Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'devant'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Une cure de jouvence autour du métro Frontenac Publié le 10 juin 2010 Emilie Russo L’arrondissement Ville-Marie mijote un plan de développement autour de la rue Ontario, qu’il soumettra en consultation publique cet automne. La Ville projette entre autres de développer les alentours de la station de métro Frontenac. « La force d'un secteur comme Frontenac, c'est le métro. On n'est pas du tout isolé, malgré ce qu'on pourrait croire. C'est éparse et dévitalisé, mais proche du centre-ville. Mais visuellement, on ne se sent pas attaché au centre-ville. L’objectif est de revaloriser le secteur », explique Pierre Gaufre, commissaire adjoint au développement pour l’arrondissement Ville-Marie. Sans dévoiler les détails du plan de la ville, M. Gaufre avance l’idée de créer une nouvelle place publique devant le centre commercial près de la rue Fullum. Les services de sports et loisirs seront aussi améliorés et la circulation automobile sera réduite. La Ville compte également exploiter le potentiel immobilier des terrains vacants autour de la rue Parthenais. Les orientations précises du développement envisagé par Ville-Marie ne seront dévoilées qu’à l’automne. http://www.faubourgvillemarie.ca/Actualites/Grands-dossiers/2010-06-10/article-1512602/Une-cure-de-jouvence-autour-du-metro-Frontenac/1
  2. Quelqu'un sait quelle est la nature des travaux au 460 rue McGill? Je passe devant à chaque jour et c'est juste aujourd'hui que j'ai remarqué l'ajout d'un étage supplémentaire.
  3. J'ai copié le texte de l'article, mais il y a beaucoup de photos dans le lien, allez-voir le lien si ça vous intéresse! C'est moins pertinent sans les photos. C'est le genre d'intervention citoyenne qui donne une vraie personnalité à des quartiers, j'adore ça. Les rues Mentana et Waverly valent le détour si vous êtes dans le coin (Mile-End/Nord du Plateau). Pas nécessairement besoin de grands événements ou de subventions de nos gouvernements pour créer de vrais corridors d'art (même si c'est bienvenu), il faut juste des artistes impliqués dans leur quartier. Il y a aussi un terrain vague aménagé en champ d'œuvres à la sortie ouest du viaduc Van Horne, par l'artiste Glen LeMesurier, qui mérite qu'on s'y attarde. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985512/un-quartier-soude-par-lart/ Plateau-Mont-Royal: Un quartier soudé par l’art Par Josie Desmarais Texte et photos En vous baladant dans les rues du Plateau, avez-vous déjà remarqué des œuvres d’art disposées devant des résidences privées? Métro vous propose une excursion dans ce quartier foisonnant d’artistes. Waverly Dans cette rue du Mile-End, on trouve plus d’une dizaine d’œuvres sises dans les cours avant des maisons. C’est le soudeur-sculpteur Glen LeMesurier qui est derrière ces installations, qui intriguent et égaient les passants. L’artiste s’inspire des lieux et de l’architecture pour créer ses pièces, faites de morceaux de métal recyclés. Son projet artistique, Bloom (fleurir), s’étale depuis trois ans dans le quadrilatère formé par les rues Van Horne, Saint-Urbain, Fairmount et Parc. C’est l’artiste lui-même qui propose ses œuvres aux propriétaires, qui peuvent les garder aussi longtemps qu’ils le désirent ou même les acheter. C’est ce qu’a fait Richard Ryan, conseiller de Projet Montréal. «Glen marque le territoire. C’est un quartier ouvert à l’art, et les gens embarquent facilement». Une des plus récentes œuvres de Glen LeMesurier a été installée devant les bureaux d’un acuponcteur. La pièce, discrète, évoque une colonne vertébrale surmontée d’une fleur. Mentana Des résidants de la rue Mentana affichent pour leur part des sculptures de bois devant chez eux. Elles sont l’œuvre de Jacques Huet, un artiste-menuisier qui habitait la rue. À l’instar de Glen LeMesurier, il a demandé à ses voisins s’il pouvait installer ses œuvres de bois devant leurs demeures. En 2008, Jacques Huet commence un corridor d’art en disposant 13 œuvres rue Mentana. Il meurt le printemps suivant, mais les installations restent en place tout l’été. On peut présentement en observer cinq, les autres étant entreposées ou en processus de restauration. Satellite diffuseur de l’art dans l’espace a été restaurée l’été dernier par la fille de M. Huet, Christiane Dinelle. «Depuis, des voisins m’ont demandé : “En as-tu une de trop?” Alors j’en ai placé trois autres.» On peut les admirer entre les rues Mont-Royal et Gilford. Une sculpture de Glen LeMesurier a été ajouté samedi dernier sur la rue de l’Esplanade. Voyez son installation ici: (voir le vidéo dans le lien)
