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loulou123

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  1. Le Journal de Montréal 16/05/2007 Plus d'arbres et la fin du développement immobilier. C'est ce que le plan de protection de la Ville de Montréal prévoit pour l'avenir du mont Royal. La Ville a ainsi décidé de mettre sous son aile pratiquement tous les espaces verts de l'arrondissement historique et naturel. On prévoit ajouter entre 50 et 60 hectares de forêts afin de connecter les boisés déjà existants comme le parc Summit. Ces nouvelles règles permettront, espère la Ville, de protéger les espèces végétales et animales présentes dans le parc, dont la cinquantaine d'oiseaux nicheurs et la demi-douzaine d'amphibiens et de reptiles. Les terrains jouxtant les maisons cossues situées aux abords du parc seront répertoriés en vue d'une protection réglementaire. De nouvelles normes obligeront également les autorités à ajouter une zone tampon de 30 mètres entre les boisés et la vie urbaine. Les vues aussi Même les vues du mont Royal et les points de vue depuis la montagne jouiront d'un bouclier. La Ville a identifié 85 vues et elle visera à empêcher que des constructions au centre-ville ne viennent les obstruer. Il y aura également un resserrement des règles pour les maisons et les bâtiments collés au mont Royal afin de préserver l'aspect patrimonial de ces propriétés et pour rendre pratiquement impossibles les constructions d'envergure. «Ce plan nous donne des outils qui innovent autant sur le plan scientifique que sur celui de la gestion urbaine et des espaces verts», a souligné la responsable de ce dossier au conseil exécutif de la Ville de Montréal, Helen Fotopulos. L'identité montréalaise Des fonctionnaires de la ville ont passé une bonne partie de la journée d'hier à présenter ce plan d'action aux membres de la Table de concertation du Mont-Royal. Formé en 2004, cet organisme avait pour mandat de conseiller la Ville dans la mise en valeur du site et ce plan d'action est l'aboutissement de leur réflexion. «Le mont Royal est un élément central de l'identité de Montréal et nous devons le protéger au nom des citoyens, des visiteurs et des générations futures», a indiqué le président de l'organisme, Claude Corbo. Le nouveau plan de la Ville donnera une protection à 423 hectares du mont Royal, soit 57 % de sa superficie. La ville soumettra son plan lors d'audiences publiques l'automne prochain.
  2. J éspére que ca sera un plan interéssant ,pour le tramway c est ca que j éspere le plus ,ca fait un grand moment qu ils parlent de ca sans qu auqu une chose ca se passe ,mais c est fort propable qu il vont annoncer le retour du péage a la ville pour utiliser cette argent dans le transport en commun.
  3. Oui en effet ,des que les arbes vont grandir ca va changer plus et ca va étre plus beau.
  4. Oui trés belle les photos ,on peut dire que Malek et l appareil photo font un beau ensemble ,Malek est un trés bon photographe et l appareil n est pas mal du tout , quand il fait beau Montréal change complétement d allure ,qu elle est belle notre ville .
