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loulou123

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  1. le samedi 21 juillet 2007 Le Planétarium de Montréal devient vétuste et manque d'espace sur son site actuel du centre-ville. Le planétaire, par exemple, cet appareil qui sert à projeter les images est le même que dans les années 1960. Non seulement il ne se compare pas avec ce qui se fait aujourd'hui, mais il éprouve maintenant certains problèmes mécaniques. Ainsi, il y a quatre ans Ottawa, Québec et la Ville de Montréal se sont entendus pour investir chacun 9 millions de dollars. Depuis, rien n'a changé, car le projet ne remplissait pas les conditions des programmes d'infrastructures fédéraux. Toutefois, de nouveaux programmes ont été annoncés dans le budget fédéral de février 2007. Le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, explique qu'avant d'aller de l'avant il faudra d'abord s'assurer que les fonds peuvent être investis dans un planétarium et voir si Québec et Ottawa considèrent le planétarium comme une priorité. Il dit toutefois avoir « bon espoir qu'à l'automne, on aura de bonnes nouvelles ». La compagnie Alcan a aussi promis une aide de 4 millions de dollars en 2003, mais remettait déjà son engagement en question il y a déjà deux ans, car rien ne bougeait dans ce dossier. À la Ville de Montréal, on dit étudier le dossier et on a refusé de commenter publiquement. Si le projet va de l'avant le nouveau planétarium sera construit près du Biodôme, dans le Parc olympique. Chaque année, 125 000 personnes visitent le Planétarium. Les responsables estiment qu'un un nouvel édifice attirera deux fois plus de visiteurs.
  2. 20 juillet 2007 La Ville de Montréal exauce les commerçants du boulevard Saint-Laurent en accélérant le rythme des travaux de réfection amorcés il y a 9 mois. La Ville affecte deux nouvelles équipes au chantier de 32 millions de dollars qui accuse quelques semaines de retard. L'artère commerciale, classée patrimoine historique, bénéficie d'une cure de rajeunissement. Les égouts, la chaussée et le système électrique sont refaits. Des commerçants s'impatientent toutefois devant la longueur des travaux. Certains songent à intenter un recours collectif contre la Ville pour compenser les pertes encourues à cause des travaux.
  3. Presse Canadienne Le mardi 17 juillet 2007 Les nouvelles données du recensement indiquent que les personnes âgées représentent 13,6 pour cent de la population qui vit dans ou autour de Montréal — une plus grande proportion qu'il y a cinq ans et une tendance qui reflète le vieillissement continu au Canada.L'information obtenue du recensement de 2006 publiée mardi par Statistique Canada démontre que les personnes âgées — dont l'âge est de 65 ans et plus — représentent 13,6 pour cent de l'entière population de ce qui est connu comme la région métropolitaine de recensement de Montréal qui inclut la ville elle-même et la banlieue environnante. Il y a cinq ans, 12,9 pour cent étaient des personnes âgées. Le recensement indique aussi que les personnes de la génération des baby-boomers — un segment de la société qui approche du statut de personne âgée — comptent pour 30,1 pour cent de la population dans la région de Montréal. La répartition des autres groupes générationnels dans la région de recensement de Montréal se lit ainsi: les parents des baby-boomers représentent 9,9 pour cent; les personnes nées durant la Seconde Guerre mondiale, 6,6 pour cent; la soi-disant génération Nexus, celle née après la génération des baby-boomers, 12,8 pour cent, et les enfants des baby-boomers, 27,6 pour cent. Au niveau national, les personnes âgées représentent une plus grande proportion de la population canadienne — 13,7 pour cent de la population en 2006, en hausse par rapport à 13,0 pour cent de la population en 2001. Il y a 25 ans, la population du Canada comptait seulement 9,7 pour cent de personnes âgées et seulement 7,6 pour cent en 1961. La population du Canada dans son ensemble vieillit depuis plusieurs années quelle que soit la façon de calculer, par le nombre des personnes âgées ou par le calcul de l'âge médian. Les implications d'une population vieillissante soulèvent des défis sociaux complexes: pressions sur le système de soins de santé, préoccupations à propos des revenus adéquats de retraite des personnes âgées et problèmes de main d'oeuvre résultant d'un plus grand nombre de gens qui quittent le marché du travail que de gens qui y entrent. L'une des raisons pour laquelle la société canadienne vieillit est le taux de fertilité qui est relativement bas au pays. Les données du recensement publiées plus tôt cette année ont