  4. Adapter de la Concorde aux nouveaux bâtiments résidentiels ne m’apparaît pas si difficile. Il faut couper le trottoir Nord de la rue (le plus ensoleillé + les halls des bâtiments) où passent des camions de livraison et des automobilistes se dirigeant vers les hôtels. Vu son étroitesse, la rue devrait être un sens unique et offrir du stationnement qu'un seul côté à fois. Le sens devrait être nord-est, donc de PK à la rue Bleury. PK est double sens et facilitera l'accès. Un petit montage que je viens de faire et qui montre les possibilités : -------------------------------------- Avant : Après : Les flèches jaunes représentent les entrées de stationnement et les aires de livraison. Les flèches bleues représentent les entrées pour les piétons. -------------------------------------- Coupe devant le Peterson Avant : Après : -------------------------------------- Vue vers l'Est, devant le Peterson Avant : Après :
  5. Publié le 14 janvier 2014 à 14h40 | Mis à jour à 15h12 La Maison Théâtre de Montréal Le gouvernement du Québec a annoncé un investissement de près de 10 millions pour la construction d'une nouvelle salle multifonctionnelle sur le campus du cégep du Vieux Montréal. L'accord de principe, signé hier avec le Cégep, spécifie qu'il partagera ce nouvel espace avec la Maison Théâtre. Rappelons que la Maison Théâtre propose environ 300 représentations par année destinées à un public âgé de 2 à 17 ans. Devant une classe de quatrième année du primaire, la première ministre Pauline Marois a insisté sur «l'importance de l'accès aux arts et à la culture pour les jeunes». L'inauguration est prévue pour 2017. http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/theatre/201401/14/01-4728594-la-maison-theatre-de-montreal-sera-agrandie.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_arts_244_accueil_POS1
  6. Description Situé en plein cœur de Montréal, ce projet résidentiel à l’architecture moderne comprend 24 unités de type 3 ½, 4½ et 5½, d’une superficie variant de 580 à 1 112 pi2, offertes à un prix abordable. Alliant le modernisme à un style de vie urbain, le projet Blü Condos permet un raffinement sans compromis au coin de Jean Talon et d'Iberville devant la station de métro et à proximité de plusieurs services. Plafond de 9 pieds, Ascenseur, Terrasse privée et commune (avec végétation) sur le toit... Ouverture prochaine du pavillon des ventes au coin de la rue Bélanger et de la 1ère Avenue. Inscrivez-vous sur notre liste VIP et profitez des prix de lancement de projet Plus d'information à la page: http://www.blucondos.ca
  7. Je me permets de publier cet éditorial du devoir que j'ai mis originalement dans la section politique. Comme c'est un sujet qui concerne tout le monde, j'ai pensé qu'il était plus pertinent de le mettre dans les discussions générales et ainsi ouvrir la porte à un débat plus large. http://www.ledevoir.com/politique/canada/421057/conjoncture-chaud-devant CONJONCTURE Chaud devant! 15 octobre 2014 |Jean-Robert Sansfaçon | Canada Alors qu’Ottawa et les provinces poursuivent avec acharnement leurs efforts de compression budgétaire, l’économie canadienne fait du sur-place et subit les contrecoups de la faible croissance à l’échelle mondiale. S’ils n’y prennent garde, nos gouvernements aggraveront le mal qu’ils disent vouloir combattre. Chacun de son côté, les principales provinces canadiennes et le gouvernement fédéral ont entrepris une course contre la montre pour revenir à l’équilibre budgétaire. Dans le cas du Québec, l’opération est d’autant plus difficile que l’emploi progresse très lentement, avec les conséquences que l’on sait sur les recettes de l’État. À Ottawa, les choses vont mieux grâce aux revenus pétroliers et aux cotisations à l’assurance-emploi largement plus élevées que les prestations versées aux chômeurs, dont 38 % seulement ont désormais accès au programme. Or cette situation pourrait tourner rapidement si le prix du pétrole continuait de baisser comme c’est le cas depuis l’été. Plusieurs experts prédisent même une chute du prix du baril jusqu’à 70 $US comparativement à plus de 110 $ le printemps dernier et à 82 $ hier. Si c’était le cas, non seulement les recettes des gouvernements en seraient affectées, mais ce serait aussi la fin temporaire