  5. 14 mai 2007 Opération organisée par le bureau Design Montréal de la Ville ce samedi 5 mai, la première journée Portes Ouvertes Design Montréal conviait le public à visiter une quarantaine de lieux et de bureaux de design. 7000 personnes ont répondu à l'invitation. «L’objectif de cette journée visait à sensibiliser, informer et démystifier l’image que l’on se fait du design et de ceux qui l’exercent comme profession», a déclaré Benoit Labonté, responsable du Centre-ville et du Design au comité exécutif de Montréal «Après la désignation par l'UNESCO de Montréal comme Ville de design, la journée Portes Ouvertes Design Montréal a été une occasion exceptionnelle de découvrir leur talent et leur créativité pour améliorer la qualité de vie des Montréalais.» Grâce aux visites guidées et aux trois circuits d’autobus gratuits, les visiteurs ont pu rencontrer les professionnels du milieu et admirer une sélection de projets et de lieux remarquables. Créé en janvier 2006 par la Ville de Montréal, le bureau Design Montréal planifie les actions pour améliorer le design de la ville et confirmer Montréal comme ville de design. Le Square Dalhousie entre le viaduc Notre-Dame et le Vieux Port était au nombre des espaces revus et corrigés par les designers (Architecte paysagiste: Ville de Montréal, Direction SLPEV) (Photo: Robert Desjardins)
  6. La Presse Le lundi 14 mai 2007 Le décor date d'Expo 67. L'espèce de virevent est une oeuvre de Richard Turner, un artiste de Vancouver. Le concept a été baptisé Sky Watcher, ou Le lunatique, en version française. L'oeuvre est plantée dans un bassin sur le terrain des bureaux administratifs portuaires de Montréal, que l'on peut apercevoir à partir de la rue Pierre-Dupuy. À l'époque, la sculpture de métal était étincelante au milieu d'un bassin flambant neuf rempli d'eau fraîche. Un lecteur du Zélateur se demande pourquoi l'oeuvre est laissée à l'abandon. Le virevent est rongé par la rouille, le bassin est fissuré et il n'y a pas d'eau. «C'est désolant», dit-il. L'explication Le Zélateur a dû passer par l'arrondissement de Ville-Marie, puis par la Ville de Montréal, pour enfin parvenir à parler à France Poulin, responsable des communications du Port de Montréal. Elle explique que la compagnie Seagram avait fait don de l'oeuvre alors que les actuels bureaux du Port de Montréal abritaient le siège social de l'Expo 67. L'été dernier, le Port de Montréal a commencé à se pencher sur un projet de réaménagement de ses terrains. «Une étude a été réalisée pour restaurer la sculpture et le bassin, explique Mme Poulin. Les travaux devraient débuter cet automne. « Mme Poulin n'était pas en mesure de dire à combien sont estimés les coûts de la restauration.
  7. La Presse Le samedi 12 mai 2007 Bien que sa population grandisse, Montréal voit ses jeunes habitants quitter le territoire en masse pour s'installer en banlieue. En dévoilant, hier, le cadre de référence de sa future politique familiale, la Ville espère maintenant renverser cette tendance. Le cadre de référence est le document de travail à partir duquel sera mise sur pied la politique officielle. Plusieurs étapes suivront, dans les prochains mois, jusqu'à l'adoption de la politique officielle. Cela dit, la population de Montréal croît chaque année et cette situation devrait se poursuivre jusqu'en 2026. Au cours de cette période, elle devrait passer de 1,85 à 2,1 millions d'habitants, lit-on dans le document de travail. Mais quelques pages plus loin, on constate la saignée que Montréal enregistre chez les jeunes. En cinq ans, soit de 2001-2002 à 2005-2006, 52 000 personnes âgées de 25 à 39 ans et 32 000 enfants de 14 ans et moins ont quitté la ville. La majorité ont installé leurs pénates dans la couronne nord et sur la Rive-Sud. «Vous voyez, c'est un des éléments qui nous disent qu'il est plus que temps de mettre en place une politique familiale, lance Marie-Andrée Beaudoin, responsable du développement social et communautaire au comité exécutif de la Ville de Montréal. Parce que les jeunes, c'est notre avenir.» D'ailleurs, une partie de la future politique familiale vise directement les jeunes, dit Mme Beaudoin, mandatée pour faire la présentation du document. On y propose par exemple de revitaliser les parcs et d'accorder un soutien accru aux groupes communautaires qui interviennent auprès des jeunes. Au passage, Mme Beaudoin révèle aussi que la Ville discute avec les cinq commissions scolaires de l'île afin de rajeunir leurs équipements, qui ont bien besoin d'un coup de pinceau et de marteau. D'autres projets sur la planche à dessin s'adressent davantage aux familles et, surtout, aux parents que l'on veut convaincre de rester dans l'île. Quelques exemples avancés hier par Mme Beaudoin : interdire aux propriétaires la subdivision des logements de trois chambres et plus; verser un «crédit vert» aux propriétaires qui transforment leur entrée de voiture en parterre, resynchroniser les feux de circulation pour permettre aux familles de traverser aux intersections de façon plus sécuritaire; ajouter de l'éclairage dans les lieux publics. Dans son ensemble, la politique à venir tiendra beaucoup compte de trois préoccupations des citoyens en matière d'habitation, de sécurité (principalement liée à la circulation) et de transport. «Notre administration considère que les familles sont les premières bâtisseuses de Montréal», dit avec conviction Mme Beaudoin. L'opposition officielle au conseil municipal démontre moins d'ardeur. Aux yeux du chef de Vision Montréal, François Purcell, le document présenté hier n'est qu'un amalgame de voeux pieux et de phrases creuses. «Élaborer une politique familiale, c'est plus que de jeter dans le chaudron toutes les politiques et tous les programmes déjà en place, de brasser un peu et de resservir le tout avec un nouveau nom», écrit-il dans un communiqué. M. Purcell insiste aussi sur les chiffres du document qui illustrent la migration des familles vers les banlieues pour des raisons économiques et sécuritaires. Trois grandes étapes suivront, au cours des prochains mois, le dévoilement du cadre de référence. D'abord, d'ici à la fin de juin, une douzaine d'arrondissements déposeront leur propre plan d'action et feront des consultations. Au cours de l'été, la Ville de Montréal mènera ses propres séances de consultation publique. Enfin, à l'automne, la politique officielle sera adoptée. Elle devrait entrer en vigueur en 2008.
