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  1. Plan du Quartier des Spectacles Masterplan Si j’ai oublié des projets, n’hésitez pas à me le dire ! ------------------------------- 1 : Lofts des Arts, phase 1 - 10 étages 2 : Lofts des Arts, phase 2 - 25 étages 3 : Terrain vague, métro St-Laurent 4 : Redéveloppement de la rue Ste-Catherine 5 : 2-22 Ste-Catherine - 6 étages 6 : Agrandissement / rénovation de la S.A.T. - 4 étages 7 : Quadrilatère St-Laurent ~ 5 étages 8 : Maison du développement durable - 5 étages 9 : Le Parterre / Esplanade Clark 10 : Promenade des artistes 11 : Salle de l'OSM 12 : Rénovation Place des arts / Grand foyer culturel 13 : Place des festivals 14 : 400 Sherbrooke ouest - 38 étages 15 : Le Concorde - 19 étages 16 : Louis-Bohème - 28 étages 17 : Mise en lumière du GESÙ 18 : Place du SPECTRUM / Complexe SIDEV - 26 étages 19 : LADMMI et Tangente 20 : Édifice Wilder 21 : Édifice des Grands ballets canadiens de Montréal 22 : Maison du jazz 23 : Théâtre du Nouveau Monde, phase 2 24 : Condos Dell'Arte
  2. http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?idArticle=2310085665 sent via Tapatalk
  3. Suite au dépot du PMAD, voici la proposition d'aménagement des environs de la gare de l'AMT de Candiac en secteur TOD pour les années à venir. Le plan d'ensemble Les hauteurs proposées Aménagements publics (Parcs, pistes cyclables...) La présentation complète http://www.ville.candiac.qc.ca/fckDocs/file/fr/nouvelles/2014/presentation_TOD.pdf
  4. 14 unités d’habitation de petite dimension http://ville.montreal.qc.ca/documents/Adi_Public/CA_Vma/CA_Vma_ODJ_LP_ORDI_2015-02-10_19h00_FR.pdf CA : 40.10 2015/02/10 Adopter une résolution autorisant la construction d’un bâtimentrésidentiel projeté sur le lot 2 162 250 du côté est de la rue Saint-André, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René-Lévesque Est, en vertu du Règlement sur les projets particuliersde construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble(CA-24-011) -plan d'aménagement paysager général, le tout réalisé par Blouin, Tardifarchitecture-environnement et Version paysage, architectes paysagistes
  5. Le Sud-Ouest Montréal SECOND PROJET DE RÉSOLUTION - DATE LIMITE POUR SOUMETTRE UNE DEMANDE : 19 NOVEMBRE 2007. SECOND PROJET DE RÉSOLUTION INTITULÉ : «RÉSOLUTION AUTORISANT CERTAINS USAGES COMMERCIAUX EN SOUS-SOL ET PERMETTANT L’AGRANDISSEMENT DE L’ÉDICULE POUR DES FINS D’ACCESSIBILITÉ UNIVERSELLE AU 620, AVENUE ATWATER – STATION DE MÉTRO LIONEL-GROULX.» 1. Objet du projet et demande d’approbation référendaire À la suite de l’assemblée publique de consultation tenue le 24 octobre 2007, le conseil de l’arrondissement a adopté le second projet de la résolution ci-dessus mentionnée lors de sa séance du 6 novembre 2007. L’objet du présent projet de résolution vise à autoriser, à certaines conditions, certains usages commerciaux en sous-sol (épicerie, librairie (journaux) et restaurant / traiteur) et permettre l’agrandissement de l’édicule pour des fins d’accessibilité universelle au 620, avenue Atwater (station de métro Lionel-Groulx). Ce second projet contient des dispositions qui peuvent faire l’objet d’une demande de la part des personnes intéressées de la zone visée et des zones contiguës afin qu’une résolution qui les contient soit soumise à leur approbation conformément à la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités. Une telle demande vise à ce que la résolution contenant de telles dispositions soit soumise à l’approbation des personnes habiles à voter de la zone à laquelle elle s’applique et de celles de toute zone contiguë d’où provient une demande valide à l’égard de la disposition.
