quand le comité exécutif de la Ville a accepté de modifier le Plan d'urbanisme. Ainsi, les recommandations de l'Office de consultation publique de Montréal et de l'arrondissement de Ville-Marie ont permis de mettre en lumière des aspects importants quant à l'intégration de ce projet d'envergure dans un secteur sensible de l'espace montréalais. " Le projet du CHUM est important et structurant et il mérite d'être peaufiné sur les aspects reliés à la gestion des déplacements, à l'accessibilité, à l'harmonisation en milieu urbain et à l'intégration d'éléments patrimoniaux " a commenté le maire de l'arrondissement de Ville- Marie, Benoît Labonté. L'administration du maire Tremblay a mandaté certains services municipaux à réaliser des études d'impact relativement à certains dossiers dont celui du réaménagement du square Viger. Le Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine a reçu le mandat de réaliser les transactions immobilières nécessaires pour les emprises appropriées de la rue De La Gauchetière Est et de la rue Guy-Frégeault. Si les échéanciers sont respectés,le nouvel hôpital accueillera ses premiers patients vers 2013 au lieu de 2010 comme il étais prévu lors du lancement du projet. Il va sans dire que ce délai de trois ans aura de lourdes conséquences sur les coûts. La facture finale pourrait facilement dépasser les deux milliards de dollars.
  8. 9 août 2007 - La Presse Les fabricants d'articles de sport et d'accessoires Adidas et Arc'Teryx débarquent rue Sainte-Catherine, de même que la chaîne H&M, qui y installe son navire amiral. Si leur arrivée confirme la grande popularité de la principale artère commerciale de Montréal, elle démontre aussi que les fabricants n'hésitent plus à ouvrir des magasins-vitrines. La chaîne H&M (Hennes & Mauritz), de Suède, cherchait depuis longtemps les grands locaux appropriés, rue Sainte-Catherine, pour ouvrir son plus grand magasin de la région. H&M Canada, de Toronto, les a trouvés et a signé un bail à long terme, confirme la porte-parole, Laura Shankland. De gros travaux d'aménagement seront effectués avant l'ouverture, qui n'est prévue que dans un an. Laura Shankland refuse de préciser la superficie du magasin, le nombre d'étages et l'adresse exacte, rue Sainte-Catherine Ouest. Mais il s'agira d'«un H&M d'une grande superficie et avec une adresse fantastique», assure-t-elle. La chaîne suédoise, dont les vêtements sont conçus à Stockholm et fabriqués en partie en Asie, a ouvert huit magasins dans la région de Montréal depuis 2005. H&M ouvrira son premier magasin de Québec aux Galeries de la Capitale, le 6 septembre prochain. D'une superficie de 14 000 pieds carrés, le magasin présentera des collections pour femmes, enfants et bébés, mais pas pour hommes. Un troisième magasin au pays pour Adidas Le fabricant Adidas, d'Allemagne, a par ailleurs ouvert le 2 août dernier son premier magasin à Montréal et son troisième au Canada, au 1238, Sainte-Catherine Ouest. Ce magasin arrive après ceux de Vancouver et de Toronto. La boutique de 2350 pieds carrés se veut branchée sur la mode avec sa vaste gamme de chaussures et de vêtements aux couleurs vives, pour femmes et hommes, souligne la porte-parole, Micki Rivers. Depuis 1920, les produits d'Adidas ont été adoptés par de nombreux athlètes professionnels. Les collections Sport Heritage les réinterprètent au goût du jour. Adidas a déjà ouvert des boutiques dans des capitales comme Tokyo, Londres, Hong Kong, Berlin, New York et Chicago. «Ça ne dérougit pas», déclare la directrice du magasin Adidas de Montréal, Isabelle Grondin, au sujet des premiers jours de vente. Le fabricant de vêtements Arc'Teryx, de Vancouver, a pour sa part choisi Montréal pour l'ouverture de son «premier magasin au monde». Les sportifs trouvent déjà les vêtements Arc'Teryx dans les magasins Atmosphère, La Cordée et Mountain Equipment Coop. La boutique Arc'Teryx, sise au 1515, rue Sainte-Catherine Ouest, se veut une salle de montre pour les détaillants et une vitrine pour les clients, explique le directeur, Jean-François Parent. La clientèle est au rendez-vous, même si Arc'Teryx a ouvert discrètement, sans faire de promotion, dit-il. Avant tout un designer de vêtements, dont 70% sont fabriqués à l'usine de Vancouver, Arc'Teryx a cependant encore beaucoup à apprendre dans le commerce de détail, conclut Jean-François Parent.
