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  1. Le Journal de Montréal 10/07/2007 Montréal n'aurait pas sa place dans le calendrier des courses de NASCAR. C'est du moins ce qu'il faut croire si l'on se fie aux commentaires de Jerry Long, un ancien dirigeant chez J.R. Reynolds, la compagnie propriétaire de Winston, qui a longtemps commandité la principale série de NASCAR avant qu'elle ne soit remplacée par Nextel. En entrevue au Winston-Salem Journal où il est question des décisions de marketing prises par NASCAR, Long écorche Montréal, qui doit accueillir une course de la série Busch, au circuit Gilles- Villeneuve, le 4 août. Le principal intéressé est d'accord que la série prenne de l'expansion au-delà des frontières américaines, mais il croit que ses dirigeants font erreur en venant à Montréal. «Je ne vois pas du tout Montréal comme une ville de NASCAR», a-t-il affirmé au quotidien de la Caroline du Nord. «Reynolds était la compagnie de tabac numéro un là-bas et nous avions un bureau à Montréal, a-t-il poursuivi. J'étais au Québec il y a quelques semaines et j'ai constaté que les gens làbas pensent encore différemment. «En 1983 ou en 1985, nous avions tout fermé là-bas; nous ne pouvions vivre avec ces gens», a ajouté celui qui a joué un gros rôle dans l'expansion phénoménale de la série. Les New-Yorkais ne viendront pas Selon lui, la série aurait mieux fait de tenter sa chance à Toronto. «Nous avions tout déménagé à Toronto à l'époque et c'est l'endroit où aller; il y a tout là-bas», a dit celui qui ne comprend pas pourquoi la série s'acharne à diffuser ses courses sur plusieurs réseaux de télévision. «Personne ne veut aller à Montréal, a-t-il ajouté. Si les dirigeants de NASCAR pensent que les gens vont conduire à partir de New York pour aller à Montréal, c'est ridicule. Mais si la course a lieu à Toronto, tu peux faire la route de Chicago ou de Detroit. «Ils devraient oublier Montréal», a conclu celui qui ne porte vraisemblablement pas la métropole dans son coeur.
  2. Google s'installe à Montréal 25 janvier 2007 - 13h48 La compagnie Google a entrepris de faire de la recherche et du développement à partir de locaux situés à Montréal, révèle le journal Les Affaires dans sa plus récente parution. Les bureaux loués par Google se trouvent dans l'immeuble du 1000 de la rue Gauchetière, en plein cœur du centre-ville montréalais. Une petite équipe de sept ingénieurs et développeurs de logiciels aurait déjà été embauchée, selon ce qu'a appris Les Affaires. Les responsables contactés chez Google, parmi lesquels Lars Hansen, porte-parole de Google au Canada, auraient toutefois refusé de donner davantage de précisions. Le géant Internet a également annoncé, sur ses pages d'offres d'emploi, être à la recherche de développeurs et programmeurs spécialistes du système d'exploitation Windows pour sa filiale montréalaise. Selon Les Affaires, les employés d'une entreprise islandaise, récemment achetée par Google, avaient déjà l'habitude de se réunir de temps à autres à Montréal, ce qui pourrait expliquer l'ouverture de bureaux dans la métropole. Il n'est d'ailleurs pas impossible que cette initiative annonce d'autres investissements de Google au Québec, puisque la compagnie serait aussi à la recherche de locaux commerciaux supplémentaires susceptibles d'accueillir entre 200 et 300 employés.
  3. Pas mon habitude de citer le JdM, mais là... Hostie de trou du cul.... Un deneigeur delinquant dans la mire de la ville de Montreal | JDM
  4. Air Canada pérennise son Lyon – Montréal. Les voyageurs d'affaires français pourront compter 2 vols quotidiens au départ de Paris mais également sur le maintien de la liaison Lyon – Montréal lors du programme d'hiver d'Air Canada. La compagnie canadienne a en effet décidé d'assurer à l'année cette route lancée le 17 juin dernier. Au départ de Paris-Roissy, Air Canada propose à l’année 2 vols quotidiens sans escale, l’un à destination de Montréal-Trudeau, l’autre de Toronto-Pearson. La liaison quotidienne sans escale AC871 Paris-Montréal quitte Roissy à 13h05 pour se poser au Québec à 14h40. Le vol sans escale Paris-Toronto AC881 décolle de CDG à 11h30 pour se poser dans l'Ontario à 13h55. Par ailleurs la compagnie a décidé d'assurer à l'année le vol sans escale Lyon-Montréal A/R lancé le 17 juin 2016. Le Rhone-Alpes sera ainsi reliée à Québec jusqu’à 4 fois par semaine : les mardi, jeudi, samedi et dimanche à l’aller et les lundi, mercredi, vendredi et samedi au retour. La nouvelle route est opérée par Air Canada sur B767-300 bi-classe avec 24 sièges en Classe Affaires internationale et 187 sièges dans la cabine principale. Air Canada perennise son Lyon – Montreal
  5. Je viens de voir dans le ciel Montréalais un avion de la compagnie Condor en direction de Frankfurt... je n'étais pas au courant, est-ce que c'est nouveau?*
  6. Je ai réservé une compagnie aérienne à service client vol 24 et veux savoir si elles acceptent des modifications à la date du vol. âce
  7. Je suis passé par là il ya quelques jours et le gros lot en rouge est en démolition. Les deux autres lots encerclés en rouge semblent abandonnés et faisant partie de la même compagnie d'antan... Ces terrains sont immenses et pourraient très bien faire du résidentiel... à suivre. Évidemment si vous avez une idée de ce qui se passe là, n'hésitez pas à commenter le fil.
