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  1. Montréal figure au 18e rang selon l’étude annuelle du Reputation Institute qui mesure, auprès de 35 000 répondants, le score de 100 villes selon 13 critères comme la sécurité, l’économie ou la gouvernance. Montréal arrive juste derrière Helsinki et Toronto, mais tout juste devant Munich et Madrid. C’est Londres qui domine le classement. http://www.journalmetro.com/montreal/article/1067917
  2. Un immigrant d'Allemagne a pris ces photos pour passer le temps. Il habitait à l'angle de la rue Clark et Prince Arthur. Voici son histoire avec les photos. http://montreal.openfile.ca/montreal/slideshow/montreal-1958-1960-seen-new-german-immigrant-alfred-bohns-3 Juste les photos / just the pictures:
  3. Un autre petit projet bien avancé sur le boulevard St-Laurent juste au sud de la Petite-Italie. Je ne trouve rien sur le net sur ce projet donc voici les photos prises le 16 septembre.
  4. Encore une fois, j'ai fait une petite recherche, mais je ne l'ai pas vu sur le forum... Le projet est juste à côté du Pivot.
  5. Qu'est ce que vous pensez de cette petite reconfiguration que j'ai patenté? C'est une intersection à 5 rues qui m'agace.. non seulement c'est 5 rues, mais c'est à côté d'un park, il y a beaucoup de cyclists qui passent par là, etc. Je verais un rond point à cet endroit. Avantages: 1. Piste cyclable à côté du parc pour accomoder les nombreux cyclistes 2. Intégration de la piste cyclable au rond point 3. Meilleure circulation automobile 4. Plus facile et sécuritaire traverser pour un piéton ou cycliste 5. Ca évite les "clusterfuck" quand 5 chars arrivent de chaque coin.. pire encore quand un autobus passe par là! 6. Stationnement pour le Tennis juste à côté Puisque Longueuil est en campagne électorale, j'ai envis de partager mon idée avec le conseiller de mon district... OursNoir, toi qui connait plus que moi dans ce domaine, qu'est ce que t'en pense?
  6. De l'exode en douce? Publié le 31 décembre 2009 à 06h08 | Mis à jour le 31 décembre 2009 à 06h10 Michel Girard La Presse (Montréal) Avez-vous une idée du nombre de hauts salariés qui déménagent en Ontario afin de réduire l'impact fiscal de la voracité de Revenu Québec? me demande Jean-Claude. «Un de mes amis vient tout juste de voter avec ses pieds et demeure maintenant à Ottawa. Lui et son épouse gagnent ensemble environ 300 000$ par année. Juste en impôt économisé, ils remboursent leur hypothèque.» Avis aux contribuables mécontents de la lourdeur fiscale québécoise. Avant de passer à l'acte et d'appeler le déménageur, je vous invite à bien peser le pour et le contre d'un tel déménagement. Oui, la facture fiscale ontarienne est moins élevée. Et l'écart se creuse dès le palier d'un revenu imposable d'à peine 18 000$. Pour comparer des pommes avec des pommes, mieux vaut se baser sur la note totale des impôts fédéral et provincial à payer. Comme l'impôt fédéral est identique d'une province à l'autre, l'écart ci-après vous permettra d'évaluer à sa juste mesure le poids de la facture de l'impôt québécois. Les données fiscales proviennent de la firme Raymond Chabot Grant Thornton. Elles tiennent compte des crédits personnels de base, du taux d'indexation, de l'abattement provincial de l'impôt fédéral. Pour divers paliers de revenu imposable, voici les écarts constatés pour l'année fiscale 2009. À la lumière du tableau, on constate que le Québécois paye un onéreux supplément d'impôt par rapport à l'Ontarien. Mince consolation: la situation était nettement pire avant l'arrivée au pouvoir de Jean Charest. Depuis son entrée à l'Assemblée nationale en 2003, le gouvernement Charest a allégé la fiscalité des Québécois de quelque 5,4 milliards. Les grandes initiatives fiscales se résument comme suit: réduction générale des impôts de 950 millions, indexation des tables d'impôt et des mesures fiscales (1,9 milliard), déduction pour les travailleurs (588 millions), soutien aux enfants (547 millions), prime au travail (304 millions), et autres mesures fiscales pour personnes âgées. Malgré cet allègement global de 5,4 milliards, les contribuables québécois payent collectivement encore quelque 2,7 milliards de plus d'impôt provincial que les Ontariens. C'est ce qu'affirmait le gouvernement Charest lors de la présentation de son dernier budget. En plus d'appliquer une structure de taxation comparable, l'évaluation du fardeau fiscale entre le Québec et l'Ontario tenait compte des «contributions-santé» et des mesures d'aide aux familles, de l'abattement fédéral, etc. Maintenant, lorsqu'on gagne un revenu élevé, est-ce une raison suffisante de déménager ses pénates en Ontario pour une simple question de fardeau fiscal? Tiens, revenons à notre couple de Québécois qui a déménagé à Ottawa. Il gagne un revenu de 300 000$. Supposons que ce revenu est divisé en parts égales de 150 000$, cela signifie qu'ils économiseront en 2009 quelque 11 230$ d'impôt provincial par rapport au Québec. Le prix moyen des propriétés étant plus élevé à Ottawa, il en coûte plus cher de s'y loger. Ce qui grugera le portefeuille de 1500$ à 4000$, selon le type d'habitation choisi. Habiter Toronto coûte encore plus cher... Et c'est pire à Vancouver. Quoi qu'il en soit, si on a de l'attachement pour le Québec et sa culture unique en Amérique du Nord, il me semble que ça vaut bien les quelques milliers de dollars de plus d'impôt! BONNE ANNÉE 2010!