  9. MONTREAL, le 7 août / - Du 6 au 8 août, Tourisme Montréal invite les New-Yorkais à découvrir Montréal grâce à un tout nouveau "cube interactif" installé dans le hall Vanderbilt de Grand Central Station à New York. Plusieurs milliers de personnes parmi les quelque 700 000 usagers quotidiens de la gare auront droit à une visite virtuelle de Montréal leur donnant un aperçu du charme européen et de la vitalité qui font sa réputation. L'évènement a été mis sur pied dans le cadre de la campagne annuelle de Tourisme Montréal dans le marché américain du tourisme d'agrément destinée à inciter les résidants de la région new-yorkaise à traverser la frontière. Le concept du cube, dérivé interactif du nouveau site Web "Find Your Montréal" de Tourisme Montréal, invite les visiteurs à découvrir des images, des sons et des ambiances de Montréal regroupés en six thèmes : la cuisine, l'architecture, les boutiques, la vie nocturne, la scène culturelle, les festivals et le plein air. Une fois à l'intérieur de cet immense cube de 24 pi sur 24, les visiteurs peuvent voir et entendre Montréal - virtuellement, sinon littéralement, la vivre - en activant avec les pieds les panneaux interactifs du sol déclenchant des témoignages audiovisuels de Montréalais à propos des multiples facettes et attraits de leur ville. Le site comprend aussi une rangée de colonnes d'information colorées menant au cube afin de piquer la curiosité des usagers en soulignant le cachet unique de Montréal. L'expérience multisensorielle repose sur des écrans intérieurs géants disposés tout autour des écrans interactifs au sol. Cet événement de promotion à New-York est présenté en collaboration avec Air Canada, la Commission canadienne du tourisme et Tourisme Québec. Plus de 50 médias new-yorkais et nationaux ainsi qu'une douzaine de voyagistes ont accepté l'invitation de Tourisme Montréal à un cocktail spécial dans le hall Vanderbilt le mardi 7 août, ce qui leur a permettra de se familiariser à loisir avec le cube tout en appréciant la musique live d'un groupe de jazz montréalais. L'équipe de Tourisme Montréal a aussi été reçue à l'émission Early Show de CBS, qui touche près de trois millions de téléspectateurs par semaine. En mettant ainsi à profit certaines des technologies les plus avant-gardistes disponibles, Tourisme Montréal prouve une nouvelle fois qu'elle est à la pointe de l'innovation dans son domaine et profite des nouvelles technologies comme médium nous permettant de mieux faire vivre l'expérience Montréal. En plus du cube et du site Web associé, la campagne promotionnelle new-yorkaise de Tourisme Montréal comprenait des affiches dans les trains de banlieue, des annonces dans The New York Times, de l'affichage sauvage dans les rues, des panneaux rétroéclairés dans des cabines téléphoniques et une série de messages audio à télécharger (baladodiffusion) portant sur les évènements faisant l'actualité montréalaise. Tourisme Montréal a aussi organisé un tirage qui a permis à trois usagers de la gare de gagner un séjour à Montréal, un prix offert en partenariat avec Air Canada et le Casino de Montréal. De son côté, la Commission canadienne du tourisme a diffusé de l'information sur la grande variété d'attraits et d'expériences que le Canada offre à ses visiteurs. Tourisme Montréal est l'organisme responsable d'assumer le leadership de l'effort concerté de promotion et d'accueil pour le positionnement de la destination "Montréal" sur les marchés des voyages d'agrément et d'affaires et d'orienter le développement du produit touristique montréalais sur la base de l'évolution constante des marchés
  10. Presse Canadienne 07/08/2007 La Ville de Laval songe à adopter un système de vignettes pour contrer le débordement de stationnements dans les rues entourant les trois nouvelles stations de métro. Le journal Métro a constaté qu'à la mi-juillet, 5000 ménages habitant dans un rayon de dix minutes de marche des stations Montmorency, de la Concorde et Cartier ont reçu un questionnaire concernant un «programme de stationnement réservé aux résidants». Si la majorité des citoyens répondent favorablement à la consultation, le projet pourrait voir le jour dès l'automne. Les vignettes coûteraient 30 $ et leur renouvellement annuel 15 $, et seraient valides de 10h00 à 15h00. Le noeud du problème se trouve près de la station Montmorency. C'est là que se trouvent 1300 places de stationnements gérées par l'Agence métropolitaine de transport. La moitié de ces places sont payantes. Seulement quelques dizaines des 700 places disponibles ont été réservées, jusqu'à maintenant.