du boom d’investissements dans les sables bitumineux. Cette baisse de prix est due à la conjoncture économique mondiale défavorable, tant en Asie et en Amérique du Sud qu’en Europe, où le FMI évalue à 40 % le risque d’une troisième récession en sept ans. Bien sûr, pour l’instant la situation n’est pas si difficile chez notre principal partenaire, les États-Unis. Mais cela pourrait ne pas durer puisqu’étant devenus de grands producteurs de pétrole et de gaz de schiste, ils subiront à leur tour les effets d’une baisse des prix qu’ils appelaient pourtant de tous leurs voeux lorsque le pétrole provenait des pays de l’OPEP. En conséquence, les gouvernements qui comptent largement sur les ressources, tels l’Alberta et le gouvernement fédéral, risquent d’être directement touchés. Le Québec ne produit pas de pétrole, mais il subit aussi les contrecoups du ralentissement mondial de la demande en ressources. Et même si les libéraux de Philippe Couillard se veulent rassurants, ils ont très peu d’influence sur les investisseurs qui préfèrent attendre des signaux positifs du marché avant d’aller de l’avant avec leurs projets de mines et d’usines de transformation. Devant tant d’incertitudes, il est décevant de constater qu’on s’entête à placer ses ambitions politiques devant les exigences de la conjoncture. C’est vrai pour le Québec aux prises avec un manque à gagner plus important que prévu. Ce qui devrait inciter les libéraux à revoir leur échéancier de retour à l’équilibre sous peine de comprimer les dépenses au-delà de ce qui est raisonnable. Mais c’est surtout vrai du fédéral, dont c’est la responsabilité première de veiller à la stabilité économique du pays. Au lieu de promettre des bonbons, les trois principaux partis fédéraux devraient s’engager dès maintenant à stimuler l’activité économique en rehaussant de façon importante le programme des infrastructures, surtout en matière de transports collectifs, si peu développés chez nous, et en redonnant accès à l’assurance-emploi aux travailleurs mis à pied. Après tout, contrairement à l’idéologie d’un parti, l’économie d’un pays n’est pas un long fleuve tranquille sur lequel il suffit de se laisser glisser pour se maintenir au pouvoir.
  8. http://forum-ameriques.org/montreal Du beau monde:http://forum-ameriques.org/montreal/2013/conferenciers MONTRÉAL – Le secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a appelé les pays membres et leurs acteurs économiques à se préoccuper davantage des populations, en leur reprochant du même souffle d’avoir négligé celles-ci au cours des dernières années. «Ce que nous avons, c’est un nouveau paradigme, une nouvelle situation économique à la suite de la crise, où nous devons placer les populations avant tout», a lancé Angel Gurria devant les participants du Forum économique de Montréal, lundi... http://journalmetro.com/actualites/montreal/325833/le-secretaire-general-de-locde-sonne-lalarme/
  9. Je sais qu'il y a un autre petit projet présentement en cours mais ce n'est pas le meme que celui-ci. D'ailleurs celui-ci s'appelle Zia Parc St-Paul et est situé dans le quartier de Cote St-Paul dans le Sud-Ouest de la ville alors que l'autre est situé dans Sainte-Marie. Bref, celui-ci aura 3 étages et aura une signature un peu plus moderne. J'aime bien la descente d'escalier du devant. http://zia.mobi/psp/
  10. Presse Canadienne Le jeudi 15 novembre 2007 Montréal L'éditeur Michel Brûlé a dévoilé une statue en hommage au général Charles de Gaulle devant le bureau des Éditions des Intouchables, à Montréal. L'ex-premier ministre Bernard Landry était présent à ce dévoilement. Pour Michel Brûlé, il était important de commémorer le «Vive le Québec libre» de Charles de Gaulle, un événement marquant dans l'histoire du Québec à ses yeux. Il a déclaré que l'ex-maire Pierre Bourque a refusé cet honneur tandis que le maire actuel de la Ville, Gérald Tremblay, était d'accord en autant que la statue «demeure cachée», selon ses dires. Pour M. Landry, le général de Gaulle a une «importance planétaire». Selon lui, de Gaulle a fait connaître la cause du Québec à travers le monde. M. Landry a déclaré qu'au moment où le général a fait sa célèbre déclaration, des analystes de toutes les villes du monde se sont tournés vers la Belle Province et ont tenté d'étudier et de comprendre la question québécoise.Bernard Landry, l'éditeur Michel Brûlé et Aslan, créateur du buste, posent devant la statue du général Charles de Gaulle.
