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  1. Je pense pas avoir vu ce projet mentionné ici encore. COLO-D va se porter acquéreur d'une partie (150,000 pieds carrés) de l'ancien siège social de Jean Coutu à Longueuil. Il s'agit d'un investissement de 100 millions de dollars, incluant 15 millions investis par le Groupe Jean Coutu lui-même: Voir aussi les communiqués suivants sur le site de COLO-D: http://colo-d.ca/en/jean-coutu-group-announces-investment-in-colo-d/#.VlCfZaK3v3A http://colo-d.ca/en/colo-d-continues-strong-growth-and-announces-the-opening-of-a-second-mega-data-center-in-quebec-in-2016/#.VlCgA6K3v3A
  2. Une usine d’eau potable de trop selon Projet Montréal Alors que la Ville de Montréal a demandé un audit de son plan d’investis*sement en infrastruc*tures de l’eau, Projet Montréal répète qu’au moins une des six usines d’eau potable est de trop. Selon les calculs réalisés par l’élu de Projet Montréal Sylvain Ouellet, la production d’eau a été en moyenne de 1,8 million de m3 par jour entre 2009 et 2013, soit 62% de la capacité maximale de production de la Ville. «Même en prenant la pire journée de canicule sur une période de cinq ans, les usines ont un excédent de capacité de 367 310m3, soit deux fois la capacité totale de production des usines de Lachine et Dorval», évalue M. Ouellet. Ce dernier note en outre que l’usine de Pierrefonds est actuellement en rénovation pour augmenter de 70% sa capacité de production, que des travaux du réservoir Rosemont sont en cours pour augmenter la capacité de stockage de Mont*réal et que le colmatage des fuites dans le réseau d’égouts et d’aqueducs a contribué à réduire les besoins de l’ordre de 19% entre 2001 et 2012. Malgré ce constat, la Ville s’apprête à investir 32,2M$ dans les usines de Dorval et de Lachine, note M. Ouellet, qui a demandé lors du conseil municipal du mois d’avril que la Ville lance une étude sur la question. En 2013, un Montréalais habitant sur l’île consommait 903l d’eau par jour. Cela inclut la consommation d’eau des industries, des commerces et des institutions, ainsi que les fuites. L’élu de Projet Montréal semble avoir été en partie entendu. Durant la réunion du comité exécutif de mardi, l’administration Coderre a indiqué qu’elle octroyait un contrat de 83 700$ à l’Institut national de recherche scientifique (INRS) pour analyser la stratégie de l’eau et le plan d’investissement 2015-2024 qui y est lié. Mais l’audit en question ne se penchera pas sur l’opportunité de fermer une des usines de production d’eau potable. «Ce n’est pas dans nos cartons. La population va continuer d’augmenter. Il n’est pas question à court terme de fermer une usine», répond Chantal Rouleau, l’élue responsable de l’eau à la Ville. L’administration Coderre souhaite plutôt obtenir une analyse neutre des réalisations effectuées. «On a prévu d’investir 4,6G$ sur 10 ans. Faut-il maintenir le rythme ou l’augmenter?» dit Mme Rouleau pour illustrer ses propos. Elle souligne par exemple que l’arrivée de nouvelles techniques telles que le chemisage [un système de gainage qui permet de réparer les conduites sans creuser de tranchées] a permis d’accélérer les travaux et de diminuer les coûts, ce qui change la donne en matière de prévisions. Le rapport final de l’INRS sera déposé à l’automne. http://journalmetro.com/actualites/montreal/802290/une-usine-deau-potable-de-trop-selon-projet-montreal/
  3. 8850, avenue Dubuisson (parc Clément-Jetté Nord) Actuellement en construction, la piscine offrira bientôt aux résidents de Mercier-Est une infrastructure moderne et accessible aux personnes à mobilité réduite. Ce projet de 12,9 M $ est entièrement financé par l’arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve. L’ouverture au public est prévue en avril 2014. Descriptif de la piscine Bassin intérieur de 25 m x 15,4 m sans plongeoir : 6 couloirs de natation de 2,2 m de largeur chacun Accès à l’eau en pente (rampe) pour personne à mobilité réduite avec fauteuil roulant Profondeur variant de 1,097 m à 2,5 m (8’) Capacité d’accueil : 205 personnes Glissade d’eau dans la partie profonde Bassin récréatif (pataugeoire) ± 175 m2 Jeux d’eau Plage d’accès progressive Profondeur variant de 0 m à 0,6 m (2’) Capacité d’accueil : 119 personnes Salles (vestiaires) avec accès pour personne à mobilité réduite Hommes Femmes Familiale avec salon d’allaitement Bâtiment à critères de construction « LEED OR » (développement durable) avec récupération d’énergie. Localisation : Parc Clément-Jetté Nord, dans le district de Tétreaultville. Accès par le stationnement de l’aréna Clément-Jetté et la rue Joffre. Stationnement de la piscine : 36 places. Professionnels : Consortium Thibodeau/Poirier Fontaine Architectes/cima+/s.e.n.c/nacev consultants inc.
