Aller au contenu
publicité

WestAust

Membre
  • Compteur de contenus

    4 517
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    6

Tout ce qui a été posté par WestAust

  1. Belle gang d'épais chez Gaz Metro, la ville devrait meme pas leur permettre de faire les travaux
  2. C'est une bonne lecture, tres intéressante http://www.macleans.ca/canada/national/article.jsp?content=20080402_25296_25296&page=1
  3. une des contraintes que je peux voir, surtout sur une longue distance, c'est de devoir installer un systeme de ventilation afin de faire sortir les gaz d'échappements et faire entrer de l'air frais
  4. montreal is just not the kind of city where you can build a pure landmark tower simply on speculation, unless you have 500 millions to spend out of your pocket, otherwise, forget financing without 40-50% of the tower already rented,
  5. Immobilier: la revente s’essouffle à Montréal 3 avril 2008 - 11h03 LaPresseAffaires.com Jean-François Cloutier Après une année 2007 marquée par une croissance dans les deux chiffres, le marché de la revente dans le Grand Montréal a ralenti au cours des trois premiers mois de l’année. Avec 12 138 propriétés vendues au premier trimestre, le recul est de l’ordre de 4%, une baisse que le directeur de la Chambre immobilière du Grand Montréal, Michel Beauséjour, met tout de même en contexte dans le cadre d’un bilan général jugé positif. «La région métropolitaine tire son épingle du jeu, considérant la performance des autres grandes villes canadiennes, comme Calgary et Toronto, qui ont enregistré de plus fortes baisses d’activités depuis le début de l’année», affirme-t-il. Le déséquilibre est prononcé dans les ventes selon le type de résidences. Les condos ont continué d’avoir la cote avec une hausse de 7% du nombre d’unités vendues, pendant que le nombre de maisons unifamiliales chutait inversement de 7%. La vigueur du marché a aussi varié selon la géographie. Dans le secteur Vaudreuil-Soulanges, les ventes sont demeurées stables, alors qu’on enregistrait sur la Rive-Sud et l’île de Montréal des baisses de 2 et 3%. La banlieue nord a fermé la marche avec de plus fortes baisses de 6% pour Laval et de 8% pour la Rive-Nord. Encore un marché de vendeur Au même moment, le prix médian des propriétés a continué de grimper, preuve que Montréal reste encore un marché de vendeur. La hausse est de l’ordre de 8%, à 220 000$, pour les maisons unifamiliales, de 6%, à 330 000$, pour les «plex» (2 à 5 logements) et de 4%, à 177 9000$, pour les condos. À noter que la chute du nombre de ventes a été particulièrement prononcée en mars, où elle a été de 7% par rapport à mars 2007. Malgré ce dernier mois difficile et la crise bancaire qui a assombri les perspectives économiques au cours du trimestre, Michel Beauséjour demeure cependant optimiste pour le reste de l’année. «La baisse des taux d’intérêt et le marché de l’emploi solide devraient avoir une incidence positive sur les résultats au cours des prochains mois», prédit-il. source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080403/LAINFORMER/80403219/5891/LAINFORMER01
  6. Homburg veut ériger deux tours à Montréal 2 avril 2008 - 08h16 Presse Canadienne Le groupe immobilier Homburg Invest (HII.A) envisage d'ériger deux tours de 25 étages au-dessus de la Gare centrale de Montréal. Homburg a acquis le complexe comprenant la gare et le siège social du Canadien National au coût de 355 M$, en septembre dernier. En conférence de presse à Montréal, mardi, le président et chef de la direction de Homburg, Richard Homburg, a indiqué que le CN allait bientôt libérer quelque 30 000 pieds carrés des locaux qu'il occupe à l'angle des rues Mansfield et de la Gauchetière. Le dirigeant ne s'inquiète pas : il a bon espoir de trouver rapidement preneur pour ces bureaux - et moyennant des loyers plus élevés que ce que le CN paie actuellement. M. Homburg a expliqué mardi qu'en faisant l'acquisition du complexe de la Gare centrale, sa société avait un objectif plus ambitieux que la simple gestion des édifices existants. Il refuse toutefois de fixer un échéancier pour la construction éventuelle des deux tours, qui pourraient totaliser un million de pieds carrés. Il