  7. Ben voilà, j'en avait parlé un peu dans un autre sujet, mais aujourd'hui j'ai été prendre des photos, et considérant la grosseur du chantier, je trouvais ça pertinent de le mettre ici. Y'a pas mal de monde sur et autour du chantier, mais pas d'image indiquant ce qui s'y construit, juste que c'est un agrandissement de la bâtisse Hershey à des fins d'habitation.
  8. Projet qui aurait été à cheval sur l'avenue du Parc, juste au sud de des Pins. Sur la première image, en haut à droite, on voit l'hôpital Hôtel-Dieu. Sur cette même image, l'avenue du Parc va vers le nord et vers le sud, elle passe sous le projet. 3 photos.
  9. Montréal, deuxième ville de party au monde Agence QMI Jean-Marc Gilbert 14/11/2009 17h10 À en croire le palmarès fait par l’organisation touristique Lonely Planet, qui a récemment publié son nouveau guide de voyage 1000 Ultimate Experiences, Montréal est la deuxième meilleure ville de party au monde. Se classant tout juste derrière la ville de Belgrade en Serbie, les auteurs de ce classement qualifient Montréal de «destination de plus en plus populaire chez les voyageurs étrangers». Selon eux, on y retrouve «des boîtes de nuit pleines à craquer», «une atmosphère vieux-quartier», et «de la bonne bière locale»... De quoi bien s’amuser toute la nuit! On fait également référence au populaire festival Juste Pour Rire qui se tient chaque été. Tremblay s’en réjouit Le maire de Montréal Gérald Tremblay a été mis au courant de cette nomination et l’a commenté par voie de communiqué, la semaine dernière. «Ces deux prix (Montréal s’est aussi mérité un prix pour les BIXI) nous démontrent qu'en misant sur ses créateurs et sur l'innovation, Montréal a fait le bon choix et réussit ainsi à se démarquer.» Ce dernier pense aussi que ce genre d’honneur permet à la métropole d’être «reconnue tant au national qu'à l'international [...] et j'en suis particulièrement fier.» Les autres villes figurant à ce classement des 10 plus grandes villes de party dans le monde sont dans l’ordre: Buenos Aires en Argentine, Dubaï aux Émirats arabes unies, Thessaloniki en Grèce, La Paz en Bolivie, Cape Town en Afrique du Sud, Bakou en Azerbaïdjan, Auckland en Nouvelle-Zélande et Tel Aviv en Israël.