  8. 11 mai 2007 Le maire de l’arrondissement de Lachine et vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Claude Dauphin, souhaite ardemment obtenir un service de tramway qui reliera l’arrondissement au centre-ville de Montréal. Le maire Dauphin et ses collègues du conseil d’arrondissement sont déterminés à travailler de concert avec le responsable du transport pour la Ville de Montréal, André Lavallée, et à faire tout ce qui est en leur pouvoir afin que le prolongement du service de tramway vers Lachine se réalise dans les meilleurs délais. «Avec la réouverture du canal de Lachine à la navigation en 2002, la création d’un parc linéaire le long des rives du canal et la redynamisation des secteurs environnants, le tramway viendra ajouter un élément de taille au développement de ce secteur et contribuera à créer encore plus de vitalité sociale et économique dans l’arrondissement», estime le maire Dauphin qui croit beaucoup à la concrétisation de ce projet. Dès le départ, des principes de développement durable ont été appliqués à la restauration du vaste secteur urbain entourant le canal de Lachine. Le projet de tramway ne fait pas exception à cette tendance. Moyen moderne et rapide de se déplacer, le tramway fait partie, avec le métro et les autobus, d’une composante cohérente et écologique du plan de transport de la Ville de Montréal. Il s’agit également d’un excellent outil pour faire la promotion du transport en commun, alors que le tramway assurera une desserte rapide pour les résidents de Lachine vers le centre-ville de Montréal. «Actuellement à Lachine, nous sommes en train de développer certains nouveaux secteurs, dont celui de Lachine-est. Le projet d’implantation d’une ligne de tramway qui se rendra à Lachine est justement basé sur la desserte de ce secteur de notre territoire. Avec ce projet, nous continuons donc à travailler à l’atteinte de notre objectif qui est de faire de Lachine un endroit encore plus dynamique et où il fait bon vivre. Cette amélioration passe, entre autres, par la bonification de notre offre de service en transport en commun. C’est pourquoi l’ajout de ce service de tramway est si important pour nous», a souligné Me Dauphin.[ Avec la réouverture du canal de Lachine à la navigation en 2002, la création d’un parc linéaire et la redynamisation des secteurs environnants, le tramway (comme ce prototype ici) viendrait ajouter un élément de taille au développement et contribuer à créer encore plus de vitalité sociale et économique à Lachine.
  9. 11/05/2007 L'Université du Québec à Montréal (UQAM) tient à revoir les termes du contrat la liant à la firme Busac dans le projet immobilier de l'Îlot Voyageur. Pour ce faire, l'institution a mandaté, vendredi, Me Lucien Bouchard pour mener la négociation. Le projet de l'Îlot Voyageur avait été jugé rentable par le conseil d'administration de l'UQAM en mars 2005. Toutefois, à la suite d'une analyse menée par un cabinet comptable, en 2006, le projet était devenu déficitaire pour l'institution universitaire. On parle d'une impasse financière de 200 millions $. Interrogé à ce propos plus tôt cette semaine, la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget a indiqué que le contrat conclu avec Busac n'avait fait l'objet d'aucun appel d'offres public et que tous les risques financiers qu'il contenait étaient assumés par l'institution. La semaine dernière, la ministre de l'Éducation Michelle Courchesne a commandé une enquête sur cette affaire auprès du Vérificateur général du Québec. Elle a en outre demandé au réseau de l'Université du Québec un plan de redressement pour le 15 juin. A ce propos, Me Bouchard a été également chargé d'appuyer cette recherche de sortie de crise.