  11. 7 août 2007 - La Presse Non seulement le prix des maisons unifamiliales n'a pas augmenté, mais il a même baissé de 2% en juillet à Montréal, comparativement à l'an dernier, malgré un nombre record de transactions. «Ça n'a cependant rien à voir avec la chute du marché aux États-Unis, provoquée d'abord par la spéculation dans plusieurs États, puis la faillite de prêteurs à risque», souligne à La Presse Affaires le chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal, Michel Beauséjour. C'est plutôt la fin du déséquilibre du marché, après des années d'effervescence des prix. Sur l'ensemble du marché de la revente dans la région métropolitaine de Montréal, le prix des propriétés a plafonné, surtout celui des condos. Le nombre d'inscriptions à vendre a baissé à la fin de juillet, après des activités fébriles durant ce mois d'été d'habitude tranquille, note Michel Beauséjour. La revente change ainsi de direction, passant d'un marché de vendeurs pour s'orienter vers un marché d'acheteurs. «Ce n'est pas tout à fait encore un marché d'acheteurs, sauf dans certains quartiers comme Ahuntsic», réplique Michel Beauséjour. «Mais la pression des acheteurs augmente et leur pouvoir de négociations s'accroît aux dépens des vendeurs. Depuis décembre dernier, la chambre immobilière prévoit le rééquilibre des vendeurs et des acheteurs». En avril, le prix des unifamiliales a aussi baissé de 1% à Montréal, mais un mois ne fait pas une année, souligne la porte-parole de la chambre, Chantal de Repentigny. Avec la baisse de 2% en juillet, c'est toutefois le deuxième mois négatif sur les quatre derniers mois. Au cours des six premiers mois de l'année, le prix moyen a augmenté de 5% dans la région, à 207 000$. «Le marché revient à l'équilibre. La revente au Canada et au Québec n'a rien du tout à voir avec celle des États-Unis», assure le patron de la deuxième chambre en importance au pays. «Au Canada, personne ne s'est lancé dans les prêts à risque (à des acheteurs qui n'en avaient pas vraiment les moyens), parce que le nombre de prêteurs est plus restreint et que la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) veille au grain. Là, Montréal profite d'un marché idéal pour les vendeurs et les acheteurs», déclare Michel Beauséjour. Ce dernier n'ose encore prévoir la tendance du marché, à l'automne et l'an prochain. «Il faudra surveiller septembre et octobre. Nos économistes planchent sur le dossier. Il faut se rappeler que les locataires qui achètent leur première propriété orientent souvent le marché du printemps, tandis qu'à l'automne, c'est au tour des vendeurs de passer à l'action», explique-t-il. On verra mieux l'orientation du marché de l'habitation après la publication jeudi des données de la SCHL sur les ventes de maisons neuves. Niveau d'activités Entre-temps, Michel Beauséjour a été surpris par le niveau exceptionnel d'activités en juillet. La revente de condos a pris la tête avec un bond de 32% des transactions, suivie par celle des unifamiliales, en hausse de 27%. Le prix moyen des condos dans la grande région a stagné à 215 000$, comparativement à l'an dernier, et celui des unifamiliales n'a monté que de 3%, à 236 000$. À Montréal même, le prix moyen des unifamiliales a par contre reculé de 2%. Dans Lanaudière, celui des condos a même chuté de 9%. «Lanaudière n'est pas un marché typique de condos», souligne-t-il. «C'est le temps d'acheter ou de vendre, tant au niveau de la stabilité des prix que de la vigueur du marché», estime Michel Beauséjour. La valeur des ventes a presque atteint un milliard en juillet, à 894 millions, en hausse de 31% comparativement aux 684 millions du même mois en 2006. Les inscriptions ont augmenté de 3% en juillet à 6871. À la fin du mois, la chambre immobilière comptait 31 856 inscriptions comparativement à 32 363 l'an dernier à la même période.
  12. La Presse Le mardi 07 août 2007 En attendant de nouveaux développements dans les négociations entre l'UQAM et le promoteur immobilier Busac, le chantier de l'îlot Voyageur, dans le quadrilatère des rues Berri, Ontario, Saint-Hubert et de Maisonneuve, est à moitié laissé à l'abandon. Comme l'avait annoncé La Presse il y a quelques semaines, seuls les deux premiers étages et le sous-sol de l'édifice sont en voie d'être achevés. Les sept autres étages, à moitié terminés, resteront tels quels. Les travaux qui ont été interrompus pour les vacances de la construction sont toujours suspendus. Les murs sans finition et les planches de bois qui placardent les fenêtres sont donc là pour rester. En revanche, quelques travailleurs s'activent aux deux premiers étages de l'îlot et dans le stationnement souterrain. Une fois la construction terminée, le terminus d'autobus y déménagera. Pris à la gorge par un manque à gagner de 300 millions, l'UQAM a eu de la difficulté à payer les entrepreneurs de l'îlot Voyageur dans des délais raisonnables. Ces derniers ont donc déserté le chantier. Des pourparlers ont toujours lieu entre l'UQAM et Busac. L'Université tente de modifier le contrat qui la lie au promoteur. L'issue de ces négociations pourrait sceller le sort des étages supérieurs de l'îlot Voyageur.
  13. Oui moi aussi j ai remarquer un petit peu de difference sur la maquette , c est vrai elle est plus carré voila la photo de maquette
  14. Le Journal de Montréal 31/07/2007 Il y a eu tellement de plaintes du secteur industriel contre le nouveau rôle d'évaluation de la Ville de Montréal que ses 70 évaluateurs ont obtenu un délai de six mois pour les traiter toutes. Ce sont les demandes de révision d'immeubles non résidentiels de 5 millions de dollars et plus qui ont déréglé la machine administrative. La Ville a enregistré plus de 308 plaintes majeures concernant de tels immeubles mais tout indique que les évaluateurs ne pourront pas respecter la loi et livrer des réponses détaillées à tous avant le 1er septembre. Les dirigeants de Montréal ont donc autorisé le report de l'échéance au 1er février 2008. Les deux arrondissements où le nouveau rôle a fait le plus mal sont Ville-Marie, où le nombre de plaintes atteint 552, pour une valeur totale de 3,3 milliards, et Saint-Laurent, où le rôle a été dénoncé 168 fois pour une valeur de 790,4 M$. Au total, 5320 plaintes ont été déposées contre le nouveau rôle d'évaluation. Les deux rôles précédents, soit ceux de 2001 et 2004, avaient valu à la Ville 5068 et 4084 plaintes respectivement. La valeur des immeubles visés par les demandes de révision totalise 12 milliards sur un rôle de 188 milliards pour toute l'île de Montréal. Secteur résidentiel Toutes les demandes de révision dans le secteur résidentiel, 3632, auront obtenu une réponse détaillée pour le mois de septembre, mais il en sera autrement pour les 1688 plaintes des secteurs commercial et industriel. Le processus de révision comporte une première phase de conciliation au cours de laquelle les parties peuvent en venir à une entente, si la plainte n'est pas rejetée. Mais en cas d'insatisfaction, un appel est toujours possible devant le Tribunal administratif du Québec. Le Centre Bell, qui conteste son évaluation foncière de 150 M$ au rôle de 2004-2006, a vu sa nouvelle évaluation grimper à 225 M$ pour les quatre prochaines années. Les avocats du propriétaire George Gillett et ceux de la Ville de Montréal se sont rencontrés à plusieurs reprises dans le passé pour tenter de régler le différend à l'amiable, avec l'accord du Tribunal administratif du Québec (TAQ), mais les deux parties ne s'entendent toujours pas. La cause sera entendue l'automne prochain par le TAQ.
