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  1. OCCUPONS LES QUAIS! LA 6E ÉDITION D’IGLOOFEST PREND DE LA PLACE http://www.igloofest.ca/fr/news/2011/11/15/occupons-les-quais-la-6e-edition-d'igloofest-prend-de-la-place Avis aux indignés de la morosité hivernale : vous aurez bientôt un endroit où manifester. En janvier, ça se passe sur les Quais du Vieux-Port de Montréal, pour la 6e édition d’Igloofest! Après avoir fracassé tous ses records d’assistance l’an dernier, Igloofest sur les Quais se déroulera sur un site repensé et agrandi. Nul besoin de trimbaler votre tente ; vous n’aurez qu’à vous choisir un igloo! L’événement est aussi fier d’annoncer l’arrivée d’un premier présentateur en Sapporo et de réaffirmer sa collaboration avec Solotech. En tout, 9 soirées parmi les plus froides de l’année qui ne manqueront pas de faire vivre des émotions fortes à n’importe quel militant : les 12-13-14, 19-20-21 et 26-27-28 janvier 2012! Le mouvement prend toujours de l’ampleur Depuis ses débuts, Igloofest a vécu une fulgurante poussée de croissance qui a fait passer de 4 000 à 59 000 son nombre de visiteurs en seulement 5 éditions. Ainsi, cette année, on recule la scène et on agrandit le plancher de danse, le village d’igloos et les aires de passage, question d’accroître la liberté de mouvement des igloofestivaliers. Plus d’espace, c’est aussi un canevas différent pour les designers Mélissa Mongiat et Mouna Andraos qui font toujours preuve d’ingéniosité pour renouveler le concept du village d’igloos. Bref, on vous propose un campement de luxe et festif! Les militants se reconnaissent à leur goût vestimentaire S’il faut se faire entendre, il faut aussi se faire voir. C’est pourquoi l’éblouissant concours Sapporo du « one piece » le plus original (lire kitsch et fluo) est de retour! Une nouveauté cette année : en plus d’un prix déterminé au terme de chaque week-end selon le vote du public, il y aura à la fin du festival un grand prix décerné par un jury formé de membres d’Igloofest et de blogueuses issues du monde de la mode montréalaise. Nous rappelons aux spectateurs de se munir de verres fumés polarisés : comme une éclipse, ce défilé est fascinant mais ne peut être observé à l’œil nu! Des agitateurs connus et d’autres à connaître Igloofest demeure avant tout une célébration de la musique électronique locale et mondiale. Après une première édition remarquée en 2011, l’Igloo Virgin Mobile revient avec une programmation entièrement dédiée à la relève (celle-ci sera dévoilée au début du mois de décembre). Du côté de la piste de danse extérieure, la scène Sapporo accueillera plus d’une trentaine d’artistes venus d’un peu partout et méticuleusement choisis. Nous avons tenu compte de vos demandes spéciales et revendications! Parmi les noms souvent mentionnés lors de sondages sur la programmation, les vétérans et pionniers Tiefschwarz (DE), Terence Fixmer (FR), Green Velvet (US) et Sébastien Léger (FR) seront de la partie. Certains artistes que l’on courtise depuis des années figurent aussi à l’horaire, notamment Ben Klock (DE), Marcel Dettmann (DE) ainsi que notre Tiga national. Venez découvrir des étoiles montantes dont plusieurs en sont à leur première visite à Montréal : Maya Jane Coles (GB), Tanner Ross (US), French Fries (FR) et Bambounou (FR). Assistez à l’un des très rares passages chez nous de Mala (DMZ) (GB) et préparez-vous à vivre une expérience résolument différente lors de la prestation live de la formation portugaise Buraka Som Sistema! En janvier, on occupe les Quais. Parce qu’à l’Igloofest, il y a tout ce qu’il faut pour manifester dans une ambiance effervescente et déjantée! Igloofest remercie tous ses précieux partenaires pour leur apport et implication dans cette 6e édition.