  10. wow ,trés belles tes photos de Barcelone ,J était surtout impressionné par la belle architecture européenne des photos numéro 8- 9 et par l originalité de l architecture des photos 10-11-12.
  11. 11 mai 2007 La Presse Les voitures du métro de Montréal ont enfin fait irruption au palais de justice jeudi. Alstom Canada s'est présentée en cour pour faire cesser les discussions entre la Société de transport de Montréal (STM) et Bombardier (BBD.B) au sujet du remplacement des voitures du métro. Un juge de la Cour supérieure du Québec se penchera sur le fond du conflit en septembre prochain, soit sur la pertinence de mettre en place un processus d'appel d'offres en bonne et due forme pour remplacer les 336 voitures MR-63 du métro de Montréal. Or, Alstom estime qu'elle ne peut pas attendre les bras croisés: la STM a déjà commencé à discuter des spécifications de ces nouvelles voitures avec Bombardier. Alstom a donc présenté jeudi au juge Pierre Jasmin, de la Cour supérieure du Québec, une requête pour obtenir une ordonnance de sauvegarde. «Même si nous avons gain de cause (sur le fond), notre client sera si désavantagé face à son concurrent qu'il s'agira d'un appel d'offres bidon, a soutenu l'avocat d'Alstom, Me Éric Mongeau, du cabinet Stikeman Elliott. Bombardier bénéficie de plusieurs mois de discussions et d'échange d'information. C'est une entorse fondamentale au principe d'égalité des soumissionnaires.» Il a notamment affirmé que Bombardier dispose probablement déjà de plusieurs informations sur les spécifications des nouvelles voitures, par exemple, si elles compteront trois ou quatre portes. «Bombardier peut déjà commencer à travailler sur son offre, alors que nous, nous n'aurons ça qu'à l'automne.» Il a ajouté que Bombardier avait probablement déjà une idée des coûts que la STM s'attendait à payer. «Quand on parle de longueur d'avance, c'en est toute une», a lancé l'avocat d'Alstom. Il y a un an, jour pour jour, le gouvernement du Québec a fait savoir que la STM entreprendrait des négociations de gré à gré avec Bombardier pour remplacer les voitures MR-63 du métro de Montréal. Le gouvernement a écarté l'idée d'un processus d'appel d'offres, expliquant qu'il n'existait qu'un seul constructeur de voitures de métro au Canada, soit Bombardier Transport. «Alstom est un fournisseur international, mais pas un fournisseur canadien», a soutenu hier l'avocat de la STM, Me Marc-André Fabien, du cabinet Fasken Martineau. Alstom est un grand constructeur de voitures de métro sur pneu, mais au Canada, elle se spécialise plutôt dans le domaine de l'énergie. Dans le domaine des transports, elle se concentre sur la fabrication de systèmes de communications et de sécurité et sur la réfection de matériel roulant. Même s'il faudra attendre septembre prochain pour voir les parties entrer dans le vif du débat, Me Mongeau a invoqué plusieurs arguments de fond. «Je dois vous convaincre que nous avons des chances de gagner au mérite», a-t-il déclaré au juge Jasmin. Il a notamment fait valoir que, depuis le début, la STM entendait procéder par appel d'offres pour remplacer les voitures du métro de Montréal. Elle a notamment communiqué à quelques reprises avec Alstom et Bombardier pour obtenir diverses informations. «Ça a été l'intention de la STM tout au long du dossier jusqu'à l'intervention du gouvernement, a soutenu Me Mongeau. Le gouvernement voulait favoriser Bombardier, la preuve est claire. La STM s'est agenouillée devant le gouvernement et a ainsi reçu son financement.» La Loi sur les sociétés de transport en commun exige un processus d'appel d'offres pour les marchés publics dépassant un certain seuil, sauf lorsqu'il n'y a qu'un seul fournisseur au Canada. Me Mongeau a soutenu qu'il fallait interpréter cette exception de façon restrictive, et qu'avec ses établissements au Canada, Alstom devait être considérée comme un fournisseur canadien. Le juge Jasmin a demandé à Me Mongeau de répliquer immédiatement à l'un de ces arguments, soit qu'un processus de gré à gré était préférable à un processus d'appels d'offres parce qu'il était urgent de remplacer des voitures de métro vieillissantes. Me Mongeau a soutenu que le gouvernement du Québec s'était traîné les pieds dans le dossier et que ce n'était pas à Alstom d'en subir les conséquences.