  10. Le Mardi 4 Août 2009 | Mise en ligne à 15h03 À quoi ça sert, un maire ? Ariane Krol David Miller a tenu tête aux employés municipaux durant plus d’un mois, mais apparemment, ce n’était pas assez. Les Torontois se montrent beaucoup moins enclins à réélire leur maire qu’avant le conflit, montre un sondage CTV/The Globe and Mail. Et on ne parle pas d’un petit recul. Presque 60% des citoyens interrogés ont moins envie de voter pour lui aux élections de l’an prochain. L’enquête a été réalisée à la fin de la semaine dernière, juste après que les conditions de l’entente avec le premier syndicat aient rendues publiques. Plus de 60% des répondants trouvent que leur maire s’est écrasé devant les grévistes. Où étaient les partisans de la ligne dure durant le conflit? On a entendu des masses de citoyens se plaindre des ordures qui s’accumulaient dans les parcs, mais très peu dire que le jeu en valait la chandelle. Qu’ils étaient prêts à endurer quelques semaines de puanteur pour éviter que leur compte de taxes ne grimpe en flèche. Remarquez, on ne fait pas mieux avec notre neige, qu’on voudrait voir ramassée instantanément sans se demander combien il en coûterait de plus. La réaction des Torontois a au moins le mérite de donner l’heure juste sur les attentes des citoyens. David Miller n’a pas ménagé ses efforts pour accroître le rayonnement de sa ville. La métropole canadienne s’embellit et devient plus intéressante de jour en jour, au point que son maire est devenu une sorte de repoussoir pour dénoncer l’apathie de Gérald Tremblay. Et pourtant… Ce qui sera déterminant dans l’isoloir, ce ne sera probablement pas l’architecture des musées ou les nouveaux festivals, mais les services municipaux. Parce que la raison d’être d’une municipalité, c’est avant tout de donner des services. Je suis la première à souhaiter que les maires des grandes villes comme Montréal fassent preuve d’inspiration et voient plus loin que la gestion quotidienne. Mais le premier mandat n’exempte pas du second et les élus ne devraient jamais l’oublier. Car ce ne sont pas les commentateurs de tout acabit qui remplissent les urnes, mais les simples citoyens. (Remarquez, si les citoyens en question étaient aussi prompts à aller voter qu’à critiquer les élus , on aurait peut-être des administrations municipales plus efficaces…)
  11. La qualité est pas superbe, j'ai juste un petit point n shoot avec pas vraiment de zoom, mais ca donne un appercu de que à quoi Westmount ressemble vu d'en bas de la côte
  12. Source: Cyberpresse (Chicago) Gilbert Rozon va frapper un autre grand coup dans le monde du spectacle. Le Groupe Juste pour rire discute avec le géant de l'humour américain, Second City, de son installation permanente à Montréal. Déjà implanté à Los Angeles et à Toronto, en plus d'offrir de la formation dans plusieurs autres villes, le groupe de spectacles d'humour de Chicago, qui a lancé les carrières des John Belushi, Dan Aykroyd, Bill Murray, Mike Myers et Steve Carell, entre autres, trouvera sa niche montréalaise dans l'édifice du Musée Juste pour rire. «Nous représentons les deux plus grandes marques en humour dans le monde. On se connaît depuis longtemps et on discute depuis des mois. Nous en sommes présentement à monter le plan d'affaires», a confirmé le fondateur de Juste pour rire, Gilbert Rozon, en visite à Chicago pour la présentation du premier festival Just for Laughs dans la Ville des vents. 50 ans d'humour Le groupe Second City fête ses 50 ans cette année en présentant au Festival Juste pour rire, à partir du 14 juillet, une primeur mondiale intitulée Rêverie. Ce spectacle de près de 80 minutes d'humour non verbal mêle comédie, danse, acrobatie et pantomime. Le grand manitou du rire montréalais explique que son groupe continuera d'archiver et de conserver tout ce qui a trait à l'humour, mais qu'il fera la demande d'un changement de vocation pour l'édifice du Musée. «On n'est pas vraiment des muséologues, notre truc c'est le spectacle, alors cette nouvelle association nous ramène à notre vocation première», résume Gilbert Rozon. Second City vient à Montréal pour faire ce qu'il fait à Chicago depuis 1959: des spectacles, des sketchs, de l'improvisation et, éventuellement, de la formation, autant en anglais qu'en français. Il s'agit toutefois d'un plan à long terme qui ne se fera pas en criant improvisation mixte. «Nous allons prendre le temps de bien faire les choses. Ça fait longtemps que nous voulons travailler ensemble, nous avons accumulé peut-être 800 projets depuis le temps!» lance en rigolant Kelly Leonard, vice-président du groupe The Second City, qui a offert une visite de ce haut lieu de l'humour américain à <i>La Presse</i>. Le siège social de Second City à Chicago est un vaste complexe sur plusieurs étages qui comprend deux salles de spectacles de 290 et 180 places. On y trouve également un centre de formation qui reçoit 2400 étudiants par année et qui possède aussi sa propre scène. «Quand nous sommes entrés dans le Musée Juste pour rire de Montréal, nous nous sommes dit: Wow! ça pourrait être comme ici (à Chicago). À nouveau!» s'emballe Kelly Leonard, également président de Second City Theatricals. «Nous avons, dans le fond, un espace similaire à celui que possède Second City à Chicago, donc c'était un mariage naturel», ajoute Gilbert Rozon. Anglos et francos De son côté, Bruce Hills, président de Just for Laughs, précise que le festival montréalais présente depuis des années déjà beaucoup de spectacles à sketchs à forte saveur Second City. «Le potentiel est là à Montréal, dit-il. Pour Second City, c'est la plateforme parfaite. Naturellement, nous allons réunir nos artistes locaux, anglophones et francophones autour de ce partenariat.» Il souligne que la troupe de Chicago possède également un immense répertoire de comédies, courtes et longues, qui pourraient très bien être adaptées dans la langue de Molière. Gilbert Rozon indique, pour sa part, avoir vu à Édimbourg tous les ans lors du festival Fringe de l'endroit «des artistes britanniques extraordinaires qui pourraient venir en tournée à Montréal». Le théâtre The Second City a ouvert ses portes en décembre 1959 à Chicago avec d'anciens étudiants universitaires en scène. Le secteur télévision a ensuite vu le jour, en 1963. Second City offre des cours pour adultes et des camps d'étés aux enfants, tout en donnant des spectacles à Chicago, Toronto et Los Angeles, et en effectuant des tournées partout en Amérique, mais aussi sur des bateaux de croisière norvégiens!