  6. Une cure de jouvence autour du métro Frontenac Publié le 10 juin 2010 Emilie Russo L’arrondissement Ville-Marie mijote un plan de développement autour de la rue Ontario, qu’il soumettra en consultation publique cet automne. La Ville projette entre autres de développer les alentours de la station de métro Frontenac. « La force d'un secteur comme Frontenac, c'est le métro. On n'est pas du tout isolé, malgré ce qu'on pourrait croire. C'est éparse et dévitalisé, mais proche du centre-ville. Mais visuellement, on ne se sent pas attaché au centre-ville. L’objectif est de revaloriser le secteur », explique Pierre Gaufre, commissaire adjoint au développement pour l’arrondissement Ville-Marie. Sans dévoiler les détails du plan de la ville, M. Gaufre avance l’idée de créer une nouvelle place publique devant le centre commercial près de la rue Fullum. Les services de sports et loisirs seront aussi améliorés et la circulation automobile sera réduite. La Ville compte également exploiter le potentiel immobilier des terrains vacants autour de la rue Parthenais. Les orientations précises du développement envisagé par Ville-Marie ne seront dévoilées qu’à l’automne. http://www.faubourgvillemarie.ca/Actualites/Grands-dossiers/2010-06-10/article-1512602/Une-cure-de-jouvence-autour-du-metro-Frontenac/1
  7. http://www.boma-quebec.org/details-autres/2016-04-19/montrEal-6e-edition-le-montrEal-du-futur MONTRÉAL - 6e édition - LE MONTRÉAL DU FUTUR® <section class="news events details module block" style="box-sizing: border-box;"><article class="event-article" style="box-sizing: border-box;"> <header class="news-header event-header content" style="box-sizing: border-box; line-height: 1.8em;">19 avr. 2016 au 25 avr. 2016</header>La Grande-Place du complexe Desjardins Quartier des Spectacles, Montréal Téléchargez le plan de visibilité ici </article></section>
  8. Agrandir Sainte-Justine en PPP? Le Devoir Jacinthe Tremblay Édition du jeudi 09 octobre 2008 Mots clés : Yves Bolduc, Sainte-Justine, Privé, Hôpital, santé, Montréal L'agrandissement du Centre hospitalier universitaire (CHU) Sainte-Justine pourrait être réalisé en partenariat public-privé, a indiqué hier en conférence de presse le ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc. «Ce projet de construction était d'abord prévu en mode traditionnel, mais nous pourrions aussi opter pour un PPP si nos études arrivent à la conclusion que cette façon de faire est plus rapide et moins coûteuse», a-t-il déclaré. Le Dr Bolduc venait de confirmer que le plan clinique du projet de modernisation et d'agrandissement du CHU Sainte-Justine, «Grandir en santé», était complété lorsqu'il a évoqué la possibilité d'un tel scénario. Il a également annoncé que «la direction de l'établissement était désormais autorisée à recruter des professionnels pour préparer les plans et devis préliminaires et préciser les coûts du projet». Clément Gignac, directeur exécutif du Bureau de modernisation des CHU de Montréal, a pour sa part précisé que les firmes d'ingénieurs et d'architectes chargées de cette étape étaient choisies depuis 2006. «La décision de Québec nous autorise à signer les contrats avec ces firmes. L'étape annoncée aujourd'hui devrait être complétée au printemps 2009», a-t-il précisé. Les coûts du plan «Grandir en santé» sont évalués à 503 millions de dollars. Le projet permettra entre autres de faire passer de 57 à 80 le nombre de lits de l'unité de néonatalogie. La facture sera partagée entre Québec, l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal et la Fondation de l'hôpital Sainte-Justine. Déjà, 67,1 millions de la somme prévue ont été engagés dans des acquisitions d'immeubles, d'équipements médicaux ainsi que pour l'érection et l'aménagement du nouveau pavillon Lucie et André Chagnon accueillant le Centre de cancérologie pédiatrique Charles-Bruneau. http://www.ledevoir.com/2008/10/09/209845.html (9/10/2008 10H10)
  9. Read more: http://www.montrealgazette.com/Empress+Theatre+will+house+movie+theatre+commercial+offices/7199253/story.html#ixzz25hrcSoJI Nice to see that this landmark will be saved. I will for sure go check it out, when it is all renovated.
  10. Enfin! J'avais peut qu'on n'y réfléchisse pas : un plan de réaménagement de l'Avenue des Canadiens-de-Montréal. Aucune idée si c'est ce projet qui sera complété, mais au moins, c'est une excellente nouvelle. Le dévoilement éventuel du PPU Quartier des Gares nous en dire beaucoup plus. Sur LemayLab : Vers l'EST : Vers l'OUEST : Vers l'EST, entre l'Avenue et la TDC : Vers l'OUEST, entre l'Avenue et la TDC :
  11. Tiré de Portail Constructo Pour plus de détails, voir le site de la CCN Consultez le plan (PDF)
  12. 24 mai 2011 http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/actualites/nouvelles/2011/mai/2011-05-24.asp Nouveau hangar pour Air Inuit Dans la foulée du Plan Nord, le gouvernement a annoncé aujourd’hui l’allocation de 5 millions de dollars à la compagnie d’aviation Air Inuit. Ce montant contribuera à la construction d’un nouveau hangar à Dorval. Le projet d’envergure, qui totalise un investissement de 37,5 millions de dollars, permettra à Air Inuit d’élargir sa gamme de services et de mieux desservir le Nunavik. Par ailleurs, le nouveau complexe répondra aux besoins particuliers de la compagnie et lui permettra, de plus, d’offrir des services d’entretien et de réfection d’avions à d’autres exploitants. Avec ce projet, 500 emplois actuels seront consolidés et une quarantaine de nouveaux seront créés. « Air Inuit est un bel exemple de réussite pour les futures entreprises du Nunavik », a souligné le ministre responsable des Affaires autochtones, Geoffrey Kelley. « Le territoire du Plan Nord représente 72 % de la superficie du Québec. Le développement du Nord nécessite donc des infrastructures stratégiques pour donner accès à cet immense territoire. La construction du nouveau hangar d’Air Inuit annoncée aujourd’hui permettra le développement des transports au Nunavik et contribuera à la mise en œuvre du Plan Nord, au bénéfice de l’ensemble des Québécois », a déclaré le premier ministre, Jean Charest. Rappelons que le Plan Nord se déploiera sur une période de 25 ans et entraînera des investissements de 80 milliards de dollars. Environ 20 000 emplois seront créés ou consolidés chaque année.