  4. Je ne sais pas quel âge a ce projet, mais il est fort probablement plus vieux que 2002. Ce n'est pas une proposition pour le concours de l'OSM. Nomade avait proposé un projet différent de celui-ci! ----------------------------------------------------------------------- Localisation : Montréal, Québec client : Ivanhoé Cambridge Réalisation de NOMADE. Situé dans le Quartier des spectacles Montréal, la solution propose un projet d'ensemble comprenant un hôtel de 250 chambres, des espaces de bureaux, des espaces commerciaux, une salle de spectacles d'une capacité de 2 500 places, de même que la Maison des festivals et d'une agora extérieure pour accueillir les grands évènements montréalais se déroulant autour de ce périmètre. Le parti mise sur une signature architecturale audacieuse et sur une ouverture de l'îlot sur les rues adjacentes, afin de favoriser les circulations.
  5. Rio Tinto investira 228 M$ US dans la construction d'une nouvelle turbine haute efficacité d'une capacité de 225 mégawatts à sa centrale hydroélectrique Shipshaw, au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Pour en lire plus...
  6. La Saskatchewan investira 950 millions de dollars dans la société d'État afin d'augmenter sa capacité de production. Pour en lire plus...
  7. Le constructeur automobile américain General Motors et les vérificateurs de la firme Deloitte et Touche expriment de sérieux doutes quant à la capacité de l'entreprise à survivre à la crise. Pour en lire plus...
  8. Air France ajoute des vols vers Montréal Publié le 30 janvier 2009 à 06h31 | Mis à jour à 06h32 Marie Tison La Presse (Montréal) Alors qu'un bon nombre de transporteurs aériens réagissent au ralentissement économique en réduisant leur capacité, Air France s'engage sur le sentier de la guerre en augmentant de 11% sa capacité sur la liaison Montréal-Paris. Le transporteur veut faire jouer son arme secrète, une multiplication des fréquences. «Je suis encore optimiste», a déclaré le directeur général de la filiale internationale et des Pays-Bas d'Air France-KLM, Erik Varwijk, dans une entrevue accordée à La Presse Affaires hier. L'été dernier, Air France offrait trois vols quotidiens entre Montréal et Paris. L'été prochain, le transporteur offrira un vol additionnel. Il utilisera certains appareils plus petits que ceux de l'année dernière, mais le nouveau vol lui permettra quand même d'offrir une centaine de sièges de plus. M. Varwijk a affirmé que le coefficient d'occupation de l'été dernier justifiait cette décision. Mais il a surtout insisté sur le fait que l'ajout d'un nouveau vol offrait plus de flexibilité aux passagers et leur donnait accès à un plus grand nombre de correspondances à l'aéroport Charles-de-Gaulle, notamment vers l'Afrique et l'Asie. «C'est une façon logique d'attirer de nouveaux clients», a affirmé M. Varwijk. Dans l'ensemble, Air France-KLM n'augmentera pas sa capacité cette année. Si Air France augmente sa capacité vers le Canada, l'Amérique du Sud et l'Afrique, elle la diminue pour l'Inde. «Nous gardons une flexibilité à la hausse et à la baisse, a déclaré M. Varjwijk. Nous pouvons ajouter ou diminuer des fréquences, nous pouvons ajouter ou retirer des appareils.» L'entreprise a notamment retardé la prise de possession de certains appareils, comme des Boeing 777. Par contre, Air France devrait recevoir comme prévu l'été prochain le premier des 12 appareils A380 commandés à Airbus. «L'A380 est encore une bonne idée, c'est encore un avion très efficace», a plaidé M. Varwijk. Air France n'a pas encore déterminé de façon définitive où elle fera voler l'A380, mais ce ne sera pas sur la liaison Montréal-Paris. Encore une fois, il s'agit de faire jouer l'avantage de la multiplication des fréquences. L'utilisation de l'énorme A380 aurait forcé le transporteur à réduire le nombre de vols quotidiens entre les deux villes. M. Varwijk estime qu'Air France-KLM peut compter sur d'autres avantages pour tirer son épingle du jeu dans le contexte actuel. «La situation financière de l'entreprise est solide, a-t-il soutenu. Nous pouvons passer au travers la tempête.» Il a notamment soutenu que, cinq ans après la fusion d'Air France et KLM, il y a encore bien des synergies à aller chercher. L'entreprise n'a fait que commencer à combiner ses équipes de vente à l'échelle mondiale, ses systèmes informatiques et ses équipes d'approvisionnement. En outre, Air France-KLM s'apprête à lancer une coentreprise avec