  12. Remplacement des voitures du métro Discussion sur le remplacement des voitures de métro.
  13. La Presse Le vendredi 11 mai 2007 L'arrondissement du Plateau-Mont-Royal persiste et signe avec son initiative de démocratie participative : pour l'an 2 de son Budget participatif, les citoyens décideront de l'affectation de 30 % des fonds du Programme triennal d'investissement (PTI), soit 1,5 million. Cette année, les choix se feront d'abord par district. Dans la semaine du 11 juin, les citoyens de chaque district de l'arrondissement identifieront les projets qu'ils souhaitent voir se concrétiser dans leur quartier. Ces projets devront respecter cinq critères : avoir un caractère spécifique et non général, être réalisés à un endroit déterminé, être concrets, avoir un caractère durable et être admissibles au PTI. Durant l'été, l'administration évaluera les coûts de ces projets. Début septembre, dans chacun des trois districts, les citoyens classeront les projets par priorité et éliront 12 délégués. Fin septembre, lors d'un sommet, les 36 délégués des districts, les sept élus de l'arrondissement et 12 personnes issues de la société civile se réuniront pour discuter puis voter sur les projets qui seront adoptés ensuite par l'arrondissement. «Cette procédure de vote a été retenue à la demande des citoyens, a dit hier Helen Fotopulos, la mairesse de l'arrondissement. Nous avons décidé de choisir la transparence et la prise en charge de certaines responsabilités de l'arrondissement par les citoyens.» En 2006, la première expérience de budget participatif a permis aux citoyens qui y ont participé (environ 500) de définir des priorités d'investissement pour 500 000 $ dans le verdissement (projet de ruelles vertes), dans l'apaisement de la circulation (initiatives à venir cet été), dans la réfection de rues et de trottoirs et dans la restauration de parcs. Mme Fotopulos a dit qu'après plus de 20 ans en politique municipale, elle était fière du succès de cette initiative de démocratie participative, «une première en Amérique du Nord», car il s'agit d'une de ses motivations à faire de la politique. Elle a voulu associer à ce succès la conseillère Josée Duplessis et des citoyens du Plateau qui ont déployé des efforts dans ce cadre, notamment Dimitri Roussopulos, Lorraine Decelles et Luc Rabouin.
  14. Le Journal de Montréal 11/05/2007 L'opposition officielle à l'hôtel de ville refuse de suivre la directive générale de l'administration Tremblay à propos des parcomètres. Les administrations de Vision Montréal dans les arrondissements du Sud-Ouest et de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve ont en effet dit non à la tarification du dimanche et des soirs de semaine. Selon Noushig Eloyan, chef de l'opposition, «c'est contradictoire de voir qu'on encourage des programmes pour soutenir l'économie locale et qu'en même temps, on augmente les tarifs et les heures d'opération des parcomètres sur les artères commerciales, ce qui réduit l'achalandage». Vision Montréal a donné son appui à la coalition Assez c'est assez, qui milite pour modifier le nouveau règlement sur les parcomètres.