faudra d'abord qu'il y ait une demande suffisante sur le marché pour justifier le projet. Richard Homburg préférerait ériger les deux bâtiments en même temps, de façon à limiter les délais de construction, les désagréments pour le voisinage et les coûts. Le projet, qui demeure vague, pourrait comprendre à la fois des bureaux et des appartements en copropriété. Sa valeur pourrait dépasser 300 M$. Entre-temps, Homburg continue de faire avancer le projet d'hôtel et d'appartements à l'ancienne gare Viger, que les autorités municipales sont en train d'étudier. Le président n'a pas exclu, mardi, que des logements sociaux puissent être intégrés au complexe. Homburg a par ailleurs confirmé, mardi, un investissement de 35 M$ pour la seconde phase du 333, rue Sherbrooke est, un complexe d'appartements en copropriété de luxe. L'année dernière, la société a racheté, pour 485 M$, le Fonds de placement immobilier Alexis Nihon, qui comprend la place du même nom, à Montréal, de même que des propriétés commerciales. Richard Homburg a répété mardi qu'à ses yeux, le marché immobilier montréalais demeurait sous-évalué. Le titre de Homburg a pris 6 cents mardi à la Bourse de Toronto, où il a clôturé les échanges à 3,28 $. source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080402/LAINFORMER/80402026/5891/LAINFORMER01
  7. n'y aurait-il pas des contraintes d'ordre technique a batir une tour de 25 étages au dessus de la gare centrale? ce que 2 tours de 25 pourrait contourner
  8. la tour est mieux dans sa deuxieme version, sans la couleur mais la base je l'aime vraiment pas, surchargé
  9. Teachers a moins bien fait que la Caisse en 2007 1 avril 2008 - 14h15 LaPresseAffaires.com Michel Munger Ayant atteint la maturité, le régime de retraite des enseignants ontariens surnommé Teachers affiche un rendement moins important que la Caisse de dépôt et placement du Québec pour une deuxième année de suite en 2007. Ainsi, ce régime ontarien qui tente de privatiser BCE pour 52 G$ déclare un rendement annuel de 4,5% pour la période qui s'est terminée le 31 décembre. L'indice de référence a donné un rendement de 2,3%. La Caisse, elle, a affiché un gain de 5,6%. En 2006, les rendements respectifs de la Caisse étaient de 14,6% et 13,2% Click here to find out more! Teachers explique qu'elle a atteint la maturité, ayant 1,6 participant actif pour chaque participant retraité. Cela fait en sorte que ceux qui cotisent sont moins nombreux qu'auparavant pour garder le bateau à flot. Cela la force aussi Teachers à prendre moins de risques. Si le portefeuille total était composé à 65% d'actions de sociétés ouvertes et fermées en 1995, la proportion était de 47% en 2007. Environ 36% de l'actif de 108,5 G$ était composé de placements sensibles à l'inflation alors que ceux à revenu fixe représentaient 17% du total. Justement, les actions ont procuré un rendement négatif de 0,1%, contre -1,6% pour l'indice de référence. Le rendement de Teachers dans ce secteur sur quatre ans est de 12,8% par année. La valeur du portefeuille d'actions s'élevait à 50 G$ au 31 décembre. Les placements sensibles à l'inflation ont entraîné un rendement de 7%, étant évalués à 39,3 G$ à la fin de 2007. L'indice de référence a généré une hausse de 2,9%. Sur quatre ans, le régime ontarien affiche des gains de 11,8% par année. Du côté du revenu fixe et du rendement absolu, Teachers rapporte un rendement de 5,4% avec un actif de 18,7 G$. L'indice de référence générait 9,6% pendant la même période. Sur quatre ans, le régime a eu un rendement annuel de 10%. C'est sans oublier les défis présentés par la conjoncture actuelle aux niveaux économique et boursier, comme l'explique Bob Bertram, vice-président directeur aux Placements chez Teachers. «L'incidence défavorable de la hausse du dollar canadien sur les placements étrangers, les répercussions négatives sur les marchés du crédit de la crise des prêts hypothécaires à risque élevé aux États-Unis et l'effondrement du marché canadien du papier commercial [...] n'ont pas empêché la caisse d'enregistrer un gain sur douze mois de 4,7 G$.»" La maturité ayant été atteinte, Teachers rapporte qu'en date du 1er janvier 2008, elle montrait une insuffisance de capitalisation de 12,7 G$. «C'est là le défi perpétuel que pose la question d'un régime à maturité», conclut Jim Leech, PDG de Teachers. source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080401/LAINFORMER/80401151/5891/LAINFORMER01
