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  1. I don't know if this is already posted, anyways anybody have some renderings...big bucks in Laval $150,000,000.00!!!!! 2 storey penthouses in the sky...!!! Lancement du projet Quintessence à Laval 9 mars 2011 Communiqué C’est le jeudi 10 mars qu’aura lieu l’annonce officielle de l’imposant projet haut de gamme d’appartements en copropriété. Le complexe, d’une valeur de 150 millions $, sera construit à Laval près du Centropolis et du Carrefour Laval. La première pelletée de terre aura lieu au printemps 2011 et la livraison des appartements de la première phase est prévue en 2012. Le projet comptera globalement cinq immeubles dans lesquels on trouvera de luxueux appartements terrasses, plusieurs locaux commerciaux, un centre de conditionnement physique et plusieurs espaces verts. Plus de détails à venir. Source : Patrick Sakal :goodvibes: http://essencedevivre.com/
  2. J'ai créé ce groupe sur flick :Flickr: Page Not Found Plusieurs membres ont posté des photos récentes des années 80 et 90 représentant des endroits disparus maintenant. De plus, j'ai créé cette collection de photos de Montréal avant-après : Flickr: Page Not Found
  3. Le Laurier - Nouveau à Rosemont, Montréal. Subvention disponible Seulement 16 unités de condo. livraison 2012 Réservez dès maintenant! Nouveau projet 16 condos à Rosemont, lofts et condos de 1 et 2 chambres. À partir de $199,900. Condos de qualité avec choix de couleur pour les cuisines et céramique. Venez visitez notre condo modèle et réservé votre unité au projet Le Laurier. Quartier Le quartier Rosemont est situé au coeur de Montréal. Avec tous les commodités à proximités ainsi que plusieurs atouts d'importance tel que; jardins botanique, plusieurs parc, cinéma Beaubien, plusieurs Métro et ligne d'autobus, piste cyclable, etc. Ce quartier offre une excellente qualité de vie. Découvrez ce quartier et saisissez l'opportunité que vous offre Le Laurier. Nombre d'unités 16
  4. Les condominiums Les Cours Mitchell sont situés dans l’arrondissement de Saint-Laurent, à moins d’une minute à pied du métro Du Collège. Ce quartier qui compte plus de 400 ans d’histoire est desservi par un réseau important d’autoroutes, de métros, de trains et d’autobus qui facilitent les déplacements vers le centre-ville et partout ailleurs sur l’île et en banlieue. Plusieurs parcs sont aménagés à proximité et le quartier compte de nombreux commerces, ainsi que tous les services utilitaires dont vous aurez besoin. L’architecture des Cours Mitchell est pensée en harmonie avec l’arrondissement de Saint-Laurent, développant ainsi un solide lien avec le voisinage. Les bâtiments sont construits en styles distinctifs selon un plan d’intégration donnant accès à de merveilleux jardins paysagers et espaces verts dans un environnement paisible. Plusieurs condominiums offrent même un point de vue sur le mont Royal ! http://www.coursmitchellphased.com/fr/
  5. Mi'X 28 condos dans le Mile-Ex 28 condos dans le Mile-Ex Le Mi’X vous offre l’opportunité de vivre dans le cœur du Mile-Ex, un quartier en pleine ébullition. Imaginez-vous à quelques pas du Marché Jean-Talon, le Parc Jarry, la Petite Italie et 2 stations de Metro (Parc et deCastelnau). Vivre au Mi’X c’est la vraie vie de quartier. De plus le Mi’X contient un ascenseur et stationnement sous-terrain. Le Mi’X est un investissement assurée. Condos à partir de 173,900 + tx et plusieurs unités qualifie pour la subvention Access à la Propriété Livraison a partir du 1er mars 2015 Bureau des ventes Bureau des ventes ouvert 5405 St-Denis, Montreal Lundi - Jeudi 13h30 a 19h00 Sam-Dim 12h00 a 17h00 Tél: 514-998-1514 Fax: 514-744-9169 Courriel: mowen@mondevimmobilier.com http://www.mondev.ca/138-condo-mi-x-28-condos-dans-le-mile-ex.html
  6. http://grandquebec.com/montreal-touristique/parc-emilie-gamelin/ Parc Émilie-Gamelin Le Parc Émilie-Gamelin se trouve au cœur de Montréal, tout près de la station de métro Berri-UQAM. Ce parc a été inauguré officiellement le 29 août 2005, mais la place était déja bien connue des Montréalais depuis la construction de la station de métro Berri-UQAM. Son aménagement évoque le paysage de Montréal, symbolisant ses terrasses par le biais d’un plan incliné de verdure. Les sculptures métalliques sont l’oeuvre de l’architecte Melvin Charney. Elles symbolisent la recherche de la cohabitation entre les paysages naturels et les espaces construits d’une grande ville. Le parc porte le nom Émilie Tavernier de Gamelin qui a consacré des fonds hérités de son époux, Jean-Baptiste Gamelin pour des oeuvres de bienfaisance. Curieusement, ce lieu semble être hanté par quelque force mythique. En effet, le Parc Émilie-Gamelin a changé de nom à plusieurs reprises. On l’appelle parfois le parc Berri, la place Émilie-Gamelin, la Place du Quartier Latin, le Parc du Quartier Latin, le Square Berri ou encore le Parc UQAM. Autrefois, on l’appelait aussi parc de Montigny, d’après le nom initial de la station de métro, Berri-de-Montigny qui fut changé en 1987 pour celui deBerri-UQAM. L’origine du nom Berri est obscure. On pense que ce nom réfère au colon Simon Després, dit Berry. Il fit acquisition, le 25 avril 1659, d'un terrain dont la limite occidentale constituait une partie du tracé de cette rue. Une autre version dit pourtant que le nom vient du nom de la province française de Berri, mais aucun document ne le confirme. Le Parc Émilie-Gamelin n’est pas très vaste, mais il est entouré d’institutions et d’organismes très importants: l’Université du Québec à Montréal - UQAM, créée en 1969, la Grande Bibliothèque qui est la plus grande bibliothèque au Québec, la station centrale d’autobus (autrefoisTerminus Voyageur) et la Place commerciale Dupuis qui abrite des boutiques et plusieurs organismes provinciaux dont le SAAQ et le Carrefour d’intégration du Ministère d’Immigration et des Communautés culturelles du Québec. Le parc est la porte d’entrée du Quartier Latin. Le parc Émilie-Gamelin est indiscutablement un des pôles d'animation les plus actifs de la ville de Montréal. Plusieurs spectacles, concerts et festivals s’y tiennent régulièrement. Le Parc Émilie Gamelin lors de la célébration du Festival Présence autochtone. Photo :Martine Geronimi. Le parc en été. Photo : © V. Petrovsky Voir aussi : Biographie d'Émilie Gamelin Quartier Latin de Montréal Station de métro Berri-UQAM
