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  1. Je ne sais pas quel âge a ce projet, mais il est fort probablement plus vieux que 2002. Ce n'est pas une proposition pour le concours de l'OSM. Nomade avait proposé un projet différent de celui-ci! ----------------------------------------------------------------------- Localisation : Montréal, Québec client : Ivanhoé Cambridge Réalisation de NOMADE. Situé dans le Quartier des spectacles Montréal, la solution propose un projet d'ensemble comprenant un hôtel de 250 chambres, des espaces de bureaux, des espaces commerciaux, une salle de spectacles d'une capacité de 2 500 places, de même que la Maison des festivals et d'une agora extérieure pour accueillir les grands évènements montréalais se déroulant autour de ce périmètre. Le parti mise sur une signature architecturale audacieuse et sur une ouverture de l'îlot sur les rues adjacentes, afin de favoriser les circulations.
  2. Publié le 20 janvier 2013 à 11h54 Une grue de 600 tonnes a fracassé les fenêtres d'une tour de bureaux et est passée à un cheveu de s'effondrer en plein centre-ville de Montréal dimanche matin lorsque le vent s'est déchaîné subitement. Personne n'a été blessé lors de l'incident, mais plusieurs travailleurs et passants ont été quittes pour une bonne frousse. La grue effectuait des travaux à l'angle de la rue Stanley et du boulevard René-Lévesque lorsque de fortes rafales se sont levées, peu après 8h. «On a été pris au dépourvu. On a déjà vécu une microrafale, mais ça, c'était pire», a raconté un travailleur rencontré sur place. Le crochet de la grue a effectué un mouvement de pendule et est allé fracasser au moins quatre fenêtres aux étages supérieurs de l'édifice La Laurentienne, une tour de 27 étages qui abrite les bureaux de la banque du même nom et de plusieurs autres entreprises comme Médias Transcontinental. L'appareil de 600 tonnes s'est presque renversé sur le côté, selon les employés qui participaient aux travaux, mais le grutier, décrit comme un opérateur très expérimenté par ses collègues, a réussi à la maintenir debout de justesse. «C'est passé proche, mais il a fait ce qu'il fallait faire», raconte un collègue. Du verre brisé est tombé au sol jusque sur la rue Peel, selon les pompiers. «Mais il n'y a pas de dommage structurel à l'édifice, et personne ne travaillait dans les bureaux à ce moment-là», a déclaré Francis Leduc, chef aux opérations pour le Service de sécurité incendie de Montréal. Un large périmètre de sécurité a été érigé par la police et les pompiers, le temps que la grue et les fenêtres soient sécurisées. Le boulevard René-Lévesque a été fermé temporairement et une église située près du site des travaux a été évacuée. [url=]http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201301/20/01-4613099-une-grue-frappe-une-tour-et-menace-de-seffondrer-a-montreal.php[/url]
  3. 5 décembre 2012 La Presse DANIELLE BONNEAU VIVRE EN HAUTEUR LA VILLE SOUS LES YEUX «Montréal fait son entrée dans les ligues majeures, dans le secteur résidentiel. Comme on le voit partout en Amérique du Nord, beaucoup préfèrent s’installer en ville plutôt qu’en banlieue pour ne pas perdre des heures dans les bouchons.» — Daniel Peritz, vice-président principal chez Canderel. La construction de gratte-ciel au centre-ville de Montréal, au ralenti depuis 1992, connaît un nouvel essor. Mais, plutôt que des immeubles de bureaux, ce sont principalement des tours de condos qui s’ajoutent, une à une. Ce phénomène a pris de l’ampleur avec le lancement cette année de plusieurs projets résidentiels de 35, 40 et même 50 étages! Seront-ils tous construits ? Une chose est certaine, une telle effervescence en dit long sur le désir de vivre en hauteur. On construit beaucoup à Montréal, mais tout de même pas autant qu’à Toronto, où Canderel bâtit actuellement la plus haute tour résidentielle au Canada. Du haut de ses 78 étages, le gratteciel Aura at College Park devrait atteindre 273 m et comprendre 985 appartements. Toronto compte d’ailleurs le plus grand nombre de gratte-ciel et d’édifices en hauteur en construction en Amérique du Nord, a révélé à la fin du mois d’octobre la firme allemande Emporis, spécialisée dans la compilation de données sur les immeubles partout dans le monde. La Ville reine, avec 147 immeubles du genre en chantier – des édifices