démontré que le taux national de fertilité — le nombre moyen d'enfants qu'une femme aura entre 15 et 49 ans — n'était que de 1,5, soit un taux très inférieur au taux de 2,1 par femme qui est nécessaire pour remplacer la population qui décède. Le nombre d'enfants dans la région de Montréal — dont l'âge est de 14 ans et moins — représente 17,1 pour cent de la population de la région. Au niveau national, les enfants représentent 17,7 pour cent de la société canadienne. Lorsque les données ont été recensées en mai 2006, l'âge médian des personnes vivant dans la région de Montréal était 39,3, comparativement à 37,9 en 2001. Statistique Canada définit l'âge médian comme étant le point où exactement la moitié de la population est plus âgée que l'âge médian et que l'autre moitié est plus jeune. L'âge médian pour le Québec en 2006 était 41,0. Il y a cinq ans, l'âge médian provincial était 38,8. Les nouvelles données du recensement démontrent aussi que l'âge médian du Canada était 39,5 en 2006, comparativement à 37,6 en 2001. Au niveau provincial, la population de personnes âgées a augmenté à 14,3 pour cent en 2006 en comparaison de 13,3 pour cent lors du recensement précédent. Les nouvelles données du recensement publiées mardi répartissent aussi la population par sexe. En 2006, la population de la région de Montréal était constituée de 1 872 310 femmes (un changement de +5,1 pour cent par rapport au recensement de 2001) et de 1 763 260 hommes (un changement de +5,6 pour cent). Le recensement est fait tous les cinq ans par Statistique Canada et est basé sur l'information donnée par les Canadiens le jour du recensement: le 16 mai 2006. Les données publiées mardi sur l'âge et le sexe suivent l'information sur la croissance de la population en général publiée en mars. L'information du recensement que doit publier Statistique Canada au cours des prochains mois donnera la répartition démographique selon divers sujets, dont le statut marital, la langue, l'immigration, les activités de la population active et l'éducation. Les régions métropolitaines de recensement ne sont pas conformes aux limites municipales établies. Statistique Canada détermine ses propres définitions géographiques des régions métropolitaines ayant une population d'au moins 100 000 âmes, mais cela inclut aussi les communautés urbaines et rurales avoisinantes sur la base d'une analyse des modèles de déplacement du lieu de résidence et d'autres facteurs. En observant ainsi les régions métropolitaines, on tient compte de l'impact croissant des régions de banlieue sur les grandes villes canadiennes. Des chiffres Voici une répartition locale de l'information sur l'âge et le sexe la région métropolitaine de recensement de Montréal et pour certaines communautés à l'intérieur et autour de la région : Groupes de génération Total/% Pop/Canada/Qué Parents des boomers (1922-38) 361 085/11,1/9,9/10,4 Bébés de la 2e guerre mondiale (1939-45) 241 690/6,3/6,6/7,3 Baby-boomers (1946-65) 1 093 510/28,1/30,5/31,4 Génération Nexus (1966-74) 465 915/13,6/12,2/11,6 Enfants des boomers (1975-95) 1 004 365/28,4/27,5/26,7 En 2006/% Pop/2001/Canada/Qué. Enfants (14 ans et moins) 621 690/17,1/18,1/17,7/16,6 Personnes âgées (65 ans et plus) 495 685/13,6/12,9/13,7/14,3 80 plus (80 ans et plus) 128 210/3,5/2,9/3,7/3,7 Femmes 1 872 310/51,5/51,6/51,0/51,1 Hommes 1 763 260/48,5/48,4/49,0/48,9 Âge médian 39,3/--/37,9/39,5/41,0 Montréal Groupes de génération Total/% Pop/Canada/Qué. Parents des boomers (1922-38) 180 080/11,1/9,9/10,4 Bébés de la 2e Guerre mondiale (1939-45) 102 435/6,3/6,6/7,3 Baby-boomers (1946-65) 454 725/28,1/30,5/31,4 Génération Nexus (1966-74) 221 010/13,6/12,2/11,6 Enfants des boomers (1975-95) 460 655/28,4/27,5/26,7 En 2006/% Pop/2001/Canada/Qué. Enfants (14 ans et moins) 244 455/15,1/15,6/17,7/16,6 Personnes âgées (65 ans et plus) 246 085/15,2/15,1/13,7/14,3 80 plus (80 ans et plus) 69 180/4,3/3,6/3,7/3,7 Femmes 840 055/51,8/52,1/51,0/51,1 Hommes 780 640/48,2/47,9/49,0/48,9 Âge médian 38,8/--/37,9/39,5/41,0
  4. 16 juillet 2007 La société suédoise Pandox a acheté, lundi, l'hôtel InterContinental du Vieux-Montréal pour la somme de 49 millions de dollars. L'hôtel montréalais, qui compte 26 étages et 357 chambres, était la propriété du groupe InterContinental Hotels et Cadim, une filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Spécialisée dans le milieu hôtelier, la firme Pandox possède 44 hôtels essentiellement situés en Europe (Suède, Danemark, Allemagne, Belgique, Suisse, Royaume-Uni, Bahamas et Canada). Le nouveau propriétaire va investir 11 millions de dollars pour remettre les chambres à neuf et rénover les aires de réunion et d'accueil.