  15. le centre ville éatait bien animé et méme plus animé que maintenant ,je suppose que a cette période il n yavait pas des lois aussi sévéres pour l urbanisme du centre ville comme maintenant.
  16. La Presse Le samedi 28 juillet 2007 L'administration Tremblay-Zampino accordera en 2008 un peu d'argent frais aux 19 arrondissements de la Ville de Montréal, dont les budgets passeront de 870 millions de dollars à un peu plus de 900 millions en 2008, a appris La Presse. En contrepartie, ils devront réduire le nombre de leurs employés dès l'an prochain. Les directeurs d'arrondissement ont tous reçu une cible à atteindre pour éliminer des postes au fur et à mesure des départs à la retraite, a-t-on appris. Dans une lettre envoyée aux maires d'arrondissement, le président du comité exécutif, Frank Zampino, rappelle que son administration s'est engagée à réduire ses dépenses de 300 millions d'ici 2009. «Une partie de cet objectif doit être atteint par la réduction de 1000 postes, dont 250 cadres, d'ici le 31 décembre 2009», peut-on lire. Les services centraux doivent fournir un effort de 70 millions et les arrondissements, de 30 millions. Dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, par exemple, le budget passera de 61 à 63 millions. Mais la mairesse de l'arrondissement, Lyn Thériault, estime que l'administration Tremblay-Zampino «donne de la main droite et enlève de la main gauche». Elle fait valoir que les budgets accordés ne permettent pas d'augmenter les services, alors que la population de l'arrondissement s'accroît. «On nous oblige à abolir 45 postes d'ici 2009 alors qu'on devrait en ajouter, plaide-t-elle. À moins d'une aide providentielle, nous n'aurons pas le choix de mettre encore des projets de côté.» À Anjou, le maire Luis Miranda est plus alarmiste et prévoit même réduire la fréquence du déneigement: «Je n'ai pas le choix de couper. Montréal ramasse sa neige une fois sur deux, eh bien! on va faire la même chose.» M. Miranda estime que les sommes allouées (environ 25 millions) lui permettront à peine de couvrir les différentes hausses de coûts. Luis Miranda menace même de ne pas obtempérer aux demandes de la Ville, selon lesquelles il devrait abolir 19 postes. «La loi 33 a donné la responsabilité des employés aux arrondissements», précise-t-il. Sammy Forcillo, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, fait valoir que les arrondissements auront plus de marge de manoeuvre en 2008. «Je suis certain que ce budget sera plus facile qu'en 2007 parce que nous avons tenu compte des indexations», dit-il. M. Forcillo ajoute que deux fonds spéciaux sont aussi disponibles pour les arrondissements sous-financés. Il a toutefois été impossible de savoir à combien ils s'élèvent. Selon M. Forcillo, les arrondissements peuvent se serrer la ceinture sans réduire les services aux citoyens. Par ailleurs, il a refusé de préciser si son administration pourrait boucler son budget sans augmenter l'impôt foncier. «Le passé est garant de l'avenir», a-t-il laissé tomber. Il a aussi été impossible de connaître les intentions de l'administration quant à la possibilité d'augmenter des tarifs comme ceux des parcomètres. L'an prochain, Montréal pourrait toutefois disposer de nouveaux pouvoirs de taxation. Québec a récemment déposé un projet de loi pour permettre à la ville de taxer les stationnements commerciaux et les billets de spectacles. Depuis son arrivée au pouvoir, en 2002, l'administration Tremblay-Zampino a toujours adopté des budgets comportant des hausses des dépenses de 2 à 5%. En 2007, la Ville faisait face à un déficit appréhendé de 394 millions. Elle avait équilibré son budget en gelant notamment les salaires des employés et les budgets accordés aux arrondissements. Plusieurs arrondissements s'étaient donc tournés vers des taxes locales. La Ville présente son budget chaque année à la fin novembre.
  17. 28/07/2007 Des découvertes archéologiques pourraient retarder de nouveau la construction du nouveau Centre hospitalier de l'Université de Montréal. Selon le Journal de Montréal, une équipe de chercheurs vient de découvrir plusieurs vestiges archéologiques dans le quadrilatère où sera érigé le nouveau CHUM. Des restes de bâtiments incendiés, un puits, une fosse à déchets et de nombreux objets de la vie quotidienne des Montréalais du début des années 1800 ont été déterrés par les archéologues. Une porte-parole du CHUM estime qu'il est trop tôt pour dire si ces découvertes vont retarder les travaux de construction, qui devraient être terminés en 2013.