  8. Royal Air Maroc deux fois par jour à Montréal cet été. La compagnie aérienne Royal Air Maroc ajoutera au cœur de l’été un deuxième vol quotidien entre Casablanca et Montréal, l’une de ses deux destinations en Amérique du nord avec New York en attendant l’ouverture de Washington à l’automne. Du 2 juillet au 10 septembre 2016, la compagnie nationale marocaine propose deux vols par jour entre sa base à Casablanca-Mohammed V et l’aéroport de Montréal-Pierre Elliott Trudeau, opérés avec un mix de Boeing 787-8 Dreamliner (18 passagers en classe Affaires, 256 en Economie), de 747-400 (20+478) et de 767-300ER (12+224). Les départs du Maroc seront alors programmés à 4h30 (arrivée 7h15) et à 18h05 (arrivée 20h25), les vols retour quittant le Canada à 8h45 (arrivée 20h45) et à 22h55 (arrivée le lendemain à 10h45). Royal Air Maroc reste sans concurrence sur cette route, du moins jusqu’au 3 juin quand Air Canada inaugurera sa propre liaison, via sa filiale loisirs Rouge. Le renforcement de l’offre « intervient pour répondre à la demande croissante pendant la saison d’été des Marocains résidant au Canada », explique la RAM dans un communiqué ; « il vise également à offrir un programme de vols qui relie parfaitement Montréal au réseau de la compagnie, aussi bien au niveau national qu’international, via son Hub de Casablanca ». La compagnie partage ses codes au Canada avec WestJet. Outre Montréal, Royal Air Maroc dessert en Amérique du nord l’aéroport de New York-JFK et s’envolera le 8 septembre vers Washington-Dulles ; dans ses deux cas, les passagers peuvent profiter d’un accord de partage de codes avec JetBlue Airways pour prolonger leur voyage. En Amérique latine, elle se pose à Sao Paulo-Guarulhos et atterrira le 2 mai à Rio de Janeiro-Galeao ; elle dispose au Brésil d’un accord de partage de codes avec la low cost GOL. http://www.air-journal.fr/2016-01-14-royal-air-maroc-deux-fois-par-jour-a-montreal-cet-ete-5156520.html
  9. http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201602/14/01-4950641-un-incitatif-pour-lachat-dautobus-scolaires-electriques.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-le-soleil_article_ECRAN1POS4 Publié le 14 février 2016 à 20h15 | Mis à jour le 15 février 2016 à 09h30 Un incitatif pour l'achat d'autobus scolaires électrique De Saint-Georges, en Beauce, au Lac-Saint-Jean, en passant par le nord de Montréal, des autobus électriques jaunes aux pare-chocs bleus commencent à rouler un peu partout. Autobus Lion en a même un en essai en Californie. Ma Presse Patricia Cloutier Le Soleil (Québec) Apparus sur les routes du Québec au début janvier, les autobus scolaires électriques de la compagnie Lion sont sur le point de prendre leur place sur le marché. Le ministère des Transports annoncera bientôt comment les commissions scolaires pourront privilégier les transporteurs qui utilisent des véhicules électriques. Située à Saint-Jérôme, Autobus Lion est, pour le moment, la seule entreprise en Amérique du Nord à avoir conçu un autobus scolaire 100 % électrique. «On est vraiment dans la phase de construction et de livraison, et ça va très bien. On en livre un ou deux par semaine, un peu partout au Québec», se réjouit le président Marc Bédard. De Saint-Georges, en Beauce, au Lac-Saint-Jean, en passant par le nord de Montréal, des autobus jaunes aux pare-chocs bleus commencent à rouler un peu partout. La compagnie en a même un en essai en Californie. M. Bédard a attendu la politique d'électrification des transports du gouvernement du Québec, dévoilée cet automne, avant de commencer ses livraisons dans la province. Cette politique prévoit une enveloppe de 30 millions $ d'ici 2020 pour appuyer l'achat d'autobus scolaires électriques. Le gouvernement souhaite aussi réduire la compensation qu'il accorde pour l'utilisation du carburant diesel sur les parcours scolaires. Selon M. Bédard, une autre annonce gouvernementale, qui sera faite prochainement, permettra aux commissions scolaires de savoir comment elles pourront prendre le virage. «Cette annonce va permettre de faire un pas de plus», affirme M. Bédard, sans vouloir s'avancer davantage sur ce qu'elle contiendra. «Nous ferons une annonce en temps et lieu», s'est contenté de dire Mélissa Turgeon, l'attachée de presse du ministre des Transports Jacques Daoust. Précurseur dans son domaine, Autobus Lion a eu besoin de moins d'un an pour concevoir et construire un autobus scolaire électrique, qui a été mis à l'essai en 2014. En février 2015, le gouvernement du Québec lui a accordé une subvention de 2 millions $ pour la construction et l'essai de six autres prototypes. Maintenant qu'elle a le vent