  7. http://journalmetro.com/actualites/montreal/350694/luc-ferrandez-montreal-doit-faire-preuve-dambition/
  8. GDS

    Le Namur (2017)

    Le projet « Le Namur » est situé cœur du quartier « Le Triangle » dans l’arrondissement Côtes-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce. Situé à proximité de trois stations de métro (Namur, de la Savane et Plamondon), les Habitations Trigone, en partenariat avec Le Fonds immobilier de solidarité FTQ, sont fiers de vous présenter ce tout nouveau projet TOD (Transit-Oriented Developement). D’une architecture urbaine et épurée, nous vous offrons un magnifique bâtiment de 10 étages comportant 176 unités. Le bâtiment sera composé de studios ainsi que d’unités avec une ou deux chambres de façon à desservir les diverses clientèles composées entre autres d’étudiants, de jeunes professionnels et de jeunes familles. De plus, il comportera deux niveaux de stationnement souterrain ainsi que plusieurs caractéristiques afin de répondre au style de vie actif des locataires et leur donner plus de confort. Le plan de développement du quartier « Le Triangle », par l’arrondissement Côtes-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce, vise non seulement à augmenter l’offre résidentielle dans ce secteur mais également l’ajout d’espaces verts, de pistes cyclables et de nouveaux commerces à proximité. http://www.habitationstrigone.com/fiche_projet/namur/
  9. Condos neufs à vendre à partir de $ 229 900 (taxes non incluses) Une construction de qualité supérieure de béton avec ascenseur et garages et composée de 6 étages, d’un vaste hall d'entrée prestigieux, lumineux et sécurisé ainsi que d'un toit-terrasse vitré, entièrement aménagé, offrant une vue panoramique aux horizons infinis. Ce projet résidentiel de 30 unités de condo réparties sur 6 étages est situé entre l'autoroute 15 et l'autoroute 13, au Nord de l'autoroute 440, à la sortie boulevard Chomedey. Cette situation géographique idéale grâce à la proximité de tous les axes routiers, s'accentue davantage par la présence, à quelques pas, du renommé Marché 440. Plusieurs modèles de condos uniques, abordables et de qualité supérieure sont disponibles, avec stationnement intérieur et extérieur. Elizé vous accueille tout d'abord par un vaste hall d'entrée de prestige, lumineux et sécurisé. Le terrain aménagé propose des jardins intérieurs et des sentiers privés; le tout profitant d'un éclairage extérieur abondant. Élizé vous offre plusieurs choix de condos au style moderne dans une architecture aux lignes épurées : des 3 ½, 4 ½, et 5 ½ personnalisés et exclusifs variant de 950 pi2 à 1390 pi2 Les unités de condos personnalisés sont dotés d’innombrables fenêtres et de très grands balcons prolongeant les aires de vie pour une utilisation optimale de l'espace. La cuisine est contemporaine et de conception unique avec comptoir-îlot et dosseret de céramique. La salle de bain contient une baignoire podium ainsi qu'une douche céramique avec porte de verre trempé. Fidèle aux dernières tendances, la chambre des maîtres se prolonge sur une salle de bain secondaire avec bain-douche, lavabos et robinetteries modernes. Les choix des couleurs et des matières rehausseront l'espace et la conception. Chaque unité de condo est pourvue d'une porte-patio de trois panneaux coulissants, donnant accès à un grand balcon privé aux garde-corps vitrés. http://condoelizelaval.com/
  10. je comprend pas qu'on peut se permettre de detruire un entrepot relativement neuf qui vaut surement plusieurs millions.......je comprend pas comment le projet peut être rentable......... un autre projet non loin de la verra aussi le jour +de 100 condos waltersuratwater.com
  11. Les voitures électriques sont presque prêtes 22 juillet 2008 - 14h58 Presse Canadienne Agrandir La voiture électrique Zenn, fabriquée à Saint-Jérôme. La batterie au lithium-ion, qui se retrouve déjà dans plusieurs appareils électroniques courants, sera sous peu en mesure d'alimenter les voitures électriques rechargeables et deviendra dès lors la réponse toute indiquée aux cours élevés du carburant. C'est ce qu'ont estimé mardi des experts réunis dans le cadre d'un congrès en Californie. Mais même si la technologie semble fort prometteuse, les manufacturiers de la planète sont toujours confrontés à de nombreux obstacles, notamment les coûts élevés, la durée de vie des batteries et la surchauffe, selon les participants à la conférence Plug-In 2008 à San Jose, en Californie. Tien Duong, du département de l'Energie des États-Unis, croit néanmoins que la batterie au lithium-ion est presque prête à remplacer les piles à hydrure métallique de nickel qui se trouvent actuellement dans plusieurs véhicules hybrides gazéo-électriques. La batterie au lithium-ion pourrait être en mesure de donner aux véhicules un rayon de 64 kilomètres par charge, a quant à lui estimé Haresh Kamath, du Electric Power Research Institute. Mais les batteries au lithium-ion requises même par une petite voiture coûteraient aujourd'hui environ 10 000 $ US, a-t-il ajouté. Ce coût devra être abaissé de moitié avant que ces véhicules ne deviennent vraiment intéressants.
  12. NIGHTLIFE.CAMONTREAL22 avril, 2014 - 15:03 Transformer les ruelles de Montréal en spots parfaits pour un 5 à 7? Prenant en exemple le modèle de la ville Melbourne, Jérôme Glad de l'Association du design urbain du Québec (ADUQ) souhaiterait voir ruelles de Montréal recevoir un coup de neuf! En entrevue avec Hugo Lavoie de Radio-Canada, il explique comment Montréal devrait se doter de ruelles urbaines (en plus des jolies ruelles vertes et amusantes ruelles blanches) où l'on peut marcher, boire, magasiner et même manger! L'expansion de commerces dans les ruelles permetterait du même coup un élargissement du centre-ville, hors de la rue Sainte-Catherine Dans ce reportage photo, il explique l'engouement récent qu'ont plusieurs villes (Seattle et Brooklyn, par exemple) pour la revitalisation de ruelles inutilisées où s'accumulent conteneurs, tags sur les murs et ordures. Il suffit de regarder quelques photos des ruelles pour constater le potentiel qu'offrent plusieurs ruelles montréalaises. Ruelle entre les rues Metcalfe et Mansfield [crédit Jérôme Glad | via aduq.ca] Ruelle entre les rues Drummond et De La Montagne [crédit Jérôme Glad | via aduq.ca] Pour en savoir plus sur les ruelles urbaines à Montréal, on vous invite à consulter l'entrevue d'Hugo Lavoie ainsi que le reportage de Jérôme Glad.