  18. le 25 juillet 2007 Une portion du recensement 2006 de Statistique Canada, rendu public cette semaine, fait état d’une augmentation de l’âge moyen de la population montréalaise entre 2001 et 2006. Désormais, 15 % des Montréalais sont âgés de 65 ans ou plus. Dans certaines villes reconstituées, ce pourcentage est pratiquement le double. En fait, on compte plus de gens âgés sur l’île de Montréal que de jeunes de moins de 14 ans! Au regard des nouvelles données, l’île compte maintenant 286 555 personnes de plus de 65 ans sur une population totale de 1 854 442 habitants (pour l’année 2006). Concernant le territoire de la Ville de Montréal, on dénombre 246 085 personnes âgées de 65 ans ou plus sur une population totale de 1 620 693 citoyens. C’est à Ahuntsic-Cartierville que l’on compte le plus grand nombre de personnes âgées (23 245). C’est seulement quelques centaines de plus qu’à Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce (22 540) et plus de deux milles de plus que dans les arrondissements Rosemont (20 675) et Hochelaga-Maisonneuve (20 150). Dans les villes défusionnées, la « palme » revient à Côte-Saint-Luc, qui compte 9500 personnes âgées de plus de 65 ans sur un total de 31 395, ce qui représente 30 % de la population de cette municipalité! On retrouve un ratio élevé également à Westmount (20 % ont plus de 65 ans). La moyenne d’âge des Montréalais est maintenant de 38,8 ans, soit un an de plus qu’au recensement de 2001. Les gens les plus jeunes se retrouvent dans l’arrondissement de Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension (moyenne de 36,1 ans) et les plus vieux dans celui d’Anjou (44,3 ans). Ironiquement, ce dernier se retrouve également dans la liste des arrondissements comptant le plus grand nombre de jeunes de moins de 14 ans avec 19 250, au côté de Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce (26 825) et Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension (24 155). Un arrondissement marqué par les écarts ! Les nouvelles données de Statistique Canada ne font que refléter le vieillissement de la population canadienne en général dans les grandes villes. En fait, au regard des données, on réalise que les personnes âgées sont principalement regroupées dans les centres urbains alors que les gens de moins de 65 ans ont tendance à trouver un foyer dans les banlieues et en campagne. Dans le premier tableau, on voit, dans l'ordre, le nombre de jeunes de moins de 14 ans, puis le nombre de personnes de 65 ans et, finalement, l'âge médian dans chacun des arrondissements de la Ville. Dans le deuxième tableau, qui concerne cette fois les villes reconstituées, on y dénombre les gens de moins de 14 ans, ceux de plus de 65 ans et la population total de chacune des villes.
  19. La Presse Le vendredi 27 juillet 2007 Un mot pour décrire la saison touristique jusqu'à maintenant: ordinaire. «Ce n'est pas une mauvaise année, mais ce n'est pas une année forte non plus», reconnaît Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal. Benoît Labonté, maire de l'arrondissement de Ville-Marie, abonde dans son sens. Selon lui, la situation n'est pas reluisante, mais pas catastrophique non plus: «Oui, il y a une petite baisse cette année. Mais est-ce que l'industrie touristique de Montréal est en crise? Absolument pas!» Du côté des commerçants et autres travailleurs du Vieux-Montréal, on est beaucoup plus pessimiste. «Les affaires vont mal. Avant, la saison touristique commençait en avril-mai, maintenant c'est juin-juillet», lance Mohammed Khalil, propriétaire de la boutique de souvenirs Green-Land, rue Notre-Dame. À la basilique Notre-Dame, «il n'y pas de rush comme on en a déjà eu», souligne une guide, Guylaine. Moins d'Américains, plus d'Européens Avec la montée fulgurante du dollar canadien, l'industrie du tourisme avait peur d'être boudée par les États-Unis. Apparemment, ses craintes étaient justifiées. Selon Charles Lapointe, le nombre des visiteurs américains a baissé de 5% aux frontières et dans les aéroports. M. Lapointe croit que la force du huard et le prix élevé de l'essence ont rendu frileux nos voisins du Sud. Il y a aussi une confusion autour du passeport obligatoire. «Les Américains ne savent plus s'ils ont besoin d'un passeport ou non, explique M. Lapointe. Les questions de sécurité sont de plus en plus contraignantes et, malheureusement, ça nuit au flux touristique.» Tous les intervenants du milieu touristique interrogés par La Presse ont déploré la désaffection des Américains, notamment à la galerie d'art Saint-Dizier, dans le Vieux-Montréal. «Ce sont eux qui dépensent le plus», souligne Arnaud Le Gall, vendeur. Du côté du populaire restaurant le Jardin Nelson, place Jacques-Cartier, «la baisse du nombre de touristes