  15. Le Journal de Montréal 11/05/2007 Une commerçante de la rue Fleury déverse des pièces de 25 cents dans des parcomètres pour éviter des contraventions à ses clients et à d'autres automobilistes. Giovanna Giancaspro, gérante du restaurant La Molisana, rue Fleury, surveille fréquemment le va-et-vient des préposés au stationnement, des «donneux» de contraventions, comme elle dit, pour le précéder et déposer de l'argent dans les parcomètres, au besoin. «J'ai demandé à mes employés de toujours avoir des 25 cents dans les poches pour intervenir s'ils voient le préposé dans les parages», dit-elle. Elle est «fière» de sa méthode peu ordinaire pour combattre la hausse des tarifs des parcomètres et elle souhaite que plusieurs marchands fassent de même dans toutes les rues commerciales. Elle joue évidemment avec les nerfs du préposé affecté à son secteur. «Il n'aime pas ça du tout et m'a même menacée de me le faire payer cher.» Mme Giancaspro mène une grande bataille contre la décision de l'administration Tremblay. Elle est la porte-parole de la coalition Assez c'est assez, qui réunit plusieurs marchands des rues commerciales contre la hausse des tarifs des parcomètres. Manif à l'hôtel de ville Cette coalition veut d'ailleurs regrouper des centaines de personnes pour aller manifester leur mécontentement à l'hôtel de ville, le 28 mai, lors de la prochaine assemblée du conseil. «La Ville fait un tort énorme aux petits commerçants, qui perdent de plus en plus de clients à cause des tarifs élevés des parcomètres. «Ils vont apprendre que la colère est aussi à la hausse et que nous ne lâcherons pas», lance-t-elle. Mme Giancaspro dénonce en outre le fait que, contrairement aux années passées, les parcomètres seront en usage «même le jour de la grande fête nationale du 24 juin alors que les gens se déplacent beaucoup et pensent davantage à fêter qu'à vérifier le temps qu'il reste au parcomètre». Elle espère que les Montréalais participeront «nombreux à cette lutte contre une nouvelle taxe qui va tuer des commerces». Une pétition portant 15 000 signatures a été déposée à l'hôtel de ville pour demander à l'administration de réduire les tarifs des parcomètres.
  16. La Presse Le vendredi 11 mai 2007 La vente du pavillon universitaire du Mont-Royal vient d'atteindre un point de non-retour. L'Université de Montréal (UdeM) a lancé un appel d'offres aux courtiers immobiliers dans le but de trouver un acheteur pour l'ancien couvent des Saints-Noms-de-Jésus-et-de-Marie. L'édifice de brique, situé sur le flanc nord de la montagne protégée, avait été acheté au coût de 15 millions, en 2003. L'UdeM a injecté 18 millions pour le restaurer avant de s'apercevoir que la facture finale pouvait grimper à 150 millions. Elle a donc décidé de bâtir sur du neuf plutôt que sur du vieux. «Le bras nous serait passé dans le tordeur si nous avions réalisé tous les travaux, explique Éric Filteau, vice-recteur adjoint à l'administration de l'UdeM. Et l'achat de la gare de triage d'Outremont, en 2006, a changé nos perspectives de développement.» L'Université ne veut pas dévoiler son prix de vente, mais elle entend rentrer dans son argent. Elle n'a par ailleurs pas l'intention d'imposer une vocation d'enseignement au futur acheteur. Cette décision signifie qu'un promoteur pourrait tout aussi bien proposer de transformer le couvent en projet commercial ou d'habitation. Des règles strictes Le couvent, qui n'est pas classé patrimonial, est néanmoins situé dans l'arrondissement historique et naturel du Mont-Royal, ce qui lui confère une certaine protection. L'acheteur éventuel devra se conformer aux règles d'urbanisme et obtenir l'autorisation du gouvernement avant de transformer l'allure extérieure du bâtiment. Le président du Syndicat général des professeurs de l'Université de Montréal, Louis Dumont, est déçu de la décision de la direction. Il aurait souhaité que des experts effectuent des études plus poussées sur les possibilités de densification du couvent. «Tout est flou, décidé dans le secret, déplore M. Dupont. Il aurait fallu examiner ce qu'on peut faire pour éviter que le couvent ne soit défiguré. Je trouve que l'Université, en tant qu'institution de la montagne, est en train de passer un drôle de message à la population.» L'arrondissement d'Outremont se dit de son côté préoccupé par la vente de l'ancienne maison mère des religieuses. Le porte-parole, Jean-Claude Patenaude, souligne qu'elle est située dans un des plus beaux endroits de la montagne. Une forêt mature borde l'endroit. Le couvent > Années de construction : 1924-1925 > Murs extérieurs : briques > Planchers : structure de béton armé, recouverte de lattes de chêne > Évaluation municipale : 24,5 millions > Zonage actuel : enseignement, santé, culte et religion > L'édifice de cinq à sept étages n'est pas classé patrimonial