  11. (Montréal) La réputation de Montréal gagne des points parmi les principales villes financières du monde, selon un palmarès international établi par des firmes d'analyse établies à Londres et que La Presse Affaires a obtenu. Montréal se situe maintenant au 18e rang des principaux «centres financiers du monde», deux rangs de plus que sa 20e position de l'an dernier dans ce palmarès qui comprend 77 villes. Dans les Amériques, Montréal se maintient au huitième rang parmi les 13 principaux centres financiers, derrière ses plus proches voisines Toronto (3e continentale et 10e mondiale) et Boston (4e continentale et 11e mondiale). Montréal devance encore dans ce palmarès les métropoles latino-américaines São Paulo, Mexico et Rio de Janiero. Au niveau canadien, Montréal conserve aussi son troisième rang parmi quatre centres financiers; derrière Toronto et Vancouver (17e mondial), mais devant Calgary (28e mondial). Ce palmarès est compilé par deux firmes londoniennes d'analyse du secteur financier, Long Finance et Z/Yen Group. Il est établi avec le soutien financier du Qatar Financial Center, un organisme de promotion économique qui relève du gouvernement du Qatar. Selon ce palmarès, Londres peut encore prétendre au premier rang mondial des centres financiers, devant New York, Hong Kong et Singapour. Mais à l'avantage du Canada, la présence de trois villes dont Montréal parmi le top-20 mondial représente une bonne note qui excède le poids relatif de l'économie canadienne sur l'échiquier mondial. Cette prestance du Canada parmi les centres financiers du monde a d'ailleurs valu à Gordon Campbell, haut-commissaire (ambassadeur) du Canada à Londres, de rédiger le préambule de l'édition 2012 du palmarès. Après avoir vanté la tenue avantageuse du Canada lors des années de crise financière et de récession, M. Campbell souligne à propos de Montréal sa «forte expertise» en gestion de caisses de retraite, ainsi que sa primauté dans le développement de logiciels pour le secteur des services financiers. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/services-financiers/201203/21/01-4507746-palmares-des-villes-financieres-montreal-gagne-en-reputation.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS10
  12. Montréal figure au 18e rang selon l’étude annuelle du Reputation Institute qui mesure, auprès de 35 000 répondants, le score de 100 villes selon 13 critères comme la sécurité, l’économie ou la gouvernance. Montréal arrive juste derrière Helsinki et Toronto, mais tout juste devant Munich et Madrid. C’est Londres qui domine le classement. http://www.journalmetro.com/montreal/article/1067917
  13. Je sais qu'il y a un fil là dessus, mais je ne trouve pas!! SVP Vous joindre à la page Facebook pour appuyer la cause: https://www.facebook.com/Bars.Ouverts.6.du.matin Débordements à la sortie des bars: MC Mario propose une rencontre au sommet Publié le 15 octobre 2011 à 05h00 | Mis à jour le 15 octobre 2011 à 12h33 Vincent Larouche La Presse Les débordements à la sortie des bars ont souvent fait les manchettes au cours des derniers mois. Craignant lui-même la suspension de son permis d'alcool en raison d'une série d'incidents violents, le populaire DJ MC Mario croit que le moment est venu pour une rencontre au sommet entre tenanciers, policiers et élus afin d'échanger sur la gestion des fins de soirées bien arrosées dans la métropole. « À 3 h du matin, quand tout le monde sort, ça ressemble à l'équivalent d'un Centre Bell qui se vide... après une grosse partie en séries contre Boston », reconnaît Mario Tremblay, alias DJ MC Mario. Figure incontournable de la vie nocturne montréalaise avec ses trois millions d'albums vendus, le copropriétaire du Club 1234, rue de la Montagne, se serait passé de la publicité négative des derniers mois. Le 14 septembre, La Presse a révélé que son bar avait été convoqué devant la Régie des alcools à la demande de la police. De 2005 à 2010, les policiers y ont dénombré plus de 40 incidents violents : portiers frappés à coups de couteau, clients battus par des portiers, bagarres à coups de verre, de bouteille et de chaise, coups de feu, présence de membres de gangs de rue. Lorsque les audiences ont commencé devant la Régie cette semaine, d'autres