  13. Un appel d'offres a été lancé dernièrement par la Société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain Inc. pour le remplacement du Viaduc N. Celui-ci enjambe les deux voies de circulation en provenance de l'autoroute Bonaventure, soit celles qui permettent d'emprunter l'autoroute 15 en direction nord ou sud. Le remplacement de cette structure est prévue pour 2014, et entrainera certainement plusieurs entraves dans ce secteur. Fait intéressant, son voisin, le Viaduc V, de conception identique a été remplacé en 2013. [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/maps?hl=fr&ll=45.47318,-73.556007&spn=0.000004,0.002411&t=m&z=19&layer=c&cbll=45.473241,-73.555881&panoid=kzZbHnp5UADoFLzGTt_OJw&cbp=12,228.94,,2,-4.91[/sTREETVIEW] De plus, l'appel d'offres prévoit la relocalisation de la superstructure de signalisation qui se cache derrière ce viaduc, et qui n'a jamais été très commode vu son emplacement... Lien pour consulter l'appel d'offres
  14. http://journalmetro.com/actualites/montreal/943646/elevages-de-moutons-et-de-poissons-dans-rosemont/ 06/04/2016 Mise à jour : 6 avril 2016 | 22:12 Élevages de moutons et de poissons dans Rosemont Par Mathias Marchal Métro Copyright ÉAU / Design : David Marcil Les deux conteneurs du projet ÉAU (Écosystèmes alimentaires urbains) seront à la place Shamrock d’ici la fin du mois de mai. L’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie méritera certainement cet été le titre de chef de file de l’agriculture urbaine montréalaise. Le parc du Pélican utilisera des moutons pour tondre la pelouse alors que la place Shamrock abritera des conteneurs combinant élevage de poissons et potager. Aperçu de deux projets porteurs de sens. 1-Une ferme dans des conteneurs Deux Montréalais présenteront cet été un projet de ferme où l’élevage des poissons permettra d’irriguer les plantations de fruits et légumes. Les deux conteneurs du projet ÉAU (Écosystèmes alimentaires urbains) seront visitables d’ici la fin du mois de mai à la place Shamrock, dans l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie, et pour tout l’été. Il s’agit de deux conteneurs superposés où les locataires du rez-de-chaussée seront 300 perchaudes. L’eau de leurs bassins sera pompée à l’étage supérieur pour irriguer quelques 350 plants de fruits et légumes issus de semences du patrimoine agricole du Québec. «Comme l’eau est riche en micro et macro-nutriments à cause des rejets des poissons, il n’y a pas besoin d’ajouter d’engrais ou de pesticides. Puis, l’eau en recirculant dans le système est filtrée plus efficacement par les plantes que si elle avait été nettoyée par un filtre industriel, ne produisant ainsi aucun rejet: c’est ça l’aquaponie», lance Oliver Demers-Dubé, l’un des deux fondateurs d’ÉAU. «À l’étage, on a décidé de valoriser la richesse du patrimoine agricole. Alors en plus du choux frisé, du basilic, des fraises, de la moutarde ou du cresson d’eau, on fera notamment pousser de la tétragone cornue ou la ficoïde glaciale», ajoute Émilie Nollet, cofondatrice d’ÉAU. Elle ajoute qu’à leur connaissance, ce sera «le premier système commercial d’aquaponie à utiliser un poisson tel que la perchaude». «Les conteneurs installés dans Rosemont, ce sera surtout pour faire de la démonstration et de l’éducation. Il y aura notamment plusieurs ateliers thématiques autour de l’agriculture urbaine», soulignent Olivier et Émilie, qui investiront 50 000$ dans le projet. À terme, ils souhaitent participer au développement de serres aquaponiques plus grandes et plus rentables qui seraient implantées dans des déserts alimentaires, en partenariat avec des organismes locaux. Elles pourraient aussi servir à alimenter des restaurants. Un montage infographique des brebis qui auraient été localisées dans trois parcs: le parc Rosemont, le parc Jean-Duceppe et le parc Pélican. 2- Des moutons dans le Vieux-Rosemont Cette fois-ci ça devrait être la bonne: le parc du Pélican, dans le Vieux-Rosemont, devrait accueillir 14 agneaux et agnelles de la Ferme gastronomique chez Anouk pendant le mois de juillet, l’arrondissement ayant confirmé son intérêt. «Le financement va plus que bon train, nous avons établi un partenariat avec Terra Perma qui réalisera la bergerie. Il ne reste plus qu’à lancer et réussir notre campagne de socio-financement au début du mois de mai», lance Marie-Ève Julien-Denis qui pilote le projet Biquette à Montréal, dont le slogan est: pâturer, éduquer, égayer. Avis aux anges investisseurs, les promoteurs du projet proposeront notamment du compost de mouton aux généreux donateurs qui auront contribué sur la plateforme La Ruche, un nouvelle plateforme locale de sociofinancement. La somme doit notamment permettre de financer un enclos mobile et des ateliers d’éducation populaire. Par contre, ils ne pourront pas offrir du fromage «Made in Montréal» pour des raisons règlementaires. «Cette année, on garde la projet simple, mais si ça marche, on compte être présent plus longtemps l’été prochain et on pourrait produire le fromage du 375e de Montréal», ajoute la jeune femme qui s’est déjà impliquée il y a quelques années dans le projet de chèvres urbaines dans une ville de 90 000 habitants du nord de la France. Si ces deux projets se concrétisent tous deux dans Rosemont–La Petite-Patrie c’est notamment parce l’arrondissement a enlevé «tous les freins financiers et administratifs aux projets d’agriculture urbaine dans plusieurs zones industrielles et commerciales de l’arrondissement», affirme le maire François Croteau. Avant que la règlementation soit assouplie, il fallait déposer pour un tel projet: une demande de dérogation, obtenir l’aval du comité consultatif d’urbanisme, passer par trois périodes de lecture dans autant de séances du conseil d’arrondissement en plus de payer des frais de permis s’élevant à plusieurs milliers de dollars. «Aujourd’hui, les coûts sont 50 fois moins élevés et le processus est beaucoup plus simple et rapide», se félicite M. Croteau qui espère ensuite voir des projets d’agriculture industrielle se concrétiser dans son arrondissement.