  5. 16 juillet 2007 La fête du soccer s'est terminée à Montréal, dimanche, après le quart de finale du Mondial U-20 remporté par le Chili 4-0 sur le Nigeria. Le tournoi se poursuivra maintenant à Edmonton et à Toronto en vue des demi-finales et des finales, une décision difficile à avaler compte tenu du succès de l'événement dans la métropole québécoise. Grâce au travail de promotion effectué auprès des clubs de soccer de la province et des communautés culturelles, plus de 240 000 spectateurs ont passé les tourniquets du stade olympique. C'est une moyenne d'à peu près 40 000 spectateurs pour chacun des 6 jours de compétition. Francis Millien, président du comité organisateur de Montréal, était évidemment extatique. « Au départ, notre objectif était de remplir le stade lors de la première journée, puis d'avoir une moyenne de plus de 20 000 spectateurs par programme par la suite. On est donc bien au-delà de nos espérances. » Millien a tenu à remercier la ferveur des communautés culturelles pour le succès de l'événement. Il estime aussi que la popularité des matchs montréalais aura des retombées positives pour le soccer québécois, en plus d'attirer d'autres événements internationaux d'envergure dans la métropole. « On a fait la preuve que lorsqu'il y a un stade à remplir, on peut le faire, a affirmé Millien. C'est un stade qui mériterait beaucoup plus en terme de renommée. Nous avons des installations qui permettent de grandes choses. » Laissé pour compte? C'est à Montréal que le Mondial U-20 a connu son meilleur succès au chapitre des assistances. La ville du maire Tremblay a attiré plus de monde qu'Edmonton, qui a pourtant un aussi grand stade. Alors, pourquoi le tournoi refuse-t-il d'y tenir une demi-finale ou la finale? Millien refuse de jeter la pierre à l'Association canadienne de soccer. « Ce n'est pas une question qu'ils nous aiment ou pas, c'est juste qu'à l'époque, nous n'étions pas candidats. Sauf que ça prouve que la prochaine fois, nous devrons être considérés. » Millien faisait allusion à la décision de Joey Saputo, président de l'Impact, de bâtir le stade Saputo au Parc olympique plutôt qu'au Technoparc. Le comité organisateur montréalais s'était alors retrouvé dans l'incertitude en ce qui concerne l'endroit où seraient disputés les matchs. « De ce que j'ai vu jusqu'ici, on n'aurait eu aucune difficulté à tenir la finale à Montréal, a pourtant déclaré Mustapha Fahmy, chef de délégation de la FIFA. De tous les sites que j'ai visités au fil des années, Montréal a été l'un des endroits où l'organisation a été quasi parfaite. » Un honneur qui rejaillira sur toute la Ville, qui en avait pris un coup après le fiasco évité des mondiaux FINA, sauvés in extremis, et l'échec des Outgames.
  6. Lundi 16 Juillet 2007 Au début du printemps les autorités municipales, avec roulement de tambour, avaient annoncé que le 40e anniversaire de l'Expo 67 sera dignement célébré. Que les fêtes seraient hautes en couleur, voire même inoubliables. Certes, les festivités vont bon train...mais les rares vestiges qui restent de l'exposition universelle de 1967 sont laissés dans un état lamentable. La Place des Nations représente un danger pour ceux qui osent s'y aventurer. Aux dires de plusieurs personnes qui se sont rendues sur l'île Ste-Hélène au cours des derniers jours, la passerelle menace même de s'écrouler. À l'été 67, cette place était le théâtre de manifestations populaires et culturelles lors des Journées nationales des pays participants. Liée par un réseau de passerelles, la Place des Nations pouvait accueillir plus de 7000 personnes. Ceux qui se rendent sur l'île pour se remémorer des souvenirs de l'Expo 67 vont avoir un pincement au cœur en marchant jusqu'à la Place des Nations. L'endroit est laissé à l'abandon." La végétation a même envahi le pourtour à un point qu'à plusieurs endroits, il est impossible de distinguer les structures de béton à leur base. De plus, la plaque commémorative de cuivre n'a jamais été remplacée depuis son vol" a constaté Robert Tremblay. Aux dires de M.Tremblay, les structures de bois sont pourries et les traverses métalliques qui supportent les escaliers de bois et les passerelles sont aussi rongées par la rouille. " J'ai avisé la Ville lundi dernier du danger que représentait une passerelle. Un responsable aux urgences m'a répondu qu'une équipe serait envoyée pour rendre les lieux sécuritaires et bloquer l'accès. Pourtant, j'y suis retourné jeudi et rien n'a été fait," déplore M.Tremblay qui a pris plusieurs photos de ces scènes de désolation. "Bruxelles, qui a accueilli l'exposition universelle de 1958, a injecté 25 millions d'euros pour rafraîchir les installations en vue des célébrations du 50e anniversaire. L'Atomium a été restauré au complet. Les travaux ont presque duré deux ans afin que tout soit prêt pour 2008 et le tout a été livré deux ans plus tôt," conclut M.Tremblay. La passerelle de la Place des Nations à l’île Ste-Hélène constitue un danger. (photo Collaboration spéciale, Robert Tremblay)
  7. Presse Canadienne (PC) 13/07/2007 Une autre étape dans le processus menant à la sélection, par le Québec, d'un partenaire privé pour la réalisation du parachèvement de l'autoroute 30 est franchie. Les conventions de soumission des trois candidats invités à participer à l'appel de propositions ont été reçues hier par le gouvernement du Québec. La convention de soumission est un document contractuel négocié et signé entre le ministre des Transports et chacun des candidats. Il s'agit de l'ensemble des conditions applicables au processus d'élaboration et de soumission des propositions, incluant des dépôts de garantie. Les trois candidats invités à poursuivre le processus sont «Infras-Québec A-30», «Nouvelle Autoroute 30» et «SNC-Lavalin». Ils devront maintenant soumettre une proposition en bonne et due forme. Ils ont jusqu'au 26 mars 2008 pour soumettre leur proposition technique et jusqu'au 7 mai 2008 pour leur proposition financière. L'annonce du candidat sélectionné est prévue pour le 18 juin 2008. Le projet d'entente sera de 35 ans. Il comprendra la conception, la construction, le financement, l'exploitation, l'entretien et la réhabilitation de l'infrastructure à péage.