  10. et j'ai nommé les résidents du platô Hugo Fontaine La Presse Condos sur pilotis: la construction démarre, l'opposition renaît Mardi, un promoteur a officiellement conclu une transaction de 1,25 million de dollars avec Stationnement de Montréal pour l'acquisition des droits aériens lui permettant de construire 98 condos par-dessus les terrains de stationnement situés rue Généreux, au nord de l'avenue du Mont-Royal. Vers la fin de la semaine, des pelles mécaniques sont apparues sur un des terrains pour casser l'asphalte. La construction d'un controversé projet de condos sur pilotis a débuté la semaine dernière au coeur du Plateau-Mont-Royal. Un chapitre de plus dans un feuilleton qui dure depuis sept ans. Mardi dernier, le promoteur a officiellement conclu la transaction de 1,25 million de dollars avec Stationnement de Montréal pour l'acquisition des droits aériens lui permettant de construire 98 condos par-dessus les terrains de stationnement situés rue Généreux, au nord de l'avenue Mont-Royal, entre les rues De Lanaudière et Marquette. L'arrondissement avait délivré les permis nécessaires en décembre. Vers la fin de la semaine, des pelles mécaniques sont apparues sur un des terrains pour casser l'asphalte. La construction démarre, sans qu'aucune affiche n'indique la nature des travaux. Ça ne fait pas le bonheur de tout le monde dans le Plateau. Au début des années 2000, près de 12 000 personnes avaient signé une pétition contre le projet. Laurent Imbault, qui a été le porte-parole d'une coalition de citoyens qui s'opposaient à l'arrivée de ces condos, dénonce aujourd'hui l'absence d'intervention des politiciens. «Au bout du compte, tout le monde a enterré cette histoire en s'imaginant que ça allait disparaître tout seul.» Les inquiétudes des citoyens touchent principalement la question de la sécurité dans un stationnement recouvert et peu visible. La densification d'un quartier déjà dense est aussi une préoccupation. La Société de développement de l'avenue du Mont-Royal, qui s'est toujours opposée au projet, annoncera aujourd'hui qu'elle interpelle le maire Gérald Tremblay et la mairesse d'arrondissement Helen Fotopulos. Une rencontre entre la Société et l'arrondissement est aussi prévue en après-midi. «On aurait espéré que le projet ne se fasse jamais, a précisé le directeur général de la Société, Michel Depatie. Mais il faut prendre le problème où il est rendu.» Un projet dans les règles Le porte-parole d'Helen Fotopulos, Marc Snyder, rappelle que la mairesse a fait connaître à plusieurs reprises son opinion très négative sur ce projet. "Mais à partir du moment où le projet respecte la réglementation de toutes les façons, l'administration est obligée d'émettre les permis", explique-t-il. "Nous avons été mis devant un fait accompli par Stationnement de Montréal", affirme Mme Fotopulos, qui n'a pas trouvé cela "très élégant". "Si le projet se fait, ma priorité est que le chantier soit exemplaire en termes d'impact sur le voisinage, les résidants et les activités commerciales", a ajouté la mairesse. En plus de causer un tollé chez les marchands et les citoyens, le projet, d'abord approuvé par l'administration Bourque en 2000, fait l'objet d'un bras de fer juridique entre le promoteur David Owen et la Ville. Des recours judiciaires sont toujours en cours, dont une poursuite de 5,7 millions en dommages et intérêts contre la Ville. La Cour supérieure a ordonné aux deux parties de tenir une conférence de règlement qui aura lieu en avril. Avec la collaboration de Catherine Handfield source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080331/CPACTUALITES/803310468/5077/CPACTUALITES ----------------- Let me in but don't let anybody else come after me... c'est exactement l'attitude des platôiste