  15. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/474116/immobilier-le-canada-pourrait-resserrer-son-controle Le Devoir Immobilier Le Canada pourrait resserrer son contrôle D’autres pays encadrent déjà l’achat de maisons par les étrangers, rapporte Desjardins 23 juin 2016 |Éric Desrosiers | Actualités économiques Le Canada aurait les moyens de ralentir l’ascension effrénée du marché immobilier de régions bien précises en encadrant mieux l’activité des investisseurs étrangers, rapporte Desjardins. L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a encore une fois mis en garde le Canada, la semaine dernière, contre le danger de la flambée du prix des maisons et son impact sur l’endettement des ménages de la classe moyenne. Le pays a pourtant déjà resserré plusieurs fois ses règles hypothécaires ces dernières années dans l’espoir de freiner le phénomène, commence par rappeler l’économiste du Mouvement Desjardins Benoit P. Durocher, dans une analyse dévoilée mercredi. On a entre autres réduit plusieurs fois la période maximale d’amortissement d’une hypothèque (de 40 à 25 ans), augmenté la mise de fonds minimale (de 0 % à 5 %), réduit le refinancement maximum (de 95 % à 80 %) et durci les règles pour les maisons secondaires. Le problème est que le Canada est aux prises aujourd’hui avec des tendances bien différentes, entre la poursuite du boom immobilier à Vancouver et à Toronto, un ralentissement marqué dans les provinces de l’Ouest depuis la chute du prix du pétrole, et une progression modérée des prix au Québec et dans les provinces atlantiques. « Sans être complètement à court de munitions, il semble difficile [dans ce contexte] d’introduire de nouvelles modifications aux conditions du crédit hypothécaire qui ralentiront de façon efficace le marché de l’habitation en Colombie-Britannique et en Ontario sans nuire aux autres régions », observe Benoit P. Durocher. Le gouvernement fédéral a bien augmenté cet hiver la mise de fonds minimal pour l’achat des maisons valant plus de 500 000 $. Cette mesure qui visait particulièrement les marchés de Vancouver et de Toronto semble toutefois avoir un impact marginal. Freiner les acheteurs étrangers Le ministre des Finances, Bill Morneau, a indiqué au début du mois qu’Ottawa effectuait un examen « en profondeur » des divergences entre les marchés immobiliers du pays et qu’on essayerait notamment de tester l’hypothèse voulant que le principal facteur derrière la montée des prix à Vancouver et à Toronto soit les acheteurs étrangers. Or, « un consensus apparaît de plus en plus au sein des analystes du secteur prix concernant le rôle déterminant que jouent les investisseurs étrangers dans la vitalité du marché immobilier de Vancouver et Toronto », rapporte Desjardins. Une étude d’un chercheur de l’Université Simon Fraser, Josh Gordon, a notamment établi que les deux villes canadiennes comptent parmi les six villes étrangères où les riches Chinois investissent le plus dans l’immobilier, avec Los Angeles, San Francisco, New York et Seattle. Un moyen de freiner cette tendance, dit Benoit P. Durocher, serait que les provinces ou les villes introduisent une taxe annuelle qui augmenterait en fonction de la valeur des propriétés afin de limiter la vente de maisons de haut de gamme particulièrement prisées par les investisseurs étrangers. Le Canada pourrait aussi s’inspirer du Royaume-Uni qui impose une taxe sur les gains de capitaux réalisés au moment de la vente par un étranger d’une propriété britannique. D’autres pays, comme l’Australie et Hong-Kong, imposent aux étrangers une taxe spéciale lors de l’achat d’une propriété. Comme plusieurs investisseurs n’habitent jamais ces maisons ni même ne se donnent la peine de les louer, on pourrait aussi taxer les logements inoccupés. Plusieurs pays exercent un contrôle plus direct des achats immobiliers des étrangers. En Australie, ces derniers ne peuvent habituellement acheter que des maisons neuves. En Suisse, ils sont soumis à des quotas par région. Au Mexique, les investisseurs étrangers ne sont généralement pas admis trop près du centre de la capitale ni à moins de 50 km à l’intérieur des côtes. Vite, mais prudemment Le bon dosage, avec de telles mesures, est important, note l’économiste du Mouvement Desjardins. Il ne faudrait pas que le Canada entache sa réputation d’économie ouverte sur le monde ni ne provoque un ralentissement du marché immobilier trop prononcé. « Cela dit, le temps presse, car plus les prix des propriétés progressent à Vancouver et à Toronto, plus les risques de déséquilibre augmentent et plus la possibilité d’une éventuelle correction s’intensifie. »
  16. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/880479/un-starchitect-debarque-a-montreal/ 26/11/2015 Mise à jour : 26 novembre 2015 | 3:00 Un «starchitect» débarque à Montréal Par Marc-André Carignan Sa signature n’est pas aussi extravagante que celle de plusieurs grands noms de l’architecture, tels que Frank Gehry ou Zaha Hadid. Au contraire: le Britannique David Chipperfield laisse sa marque depuis les années 1980 avec une étonnante sobriété, de Londres à Mexico. Ses lignes droites minimalistes se tiennent bien loin du tape-à-l’œil chinois ou dubaïote, offrant à ses réalisations une qualité architecturale capable de traverser l’épreuve du temps. Sa sensibilité remarquable au patrimoine bâti et aux paysages naturels lui vaut un grand respect de la communauté architecturale et des promoteurs, ce qui lui permet de décrocher des contrats très convoités. Je pense notamment à celui de la nouvelle maison des prix Nobel, à Stockholm. Ou encore, au gratte-ciel que son équipe développe actuellement sur le dernier terrain disponible de Bryant Park, à Manhattan. La qualité de ses espaces a été soulignée à maintes reprises au fil de ses années de pratique. L’architecte a ainsi reçu plus d’une centaine de distinctions, allant de celles de l’American Institute of Architects au prestigieux Mies van der Rohe Award de l’Union européenne. Eh bien, David Chipperfield s’amène à Montréal, un terrain de jeu inexploré jusqu’à présent pour son agence. SSENSE, une entreprise montréalaise de biens luxueux, vient de le mettre sous contrat pour dessiner son nouveau magasin phare (son «flagship») dans la métropole. Le projet n’a pas encore été officiellement soumis à la Ville, mais le mandat des architectes et des ingénieurs a débuté il y a déjà plusieurs semaines, m’a-t-on confié. L’équipe du Britannique devra non seulement élaborer une boutique signature sur l’île, mais elle aura également à plancher sur d’autres projets d’expansion de l’entreprise «dans plusieurs villes». À quoi peut-on s’attendre en termes de design? Difficile à dire pour le moment puisque les architectes cogitent toujours leur concept, et que SSENSE ne m’a pas rendu mes appels. Par contre, si l’on se fie à l’image de marque SSENSE [qui fait affaire avec plus de 200 designers de mode et d’objets haut de gamme], on peut s’attendre à un design très glamour et épuré. Selon mes sources, SSENSE était à la recherche d’une star de l’architecture depuis plusieurs mois afin d’accroître son rayonnement international à travers le design de ses boutiques. Plusieurs noms auraient circulé. Aurait-on pu faire appel à nos talents locaux pour ce mandat? Peut-être, mais il faut tout de même souligner que SSENSE a embauché, en 2013, la talentueuse firme montréalaise Humà Design pour dessiner son nouveau siège social dans une ancienne usine de textiles sur Chabanel. On ne regarde donc pas qu’à l’étranger.