américains est flagrante», souligne Arianne Demers, préposée à l'accueil. Par contre, à l'extérieur du Vieux-Montréal, l'industrie touristique semble se porter mieux. Au réputé restaurant Toqué! , on est agréablement surpris. «La saison va bien, l'achalandage est bon», lance Christine Lamarche, copropriétaire. Du côté du Biodôme, le nombre de visiteurs se maintient, soutient la porte-parole, Marie-Andrée Camirand. «Il y a moins d'Américains mais plus d'Européens», affirme le directeur de la Société générale commerciale du Vieux-Montréal, Jean Perron. Tous les commerçants interrogés par La Presse sont du même avis. Fait nouveau, on remarque plus de touristes latino-américains, surtout en provenance du Mexique. «Il faudra s'adapter et bientôt faire des visites guidées en espagnol», mentionne Guylaine, la guide de la basilique Notre-Dame. Bonne saison dans l'hôtellerie Si les commerçants du Vieux-Montréal considèrent que l'achalandage touristique est faible, les hôtels, eux, traversent une meilleure période. Le taux d'occupation a atteint 81,1% en juin 2007, contre 76,6% en juin 2006, selon Tourisme Montréal. Il y a actuellement 17 hôtels dans le Vieux-Montréal, pour un total de 25 établissements en comptant les gîtes. Fait à noter, le tarif moyen des chambres est beaucoup plus élevé dans le Vieux-Montréal que dans le centre-ville. Cependant, le Vieux-Montréal ne compte que 10% du nombre total de chambres à Montréal. Le centre-ville en offre 70%, souligne Charles Lapointe, de Tourisme Montréal. Un hôtel est actuellement en construction, et «d'autres projets hôteliers devraient suivre», mentionne Jean Perron. Objectif: inciter les touristes à se loger dans le Vieux. En revanche, à l'extérieur du Vieux-Montréal, on observe un léger ralentissement dans certains hôtels. Au Maritime Plaza, on estime que l'occupation a baissé de 10 à 12% par rapport à l'année dernière. «Ce n'est pas une très bonne saison. Montréal est un peu mort», affirme Sistina Damasio, la porte-parole de l'hôtel. Selon elle, d'autres villes canadiennes, comme Vancouver, Calgary et Edmonton, ont beaucoup à offrir. Et Montréal ne fait pas le poids. Avec la collaboration de Caroline Rodgers et Martin Croteau Des devises américaines Pourquoi se promener avec la tête de la reine Élisabeth quand celle d'un président américain fait l'affaire? «Les Américains ne prennent plus la peine de changer leur monnaie en dollars canadiens», mentionne Guylaine, guide à la basilique Notre-Dame. Cette année, la basilique a reçu 30% de billets verts de plus par rapport à l'an dernier. Les artistes du Vieux-Montréal ont vécu la même expérience. «Il y a beaucoup moins d'Américains, mais cette année j'ai récolté deux fois plus de dollars américains», souligne Pascal, un caricaturiste. Le dollar canadien étant fort, nos voisins du Sud n'ont pas beaucoup à gagner en changeant leur argent en monnaie canadienne. «Sans compter les frais de conversion», mentionne Guylaine.
  20. Le Journal de Montréal 25/07/2007 Tout est encore à refaire rue de la Commune. Les pavés de pierre ne tiennent pas et la Ville de Montréal doit réparer la chaussée pour une énième fois depuis la pose originale de ces pierres de granite, en 1991. Mais cette fois-ci on parle de travaux majeurs qui coûteront 2 M$ et qui seront financés à parts égales par la Ville et par le ministère québécois de la Culture. Selon Sammy Forcillo, responsable des infrastructures, la Ville entend régler le problème une fois pour toutes en utilisant un revêtement de pavés de béton autobloquants, sur une distance d'environ un demi-kilomètre, entre les rues Saint- Gabriel et De Bonsecours. Des études menées depuis deux ans par SNC-Lavalin et l'Institut de recherche en construction ont permis de réaliser des tests dans la rue de la Commune pour vérifier la résistance de nouveaux produits. Et le gagnant est : le pavé de béton non collé avec du mortier, comme ce fut le cas dans le passé, mais reposant sur un lit de sable granitique garni d'un sable à jointoiement polymérique, tel que décrit dans un document interne de la Ville. Des zones d'essai de ce produit, dans la rue de la Commune, ont résisté non seulement au passage des nombreux camions de livraison et autobus remplis de touristes, mais aussi aux gels et dégels fréquents des hivers modernes! Patrimoine «Le pavé de la rue de la Commune fait partie de notre patrimoine dans le Vieux-Montréal et cette rue est aussi une fenêtre très importante sur la métropole. Il est de notre responsabilité de refaire l'artère dans cette zone à forte concentration touristique et c'est d'autant urgent qu'il en va aussi de la sécurité des visiteurs», a commenté Sammy Forcillo. Les travaux seront réalisés dès cet automne. L'administration espère fermer le chantier avant la fin de 2007, mais elle n'écarte pas la possibilité que les travaux soient complétés au printemps de 2008. Les milliers de briques de granite qui seront enlevées, rue de la Commune, seront conservées par la Ville et serviront à certains aménagements dans des parcs publics
