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  1. http://www.ecocity2011.com/accueil/default_f.asp Les personnes. L’écologie. L’urbanité. Cap vers les écocités. Le programme du Sommet s'appuiera sur les travaux des Sommets mondiaux Écocité antérieurs, en plus de présenter de nouveaux thèmes de conférences, des méthodes participatives ainsi que des projets qui survivront au-delà de la durée du Sommet. La conception et le contenu détaillé du Sommet mondial Écocité seront élaborés en collaboration avec des partenaires locaux et internationaux. Un effort particulier sera fait pour que l'expertise écologique urbaine particulière de Montréal soit mise de l'avant. THÈMES TRANSVERSAUX PARCOURS DE LA CONFÉRENCE Thèmes transversaux Le programme du Sommet mondial Écocité est organisé autour de six thèmes transversaux qui permettront d’examiner la recherche de pointe et de présenter des solutions concrètes qui contribuent à l'élaboration et à la gestion des écocités. Tous les intervenants présenteront des conférences portant sur leur propre domaine d'expertise et expliqueront la relation entre leur travail et la vaste gamme de problèmes sociaux, économiques et biophysiques qui font partie intégrante de la notion d’écocité. Des panels multidisciplinaires spéciaux, qui se concentreront sur les liens entre les différents thèmes, ont été mis sur pied afin de donner un aperçu holistique des principes à la base des écocités. Ils traiteront notamment de la conception de bâtiments verts pour les collectivités durables; de nouvelles technologies pour élaborer des infrastructures écologiques, comme l’amenée de résidus vers les centrales d'énergie; de l’élaboration de solutions d'écomobilité; de stratégies économiques pour soutenir les écocités; et de l’engagement citoyen ainsi que de la prise en charge par la population. Notre objectif: un programme commun afin de construire des écocités. Les participants à la conférence auront la possibilité d'étendre leurs réseaux, d’apprendre à partir de recherches novatrices et d’expériences faites ailleurs dans le monde, de contribuer à la réflexion sur les écocités et à l’évolution du mouvement des écocités et, finalement, de repartir avec de nouvelles connaissances, des outils et des approches qu’ils pourront adapter à leurs propres villes et pays. CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET ÉCOCITÉ Les villes doivent faire partie de la solution aux changements climatiques : jusqu’à 70 % des gaz à effet de serre (GES) sont produits dans les villes qui accueillent plus de 50 % de la population mondiale. Une écocité pourra faire face aux changements climatiques en relevant les défis relatifs à l’étalement urbain, au transport collectif, à la réduction et la valorisation des matières résiduelles ainsi qu’aux normes, aux matériaux et au design des bâtiments. Les écocités deviendront plus flexibles pour s’adapter aux menaces et aux risques accrus encourus par les infrastructures à la suite des changements climatiques. Les sessions prévues dans cette thématique aborderont comment les écocités peuvent faire face aux défis des changements climatiques. Parmi les sous-thèmes : combiner les stratégies d’atténuation et d’adaptation pour faire face aux changements climatiques; logements, aménagement urbain et changements climatiques; l’économie des changements climatiques dans les villes : impacts et opportunités. Les fournisseurs de technologies permettant de réduire les émissions de GES dans les villes seront particulièrement intéressés par ce sujet. ÉCOMOBILITÉ, AMÉNAGEMENT URBAIN ET ESPACE PUBLIC Comment devrions-nous organiser les villes et les banlieues pour permettre l’écomobilité ? Comment pouvons-nous activer l’espace public ? Les villes et les banlieues sont des entités dynamiques, en constante transformation. Sans cesse, comme tout écosystème, elles sont étalonnées et adaptées à leurs populations changeantes. Les qualités de transformation des régions urbaines présentent des défis et des opportunités. De nombreuses régions métropolitaines sont dépendantes de la voiture, car elles ont été construites et reconstruites pour favoriser l’automobile. D’autres modes de transport, comme la marche et la bicyclette, sont non seulement peu favorisés, mais sont souvent dangereux. Nous n’avons toujours pas réussi à éliminer les approchantes prédominantes en aménagement qui ont mené à ce que tant d’espace urbain soit cédé à l’automobile. Un objectif de convivialité devrait être ciblé dans la façon dont on répond aux besoins de base, tels que les logements, la nourriture, le développement personnel, les loisirs et le transport. Le défi est fondamentalement une question d’aménagement. Les sessions couvrant ce thème font explorer les questions-clés suivantes : Pourquoi et comment repenser l’aménagement de nos villes dans une perspective à long terme tout en posant des actions significatives à court terme ? Quelles sont les expériences inspirantes et les conditions de leur émergence ? Quels résultats pouvons-nous anticiper en faisant quels compromis ? Quels rôles peuvent jouer l’aménagement et le design dans le développement de stratégies réalistes pouvoir encourager la marche, la bicyclette et l’utilisation des transports collectifs et dans leur mise en œuvre ? GOUVERNANCE ET DÉMOCRATIE DANS UNE ÉCOCITÉ Transformer nos villes en écocités implique une nouvelle façon de concevoir la ville, mais aussi de la gouverner. D’une part, il faut revoir le fonctionnement des politiques publiques des municipalités et des gouvernements supérieurs pour que celles-ci s’ajustent à une vision intégrée du développement urbain durable. D’autre part, de nouvelles formes de participation citoyenne doivent être implantées afin de faire une plus large place à ceux-ci dans les processus de planification et de gestion des affaires urbaines. Les sessions couvrant ce thème seront orientées par trois sous-thèmes : la participation citoyenne, le changement social et l’innovation, le gouvernement et la gouvernance. De nombreuses questions-clés seront abordées. Quelles sont les conditions politiques et administratives du changement? Quelles sont les expériences inspirantes? L’ÉCONOMIE D’UNE ÉCOCITÉ Quel est la raison d’être du développement économique dans une écocité et comment définir les termes tels que « développement durable », « prospérité », « bien-être » et « qualité de vie » en lien avec cette notion ? Trois sous-thèmes tentent de répondre à cette question de fond. En premier lieu, comment favoriser les économies locales ? Les façons de maintenir la richesse et la prospérité au sein d’une écocité seront examinées à la lumière des modes de consommations de la population en matière de nourriture et de loisirs. Des défis importants doivent être relevés notamment en matière de financement de l’économie, confrontant la tendance vers la mondialisation, cherchant l’équilibre entre investissements publics et privés et gérant les relations entre l’écocité et les régions avoisinantes. La ville de transition et les mouvements sociaux prônant la ville post-carbone peuvent apporter de nouvelles approches instructives. En deuxième lieu, comment encourager le travail responsable dans une écocité ? Seront abordés les métiers verts et les nouveaux modes de travail possibles, tel que le partage du travail et des semaines plus courtes de travail ainsi que les secteurs les mieux adaptés à une écocité. En troisième lieu, comment gérer l’énergie et les besoins matériels d’une écocité ? Seront abordés les enjeux relatifs aux systèmes de production, de consommation et de gestion des matières résiduelles et les détails sur le fonctionnement d’une économie à faible émission de carbone. Par exemple, quelle est l’empreinte écologique d’une écocité ? Quels systèmes de gestion de l’eau et de traitement des eaux usées sont les mieux adaptés aux écocités, en prenant en compte leur situation géographique ? Comment poursuivre des objectifs permanents de croissance économique et de développement durable dans une ville écologique ? SANTÉ ET ENVIRONNEMENT BÂTI L’impact de l’environnement bâti sur la santé des individus et des populations est de plus en plus documenté tout comme l’est l’impact de