d’au moins 35 m de hauteur (12 à 39 étages) et des gratte-ciel d’au moins 100 m de hauteur (40 étages ou plus) –, devance largement New York, qui en a 72. Surprise: Montréal se classe au quatrième rang, avec 20 gratte-ciel et édifices en hauteur en construction, tout juste derrière Vancouver, qui en compte 21. C’est davantage qu’à Chicago (17), Calgary et Miami (13), Boston et Ottawa (12). Plus de 30 étages En plein centre - ville de Montréal, trois imposants chantiers résidentiels, en tout ou en partie, attirent l’attention : le V, immeuble de 44 étages jumelé au futur hôtel Marriott Courtyard Montréal centre-ville, qui comptera 220 appartements locatifs haut de gamme ; le complexe Altoria Aimia, qui vise la certification écologique LEED et dont la tour de 35 étages comprendra des bureaux aux 10 premiers étages et des appartements en copropriété aux 25 étages supérieurs ; et Altitude Montréal, luxueux immeuble en copropriété de 33 étages qui devrait être terminé en mars prochain. Cette tendance devrait se poursuivre, puisque les ambitieux projets résidentiels de plus de 30 étages se multiplient au coeur du centre-ville depuis le printemps. En effet, les bureaux des ventes de L’Avenue (50 étages, 175 m), de la Tour des Canadiens (48 étages, 160 m), d’Icône (deux tours de 40 et 30 étages), du Roccabella (deux tours de 40 étages), de Tom Condos (40 étages) et du Peterson (31 étages) sont ouverts. Univers, qui devrait être lancé à l’automne 2013, fait par ailleurs déjà parler de lui avec ses quatre tours, dont la plus haute devrait atteindre 40 étages. « Montréal fait son entrée dans les ligues majeures, dans le secteur résidentiel, constate Daniel Peritz, vice-président principal chez Canderel, un des promoteurs de la Tour des Canadiens. Cela démontre la maturité de notre centre-ville, où l’on peut travailler, se divertir et vivre en toute sécurité. Comme on le voit partout en Amérique du Nord, et notamment à Toronto, beaucoup préfèrent s’installer en ville plutôt qu’en banlieue pour ne pas perdre des heures dans les bouchons.» Y a-t-il une compétition pour construire l’édifice résidentiel le plus haut en ville ? Pas vraiment. Mais en proposant L’Avenue, gratte-ciel de 50 étages qui remporterait ce titre, Broccolini a démontré sa volonté de se démarquer. « Dès le départ, nous voulions faire quelque chose de spécial », indique Michael Broccolini, gestionnaire immobilier dans l’entreprise familiale.
  4. http://matrix.cwcanada.com/filecabinet/Trans/380675/autoroute%20Laval%203535%20(E).pdf
  5. L'arrondissement de Ville-Marie comptera 10 nouveaux projets immobiliers totalisant des investissements de 600 M$. Ces projets fourniront 1 600 nouveaux logements et 51 600 mètres carrés d'espaces à bureaux.  Un projet résidentiel et commercial sur le site Overdale, comprenant la restauration de la maison Hippolyte-Lafontaine qui deviendra un centre d'interprétation ouvert au public  Une tour résidentielle de 34 étages sur la rue de la Concorde dans le Quartier des spectacle  Un bâtiment mixte à l'ancienne brasserie Ekers, au coin du boulevard St-Laurent et de la rue St-Norbert  Des tours jumelles de 35 étages sur le boulevard René-Lévesque, entre les rues Drummond et de la Montagne  Un bâtiment mixte de 11 étages sur la rue Crescent entre la rue Ste-Catherine et le boulevard René-Lévesque  Un tour à bureaux de 27 étages à l'îlot Windsor  L'agrandissement du magasin Ogilvy et l'aménagement d'un nouveau complexe hôtelier et résidentiel  Des tours résidentielles de 21 et 23 étages, totalisant 327 logements, sur la rue Drummond, entre la rue Ste-Catherine et le boulevard René-Lévesque  Conversion d'un édifice à bureaux en bâtiment résidentiel, abritant 40 logements, au coin du boulevard de Maisonneuve et de la rue Bishop  Un bâtiment résidentiel de sept étages et de 48 logements sur la rue Bishop, entre la rue Ste-Catherine et le boulevard René-Lévesque montreal2025.com
  6. Nouvel immeuble de bureaux de classe A (105 000pi2) qui ouvrira ses portes au printemps 2011 à l'intersection de l'autoroute 40 et du boul. St-Jean (de biais au fairview Pointe-Claire, de l'autre-côté de l'autoroute). http://www.dcysa.ca/4-bureaux-offices/5667-6500-Autoroute-Transcanadienne/ Je n'ai malheureusement pas de photo mais ça creuse depuis quelques semaines. Une belle addition au secteur.