Delta-Northwest, ce qui permettra aux entreprises de partager les revenus liés aux liaisons entre l'Europe et l'Amérique du Nord. «Ce n'est pas quelque chose de nouveau, cela faisait déjà 11 ans que KLM avait formé une coentreprise avec Northwest», a-t-il rappelé. Air France-KLM a également annoncé récemment une prise de participation de 25% dans le transporteur italien Alitalia. «L'avenir est dans la coopération entre les transporteurs», a lancé M. Varwijk. Air France-KLM n'entend cependant pas répondre au ralentissement en adoptant une grille tarifaire à la Air Canada. Le transporteur canadien offre ses différents services à la carte. Le tarif est plus élevé si le passager désire plus de flexibilité, ou s'il veut un repas, ou s'il veut enregistrer des bagages supplémentaires. «C'est quelque chose qu'on voit moins en Europe, a déclaré M. Varwijk. Si les clients veulent ce type de différenciation, nous regarderons l'idée, mais pour l'instant, il n'y a pas une grande demande pour cela.» Par ailleurs, Air France-KLM ne ferme pas la porte à l'idée de commander un jour des appareils de la CSeries, la nouvelle famille d'appareils de 110 à 130 places de Bombardier. M. Varwijk a cependant déclaré que l'entreprise regardait également du côté d'Embraer, et même des nouveaux manufacturiers de biréacteurs régionaux de Russie et de Chine.
  9. Le Port de Montréal garde le cap 29 novembre 2008 - 11h52 La Presse Philippe Mercure «Quand on regarde le Baltic Dry Index.... C'est hallucinant.» Les turbulences que traverse le monde maritime, Patrice Pelletier les connaît bien. C'est pourtant avec sérénité que le PDG du Port de Montréal a accepté de faire le point sur la situation avec La Presse Affaires. Il faut dire qu'alors que plusieurs de ses concurrents de la côte Est affichent des décroissances, le Port de Montréal se maintient encore - de peine et de misère il est vrai - en territoire positif. La quantité de marchandise manutentionnée a augmenté de 0,3% au dernier trimestre par rapport à l'an dernier. En septembre, le Port était encore en avance de 4,5% sur l'an dernier. Le secret de la résilience? Patrice Pelletier l'attribue à la compétitivité de ses installations. «Quand il y a des difficultés, il faut que les lignes maritimes fassent passer leur marchandise par le chemin le plus compétitif. Et quand on veut accéder à l'Europe du Nord ou à la Méditerranée, Montréal est plus rapide par un nombre de jours importants.» Reste que le grand patron du Port de Montréal ne se raconte pas d'histoires. «On n'est pas aveugles, dit-il. C'est évident qu'il va y avoir des impacts. On ne peut pas nier qu'il y a une crise et qu'elle va continuer.» Un coup d'oeil plus minutieux aux chiffres du Port montre d'ailleurs que c'est son produit-vedette, le conteneur, qui sauve la mise avec une croissance de 10,9% au dernier trimestre par rapport à la même période l'an dernier. Le vrac liquide (pétrole, asphalte, produits chimiques), qui représente environ un tiers des marchandises manutentionnées à Montréal, a dégringolé de 18% au troisième trimestre; le vrac sec (acier, minerai, gypse, sel, sucre et autres) a stagné (+0,6%). Le Port avertit aussi que les difficultés du secteur de l'automobile risquent d'aggraver la situation du vrac sec en ralentissant les importations de minerai de fer. «Pour le vrac sec, ça va être une année en baisse, prédit M. Pelletier. Et nous, des baisses, on ne connaît pas ça.» Bref, l'heure n'est pas à la fanfaronnade. Le Port de Montréal a réduit ses prévisions de croissance de 7% à 5% pour l'année 2009. «On a des plans de contingence si on n'atteint pas ces chiffres-là. Si ça arrive, il va falloir regarder les dépenses, être plus productif pour avoir quand même un rendement intéressant malgré cette crise», dit M. Pelletier, qui écarte toutefois l'idée d'abolir des emplois si la situation se dégrade. Entre-temps, M. Pelletier compte sur le dollar canadien qui vient de baisser pour aider les exportateurs du pays à lui fournir des marchandises à expédier. Et surtout, pas question de revoir l'ambitieux projet de 2,1 milliards qui vise à tripler la capacité de manutention de conteneurs d'ici 2020. «On a comparé la durée des crises passées à celle de notre projet d'investissement. Et on a conclu qu'on continuait la marche vers l'avant. On doit s'assurer qu'en 2011 et 2012, on ait la capacité suffisante. Parce que la crise, elle ne va pas durer éternellement. Les chiffres vont revenir.»