la distribution inégale des ressources et services sur les inégalités sociales de santé. Il s’agit d’un nouveau champ d’étude en santé publique qui touche entre autres la qualité de l’air, les îlots de chaleur urbains, la sécurité des piétons et des cyclistes, le transport actif, la qualité de l’eau, l’obésité, les maladie cardio-respiratoires et la santé mentale. Ce thème portera plus particulièrement sur les façons de créer des aménagements urbains favorables à la santé (par exemple, agir sur la configuration des bâtiments, des rues et des trottoirs, la qualité des espaces publics, le verdissement, la promotion de l’engagement social, la cohésion sociale etc.). Parmi les sous-thèmes spécifiques : (i) les déterminants et processus sous-jacents à l’impact de l’environnement urbain sur la santé et les inégalités sociales de santé; (ii) les interventions, programmes et politiques publiques pour améliorer les conditions de vie urbaines afin de favoriser la santé et réduire les inégalités sociales de santé; et (iii) la mesure et l’évaluation de l’impact des interventions, programmes et politiques publiques qui visent la création d’environnements favorables sur la santé et les inégalités sociales de santé. BIODIVERSITÉ ET AGRICULTURE URBAINE La biodiversité, les espaces verts et l’agriculture urbaine sont tous les trois liés et contribuent, en effet, au bien-être de la population, de manière directe et indirecte, tant au niveau de la santé, de l’environnement que de la qualité du milieu de vie et du paysage. Au cours des dernières années, les connaissances scientifiques se sont accumulées quant aux multiples services sociétaux, économiques et écologiques. Mentionnons à cet égard l’ombrage et l’effet rafraîchissant, la captation des eaux de pluie et des polluants atmosphériques, la sécurité alimentaire. Par ailleurs, il est reconnu que le maintien du plus grand nombre d’espèces vivantes possible est nécessaire à la conservation d’écosystèmes en santé. Ces milieux participent aussi au rayonnement de la communauté, à son dynamisme économique, à sa fiscalité et à son développement social. Malgré la reconnaissance des services rendus par la biodiversité, les espaces verts et l’agriculture urbaine, une partie de ce patrimoine exige encore des efforts de développement, de préservation et de mise en valeur. Parcours de la conférence 1. LES VILLES À CLIMAT NORDIQUE : POLITIQUE, AMÉNAGEMENT ET DESIGN DE L’ÉCOCITÉ 2. UNE MEILLEURE RECONSTRUCTION EN HAÏTI ET DANS D’AUTRES ZONES SINISTRÉES 3. L'ÉCOCITÉ DE MONTRÉAL 4. ENGAGEMENT COMMUNAUTAIRE ET DES CITOYENS ET PARTICIPATION DES JEUNES 5. MESURER LES PROGRÈS DANS L’ÉCOCITÉ : INDICATEURS, NORMES ET MEILLEURES PRATIQUES 6. LES TECHNOLOGIES PROPRES AU SERVICE DES ÉCOCITÉS Les technologies propres contribuent activement au développement de villes et régions plus vertes et plus prospères. En accélérant la conception, le développement, l’adoption, la commercialisation et l’exportation des technologies propres, les grappes œuvrant dans ce secteur ont un rôle déterminant à jouer dans l’émergence de véritables écocités. Organisé par Écotech Québec, en partenariat avec la Global Cleantech Cluster Association (GCCA), ce parcours est la première rencontre internationale de cette association. Ouverte à l’ensemble des participants d’Écocité, la rencontre ciblera le partage des meilleurs pratiques et le développement de partenariats stratégiques profitables à l’ensemble des parties prenantes. Programme »»»
  2. «La compétition entre les villes n’est plus basée sur les infrastructures, elle s’appuie maintenant sur les créateurs, a expliqué lundi le maire de Montréal, Gérald Tremblay, lors du dévoilement de la Stratégie de développement économique 2011-2017 de la métropole. EN CHIFFRES 30G$ La Ville de Montréal estime qu’environ 30G$ seront investis dans la métropole au cours des six prochaines années. Ils proviendront autant d’investisseurs publics et privés, selon elle. MARIE-EVE SHAFFER MÉTRO Publié: 13 juin 2011 16:38 L’administration de Gérald Tremblay injectera 3,5 G$ dans l’économie montréalaise d’ici 2017. Elle veut ainsi que la métropole rivalise davantage avec les grandes villes du monde qui attirent les investisseurs et la main d’œuvre de talent. «La compétition entre les villes n’est plus basée sur les infrastructures, elle s’appuie maintenant sur les créateurs, a expliqué lundi le maire de Montréal, Gérald Tremblay, lors du dévoilement de la Stratégie de développement économique 2011-2017 de la métropole. L’argent dégagé par la Ville servira entre autres à venir en aide aux entrepreneurs qui ont un projet précis pour la métropole et qui pourraient être réalisé en marge des grandes initiatives économiques qui sont déjà connus (Montréal Technopole, le Quartier des spectacles, le Havre de Montréal et l’Espace pour la ville). «Cette stratégie s’inscrit dans la continuité de ce qui a déjà été annoncé, a expliqué le responsable du développement économique à la Ville de Montréal, Richard Deschamps. On a tendance à penser que les projets naissent et n’ont besoin d’aucun accompagnement. En matière de développement économique, c’est faux.» Pour favoriser la réalisation de projets originaux, la Ville veut aussi soutenir davantage le milieu des affaires et encourager les échanges entre tous les intervenants de la métropole. «Montréal doit devenir un laboratoire d’innovation», a dit M. Deschamps. La stratégie de développement économique comprendra deux plans d’action qui seront dévoilés sous peu. L’un visera le centre-ville et l’autre, l’Est de Montréal. Un centre-ville branché sur le Wi-Fi Montréal veut que son centre-ville, entre la rue Amherst et l’avenue Atwater, soit branché à un réseau Wi-Fi de quatrième génération. Un plan d’affaire, qui devrait être déposé cet automne, est en cours d’élaboration, a indiqué la Ville lundi. En octobre 2012, une importante conférence internationale des télécommunications aura lieu dans la métropole. La Ville souhaite que le Quartier des spectacles et le Palais des Congrès soient branchés au moment de la conférence. Réduire la circulation sur la rue Notre-Dame La Ville de Montréal et le ministère des Transports évaluent présentement une proposition qu’a formulé le Port de Montréal afin que les camions des marchandises aient un accès direct à ses installations, a rapporté le maire de Montréal. Le projet serait de relier l’avenue Souligny et le boulevard L’Assomption au port, ce qui éviterait à 2000 camions de marchandises d’emprunter à chaque jour la rue Notre-Dame. «Au lieu d’attendre que le projet de la rue Notre-Dame [soit ficelé], nous cherchons une façon de détourner les camions qui viennent à Montréal de cette rue», a dit M. Tremblay. http://www.journalmetro.com/linfo/article/888306--montreal-injectera-3-5-g-dans-son-economie-d-ici-2017
  3. (Courtesy of Journal Metro) YAY! Yet another Quebec national park that I can't get to
  4. Dans La Presse de ce matin, il y a deux articles sur le Quartier Angrignon, on y mentionne ce projet ainsi que d'autres plus denses et hauts. Je n'ai pas trouvé les articles en ligne, mais le plan de zonage de tout ce secteur a été changé pour développer selon les principes du TOD. On aura le droit dans le secteur à des tours de 6, 12, et 16 étages. On y parle de 7 projets en préparation ou potentiels: - un développement de 1000 unités en préparation sur le terrain de l'usine Domfer. - Un potentiel de 1000 unités face aux Tours Angrignon à développer. - Un projet de 300 unités dans 3 tours de 12 étages par Constructions G. Melatti (voisin des Tours Angrignon) - La Tour Angrignon phase 3, en construction, 12 étages - Un potentiel de développement sur le terrain du Carrefour Angrignon, si le propriétaire le souhaite. - Un projet non nommé à l'étude de 300 unités, voisin du Bois-des-Caryers. - Finalement ce projet-ci, Bois-des-Caryers, 600 unités au total. Bref, on dirait qu'il va avoir, malgré tout, un peu de densité dans le coin! Pour le quartier comme tel, on prévoit de la mise en valeur des espaces verts, de nouveaux arbres, du nouveau mobilier urbain, des corridors pour le transport collectif et un nouveau lien vert entre le métro Angrignon et le train de banlieue Lasalle.