  7. Maison des sourds Arrondissement Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension NATURE DU PROJET Développement d'un milieu de vie et de rassemblement pour la communauté sourde Démolition et décontamination d'un site en bordure d'autoroute Construction de logements pour les sourds et sourd-aveugles Construction de bureaux pour des organismes desservant la population sourde Construction de salle communautaire multifonctionnelle INVESTISSEMENT PRÉVU 11,4 millions de dollars PROMOTEURS La Maison des Sourds PARTENAIRES Société d'Habitation du Québec, Ville de Montréal, Fondation des Sourds du Québec, Groupe CDH, Douglas Alford architecte ÉTAT D'AVANCEMENT DU PROJET Réalisation DÉBUT DES TRAVAUX 2009 HORIZON 2010 CARACTÉRISTIQUES 60 logements communautaires 13 bureaux communautaires Hauteur : 3 à 6 étages Aménagement d'espace communautaire pour faciliter la communication en langue des signes (éclairage indirecte, grande salle sans colonnes, finis mat) Traitement de bordure d'autoroute avec fonctions publiques aux étages inférieurs et corridor d'accès aux logements du côté du traffic Rencontre les normes du programme Novoclimat
  8. Le 500 place D'Armes sera rénové et non détruit comme certains le souhaite... Cure de jouvence pour le 500, place d'Armes Publié le 07 décembre 2011 à 07h32 | Mis à jour à 07h32 André Dubuc La Presse (Montréal) À l'image de la place d'Armes dont on vient de refaire le parvis, le gratte-ciel de facture moderne qui la borde du côté ouest subira une cure de jeunesse dans les prochains mois. L'ensemble des systèmes électromécaniques de l'immeuble de 30 étages construit entre 1965 et 1968 sera remis aux normes du jour. Les travaux commenceront en 2012 et s'échelonneront sur 2 ou 3 ans. Le 500 place d'Armes a comme locataire principal la Banque Nationale. On y trouve aussi des bureaux d'avocats et l'Ordre des comptables généraux agréés. L'Agence métropolitaine de transport l'a quitté pour le 700, De La Gauchetière, connu autrefois sous le nom de Tour Bell. «Le 500, place d'Armes va redevenir un immeuble de catégorie A», dit André Plourde, président du Groupe Immobilier de Montréal, dans un entretien. Dans le jargon des professionnels de l'immobilier commercial, les immeubles de catégorie A représentent les plus beaux immeubles de bureaux, dotés de toutes les caractéristiques recherchées par l'utilisateur de bureaux. Le Groupe Immobilier de Montréal vient de décrocher le mandat exclusif de location des propriétés de Cromwell Management à Montréal et Québec. Outre le 500, place d'Armes, le portefeuille comprend l'ancien siège social de Cinar, au 1055, boul. René-Lévesque Est et le 500, boulevard René-Lévesque Ouest, l'ancien immeuble Air Canada. Cromwell appartient à son président Georges Gantcheff. À Québec, Cromwell possède le 500, Grande Allée Est, jadis un immeuble de prestige comptant 109 000 pieds carrés répartis sur 9 étages. Des travaux de près de 26 millions de dollars sont en cours pour redonner une nouvelle vie à cette adresse stratégiquement située sur la colline parlementaire, dans la Vieille Capitale. Au total, le Groupe Immobilier s'occupera de la location d'un portefeuille de sept immeubles totalisant 1,6 million de pieds carrés. «Il s'agit pour nous d'un important gain qui nous confère un statut de leader du secteur de la location commerciale avec un portefeuille qui atteint maintenant plus de 5 millions de pieds carrés», fait savoir M. Plourde dans un communiqué. Lien: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201112/07/01-4475357-cure-de-jouvence-pour-le-500-place-darmes.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS21
  9. Je viens tout juste de trouver ce curieux projet sur internet, dont la date de réalisation est inconnu mais qui se retrouve dans la section Réalisation du site et qui est plus récent que la Cité du Commerce Électronique (2006). Le site en question est celui de Imso Inc., une entreprise qui se spécialise dans l'acquisition, la gestion et la mise en valeur d'immeubles commerciaux et industriels et d'édifices à bureaux. http://www.imsoinc.com/ ---------------------------------------------- •Nom: Bassin Peel •Année de réalisation: en cours •Adresse: Bassin Peel, Montréal •Catégorie: Bureaux, commerces, hôtels et loisirs •Superficie: 1 000 000 pc •Type: Acquisition, promotion et gestion
  10. Le Centre sur la biodiversité s'installera dans un nouvel immeuble, au coeur même du Jardin botanique La construction du nouvel édifice qui logera le Centre sur la biodiversité est le fruit d'un partenariat entre la Ville de Montréal et l'Université de Montréal. Il tiendra lieu de plateforme internationale pour le domaine de la biodiversité. Le bâtiment sera conçu selon les normes environnementales LEED (Leadership in Energy and Environmental Design), adaptées par le Conseil du bâtiment durable du Canada. Sur quatre niveaux, il logera des laboratoires de réception des échantillons, d'enseignement et de recherche de haute technologie, des bureaux et des salles d'exposition. L'Université donnera sous peu le coup d'envoi aux soumissions publiques pour la construction du bâtiment. Inauguration prévue en 2010 Gestionnaire du projet, Direction des immeubles: M. Louis Mathieu, directeur des grands projets http://www.di.umontreal.ca/centrebiodiversite.html