  17. Le Journal de Montréal 11-05-2007 Les opérations de séduction effectuées par le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec à Los Angeles au cours des dernières semaines ont porté fruit: au moins cinq importantes productions américaines seront tournées à Montréal cet été. «Tout le monde a travaillé fort pour ramener les tournages et on a réussi à remettre Montréal sur la mappe. En termes de tournage de films américains, ce sera même probablement notre été le plus chargé depuis 2003», s'emballe le copropriétaire de Mel's Cité du cinéma, Michel Trudel. Le commissaire national du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec, Hans Fraikin, un des principaux instigateurs du rapatriement de plusieurs productions américaines à Montréal, évalue à plus de 200 M$ les retombées économiques des tournages pour la province cette année. Ce qui représenterait au moins 50 M$ de plus que l'an passé. «Avec les 5 tournages confirmés et les 3 ou 4 autres qui pourraient l'être prochainement, c'est clair qu'on dépasse nos objectifs pour 2007», observe Hans Fraikin. Après la tempête, le beau temps, donc. Rappelons que dans la dernière année, Montréal avait perdu plusieurs tournages de films américains à cause du conflit qui opposait les syndicats de techniciens. «Cet été, tout le monde dans le milieu du cinéma va travailler, se réjouit Michel Trudel, en précisant que plusieurs productions québécoises (télévisuelles et cinématographiques) seront également tournées dans la métropole au cours des prochaines semaines. «Ce qui est bien aussi, c'est que chaque tournage en attire d'autres. En ce moment, on reçoit des appels de grands studios comme Warner ou Paramount qui appellent pour vérifier nos disponibilités. C'est reparti de plus belle!» Brad Pitt à Montréal! Parmi les tournages américains attendus cet été, on retrouve The Mummy 3, production de 110 M$ US qui met en vedette Brendan Fraser et Jet Li, et The Curious Case of Benjamin Button, avec Brad Pitt et Cate Blanchett. D'autres films américains tournés cet été à Montréal: Get Smart, une adaptation cinématographique de la télésérie américaine des années 60 avec Steve Carrell (The Job) et Anne Hathaway, Death Race 3000, un remake de Death Race 2000 (sorti en 1975) qui mettra en vedette Jason Statham. Afterwards, une coproduction France-Canada mettant en vedette le Français Romain Duris, la Canadienne Evangeline Lilly et l'Américain John Malkovich sera également en grande partie tournée en ville cet été. Rappelons aussi que Kate Beckinsale était tout récemment en ville pour tourner le thriller Whiteout et qu'Anthony Michael Hall a complété récemment au Québec le tournage de la prochaine saison de la série télé The Dead Zone.
  18. Pendant que les citoyens de Blainville, Boisbriand et Laval manifestent leur opposition à l'implantation d'un hippodrome dans leur cour, la Ville de Mirabel tente d'attirer le promoteur. Le maire souhaite que ses concitoyens profitent des emplois que créeraient l'hippodrome et son salon de jeux. L'économie de la région périclite depuis le transfert des vols de l'aéroport vers Dorval, et les emplois que créerait le complexe seraient bienvenus dans la région. Mirabel constitue un milieu hippique reconnu au Québec. Quelque 3000 têtes chevalines sont recensées dans la région. De plus, l'hippodrome et le salon de jeux compléteraient bien, selon le maire, l'aquaparc qui doit ouvrir ses portes en 2009 dans le bâtiment de l'aéroport. Le maire Hubert Meilleur mentionne toutefois que le projet en est à ses premiers balbutiements. La Ville a approché le promoteur Attractions hippiques, présidé par le sénateur libéral Paul J. Massicotte. La santé publique inquiète La directrice de la Santé publique (DSP) des Laurentides critique la position du maire dans le dossier du projet d'hippodrome et de salon de jeu à Mirabel. La directrice de la DSP Blandine Piquet-Gauthier affirme que l'installation d'un deuxième salon de jeu dans la région, après celui de Mont-Tremblant, risque d'entraîner de graves conséquences sociales. La Directrice de la Santé publique précise que la région de Mirabel abrite de nombreuses jeunes familles et que les adolescents sont souvent attirés par les jeux de hasard. La croissance de la population est énorme et c'est une population qui est très jeune et nous savons que malgré l'interdiction d'accès à des salons de jeux, nous avons pratiquement un jeune sur deux du secondaire qui a déjà joué à un jeu de hasard. Donc ça nous inquiète énormément. — La directrice de la santé publique, Blandine Piquet-Gauthier Attractions hippiques tente de développer un projet d'hippodrome, qui comprendrait un salon de jeux de 1300 appareils, sur la couronne nord de Montréal. Le projet de 99 millions de dollars créerait 320 emplois en plus d'attirer de 5000 à 6000 personnes. Pendant que Mirabel tente de mettre la main sur le projet, les citoyens de Laval déposeront à l'Assemblée nationale une pétition de près de 10 000 noms de gens qui s'opposent à l'implantation du projet dans leur quartier.