  11. Le mardi 01 avril 2008 CHUM: un premier volet à l'été 2009 André Noël La Presse La construction du centre de recherche du CHUM commencera au cours de l'été 2009 le long de la rue Saint-Denis, entre l'avenue Viger et la rue Saint-Antoine, au coût approximatif de 280 millions de dollars en comptant les équipements, ont indiqué hier les responsables du projet au Centre hospitalier de l'Université de Montréal. Il s'agira de la première étape de construction du nouveau CHUM, qui sera érigé juste au nord, de l'autre côté de l'avenue Viger, et qui intégrera les bâtiments existants de l'hôpital Saint-Luc. Le projet total, qui sera réalisé en partenariat public privé, coûtera environ 1,5 milliard de dollars. Le centre de recherche aura une superficie de 46 500 m2 et réunira dans un même lieu les chercheurs actuellement dispersés dans six lieux différents: l'Hôtel-Dieu, l'hôpital Notre-Dame, l'hôpital Saint-Luc, le Technopôle Angus, un bâtiment de la rue Saint-Urbain et MDS Pharma. Il sera en bonne partie construit au-dessus de l'autoroute Ville-Marie et de la ligne de métro numéro 2, mais des experts ont déjà assuré que le problème des vibrations pouvait être surmonté, a indiqué le directeur de la construction du CHUM 2010, Marc Saint-Cyr. Une étude préliminaire, qui sera disponible bientôt, a montré qu'il était possible d'empêcher les vibrations d'affecter les appareils de laboratoire ultrasensibles, a-t-il dit. L'édifice connu sous le nom de Vidéotron, en bordure de l'avenue Viger, appartient déjà au CHUM et sera utilisé pour l'enseignement, a dit le Dr Jacques Turgeon, directeur du centre de recherche. L'édifice des Coopérants, en bordure de la rue Saint-Antoine, sera démoli pour faire place à un nouveau bâtiment. Le nombre d'étages de cet édifice n'est pas encore déterminé, mais il sera inférieur à 18 étages, afin de respecter les règles de zonage municipal. Le verre dominera sur les façades. Près de 1300 personnes travailleront au centre, soit quelque 300 chercheurs cliniciens (des médecins), une centaine de chercheurs formés dans d'autres disciplines que la médecine, des ingénieurs, une centaine de coordonnateurs de recherche, quelque 500 professionnels, techniciens de recherche et employés de bureau, ainsi qu'environ 400 étudiants des niveaux de la maîtrise, du doctorat et du post-doctorat. Le financement des activités du centre de recherche du CHUM a déjà doublé depuis les 10 dernières années. S'élevant désormais à 60 millions de dollars par année, il connaîtra une croissance exponentielle après la construction du nouveau bâtiment, ce qui en fera un des centres de recherche en santé très importants en Amérique du Nord, a dit le Dr Turgeon. Les recherches portent surtout sur six thèmes: le cancer, le syndrome cardio-métabolique; l'infection, l'immunité, l'inflammation; les neurosciences; la santé publique; les maladies musculo-squelettiques. Les contrats en partenariat public privé nécessitent des milliers de pages et des milliers d'heures de discussion. Les firmes de professionnels qui pilotent le projet sont SNC-Lavalin pour la gestion de projet; Bouthillette, Parizeau et associés/Teknika-HBÀ pour le génie mécanique et électrique; CIMA+/Tecsult pour le génie civil et de structure et d'architecture. Le président du conseil du Technopôle Ville-Marie, Me Pierre Marc Johnson, a indiqué il y a deux semaines que trois institutions pourraient s'installer dans ce nouveau Quartier de la santé, soit l'École de santé publique de l'Université de Montréal, les bureaux montréalais de l'Institut national de santé publique du Québec et la Direction de la santé publique du Montréal métropolitain. Me Johnson souhaite que des compagnies privées viennent aussi s'établir près du nouveau CHUM. Source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080401/CPACTUALITES/804010638/5077/CPACTUALITES
  12. Rogers est un des seul qui s'est annoncé publiquement comme étant dans le processus de recherche d'une bonne superficie de bureaux afin de consolider ses opérations dans un seul et meme endroit, mais il y a d'autres compagnies qui assurément cherchent a prendre de l'expansion, et ce sans aller le dire sur la place publique.
  13. WestAust

    MLS Impact de Montréal

    That way people in the crowd could sing "Aller l'OM, Aller l'OM, Aller!" afterwall, we are cheering the habs with some Ole Ole Ole..