  11. Ça fait 1 an que je garde le secret sur ce projet, et aujourd'hui, j'ai eu la permission de vous en faire part! C'est Booboohome qui m'avait envoyer ce projet, dessiné par nul autre que Michelange Panzini. Il s'agirait d'un «terrain a été acheté par un investisseur de la Georgie» (pour citer le message). Je crois que c'est des bureaux, mais Booboohome pourrait peut-être clarifier mes informations... --------------------------------------- Je compte 32 étages pour chaques tours. Si c'est des bureaux, et en comparant avec la CCE, on peut facilement prédire un bon 150 mètres à la plus haute tour! (en comptant son ornement)
  12. Ce projet est sur le site de Provencher/Roy. Il est daté de 2008, donc j'ignore s'il devrait se trouver dans "projet annulé" ou pas. Si quelqu'un a des infos sur la compagnie et une possible expansion de celle-ci... En attendant, "propositions" est l'endroit le plus approprié! ----------------------------------------------------------------------------------------- Client Phase I : Corporation RJS Zone Phase II : Groupe Axor inc. / Corporation RJS Zone Superficie Phase I : 1 850 m2 Phase II : 19 600 m2 Période de réalisation 2008 / Concept Siège social de l'Autodesk Montréal , Canada Bureaux / Commercial PHASE I Le projet de rénovation et d’agrandissement de l’entrepôt Penn construit vers 1831-1843 au 799, de la Commune à Montréal, est un projet qui répond aux besoins toujours grandissants en espaces de travail de la société Autodesk, dont les installations actuelles se trouvent dans un bâtiment situé sur l’îlot voisin. Le bâtiment de facture industrielle de quatre niveaux hors sol et d’un sous-sol est situé dans la partie extrême ouest du Vieux-Montréal, le long du canal Lachine. Revêtu de pierre grise et ponctué par un nombre restreint de fenêtres, le bâtiment présente une assise massive. Sa structure existante de bois sera conservée pour les qualités intrinsèques, porteuses et esthétiques de ce matériau. Les besoins en espaces étant supérieurs à la superficie de quatre niveaux, l’étude propose l’ajout d’un cinquième niveau, distingué de la partie ancienne par l’emploi du cuivre, l’usage optimisé du sous-sol grâce à l’éclairage en second jour apporté par des ouvertures pratiquées en façade au rez-de-chaussée et une « extrusion » de l’élévation nord orientée vers le paysage le long du canal Lachine et vers les panoramas du Vieux-Montréal. Le cuivre, par contraste avec la pierre grise de l’entrepôt Penn, est utilisé pour signer et harmoniser les deux ajouts projetés. Suivant le désir du client de créer un milieu sain, on prévoit l’ajout d’un toit vert qui permettrait de gérer les eaux pluviales, de diminuer l’effet d’îlot de chaleur ainsi que la charge de refroidissement, d’améliorer le bien-être des occupants tout en favorisant la biodiversité sur le site. PHASE II En deuxième phase d’une réflexion sur l’agrandissement des installations d’Autodesk, une proposition a été étudiée afin d’ériger une tour de classe A sur l’emplacement du stationnement extérieur, situé dans la partie sud du même quadrilatère qui fait face au canal Lachine à l’extrême ouest du Vieux-Montréal. La tour du siège social de 14 niveaux hors sol et deux niveaux de stationnement souterrain offrira presque 20 000 m2 de superficie brute. La moitié des locaux pour bureaux sera occupée par Autodesk, tandis que l’autre sera investie par les bureaux administratifs de prestige d’une importante entreprise montréalaise. L’emplacement étant éloigné des gratte-ciel du centre de Montréal, la grande majorité des bureaux pourront profiter d’une vue spectaculaire à 360o sans obstacles. Le rez-de-chaussée de la tour sera réservé exclusivement aux commerces de soutien. Elle sera reliée au bâtiment existant de la société Autodesk par un atrium généreusement vitré, d’une hauteur de trois niveaux.
  13. « Fin 1897, Raymond Préfontaine, influent conseiller municipal qui deviendra maire de Montréal l’année suivante, pousse un projet de la Grand Trunk Railway Co. visant à s’emparer du square [Victoria] pour y installer son nouveau terminal. Ce projet ne verra cependant jamais le jour et la fin du siècle sera au contraire marquée par les premiers signes de la reprise du développement du square. » (Marc H. Choko, Les Grandes places publiques de Montréal, 1990, Éditions du Méridien) Cependant, la Grand Truck a construit son immeuble de 1899 à 1902 au 360 McGill et il ressemble beaucoup à celui ci-dessus, tout en étant un peu plus petit. Sa filiale, la Canadian Express, a construit le sien en 1908 sur dix étages juste en face, au numéro 355, avec un tunnel le reliant au premier. Les deux immeubles existent toujours. Il semble que le projet ci-dessus a simplement changé et que la compagnie a construit ses bureaux au square Victoria et sa gare plus loin.