  5. 24 janvier 2011 http://www.pi2.ca/Contenus/Article/2011/2011-01-24/IBI-Group-Inc--conclue-la-Fusion-Acquisition-de-la.aspx IBI Group Inc. conclut la Fusion/Acquisition de la firme Groupe Cardinal Hardy Inc IBI Group Inc., (Compagnie) annonce l'acceptation de toutes les négociations d'affaires et légales donnant lieu à la fusion de la pratique professionnelle de Cardinal Hardy Architectes (CHA) au sein de Beinhaker Architecte membre du Groupe IBI. En parallèle, la compagnie Groupe Cardinal Hardy Inc. a été fusionnée directement dans Groupe IBI. Cardinal Hardy Architectes offre des services complets d'architecture réputés par son travail remarquable de conception et de réalisation technique s'étendant à des projets institutionnels de transport (Aéroport de Montréal - Trudeau Airport à Dorval), des infrastructures sociales comprenant des bâtiments pour la santé et l'éducation, des projets privés de développement avec des développeurs dominants de la grande région de Montréal. L'entreprise apporte aussi une expertise remarquable avec un porfolio de réalisations en design urbain et architecture du paysage. L'entreprise est active dans ce domaine depuis ses débuts en 1976. Phil Beinhaker, président et chef de la direction du Groupe IBI et propriétaire de Beinhaker Architecte, a déclaré que «Aurel Cardinal et Michel Hardy conjointement avec les autres associés ont établi une pratique professionnelle remarquable en architecture, design urbain et architecture du paysage. Par la variété de leur travail créatif, professionnel et responsable, ils ont acquis une formidable réputation auprès d'une clientèle institutionnelle, des développeurs privés ainsi qu'avec des jeunes professionnels recherchant à évoluer dans l'environnement de leurs compétences. Ensemble avec la présence actuelle du Groupe IBI au Québec, incluant le groupe DAA et la pratique professionnelle affiliée de Martin Marcotte Beinhaker Architectes et Beinhaker Architecte, une remarquable et parfaite collaboration de professionnels est maintenant constituée servant une large gamme du développement de l'environnement urbain. L'expertise de la firme en transport et tout particulièrement dans les terminaux d'aéroport, les domaines institutionnels, le logement et le développement urbain, peut contribuer aux projets du Groupe IBI dans le monde entier». Aurel Cardinal a déclaré que « Nous, chez CHA et GCHI, accueillons cette opportunité d'amener notre travail à un niveau international, aux États-Unis, en Europe et en Asie, avec nos nouveaux collègues du Groupe IBI continuant ainsi notre quête d'excellence en tant que concepteurs de bâtiment et dans l'environnement de la construction. » Michel Hardy a ajouté, «Nous avons développé des compétences dans des domaines spécialisés telles que nos réalisations dans les terminaux de passagers d'aéroport, ce que nous pouvons ajouter à notre base au Québec avec les compétences plus larges de IBI en matière de transport et d'ingénierie des aéroports, offrant cette expérience sur des marchés ailleurs. » Le personnel de CHA et GCHI est constitué d'environ 75 personnes. Le Groupe IBI, incluant les architectes affiliés, comprend maintenant 2600 personnes.
  6. J'ai trouvé cet article sur Cyberpresse.ca Ça vaut la peine! http://www.cyberpresse.ca/opinions/201101/05/01-4357438-le-quebec-doit-accentuer-ses-echanges-avec-la-nouvelle-angleterre.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_place-publique_1242600_accueil_POS4 Pierre Harvey L'auteur est président de Harvey International inc., à Sherbrooke. Le Québec doit accentuer ses échanges avec la Nouvelle-Angleterre Le développement économique du Québec est en train de reprendre vie tranquillement. Malheureusement, certains secteurs souffrent toujours de l'après-crise, notamment l'industrie du bois, le secteur manufacturier de l'usinage des métaux (fabrication mécanique et mécano soudée) et le tourisme. Le 16 septembre 2009, le ministère des Relations internationales du Québec écrivait dans un communiqué de presse: «En 2007, la valeur totale des échanges de biens entre le Québec et (la Nouvelle-Angleterre) s'est élevée à 11,45 milliards de dollars. Le Québec y a exporté pour 7,7 milliards de biens, représentant 11,1% des exportations totales de marchandises du Québec et 14,8% de ses exportations vers les États-Unis.» Dans cet esprit, il serait souhaitable que le Québec se dote d'une vraie politique de développement économique intégrée englobant la Nouvelle-Angleterre comme principale priorité en matière de déploiement des efforts marketing et des relations politiques et économiques du Québec. En ce sens, l'État québécois devrait accentuer sa présence dans cette région et prioriser une politique de développement accélérée des relations commerciales et politiques avec cette région de plus de 15 millions de personnes. Le Québec vend plus en Nouvelle-Angleterre (14,1%) que dans tous les pays européens réunis (9,7%). Le tourisme provenant de la Nouvelle-Angleterre représente aussi une importante part de notre industrie touristique. Doit-on rappeler que plus de 30% des touristes qui viennent au Québec proviennent de la Nouvelle-Angleterre et que 90% d'entre eux utilisent les infrastructures routières? Ce marché est donc trop important pour le Québec pour qu'il ne soit considéré simplement que comme une région de développement parmi tant d'autres. L'effort collectif nécessaire pour peaufiner l'image de l'hydroélectricité du Québec dans cette région est prioritaire tout comme la multiplication des efforts des villes québécoises pour créer des réseaux forts avec les acteurs économiques de la Nouvelle-Angleterre. Il serait aussi souhaitable qu'une priorité d'actions soir entreprise aussi avec les acteurs franco-américains de la Nouvelle-Angleterre qui comptent encore aujourd'hui plus de 1,6 million de personnes. Cet effort, orchestré par le Québec, soutenu par Ottawa et déployé par les acteurs économiques locaux, pourrait grandement servir les intérêts des entrepreneurs québécois tout en favorisant aussi les entrepreneurs de la Nouvelle-Angleterre. Même si la crise économique des derniers mois a fait baisser quelque peu les chiffres mentionnés ci-haut, il n'en demeure pas moins que l'importance économique et touristique primordiale de cette région mériterait que l'État québécois révise complètement le mandat de la délégation du Québec à Boston. En effet, la délégation du Québec à Boston devrait être autant, sinon plus imposante que celle de New York, car elle est seule capable de consacrer la relation de proximité qui existe entre le Québec et la Nouvelle-Angleterre. La délégation du Québec à Boston devrait aussi pouvoir supporter politiquement le travail d'une nouvelle corporation privée de type OSBL strictement orientée sur des intérêts économiques privés, qui serait composée d'entreprises et de représentants d'Hydro-Québec, entre autres, qui aurait pour mandat de prendre en charge l'ensemble des efforts économiques du Québec plutôt que de dépendre des simples gestes de quelques fonctionnaires du ministère des Relations internationales. Dans les faits, c'est bien simple: le délégué général du Québec à Boston doit être l'ouvreur politique de porte et les privés font le reste pour sceller la relation commerciale. Dans cet esprit, une corporation privée de type OSBL pourrait être chargée des mandats suivants en y incluant des pouvoirs décisionnels dévolus à ce bureau: promotion économique et touristique du Québec en Nouvelle-Angleterre; centralisation des efforts de développement des relations commerciales, focus group, missions d'affaires et activités de «match-making»; relations et partenariats institutionnels avec collèges, universités, instituts de recherches, associations professionnelles; relations culturelles et sociales (Association canado-américaine, clubs Rotary, Richelieu, etc.); coordination des efforts de toutes les régions du Québec vers ce marché. New York, Pennsylvanie et New Jersey Dans le même esprit de rapprochement accéléré avec la Nouvelle-Angleterre, il va de soi que la stratégie globale englobe aussi ces trois États limitrophes et qui composent le grand nord-est des États-Unis. D'ailleurs et en fonction des moyens limités dont nous disposons au Québec, le type d'approche proposée avec la Nouvelle-Angleterre devient une priorité qui va forcément déteindre vers ces trois États tous aussi importants pour le Québec. Avec plus de 42 millions d'habitants, cette région, appelée le Tri-State, est l'extension naturelle pour le Québec dans son axe de développement nord-sud. Au final donc, le Québec se positionnerait comme leader incontesté du nord-est de l'Amérique du Nord, car c'est par le Québec, de par notre historique de relations avec la Nouvelle-Angleterre que tout cela devrait s'orchestrer. Imaginons seulement le retour sur investissement si nous pouvions contrôler efficacement le transport des marchandises, des personnes et surtout contrôler les besoins énergétiques de plus de 60 millions de personnes. Comme stratégie de commerce de proximité, il n'y aura jamais rien de plus pertinent ni de plus rentable que de profiter d'une manne à moins de quelques heures de route.