dans les voiles, la compagnie souhaite vendre des autobus scolaires électriques un peu partout en Amérique du Nord. Essais concluants à Saint-Georges Autobus Breton, fournisseur du transport scolaire à Saint-Georges, se dit pour l'instant très satisfait des deux autobus qu'il a commandés, en mai dernier. Il était alors la première compagnie à le faire. «J'adore ça, c'est très silencieux! On s'aperçoit que les enfants sont plus bruyants qu'on pensait», lance en riant le président Pierre Breton. Ayant reçu ses autobus vers le 8 janvier, M. Breton n'a pas connu de problème majeur après un mois d'utilisation en période hivernale. Pas de panne, pas de difficultés à monter les côtes. «Je les ai essayés beaucoup, et ils vont très bien. Par contre, ils parlent de 120 kilomètres d'autonomie, mais avec le chauffage, je pense pas qu'on va réussir à faire ça en hiver», lance-t-il. Se limitant à des circuits de 75 kilomètres par jour, ses autobus scolaires sont rechargés tous les soirs au garage. «On va regarder nos factures d'électricité et on va voir d'ici la fin de l'année scolaire combien on économise par rapport au diesel», explique-t-il. M. Breton admet avoir eu quelques problèmes mineurs avec le tableau de bord et l'indication de la charge. Des techniciens d'Autobus Lion ont dû se déplacer deux fois pour assurer le service après-vente. M. Breton n'a pas l'intention d'acheter d'autres autobus électriques d'ici la fin de l'année, mais il est ouvert à l'idée si la rentabilité est au rendez-vous et si le gouvernement annonce bel et bien des incitatifs en ce sens. «Ce qui est important, c'est que nos contrats avec les commissions scolaires soient à plus long terme. On va voir si on investit là-dedans, tout dépendant comment le gouvernement s'aligne pour la durée de nos contrats», ajoute M. Breton. Nommé eLion, l'autobus électrique fonctionne avec un moteur fabriqué au Québec, limité à 149 kW, soit l'équivalent de 200 chevaux. Il faut compter 4,5 heures avec un point de charge de 240 volts pour recharger complètement les batteries. La coquille en fibre de verre des véhicules est fabriquée à Sainte-Clothilde, en Beauce. Les autobus coûtent environ 150 000 $ et permettraient de faire des économies de 15 000 $ en carburant par année.
  10. Je n'ai pas trouvé de fil sur le sujet, mais je me doute qu'il en existe probablement un... Il semble se tramer quelque chose sur le terrain coin Saint-Denis et des Pins. Une compagnie de décontamination (Groupe C. Laganière) fait présentement des travaux majeurs sur le terrain, mais celui-ci appartient toujours à Esso. Quelqu'un sait ce qui s'y passe?
  11. Selon l'aéroport, la compagnie n'aurait pas payé les frais d'atterrissage. Il y a aussi des rumeurs qui disent la compagnie pourrait être en faillite... Ça ne s'annonce pas bien. http://globalnews.ca/news/2187158/skygreece-grounds-flights-to-and-from-toronto-passengers-stranded/
  12. Forte progression de la RAM sur l’Amérique du Nord. Royal Air Maroc a publié ses chiffres de juillet concernant le trafic vers l’Amérique du Nord, qui se retrouve en forte progression (+ 16 %). Royal Air Maroc a transporté 36 201 passagers sur les deux lignes (sans concurrence) reliant Casablanca à Montréal et à New York, en progression de 16 % par rapport à la même période de l’année dernière. Cela correspond à 143 vols qui ont enregistré un taux de remplissage de 76%, selon le communiqué de la compagnie marocaine. Les vols reliant la capitale économique et plus grande ville du Maroc, à Montréal ont été plébiscités au cours du mois de juillet, avec près de 19 500 passagers, en hausse de 34% par rapport à la même période de l’année dernière.... L’autre destination de la compagnie sur le continent nord-américain, en l’occurrence Casablanca-Montréal, a bénéficié également d’un renforcement de l’offre puisque la compagnie a doublé la capacité des vols par l’injection d’avions de capacité plus grande (un Boeing 747-400 de 498 places en bi-classe) et la programmation de vols supplémentaires. http://www.air-journal.fr/2015-08-16-forte-progression-de-la-ram-sur-lamerique-du-nord-5148551.html
  13. Royal Air Maroc : un Dreamliner à Montréal. Le deuxième Boeing 787-8 Dreamliner de la compagnie aérienne Royal Air Maroc a été déployé vendredi entre Casablanca et Montréal, où il doit atterrir trois fois par semaine jusqu’au début juin. Livré mi-avril à la compagnie nationale marocaine, le Dreamliner immatriculé CN-RGC a décollé le 1er mai 2015 à 18h20 de l’aéroport de Casablanca-Mohammed V à destination de Montréal-Pierre Elliott Trudeau, où il est arrivé à 21h05 ; le vol retour a quitté le Canada à 22h35 pour se poser le lendemain à 10h35. Royal Air Maroc a prévu de déployer son 787-8 jusqu’à trois fois par semaine sur cette route sans concurrence, les autres rotations restant opérées en 767-300ER. Rappelons qu’elle a annoncé pour cet été un doublement des capacités vers le Canada, y compris via l’ajout de fréquences supplémentaires. http://www.air-journal.fr/2015-05-04-royal-air-maroc-un-dreamliner-a-montreal-5143684.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