  19. jeudi 10 mai 2007 Attractions hippiques et Loto-Québec misaient sur Laval mais les nombreuses contraintes les forcent à regarder ailleurs.Le projet d'un hippodrome juxtaposé à un salon de jeu peine à voir le jour dans la couronne nord de Montréal. Des citoyens se mobilisent, des municipalités s'y opposent, des contraintes de zonage agricole surgissent et les directions de la santé publique jugent la combinaison dommageable. Mais il y a un maire qui s'enthousiasme.
  20. jeudi 10 mai 2007 Montréal possédera bientôt l'immeuble convoité à l'angle de Sainte-Catherine et Saint-Laurent Encore quelques semaines et tout sera en place pour ériger l'un des deux pôles du Quartier des spectacles à l'angle de Sainte-Catherine et Saint-Laurent. Comme l'a confirmé au Devoir le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, l'écheveau de l'expropriation de l'immeuble convoité a été démêlé. D'ici juin, la Ville de Montréal en sera propriétaire. «Il n'y a plus d'obstacles. Il ne reste que de la mécanique. Après ça, c'est à nous de décider. On a tous les leviers en main», a affirmé M. Labonté. L'objectif demeure toujours de construire au croisement de ces artères historiques un immeuble dédié à la culture. On y retrouverait, entre autres, un guichet culturel où la population pourrait acheter des billets de spectacles et obtenir des renseignements sur tous les événements culturels de la région de Montréal. L'arrondissement de Ville-Marie a déjà entre les mains un projet d'envergure né d'un mandat donné à la Société de développement Angus (SDA). L'édifice, dont le nom de travail est le Red Light, offrirait, outre la billetterie, des espaces d'exposition, des espaces locatifs et des lieux de lancements culturels. Le mois dernier, la SDA a fait paraître une publicité afin de susciter l'intérêt dans le milieu de la culture. Avec l'appui de la Ville, la SDA a continué à travailler sur le montage financier du projet auprès de partenaires gouvernementaux mais aussi d'économie sociale. Il s'agit d'un projet de 20 millions de dollars. Il a été impossible de joindre la SDA hier. Le maire Labonté se montre moins catégorique que l'automne dernier concernant ce projet qu'il a pourtant sollicité. Il dit toujours souhaiter un projet «phare et fort» mais se montre ouvert à d'autres propositions. «Ça peut être ce projet-là, ce projet remanié ou un autre projet. Ce qui est non négociable, c'est que ce sera un des deux points d'ancrage du Quartier des spectacles», a souligné Benoît Labonté. Ce dernier assure que la Ville n'a sollicité aucun autre promoteur que la SDA, mais il se pourrait que des initiatives privées soient prises. La réflexion reste à faire, fait valoir M. Labonté. «Il faut que je me fasse une tête. On n'est pas avancé là-dessus», a-t-il assuré. M. Labonté entend prendre en compte le plan de développement du Quartier des spectacles qui a été confié à l'organisme Quartier international. Un rapport est attendu fin octobre. Aussi, les 7 et 8 novembre se déroulera le sommet montréalais de la culture, ce qui pourrait donner un certain élan, sinon des investissements, croit le maire de Ville-Marie. Le printemps 2008 demeure pour l'instant l'objectif pour commencer les travaux.
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