  2. Même si notre hôtel de ville actuel est très beau, l'ancien était splendide. Construction on the building began in 1872 and was completed in 1878. The building was gutted by fire in March 1922, leaving only the outer wall and destroying much of the city's historic records. Source : http://www2.ville.montreal.qc.ca/archives/democratie/democratie_en/expo/reformistes-populistes/construction/piece1/index.shtm Source et texte entier : http://en.wikipedia.org/wiki/Montreal_City_Hall Après l'incendie : http://www2.ville.montreal.qc.ca/archives/democratie/democratie_en/expo/reformistes-populistes/construction/piece12/index.shtm
  3. Il me semblait avoir aperçu ce projet ici sur le site mais après avoir cherché et rien trouvé je le met donc sur le site. Il se trouve dans le quartier Bois-Franc, dans l'arrondissement St-Laurent. Il a 4 étages, il se veut prestigieux et sa livraison est du pour le printemps 2011 donc surement en construction. Ah, important: Il est 100% vendu ! http://groupemaltais.com/main.cfm?p=11&l=fr&Segment=VE&BlocID=130
  4. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2011/08/02/montreal-remix-ou-la-ville-selon-les-montrealophiles/
  5. Ma vision de l'intersection. Objectifs: 1. Rendre le quartier plus vivable. 2. Faciliter l'accès pour les piétons 3. Préserver le bon fonctionnement des artères routières 4. Raccorder les rues 5. Créer des opportunités pour du dévelopement / densification Les formes de couleur = nouvelles constructions : -Triangle au sud de l'intersection : Projet de condos, édifices de 8 à 10 étages. -Édifice directement au nord de l'intersection sur l'image : Tour de 15 étages -Le reste, des condos, des commerces, de 3 à 6 étages. En plus gros maintenant: AVANT: APRÈS:
  6. Vous voulez conserver l’assurance parentale23 juin 2011 | 17h07 Argent Le Régime québécois d'assurance parentale augmentera ses cotisations de 4 % en 2012 afin de résorber son déficit de près de 600M$ d'ici 2018. En 2011, la hausse avait été de 6,25%. Il s’agit de la cinquième hausse annuelle consécutive, au même moment où certains disent que le Québec n'a pas les moyens de se payer ce programme. Nous avons demandé aux lecteurs d’Argent et de TVA Nouvelles s’ils croyaient que ce programme était indispensable? Voici quelques-uns de leurs commentaires : Je me dis que plus que le gouvernement enlève de l’argent sur mes paies, moins j’en ai pour mon petit garçon. C'est important d'avoir un revenu assuré après l'accouchement. J’utilise moi-même le programme. C’est en partie grâce à cela que je peux rester avec mon fils et l'éduquer. Si on a de l’argent pour se payer des avions de guerre, on a de l’argent pour aider les familles du Québec. Non? Vous avez beaucoup de chance aujourd'hui, j'espère que vous vous en rendez compte. Quand j'ai eu mes enfants, il fallait retourner au travail après 6 semaines de congé. Il y a beaucoup de dépenses inutiles au Québec, mais pas celle-là… Si le programme est en déficit, c’est qu’il a été mal géré. Quand ton budget est dans le rouge, tu coupes dans les affaires frivoles pour te concentrer sur l'essentiel. Il faut couper ça au plus vite. C'est ça mon cher, coupons l'aide pour les nouveaux parents. Pendant ce temps, les BS iront acheter un « sixpack »de Wildcat et un billet de 6/49 avec notre argent. Quand des gens de 50 ans paient « l'assurance parentale », ce n'est pas une assurance, c'est un impôt déguisé. Il n’y avait pas d’assurance parentale à mon époque et je ne suis pas morte, c’est une vraie blague cette histoire-là! Oui c'est important pour augmenter la natalité au Québec! On nous le vend en disant que ça augmente le taux de natalité, mais ailleurs au Canada, ils n'ont pas ces généreux programmes et le taux de natalité est semblable.
  7. Je suis tombé là-dessus aujourd'hui!! J'ai eu énomément de difficulté à travailler après! Après l'échec du projet sur la rue St-Jacques, voilà donc le nouveau projet pour un Buddha Bar! Je trouve ce design fou! On commence à "oser" à Montréal! J'aurais désiré cette tour dans le quartier des spectacles...mais bon! Le vidéo: http://www.graphsynergie.com/videos/popup.php?id_video=94&type_video=flash
  8. Une forêt australienne nommée Jean Charest Mise à jour 07/12/2010 21h18 Mal aimé au Québec, le premier ministre du Québec a vu son « leadership » en matière de lutte contre le réchauffement climatique reconnu sur la scène internationale. L'Australie-Méridionale a même choisi de donner le nom de Jean Charest à une de ses forêts. « Je n'ai jamais pensé qu'une forêt portera un jour mon nom. J'ai hâte de la visiter […] J’aime bien l’idée et je suis flatté qu’on puisse reconnaître le travail que j’ai fait avec beaucoup de conviction », a dit Jean Charest, amusé et radieux, mardi, après avoir appris la nouvelle. La forêt est située dans les environs de la ville d'Adélaïde, en Australie. Elle s’inscrit dans un vaste projet australien de plantation de trois millions d’arbres. Mike Rann, premier ministre de l'Australie-Méridionale, n'a eu que de bons mots pour féliciter M. Charest de son action environnementale. « On a jugé à l’unanimité que Jean Charest a eu un leadership extraordinaire en ce qui a