médias se sont emparés de l'histoire. MC Mario ne croit toutefois pas que son établissement pose un problème particulier. « Presque tout le monde s'est déjà fait suspendre son permis. Mais souvent, c'est déguisé en rénovations. Nous, c'est tellement médiatisé qu'on aurait du mal à passer ça pour des rénovations », explique-t-il en entrevue à La Presse. Il souligne que d'autres reportages ont montré que les débordements à la sortie des bars ne sont pas l'affaire d'un seul tenancier. En septembre, une vidéo diffusée sur YouTube et reprise par plusieurs médias montrait une disgracieuse séance de brasse-camarade entre policiers et jeunes. Quelques jours plus tard, un reportage de La Presse a évoqué la tâche difficile des deux groupes d'intervention du Service de police de la Ville de Montréal qui sont dépêchés sur le boulevard Saint-Laurent les jeudi, vendredi et samedi soir pour gérer le flot des fêtards éméchés. MC Mario affirme que plusieurs des incidents retenus contre son bar se sont produits dans la rue. « Jamais je ne pourrais prétendre faire le shérif de la rue de la Montagne, même avec mon entreprise de sécurité », dit-il. Travailler en équipe Le vétéran des boîtes de nuit croit que le contexte actuel est propice à une remise en question. Toutes les parties concernées devraient se réunir pour discuter de la situation, suggère-t-il. « La question devrait être étudiée avec les policiers, la Ville et les représentants des bars, en équipe, pour arriver à des solutions », dit-il. Il dit ne pas avoir de solution toute prête, mais est prêt à partager son expérience. « Je connais des endroits en Europe qui ferment tardivement. Ils arrêtent par exemple de vendre de l'alcool à 3 h, mais les gens peuvent rester jusqu'à 6 h le matin. Ici, on peut le faire parfois quand la police est plus tolérante, comme au jour de l'An. Et on a moins de problèmes ces fois-là », dit-il. D'ici là, il espère que la Régie sera clémente à son endroit. La décision n'est pas pour demain. Plusieurs jours seront nécessaires pour débattre devant le tribunal de l'interminable liste d'incidents qui lui sont reprochés.
  14. Sur boulevard des Galeries d'Anjou entre l'actuel restaurant Madison et McDonald, un nouveau restaurant Les trois brasseurs sera construit sous peu. Il y a actuellement des pancartes qui annonce la venue du restaurant prochainement. Pour plus de précision sur sa localisation, le restaurant sera situé à deux pas du centre commercial les Galeries d'Anjou et il sera situé devant le Rona l’Entrepôt.
  15. Un jeune graffiteur qui pratiquait son art un dimanche après-midi risque de payer le prix fort pour sa passion. Accusé de méfait pour avoir détérioré un mur, il risque 5000$ d'amende, en plus de se retrouver avec un casier judiciaire. Dans l'attente de sa comparution devant la cour municipale de Montréal le 10 mai prochain, le jeune homme reste toujours incrédule devant la sévérité de sa peine. «On parle d'un graffiti! Sur les forums où je suis allé, les gens disaient qu'ils n'en revenaient pas, explique-t-il. Je suis conscient que ce mur a un propriétaire mais, en même temps, le street art fait partie de l'esprit de la ville. Il faut lutter contre la grisaille de la ville.» Stéphane (nom fictif), 26 ans, a commencé à pratiquer le street art il y a un an. «L'idée du street art est super-intéressante: c'est de démocratiser l'art, de le rendre disponible à un grand public, de ne pas être soumis aux musées et aux contraintes pour être exposé. J'aime pouvoir offrir mes trucs à tout le monde.» Pris la main dans le sac Seulement voilà: la générosité de l'artiste qui crée pour tous semble laisser insensible le propriétaire du commerce de la rue Sainte-Catherine Est, sur le mur duquel Stéphane avait entamé un dessin au pochoir. «J'ai eu la chance de terminer avant que la police arrive. J'avais pris beaucoup de risques, c'était un dimanche à 3 h de l'après-midi», admet-il. Était-il conscient des risques associés à sa pratique? «Oui, mais je trouve que 5000$ et un casier judiciaire, c'est cher payé. Je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi intense, dit celui qui travaille avec de jeunes enfants. Un casier judiciaire me mettrait vraiment dans le pétrin.» Peu d'endroits légaux