  7. Gracieuseté de Hildephonse Ce projet aurait été situé à gauche du Théâtre du Nouveau Monde, en regardant vers le sud. Il aurait occupé l'espace maintenant occupé par le projet Maison du développement durable ainsi qu'une partie de l'Esplanade Clark du Quartier des Spectacles.
  8. Voici un projet intéressant en périphérie de Montréal qui mérite qu'on s'y attarde un peu! Il s'agit d'un complexe écotouristique d'envergure international situé à Sorel et qui oscille les 48M$. Étant pas très profesionnel avec tout ce qui est question de mettre des photos sur le forum, je vous laisse le lien du projet pour vous faire une idée du projet et aussi l'article de presse qui parle des dernières informations. Projet: http://www.ecomonde.ca/ Article: http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/economie/201008/30/01-4310873-un-projet-de-48-millions-a-sorel-tracy.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4315863_article_POS3
  9. Le projet serait situé dans Côtes-des-Neiges. Quelqu'un a une idée de l'endroit / du site ? Selon moi, ça doit être dans le nouveau développement Quartier Namur / Savane là où il y a déjà VUE et les autres.
  10. Une centaine d'arbres abattus, deux bâtiments démolis, une chapelle en danger et des vues sur la montagne masquées. Voilà les grandes lignes du projet de transformation extrême de l'ancien collège Marianopolis, situé en plein écoterritoire du mont Royal, sur lequel les élus de la garde rapprochée du maire Tremblay devront se prononcer aujourd'hui. Dans un avis carrément «défavorable», dont La Presse a obtenu copie, et qui sera rendu public aujourd'hui, le Conseil du patrimoine de Montréal recommande que le projet de complexe résidentiel, avec clinique médicale, soit modifié de fond en comble. L'instance consultative estime que le promoteur, Développement Cato inc., devrait par ailleurs refaire ses devoirs pour préserver le site de 16 âcres tout en garantissant un accès au public malgré la nouvelle vocation privée. Depuis que l'ancienne propriété des prêtres de Saint-Sulpice a été mise en vente, en mars 2008, l'organisme de défense du mont Royal, Les Amis de la montagne, a demandé à plusieurs reprises de voir les plans détaillés du futur acquéreur. Mais en vain. Ce n'est qu'aujourd'hui, alors que le projet sera fort probablement soumis à des audiences de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM), un organisme de la Ville sans pouvoir décisionnel, qu'on apprend l'ampleur des travaux et l'impact sur la montagne. Un complexe de 325 logements Dans l'ensemble, il est projeté de recycler l'ancien séminaire de philosophie du chemin de la Côte-des-Neiges en un complexe de 325 logements comprenant des maisons superposées, des unifamiliales isolées et des multiplex. Outre les deux nouveaux immeubles d'une hauteur variant de 3 à 9 étages, le promoteur entend aménager une clinique médicale, possiblement à vocation privée, d'une superficie de 2000 m2, soit l'équivalent de la superficie du tablier du viaduc Rockland. Il est aussi question de creuser une piscine et d'aménager 671 unités de stationnement souterrain. Afin d'analyser le projet et de tirer des conclusions, le Conseil du patrimoine (CPM) s'est basé sur la version finale du plan directeur de développement du promoteur Cato, datée du 7 janvier. À la lumière des maquettes, le CPM en vient à la conclusion que le site aurait dû demeurer à vocation institutionnelle ou publique, et croit qu'il serait temps d'explorer les moyens pour «transférer les droits de développement du promoteur Cato sur un autre site.» Mais comme le site a déjà été vendu pour la somme de 45 millions et que la Ville n'a pas le pouvoir de dire non, le Conseil du patrimoine va de l'avant avec ses recommandations. Au chapitre des arbres, on apprend que l'abattage d'une rangée d'arbres matures doit servir à installer des maisons unifamiliales à l'ouest du site, donc en direction du sommet Westmount. À cet égard, le CPM déplore qu'aucune information n'a été fournie sur les mesures de plantation et les espèces retenues. Tous les travaux de déblai et de remblai projetés font par ailleurs penser qu'on est encore une fois «en train de grignoter les flancs du mont Royal.» Éléphant dans un jeu de quilles Dans un endroit où la circulation est particulièrement délicate, avec des impératifs de développement durable, les ambitions d'ouvrir une clinique médicale et d'aménager 671 unités de stationnement sont aussi vertement critiquées par le CPM. «La capacité d'accueil du site est limitée, note le Conseil. Et compte tenu de la proximité de l'Hôpital général de Montréal et des difficultés probables d'accès à partir de Côte-des-Neiges, il est difficile d'assurer un équilibre.» En ce qui concerne la démolition du centre sportif et de la maison des employés, l'instance patrimoniale estime enfin que la nouvelle construction de neuf étages, plus haute que l'ancienne, cachera la vue sur l'ancien séminaire à partir de l'avenue Cedar. En conséquence, le Conseil craint qu'on répète l'erreur du projet de la Ferme sous les noyers, tout près du séminaire, qui a eu pour effet de rendre invisible la maison rénovée. Informée par La Presse des conclusions du Conseil du patrimoine, la directrice générale des Amis de la montagne, Sylvie Guilbault, partage entièrement l'avis du Conseil, particulièrement au sujet de l'importance d'étudier les façons de transférer au public ou à l'institutionnel les droits de construction. «Ce projet, dans un endroit particulièrement achalandé, avec en plus l'agrandissement prévu de l'Hôpital général de Montréal, constituera un bon test pour les gouvernements. Si on prend juste le nombre de stationnements que le groupe veut construire, c'est effarant», ajoute Mme Guilbault.