  17. La société Daly et Morin est fondée en 1896 par William Joseph Daly et Albert Morin. Ils reprennent le fonds de commerce d'un quincaillier et d'un fabricant de peintures résistantes au feu. L'entreprise se situe à Montréal, sur la place Jacques-Cartier. Les associés réorientent les affaires de la société et se concentrent sur le commerce de gros et la manufacture de stores, de draperies, de pôles, de tringles et de la quincaillerie nécessaire à l'installation de ces produits. En 1902, ils déménagent leurs locaux sur la rue Saint-Sulpice et installent leur manufacture à Lachine (Montréal) quatre ans plus tard. En 1910, les bureaux de vente sont relogés dans les magasins de l'Hôtel-Dieu et en 1927, les entrepôts se situent tous à Lachine. À la veille de la crise de 1929, la compagnie affiche un chiffre d'affaires d'un million de dollars. Elle fournit plusieurs magasins, dont Morgan's, et est présente dans plusieurs régions du Canada. Son principal concurrent est une entreprise de la région de Chicago, aux États-Unis. Les bureaux de vente demeurent dans le Vieux-Montréal jusqu'en 1930, ils sont ensuite déménagés à Lachine. L'usine cesse ses activités en 1975. http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=13134&type=pge#.Vwp2gnrApDQ
  18. Le 30 mars prochain la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM)organise une conférence sur les Grands projets pour la ville de Montréal. La conférence aura lieu au Palais des congrès et plusieurs conférenciers viendront faire une mise à jour de l'avancement de leurs projets. Le Maire de Montréal ouvrira le bal avec un mot d'introduction. Il y aura trois thèmes : 1- Cap sur les grands projets privés 2- Les grandes infrastructures de santé 3- Les grands projets institutionnels Trois conférenciers retiennent particulièrement mon attention. 1- Cameron Charlebois de la (SIC) Société immobilière du Canada viendra nous faire une mise au point sur le Silo no5 et les Bassins du nouveau Havre. 2- Maryse Bertrand de Radio-Canada nous expliquera où en est le projet de développement du site de Radio-Canada (d'après mes sources il y aura des développements très prochainement). 3- Salvatore Iacono, de Cadillac Fairview, nous parlera du projet de l'Ilot Windsor. Plusieurs autres conférenciers seront présent pour nous parler de leurs projets dans leurs domaines respectifs. J'espère que nous aurons alors de bonnes nouvelles, de grandes nouvelles car il y a déjà quelques mois que tout se beau monde semble dormir, en commencant par le Maire. Peut-etre, après tout, que ce beau monde ne dormait pas vraiment mais travaillait fort, nous le saurons la semaine prochaine. Dommage que le billet soit de $410 car j'aurais bien aimé y passer la journée. Voici le lien avec les infos de l'évènement ainsi que l'invitation, au cas ou : http://www.ccmm.qc.ca/fr/calendrier-forums_strategiques_GrandsProjets
  19. http://ici.radio-canada.ca/regions/montreal/2016/02/08/001-accidents-pietons-montreal-carte.shtml Où sont les endroits les plus dangereux pour les piétons à Montréal? Mise à jour le lundi 8 février 2016 à 6 h 40 HNE Déjà quatre piétons sont morts depuis le début de l'année à Montréal et plusieurs voix s'élèvent pour demander des aménagements plus sécuritaires. Mais quels sont les endroits les plus dangereux pour les piétons à Montréal? Radio-Canada a analysé près de 4700 accidents survenus entre 2011 et 2014. Voici ce que nous avons découvert. Un texte d'Anne-Marie Provost, de Grand Montréal TwitterCourriel Au total, 4825 piétons ont été blessés pendant cette période, selon les données compilées par la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) à partir de rapports du Service de police de Montréal (SPVM). Si la majorité d'entre eux (90 %) ont subi des blessures légères, 59 sont décédés des suites de l'accident. Notre carte montre la répartition de tous les accidents impliquant des piétons et des véhicules entre 2011 et 2014. Par souci de lisibité, les intersections où se sont produits trois accidents et moins ne sont pas affichées. Pour regarder la carte sur votre appareil mobile, cliquez ici. Le centre-ville : densité égale danger! À cause de sa grande densité, le centre-ville est une des zones où les collisions entre marcheurs et véhicules se produisent le plus fréquemment. Le secteur de l'Université Concordia est particulièrement dangereux. Un total de 21 accidents en quatre ans sont survenus sur la rue Guy, entre les boulevards René-Lévesque et Maisonneuve. Radio-Canada s'est déplacée au coin des rues Guy et Sainte-Catherine avec Marie-Soleil Cloutier, professeure au Centre urbanisation culture société de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), pour en comprendre les causes. « C'est une intersection très achalandée, à la fois avec des piétons et des automobilistes, entre autres à cause de la rue Sainte-Catherine et de l'Université Concordia. La rue Guy est aussi très large et à double-sens », explique la spécialiste en sécurité routière. Plusieurs accidents ont eu lieu à l'intersection des rues Guy et Sainte-Catherine entre 2011 et 2014.Plusieurs accidents ont eu lieu à l'intersection des rues Guy et Sainte-Catherine entre 2011 et 2014. Photo : Radio-Canada Marie-Soleil Cloutier souligne que le rétrécissement de la chaussée est une méthode efficace pour réduire les accidents et que plusieurs solutions existent pour rendre le partage de la route entre piétons et automobiles moins dangereux. Prévu par la Ville de Montréal dans les prochaines années, le réaménagement de la rue Sainte-Catherine, entre les rues De Bleury et Atwater, pourrait contribuer à sécuriser les lieux, selon la spécialiste. La Sainte-Catherine comporte en effet son lot d'accidents, tout comme le boulevard René-Lévesque, où on recense quatre piétons grièvement blessés sur les onze touchés à l'intersection de la rue Guy. Les intersections les plus à risque à Montréal : Beaubien et Pie-IX Henri-Bourassa et Lacordaire Saint-Denis et René-Lévesque Boulevard Robert et Viau Sherbrooke Est et rue du Trianon Saint-Denis et Mont-Royal Les voies de transit : la vitesse souvent en cause Des artères plus éloignées du centre-ville sont le théâtre d'un grand nombre d'accidents, et ce, même si les piétons y sont moins nombreux. L'intersection du boulevard Pie-IX et de la rue Beaubien est parmi celles où il y a eu le plus de collisions, selon notre compilation. La largeur des voies et la circulation à double-sens sont encore une fois ici en cause, mais aussi le nombre élevé de véhicules et leur vitesse. « Pie-IX est une voie de transit, ce n'est pas seulement de la circulation locale. C'est