  14. Le 2020 University passe aux mains de l'Industrielle Alliance et d'Hydro-Québec HUGO JONCAS les affaires.com (modifié le 23-03-2011 à 14:35) Décidément, l’Industrielle Alliance et le fonds de pension des employés d’Hydro-Québec adorent le centre-ville de Montréal. Ensemble, ils viennent de mettre la main sur le 2020 University pour 95,45 millions de dollars, a appris Les Affaires. C’est la plus importante transaction dans la métropole depuis janvier 2010. Depuis octobre 2008, les deux institutions étaient déjà propriétaires du 1981, McGill College, juste à côté, à l’ouest. «Pour eux, c’est une acquisition stratégique, dit Brett Miller, vice-président à la direction du courtier CB Richard Ellis, responsable de la vente. Ils rassemblent leurs deux immeubles, et ça permet toutes sortes de possibilités pour les relier.» Le 2020, University est surnommé «tour AXA», du nom de son locataire principal, l’assureur français AXA. Le gratte-ciel de 22 étages compte 433 000 pieds carrés d’espaces de bureaux et 83 000 pieds carrés de locaux commerciaux. Pour Brett Miller, cette transaction démontre la forte demande dont fait l’objet les immeubles de qualité dans le centre-ville de Montréal. «Une bonne douzaine d’acheteurs s’étaient qualifiés, dit-il. Ce n’était pas le seul à ce niveau de prix.» Selon nos informations, le fonds de placement immobilier Homburg Canada a aussi manifesté de l’intérêt, tout comme le promoteur Vincent Chiara. Ce dernier, partenaire de la famille Saputo à la tour CIBC et à la tour de la Bourse, a plutôt mis la main sur le siège social d’Imperial Tobacco, dans le quartier Saint-Henri, à Montréal, pour 24 millions. Acquis en janvier, l’immeuble sera surtout loué au cigarettier, qui y maintiendra son quartier général. Bureaux bien loués… commerces à moitié vides Au 2020, University, le taux d’occupation des espaces de bureaux est de «plus de 90 %», selon Brett Millier. Mais il n’est que d’environ 60 % dans la galerie marchande. «De ce côté-là, il y a du travail à faire, c’est sûr», dit-il. L’Industrielle Alliance a confirmé l’acquisition de l’immeuble mais n’a pas donné de détails. Il a été impossible d’obtenir les commentaires d’Hydro-Québec.
  15. EXCLUSIF - L’édifice de la station de métro serait rasé pour élever de nouvelles tours Diane Lapointe Le Courier du Sud 1 novembre 2008 - 09:00 Actualités - VIEUX-LONGUEUIL. L’immeuble du métro rasé et remplacé par une tour à bureaux, hôtel, centre des congrès, stationnements étagés; le paysage du secteur Place Charles-Le Moyne risque de se transformer de façon significative dans un avenir rapproché. Sans oublier les 17 étages de la tour de l’Université de Sherbrooke qui sont levés et dont l’échéancier n’accuse aucun retard. Le Courier du Sud a appris en exclusivité que de nouveaux édifices en hauteur risquent fort de s’élever dans le ciel de la Place Charles-Le Moyne, ce qui modifierait encore ce secteur névralgique de Longueuil. Catania – Groupe immobilier a en effet de grandes ambitions et s’il met à exécution les projets sur lesquels il planche, l’immeuble qui abrite la station de métro Longueuil—Université de Sherbrooke, serait complètement rasé pour faire place à une tour à bureaux. Les stationnements pourraient aussi être métamorphosés en un vaste stationnement à étages sur lesquels s’ajouteraient d’autres étages pouvant accueillir des bureaux professionnels et même peut-être un nouvel hôtel ou un mini centre des congrès. Catania engagé avec la Ville Catania – Groupe immobilier vient de s’associer à la Ville de Longueuil pour la réalisation d’une étude portant sur le développement de la Place Charles-Le Moyne et le redéveloppement de l’édifice du métro. L’entrepreneur immobilier s’est engagé à assumer 50% des coûts de cette étude, qui sera réalisée par le Groupe Gauthier Biancamano Bolduc, une firme d’urbanistes conseils. «Nous souhaitons valoriser ce pôle» André Fortin, président de Catania – Groupe immobilier confirme les visées de l’entreprise dans ce secteur au fort potentiel. «Nous souhaitons valoriser ce pôle, mais il faut d’abord que des études de circulation soit faite afin de définir la capacité de voitures qui pourront y circuler.» L’édifice de la station de métro est, dit-il, non conforme en plusieurs points, et il y a fort à parier qu’il disparaîtra du paysage dans un moyen avenir pour être remplacé par une tour à bureaux. Le sous-sol, par contre, est la propriété du Réseau de transport de Longueuil (RTL). Des experts soutiennent qu’il en coûterait plus cher de réparer les problèmes de structure et d’infiltration d’eau que de carrément reconstruire un autre édifice, selon un nouveau concept plus moderne et imposant. Densification du secteur Les études détermineront ainsi les conditions d’aménagement et le plan d’affaires car, évidemment, la construction de nouveaux espaces densifierait passablement le secteur, qui compte une station de métro, un important terminus d’autobus et, très bientôt, le nouveau campus longueuillois de l’Université de Sherbrooke. Les conclusions de l’étude devraient être connues à la fin de 2008 ou au début de la prochaine année. L’Université se développe Quant à l’Université de Sherbrooke, tout baigne dans l’huile alors que la construction suit son cours normal. Selon Jacques Viens, directeur du cabinet du recteur, la tour de 120 M$ hébergera quelque 8000 étudiants à compter de 2009. Des espaces au rez-de-chaussée et au 1er étage seront loués à des fins commerciales. De plus, 10 à 15% des locaux situés aux étages supérieurs seront loués à des entreprises, tant et aussi longtemps que le nombre d’étudiants ne justifiera pas leur occupation par l’UdeS. Aussi prévu dans les plans, la construction d’une seconde tour de six étages. La Ville acquiert l’Atrium Rappelons finalement que dans le cadre d’une entente entre la Ville de Longueuil et l’Université de Sherbrooke, la Ville a récemment adopté un règlement d’emprunt de 15 M$ pour acquérir l’Atrium; cette place intérieure de 816 m2 reliera la station de métro, le terminus d’autobus et le campus de l’Université.