  11. Revitalisation Un nouveau visage pour la rue Jarry Est Le secteur Est de la rue Jarry connaîtra une profonde transformation au cours des prochaines années. Dans le but d’amorcer une véritable revitalisation de cette artère, le conseil d’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension a octroyé, lors de sa séance du 1er juin dernier, un contrat de 108 253 $ à la firme AECOM pour l’élaboration d’une étude de planification détaillée. Le consultant travaillera d’ailleurs en étroite collaboration avec les professionnels de divers services à la Ville ainsi qu’avec les partenaires du milieu que sont les commerçants, les industriels et les organismes communautaires. Une stratégie de développement économique La première étape de cette démarche consistera à mener une étude sur la stratégie de développement économique du secteur. On dressera d’abord un portrait socioéconomique de la population résidant dans la zone de la rue Jarry Est, puis on dénombrera les entreprises actives dans le milieu. Il faudra aussi cerner les besoins des résidants ainsi que les opportunités d’affaires en vue. En plus de jauger le potentiel financier, la firme évaluera les fuites commerciales potentielles et établira des comparaisons avec des projets semblables afin d’établir une stratégie de développement pour l’artère. Urbanisme en tête On abordera ensuite les thèmes de l’urbanisme, du design urbain et de l’architecture. Les experts produiront des analyses qui permettront d’encadrer le redéveloppement immobilier. Réaménagement du domaine public Le troisième volet visera le réaménagement du domaine public où une recension des composantes actuelles devra être effectuée. On compte également proposer des scénarios de réorganisation respectant l’ensemble des objectifs sectoriels, les orientations des documents de planification et d’encadrement adoptés par la Ville. Une évaluation du coût de mise en oeuvre de ces plans d’action devra suivre ces propositions. La totalité des études devra être réalisée d’ici la fin décembre 2010. Au cours de la dernière étape, on produira un plan particulier d’urbanisme où seront intégrées les recommandations résultant des analyses et des discussions précédentes. « http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/arr_vill_fr/media/documents/tournesol_aout_10.pdf
  12. Montréal investit 25,2 M $ dans la réfection du boulevard Saint-Laurent Mardi 19 septembre 2006 (Plateau Mont-Royal) Bureau d'arrondissement du Plateau-Mont-Royal Montréal, le 18 septembre 2006 - M. Sammy Forcillo et M. André Lavallée, membres du comité exécutif de la Ville de Montréal, et Mme Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, annoncent un investissement de 25,2 M $ dans la réalisation de la phase 2 du projet de réfection et de mise en valeur du boulevard Saint-Laurent. Il s'agit de travaux majeurs qui visent la section comprise entre la rue Sherbrooke et l'avenue du Mont-Royal. Ils s'inscrivent dans le concept prévu pour l'aménagement du boulevard Saint-Laurent entre les rues de la Commune et Saint-Zotique. « Nous nous sommes engagés à revitaliser nos infrastructures vieillissantes à Montréal et c'est ce que nous sommes en train de réaliser. Pour le boulevard Saint-Laurent, nous allons restaurer ses infrastructures, égout, aqueduc, chaussée et trottoirs, et en même temps, nous allons mettre en valeur sa personnalité, rendre le boulevard Saint-Laurent plus sécuritaire et plus convivial pour les piétons. Nous prévoyons l'ajout d'aires de livraison et de débarcadères pour soutenir le caractère commercial du boulevard Saint-Laurent et alléger la circulation des véhicules automobiles », de déclarer M. Forcillo responsable des infrastructures et de la voirie au comité exécutif à la Ville de Montréal. Pour la Ville de Montréal, ce projet est un résultat tangible du partenariat avec le milieu, entrepris depuis 2003 et ce, particulièrement avec la Société de développement du boulevard St-Laurent (SDBSL). En fait, plusieurs organismes ont participé aux rencontres de concertation pour l'élaboration du concept d'aménagement retenu par la Ville. En ce qui a trait aux étapes de mise en œuvre de la phase 2, les nombreuses rencontres de travail avec la SDBSL ont fait en sorte que la Ville a réussi à réduire de presque la moitié le calendrier des travaux du projet, passant de 22 à 13 mois. « Ce tour de force est une démonstration éloquente de la collaboration étroite qui s'est établie entre la SDBSL et les intervenants de la Ville de Montréal », a ainsi déclaré M. Gordon Bernstein, président de la Société de développement du boulevard St-Laurent. « Le concept d'aménagement du boulevard Saint-Laurent entre le boulevard René-Lévesque et l'avenue Mont-Royal privilégie le confort, la sécurité des piétons et le transport alternatif par l'élargissement et le dégagement des trottoirs d'environ 75 cm chaque côté, l'ajout de quelque 60 arbres pour un meilleur couvert végétal, l'apport d'une soixantaine de lampadaires pour améliorer l'éclairage, l'ajout d'une dizaine d'aires de livraison et de débarcadères et d'une vingtaine de stationnements à vélos sur chaussée, ainsi que des descentes de trottoirs pour favoriser l'accessibilité universelle », de préciser André Lavallée, responsable du transport collectif et de l'aménagement urbain de la Ville de Montréal. Les travaux visent également à renforcer le caractère historique du lieu par un traitement symbolique des trottoirs représentant la mesure du temps et ainsi améliorer l'aspect visuel du boulevard en misant sur la qualité d'exécution. L'objectif est de maintenir la personnalité actuelle de la « Main » en misant sur le raffinement et la sobriété. Le concept d'aménagement urbain a été réalisé en collaboration avec les services municipaux, les arrondissements et la firme Schème, spécialisée en aménagement urbain et paysager et en architecture. Pour Mme Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, le boulevard Saint-Laurent constitue le cœur de la Ville de Montréal. «J'ai souvent dit que le boulevard Saint-Laurent nous ressemble et nous rassemble. Il a été la voie d'accès de l'immigration et il demeure le lieu de convergence de plusieurs des cultures qui sont venues se greffer aux cultures francophone et anglophone pour façonner Montréal. Le plan de réaménagement annoncé aujourd'hui constitue plus qu'un symbole de ce que doit être et de ce que sera le Montréal de demain. Il éclate la frontière de jadis pour faire place à un axe de convergence des nouvelles valeurs qui doivent guider le développement harmonieux et durable de notre cité. C'est, bien sûr, un excellent projet pour le Plateau, mais c'est aussi un projet majeur pour Montréal», a declaré Mme. Fotopulos. Avec ses conseillers Isabel Dos Santos et Michel Prescott, elle convie les riverains, les citoyens de l'arrondissement et les montréalais intéressés, à une séance publique d'informations au Centre Ex-Centris, le jeudi 12 octobre prochain à 18h où le projet sera expliqué en détails. Source : Cabinet du maire et du comité exécutif
  13. Les Jardins Champagne - Condos neufs à Laval Nous vous dévoilons avec fierté le premier domaine de condominiums à être construit à Ste-Dorothée. Situé à l’intersection de la Montée Champagne et du boulevard St-Martin, Les Jardins Champagne vous offre un projet moderne, prestigieux et calme. Seulement à quelques mètres de l’autoroute 13, tout est à votre portée : boutiques, restaurants, cliniques, épiceries et bien plus. De plus, Montréal ne se trouve qu’à 5 kilomètres. Ce développement comporte 6 immeubles qui seront construits en 3 phases. http://micasa.ca/constructions-maisons-neuves/quebec/laval/laval/sainte-dorothee-laval/projets/les-jardins-champagne
  14. Dévoilement du concept d'aménagement de la rue Chabanel et prolongement de la rue Jean-Pratt Des investissements de 19,3 M$ pour la revitalisation de l'Acadie-Chabanel Montréal, le 6 août 2008 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, accompagné de M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif, et de Mme Marie-Andrée Beaudoin, mairesse de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et responsable du développement social et communautaire au comité exécutif, a annoncé des investissements de 19,3 M$ pour la revitalisation du secteur l'Acadie-Chabanel. De cette somme, un montant de 17 M$ servira à réaménager la rue Chabanel et un montant de 2,3 M$, à prolonger la rue Jean-Pratt où les travaux ont, d'ailleurs, débuté à la fin juillet. « En 2005, nous nous étions engagés à consentir des investissements majeurs pour la revitalisation du secteur l'Acadie-Chabanel. Cette dernière étape finalise un projet qui permettra entre autres d'améliorer l'attractivité de cette artère importante. Déjà les projets d'investissements privés dans le secteur sont estimés à 250 M$, voilà des retombées concrètes », a déclaré M. Tremblay. « Ce secteur offre un important potentiel de développement grâce, notamment, au fort gabarit des immeubles dont la superficie de plancher atteint les dix millions de pieds carrés. D'ailleurs, l'Acadie-Chabanel représente un pôle de développement dont la portée dépasse largement l'arrondissement. C'est pourquoi nous avons identifié ce quartier comme prioritaire dans notre stratégie de développement économique », a ajouté M. DeSousa. Le réaménagement de la rue Chabanel, entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Meilleur, vise à transformer la rue pour y créer un véritable milieu de vie. Ainsi, le concept d'aménagement retenu permet d'améliorer la sécurité et le confort des piétons, de rehausser la qualité des aménagements du domaine public, d'offrir un cadre vert et durable par un reverdissement important, de favoriser la présence des transports actifs et de donner une identité propre à la rue Chabanel. Les travaux de prolongement de la rue Jean-Pratt, entre les rues Chabanel et Beauharnois, offriront, de plus, un meilleur accès aux nouveaux immeubles qui y ont été construits récemment. « Ces travaux permettront d'améliorer considérablement le cadre de vie du quartier conformément aux préoccupations des résidants et des commerçants que nous avons consultés à plusieurs reprises. Et nous avons la ferme intention de les tenir informés de l'avancement des travaux et d'être à l'écoute de leurs besoins afin de minimiser les impacts sur leur quotidien », a noté Mme Beaudoin. Le concept d'aménagement de la rue Chabanel a été développé par un consortium composé de la firme Affleck + de la Riva architectes, de Version & Vlan paysages et d'Éclairagepublic à la suite d'un appel de propositions. Adopté en 2005, le plan d'action Réussir l'Acadie-Chabanel comportait cinq volets, soit l'implantation de la gare Chabanel, inaugurée en janvier 2007, la mise en place d'initiatives économiques structurantes, la création d'un partenariat de gens d'affaires, mis sur pied en mars 2007, la planification détaillée du secteur, approuvée en octobre 2006, et la création d'un programme d'aide aux propriétaires d'immeubles à grand gabarit, en vigueur depuis le début de l'année. Arrondissement Ahuntsic-Cartierville / Montréal, QC Portes Ouvertes Réaménagement de la rue Chabanel 29 mai 2008 Les dessins préliminaires du réaménagement de la rue Chabanel - un projet réalisé par Affleck + de la Riva en collaboration avec Version/Vlan Paysages, Éclairage Public et l'agence de signalisation IF - seront presentés au public lors de l'événement des Portes Ouvertes du bureau de l'arrondissement Ahuntsic-Cartiervlle au 555 Chabanel Ouest, 6é étage.