  14. Lorsque j'ai déménagé dans le coin il y a deux ans, l'immeuble à cet endroit avait brûlé peu avant. Il y avait une terrible carcasse qui rendait ce coin de Mont-Royal, entre St-Denis et St-Laurent, très peu attrayant. Ils l'ont ensuite démoli, et pendant deux ans, ce terrain ressemblait à pas grand chose. Un autre terrain sous-utilisé du secteur. https://maps.google.com/maps?q=55+Avenue+du+Mont-Royal+Est,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&hl=en&ie=UTF8&ll=45.520293,-73.585289&spn=0.004082,0.010568&sll=45.520651,-73.585934&layer=c&cbp=13,344.57,,0,-5.12&cbll=45.520627,-73.585956&hnear=55+Avenue+du+Mont-Royal+Est,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H2T+1N4,+Canada&t=h&z=17&panoid=HmSVeRgzW0mIqi2KysbQ6A Finalement : un projet conventionnel de 4 étages et un rdc commercial! On aime quand même! Le local est loué. On ignore par quoi. Perso, je mets un 10 sur un Starbucks. Ils recherchent ce type d'espace commercial neuf vitré. De plus, il n'y en a pas dans le coin (St-Laurent/Mt-Royal), et la compagnie en ouvre partout sur le Plateau depuis 1-2 ans (Brebeuf/Mt-Royal, St-Hubert/Mt-Royal, Laurier/Lanaudière, Laurier/Parc). Je prie pour que ça soit un café, je vais vous avouer. 22 octobre 2012 :
  15. Moose Knuckles : quand la francophobie a belle allure le 25 février 2014 par Pascal Léveillé Lien: http://www.lerepublique.com/1129573/moose-knuckles-quand-la-francophobie-belle-allure/ Difficile d’aller plus loin dans le cliché et dans la provoc’. La compagnie de vêtement Moose Knuckles se paye en ce moment toute une campagne de pub. On se croirait dans une version sexy-bucheron du sketch de RBO, le 4e Reich, où les francophones prenaient la place des nazis. Et la pub tourne autour d’un FLQ transformé pour les besoins en FUQ, difficile de ne pas y voir un pied de nez… Le scénario se déroule ainsi. Le FUQ, la Fédération unilatérale du Québec, une milice paramilitaire qui achète des armes illégalement, entraine ses troupes pour attaquer l’Alberta et s’emparer de son pétrole. Voilà pour la provoc’, maintenant le cliché. Le patron de la boîte (et concepteur de la campagne publicitaire), Will Poho, va défendre à TVA son concept en anglais seulement. Le site qui est consacré à cette campagne est en anglais seulement. Et le site de la compagnie aussi d’ailleurs. Pour ceux que ça intéresse, c’est une compagnie montréalaise. Ce n’est peut-être pas francophobe en soi, mais ça le laisse très bien sous-entendre. Et le sous-entendu se transforme en feu d’artifice quand on y ajoute la teneur de la pub où la violence est une marque distinctive du francophone militant. [...] What the FUQ Quebec wants? J’en arrive à la conclusion qu’il vise le marché Canadien-anglais où sa marque pourra carburer aussi à la sympathie, ce qui devrait être un plus à sa reconnaissance. Le « Quebec-bashing », c’est vendeur! Et même le Québec, dans le fond. Qui ça dérange, à part quelques nationaleux poussiéreux? Mais bon, j’allais oublier la gaugauche… Sans hésiter, il ajoute que, selon lui, le mouvement des carrés rouges n’était pas loin de se transformer en une sorte de F.U.Q, l’armée créée pour cette publicité. Décidément, Will Poho voulait se mettre beaucoup de monde à dos. Et quand je vous parlais de vraisemblance, voilà l’évidence. Qu’est-ce que le Québec veut? Pas les vêtements de Moose Knuckles, j’espère… Ajout : Un ami a constaté comme moi que toute la communication de la compagnie se fait exclusivement en anglais et il a décidé d’appeler aux bureaux de Moose Knuckles. La personne qui lui a répondu a dit : « Sorry, I don’t speak french. » Et 15 minutes après son appel, un statut en français est apparu sur leur page Facebook. Cedit statut est visiblement un autre statut anglophone simplement traduit par un utilitaire comme « Google translate » pour qu’on ne puisse pas dire qu’il n’y a rien de français… Quelques perles : « vous ne serez jamais en sortir vivant » « nous jouissons de se moquer de nous-mêmes » « le ridicule qu’il peut être de permettre à nos différences pour nous incitent plus espacés » « Comment nous pouvons être grave vraiment? » On trouve ça bien drôle quand ça vient de Chine, mais provenant de Montréal, c’est pathétique. Voir aussi: http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2014/02/20140224-214132.html