  16. Le Cirque du Soleil a acquis en décembre un terrain vague d'une valeur de 3,2 millions de dollars à proximité de son siège social dans le quartier Saint-Michel, à Montréal, pour y développer ses installations. Selon des documents consultés par Radio-Canada, ce terrain a été acheté en 2008 de la Ville de Montréal pour 2,8 millions de dollars par une compagnie à numéro appartenant à Guy Laliberté, le fondateur et chef de la direction du Cirque. Les prix correspondent aux évaluations municipales. Selon une porte-parole du Cirque du Soleil, l'entreprise a acquis ce terrain en décembre de la compagnie de Guy Laliberté dans le but de le développer « au moment opportun [...] pour une vocation communautaire ou administrative », mais refuse d'en expliquer les raisons détaillées. Le terrain pourrait néanmoins servir à y construire de nouveaux bureaux. Pour l'instant, les employés du Cirque sont logés dans des bureaux loués à proximité du site. « Le Cirque a bel et bien acheté ce terrain près de la TOHU. Cependant, nous n'avons pas pour l'instant de projets établis. Il faut garder en tête le fait que le Cirque est installé dans le quartier Saint-Michel depuis 1997 et que nous avons toujours investi dans l'optique d'être bien ancrés dans le quartier », affirme la porte-parole Tania Orméjuste. « Le Cirque du Soleil ne se cache pas d'être intéressé par les terrains qui pourraient devenir disponibles dans le quartier Saint-Michel pour développer le centre de création qu'est le siège social international », poursuit-elle. L'arrondissement Saint-Michel dit n'avoir délivré aucun permis de construction pour ce terrain récemment ni avoir reçu de demande de permis. Il n'existe pas d'autres transactions ces dernières années dans le secteur au nom de Guy Laliberté ou de sa compagnie à numéro. Ce terrain est partiellement occupé par Rebuts solides canadiens, une société qui trie les matières recyclables de plusieurs arrondissements. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/01/11/013-cirque-soleil-terrain.shtml
  17. Pierrevillage : un immeuble à bureaux de 26 millions $, à Brossard Diane Gagnon Information d'Affaires Rive-Sud - 11 octobre 2010 Économie > Affaires La compagnie de développement immobilier Pierrevillage a le vent dans les voiles. Depuis quelques semaines, les annonces de différents projets se succèdent à un rythme accéléré. Après les projets de construction d’immeubles multilocatifs des rues Matte et Java à Brossard, dont il était question dans notre édition de septembre, voilà que la compagnie prévoit la construction d’un édifice à bureaux, rue Lapinière, toujours à Brossard. « Cet immeuble sera l’un de nos projets le plus audacieux, voire le plus haut de gamme, » révèle Ian Quint, chargé de projets de Pierrevillage. Il s’agit d’un projet réalisé en trois phases, soit de deux tours à bureau de 7 étages, réunies par une section plus basse, offrant une vue spectaculaire sur les environs, dans un secteur plutôt effervescent. « C’est une des raisons qui fait que nous avons choisi de construire ce genre de projet dans cette zone, qui offre d’importants avantages à considérer, poursuit M. Quint. D’abord le bâtiment sera à quelques minutes à peine du stationnement incitatif Chevrier. Puis, situé à quelques pas des carrefours routiers de la 10 et de la 30, et près du boul. Taschereau, cela est plus qu’intéressant pour quiconque viendrait de Montréal pour y travailler, à l’inverse du trafic aux heures de pointe. Enfin, le Quartier DIX30 ajoute à l’attractivité du secteur. » L’immeuble offrira une superficie de 165 000 pi2. De style très moderne, il fera sensation dans le ciel montérégien, de par sa hauteur et à son abondante fenestration, qui s’étend sur presque les deux tiers de la bâtisse. « Les locaux seront construits selon les spécifications des locataires, donc tous les éléments qu’on voit sur les plans peuvent être modifiés à la demande d’un locataire qui aurait des besoins spécifiques tels que bâtir selon l’image de marque de sa firme, confie le promoteur. Il faut préciser que la construction devrait démarrer dès que nous aurons loué au moins 65% de l’édifice. Ce genre d’édifice à bureaux suscite l’intérêt de grandes entreprises et en ce moment, nous sommes en négociation avec l’une d’entre elles. » Éco-énergétique La tour à bureau se hissera parmi les immeubles éco-énergétiques, c’est-à-dire de construction verte. « Nous serons en mesure d’offrir un bâtiment à grande économie d’énergie, avec un système de chauffage efficace mais économique, explique Ian Quint. En fait, toute la construction sera de qualité exceptionnelle et la plus verte possible, pouvant être certifiée LEED. » Si les négociations vont bon train, une première phase pourrait être livrée au début de 2011 et les autres phases suivront selon la demande.