  15. Les commerçes du centre-ville de Montréal vont pouvoir faire des affaires plus longtemps, la fin de semaine. Le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal ont en effet annoncé jeudi que ces commerces pourront demeurer ouverts jusqu'à 20h00 la fin de semaine et ce, pour les cinq prochaines années. «Le centre-ville de Montréal joue un rôle particulièrement important en matière de commerce, de tourisme, de culture et de divertissement pour la région, de même que pour l'ensemble du Québec», a affirmé le ministre du Développement économique, Clément Gignac. «Nous devons donner aux commerçants les moyens de se développer à leur pleine capacité» a dit le ministre, qui s'est dit convaincu que la mesure entraînera des retombées positives pour l'économie. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2010/07/20100722-121747.html
  16. 4040 Lafontaine À quelque pas du métro Pie-IX, du marché maisonneuve et de la promenade Ontario, ce nouveau projet de 16 condos vous offre des unités unique de grande dimensions dans un milieu de vie urbain en plein développement. http://www.habitationslaurendeau.com/4040.php
  17. MONTRÉAL, le 22 juin /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Ville-Marie a été mandaté pour élaborer un plan majeur pour l'aménagement et le développement du centre-ville de Montréal. Cette démarche ambitieuse, prévue pour l'année à venir, amènera les citoyens, les intervenants du milieu, ainsi que les experts à se pencher sur l'avenir du centre-ville de Montréal et sur son rôle moteur au cœur de la métropole. Une occasion de dessiner le centre-ville de demain À l'instar des activités de consultation participatives et citoyennes qui ont été mises en place lors de l'événement Saint-Laurent'dez-vous au mois de mai dernier, l'arrondissement de Ville-Marie organisera, dès l'automne prochain, des activités publiques stimulantes et innovatrices à l'image du potentiel créatif, culturel, jeune et dynamique de Montréal. Ces exercices de concertation sont une occasion unique et formidable pour les citoyens, les intervenants du milieu ainsi que les experts reconnus dans les domaines du développement urbain, du design, de l'architecture et du patrimoine, de s'exprimer et d'échanger sur les grands enjeux d'aménagement urbain pour l'avenir de leur ville. Un nouveau plan d'urbanisme Les résultats de ces activités de concertation publique réalisés avec le milieu, les propositions d'aménagement, ainsi que les recommandations formulées en ce sens, constitueront la matière première à l'élaboration d'un énoncé d'aménagement, qui sera préparé par l'arrondissement de Ville-Marie, en collaboration avec le service du développement et des opérations de la ville. Ce document permettra ainsi d'établir une vision stratégique et collective à long terme pour l'aménagement du centre-ville de Montréal et de définir en amont les priorités d'action, en vue de la révision prochaine du plan d'urbanisme prévue pour 2011. Le rôle majeur du centre-ville dans l'économie montréalaise amène l'arrondissement de Ville-Marie à aborder cette nouvelle planification urbaine dans sa dimension métropolitaine, et ce, afin d'assurer à ses citoyens un milieu de vie de qualité au sein d'un centre-ville dynamique et habité, pour les décennies à venir. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/June2010/22/c7366.html
  18. RED LIGHT - PROJECT DEAD La Ville de Montréal assurera la protection de l'intégralité du site du Collège Marianopolis MONTRÉAL, le 20 mai /CNW Telbec/ Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay a annoncé que l'Administration municipale compte assurer la protection de l'intégralité du site de l'ancien Collège Marianopolis, situé sur le mont Royal. En conséquence, tout projet futur de développement de cette propriété sera limité aux volumes de construction existants et ce, afin de permettre la protection de la montagne. "Pour mon Administration, il est fondamental que le développement économique se fasse sans pour autant nuire au développement durable. La protection et la mise en valeur de notre patrimoine naturel, en particulier le mont Royal, demeurent des éléments-clé dans nos décisions. C'est dans cette optique que le projet de développement de l'ancien collège Marianopolis présenté par le promoteur Développement Cato Inc. n'a pas été retenu. Nous répondons ainsi aux inquiétudes exprimées par la population en faveur du maintien de l'intégrité de ce lieu à haute valeur symbolique", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. Dans ce contexte, l'Administration municipale considère qu'il n'y a pas lieu de poursuivre la démarche de modification réglementaire entreprise par le conseil municipal et que par conséquent, le projet tel qu'élaboré doit être refusé. À cet effet, le conseil a adopté à l'unanimité la recommandation du comité exécutif de ne pas donner suite au projet. La Ville de Montréal limite ainsi le développement du site à la conservation et la restauration de l'ancien collège. Quant au complexe sportif, il sera possible de procéder à sa réutilisation ou encore à sa démolition, à condition que la nouvelle construction soit d'un volume de même gabarit. Les espaces verts dont les boisés resteront libres de toute construction. Faisant suite à la recommandation de l'OCPM, la Ville procédera, de concert avec les ministères, organismes et institutions concernés, à la réalisation d'études visant à établir des balises de protections explicites pour le développement et la mise en valeur des propriétés institutionnelles.
  19. Le gouvernement du Québec a dévoilé le Plan Emploi Métropole qui vise à consolider la relance économique dans la région de Montréal. Doté d'un budget de 30 M$ sur deux ans, le Plan propose 10 actions, réparties selon deux axes, à savoir le développement des compétences de la main-d'œuvre et l'appui aux chercheurs d'emploi. On espère ainsi confirmer Montréal parmi les économies de classe mondiale. http://emploiquebec.net/publications/pdf/00_admin_Plan_emploi_metropole.pdf
  20. L'immobilier montréalais relève la tête 27 avril 2010 | 13h46 Argent Richard Deschamps, responsable des grands projets et des infrastructures de la ville de Montréal a fait le point au micro d'Argent ce matin sur la situation du marché immobilier Montréalais. De retour du grand congrès immobilier international MIPIM qui s'est tenu cette année à Cannes en France à la mi-mars, M. Deschamps a parlé de la nécessité d'attirer les investissements étrangers pour construire le Montréal de demain. "Nous leur vendons Montréal, et le dynamisme de Montréal," a-t-il déclaré ce matin. M. Deschamps a qualifié le marché immobilier Montréalais d'effervescent, et ce malgré une industrie mondiale encore en demi-teinte suite à la crise économique. "Le congrès n'a attiré que 18 000 personnes cette année, à comparer avec 25 à 30 000 d'ordinaire," a-t-il commenté. Le marché montréalais lui, est en reprise. "La question de l'immobilisme à Montréal va être derrière nous dans quelques mois," a-t-il dit. M. Deschamps a mentionné les nombreux projets majeurs en chantier - l'échangeur Turcot, le quartier des spectacles, le projet Bonaventure de la Société du Havre, le CHUM et le CUSUM - avant de rappeler la nécessité de forger des contacts avec les plus grands joueurs mondiaux de la construction pour assurer la pérennité du secteur. "Montréal est sur une lancée et c'est ce que nous avons essayé de faire au MIPIM, transmettre cette impulsion pour attirer des investisseurs étrangers, et rester sur cette lancée," a-t-il dit. Est-ce qu'attirer plus d'investisseurs privés signifie signer plus de PPP? Par forcément d'après M. Deschamps qui voit plutôt les entreprises privées étrangères s'associer entre elles pour répartir les risques associés aux projets."Il faut que le marché puisse absorber les besoins exprimés par le marché privé," a-t-il déclaré, mentionnant que l'offre lui semblait adaptée à la demande actuelle. M. Deschamps a semblé plus intéressé par des questions de fond telle que la nécessité de relier le développement immobilier au développement durable des communautés par une politique de transport en commun ambitieuse. "Le transport en commun est l'armature par laquelle la Ville de Montréal et les grandes villes du monde se développent. On investit 500 M$ par an dans le transport en commun et le développement durable. Il faut emmener les gens au centre-ville, mais pas seulement par la voiture," a-t-il conclu.