  13. RDP-PAT veut une rue Sherbrooke Est «digne d’une métropole» Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles (RDP-PAT) s’est doté d’un plan d’urbanisme afin de donner une vision d’avenir pour la rue Sherbrooke, artère que l’arrondissement veut plus verte, moderne et urbaine. Le plan de développement urbain, économique et social (PDUES) adopté lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement établit les lignes directrices de l’aménagement du territoire aux abords de la rue Sherbrooke. Selon Yann Lessnick, conseiller en planification à la direction du développement du territoire, l’arrondissement misera sur le développement résidentiel et commercial lors de l’élaboration d’éventuels projets dans cette artère du quartier. «Nous voulons que la rue Sherbrooke devienne un corridor urbain contemporain digne d’une ville comme Montréal, dit-il. Nous voulons que les citoyens sentent déjà, lorsqu’ils arrivent de Repentigny par la rue Sherbrooke, qu’on arrive dans une métropole.» Des efforts seront donc consacrés afin de mettre en valeur la portion de rue entre le carrefour giratoire à l’extrémité est de la rue Sherbrooke et la gare de Pointe-aux-Trembles à la hauteur de la 57e Avenue, tronçon où circulent quotidiennement 24 000 véhicules. Une meilleure image Les promoteurs qui souhaitent développer des projets dans le secteur devront se plier à certaines normes établies par l’arrondissement. «Nous souhaitons avoir un cadre bâti particulier à l’entrée de la ville. Travailler avec des matériaux nobles, avoir une architecture relevée qui sera durable, mais qui offrira une conception visuelle intéressante afin de bonifier l’image de cette partie de la rue», indique M. Lessnick. Les espaces verts qui longent la rue Sherbrooke, dont le Parc de la Coulée Grou et le Parc-nature de la Pointe-aux-Prairies seront également mis en valeur. «L’arrondissement est vu comme un lieu urbain dans un milieu naturel, c’est une image que nous aimons et que nous voulons conserver», souligne le conseiller en planification. Commerces et résidences Rappelons que ce plan a été adopté à la suite de plusieurs consultations auprès des citoyens et organismes du secteur. «Les gens veulent avoir des commerces de proximité. Des restaurants, des lieux pour se réunir, des petites boutiques spécialisées, et c’est sur ça que nous allons mettre l’accent dans ce plan.» Plusieurs intersections pourraient devenir de nouveaux pôles commerciaux, notamment le coin des rues de la Rousselière et de la Famille Dubreuil. «Cette partie de la rue Sherbrooke est considérée comme un désert alimentaire. Il est difficile de se procurer des aliments frais, alors nous allons essayer de trouver une façon de changer cette situation, signale M. Lessnick. Nous voulons offrir des services complémentaires afin que les gens ne soient pas obligés de se déplacer à Anjou ou Repentigny afin de se procurer certains produits.» Finalement, on indique qu’en ce qui concerne le développement résidentiel, l’arrondissement favorisera une densification du secteur. «On parle de projets de six étages et plus. Les gens sont tout à fait d’accord avec cette approche et nous pensons que c’est également une façon de moderniser cette artère», conclut le conseiller. Selon l’arrondissement, près de 35 hectares de terrains vacants sont disponibles pour le développement résidentiel et commercial dans ce secteur du quartier. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/915674/rdp-pat-veut-une-rue-sherbrooke-est-digne-dune-metropole/
  14. 'Iconic' park will rise from former St-Michel dump Kevin Mio, Montreal Gazette More from Kevin Mio, Montreal Gazette Published on: August 28, 2015 | Last Updated: August 28, 2015 3:32 PM EDT What was once a quarry and garbage dump that has marred the city’s St-Michel district for decades will soon become one of Montreal’s — if not the world’s — most iconic parks, Mayor Denis Coderre said on Friday. The St-Michel Environmental Complex will be transformed into the city’s second-largest park, behind Mount Royal, beginning with several new sections that are to be opened to the public for the first time in 2017, in time for the city’s 375th birthday. The whole project is slated to be completed by 2023, Coderre said. “New York has its Central Park, Paris has its Luxembourg Gardens, London has its Hyde Park. If it is true that the major cities of the world can be recognized by their legendary green spaces, Montreal has certainly not been left out,” the mayor said as he made the announcement standing in front of what will become a 12.5 hectare wooded area and lookout in a few years. “We already have Mount Royal Park, our largest park, and in a few years we will soon have another equally iconic (park) right here,” he said. “This transformation represents one of the most ambitious environmental rehabilitation projects ever undertaken in an urban environment in North America,” Coderre said. “We are building a park out of a site that contains 40 million tonnes of garbage.” The cost of this phase of the project is $33.7 million, which the city is paying for from its capital works budget. The final price tag for the remainder of the work is not known. However, Coderre said whatever money is needed will be made available to complete the project. Once finished, the park will include thousands of trees, a lake, wooded areas, pathways, rest spots, an outdoor theatre and more. Anie Samson, the mayor of the Villeray — Saint-Michel — Park Extension borough and member of the executive committee, said the transformation shows that the impossible is possible. “Today is a big day for us