  14. je détruirais le viaduc actuel et a la place j'en ferais un nouveau en ligne droite avec la rue de chaque coté de la 116, quitte a avoir les intersections en diagonales
  15. WestAust

    MLS Impact de Montréal

    they have it until the end of the 2009 season, it was a measure to help the team establish itself, get most of the good canadian players at the time... but after that, they want to add some rivalries, especially since there is no other team really close
  16. Québec financera le campus de Longueuil Violaine Ballivy La Presse Québec annoncera sous peu qu'il financera la construction du campus de l'Université de Sherbrooke à Longueuil. Les locaux accueilleront toutefois leurs premiers étudiants un an plus tard que prévu. La faute à l'UQAM et à ses mésaventures immobilières, dit le recteur sherbrookois Bruno-Marie Béchard. Click here to find out more! Taille du texte Taille du texte Imprimer Imprimer Envoyer Envoyer À consulter aussi Lisez d'autres articles sur ces sujets : Université (99%) Bruno-Marie Béchard (84%) Université de Sherbrooke (81%) UQAM (75%) Autres nouvelles À consulter aussi Taille du texte Partager Facebookfacebook Diggdigg del.icio.usdel.icio.us Google signetGoogle «Il est clair que toute la phase post-UQAM a eu un effet très important sur notre échéancier», a indiqué en entrevue à La Presse Bruno-Marie Béchard. Échaudé par le gouffre de 350 millions creusé par les projets de l'îlot Voyageur et du Complexe des sciences, et dont il doit désormais éponger une portion non négligeable, le gouvernement de Québec a multiplié les vérifications comptables avant de donner son aval au projet de l'Université de Sherbrooke. «Le gouvernement a voulu être archirigoureux, beaucoup plus qu'à l'ordinaire et nous avons du faire démonstration par dessus démonstration pour assurer la viabilité financière de notre projet», dit M. Béchard Ce n'est donc qu'en 2009 - au lieu de 2008 - que la nouvelle tour de 16 étages, construite à côté de la station de métro Longueuil, sera enfin inaugurée. «Et par rapport à mes attentes et à nos besoins, je dirais même que nous aurons deux ans de retard. En ce moment, nous sommes déjà obligés de réduire notre offre de cours parce qu'on manque d'espace. On est obligés de louer des locaux à droite et à gauche.» Mais s'il a été plus scrupuleux, Québec sera aussi plus généreux que prévu envers l'Université de Sherbrooke, puisqu'il assumera une partie du projet évalué à 150 millions. Le gouvernement ne devait pourtant pas y verser un seul sou. «Nous ferons une annonce dans les prochains jours ou les prochaines semaines», a indiqué Jean-Pascal Bernier, attaché de presse de la ministre de l'Éducation Michelle Courchesne, confirmant l'information d'abord rapportée par le quotidien sherbrookois La Tribune. Le montant de l'investissement n'a pas encore été dévoilé. «Mais je n'en parlerais même pas s'il s'agissait de 500 000$, a avancé Bruno-Marie Béchard. Ce sera plus qu'une affaire de quelques millions». Cette subvention imprévue ne serait pas accordée pour corriger un problème dans le montage financier du projet, assure aussi M. Béchard. «Nous avons monté le projet selon le cadre le plus pessimiste, sans contribution gouvernementale, parce qu'on sentait bien qu'il y avait une grande crainte du gouvernement de participer ou de s'associer à des projets universitaires compte tenu de ce qui est arrivé à l'UQAM, et notre projet a rempli toutes les exigences gouvernementales.» Cette aide permettra néanmoins à l'Université d'éviter de puiser dans son budget de fonctionnement pour payer des factures de béton, d'architectes ou de poutrelles d'acier. «Le projet aurait été beaucoup plus handicapant pour l'Université sans l'apport du gouvernement», concède M. Béchard. La première phase des travaux - un stationnement souterrain de trois étages - est terminée depuis le début de l'été. Les ouvriers, qui devaient reprendre du service au mois d'août, sont de retour sur le chantier depuis quelques semaines. À terme, la nouvelle tour hébergera plus de 10 000 étudiants (dont 3000 simultanément) de huit facultés d'enseignement différentes, un nombre qui pourrait être multiplié par deux. Car prévoyant déjà une nouvelle expansion, l'Université de Sherbrooke jettera au cours des prochains les bases d'une tour jumelle qui pourra s'élever aux côtés de la première dans les prochaines années. source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080326/CPACTUALITES/803260779/1028