  16. Le segment montréalais est a 11:10 Nos opérations de déneigement fascinent les gens un peu partout sur la planète. Plus tôt cette semaine, la télévision publique allemande Das Erste a tourné un reportage sur le sujet en compagnie de notre équipe. Voici le résultat dans la langue de Goethe! <span class="userContent">https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dYf_cNf2kAw
  17. J'ouvre une discussion sur le forum. Habituellement mes "Discussions" ne sont pas toujours populaire mais je m'essais encore. Pourquoi ne pas faire un retour vers une compagnie aérienne d'état? Je m'explique et prenez note que je ne connais pas grand chose au sujet de départ, je ne fais que taper mes pensés. Il est difficile de comparer avec les SAQ, Hydro-Québec ou Loto-Québec qui sont des monopoles ? Mais le Québec a tellement un terrain vaste que toujours se fier sur Air Canada qui se sent forcé d'aller partout, c'est un peu fatiguant. Mon idée est venu du fait que cet été je dois aller aux Îles de la Madelaine. Un billet allez-retour pour la période est 850$ avec Air Canada, seul compagnie aérienne couvrant le territoire à partir de Montréal. à titre comparatif, un vol Montréal Charles de Gaulle pour la même période avec Air Canada........780$. I lest donc plus dispendieux de faire un vol sur un autre CRISSE DE CONTINENT que dans notre propre province. Montréal pourrait être un hub vers des endroits comme Rouyn, YVY, 1h27 de vol, Prix Air Canada: 760$ Val d'or, YVO, 1h17 de vol, prix AC: 690$ (Air Creebec 2000$+) Ile de la Madelaine, YGR (4h00 de vol) Gaspé, YGP (2h50 de vol) Prix AC: 894$ Québec, YQB, 0h52 de vol, Prix AC: 592$ Saguenay (Bagotville), 1h10 de vol, Prix AC: 721$ Hors Québec pourrait faire Ottawa, Toronto et les Maritimes par exemple. Nous parlons ici que de vols de quelques heures seulement, il serait donc possible d'avoir, par exemple, une journée ou un équipage pourrait faire Montréal-Val D'or-Québec-Montréal dans la même journée. Comme un Autobus de la STM, un avion pourrait faire 2-3 fois le même voyage dans la journée dépendant la demande. Et quand je dis Montréal ça peut aussi bien être à St-Hubert si les frais d’atterrissage à Dorval sont trop cher. En plus des prix des billets, puisque nous parlons ici d'une compagnie d'état, il pourrait y avoir un revenus sur le tourisme dans les régions servies. Je n'ai jamais été à Val d'Or, j'aimerais peut-être allez y passe une journée ou deux sans avoir à conduire 6h pour me rendre et 6h pour revenir et enlever du temps où je pourrais "gaspiller" mon argent la bas. Je vais comparer mon exemple qui m'est arrivé. Ma conjointe est né à Portoviejo en Équateur, elle a donc cette nationalité. Lors de notre dernier voyage la bas, nous voulions allez au Galapagos dans le même pays. Le vol pour elle, native et possédant son passeport de l'Équateur lui a coûté l'équivalent de 300$c, moi? 1200$ Pourquoi? Pour encourager les natif de visiter ce merveilleux coin du monde. je compare donc les Galapagos avec les ïles de la Madelaine ou Anticosti, ce sont des endroit touristique superbe que la plupart des Québécois ne visiterons jamais. Donc, Moi, Québécois, mon vol pourrait me coûter 300$, le touriste qui utilise AirQuébec, 800$ Nous encourageons donc les Québécois à garder leur argent au Québec et le dépenser localement. Pas besoin de gros avions ici, quelques Regional Jet ou C Series de Bombardiers en échange de prêt et d'aides financières j'imagine que Juujjuaq n'est pas nécessairement une destination pour remplir au Airbus 380, mais un Bombardier CRJ de 50 places serait bien suffisant. Comme il est écrit sur les autobus "Cet autobus remplace 50 automobiles" Imaginez combien un avion pourrait aider la congestions et la pollution sur les routes. En même temps, ça forcerait peut-être Via Rail à revoir ces prix aussi. Je sais que l’expérience a déjà été fait dans le temps, mais je crois fortement que les temps ont changés. Les gens veulent voyager mais pas tout le monde ont les moyens de se rendre dans le sud, le Québec est tellement un bel endroit, pourquoi ne pas en profiter un peu? Qu'en pensez vous? Est-ce qu'il y a de l'argent à faire un s'il y en avait, le privé l'aurait déjà fait? Avec l'IATA, IFALPA, OACI, ACI et les compagnies Bombardiers, CAE ou Rolls Royce, notre savoir faire en aéronautique n'est pas à douter, nous avons la main d'oeuvre de qualité et le territoire pour le faire. Je crois que dans cette nouvelle économie, ça vaudrait la peine d'étudier ce genre d'aventure publique.