Contrairement à bien des artistes qui associent le graffiti à l'illégalité, Stéphane n'a rien contre les murs où il est légal de dessiner, mais ils sont encore beaucoup trop rares à Montréal, selon lui. «Ils se comptent sur les doigts de la main. Il y a quelques places pour en faire, mais dès que tu fais un truc, quelqu'un passe par-dessus, et on ne peut pas leur en vouloir parce qu'il n'y a pas de place», dit-il. La Ville pourrait faire plus pour les arts de la rue, croit-il, plutôt que de réprimer les artistes. «C'est naïf de penser que le graffiti va s'arrêter. Depuis sa création, le graffiti n'a pas disparu, et il ne s'arrêtera pas.» http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/201103/30/01-4384534-un-graffiti-qui-pourrait-couter-cher.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS4
  16. Le iPhone remplace le ticket de métro à New York (BUM) Visa et la ville de New York expérimentent un nouveau système de paiement avec le iPhone. Un peu comme les 10 000 taxis de New York qui sont équipés du système de paiement PayWave de Visa, qui permet à un passager de simplement passer son iPhone devant un lecteur pour effectuer son paiement, la ville essaie maintenant de transposer le même système dans ses stations de métro. Pour mener à bien son étude de faisabilité, le système n'a été installé que sur les 28 arrêts de la ligne longeant Lexington Avenue. Les passagers qui testent le système n'ont qu'à passer leur iPhone devant un lecteur et le tour est joué. Le système PayWave de Visa à l'essai dans le métro new-yorkais pourrait également être testé dans d'autres grandes villes du monde, comme Paris qui serait considérée par Visa comme un bon endroit. La ville de New York et ses transports sont donc maintenant en collaboration avec Visa pour permettre de remplacer les billets de métro par l'iPhone. En plus des taxis et des transports en commun, Visa implantera peut-être son système PayWave dans les commerces de la Grosse Pomme. http://voyage.sympatico.ca/nouvellesactualites/nouvellesvoyagequotidien/le_iphone_remplace_le_ticket_de_metro_a_new_york/54c49953 je me demande si nos nouvelles bornes OPUS pourraient etre patentees pour fonctionner avec ce systeme ? .. ... edit: j'suis pas capable de trouver l'info: est-ce un case appose sur le telephone qui permet cette transaction, ou qqchose d'autre ? la plupart des autre articles que je trouve suggerent que ce serait un case, mais les plus recents, comme celui ci, et celui que j'ai quoter, laissent entendre autrement ..
  17. Savez vous qu'est qui c passée avec cette oeuvre d'art devant le complexe desjardins? Merci d'avance
  18. Le Bureau de la concurrence intervient Mise à jour le lundi 8 février 2010 à 17 h 35 Le Bureau de la concurrence conteste les règles de l'Association canadienne de l'immeuble (ACI), qui représente quelque 98 000 agents immobiliers, devant le Tribunal de la concurrence. L'organisme fédéral estime que ces règles « restreignent la capacité des consommateurs à choisir les services immobiliers qu'ils désirent, les forçant à acheter des services dont ils n'ont pas besoin ». Et d'ajouter que les agents immobiliers ne peuvent pas offrir « davantage d'options de service et de tarification novatrices ». Le registre des propriétés dans la ligne de mire Le registre des propriétés de l'ACI (le Service inter-agence ou Multiple listing service) se trouve au coeur des griefs du Bureau de la concurrence. Celui-ci note que « l'immense majorité des transactions immobilières canadiennes font appel [à ce système] ». Toutefois, seuls les membres de l'ACI peuvent y accéder, selon des règles restrictives, estime l'organisme. Le Bureau de la concurrence explique qu'il est interdit de seulement inscrire une maison à mettre en vente sur le registre, les clients devant plutôt acheter « un ensemble prédéterminé de services supplémentaires ». « C'est le marché qui, en définitive, déterminera le prix des services immobiliers résidentiels, mais, advenant que le Tribunal abolisse les restrictions anticoncurrentielles, nous nous attendons à ce que s'exerce une pression à la baisse sur les tarifs des services immobiliers au Canada », a déclaré Melanie Aitken, commissaire de la concurrence. Pour en lire plus...