and it is one more step forward toward the realization of our dreams (for St-Michel),” she said. “For the past 20 or 30 years, (residents) had a dump over there. Now it is going to be one of the biggest and nicest parks in the world,” Samson said. By 2017, just over 17 hectares of park space will be open to the public. In all, the park will occupy 153 hectares of the 192-hectare site. “A lot of people are talking about sustainable development, but what does it mean? I think we have a living proof here,” Coderre said. “We are providing today a new definition of how to revitalize an area. Frankly, at the end of the day … a lot of people are inspired by other cities. Trust me, this one will be an inspiration for the rest of the world.” Journalists were given a bus tour of the site Friday morning, which included a drive into the lowest point of the former quarry, which will eventually become the lake. It will be five times as big as Beaver Lake on Mount Royal. The lake will be filled with run-off water from the park and will be treated to make it safe to be used for boating and kayaking, but not for swimming. The second major project is a new entrance way to the park along Papineau Ave. that will include, among other things, a sliding area for winter activities, public spaces and areas where people can rest or play outdoor games such as Frisbee or flying kites. Two other sections already opened to the public will be reconfigured and new entrances constructed. There is already a pathway that rings the entire complex, but this is the first time the public will be allowed onto the landfill site. But how they will get to the park, near the corner of Papineau Ave. and Jarry St., is another question since public transit to the area is far from ideal. Coderre said they are working on a plan to address that issue. “We can have the nicest park, but it has to be accessible,” Coderre said. “We want Montrealers to be able to take advantage of the park so there will be an action plan for public transit, a mobility plan.” One challenge city officials face is how to camouflage the more than 500 wells that dot the site. They serve as monitoring stations for the biogas which is emitted by the buried garbage and the city must find a way to hide them while still allowing them to be accessible to workers for repairs. At the same time, they must prevent vandalism. The biogas is recovered and used as fuel on site by Gazmont, producing enough electricity for 2,000 homes. The company signed a new deal this year to recuperate the gas for 25 years once renovations are completed in 2016. The electricity is sold to Hydro-Québec, with the city getting 11.4 per cent of total sales per year. kmio@montrealgazette.com http://montrealgazette.com/news/local-news/iconic-park-will-rise-from-former-st-michel-dump
  15. Un projet de 8 étages qui se trame pour le coin St-Marc / Sainte-Catherine http://www.lobby.gouv.qc.ca/servicespublic/consultation/AfficherInscription.aspx?NumeroInscription=AuLgd7373tZ2xfT9K5fg1Q%3d%3d#D53621 Le site:
  16. http://montrealgazette.com/news/local-news/city-to-consult-public-on-overhaul-of-urban-plan sent via Tapatalk
  17. http://plus.lapresse.ca/screens/0424b1da-bbaf-4b85-9f24-e947850b3241%7C_0.html URBANISME DE PROMOTEURS Il est dommage qu’on fasse si peu de cas de la vision sensible et généreuse des concepteurs de la Maison Alcan GÉRARD BEAUDET URBANISTE ÉMÉRITE, PROFESSEUR TITULAIRE À L’ÉCOLE D’URBANISME ET D’ARCHITECTURE DE PAYSAGE DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL Le principal argument invoqué par l’administration Coderre pour justifier la construction d’une tour sur les lieux de la Maison Alcan serait que ce projet témoignerait avec panache d’une vitalité immobilière retrouvée après des années de vaches maigres. À quelques détails près, on croirait entendre Jean Drapeau justifiant les démolitions et les constructions de tours partout au centre-ville au seul motif qu’il en allait de l’essor de sa métropole. Il est quand même étonnant qu’un peu plus de 40 ans après la démolition de la maison Van Horne, on en soit encore à ce que je qualifierais d’urbanisme de promoteurs. Comme si rien ne pouvait justifier qu’on défende une vision plus nuancée de l’urbanisme et du développement immobilier. Mais est-ce si étonnant ? Au début des années 90, l’administration Doré avait modifié l’ébauche du premier plan d’urbanisme de la métropole au profit des promoteurs du nouveau forum (actuel Centre Bell). Cette première donnera le ton. Loin d’être une exception, la dérogation au plan d’urbanisme est en effet rapidement devenue une caractéristique de l’urbanisme montréalais, comme l’a notamment montré le redéveloppement de Griffintown. Quand on s’en inquiète, les responsables montréalais rétorquent habituellement qu’il est impossible de tout prévoir et qu’on ne peut laisser passer les bonnes occasions, d’autant qu’elles enrichissent les coffres dégarnis de la Ville. On fait donc comme si le dynamisme de la métropole était essentiellement l’affaire des promoteurs, qui s’empresseront de retirer leurs billes dès lors qu’on ne leur donnerait pas entière satisfaction. Il s’agit là d’une conception extrêmement réductrice des ressorts du dynamisme urbain. Si on s’en était toujours tenu à cette conception, Montréal aurait été privé du Vieux-Port – que le gouvernement fédéral de l’époque considérait simplement comme un vaste terrain à construire – et du Quartier international – un lieu boudé par les promoteurs. Nul ne contestera les limites de la planification. En revanche, on ne voit pas en quoi cette difficulté puisse justifier le manque