  8. Oui moi aussi j ai été étonner quand j ai vu les photos ,j ai pas cru que les traveau ont avancer de cette facon.
  9. Le Journal de Montréal 10/07/2007 Montréal n'aurait pas sa place dans le calendrier des courses de NASCAR. C'est du moins ce qu'il faut croire si l'on se fie aux commentaires de Jerry Long, un ancien dirigeant chez J.R. Reynolds, la compagnie propriétaire de Winston, qui a longtemps commandité la principale série de NASCAR avant qu'elle ne soit remplacée par Nextel. En entrevue au Winston-Salem Journal où il est question des décisions de marketing prises par NASCAR, Long écorche Montréal, qui doit accueillir une course de la série Busch, au circuit Gilles- Villeneuve, le 4 août. Le principal intéressé est d'accord que la série prenne de l'expansion au-delà des frontières américaines, mais il croit que ses dirigeants font erreur en venant à Montréal. «Je ne vois pas du tout Montréal comme une ville de NASCAR», a-t-il affirmé au quotidien de la Caroline du Nord. «Reynolds était la compagnie de tabac numéro un là-bas et nous avions un bureau à Montréal, a-t-il poursuivi. J'étais au Québec il y a quelques semaines et j'ai constaté que les gens làbas pensent encore différemment. «En 1983 ou en 1985, nous avions tout fermé là-bas; nous ne pouvions vivre avec ces gens», a ajouté celui qui a joué un gros rôle dans l'expansion phénoménale de la série. Les New-Yorkais ne viendront pas Selon lui, la série aurait mieux fait de tenter sa chance à Toronto. «Nous avions tout déménagé à Toronto à l'époque et c'est l'endroit où aller; il y a tout là-bas», a dit celui qui ne comprend pas pourquoi la série s'acharne à diffuser ses courses sur plusieurs réseaux de télévision. «Personne ne veut aller à Montréal, a-t-il ajouté. Si les dirigeants de NASCAR pensent que les gens vont conduire à partir de New York pour aller à Montréal, c'est ridicule. Mais si la course a lieu à Toronto, tu peux faire la route de Chicago ou de Detroit. «Ils devraient oublier Montréal», a conclu celui qui ne porte vraisemblablement pas la métropole dans son coeur.
  10. 09/07/2007 Des proches du Parti conservateur souhaitent la construction d'un parc thématique près de l'échangeur Turcot, à Montréal, où se marieraient les activités récréotouristiques et sportives, l'environnement et la biotechnologie. Cet ambitieux projet, dont l'un des penseurs est l'ancien président du comité exécutif de Montréal sous Pierre Bourque, Jean Fortier, se chiffre à plusieurs milliards de dollars. M. Fortier voit dans ce rêve l'occasion de faire un véritable «Central Park» montréalais. Baptisé «Lac à la Loutre», le projet envisage de creuser un véritable lac sur les terrains de l'ancienne cour de triage Turcot, à l'endroit où se trouvait jadis le lac à la Loutre, avant son remblaiement, au XIXe siècle. Un vaste parc boisé serait aménagé avec terrasses et restaurants autour du nouveau plan d'eau, qui permettrait la navigation de plaisance à partir du canal de Lachine. Des résidences luxueuses pourraient également être bâties dans le secteur ouest du parc, selon le document de présentation du projet consulté par Le Devoir. Le boisé de la falaise Saint-Pierre y serait intégré. Le long de la rue Notre-Dame Ouest, une ligne de tramway traverserait le parc d'ouest en est et permettrait de relier Dorval au Vieux-Montréal. L'espace ne manque pas, puisque la cour de triage fait près de 100 hectares. En comparaison, le parc Lafontaine a une superficie de 36 hectares. D'ailleurs, les instigateurs du projet Lac à la Loutre voient grand. Jusqu'à présent, parmi les idées mentionnées pour l'utilisation de ce site après 2015, on songe surtout à implanter des projets industriels et commerciaux sur le site de l'ancienne cour de triage. Rappelons que Transports Québec a racheté celle-ci en 2003. «Ce n'est pas une proposition précise, c'est une illustration de ce qu'on pourrait faire», précise Jean Fortier, en entrevue au quotidien montréalais. «Mais s'il y a une réfection de l'autoroute, pourquoi ne pas intégrer cette autoroute dans un parc? Pourquoi ne pas faire quelque chose d'intéressant d'un point de vue urbanistique et environnemental?», demande-t-il. Plus à l'est, au sud de l'échangeur Turcot, un stade de 15 000 à 25 000 places pourrait voir le jour. L'endroit est idéal, selon M. Fortier, puisqu'il se situe au carrefour des autoroutes, qu'il est facile d'accès et qu'il offre des possibilités de stationnement. Le secteur immédiat du nouvel échangeur pourrait aussi accueillir un «aménagement urbain» comprenant restaurants et commerces. Le tout se marierait au pôle biotechnologique qu'on souhaite voir s'établir à l'est de l'échangeur Turcot et au sud de la rue Saint-Jacques, afin d'y attirer des entreprises du secteur.