  21. Plus de 400 millions pour Montréal André Dubuc . les affaires.com . 30-03-2010 La récession a frappé le Québec moins fortement que ses voisins, il n’en demeure pas moins que Montréal a perdu 4 fois plus d’emplois que dans l’ensemble du Québec. Le ministre Raymond Bachand a prévu plus de 400 millions pour la métropole dans son budget. Il met 200 millions de côté pour la navette ferroviaire entre l’aéroport et le centre-ville de Montréal. Le grand argentier du gouvernement Charest ajoute 175 millions en 7 ans pour Imaginer-réaliser Montréal 2025. Il lance le Plan Emploi Métropole, doté d’une enveloppe de 30 millions en deux ans pour atténuer l’impact des 40 000 pertes d’emplois. Le programme ClimatSol aidant à décontaminer les terrains est prolongé de 5 ans et de 13 millions. En outre, le ministre Bachand introduit un crédit d’impôt remboursable sur le salaire d’un employé admissible autrefois visé par le régime des centres financiers internationaux. Il crée une table de concertation pour le développement et l’avancement du secteur financier de Montréal. Dans le domaine du sport, il crée l’Institut national du sport du Québec de 24 millions, financé avec la taxe sur le tabac. En culture, on demande à Loto-Québec de verser 10 millions en 2010-2011 pour l’Orchestre symphonique de Montréal, puis 8,5 millions par an par la suite. L’effet est neutre sur le budget de l’OSM. Finalement, le gouvernement rénovera l’édifice Wilder dans l’ilôt Balmoral qui abritera des organismes culturels et le bureau montréalais du ministère de la Culture.
  22. Léo Gagnon Brossard Éclair - Publié le 18 mars 2010 à 09:02 La firme Catania vient d’obtenir le feu vert pour poursuivre son développement résidentiel à Brossard, qui prévoit à terme, l’ajout de 450 unités d’habitations dans le secteur «L». La valeur de cette cinquième et dernière phase des Domaines de la Rive-Sud s’élève à 135 M$. Ce projet appelé Quartier Sud se fera en deux phases, dont la première comprenant 355 unités, vient de recevoir l’aval de la municipalité. Une deuxième phase prévoit une centaine d’autres unités, a confirmé le porte-parole de Catania, Philippe Roy, qui parle d’une valeur moyenne par unité de 300 000$. Le conseil municipal de Brossard a approuvé lundi la signature d’une entente avec l’entrepreneur qui fera appel à d’autres constructeurs pour réaliser le projet. Le Groupe Tremblay, Développement William, Groupe Construction Royale et les Développements Chantilly inc. vont y construire différents types de bâtiments dont de l’unifamilial isolé, jumelé et en rangée ainsi que des condominiums de quatre unités par bâtiment. Protocole d’entente Le protocole d’entente qui reste à être signé prévoit que le Groupe Frank Catania & Associés Inc. assumera l’ensemble des travaux d’infrastructures tels que ceux de l’aqueduc, des égouts, du fond de rue, des bordures et trottoirs, de l’éclairage et de l’aménagement des bassins de rétention et de pose de la pelouse dans les parcs. Selon les autorités municipales, le nouveau développement sera plus dense que les Domaines de la Rive-Sud mais beaucoup moins que le Village Parisien, en face. Pour le maire Paul Leduc, il s’agit d’un «très beau projet» qui va aussi de pair avec le parachèvement du boulevard du Quartier, qu’on veut mettre en chantier dès 2010, pour désengorger la circulation dans le secteur. Quant aux déboires actuels de Catania, où des perquisitions ont eu lieu dans le cadre de l’Opération Marteau de la Sûreté du Québec, la Ville préfère ne pas s’immiscer dans ce dossier estimant que le Quartier Sud est d’un projet qui est planifié depuis longtemps. «On ne peut pas juger tant que les enquêtes ne sont pas terminées», a laissé entendre M. Leduc. En autant que Catania respecte le protocole d’entente, la Ville considère qu’elle peut aller de l’avant. Un site internet en construction, www.quartiersud.com, montre les détails du projet.
  23. Classement par "artiste". Mis à jour continuellement. Membres MtlURB Vision : réseau de métro du futur Vision : skyline du futur Jultrep Vision Projet Espace l'Assomption joecannes Vision Santiago Calatrava Bridge For Montreal JFrosty Vision du Métro de Montréal Paul Laurendeau Archi. Vision Habitation Mentana Vision Habitation Denise-Morelle Vision Habitation Drolet-Villeneuve Vision Habitation Premières Lettres Horg Man Vision rue duluth pietoniere CFurtado Vision Skyline 2012-2013 de Montréal internationalx Vision théâtre du Cirque du Soleil WestAust Vision bassin Peel nord Vision retour à Mirabel Vision 1300 Rene-Levesque: Le Prisme 45 étages Vision Le Seville - 16 étages Vision "Times Square" de Montreal rosey12387 Vision Côte-St-Luc et environs Vision Nouveau campus de l'UdM Vision Boulevard Jean-Lesage: Rive-Sud Vision Nouveaux Grands Chantiers - Montreal danick_o Vision Transport en commun Laval/Montréal/Rive-Sud en 2050 jesseps Vision élargissement des voies routières de Montréal Vision nouvelles liaisons ferroviaires Vision Boul. de la Vérendrye Canal Robert Keaghan Jennings Vision Proposition modeste et réaliste pour le futur des transports à MTL MTLskyline Vision 70 étages, Tour MTL Inc Elix Vision 2 CIBC géantes Cataclaw Vision recouvrement de l'autoroute Ville-Marie Vision Tour CC | 72 étages Vision revitalisation d'un quartier Vision Tour MtlUrb - 172m, 40 étages, 2009 Vision Tour Sansnom - 85 étages Vision lien routier Longueuil--St-Hubert Vision Tour Diamand Vision développement majeur Longueuil Vision développement majeur rive-sud Vision Le Phoenix 301m, 70 étages 2010 Vision Longueuil 2020 Vision Longueuil 2050 Vision tramway et métro sur la rive-sud Vision nouveau Pont Champlain Vision développement riverain rive-sud Vision 2-22 Sainte-Catherine Vision Cité du pont Vision réseau tramway - métro Laval-Mtl-Rive-sud du futur Vision rond-point à Longueuil Vision 1250 Stanley - Tour Cypress - 48 étages Vision Centre d'Achat / Shopping Mall Vision Tour CH | 46 étages | 191m Vision Quartier Central | Brossard Vision Carrefour Pie-IX et Henri-Bourassa Vision Échangeur Côte des Neiges / Remembrance Monctezuma Vision Échangeur Côte des Neiges / Remembrance MTLskyline Vision autoroute Québec - Maine - Nouveau-Brunswick Vision métro ligne 3 - rouge Newbie Vision nouvelles poubelles publiques sebastien Vision piste cyclable boulevard de Maisonneuve - canal Lachine - berges du Saint Laurent Gilbert Vision Metropolitan Montréal 32 étages 135 mètres 2010 Vision Hydro-Québec - Rénovation Vision Hôtel Chaboillez 35 étages 130 mètres 2010 Vision redéfinition des limites de hauteur Vision Griffintown Vision Parc Olympique - Mémoire du collectif Aimer Montréal etienne Vision tour aluminium 48 étages Fortier Vision Métro de Québec Vision Réso Franks Vision prolongement de l'autoroute 640 OursNoir Vision Revitalisation square ÉTS pedepy Vision Mt-Royal à 300 m. Vision Expansion du métro dans le Mile-End Vision Square Dorchester et Place du Canada Vision navette gratuite centre-ville Vision réseau de métro du futur Vision deviateur rues St-Hubert/Resther & avenue Mont-Royal Vision complexe sports & sciences de Montréal Vision rues mixtes Vision ilots musicaux Vision jeanne-mance / uqam / quartier latin brubru Vision redéveloppement des terrains vagues de Mile-End Vision revitalisation de la carrière Francon Vision Silo no 5 Vision Musée de l'histoire industriel de Montréal Vision Ruelle Cyclable Vision Parc Laurier steve_36 Vision redéveloppement vieux forum / musée du sport Le Philosophe Vision Musée du Cirque du Soleil Vision Ste-Catherine, entre le Village et le QdS Architectes et autres sources externes au forum CANADIAN COMPETITION CATALOGUE Vision logements HLM au centre-ville Sébastien-Paul Desparois / Céline Mertenat / Simon Goulet / Benoit Muyldermans Vision Tour HLM centre-ville 20 étages Federico Bizzotto, c.a., e.e.e., associé Développement d'Arcy-McGee Mario Brodeur, architecte, consultant en patrimoine Jacques Des Rochers, conservateur de l'art canadien, Musée des beaux-arts de Montréal Benoît Dupuis, architecte associé, acdf* architecture/urbanisme/intérieur Maxime Frappier, associé, acdf* architecture/urbanisme/intérieur Jacques Lachapelle, architecte, historien de l'architecture, Université de Montréal Vision Tour Parc - Pins 40 étages LEMAYMICHAUD Architecture Design Vision Tour Centreville ~ 58 étages MrArchitecturedesign Vision 101 St-Viateur (nouveaux locaux d'Ubisoft) Gaétan Frigon Vision déménagement du port de Montréal Dessau Vision Square Chaboillez et Planétarium Dow par Dessau
  24. réalisation : en cours localisation : Montréal, Québec client : Croix-Rouge canadienne Ce nouvel édifice multifonctionnel de 4 étages accueillera le siège administratif de la division québécoise de la Croix-Rouge canadienne ainsi que son Centre de gestion des urgences et des crises majeures, des espaces commerciaux et une gare intermodale d'autobus. L'édifice sera lié à un centre artistique communautaire ainsi qu'à la station de métro Frontenac. Cet immeuble, outre le caractère avant-gardiste de sa conception et de son intégration dans son environnement, sera construit conformément aux normes de développement durable les plus avancées et visera une certification LEED. Ce projet d'envergure se voudra un modèle vert aux fins de futures constructions de bâtiments de même type et lancera le redéveloppement du quartier avoisinant la station de métro Frontenac.