  18. CN sells Montreal station for $355-million Reuters September 19, 2007 at 5:26 PM EDT VANCOUVER — — Canadian National Railway Co. [CNR-T]agreed Wednesday to sell its Central Station complex in Montreal to Homburg Invest Inc., [HII.A-T]but will keep its headquarters in the facility. CN Rail said it expects to get $355-million for the downtown Montreal property, and will lease back the 17-storey office building that houses its headquarters. The sale and long-term lease deal will also allow the station's passenger facility to continue being used by commuter trains, Via Rail Canada and Amtrak, Canadian National said. Canadian Pacific Railway Ltd. announced last month that it also wants to sell its Windsor Station in Montreal as part of a plan to monetize the value of its real estate assets.
  19. Immobilier: Montréal suscite l'intérêt à Cannes Maxime Bergeron LA PRESSE (Montréal) Montréal recevra au cours des prochains mois «entre six et huit» investisseurs de trois pays intéressés à placer des billes dans son secteur immobilier. C'est ce qu'a affirmé Richard Deschamps, responsable du développement économique, des infrastructures et de la voirie à la Ville de Montréal, pendant un entretien avec La Presse Affaires. Il participait la semaine dernière au plus important congrès immobilier de la planète, à Cannes. «Ça ne veut pas dire qu'ils vont tous venir investir, mais ça veut dire qu'on a été capables de susciter leur intérêt et qu'il y a du potentiel pour eux», a-t-il dit. Richard Deschamps dirigeait pour la troisième année la délégation montréalaise au Marché international des professionnels de l'immobilier (MIPIM), qui se déroulait du 16 au 19 mars. Des représentants du Quartier des spectacles, d'Aéroports de Montréal et du Quartier de la santé l'accompagnaient notamment, en plus d'entrepreneurs privés montréalais. Il affirme que l'intérêt pour la métropole québécoise et ses «grands projets» a été plus grand que jamais cette année. «C'est le MIPIM pour lequel j'ai été le plus occupé, j'avais des rencontres aux heures.» Parmi les principaux secteurs d'intérêt pour d'éventuels investisseurs étrangers, Richard Deschamps identifie les environs du Quartier des spectacles, en plein réaménagement, les abords de l'autoroute Bonaventure, dont un tronçon doit être transformé en boulevard, de même que le Quartier de la santé autour du futur CHUM. Le projet du mégahôpital, tout comme celui de la transformation de la rue Notre-Dame et de nombreux autres, est toutefois à l'arrêt. Une stagnation qui ne nuit pas à l'image de Montréal à l'étranger, croit Richard Deschamps. En fait, seuls quelques investisseurs canadiens lui ont fait des remarques quant à cette problématique pendant son passage à Cannes, affirme-t-il. Le responsable du développement économique se montre confiant. «Au cours des 12 à 18 prochains mois, il y a des projets qui vont partir à Montréal et la perception va changer.» Tours à bureaux Les investisseurs attendus à Montréal pour «approfondir la discussion» proviennent d'Israël, des États-Unis et du Canada, a indiqué Richard Deschamps sans les nommer. Certains sont spécialisés dans l'immobilier commercial, mais pas tous. Chose certaine, le besoin de nouveaux espaces à bureaux est loin d'être criant à l'heure actuelle selon les données de la firme immobilière CB Richard Ellis. Le taux de vacance atteint 10,7% dans la région métropolitaine et 9% au centre-ville, comparativement à 5,7% à la fin de 2008. La brève récession a fait mal. L'intérêt se trouve davantage dans les édifices existants, explique Brett Miller, vice-président exécutif de CBRE pour l'Est du Canada. «Depuis plusieurs années, il y a un fort intérêt des investisseurs étrangers à Montréal, dont beaucoup de fonds allemands.» Il cite les exemples de la Cité du commerce électronique et de l'immeuble du Groupe Pages Jaunes, à L'Île-des-Soeurs, acquis par des capitaux allemands ces dernières années. De nombreux fonds de retraite anglo-canadiens et américains, de même que des Saoudiens, sont aussi actifs sur le marché local, précise-t-il. Il faudra que le taux de vacance - et surtout le prix des loyers - augmentent avant que de nouvelles tours à bureaux poussent au centre-ville, indique Brett Miller. «Pour le justifier, ça prendrait un revenu net supérieur à 25$ le pied carré, alors que le marché est environ à 20$ dans les meilleurs édifices.» Par ailleurs, des projets d'hôtels sont toujours sur la glace à Montréal. Le plus important, soit la conversion de l'ancienne gare Viger en complexe hôtelier et résidentiel de luxe par Homburg au coût de 400 millions, ne donne toujours aucun signe de vie. Richard Deschamps, de la Ville de Montréal, est malgré tout persuadé que plusieurs éléments militent en faveur de nouveaux investissements dans la métropole. Au premier chef, l'assouplissement du marché mondial du crédit. «Ce dont je parle aux gens, c'est du potentiel immense que Montréal recèle. Les gens qui sont dans le domaine de l'immobilier évaluent ça en terme de retour sur l'investissement, en terme de pieds carrés à développer, du genre de baux que nous pouvons offrir, etc. On a à les renseigner là-dessus.» Des études indépendantes pointent vers une reprise de l'immobilier commercial. Selon un rapport de la firme Chushan & Wakefield, relayé par l'AFP, les investissements devraient grimper de 30% cette année dans les 56 principaux pays du globe, à 479 milliards US. Ils avaient plongé de 23% sur un an au pire de la crise.