  11. Le Journal de Montréal 07/07/2007 Joey Saputo deviendra papa d'un quatrième garçon dans les prochaines heures (si ce n'est déjà fait...),mais le président de l'Impact devra attendre encore quelques mois avant de savourer la naissance suivante, celle du stade portant le nom de sa famille. Qu'il évoque l'arrivée d'un petit frère pour ses fils Luca, Simone et Joey junior ou son premier grand chantier, on sent beaucoup de joie dans sa voix, et il sourit spontanément quand on fait le parallèle entre les deux «projets». «J'ai évidemment vu et vécu de bien plus près la transformation de ma femme Carmie parce que j'ai été à la maison tous les jours ou presque pendant sa grossesse, fait-il remarquer. Quant au chantier du stade, il se passe parfois une semaine entre mes visites.» N'empêche que la fierté est évidente. On le constate dans les descriptions d'éléments qui défilent les unes à la suite des autres. «Du côté des gradins principaux et des bancs des équipes, les premiers sièges seront à sept mètres de la ligne de touche, souligne Saputo. Du côté sud, ce sera à peine quatre mètres et, du côté est derrière le filet, tout juste cinq mètres. Les spectateurs vont être collés sur l'action. Ça va être une toute nouvelle expérience d'assister à un match de l'Impact!» Nouvelle expérience également grâce à la configuration des lieux. Les gradins formeront un «U» dont l'extrémité ouverte sera réservée à une plaza où les gens pourront déambuler et faire des achats aux diverses concessions. «On veut que ça reflète la réputation de ville de festivals de Montréal, explique Saputo. Les gens vont avoir envie d'arriver plus tôt pour faire la fête au stade.» Édifice prêt avant la fin de l'année Dans tout projet de construction ou de rénovation, «on ne sait jamais si on va tomber sur un tuyau ou sur un trésor», disait un entrepreneur avisé. Dans le cas du chantier du stade Saputo, «tout va très bien, on n'a pas encore rencontré de problèmes, les coûts sont bien contrôlés et le budget sera respecté», indique Joey Saputo. «Le surintendant nous a promis qu'on pourrait emménager dans nos bureaux avant la fin de l'année», ajoutet- il. L e chantier a pu démarrer sur les chapeaux de roue car de nombreuses commandes avaient pu être passées en attendant la conclusion de l'entente entre la Régie des installations olympiques et les responsables de l'organisme à but non lucratif qui gérera le complexe de soccer, dont le coût de 15M$ est financé à moitié par un don de la fondation de la famille Saputo et qui n'implique aucune subvention gouvernementale. Dans le cas des commandes passées depuis un certain temps déjà, la plus évidente est celle des poutrelles d'acier fabriquées par une firme américaine spécialisée, Dant Clayton, de Louisville, au Kentucky. Les premières infrastructures de gradins ont été installées des côtés est et sud. Du côté nord, les anciens gradins de béton ont été conservés. Quatorze loges corporatives seront construites derrière ces gradins. Dix autres seront aménagées dans des tentes permanentes installées sur une plateforme surélevée de trois mètres de hauteur derrière le filet du côté ouest. Environnement de toute beauté Les arbres matures qui bordent le Parc olympique le long de la rue Sherbrooke jusqu'à la rue Viau cachent actuellement le chantier et feront de même avec presque toute la structure de l'édifice principal qui abritera les bureaux de l'Impact et les vestiaires. Seule la partie supérieure sera visible de la rue. Installé dans une dépression du terrain, le stade sera adossé à une lisière d'arbres vers le nord et offrira une vue splendide qui portera jusqu'au mont Saint-Hilaire, vers le sud-est, et sera dominée par la tour et le Stade olympique, vers l'ouest. La beauté naturelle des lieux ressortira encore davantage grâce au choix des couleurs des sièges (bleu foncé, bleu pâle, gris) et à leur positionnement qui formera des vagues de couleur. Le logo de l'Impact sera incorporé dans les gradins du côté sud. «C'est vraiment un projet très excitant, reconnaît Joey Saputo. Autant pour l'Impact que pour le soccer québécois. La Coupe du monde des moins de 20 ans nous montre le potentiel de popularité du soccer à Montréal et au Québec. Ce nouveau stade va nous permettre de faire de grandes et belles choses.»
  12. La Presse Le jeudi 05 juillet 2007 Canadian Tire entend construire un des plus gros entrepôts en Amérique du Nord à l'ouest de l'île de Montréal. Le hic: il faudra d'abord faire disparaître des terres agricoles d'une superficie comparable à celle du parc du Mont-Royal. La MRC de Vaudreuil-Soulanges appuie avec grand enthousiasme le projet. Elle a déposé une demande de changement de zonage en ce sens devant la Commission de protection du territoire agricole. D'une rare envergure, l'entrepôt en question serait construit sur des terres agricoles de 181 hectares situées à Coteau-du-Lac (le parc du Mont-Royal, à titre comparatif, couvre 214 hectares). Il s'agit de terrains appartenant depuis peu au parc industriel Alta. Le projet, révélé hier par l'hebdomadaire Hudson Gazette, surprend par son ampleur. Il s'agirait en effet de la phase 2 du Centre de distribution que construit actuellement Canadian Tire, lequel doublerait carrément de superficie. Or, à lui seul, le bâtiment de la phase 1 deviendra à terme, avec ses 1,6 million de pieds carrés, «le plus gros bâtiment industriel au Canada», selon la firme chargée de la construction, Broccolini. Avec ses convoyeurs longs de 20 kilomètres, l'édifice principal constituera ainsi le coeur de la phase 1, aménagée sur un gigantesque terrain de 7,3 millions de pieds carrés. S'y ajouteront deux plus petits bâtiments, un centre d'entretien de l'équipement ainsi que de vastes espaces pouvant accueillir 1700 remorques, 800 voitures et 2000 conteneurs. «Il va sans dire que le bâtiment et les travaux sont d'une proportion inimaginable», précise Broccolini sur son site Internet. Or la seconde phase, prévue en terres agricoles, s'annonce tout aussi imposante que la première. «Canadian Tire souhaite ajouter 1,5 million de pieds carrés supplémentaires, ce qui donnerait un bâtiment de plus de 3 millions de pieds carrés, a précisé en entrevue le maire de Coteau-du-Lac, Robert Sauvé. Ce serait possiblement le plus gros bâtiment industriel en Amérique du Nord.» Et qu'en est-il de la perte des terres agricoles dans cette région réputée pour la richesse de ses sols? «Les terres sont effectivement riches dans la région, mais ce n'est pas le cas de celles qu'on demande, a précisé le maire. Il s'agirait de terres ayant une faible valeur.» Du côté de Canadian Tire, la porte-parole, Caroline Casselman, a refusé de