  25. Saviez-vous cela que les prestations que les employés retirent de leur syndicats ne sont imposables !!?? Moi ça me met en tabarnak entendre des choses de même! Et aussi je me demande pourquoi La Presse titre que Pierre-Karl Péladeau s'attire des critiques, plutôt qu'elle aurait tout simplement affirmé que PKP a publié une lettre anti-syndicale... en tk! (Lévis) Pierre Karl Péladeau s'est attiré bien des critiques ce matin à la Rencontre économique de Lévis après avoir publié un texte dénonçant les «privilèges» des syndicats qui nuisent selon lui au développement économique. Les entrepreneurs québécois doivent dédier «trop de temps, d'énergie et d'argent à gérer leurs relations de travail», dit le patron de Quebecor, propriétaire du Journal de Montréal dont les employés sont en lock-out depuis près d'un an. Pierre Karl Péladeau n'a pas été invité à la Rencontre économique du gouvernement Charest, mais il a tout de même fait jaser à Lévis avec sa lettre publiée dans le Journal de Québec. Le banquier Jacques Ménard se demande quelle mouche a piqué M. Péladeau. «Il a un confit de travail. Il est aux prises avec un problème d'affaires spécifique qui est le sien. C'est possible qu'à cause de ça il extrapole... Je ne sais pas si dans son cas ses dires ont excédé sa pensée. Ça fait peut-être partie d'une stratégie qui m'échappe. Je ne suis pas psychologue, je ne peux en dire plus que ça», a affirmé le patron de BMO. Selon lui, les syndicats contribuent au développement du Québec, et «on ne peut parler de projet de société économique et social si les dirigeants syndicaux ne sont pas à la table». En 1989, alors qu'il était à la tête de la chambre de commerce, M. Ménard avait même demandé à un représentant syndical de siéger au conseil d'administration. «Parfois, on a des divergences d'opinion, mais ça ne nous empêche pas de travailler ensemble», a-t-il noté. Aucun décideur économique et financier présent à Lévis ne s'est manifesté cet avant-midi pour appuyer publiquement la sortie du patron de Quebecor. À son entrée à la Rencontre économique, le premier ministre Jean Charest a fait valoir que «les relations de travail au Québec somme toute sont bonnes». «Il y a des consensus sur plusieurs lois» syndicales, a-t-il ajouté. Le ministre des Finances, Raymond Bachand, estime que «les syndicats sont des grands partenaires du développement économique» et mettent l'épaule à la roue en vue, par exemple, d'augmenter la productivité. «M. Péladeau exprime son opinion. Il a le droit», a-t-il ajouté. Claudette Carbonneau, présidente de la CSN, qui représente les employés en lock-out du Journal de Montréal, trouve que M. Péladeau «est bien mal placé pour donner des leçons sur les relations de travail». «Je pense que M. Péladeau est préoccupé par le cash, et non les relations humaines, a affirmé de son côté Michel Arseneault, président de la FTQ. Vous savez, diriger une entreprise, c'est des relations humaines à tous les jours. Mais lui, ça le fatigue.» «L'attitude antisyndicale» de M. Péladeau n'est pas nouvelle, a-t-il fait valoir. «Un des beaux exemples, c'est qu'il a même refusé la publicité du Fonds de solidarité qu'on voulait à TVA et dans l'ensemble de Quebecor. Nous, on voulait annoncer partout, sauf dans le Journal de Montréal en lock-out. Et à ce moment-là, il a refusé la publicité.» Le président de la CSQ, Réjean Parent, a qualifié M. Péladeau d'«antisyndicaliste notoire». Dans une lettre publiée ce matin dans le Journal de Québec, Pierre Karl Péladeau dénonce les «privilèges aussi nombreux et de moins en moins justifiables» dont bénéficient selon lui les syndicats. Des lois adoptées au fil des ans ont provoqué un «déséquilibre des forces» entre employeurs et syndicats qui a eu pour conséquence «de défavoriser les entreprises québécoises dans le contexte économique mondialisé dorénavant largement répandu, de rendre plus difficile l'émergence de jeunes entrepreneurs, ainsi que de pénaliser notre désir collectif, voire notre obligation, d'accroître notre productivité». M. Péladeau s'en prend par exemple à la formule Rand. «N'est-il pas légitime de nous permettre, comme citoyens bénéficiant d'une maturité politique et démocratique, de décider si nous voulons ou non faire partie d'une organisation syndicale et d'en payer les cotisations ?» Il dénonce «la création d'une unité d'accréditation par la simple signature de cartes d'adhésion». Il condamne aussi le «privilège qui permet aux employés en conflit de travail de ne pas payer d'impôt sur les prestations monétaires qu'ils reçoivent de leurs syndicats, mesure exceptionnelle parce qu'elle fait financer les positions des organisations syndicales par l'ensemble des contribuables déjà assujettis à un fardeau fiscal que tous reconnaissent parmi les plus lourds du continent». «Il se trouvera certainement plusieurs membres de l'intelligentsia pour justifier l'action positive des syndicats au Québec», a-t-il ajouté, soulignant qu'il reconnaît le «rôle nécessaire» de ces organisations. Mais «tous ces beaux penseurs ont-ils déjà été confrontés à la réalité de dirigeants d'entreprises et d'entrepreneurs comme celle à laquelle mes collègues et moi faisons face de façon quotidienne, tant au Canada qu'à l'étranger, dans un contexte de concurrence mondiale?», se demande-t-il. «Au Québec, les dirigeants d'entreprise doivent dédier trop de temps, d'énergie et d'argent à gérer leurs « relations de travail » alors qu'ailleurs, les divers intervenants au sein des entreprises participent ensemble à assurer la poursuite du développement de leurs activités et l'accroissement de leur productivité afin de gagner sur les marchés mondiaux, tant dans les secteurs manufacturiers que dans les secteurs de l'économie du savoir et des technologies», ajoute M. Péladeau. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201001/21/01-941535-pierre-karl-peladeau-sattire-des-critiques.php
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