  10. La demande mondiale de pétrole devrait se contracter en 2008, estime le cabinet CGES, pour qui dorénavant l'évolution des prix dépendra de la capacité concrète de l'OPEP à baisser son offre. Pour en lire plus...
  11. Le ministre canadien des Finances, Jim Flaherty, avertit les Canadiens que la crise financière mondiale a la capacité de heurter l'économie canadienne. Pour en lire plus...
  12. Le déclin du taux d'occupation à 75,5% est survenu alors que le transporteur a accru sa capacité de 15,8% dans sa flotte de 76 Boeing 737. Pour en lire plus...
  13. Volvo élimine 500 emplois en Ontario 30 septembre 2008 - 11h49 Presse Canadienne Le groupe suédois Volvo a annoncé l'élimination d'environ 1900 emplois mardi, dont environ 500 en Ontario. Cette annonce survient dans le cadre de mesures destinées à améliorer sa rentabilité et l'aider à devenir plus concurrentiel. Quelque 1400 des emplois perdus sont rattachés aux usines de la division des camions de Volvo à Gand, en Belgique, et à Goteborg et à Umea, en Suède. Volvo a expliqué dans un communiqué de presse, mardi, que ces pertes d'emplois sont une conséquence de sa décision de réduire la capacité de sa production en Europe afin de s'ajuster à la demande décroissante pour les camions dans le marché européen. Au cours des dernières années, Volvo avait augmenté graduellement sa capacité pour satisfaire une demande croissante, mais compte tenu de la demande devenue plus faible, la compagnie a décidé de ramener sa capacité de production à des niveaux plus normaux. Volvo soutient que la baisse du marché a été exacerbée par les récents événements ayant affecté les marchés financiers, expliquant que ses clients sont devenus plus conservateurs lorsqu'il s'agit de remplacer leurs véhicules et que certains n'arrivent même plus à obtenir des prêts pour financer l'achat de nouveaux camions. En Ontario, les employés touchés par les mesures adoptées par Volvo sont à l'emploi de la division de l'équipement de construction du groupe (Volvo Construction Equipment ou Volvo CE). Volvo a décidé de transférer sa production de niveleuses de Goderich, en Ontario, à son usine de Shippensburg, dans l'Etat américain de la Pennsylvanie. La mesure, qui sera effectuée en différentes phases, devrait être complétée d'ici 2010. Elle entraînera des coûts d'environ 45 M$ Us qui seront pris en charge au troisième trimestre de 2008. Volvo a cédé sa division de production d'automobiles à Ford Motor en 1999.
  14. Le repli de la demande étrangère a tout particulièrement touché les secteurs de l'automobile et des produits de la forêt. Pour en lire plus...
  15. La capacité de production supplémentaire soutiendra la croissance de la compagnie et créera 98 nouveaux emplois. Pour en lire plus...
  16. Malgré les hoquets récents de l'économie américaine, la firme minière Iron Ore du Canada a donné hier le feu vert à un investissement de 225 millions de dollars pour augmenter sa capacité de production de minerai de fer. Pour en lire plus...
  17. Chantiers Davie affirme que la continuité de son exploitation dépend de sa capacité à trouver du financement supplémentaire. Pour en lire plus...
  18. La compagnie aérienne déclare une perte nette de 2,7 G$ US au deuxième trimestre, réduit sa capacité et son personnel, en plus de relever ses tarifs. Pour en lire plus...
  19. Le plus grand producteur d'engrais au monde prévoit investir 1,6 G$ US pour ajouter 2,7 millions de tonnes à la capacité de potasse de trois de ses usines et mines en Saskatchewan. Pour en lire plus...
  20. TransCanada et ConocoPhillips ont annoncé qu'elles augmenteraient de près du double la capacité du projet Keystone ce qui va permettre de transporter le pétrole de l'Alberta jusqu'à la côte du golfe du Mexique. Pour en lire plus...
  21. ACTS, ancienne division d'Air Canada spécialisée dans l'entretien des avions, annonce 650 mises à pied, conséquence de la réduction de capacité et des suppressions d'emploi chez plusieurs transporteurs. Pour en lire plus...
  22. Le nombre de sièges vides s'est accru un peu au moins de juin par rapport à l'an dernier, la ligne aérienne ayant de plus réduit sa capacité de 23,1%. Pour en lire plus...
  23. Pour ajuster les prix de l'énergie, le groupe a toutefois demandé aux producteurs de pétrole d’augmenter leur production et leur capacité de raffinage. Pour en lire plus...
  24. La compagnie a offert plus de capacité et eu plus de trafic en juin, mais ses avions ont été un peu moins remplis. Pour en lire plus...
  25. L'entente vise l'ingénierie, l'approvisionnement et la construction d'une usine de dessalement d'eau de mer d'une capacité de 120 000 mètres cubes par jour. Pour en lire plus...
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