commenter, se contentant de confirmer l'existence d'une «éventuelle phase 2». «Nous avons bien une option sur ce terrain, mais rien n'est officiel, a-t-elle dit. Il est donc prématuré d'en parler.» La circonspection du géant de la vente au détail n'est cependant pas partagée par la MRC, laquelle entend se battre pour que le projet voie le jour. Échaudées par les annonces de fermeture de Goodyear et de Gildan à Salaberry-de-Valleyfield, non loin, les 23 municipalités de la MRC ont toutes adopté une résolution d'appui au projet de Canadian Tire. «C'est sûr qu'il ne faut pas faire disparaître toutes les terres agricoles, reconnaît le préfet de la MRC de Vaudreuil-Soulanges, Normand Ménard. Ce n'est pas ça le but. Seulement, c'est un projet de grande envergure. Il ne faut pas le voir partir.» La crainte des maires est que des emplois partent vers Cornwall s'ils refusent le projet. Selon le Hudson Gazette, le préfet a soutenu à plusieurs reprises devant ses collègues, ces derniers mois, qu'une telle conclusion serait inévitable si Canadian Tire se voyait refuser son projet d'agrandissement. La résolution adoptée par chacune des municipalités précise ainsi que la Commission de protection du territoire agricole doit prendre «en considération la situation économique difficile de la région». En outre, on vante le «potentiel de développement» du parc industriel Alta, dont le président du Groupe Canam, Marcel Dutil, est actionnaire. Les audiences publiques ont déjà été remises à plusieurs reprises ces derniers jours. D'abord prévues pour l'été, elles ont été reportées, aux dernières nouvelles, au 19 septembre. Ni l'Union des producteurs agricoles ni le cabinet du ministre de l'Agriculture, Laurent Lessard, n'ont rappelé La Presse.
  13. loulou123

    Échangeur Parc-Pins

    le mercredi 4 juillet 2007 La dernière phase du réaménagement de l'échangeur du Parc-des Pins est commencée après la démolition de la structure qui a dégagé de grands espaces qu'on veut maintenant réaménager. Une portion des plans est réalisée, mais pour le reste la ville veut aménager un espace de prestige et lance une consultation publique pour en déterminer la forme. Les travaux ont duré deux ans et coûté 23 millions... mais le résultat est concluant. La disparition de la structure de béton a dégagé de l'espace et la nature gagne du terrain sur le ciment. Des sentiers pédestres seront aménagés aux pieds du Mont-Royal où le terrain sera reboisé. L'îlot à l'est de l'échangeur démoli sera reverdi. Des trottoirs et un tronçon de piste cyclable seront aménagés. La future vocation des trois terrains situés au sud de l'avenue des Pins demeure en suspend. La Ville veut y créer un lieu de prestige et elle espère dégager un consensus auprès des Montréalais. « Il y aura une consultation publique, un événement public pour arriver à ce consensus, de comment on voit ces terrains, comment on va faire l'interface avec la montagne », a indiqué la mairesse de l'arrondissement Plateau-Mont-Royal, Helen Fotopoulos. La Ville rêve d'un lieu qui deviendrait une porte d'entrée digne d'un site comme le Mont-Royal : « Peut-être un monument. Quelque chose qui accueille les gens d'une façon un peu plus formelle que juste de la verdure. Mais pas des édifices commerciaux, pas des édifices en hauteur », poursuit Mme Fotopoulos. La consultation aurait lieu l'automne prochain, mais la Ville rejette d'ores et déjà l'idée de remettre du béton à cet endroit. La Ville souhaite que les travaux soient terminés d'ici 2009.
  14. voila le site web ou il ya les nouveau cinq interventions urbaines http://www.paysagesephemeres.com/home.php voila les chaises géante dont je parlais
  15. loulou123

    Montréal vs. Toronto

    Le Journal de Montréal 03-07-2007 Quand vient le temps d'attirer les tournages américains et leurs millions de dollars, la concurrence est forte. Montréal connaît présentement sa meilleure saison depuis des années avec la venue de films avec Brad Pitt et Brendan Fraser, mais la lune de miel avec Hollywood pourrait bientôt être troublée par Toronto. La Ville reine est en train de construire «le plus grand complexe cinématographique en dehors de Los Angeles». Un nouveau concurrent pour Montréal, puisque c'est la métropole québécoise qui compte présentement sur «le plus beau parc de studios au Canada», selon le commissaire national au Bureau du cinéma et de télévision du Québec (BCTQ), Hans Fraikin. Ce parc de studio, qui fait la renommée du Québec à Hollywood, c'est la Cité du cinéma Mel's, située dans le Technoparc de Montréal et offrant des installations de dernier cri. «Notre attraction, c'est surtout notre plus grand studio, celui de 36 500 pieds carrés (3346 m2)», affirme le président des Studios Mel's, Michel Trudel. Conçu pour les films à grand déploiement, ce studio a été construit expressément pour accueillir le film Pluto Nash, avec Eddy Murphy. Depuis, les films Sum of All Fears, The Day After Tomorrow et The Aviator, entre autres, y ont été tournés. L'établissement accueille présentement la production The Mummy 3, munie d'un budget de quelque 110 M$. «Les films sont de plus en plus gros, et ils prennent souvent notre studio de 36 500 pieds carrés», indique Michel Trudel. Toronto investit 50 M$ Toronto a bien compris que le monde du cinéma a changé. Ses installations vétustes ne correspondaient plus aux nouvelles normes hollywoodiennes. «Nous étions derrière Montréal et Vancouver au niveau des infrastructures pour accueillir de gros films. Ces deux villes ont construit des studios de meilleure qualité et elles en ont récolté les bénéfices, en particulier lorsqu'on parle des grosses productions», souligne le promoteur du FilmPort à Toronto, Ken Ferguson. Le deuxième centre cinématographique du pays (Vancouver est premier, Montréal troisième) perdait donc du terrain et a décidé de réagir en lançant la première phase du FilmPort, un investissement privé de 50 M$. Ouvert en mars Présentement en construction, la première phase comportera sept nouveaux studios à la fine pointe de la technologie, dont un méga-studio de 45 500 pieds carrés, le plus gros en Amérique du Nord. L'ouverture est prévue pour mars 2008. Malgré quelques problèmes, notamment une grève des employés de la construction, Ken Ferguson compte bien rencontrer son échéancier. «On prend les bouchées doubles. C'est important pour nous d'être ouvert à cette date parce que la grosse saison des tournages, c'est l'été», dit-il. À terme, le projet FilmPort occupera 20 hectares (49 acres) et aura nécessité des investissements de 275 M$. «Hollywood a un grand intérêt envers notre projet», assure Ken Ferguson. Voilà un sérieux concurrent pour Montréal.