  20. *** VISION SEULEMENT *** Tour CH Complexe CH Phase I Tour de 46 étages 191m, 2010 Usage mixte - bureaux, hotel, condos, floor-level retail, accès métro Phase II Tour de 13 étages 53m, 2010 Usage mixte - bureaux, floor-level retail, accès métro Phase III Édifice de 5 étages 20m, 2011 Usage mixte - bureaux, floor-level retail Modifications infrastructures 1. Ce projet comprends la fermeture temporaire et la reconfiguration de la sortie de l'A-720 sur la rue de la Montagne. 2. Ce projet engendrera la fermeture permanente de la rue St-Félix ainsi qu'un segment de la rue Torrance. 3. Accès au RÉSO/métro Lucien-L'Allier AVANT / APRES Commentaires? Opinions?
  21. Campus Corporatif Bell Architectes: ? Fin de la construction:2008 Utilisation: Bureaux Emplacement: île-des-Soeurs, Montréal ? mètres - 8 étages
  22. Cité Multimédia Architectes: Lemay, Michaud architecture design Fin de la construction:? Utilisation: Bureaux Emplacement: Cité Multimédia, Montréal ? mètres - 10 étages
  23. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/fabrication/200909/30/01-907012-pratt-whitney-va-fermer-une-usine-a-longueuil.php je crois que ce serait une belle occasion de revitaliser ce secteur. Je verrais bien un beau quartier dense avec services de proximités, qui s'étendrait jusqu'à Roland-Therrien. Ces services pourraient servir aussi aux gens des bureaux sur Roland-Therrien. Ce quartier serait à proximité d'une éventuelle station de métro au CEGEP. Cataclaw pourrait nous faire une vision de ça!
  24. Publié le 12 juin 2009 à 05h00 | Mis à jour le 12 juin 2009 à 05h00 Locaux pour bureaux à Québec: le plus bas taux d'inoccupation au pays Pierre Couture Le Soleil (Québec) Le marché de la location de locaux pour bureaux ne dérougit pas à Québec. Le taux d'inoccupation se situe maintenant à 3,6 %, soit le plus bas au pays. «On constate que la crise économique touche moins la capitale», souligne Steeve Gilbert du Groupe Altus, qui recense l'évolution du marché des immeubles de bureaux à Québec. À l'échelle canadienne, Québec (3,6 %) devance ainsi Edmonton (6,7 %), Winnipeg (6,8 %), Ottawa (6,9 %) et Vancouver (8,6 %). À Montréal, le taux d'inoccupation s'élève à 9,2 %. Cette rareté des loyers se fait d'ailleurs sentir sur le prix payé par les locataires. Depuis deux ans, le prix moyen de location au pied carré dans la catégorie A affiche une progression de 13 %, passant de 22 $ à 24,89 $. La rareté d'immeubles de bureaux fait en sorte que certains secteurs sont beaucoup «plus chauds» que d'autres. Par exemple, sur la colline parlementaire, le taux d'inoccupation se chiffre à 0,9 %, alors que dans le secteur du boulevard Laurier, on note un taux de locaux inoccupés de 1,4 %. Dans le quartier Saint-Roch et dans le Vieux-Québec, le portrait est différent. Le taux d'inoccupation totalise 6,4 %. Idem en périphérie nord de la ville (quartier Lebourgneuf), où l'on observe un taux de 7,1 %. Hier, le marché locatif de Québec comptait ainsi 692 000 pieds carrés disponibles sur un inventaire de 16,6 millions de pieds carrés de locaux pour bureaux. Cette tension dans le marché de Québec pourrait toutefois prendre fin avec l'arrivée de nouvelles constructions d'immeubles locatifs de bureaux. Des promoteurs, qui ont flairé la bonne affaire, devraient bientôt être en mesure de livrer près d'un million de nouveaux pieds carrés au cours de la prochaine année. La construction d'une tour à bureaux par Cominar au coût de 110 millions $ sur le boulevard Laurier comptera une superficie 316 000 pieds carrés. Dans Saint-Roch, GM Développement met la touche finale à la construction d'un immeuble de bureaux de 99 000 pieds carrés qui abritera notamment les locaux de la société Beenox. «Malgré cet ajout, les espaces construits répondent à une demande et on ne peut parler de surconstruction à Québec», fait remarquer Steeve Gilbert. Car même avec cette nouvelle impulsion d'un million de pieds carrés, le marché locatif demeurera serré, avec un taux d'inoccupation autour de 6 %, prédit le Groupe Altus. Généralement, un marché atteint son taux d'équilibre entre l'offre et la demande lorsque le taux d'inoccupation des immeubles s'établit à 7 %.
  25. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
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