de vision. Or, c’est précisément de cela qu’il s’agit dans le cas du projet de la Maison Alcan. Avant de fixer les hauteurs et d’autres paramètres de l’encadrement des projets immobiliers, le plan d’urbanisme propose une vision. Depuis le milieu des années 70, à Montréal comme dans la quasi-totalité des grandes villes et métropoles, la donne patrimoniale s’est progressivement imposée comme un des ancrages de cette vision. Certaines villes ont même adopté des mécanismes destinés à reporter sur des emplacements préidentifiés les pressions immobilières qui auraient menacé des environnements bâtis sensibles. À moins d’être formulées de manière totalement fantaisiste, les hauteurs inscrites au plan d’urbanisme du centre-ville devraient refléter cette prise en compte des attributs des voisinages, y compris là où des tours auraient été malencontreusement érigées durant les années où le laxisme avait été érigé en règle urbanistique. C’est manifestement ce qui a dicté la limitation des hauteurs dans les environs de la Maison Alcan. Qu’on soit techniquement au centre-ville n’y change rien. De ce point de vue, la Maison Alcan aura été un projet phare, à une époque – les années 80 – où la contrainte patrimoniale s’est traduite par de nombreux exemples de façadisme. Ses concepteurs avaient su traiter cette réalisation voulue par le PDG de l’entreprise avec un doigté exemplaire, tant en ce qui concerne les immeubles patrimoniaux de la rue Sherbrooke que le bâtiment construit à l’arrière et relié à ces derniers par un atrium d’une grande élégance. Sans compter le soin apporté aux espaces extérieurs. Dommage qu’en 2015, on fasse si peu de cas de la vision sensible et généreuse du promoteur et des concepteurs de la Maison Alcan, vision qui a valu de nombreux prix à cette prestigieuse réalisation architecturale et urbanistique. Drôle de façon de souligner le 375e anniversaire de la ville. sent via Tapatalk
  18. http://blog.rayside.qc.ca/theatre-paradoxe-place-au-spectacle/ Théâtre Paradoxe – Place au spectacle! Le réaménagement de l’église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours, dans le quartier Côte-St-Paul – Ville-Émard, à Montréal, est un projet dont nous sommes particulièrement fiers. Il s’agit pour Montréal de la première église de grande envergure transformée en salle de spectacles. Le projet est synonyme de succès puisqu’il permet de conserver un bâtiment à haute valeur patrimoniale et qu’il s’intègre dans son quartier d’accueil tout en répondant à des enjeux sociaux locaux. Désormais occupée par le Groupe Paradoxe, un organisme de réinsertion professionnelle œuvrant sur deux volets, soit la formation de la main-d’œuvre et les services multimédia (support à l’organisation d’événements, enregistrements audio et vidéo, etc.), l’église contient une salle multifonctionnelle de 850 places pouvant accueillir différents types d’événements. La salle est en fonction depuis septembre dernier. Le sous-sol regroupe différents locaux tels des salles de pratique, d’enregistrement audio et vidéo ainsi que des salles d’entreposage. Le presbytère, dont la construction devrait s’achever en juillet prochain, accueillera les bureaux de l’organisme de même que des logements pour mères monoparentales et des chambres de transition. À travers ses activités, l’organisme offre des programmes de formation et des emplois à des jeunes marginalisés. Le parti architectural choisi est simple, mais représente un défi de taille : donner une nouvelle vie à l’église tout en préservant autant que possible ses caractéristiques architecturales et en assurant l’intégration du site au milieu environnant. De nombreux détails architecturaux ont été préservés dans le cadre du projet de transformation ainsi que certaines parties du mobilier. Les bancs d’église ont notamment été réutilisés pour construire les bars! Les vitraux ont été préservés et ajoutent à l’ambiance des spectacles. Plusieurs interventions ont également été nécessaires pour transformer la nef, qui représente toujours un défi architectural de taille dans les projets de conversion d’église. L’acoustique de la salle a été atténuée pour éviter les échos lors des événements. PLAN REZ-DE-CHAUSSE PLAN SOUS-SOL À une époque où de plus en plus de nos églises doivent être fermées et démolies, le projet Paradoxe est un exemple inspirant d’une église à laquelle on a su redonner vie. De plus, elle continue, à travers ses nouvelles fonctions, de jouer un rôle central au sein de la communauté. Le théâtre Paradoxe est une célébration du passé tournée vers l’avenir. Vidéo produite par Paradoxe sur la construction du projet > Pour plus d’information sur le projet http://www.theatreparadoxe.com/ http://www.patrimoine-religieux.qc.ca/fr/telechargement/cahier_4_theatre_paradoxe_montreal2.pdf http://decouvrez.gcaimmobilier.com/2015/03/06/theatre-paradoxe-reconvertir-une-eglise-pour-batir-un-quartier/ sent via Tapatalk