  16. 30 juin 2007 Après des années de procédures judiciaires, la Régie des installations olympiques (RIO) de Montréal a conclu une entente à l'amiable avec le concepteur du toit du stade et une firme d'ingénieurs. Il y a huit ans, le toit du stade s'était déchiré sous le poids de la neige. La RIO réclamait 63 millions de dollars contre Birdair, le concepteur américain, et la firme d'ingénieurs Rousseau, Sauvé et Warren. Elle recevra une compensation financière dont le montant n'a pas été dévoilé. Le Stade olympique doit maintenant être doté d'un nouveau toit fixe. Les plans, qui seront exécutés par la firme SNC-Lavallin, seront présentés à la RIO d'ici quelques mois
  17. 29 juin 2007 Enfin du positif pour le projet d'agrandissement du stade Percival-Molson où les Alouettes de Montréal, de la Ligue canadienne de football (LCF), disputent leurs matchs locaux. « Les Alouettes peuvent dire de façon très claire qu'ils ont l'appui de la Ville de Montréal, affirme le maire Gérald Tremblay. Partant de là, je fais confiance aux Alouettes pour finaliser les discussions avec les gouvernements provinciaux et fédéraux. » L'appui de la Ville de Montréal, les Alouettes craignaient ne pas l'obtenir depuis quelques semaines. Mais, une rencontre vendredi matin à l'hôtel de ville entre le maire Tremblay et le président des Alouettes Larry Smith a fait changer le vent de bord. « On a identifié des pistes de solutions et je pense que d'ici quelques semaines on essaiera de donner une réponse positive aux Alouettes », affirme Tremblay. Afin d'assurer la rentabilité de l'équipe, les Alouettes rêvent depuis plusieurs années à l'ajout de 5000 sièges au vieux stade du campus McGill. Les gouvernements fédéral et provincial ont déjà donné leur accord pour investir 10 millions de dollars chacun dans le projet. La Ville de Montréal doit fournir 4,4 millions. Les Alouettes jouent à guichets fermés depuis 1997 et l'avenir de l'équipe dans la métropole passe par l'agrandissement du stade.
  18. je veut pas étre chiant mais franchement j ai toujours aimer cet échangeur, j était fier de cette merveille d'ingéniérie, ca fesait la grande ville un échangeur de cette grandeur mais malheureusement il n est plus sécuritaire et on doit le démolir et refaire un autre sur terre ,a dieu échangeur Turcot (ne pleurer pas les gas ca peut aller:D )
  19. Voici le lien qui montre la représentation du projet http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/Librairie/Images/Fr/regions/montreal/turcot/Complexe%20Turcot%20juin%202007-1.pdf
  20. La Presse Le jeudi 28 juin 2007 La Grande Bibliothèque n'aura pas à payer un seul sou pour les clôtures qui l'encerclent. Par bon voisinage, l'arrondissement de Ville-Marie fait une croix sur la somme d'un million et demi de dollars que lui doit l'institution du boulevard De Maisonneuve. Les fameuses clôtures, qui monopolisent le trottoir depuis un an et demi, servent à éviter qu'une lame de verre de la bibliothèque n'assomme un passant. En janvier dernier, la Grande Bibliothèque (GBQ), avait proposé d'installer des marquises et des bacs à fleurs pour régler le problème. Un projet de 500 000$. Mais l'arrondissement, qui avait demandé une expertise externe, avait jugé l'idée non sécuritaire, et refusé de délivrer un permis. Une décision qui a mis le feu aux poudres. La direction de la GBQ, qui a douté de la bonne foi de Ville-Marie, a demandé un avis à la Régie du bâtiment. Un avis qui se fait toujours attendre. Le chargé de communication de Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée, a expliqué, hier, que les élus ont jugé qu'il valait mieux ne pas facturer la Bibliothèque en attendant l'avis. Mais il n'a pas manqué de rappeler que le service d'incendie de Montréal avait appuyé Ville-Marie dans sa décision. «Nous agissons pour la sécurité du public, a dit M. Lavallée. Et il faut se souvenir que nous étions d'accord avec l'installation de filets de protection pour remplacer les clôtures de sécurité.» Au mois de mai dernier, la directrice de la Grande Bibliothèque, Lise Bissonnette, s'était indignée publiquement contre la facture de 38 000$ par mois imposée pour les clôtures. Une somme qui menaçait d'amputer son budget de fonctionnement et de programmation, disait-elle. Jointe hier, la directrice des communications de la GBQ, Hélène Panaïoti, a indiqué que l'institution avait un permis d'occupation du domaine public jusqu'au 31 juillet. Elle n'était pas au courant de la décision de l'arrondissement. «Vous comprendrez que je ne peux pas commenter une décision dont nous n'avons pas été informés. Mais il est exact de dire que nous n'avons pas reçu de facture pour les clôtures», a-t-elle dit. Essais techniques De son côté, la Régie du bâtiment affirme que des essais techniques ont été menés, il y a un mois, pour évaluer le projet de marquises et de