  13. Un nouveau festival pour Juste pour rire Le Groupe Juste pour rire lancera un nouveau festival cet été. L'événement, qui se déroulera du 10 au 26 juillet, sera axé sur l'humour, la musique, la danse, le cirque et le théâtre. Le nom du festival, qui sera distinct du Festival Juste pour rire, devrait être annoncé le 9 juin prochain, tout comme l'ensemble de la programmation. Ce nouvel événement ciblera un public de 15 à 35 ans et proposera des spectacles dans des petites salles.
  14. La Banque du Canada vient tout juste de porter son taux directeur à un creux historique de 0,5 % en l'abaissant d'un demi-point. Pour en lire plus...
  15. Publié le 15 février 2009 à 15h05 | Mis à jour à 15h10 Juste pour rire poursuit son expansion
  16. Le président et chef de la direction de l'AIAC presse Ottawa d'en faire plus pour s'assurer que les entreprises canadiennes obtiennent leur juste part des retombées qui doivent découler des contrats militaires. Pour en lire plus...
  17. Près du tiers des salariés québécois travaillent plus de 41 heures par semaine. Mais que signifie au juste l'expression «travailler fort»? Pour en lire plus...
  18. Le krach boursier qui ébranle l'économie mondiale fait dégringoler les cours du pétrole. À Londres, le baril de brut, qui valait 147$US voilà tout juste trois mois, est passé sous la barre des 80$US. Pour en lire plus...
  19. De : http://www.uer.ca "Esquisses de 1928, reprises en 1944. Voici ce qu'aurait l'air l'hôtel Windsor si les projets d'agrandissement avaient eu lieu. Ce projet avait pour but de porter à 1000 le nombre de chambres de cet hôtel. Ce sera plutôt l'hôtel Laurentien, un concurrent qui construira un hôtel de 1000 chambres et ce, juste en face du Windsor en 1948..."
  20. André et Monique, tous deux dans la cinquantaine, se marient cet été. Ils tiennent à planifier le juste partage de leur patrimoine respectif. Pour en lire plus...
  21. L'entreprise torontoise paie 10,7 M$ pour acheter Telehop, tout juste après avoir versé 442 M$ pour obtenir des permis sans fil à travers le pays. Pour en lire plus...
  22. Juste pour rire habitera l'esplanade de la PdA Fabien Deglise Édition du mardi 22 juillet 2008 Mots clés : Quartier latin, Place des Arts, festival Juste pour rire, Culture, Festival et fête, Montréal Le festival Juste pour rire songe à déménager dès l'an prochain ses amuseurs de rue et ses spectacles en plein air sur l'esplanade de la Place des Arts (PdA), un terrain d'ordinaire occupé pendant l'été par le Festival international de jazz de Montréal et les Francofolies de Montréal. Ce déplacement, souhaité par la Ville, est qualifié de majeur pour la grand-messe de l'humour, qui a passé le plus clair de son existence dans le Quartier latin de la métropole, un endroit où elle aimerait d'ailleurs toujours garder un pied. «Il va falloir regarder comment nous allons pouvoir faire vivre les animations de rue aux deux endroits en même temps sans perdre notre identité, a indiqué au Devoir Gilbert Rozon, fondateur du festival Juste pour rire. Nos équipes de production se penchent actuellement sur cette question et on espère trouver une solution avant la 27e édition du festival, l'an prochain.» Ce changement de cadre urbain pour les activités gratuites de la fête du rire fait suite à une entente intervenue récemment entre Juste pour rire et la Place des Arts. Pendant cinq ans, le festival s'est engagé en effet à présenter à cet endroit la plupart de ses spectacles en salles. «Avec notre présence au Théâtre du Nouveau Monde (TNM), cela vient créer un pôle d'activité dans ce coin de la ville qui peut justifier la présentation de spectacles gratuits sur l'esplanade de la PdA», dit le grand manitou de l'humour au Québec. Autre motivation: la Ville de Montréal souhaite concentrer dans ce secteur les grands festivals qui font vibrer la métropole. L'idée est ainsi de donner vie et de dynamiser le Quartier des spectacles, un concept dont la première phase de construction doit être complétée d'ici la fin de juin 2009. En théorie. Il s'agit de la Place des festivals qui s'apprête à émerger, dans