des gens qui partent du nord et vont plus au sud et la configuration leur permet d'aller vite », explique Marie-Soleil Cloutier. La même situation prévaut pour plusieurs autres artères que les automobilistes empruntent pour traverser l'île. L'emplacement des arrêts d'autobus aux quatre coins de rue de l'intersection Pie-IX et Beaubien peut aussi favoriser les accidents. « La présence de transport en commun n'est pas un problème en soi, mais ça va créer un afflux de piétons », affirme la spécialiste. Le coin du boulevard Pie-IX et de la rue Beaubien est un des plus dangereux de Montréal pour les piétons.Le coin du boulevard Pie-IX et de la rue Beaubien est un des plus dangereux de Montréal pour les piétons. Photo : Radio-Canada La présence d'une résidence pour aînés au coin de Pie-IX et Beaubien peut expliquer le nombre élevé d'accidents dans ce secteur, indique la professeure. « Les personnes âgées ont une vitesse plus lente, souvent les feux piétons ne vont pas être assez longs pour eux. » Marie-Soleil Cloutier précise qu'il s'agit d'une population particulièrement à risque et souvent victime de collisions. Les artères les plus à risque à Montréal : Boulevard Saint-Michel L'avenue Papineau Le boulevard Pie-IX Rue Sherbrooke Rue Sainte-Catherine Boulevard René-Lévesque Plus d'accidents en hiver et en fin d'après-midi Selon les données de la SAAQ, près du tiers des piétons blessés l'ont été pendant l'heure de pointe du soir entre 15 h et 18 h. Leur nombre est aussi plus élevé vers la fin de la semaine de travail, avec une pointe de 1728 piétons blessés les jeudi et vendredi contre 910 le week-end. L'analyse des chiffres par mois révèle de son côté que l'automne et le début de l'hiver sont plus propices aux accidents. Plus de 2000 pitéons (43 %) ont été victime d'un accident entre d'octobre à janvier. Les collisions en baisse depuis 2011 Si plusieurs endroits à Montréal sont problématiques, le nombre d'accidents impliquant des piétons a malgré tout chuté de 20 % entre 2011 et 2014. Aref Salem, responsable des transports pour l'administration Coderre, explique que la Ville vise une réduction de 40 % des accidents impliquant des piétons entre 2008 et 2017 et assure que Montréal agit. « Il y a beaucoup d'interventions qui se font au niveau des saillies de trottoir et de la réduction de vitesse. À la Ville, nous avons abaissé la vitesse de 50 à 40 kilomètres/heure. Il y a aussi les quartiers verts », énumère-t-il. Parmi d'autres projets qui ont été réalisés, la Ville veut notamment sécuriser le secteur des boulevards Gouin et Laurentien. Six voies de circulation seront réduites à deux. Il y aura élargissement de trottoirs et installation de feux piétons. Aref Salem ajoute que les activités de sensibilisation et les interventions des 133 policiers du SPVM dédiés à la sécurité routière contribuent à changer le comportement des vélos, piétons et automobilistes. Mais selon Marie-Soleil Cloutier, le travail s'est surtout fait au niveau des arrondissements, donc plus sur des rues locales que sur des artères. « La gouvernance de Montréal fait que beaucoup de choses se font sur les rues locales, mais il y a peu de choses qui se font sur les artères présentement. Ça coûte de l'argent, mais c'est clair que Montréal n'est pas un leader jusqu'ici », soutient-elle, sans pour autant dire que Montréal est un cancre. Elle cite en exemple les travaux récents sur la rue Laurier dans le Plateau-Mont-Royal et Rosemont-La Petite-Patrie, qui s'est dotée d'une politique pour sécuriser les abords des écoles. Le cas particulier de l'aéoroport Plusieurs remarqueront les 26 accidents que l'on recense à l'aéroport Pierre-Elliot-Trudeau. Ce résultat est toutefois à prendre avec des pincettes. Différents spécialistes interrogés soulignent que dans les grands espaces comme un aéroport, les policiers ont tendance à toujours mettre la même adresse dans leur rapport, ce qui vient fausser les données. En collaboration avec Florent Daudens sent via Tapatalk
  20. Il y en avait plusieurs autres dans La Presse+. Sur le web, il y a celui-là. http://plus.lapresse.ca/screens/6790bc58-4291-491e-9f73-8a5ca1f3dd04%7CgAnPmVt3Ehav.html
  21. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/440961/guy-laliberte-convoite-un-terrain-sur-l-ile-sainte-helene Guy Laliberté convoite l’île Sainte-Hélène Le fondateur du Cirque du Soleil veut implanter son projet funéraire Pangéa sur un terrain de 130 000 m2 26 mai 2015 |Jeanne Corriveau | Montréal Sur le terrain convoité par Guy Laliberté se trouve notamment la Grande Poudrière, un bâtiment dont la construction remonte à la première moitié du XIXe siècle. Le projet Pangéa comporterait une place publique ainsi qu’un parcours piétonnier dans le «parc nature». Guy Laliberté convoite un terrain sur l’île Sainte-Hélène afin d’y réaliser son projet Pangéa, soit créer un espace commémoratif visant à redéfinir le rapport à la mort et à la mémoire des personnes disparues, a appris Le Devoir. Le fondateur du Cirque du Soleil a dans sa mire une zone située au sud du pont Jacques-Cartier sur cette île montréalaise. Le projet Pangéa s’étendrait sur une superficie de 130 000 m2, selon nos informations. Guy Laliberté souhaite créer une place publique d’environ 10 000 m2 sur la rive ouest de l’île. Cet espace comprend à l’heure actuelle une partie du stationnement P8. Il serait relié à un parcours piétonnier qui s’étendrait sur une portion de 120 000 m2 du parc. Pangéa est un projet mené par la compagnie Lune Rouge Innovation, une entreprise détenue par Guy Laliberté, et c’est sa branche immobilière, Lune Rouge Immobilier, qui pilote la création de l’espace commémoratif sur l’île. L’île Sainte-Hélène, qui avait accueilli Expo 67, appartient à la Ville de Montréal depuis 1908. En 2007, le conseil municipal avait cité l’île comme site du patrimoine, la soumettant dès lors à des règles précises quant à sa préservation. Guy Laliberté veut concrétiser ce projet à temps pour les fêtes du 375e de Montréal. Ce lieu devrait devenir le phare, le premier jalon d’une série de sites commémoratifs que le patron du Cirque du Soleil cherche à implanter partout dans le monde. La réalisation du projet Pangéa pourrait donc impliquer l’achat d’un terrain public à vocation récréative et culturelle pouvant atteindre 130 000 m2, soit l’équivalent de 24 terrains de football américain. Les détails de la transaction financière et des conditions d’occupation de ce territoire par l’entreprise de Guy Laliberté ne sont pas connus. Selon nos informations, le projet aurait fait l’objet d’au moins une rencontre entre des représentants du promoteur et le