bacs à fleurs. «Nous posons plusieurs questions aux experts de la Bibliothèque, notamment sur les matériaux utilisés, explique Christine Grant, porte-parole de la Régie. Il y a une bonne collaboration. Mais il m'est impossible, à ce moment-ci, de dire quand l'avis sera déposé.» La décision de Ville-Marie de ne pas facturer la GBQ pour les clôtures va réjouir les commerçants du centre-ville, croit pour sa part André Poulin, directeur de Destination Centre-Ville, qui représente 8000 entreprises. «Il est normal de sévir contre les mauvais clients corporatifs, explique-t-il. Mais pas contre les propriétaires qui font preuve de bonne volonté. Je pense que les frais sont de toute façon exagérés pour une institution gouvernementale. Et que d'une façon ou d'une autre, ils sortent des poches des contribuables.» Moins de risquesDix lamelles de verre de la Grande Bibliothèque se sont détachées depuis son ouverture, en avril 2005. Une expertise a démontré que plus le temps avance et plus les risques de chute diminuent. «Mais avant de clamer la fin du phénomène, il ne serait pas surprenant de voir, durant les prochaines années, quatre ou six lamelles additionnelles se briser», indique par ailleurs une expertise de CPA verre structurel, commandée par l'arrondissement de Ville-Marie. Les clôtures qui entourent la Grande Bibliothèque servent à éviter qu'une lame de vere qui se détache ne blesse en passant.
  21. 27 juin 2007 La Société de Transport de Montréal (STM) estime que l'ouverture des trois stations du métro de Laval est un franc succès deux mois après l'inauguration. L'achalandage est supérieur aux prévisions avec les inconvénients liés au succès : des wagons de la ligne orange sont encombrés aux heures de pointe. Des citoyens de Laval et même certains des Basses-Laurentides semblent avoir adopté le métro. Nous nous attendions à 34 000 déplacements par jour, mais depuis l'ouverture le 30 avril dernier nous enregistrons plus de 40 000 déplacements par jour. — La porte-parole de la STM, Marie-Anne Rouette Cet achalandage inespéré entraîne plusieurs milliers de voyageurs sur l'une des lignes les plus achalandées - la ligne orange relie les stations Henri-Bourassa et Côte-Vertu - du métro de Montréal. Plusieurs usagers ont du mal à trouver une place dans les wagons à l'heure de pointe, mais ils sont généralement satisfaits du service. La STM estime que la situation est due à l'entrée en vigueur des horaires d'été qui réduit le nombre de trains. La fin des classes devrait permettre à la situation de rentrer dans l'ordre, selon Mme Rouette. Les nouvelles stations devaient permettre de retirer 3000 voitures des routes de la région de Montréal, mais les stationnements incitatifs sont remplis. La STM croit pouvoir convaincre plus de gens de troquer la voiture pour le métro. « Ça nous laisse croire que nous dépassons déjà ces 3000 nouveaux clients par jour », selon Mme Rouette. Loin de s'asseoir sur ses lauriers, la STM espère doubler l'achalandage des trois stations de Laval d'ici 10 ans.
  22. Mardi 26 Juin 2007 La Communauté métropolitaine de Montréal est en quête d'une image de marque. " Cette volonté de doter le Grand Montréal de sa propre image de marque relève du besoin d'apporter davantage de cohérence au positionnement et aux efforts de promotion à l'international de la région ", de faire part Robert Charland, membre du comité exécutif de la Ville de Longueuil et président de la commission du développement économique, des équipements métropolitains et des finances de la CMM. L'image de marque qui sera retenue devra communiquer un message clair, homogène et distinctif pour tous les intervenants qui ont des activités à l'international. " Le positionnement et la promotion de la métropole montréalaise à l'étranger sont des enjeux qui touchent l'ensemble de la région métropolitaine ". d'ajouter Benoît Labonté, maire de l'arrondissement de Ville-Marie. Cette recherche d'une image distinctive durera un an. Durant cette période, la CMM recueillera les suggestions et les commentaires de la population, des élus municipaux et des intervenants socio-économiques et culturels de la région. Les citoyens peuvent faire parvenir leurs suggestions en visitant le site web : http://www.legrandmontrealfaitsamarque.com
  23. C est une trés belle nouvelle j éspére juste qu elle se réalise et j éspére qu on modifie cette loie qui interdit les panneaux publicitaire ,pour la sécuriter des automobilistes je ne suis pas daccord avec M. Poulin, et en plus de ca si on voulait vraiment leur sécuriter on aurait interdit les téléphones céllulaire dans les voitures moi je trouve ca plus dangereux et ca fait distraitre plus les panneaux publicitaire ,notre centre ville deviendra plus animé et ca apportra a la ville en méme temps pas mal d argent .
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