  18. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2013/02/22/rester-a-montreal-pour-innover/
  19. Une immense toile de Salvador Dali dévoilée à Montréal MONTREAL - Une immense toile de Salvador Dali, peinte à New York pour servir de rideau au ballet Tristan Fou présenté au Metropolitan Opera en 1944, a été pour la première fois dévoilée lundi au public à Montréal, après avoir été restaurée en Suisse. La toile, qui mesure près de neuf mètres sur quinze et représente une vision surréaliste de Tristan et Yseult, sera utilisée comme un élément de décor par le metteur en scène de cirque Daniele Finzi Pasca pour son spectacle La Verità, dont la première mondiale est prévue au théâtre Maisonneuve à Montréal le 17 janvier prochain. La Verità sera une incursion théâtrale et acrobatique dans la vie du peintre espagnol, menée par douze interprètes de la compagnie Finzi Pasca, basée à Lugano en Suisse, a indiqué Daniele Finzi Pasca lors d'une conférence de presse. Après Montréal, la toile et le spectacle entameront une tournée en Amérique du Sud jusqu'à l'été 2013, puis gagneront l'Europe, à commencer par la France, la Suisse, l'Italie et l'Espagne, a précisé le porte-parole de la compagnie, Jean-Sébastien Rousseau. La toile de Dali avait dormi pendant des décennies entreposée dans les stocks d'anciens décors du Met avant d'être achetée par une société de collection d'art européenne, dont le nom est gardé secret, mais qui pourrait bien être basée en Suisse. Le spectacle de Finzi Pasca ne s'inspire nullement du ballet de Léonide Massine, dont Dali avait écrit le livret et créé les décors et les costumes. La toile de ce dernier, représentant Tristan et Yseult empêtrés dans leur drame mêlant amour, mort et folie, est bien entendu fidèle au style surréaliste de Dali avec une brouette qui émerge du dos d'un des deux personnages et une fleur de pissenlit poussant sur la tête de l'autre, a souligné une experte de l'oeuvre de l'artiste espagnol, collaboratrice temporaire de la compagnie Finzi Pasca, Jennifer Whisper. Dali avait peur d'être fou. Il a dit cette phrase célèbre: +la différence entre un fou et moi, c'est que je ne suis pas fou+. Mais il devait s'en sentir assez proche, a-t-elle ajouté. L'émergence de cette oeuvre inconnue permet de rappeler une facette inconnue et importante de l'oeuvre de Dali qui avait beaucoup travaillé avec des grands noms de la scène, dont Peter Brook, Visconti et Béjart, a souligné Mme Whisper. A l'époque de la présentation de Tristan Fou le décor de Dali avait été jugé trop grand par les critiques. L'introduction d'acrobates par Finzi Pasca permettra au spectacle de ce dernier d'être à la hauteur de l'oeuvre, pense-t-elle. http://www.romandie.com/news/n/_Une_immense_toile_de_Salvador_Dali_devoilee_a_Montreal58051120122015.asp
  20. 192 mètres de hauteur La plus haute grue mobile au monde à Montréal Agence QMI 26/01/2012 09h55 MONTRÉAL - La plus haute grue mobile au monde a fait son arrivée à Montréal. La grue, qui fait 192 mètres (627 pieds) de hauteur, est déployée sur les terrains de l'entreprise qui l'a achetée, Grue Guay, dans l'arrondissement d'Anjou. Elle est presque aussi haute que la Place Ville-Marie. Cette nouvelle grue permet d'effectuer des travaux d'envergure. Elle pourrait, par exemple, servir aux travaux de reconstruction de l'échangeur Turcot. C'est la compagnie Liebherr qui l'a conçue et fabriquée. Les gens qui empruntent l'autoroute 25, à Anjou, peuvent facilement l'apercevoir dans le ciel. Pour voir un vidéo de la grue : http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2012/01/20120126-095540.html
  21. Via ajoute des départs supplémentaires vers Toronto et Ottawa, au départ de Montréal. http://www.montrealitesurbaines.com/ Plus de départs égalent plus de flexibilité pour les voyageurs, qui pourront désormais revenir d'Ottawa en fin de soirée. Les dix départs quotidiens vers Toronto permettront aussi à Via de mieux compétitionner avec les compagnie aériennes, dont Air Canada qui offre des départs aux 30 minutes aux heures de pointes et aux heures le reste de la journée. Via prévoit ajouter davantage de départs quand les améliorations des voies seront complétées.
  22. Paul-André Gilbert Le Courrier du Sud - Publié le 27 septembre 2011 à 09:00 BROSSARD.En venant s’installer à Brossard, BBA a l’intention d’être une bonne entreprise citoyenne, qui s’impliquera dans la communauté brossardoise. «BBA étant une bonne entreprise citoyenne, partout où nous sommes installés, on a été actifs dans les différents organismes», a déclaré Steeve Fiset, président de l’entreprise. Ainsi, lorsque vient le temps de s’impliquer dans la communauté, l’entreprise privilégie deux domaines : les arts et l’éducation. BBA se targue également d’être une entreprise de pointe au niveau de la conciliation travail-famille. Parmi les mesures mises en place, la compagnie possède une banque de temps qui permet aux employés d’accumuler des heures et de les reprendre plus tard. «Ils peuvent faire des heures en avance dans la semaine et reprendre ces heures-là, lorsque c’est possible évidemment, lorsque les conditions le permettent, pour aller s’occuper d’un enfant qui est malade ou aller à un rendez-vous», a indiqué M. Fiset. La compagnie choisit Brossard pour poursuivre sa croissance La compagnie, dont le siège social est situé à Mont-Saint-Hilaire, couvre principalement deux marchés : l’énergie et les mines. Le bureau de Brossard sera consacré aux projets d’infrastructures électriques et d’automatisation pour des clients qui sont dans le secteur minier. Selon M. Fiset, BBA a décidé d’ouvrir un bureau à Brossard pour deux raisons. Premièrement, la ville de Brossard, et plus particulièrement le secteur du Quartier DIX30, est aux dires du président un endroit dynamique qui sera propice à la croissance future de la firme. Ensuite, l’ouverture d’un bureau à Brossard donnera à BBA l’accès à un bassin de main-d'œuvre complémentaire à son bureau de Montréal et à son siège social de Mont-Saint-Hilaire. «Avoir un bureau à Brossard donnera accès à toute une main-d'œuvre qualifiée technique, qui ne souhaite pas nécessairement venir à Saint-Hilaire ou traverser les ponts à Montréal», a-t-il dit. Le président veut attirer la main-d’œuvre de Brossard, mais aussi de la région de La Prairie, Sainte-Catherine et Saint-Constant.