les prochains mois, d'un terrain vague situé à l'ouest de la PDA. Afin de planifier ce déménagement, une rencontre est d'ailleurs prévue la semaine prochaine entre le chef des clowns au Québec et Alain Simard, président de l'Équipe Spectra, l'entreprise qui pilote les festivals de jazz et de la chanson française et qui depuis près de 30 ans s'approprie l'esplanade de la PDA l'été. Dans la chronologie des événements culturels estivaux, Juste pour rire se retrouve entre les deux. Les deux hommes devraient donc évaluer la possibilité de mettre en commun certains équipements techniques destinés à la présentation des spectacles de rue, spectacles qui, dans le cas de l'humour, pourraient bien voir leur forme changer radicalement. «C'est un défi de contenu, indique André Pérusse, responsable de la programmation extérieure du festival Juste pour rire. Pour le moment, nous offrons beaucoup de performances d'artistes en mouvement dans la rue. Sur l'esplanade de la PDA, il va falloir plutôt penser à des rendez-vous fixes, comme nous l'avons fait par exemple cette année avec Caïus [une pièce de Shakespeare présentée dans la ruelle Joly pendant toute la durée du festival]. Il va falloir aussi trouver une façon de faire un lien entre les activités sur la rue Saint-Denis et la Place des Arts», deux secteurs séparés par une station de métro ainsi que par le grand secteur résidentiel du centre-ville, les habitations Jeanne-Mance. «Cela ne va pas être facile», convient M. Pérusse. Une cuvée exceptionnelle La cogitation liée à la refonte en profondeur des activités extérieures du festival Juste pour rire arrive alors que l'événement a complété, dimanche soir dernier, son 26e tour de piste avec la présentation du Grand Charivarir, un grand carnaval estival qui a attiré près de 50 000 personnes dans les rues de la métropole. «L'an dernier, nous avons offert à Montréal un des plus vieux carnavals du monde, celui de Nantes [en France], a indiqué Danielle Roy, la femme derrière ce projet. Cette année, c'est à la naissance du premier carnaval montréalais que nous avons assisté.» Avec ce défilé urbain populaire dans lequel la multinationale du rire a injecté près d'un million de dollars, Juste pour rire espère par ailleurs poser les bases d'un rendez-vous annuel placé sous le signe de la procession divertissante à grand déploiement. Au total, la cuvée 2008 du festival de l'humour a livré aux deux millions de personnes qui, depuis le 10 juillet dernier, y ont participé près de 78 spectacles en salles et 1200 représentations à l'extérieur, ont annoncé hier les organisateurs lors d'une conférence de presse bilan. Ils se sont également réjouis de plusieurs belles prises cette année, comme Les Correspondances de Groucho Marx, mettant sur scène les acteurs français Jean-Pierre Marielle et Pierre Vernier autour des délires épistolaires du comique américain, mais aussi la présentation du Malade imaginaire, de Molière, par la célèbre troupe de la Comédie-Française. «Cette institution n'était pas venue au Québec depuis 25 ans, a résumé Manon McHugh, responsable de la programmation du festival du rire. Ç'a été une grande fierté pour nous de les recevoir dans le cadre du festival Juste pour rire.» Par ailleurs, avec des recettes de 10 millions de dollars générées par la présence de 230 000 spectateurs -- principalement attirés par les galas, ces grandes compilations d'humour sur scène destinées à devenir des émissions de télévision ultrapopulaires le reste de l'année -- Juste pour rire s'est dit totalement satisfait par cette 26e édition de son festival, dont l'impact économique cette année n'a pas été encore calculé. «Toutefois, Tourisme Montréal confirme qu'en 2007 les retombées économiques que le festival a engendrées étaient de 100 millions de dollars, dont 65 millions en retombées touristiques», ont indiqué les organisateurs.
  23. Au moins 450 millions sont attribuables à la crise particulière du PCAA, constate-t-on dans le rapport annuel tout juste publié par Investissements PSP. Pour en lire plus...
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