maire Denis Coderre, mais lundi soir, le cabinet du maire n’a pas voulu commenter le dossier. Musée et restaurant La place publique du projet Pangéa offrirait un accès au fleuve et une vue sur le centre-ville de Montréal. L’aménagement d’un bâtiment emblématique, d’un restaurant, d’un musée, mais également d’un espace pour des célébrations funéraires privées est envisagé dans et aux abords de cette place. Cet espace consacré à la mémoire et à la redéfinition des rites mortuaires comprendrait un large « parc nature » situé à l’est de la place publique et englobant la Poudrière, la Tour de Lévis ainsi que l’étang de la Poudrière. Les éléments préliminaires de ce projet évoquent la création d’une promenade circulaire dans les espaces boisés comportant plusieurs lieux de mémoire, de souvenirs, de détente et de contemplation, ainsi que la mise en place d’un éventuel cimetière pour animaux de compagnie. L’ensemble du projet s’articule autour des quatre éléments de la cosmologie : le feu, l’eau, la terre et l’air. Il devrait comprendre une structure artistique emblématique en forme de tour de plusieurs mètres de haut placée sous le thème du feu. Controverse en vue La possible vente d’une partie d’un parc public par la Ville de Montréal est de nature à susciter une vive controverse. Au cours des dernières années, plusieurs projets empiétant sur les parcs municipaux ont fait les manchettes. En 2009, les critiques avaient eu raison du projet de l’arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles de construire une maison de la culture et des bureaux d’arrondissement dans le parc René-Masson. En 2010, c’était au tour de l’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension de renoncer à l’agrandissement du poste de police 31 dans le parc Jarry en raison des protestations citoyennes. Et en 2012, la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys avait dû abandonner le projet de construction d’une école dans un parc de l’île des Soeurs. En 2012, la mise en vente de l’ancien Planétarium de Montréal, qui incluait un terrain zoné parc, avait attiré les critiques de l’opposition à l’hôtel de ville. La Ville avait finalement fait don de la propriété à l’École de technologie supérieure (ETS). Baptisée Sainte-Hélène par Samuel de Champlain en 1611 en hommage à son épouse Hélène Boullé, l’île avait été concédée à Charles Le Moyne en 1657. Lorsqu’ils en prennent possession en 1818, les Britanniques y construisent des installations militaires pour se protéger des invasions américaines. Après avoir acquis l’île en 1906, la Ville de Montréal a confié à l’architecte-paysagiste Frederick G. Todd l’aménagement de routes, de sentiers et la construction de la Tour de Lévis. Patrimoine Pour créer l’île Sainte-Hélène telle qu’on la connaît aujourd’hui, trois îles ont été réunies, soit l’île Sainte-Hélène, l’île Ronde (qui accueille désormais La Ronde) et l’île aux Fraises. À l’occasion d’Expo 67, plusieurs bâtiments y sont érigés, dont le pavillon des États-Unis (l’actuelle Biosphère) et la Place des Nations. Les travaux d’excavation du métro permettent d’élargir l’île et contribuent à la création de l’île Notre-Dame, que la Ville a cédée au gouvernement du Québec en 2003 en échange d’un chèque de 240 millions de dollars. Le Règlement sur la constitution du site du patrimoine de l’île Sainte-Hélène précise que tous les travaux d’aménagement doivent assurer la conservation des valeurs caractéristiques du site, dont le paysage historique du site militaire et les aménagements conçus par Frederick G. Todd. Toute nouvelle construction doit faire l’objet d’une étude d’impact visuel « démontrant la qualité de son intégration au paysage et aux composantes bâties du site ». Plusieurs bâtiments de l’île sont ainsi protégés en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel, dont la Grande Poudrière, la Tour de Lévis et le Pavillon des baigneurs. L’île comporte en outre plusieurs oeuvres d’art public, dont L’homme de Calder. Le terrain de La Ronde, qui fait l’objet d’un bail emphytéotique, est exclu de la zone protégée.
  22. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201511/06/01-4918269-que-reste-t-il-de-je-vois-mtl.php Publié le 07 novembre 2015 à 09h00 | Mis à jour à 09h00 Que reste-t-il de Je vois Mtl? Maxime Bergeron La Presse «Coup d'épée dans l'eau», «feu de paille»: les sceptiques étaient nombreux au lancement de Je vois Mtl, il y a un an. Sans faire trop de bruit, ce mouvement citoyen a produit des effets concrets dans la dernière année. Quelque 70 projets ont déjà été réalisés ou sont sur le point de l'être, et une cinquantaine d'autres sont en cours. Tour d'horizon. Une oeuvre d'art de 4,5 km entre l'aéroport et le centre-ville. Un incubateur d'entreprises de plusieurs millions dans la Petite-Bourgogne. Une bibliothèque d'outils dans Villeray. Malgré le scepticisme, le mouvement citoyen Je vois Mtl a déjà généré 54 projets concrets un an après son lancement, tandis que 16 autres sont sur le point d'être achevés. «C'est un énorme succès de mobilisation et de création d'un momentum», affirme Michel Leblanc, président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitaine (CCMM). Je vois Mtl a soulevé une vague d'enthousiasme - et plusieurs froncements de sourcils - à son lancement en novembre 2014. Alors que la métropole se remettait à peine de nombreux scandales de corruption et baignait dans une certaine morosité, BMO et la CCMM ont invité les Montréalais à soumettre des projets dans toutes les sphères d'activité. Plus de 180 ont été retenus. Un an plus tard, plus de la moitié des projets sont terminés (54), en phase de tests finaux (16) ou en développement (49). Le mouvement Je vois Mtl est entre-temps devenu Je fais Mtl et s'est doté d'un bureau de suivi, dirigé par l'ancienne ministre péquiste Diane De Courcy. Un accélérateur Si plusieurs projets étaient déjà en gestation avant le lancement de Je vois Mtl, il leur manquait dans bien des cas une bougie d'allumage. La gestionnaire immobilière Natalie Voland, par exemple, a acheté une église désaffectée il y a quatre ans dans la Petite-Bourgogne dans le but de la transformer en incubateur de PME, un projet qui peinait à décoller. «Le projet était déjà en train de se faire, mais c'était très difficile pour le changement de zonage et de vocation, parce qu'un tel projet ne s'était jamais fait avant à Montréal, explique-t-elle. Après qu'on soit rentrés dans le mouvement Je fais Mtl, ça a grandement facilité le projet. On s'est retrouvés entourés d'un paquet d'experts, eux-mêmes remplis de contacts.» Après un sprint de travaux, qui s'achevait au