  23. Isabelle Hudon est rendue là !? C'est passé inaperçu. ****************** La Financière Sun Life veut repartir à zéro avec le Québec 21 mars 2011 | 18h09 Caroline Pailliez Argent La nouvelle présidente de la Financière Sun Life, Isabelle Hudon, veut en finir avec cette image d’entreprise anglophone qui a tourné le dos aux Québécois au cours du premier référendum sur la souveraineté en 1978. Photo : Agence QMI « Des erreurs ont été commises. La Financière Sun Life a un long passé malheureux avec les Québécois, mais il est temps de passer à un autre chapitre », affirme Mme Hudon dans un entretien avec Argent. Devant l'adoption de la loi 101 par le gouvernement du Parti québécois et l'éventualité d'un référendum sur la souveraineté, la compagnie d'assurances avait déménagé son siège social à Toronto. L’affront hante l’assureur depuis. Avec la nomination d'Isabelle Hudon au poste de présidente de la Financière Sun Life Québec en août dernier, la compagnie démontre sa volonté de redorer son blason. « Les racines de la Financière Sun Life sont à Montréal », ajoute Mme Hudon dans un discours prononcé au cours du Cercle Canadien, lundi à Montréal. Les Québécois, aussi, semblent avoir tourné la page. La Financière Sun Life a été élue, il y a quelques semaines l’entreprise du secteur financier la plus admirée par les Québécois, selon le palmarès réalisé par Léger Marketing. « Nous sommes crédibles, nous offrons de bons produits et un service à la clientèle qui surpasse les attentes », justifie Mme Hudon. La Financière Sun Life a récemment multiplié les investissements auprès de la communauté québécoise. La compagnie a inauguré, mercredi dernier, une nouvelle scène au Monument- Nationale en partenariat avec l’École nationale de théâtre. D’après la directrice, l’entreprise a investi au cours de l’année 2010 près de 1,2 M$ dans des programmes philanthropiques. « Ces faits témoignent de notre profond attachement au Québec et surtout, de notre volonté de faire partie intégrante de son évolution socio-économique », conclut-elle La croissance est au Québec Le Québec représente le deuxième plus important marché du Canada, l’un de ceux qui connaît la croissance la plus rapide. Or avec la décision du gouvernement d’aller de l’avant avec un régime volontaire d’épargne-retraite, la compagnie d’assurance profite d’un nouveau mécanisme d’adhésion automatique. « Les employés sont inscrits automatiquement à un programme d’épargne-retraite. Toutefois, ils ont le choix de se désinscrire s’ils le souhaitent », explique-t-elle. Elle précise que là où le programme est implanté, très peu ont voulu s’en retirer. Avec une telle mesure, la Financière Sun Life s’assure un bassin énorme de nouveaux clients.
  24. Le Cirque du Soleil a acquis en décembre un terrain vague d'une valeur de 3,2 millions de dollars à proximité de son siège social dans le quartier Saint-Michel, à Montréal, pour y développer ses installations. Selon des documents consultés par Radio-Canada, ce terrain a été acheté en 2008 de la Ville de Montréal pour 2,8 millions de dollars par une compagnie à numéro appartenant à Guy Laliberté, le fondateur et chef de la direction du Cirque. Les prix correspondent aux évaluations municipales. Selon une porte-parole du Cirque du Soleil, l'entreprise a acquis ce terrain en décembre de la compagnie de Guy Laliberté dans le but de le développer « au moment opportun [...] pour une vocation communautaire ou administrative », mais refuse d'en expliquer les raisons détaillées. Le terrain pourrait néanmoins servir à y construire de nouveaux bureaux. Pour l'instant, les employés du Cirque sont logés dans des bureaux loués à proximité du site. « Le Cirque a bel et bien acheté ce terrain près de la TOHU. Cependant, nous n'avons pas pour l'instant de projets établis. Il faut garder en tête le fait que le Cirque est installé dans le quartier Saint-Michel depuis 1997 et que nous avons toujours investi dans l'optique d'être bien ancrés dans le quartier », affirme la porte-parole Tania Orméjuste. « Le Cirque du Soleil ne se cache pas d'être intéressé par les terrains qui pourraient devenir disponibles dans le quartier Saint-Michel pour développer le centre de création qu'est le siège social international », poursuit-elle. L'arrondissement Saint-Michel dit n'avoir délivré aucun permis de construction pour ce terrain récemment ni avoir reçu de demande de permis. Il n'existe pas d'autres transactions ces dernières années dans le secteur au nom de Guy Laliberté ou de sa compagnie à numéro. Ce terrain est partiellement occupé par Rebuts solides canadiens, une société qui trie les matières recyclables de plusieurs arrondissements. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/01/11/013-cirque-soleil-terrain.shtml