  19. Bonne nouvelle pour Montréal. La nouvelle complète se trouve ici: http://www.journalmetro.com/linfo/article/287169--les-montrealais-ont-le-12e-pouvoir-d-achat-au-monde-devant-toronto
  20. C'est rien de nouveau, même chose à chaque année. Cependant, la ville accuse les citoyens, mais en revanche, les citoyens ne s'y retrouvent plus. Ils ont une amende parce qu'il ne nettoient pas le devant de chez eux, et s'ils nettoient, ils ont une amende pour vols de job de col bleu. La question est beaucoup plus : est-ce que les citoyens savent s'ils peuvent, ou non, nettoyer leur devant ? -------------------------------- À l'approche de la saison touristique De la saleté partout Sébastien Ménard Le Journal de Montréal 03/05/2009 06h31 Malgré toutes les campagnes de propreté et les promesses faites par la Ville de Montréal, le centre-ville est toujours aussi sale à l'aube de la nouvelle saison touristique. Le Journal a parcouru les rues du centre-ville, hier, et y a observé de la saleté partout. Des sacs à ordures entrouverts et déposés en bordure de la rue alors qu'il n'y a pas de collecte. Des poubelles qui débordent et dont les déchets volent au vent. Des mégots de cigarette, des verres vides, des cannettes et des débris de toutes sortes qui traînent sur la voie publique ou même dans des bacs à fleurs... La scène est bien loin de celle promise depuis plusieurs années par le maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui répète avoir fait de la propreté sa «priorité.» La ville perd son cachet Rue de la Montagne, en début d'après-midi. Des sacs à ordures déchirés sont abandonnés devant un commerce, alors qu'aucune collecte n'est prévue. Patrick Lang et sa conjointe Marie, deux Américains résidant au New Hampshire, se désolent de la situation. Ils connaissent la métropole depuis plusieurs années et la visitent plus fréquemment depuis que leur fille étudie à McGill. «Montréal est une belle ville, mais quand il y a des choses comme ça, elle ressemble à une ville américaine ordinaire, juge Mme Lang. Elle perd son cachet européen», dit-elle. Son conjoint est du même avis. «Ce serait facile de régler la propreté dans cette ville, estime M. Lang. Quand on voit des verres de café ou des mégots de cigarette qui traînent partout, il faut dire aux gens de se ramasser.» Le message ne passe pas Au cours des dernières années, la Ville a lancé de nombreuses campagnes pour inviter les citoyens à améliorer la propreté de Montréal. Pas plus tard que vendredi, elle récividait avec l'opération «Ménage ton voisinage», qui vise à réduire la présence de déchets dans les rues. En tout, la Ville investira 10 M$, cette année, pour améliorer la propreté. Pourtant, le message ne passe pas, reconnaît le responsable de la propreté à la Ville de Montréal, Luis Miranda. «L'ouvrage est à recommencer continuellement», déplore-t-il. Une opinion partagée par Jean-Yves Duthel, de l'arrondissement Ville-Marie. «Il y a toujours des délinquants», dit-il. Les inspecteurs de cet arrondissement sont chargés de remettre des contraventions aux citoyens qui sortent leurs ordures dans la rue même lorsqu'il n'y a pas de collecte. «Il y a moins de récivistes que l'an dernier, assure M. Duthel. Ce sont souvent les mêmes. Par exemple, il se distribue beaucoup d'amendes dans le quartier chinois», souligne-t-il.