  19. Afin de maximiser l'offre commerciale du centre-ville et la vitalité des quartiers - La Ville de Montréal lance le Plan commerce avec l'appui financier du gouvernement du Québec MONTRÉAL, le 8 mai 2015 /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le ministre des Transports et ministre responsable de la région de Montréal, M. Robert Poëti, annoncent la mise sur pied du Plan commerce. Ce plan directeur définit le cadre dans lequel les stratégies du Service de développement économique de la Ville seront élaborées au cours des prochaines années en matière de mise en valeur et de développement de l'activité commerciale montréalaise. Ce plan dispose d'un budget de 40,5 M$ de la Ville de Montréal, qui comprend une somme de 9,5 M$ provenant d'une aide financière du gouvernement du Québec accordée dans le cadre de l'Entente Montréal 2025, administrée par le Secrétariat à la région métropolitaine. « Le Plan commerce que nous dévoilons aujourd'hui, et qui est appuyé par un budget de 40,5 M$, se veut un engagement ferme de la Ville envers sa diversité commerciale, son centre-ville, les sociétés de développement commercial et le commerce de proximité. Il résulte de notre collaboration avec les arrondissements, les villes liées et l'Association des sociétés de développement commercial (ASDC) de Montréal que je tiens à remercier. Je remercie aussi le gouvernement du Québec pour son soutien financier à ce projet essentiel au développement économique de Montréal. Ensemble, nous avons l'ambition de miser sur une offre commerciale dynamique, afin d'asseoir le rayonnement de notre centre-ville et la vitalité de nos quartiers », a affirmé M. Denis Coderre. « Le gouvernement du Québec est fier de soutenir la mise en œuvre du Plan commerce. Miser sur le dynamisme et la valorisation de l'offre commerciale montréalaise, en faisant appel à la concertation et à la collaboration de tous les acteurs en cause, est une approche stratégique et nécessairement gagnante. Nous adhérons à cette démarche qui permettra de consolider des actions déjà entreprises et d'améliorer le visage et la notoriété de notre métropole. Voilà une vision qui rejoint tout à fait la volonté gouvernementale quant au développement et à la prospérité de Montréal », a ajouté le ministre Robert Poëti. Une forte compétition, qui se joue à l'échelle internationale et qui se répercute chez les commerçants, combinée à la popularité croissante du magasinage en ligne, figurent parmi les enjeux qui exigent de revoir l'approche du commerce de détail, en tenant compte des nouvelles habitudes de vie et de consommation de la population. Malgré de nombreux changements opérés au cours des dernières années, les rues commerciales montréalaises, avec leur ambiance conviviale, leur créativité et une programmation festive, conservent généralement leur attrait pour les consommateurs. Ces commerces innovateurs, créatifs et uniques se retrouvent aujourd'hui bien au-delà du centre-ville. Toutefois, la compétition est bien réelle et il y a lieu de continuer à déployer des efforts soutenus afin de maintenir Montréal et son territoire parmi les destinations commerciales de premier plan. Le Plan commerce, qui couvre dans son ensemble la période de 2015 à 2026, propose quatre axes d'intervention, appuyés par des programmes de financement pour assurer pleinement l'atteinte de ses objectifs : gérer de manière dynamique la fonction commerciale ; dynamiser le centre-ville pour accroître sa contribution au rayonnement de Montréal ; accompagner les commerces lors de travaux d'infrastructures d'envergure sur les grandes artères commerciales ; maintenir l'engagement municipal en soutien à la rénovation commerciale de qualité. Quatre mesures importantes prendront effet dès 2015 et 2016 : La relance du programme PR@M Commerce pour la période 2016-2020, qui passe de 12,7 M$ dans la version précédente (2007-2014) à 15,4 M$, et ce, pour stimuler et aider la rénovation des bâtiments commerciaux sur 20 rues et artères de l'agglomération. À chaque année, quatre rues commerçantes ou grandes artères commerciales seront admissibles au programme ; L'investissement de 1,5 M$ dans la promotion de la diversité commerciale et du commerce de proximité pour l'ensemble de l'agglomération montréalaise ; L'injection, pendant 4 ans, de 4,7 M$ dans les Sociétés de développement commercial (SDC) du territoire de la Ville de Montréal pour les aider à mieux contribuer à l'amélioration des affaires de leur secteur et encourager la création de nouvelles SDC ; La création du programme PR@M Artères en chantier pour un montant 13,9 millions $ afin de tourner une situation négative en une situation d'opportunité lors de la tenue de chantiers d'infrastructures majeurs sur sept artères commerciales montréalaises entre 2015 et 2024. Le secteur commercial montréalais en quelques chiffres Le commerce à Montréal, c'est : 14 000 entreprises de biens et services de consommation, dont 8 331 sont des commerces de vente au détail ; une structure commerciale composée majoritairement de propriétaires indépendants, représentant 30 % des commerçants de l'ensemble du Québec ; une offre commerciale répartie en trois formats, soit le magasin sur rue, le centre commercial et le regroupement de magasins ne partageant pas d'aires intérieures communes ; une abondance de magasins ayant pignon sur rue, composée autant de grandes chaînes, de bannières de franchises que de commerces indépendants ; près de 120 000 emplois contribuant à près de 4,5 % du PIB de l'agglomération ; un chiffre d'affaires global estimé à près de 40 milliards de dollars. SOURCE Communiqués Montréal sent via Tapatalk
  20. L'AMT a publié un appel d'offres pour la création d'une voie réservée sur accotement sur la route 116, entre Saint-Bruno et Saint-Basile-le-Grand. Évalué autour de 5,3 M$, ce projet s'inscrit dans le plan stratégique de l'AMT visant à l'implantation de Mesures Préférentielles pour Bus (MPB). https://www.amt.qc.ca/fr/actualites/projets/voies-reservees https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?SubCategoryCode=C02&callingPage=4&ColumnAction=1&ItemId=911630a1-84d4-4699-843f-b9952b625800&COpp=Search&p=2&VPos=0 http://ancien.amt.qc.ca/corpo/Appro/appel/appels_fiche.asp?fiche=1000936