  25. http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/04/28/les-etats-unis-tentent-par-tous-les-moyens-d-endiguer-la-maree-noire_1343766_3244.html 'espoir d'endiguer rapidement ce qui risque de devenir l'une des pires marées noires de l'histoire des Etats-Unis s'amenuisait, mercredi 28 avril, au large de la Louisiane. La nappe de pétrole de 1000 kilomètres de circonférence s'est rapprochée à une trentaine de kilomètres du littoral. Les gardes-côtes américains envisageaient d'incendier une partie de la nappe dès mercredi pour en limiter l'impact – au risque d'une sévère pollution atmosphérique. Ravagée, le 20 avril, par une explosion et un incendie qui ont fait onze disparus, la plate-forme d'exploration Deepwater Horizon, exploitée dans le golfe du Mexique, à 70 kilomètres des côtes américaines par la compagnie British Petroleum (BP), a sombré deux jours plus tard. L'épave repose désormais par 1500 mètres de fond, mais le puits continue de déverser 160000 litres de brut par jour. Un millier de personnes sont mobilisées pour des opérations de secours qui coûtent 6 millions de dollars (4,5 millions d'euros) par jour à BP, et mettent en œuvre une batterie de solutions expérimentées pour la première fois à cette échelle, et à cette profondeur. L'échec des robots. Quatre robots sous-marins baptisés ROV — pour "remotely operated vehicules" — tentent, depuis lundi 26 avril, de fermer "manuellement" les différentes vannes de sécurité qui auraient normalement dû se déclencher automatiquement lors de l'accident. Leur cible: une valve de 450 tonnes située à la sortie du puits, à 1,5 kilomètre de profondeur, seul espoir de stopper rapidement la marée noire en arrêtant l'écoulement. "Cela n'a jamais été fait auparavant, mais nous avons les meilleurs experts du monde pour faire en sorte que ça marche", assurait un responsable de BP, Doug Suttles, lundi. Un optimisme démenti pour l'instant, même si "les robots continueront leurs tentatives aussi longtemps que nécessaire", assure Robert Wine, un porte-parole de la compagnie. Un couvercle de métal. Les ingénieurs de BP préparent une solution alternative: un couvercle métallique en forme d'entonnoir viendrait coiffer le puits pour retenir le pétrole avant qu'il se disperse dans l'océan, et l'extraire vers des barges en surface. Une méthode sans garantie, testée uniquement en eaux peu profondes, après l'ouragan Katrina, en Louisiane, en 2004. "La structure, fabriquée sur mesure, est en cours de conception et de construction. Elle devrait être prête d'ici deux à quatre semaines", indique M.Wine. Une deuxième plate-forme. Parallèlement, BP a entrepris de forer un puits de secours pour court-circuiter le premier ou pour y injecter un enduit destiné à boucher la fuite. La plate-forme Development DrillerIII, arrivée sur place lundi, devrait commencer à forer d'ici quelques jours. Cette solution prendra "deux à trois mois", selon BP. Mais face au coût d'un forage supplémentaire — 100millions de dollars —, la compagnie ne perd pas son sens des affaires: "Une fois les opérations de secours terminées, puits et plate-forme serviront à la production de pétrole en remplacement des éléments détruits par l'explosion", explique Robert Wine. L'environnement menacé. Le fragile écosystème du golfe du Mexique est soumis à une intense activité pétrolière: plus de 3500 plates-formes y exploitent des nappes profondes au très fort potentiel, mais dont le forage représente un défi technique à haut risque. Située à deux ou trois jours des côtes seulement, la marée noire menace les zones humides, les réserves naturelles et les sites de nidification de Louisiane, du Mississippi, d'Alabama et de Floride. Sans oublier que 40 % des fruits de mer consommés aux Etats-Unis proviennent de Louisiane, où le commerce des huîtres, des crabes et des crevettes pourrait être fortement touché. D'ores et déjà, "le milieu marin est certainement affecté", estime Cynthia Sarthou, directrice de l'association de protection de l'environnement Gulf Restoration Network, à La Nouvelle-Orléans, inquiète pour les cachalots, les requins et les dauphins qui peuplent ces eaux. "La fine nappe que l'on observe ne montre que la part de pétrole qui remonte à la surface. On ne sait pas quelle quantité de pétrole reste en suspension dans l'océan et se disperse entre deux eaux, ou se dépose pour toujours sur le fond, deux cas de figure très nocifs pour les espèces marines et les écosystèmes", précise Mme Sarthou, selon qui l'impact de trois mois d'écoulement sous-marin de brut risque d'être catastrophique. Des enquêtes en cours. Inflammation du pétrole, explosion due au gaz, négligences? Une enquête sur les causes de la catastrophe a été confiée aux gardes-côtes des Etats-Unis et au Mineral Management Service (MMS), l'administration chargée de délivrer les permis de forer. BP et la société suisse Transocean, propriétaire de la plate-forme construite en 2001, vont diligenter leur propre enquête. BP avait rejeté, en septembre 2009, un renforcement des règles de sécurité demandé par le MMS. Un refus qui pourrait lui coûter cher si sa responsabilité était avérée: des entorses aux règles de sécurité par souci d'économie ont déjà entraîné deux accidents tragiques sur des sites de la compagnie aux Etats-Unis, l'explosion de la raffinerie de Texas City en 2005 et la pollution de Prudhoe Bay, en Alaska, en 2006.
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