  21. MUSÉE DE LA CIVILISATION À la découverte des momies égyptiennes Cédric Bélanger 22-04-2009 | 18h44 Les Égyptiens croyaient dur comme fer que la vie se prolongeait après la mort et c’est pourquoi leurs corps momifiés reposaient dans des chapelles en compagnie d’une foule d’objets domestiques pouvant leur être utile dans l’au-delà, dont de la vaisselle, des meubles, des bijoux et du maquillage. Certains poussaient même la commodité jusqu’à inclure dans leur tombe des oushebtis, de petites figurines ou statuettes devant faire office de serviteurs pour le défunt dans l’au-delà, apprend-on en visitant l’exposition Fascinantes momies d’Égypte, qui tient l’affiche au Musée de la civilisation à compter d'aujourd'hui jusqu’au 4 avril 2010. «Il y a longtemps que le musée voulait développer un thème relié à l’Égypte ancienne. Le public nous le demandait aussi. Aujourd’hui, c’est chose faite», s’est réjouie la directrice générale du musée, Claire Simard, au cours d’une visite des médias, mardi. Comment momifier en trois étapes À travers 225 objets (prêtés en majeure partie par le Rijksmuseum van Oudheden de Leiden, aux Pays-Bas), dont quelques authentiques momies, les visiteurs pourront découvrir les rituels funéraires de l’ancienne Égypte, du décès jusqu’au jugement final devant le dieu Osiris. En fait, la visite s’articule autour des différentes étapes menant à la momification, procédure s’étalant sur soixante-dix jours après le trépas. «Le corps est d’abord amené dans un endroit pur. Là, on procède à une incision abdominale et on retire les viscères, qui sont ensuite placés dans des vases canopes», explique Sylvie Brunelle, chargée de projet de l’exposition. Ensuite, vient l’étape de la déshydratation, laquelle dure quarante jours. Enfin, le corps est enduit d’onguent et on fait le bandelettage. La momie est ensuite prête à être mise dans un cercueil, puis à être couchée dans une chapelle, dont on peut voir une réplique durant la visite. Ankhhor La pièce maîtresse de Fascinantes momies d’Égypte est la momie du grand prêtre Ankhhor, qui trône d’ailleurs au centre de l’aire d’exposition. Mort il y a plus de 2650 ans, Ankhhor reposait dans trois cercueils s’imbriquant les uns dans les autres. «Le nombre élevé de cercueils nous indique que le défunt provenait vraisemblablement d’une famille noble disposant d’importants moyens financiers», signale Mme Brunelle. Momie «québécoise» Parmi les momies en exposition, notons celle de Nen-Oun-Ef, qui avait été acquise au XIXe siècle par le Séminaire de Québec. «Débandeletté», le corps du défunt est visible et montre à quel point les techniques utilisées par les Égyptiens ont permis une étonnante conservation. Un examen tomodensitométrique effectué au CHUQ, en 2008, a permis de découvrir l’âge approximatif de Nen-Oun-Ef, ainsi que les techniques d’embaumement utilisées à sa mort, lesquelles se sont révélées différentes de celles connues à ce jour. L’exposition est complétée par des ateliers interactifs, dont un s’intitule Une journée d’aventures dans l’Égypte ancienne et vous promet de découvrir bien des mystères entourant les rites funéraires du pays des pyramides et des pharaons.
  22. Rien à voir avec l'urbanisme et l'architecture, mais tout de même intéressant. ---------------------- Un Montréalais neutralise un attentat en Grande-Bretagne Un attentat terroriste en Grande-Bretagne a pu être évité grâce à un étudiant montréalais de 21 ans. Pour en savoir plus The Globe and Mail Mardi dernier, J.P.Neufeld naviguait sur un forum Internet d'échange de musique lorsqu'il a découvert un complot visant à incendier l'École secondaire Attleborough, une institution de 950 étudiants située à Norfolk. Le jeune étudiant de l'université Concordia a aussitôt appelé la police et en moins de vingt minutes, il recevait un coup de téléphone d'un agent de Norfolk. Quelques minutes plus tard, un adolescent de 16 ans était arrêté alors qu'il transportait un bidon d'essence, des allumettes et un couteau. L'adolescent a été mis en détention et formellement accusé devant un tribunal. La police a également saisi son ordinateur. Chaudement remercié par les policiers, J.P. Neufeld a expliqué au journal Globe and Mail que les évènements tragiques survenus dans les écoles, y compris la fusillade à Dawson, l'avaient incité à prendre les commentaires du jeune britannique au sérieux. Avec la Presse Canadienneet le Globe and Mail http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/200903/20/01-838485-un-montrealais-neutralise-un-attentat-en-grande-bretagne.php
  23. Engagé dans d'âpres négociations avec Chrysler sur une réduction des coûts de main-d'oeuvre, le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile reste de glace devant des menaces de fermeture. Pour en lire plus...
  24. Le premier ministre prononce actuellement un discours à saveur économique devant la Chambre de commerce de Brampton. Selon lui, le Canada est le pays le mieux placé pour affronter la crise qui secoue le monde. Pour en lire plus...
  25. L'ex-PDG de la Caisse présente actuellement ses «perspectives sur la Caisse et la crise financière», devant la Chambre de commerce de Montréal, à la suite de l'annonce des pertes colossales de l'institution en 2008. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...