  21. The redpath mansion is crumbling, but residents and protectors of the city's heritage buildings balk at allowing a developer to raze the house and build anew LINDA GYULAI, The Gazette August 19, 2010 The remains of the Redpath Mansion on downtown du Musee Ave. have stood for 24 years as a vestige of what preservationists hoped was a bygone era of battles to save heritage in Montreal's Square Mile. However, a developer's renewed request to demolish what is left of the deteriorating structure at 3455-3457 du Musee to replace it with a 14-unit condo project is again sparking debate. The Ville Marie borough will hold a public hearing Tuesday on the project by Amos and Michael Sochaczevski, who are father and son, as well as on five other rezoning projects around the borough. The Queen Anne-style mansion was built in 1886 by architect Sir Andrew Taylor for the Redpath family, which founded the sugar-refining company of the same name, on a slope of Mount Royal overlooking Sherbrooke St. W. Demolition was started in 1986 when members of the Sochaczevski family bought it, but Heritage Montreal sought a court injunction to halt it. That left the facade and about 10 metres of the side walls standing. A city appeal board blocked a second request by the Sochaczevskis to demolish the remaining structure in February 2002. Now, the latest project calls for demolition and construction of a seven-storey building with 28 underground parking spaces. The top three floors would be of glass and recessed on all sides so it's not noticeable from the street, the owners say. The project, which passed first reading at a borough council meeting in July, would stand 25 metres high, while the zoning allows for 16 metres. However, Heritage Montreal says the plan violates an agreement it signed with the city and the Sochaczevskis in 1986 after the initial demolition was halted. The agreement called for any future project to preserve and integrate the remains of the original building. It also called for the project to respect the scale and design of the original building. "The Redpath project involves 24 years of trying to have discussions and it's being treated in a very shallow fashion," Heritage Montreal policy director Dinu Bumbaru said. However, the Sochaczevskis say the project is greatly reduced from an initial plan to build 11 storeys, and will breathe life into a derelict site. "Finally, after 20 years, we have a project that will put a development worthy of the Golden Square Mile on the site," Michael Sochaczevski said. "There is no building, there is only a ruined front." The plan is to use the foundation of the original building and reuse some elements, such as the stone, in the new project, he said. " We took a lot of things into account and we tried to please everybody and still have a reasonable project that makes common sense," Amos Sochaczevski said. Moreover, the site is surrounded by 11-, 17-and 20-storey towers on neighbouring streets, the Sochaczevskis say. However, Bumbaru countered that most of the towers date back to the 1970s when Montreal was a "frontier town" that lacked zoning rules. "Nobody here says: 'Don't develop,' " said Jean-Francois Sauve, who lives behind the mansion on de la Montagne St. "Just respect the agreements that were made and the (zoning) rules that are in place. Sauve says he's also concerned the project will block sunlight on his property and allow residents to peer into his garden and home. "It's quite surprising that we're right downtown and the city can't enforce simple zoning," he said. "It's actually quite alarming." Read more: http://www.montrealgazette.com/Mansion+again+target+demolition/3415685/story.html#ixzz0x4A1M8SA
  22. Métropole au fil de l'eau - Montréal présente son Plan de l’Eau Que l’on parle d’accès aux berges, d’activités nautiques, de conduites d’eau, d’eaux usées, de transport maritime, d’eaux de ruissellement ou de l’eau que l’on boit, l’Eau est un dossier prioritaire pour la Ville de Montréal. Par son Plan de l’Eau, la Ville répond au souhait exprimé par les Montréalais lors des consultations entourant les préparatifs du 375e anniversaire de Montréal : se réapproprier leur fleuve, leur rivière, l’eau, les berges! Ce plan prévoit : L’aménagement d’un bain portuaire dans le Vieux-Port L’aménagement de la plage de l’Est L’aménagement de la plage de Verdun L’aménagement des berges aux vagues éternelles Un programme de soutien aux initiatives locales d’activités de plein air Un programme de soutien pour augmenter les accès et fenêtres sur la rivière des Prairies / Parcours Gouin Un Programme de renaturalisation des ruisseaux Un programme de correction des raccordements inversés Outre ces différentes actions, d’autres projets municipaux d’importance liés à la thématique de l’eau sont en cours de planification ou de réalisation. Ils viendront se greffer naturellement au Plan de l’Eau, pour offrir une vision intégrée qui tient compte du cycle entier de la vie de l’eau à Montréal — de sa source jusqu’au robinet, et jusqu’au fleuve — pour faire en sorte que les Montréalais aient en tout temps accès à une eau de grande qualité et à une foule d’occasions pour en profiter! sent via Tapatalk