  21. Mardi 24 Juillet 2007 À moins d'un regain de vie au cours des mois d'août et septembre, ce qui semble peu probable, la saison estivale touristique 2007 est vouée à l'échec. Le taux d'occupation des hôtels du centre-ville est en baisse. Dans plusieurs cas, cette diminution de la clientèle est de l'ordre de 17 à 22 % par rapport à l'an dernier. L'excellent rendement du dollar canadien freine l'élan des touristes américains qui jadis se bousculaient aux postes frontaliers canadiens. " Certes, Tourisme Montréal va publier des beaux chiffres à la fin de l'année, mais il faut enlever nos lunettes roses et regarder la situation en face. C'est facile d'interpréter des chiffres de manière positive.On va tenter de nous faire croire que la saison a été bonne mais la réalité, nous la vivons dans nos hôtels ", de dire Cynthia, qui occupe un poste important au niveau du marketing dans un hôtel reconnu du centre-ville. " Chaque matin, je traverse le stationnement de l'hôtel et je constate qu'il y a moins de véhicules en provenance des Etats-Unis ou des autres provinces canadiennes. Quand je parle avec mes collègues dans les autres hôtels, la situation est similaire. " Cynthia n'a pas tort. Plusieurs restaurateurs de la rue St-Jacques et du Vieux-Montréal affirment que les restaurants ne sont pas bondés en cette période de l'année. Habituellement, ces tables font des affaires d'or durant l'été. "On voit de moins en moins de touristes qui marchent dans le secteur avec la carte touristique à la main " fait remarquer Solange, serveuse au restaurant Eggspectation. VIEUX-MONTRÉAL Un problème de taille se profile à l'horizon pour les hôtels du centre-ville. Plusieurs craignent l'exil de leur clientèle vers les nouveaux établissements hôteliers du Vieux-Montréal. Au cours des cinq dernières années, les hôtels-boutiques et les gîtes du passant se sont multipliés dans la partie touristique de la ville. Rien ne semble vouloir freiner cette expansion puisque les hôtels Westin et Embassy Suites à un jet de pierre du Palais des congrès sont en chantier. " La clientèle branchée affectionne particulièrement les hôtels aménagés dans des immeubles historiques " fait observer Sébastien Lavigueur, un guide touristique dans le Vieux-Montréal.
  22. Le Journal de Montréal 24/07/2007 Le Conseil régional de l'environnement de Montréal (CRE) dénonce le projet de construction d'un mini-hôtel de ville et d'une Maison de la culture dans le parc René-Masson, à Rivière-des-Prairies. Au nom du CRE, André Porlier interpelle l'administration Tremblay-Zampino pour protéger «cet espace vert public». M. Porlier estime que les élus doivent empêcher le projet, même s'il n'ampute que de 25% (25 000 m2) le territoire du parc. Le CRE a soutenu, hier, lors d'une conférence de presse, que le projet heurte la politique de la Ville de mettre en valeur les milieux naturels. «Il va aussi à l'encontre de la Politique de l'arbre adoptée par la Ville», indique André Porlier. Le promoteur du projet, le maire de l'arrondissement RDP-PAT, Cosmo Maciocia, tient beaucoup à réaliser cet engagement électoral de l'équipe Gérald Tremblay. Il n'a pu s'expliquer concernant les déclarations du CRE puisqu'il est présentement en vacances en Italie. Mais son chef de cabinet, Martin Dumont, rappelle la position de son patron qui est de «revaloriser» une ancienne terre en friche qui a été «un site de dépôts sauvages» dans le passé. «Le maire veut rehausser le secteur en y construisant une Maison de la culture et des bureaux administratifs sur le cinquième de la surface du parc», précise Martin Dumont. André Porlier qualifie ces arguments de «faibles» et soutient que les parcs publics ne doivent pas servir au développement local, «surtout quand ils sont situés à proximité de la rivière Des Prairies». Le projet de 18,4 M$ passera ce soir l'étape de la deuxième assemblée de consultation publique qui sera suivie d'une période de 45 jours au cours de laquelle les autorités devront organiser un registre pour obtenir l'autorisation de modifier le plan d'urbanisme, ce qui permettrait d'y construire l'immeuble. Ahuntsic Pendant ce temps, un autre registre s'ouvrait, hier, dans Ahuntsic, pour autoriser un autre projet de 18 M$, mais pour la location cette fois d'espaces à bureaux au 555, Chabanel, pour y aménager le mini- hôtel de ville de l'arrondissement Ahuntsic/Cartierville, pour une période de 15 ans. Ce registre d'opposition se poursuit jusqu'à jeudi.