  17. ^^ a l'origine c'était du locatif ce projet la, c'est quand Lépine a décider de vendre le projet a EL AD Canada qu'ils ont décidé de le transformer en condos et de vendre les unités plutot que de les louer. si le projet avait été du condo dès le début, probablement que les 2 tours ne seraient pas montée simultanéement, il y en aurait p-e juste une de construite a l'heure actuelle
  18. Maintenance sous-traitée a la STM, veux-tu rire... jamais les syndicaleux vont accepter cela meme si ca serait probablement la meilleure alternative
  19. le nom officiel c'est "Le Théatre Telus" C'est p-e poche comme nom, but who care's, c'est complement financé par le privé, avec une grosse compagnie qui donne son nom et son argent
  20. Le spectrum avait une capacité de 1200 places approximativement, le nouveau theatre telus va avoir une capacité similaire.. ca semble un bon remplacement pour le spectrum
  21. Le Théâtre TELUS: la nouvelle destination culturelle à Montréal Une salle à la fine pointe de la technologie naîtra au sein du Quartier des spectacles MONTREAL, le 18 mars /CNW/ - Le Groupe Laberge et TELUS sont heureux d'annoncer aujourd'hui un partenariat exclusif d'une durée de dix ans par lequel un nouvel espace de diffusion artistique verra le jour : le Théâtre TELUS. Située dans le Quartier des spectacles de Montréal, la salle, d'une superficie d'environ 12 000 pieds carrés, pourra accueillir jusqu'à 1 200 personnes par événement, et ce, 365 jours par année. "Nous rêvions d'offrir une scène aux artistes et au public montréalais depuis la fermeture du Spectrum. L'appui d'un partenaire de l'envergure de TELUS nous permettra de créer la nouvelle destination culturelle à Montréal : le Théâtre TELUS, a déclaré Jean-Frédéric Laberge, administrateur du Groupe Laberge. Dès l'ouverture du Théâtre TELUS au mois d'avril, les artistes, gens d'affaires, résidents et visiteurs de la grande région de Montréal pourront bénéficier d'un lieu de divertissement culturel et de rassemblement à la fine pointe de la technologie." Aménagé dans l'ancien cinéma Berri, situé au 1280, rue Saint-Denis, le Théâtre TELUS sera équipé des plus récentes technologies en matière d'éclairage et de son, offrant ainsi une acoustique de premier plan. Un studio complet de production télévisuelle et de diffusion en direct y sera également intégré. "Tout comme TELUS, la communauté culturelle québécoise est passionnée par la croissance. C'est en travaillant ensemble que nous ferons rayonner nos artistes, notre créativité et l'innovation qui nous est propre auprès d'une clientèle plus étendue, a affirmé Karen Radford, vice-présidente à la direction et présidente de TELUS Québec. Au cours de la prochaine décennie, le Théâtre TELUS témoignera de notre engagement auprès des 5 000 membres de l'équipe TELUS au Québec, de nos clients et de tous ceux qui fréquenteront le Quartier des spectacles." Le Théâtre TELUS, doté d'une mezzanine, offrira un espace versatile et multifonctionnel qui pourra facilement être adapté aux besoins particuliers des productions artistiques et des événements corporatifs de tout genre. "Le partenariat entre TELUS et le Groupe Laberge pour l'ouverture du Théâtre TELUS est une excellente nouvelle pour Montréal et nous souhaitons qu'il en inspirera plusieurs. Je suis très fière de voir naître de tels engagements du secteur privé pour soutenir la vitalité de notre milieu culturel, un volet incontournable du plan d'action 2007-2017 du Rendez-vous Montréal, métropole culturelle," a déclaré Isabelle Hudon, présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Les travaux ayant déjà débuté, l'ouverture officielle du Théâtre TELUS est prévue pour la mi-avril 2008. Source: http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/March2008/18/c5100.html Source photo: CNW Newswire
  22. there might be too many generic hambuger/pasta place, it's still another chain closing here because the headquarter was too cheap to invest in quebec only marketing
  23. ca reste que la necessite ou non d'un espace de stationnement est tres largement dépendante des activités des gens. Ceux qui ont une residence secondaire, ceux qui font beaucoup d'activités sportives a l'exterieur de la ville (ski, velo de montagne...) la location d'une voiture ou la participation a un programme comme communauto n'est plus rentable
  24. Ils pourraient transformer la partie qui était pour les residences en condos ou appartements, ca se louerait/vendrait surement assez bien, vu que c'est central comme emplacement
×
×
  • Créer...