moment de notre passage, Natalie Voland inaugurera à la mi-novembre le Salon 1861. Ce centre nouveau genre comprendra 80 espaces de travail partagé (coworking), des espaces réservés aux résidants du quartier défavorisé ainsi qu'un restaurant, des bureaux et une vaste salle de réception. L'immeuble est déjà loué à 67%. Le président de la CCMM reconnaît que plusieurs dossiers étaient déjà en chantier avant Je vois Mtl. Mais il insiste pour dire que les engagements pris pendant la conférence ont constitué de véritables catalyseurs, incluant pour son propre organisme. La CCMM s'était engagée à travailler avec ses partenaires pour ajouter cinq nouvelles liaisons aériennes directes vers Montréal d'ici trois ans. L'objectif a été atteint en moins d'une année, avec de nouveaux vols vers Pékin, Reykjavík, Lyon, Budapest et Marrakech, une réussite que Michel Leblanc attribue en bonne partie à Je fais Mtl. «Ce qu'il fallait monter, c'est le «business case», dit-il. Ce qu'il fallait, c'était de mettre de la pression sur les décideurs et de faire en sorte qu'ils s'y engagent. Le cynisme, c'est de dire que les choses se seraient produites de toute façon. La réalité, c'est qu'à un moment donné, ça prend des gens qui décident: on va livrer un résultat, on va aller cogner à des portes, et juste ce fait-là en soi va provoquer un résultat.» Combien d'investissements? Il est impossible pour le moment de quantifier la valeur de tous les projets réalisés dans le cadre de Je fais Mtl. Certains ont été menés à bout de bras par des bénévoles avec un budget infime, tandis que d'autres, comme le Salon 1861, ont entraîné des investissements de plusieurs millions. Le bureau de suivi, de son côté, est doté d'un budget de fonctionnement assez modeste de 270 000$ cette année. Son influence semble toutefois bien réelle. Selon nos informations, Diane De Courcy a envoyé la consigne aux fonctionnaires montréalais de se montrer «bienveillants» à l'égard des projets, un message qui semble avoir été entendu. Le projet La Remise, par exemple, se butait à des refus systématiques puisque son type d'activité - une bibliothèque d'outils - n'existait pas dans les registres officiels de la Ville. La jeune coopérative a finalement pu obtenir un permis d'occupation «hybride» pour s'installer dans Villeray après une intervention de Je fais Mtl auprès des fonctionnaires. Pas une panacée Malgré la cinquantaine de projets réalisés depuis un an, l'économie montréalaise aura besoin de beaucoup plus qu'une initiative comme Je fais Mtl pour se remettre sur les rails, croit Luc Ferrandez, chef de l'opposition officielle à l'hôtel de ville. Il estime que la métropole est aujourd'hui «en bien moins bonne posture» qu'à l'élection du maire Denis Coderre il y a deux ans, comme en témoignent le recul de la création d'entreprises et la hausse du chômage. «Je fais Mtl, c'est sympathique, c'est une belle initiative, mais il n'en demeure pas moins que ce n'est pas un plan de soutien précis aux entrepreneurs, lance M. Ferrandez. C'est une sorte d'animation culturelle nécessaire pour valoriser la création d'entreprises, mais ce n'est pas un soutien précis. Et si c'en est un, c'est dans de très rares cas que ça fonctionne.» Denis Coderre croit au contraire que Je fais Mtl a produit des résultats probants sur le terrain. «C'est comme un genre de catalyseur qui a provoqué plein de changements et mis plein de monde en commun», a avancé le politicien, joint pendant sa mission économique en Chine. Malgré certains indicateurs économiques négatifs, la présidente du Mouvement Desjardins, Monique Leroux, estime que la situation globale s'est un peu améliorée à Montréal grâce au «momentum» actuel. Son organisation lancera bientôt le concours VIVA Mtl, dans le but de mettre en valeur des Montréalais qui s'illustrent. «C'est comme n'importe quoi dans la vie, plus on est moroses, plus on est négatifs, plus ça nous amène dans un cercle vicieux de morosité, avance Mme Leroux. Au fond, VIVA Mtl, ça reprend l'affaire dans l'autre sens, pour montrer comment on peut au contraire s'encourager. Il y en a des belles choses, au-delà de tout ce qui fait souvent la une des médias.» Louis Vachon, président de la Banque Nationale, juge lui aussi que l'état d'esprit général des Montréalais est «clairement meilleur» aujourd'hui. Son projet de parcours-galerie entre l'aéroport et le centre-ville contribuera à redorer l'image de la métropole auprès des visiteurs et des Montréalais, espère-t-il. «On peut donner le crédit au maire Coderre, je pense qu'il a beaucoup d'initiative, dit M. Vachon. Je pense que Montréal a tous les morceaux pour réussir. Ce qu'il manque, c'est un peu de coordination.» Un petit pas sera fait en ce sens avec l'annonce dans deux semaines de la création d'un nouveau comité, qui veillera au suivi de tous les projets présentés à Je fais Mtl. Cet organisme - appelé «Conseil ADN», pour «avis», «développeurs» et «novateurs» - sera présidé par Denis Coderre et réunira 15 leaders montréalais. En parallèle, une dizaine de scientifiques québécois et internationaux sont en train d'élaborer un indice en vue de mesurer l'impact réel de tous ces projets et les liens entre les participants. Cet outil devrait notamment permettre de connaître le rendement sur investissement. _________________________ Deux nouvelles conférences Deux événements se tiendront d'ici deux semaines pour faire le point sur les progrès accomplis à ce jour et donner un coup de pouce aux participants de Je fais Mtl. Une première conférence se tiendra lundi à la Grande Bibliothèque et réunira 300 leaders de projets et leurs collaborateurs. Des «supporteurs-experts», comme des avocats ou des spécialistes en financement, seront attitrés à chaque projet pour en accélérer le développement. Un autre événement se tiendra le 17 novembre au Salon 1861, pour marquer formellement le premier anniversaire du mouvement. De nouveaux «engagements formels» seront pris pour mener à bien les projets qui n'ont pas encore vu le jour. Entre 400 et 500 participants sont attendus.
  23. Après une recherche infructueuse, je crois que nous n'avions pas ce projet répertorié sur mtlurb. http://ruemasson.com/?p=13332 Ça continue de bouger dans ce secteur, avec un autre projet de 383 unités, jusqu'à 6 étages, du groupe Axxco. Le projet sera à l'emplacement d'un ancien entrepôt Rona, dont la démolition a été adoptée hier. Je n'ai trouvé aucun rendu pour l'instant. Ce sera intéressant de faire une tournée de photos dans le secteur d'ici quelques temps, plusieurs grands projets seront en construction.
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