  23. OUI ,moi aussi j ai trés hate de voir le resultat.
  24. le 20 juillet 2007 Il propose un fonds annuel de 100 M$ pour compléter la ligne orange jusqu’à Côte-Vertu S’il a attendu 30 ans pour voir rouler le métro de Montréal dans le sous-sol lavallois, il est hors de question pour le maire Vaillancourt d’attendre 30 autres années pour assister à son prolongement. «Cet automne, je déposerai à Québec une proposition à l’effet que le gouvernement crée un fonds de 100 M$ par année en vue de financer le prolongement du métro à Laval», a-t-il lancé lors d’une récente assemblée de consultation publique où l’on débattait du redéveloppement urbain des zones avoisinant les stations de métro Cartier et de la Concorde. Trois autres stations Croisé mardi dernier lors de l’inauguration des travaux d'aménagement d’un écran végétal en bordure de l’autoroute 25, Gilles Vaillancourt a été invité à préciser sa pensée. «Ce n’est pas une somme énorme [100 M$] dans le budget du ministère des Transports. Ça permettrait de compléter le réseau morceau par morceau et de donner à la ligne orange sa pleine fonctionnalité.» Le tracé qu’il figure ferait une boucle vers le Carrefour Laval pour revenir ensuite vers le sud dans l’axe du boulevard Chomedey à la faveur d’une cinquième et d'une sixième stations sur le territoire lavallois jusqu’à la station Côte-Vertu, dans l’arrondissement de Saint-Laurent. «Du côté de Montréal, le prolongement favoriserait la jonction avec la station de train de banlieue Bois-Francs de la ligne Deux-Montagnes du côté de Montréal», enchaîne M. Vaillancourt, saluant au passage le succès de la station intermodale de la Concorde sur la ligne de train de banlieue (voir autre texte). Achalandage accru À ceux et celles qui prétendent que le gouvernement a dilapidé 850 M$ des deniers publics dans l’aventure du métro à Laval, le principal intéressé rappelle qu’on dénombre quotidiennement des milliers d’utilisateurs de plus que les estimations initiales. Une affirmation corroborée par Odile Tremblay, porte-parole de la Société de transport de Montréal qui gère tout le réseau souterrain. «Selon les observations faites par notre personnel, les projections de 3000 nouveaux clients ont doublé, sinon triplé depuis l’ouverture des trois nouvelles stations le 28 avril», signale-t-elle. Dans le contexte du réchauffement de la planète et de la conscience environnementale qui gagne de plus en plus d’adeptes, il ne fait aucun doute dans l’esprit du premier citoyen que le transport en commun est plus que jamais la voie de l’avenir et qu’il faille, en ce sens, boucler sans plus tarder la boucle de la ligne orange. Et la 440? Pour Gilles Vaillancourt, le fait d’investir dans le développement du transport en commun est tout à fait compatible avec la nécessité de compléter le réseau autoroutier du grand Montréal. Maintenant que le dernier tronçon de l’autoroute 25 n’est plus qu’une formalité, la nouvelle monture qu’il entend enfourcher comme cheval de bataille est le parachèvement de l’autoroute 440 jusqu’à la 40 à Kirkland dans l’ouest de l’île de Montréal. «Le prolongement de la 440 Ouest est aussi inévitable que l’était le pont dans l’est», soutient Gilles Vaillancourt, ajoutant que «beaucoup de maires pensent comme moi».Fichier: Gilles Vaillancourt
  25. La Presse Le dimanche 22 juillet 2007 Souhaitant à la fois bien connaître, protéger et mettre en valeur les sites archéologiques de l'Île de Montréal, la Ville vient de lancer un appel d'offres pour étudier le potentiel de son sous-sol à 16 endroits différents. L'appel d'offres émane du Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine. Il vise à trouver une firme spécialisée en archéologie qui réalisera, au coût de 200 000$, des études dans l'île, sauf dans l'arrondissement historique du Vieux-Montréal, déjà très étudié. Une équipe de recherche multidisciplinaire sera mise sur pied par la firme retenue afin de rassembler pour chaque site des données dans les spécialités suivantes: l'histoire, la géomorphologie, l'archéologie préhistorique et l'archéologie historique. Seize sites sont visés par ces recherches. Parmi eux, le fort DesRoches, construit près du ruisseau DesRoches, dans l'est de l'île. Il a été utilisé à la fin du XVIIe siècle comme avant-poste défensif de Ville-Marie. On sait que cette redoute a été érigée en 1691, qu'elle était construite en bois et que ses murs faisaient 17 pieds de haut. «On va dans un premier temps, à partir de documents et de cartes anciennes, documenter d'un point de vue historique la localisation du fort DesRoches et trouver des données qui peuvent le caractériser», explique François Bélanger, archéologue à la Ville de Montréal. Autres sites à étudier, le fort de la rivière des Prairies et l'ancien village de Rivière-des-Prairies, où les sulpiciens avaient entrepris la construction d'une église en 1687. La construction fut interrompue et reprise plus tard, plus à l'est, sur le site de l'église actuelle. Le village de Longue-Pointe fera aussi l'objet d'une cartographie historique. Ce village s'élevait jadis dans la partie la plus au sud du quartier Mercier-Est. Les autres sites qui seront étudiés sont le faubourg Sainte-Marie (dans Ville-Marie), le fort Lorette et le village de Sault-au-Récollet, les berges et les îles de Verdun, Dorval, Senneville et LaSalle, les forts Cuillerier (du marchand René Cuillerier), Rémy et Rolland, à Lachine, les villages de Pointe-Claire, de l'île Bizard, de Saint-Laurent et de Sainte-Geneviève, le fief Beaurepaire ainsi que la pointe à Quenet et la Mission de Saint-Louis-du-Haut-de-l'île, dans la région de Baie-d'Urfé. L'étude du potentiel archéologique de l'île vise à assurer que la Ville respecte bien ses obligations légales en ce qui a trait à la protection du patrimoine archéologique, notamment vis-à-vis de projets immobiliers privés ou publics qui pourraient nuire à ces sites. À long terme, certains sites pourraient être aménagés afin de faire connaître leur existence. Ces recherches seront menées dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal 2005-2008, signée par la Ville et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec.
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