  23. Quebec climbs to 6th spot in Fraser Institute's mining survey Peter Hadekel PETER HADEKEL, SPECIAL TO MONTREAL GAZETTE More from Peter Hadekel, Special to Montreal Gazette Published on: February 24, 2015Last Updated: February 24, 2015 6:31 AM EST A newly constructed bridge spans the Eastmain river in northern Quebec on Thursday October 03, 2013. The bridge leads to Stornaway Diamond's Renard mine and Camp Lagopede. They are located about 800 kms north of Montreal, on the shore of lake Kaakus Kaanipaahaapisk. Pierre Obendrauf / The Gazette SHARE ADJUST COMMENT PRINT After tumbling in the rankings in recent years, Quebec has re-established itself as one of the world’s most attractive mining jurisdictions, according to the Fraser Institute’s annual survey of the mining industry made public Tuesday. The province jumped to sixth spot in the 2014 rankings for investment attractiveness after finishing 18th the year before. The survey rated 122 jurisdictions around the world “based on their geological attractiveness and the extent to which government policies encourage exploration and investment.” Quebec sat on top of the international rankings from 2007 to 2010 but then dropped as industry perceptions of the province turned negative. Increased red tape, royalty hikes and uncertainty surrounding new environmental regulations all took their toll. But a change of government in Quebec seems to have helped turn those perceptions around. “The confidence mining executives now have in Quebec is due in part to the province’s proactive approach to mining policy and its Plan Nord strategy to encourage investment and mineral exploration in northern Quebec,” said Kenneth Green, the Fraser Institute’s senior director of energy and natural resources. The Liberal government under Philippe Couillard breathed new life into the Plan Nord after taking over from the previous Parti Québécois administration, which had been noticeably cool to the plan first proposed by former Liberal premier Jean Charest. While uncertainty surrounding mineral prices has held back new investment in Quebec, the Liberals have pledged to push the Plan Nord strategy by improving transportation infrastructure and making direct investments where needed. Reflecting the improved mood, an index measuring policy perception places Quebec 12th in the world, up from 21st in 2013. However, Quebec got a black eye in the mining community over its handling of the Strateco Resources Inc. uranium mine, which has been repeatedly delayed. A moratorium was imposed on all uranium exploration permits, which the industry saw as an arbitrary and unnecessary action that devastated junior explorers. As well, the Fraser Institute’s Green noted that in Ontario and British Columbia uncertainty surrounding First Nations consultations and disputed land claims should serve as “a stark lesson for Quebec. Above all, mining investment is attracted when a jurisdiction can provide a clear and transparent regulatory environment.” Finland finished first overall in this year’s survey of 485 mining executives from around the world. Exploration budgets reported by companies participating in the survey totalled US$2.7 billion, down from US$3.2 billion in 2013. Despite its strong performance, Quebec was edged out by two other Canadian provinces: Saskatchewan finished second and Manitoba fourth. A strong Canadian showing included eighth spot for Newfoundland and Labrador and ninth for Yukon. The mining industry has been hampered by a lack of financing for exploration as well as continued uncertainty over future demand and prices. The report found an overall deterioration in the investment climate around the world. There is “a stark difference between geographical regions; notably the divide between Canada, the United States and Australia and the rest of the world.” phadekel@videotron.ca sent via Tapatalk
  24. Vaste plan d'aménagement pour le grand Montréal La Communauté métropolitaine de Montréal a dévoilé jeudi la première version de son premier Plan d'aménagement et de développement JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 28 avril 2011 19:55 La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a présenté, jeudi, son projet de Plan d’aménagement et de développement (PMAD). Ce projet, qui sera soumis à la consultation publique à l’automne, vise à densifier la région métropolitaine, à mettre en place un réseau métropolitain de transport performant et à développer un réseau récréotouristique. Le premier PMAD doit être adopté au plus tard le 31 décembre, en vertu de la loi. La CMM prévoit qu’il faudra deux ans à ses membres pour conformer leurs schémas d’aménagement régionaux aux critères du PMAD. Elle se donne ensuite jusqu’en 2031 pour réaliser tous les objectifs de son plan. Selon les évaluations de la CMM, 320 000 nouveaux ménages s’établiront à Montréal, Laval, Longueuil, dans la couronne Nord ou dans la couronne Sud d’ici 20 ans. Puisque ces territoires sont déjà relativement denses, la CMM se donne comme objectif de «canaliser 40% de la croissance future à proximité des points d'accès aux réseaux de transport en commun en favorisant la réalisation de quartiers de type TOD (Transit-Oriented Development)». Les quartiers de type TOD s’articulent autour des stations de transport en commun (train, métro, service rapide par bus) et favorisent les transports actifs, sans toutefois exclure l’automobile. Ils pourront se greffer aux projets de transports qui attendent la région, dont le prolongement du métro vers l’est et la mise en place d’un système léger sur rail (SLR) sur le nouveau pont Champlain. Au chapitre de l’environnement, la CMM «propose de mettre en place un réseau récréotouristique qui s'appuie sur les atouts naturels et culturels de la région». Elle rappelle que la région «dispose d'un riche patrimoine naturel et bâti ainsi que de paysages emblématiques qui méritent d'être mieux protégés et mis en valeur dans une approche intégrée». http://www.journalmetro.com/linfo/article/845598--vaste-plan-d-amenagement-pour-le-grand-montreal
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