trait aux changements climatiques. Il est une inspiration pour plein de décideurs à travers le monde. En 25 ans de vie publique, je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi impressionnant que Jean Charest dans son engagement », a fait savoir M. Rann. Le gouverneur démocrate de l’État du Wisconsin, Jim Doyle, ne tarissait pas d’éloges à l’endroit de M. Charest. « Il mérite complètement ce prix. Il a inscrit le Québec comme un des leaders mondiaux pour les énergies renouvelables », a dit M. Doyle. L'Australie-Méridionale a accordé son prix de l'année à Jean Charest, un an après l'avoir décerné à l'ancien gouverneur de la Californie Arnold Schwarzenegger. Interrogé à la blague à savoir si ce prix n’allait pas ressusciter la chanson de Pierre Lapointe, « La forêt des mal-aimés », Jean Charest a répondu sur le même ton badin. « N’écoutez pas la chanson, c’est tout », a-t-il plaisanté. Pas un message au Canada Ni M. Rann ni M. Doyle n’ont voulu dire si cette récompense octroyée au Québec était, à leurs yeux, une façon indirecte d’envoyer un message de désapprobation aux politiques canadiennes. « Ce n’est pas notre job », a répondu M. Rann, prudent. « Je ne ferai pas de commentaires à propos de la politique canadienne », a enchainé M. Doyle. Le premier ministre Charest a quitté Cancun, mardi après-midi, sans croiser le ministre fédéral de l’Environnement, John Baird, qui venait d’y atterrir. Il le mérite, admet le PQ. Visiblement surprise de la distinction accordée au premier ministre Charest, la porte-parole péquiste en environnement, Martine Ouellet, a admis du bout des lèvres que Jean Charest méritait son prix. « Pour ses actions au niveau international, il le mérite et c’est à ce titre-là que ça a été remis. Il a fait des démarches et a été proactif, a-t-elle analysé. Toutefois, ses actions au Québec ne suivent pas ses paroles au niveau international. Et c’est ça le problème. » http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/12/20101207-210937.html
  9. AVIS: Cet article est de la fiction, crée par Cataclaw. WARNING: This article is fiction, created by Cataclaw. ------------------------------------------------------------------------ Nouvelle tour serait la plus haute de Montréal MONTRÉAL -- le 12 septembre 2007 La ville de Montréal a aboli aujourd'hui le règlement municipale interdissent la construction des gratte-ciels supérieurs à 205m. Cette modification au plan de développement de la ville coïncide avec l'annonce d'un nouveau projet immobilier de 301m. Conçu par le célèbre architecte nord-américain Luis Duarte, le projet de $250 millions impliquera la revitalisation de la gare centrale et la construction d’un gratte-ciel de 70 étages par-dessus. Les travaux débuteront en printemps 2008. Le gratte-ciel, qui portera le nom « Le Phœnix » et l’adresse 895 de la Gauchetière sera ouvert en été 2010. Avant Après Avant Après Avant Après Avant Après Avant Après ------- Et puis, qu'est ce que vous pensez de ma vision? Un jour, je vous promet, je vais construire un gratte-ciel a Montreal! Mark my words... one day...
  10. pedepy

    ilots musicaux

    je suis aller prendre une de mes promenades hebdomadaire au centre ville cet apres midi, et apres m'etre arrete 5 minutes, pour siroter un cafe, sur un coin de rue où jouaient un "band" de musique, jai eu cet idee: pourquoi la ville ne designerait pas t elle, comme la stm dans le metro, des "ilots musicaux", où performeraient en rotation des musiciens locaux, qui seraient prealablement selectionnes via auditions, et qui recevraient, en plus de leurs pourboires, une renumeration de base de la ville? les artistes pourraient utiliser les espaces par example de mars a octobre, et seraient choisis en fonction autant de leur talent que de l'originalite de leur performance. cela aiderait entre autre a contribuer a l'animation de rue de qualite au cv, a valoriser le talent local en supportant ces artistes a vivre de leur art tout en profitant d'une vitrine unique, et renforcerait l'image de ville "festive" de montreal.
  11. brubru

    Ruelle Cyclable

    Salut ! J'aime bien les ruelles vertes, et j'aime le vélo, donc j'ai eu l'idée des ruelles cyclables ! Avant Après Avec ça on aurait les plus belles pistes cyclables du monde !
  12. Des ponts d'or dans les universités Sébastien Ménard Le Journal de Montréal 05/11/2009 05h32 Malgré un déficit de 455 millions - Des ponts d'or dans les universités Le campus du centre-ville de l’Université Concordia. L’institution anglophone a remis des primes de départ pour le moins étonnantes à au moins deux cadres supérieurs. Les universités de la province ont beau crouler sous les déficits, cela ne les empêche pas de verser de très généreuses primes de départ à leurs cadres supérieurs... même quand ceux-ci continuent à travailler pour elles par la suite. Des données obtenues par le Journal grâce à la Loi sur l'accès à l'information révèlent que plusieurs hauts dirigeants d'universités québécoises ont reçu des «indemnités de départ» équivalant à au moins un an de salaire, l'an der nier, quelques mois seulement avant d'être réembauchés dans d'autres fonctions. C'est le professeur Martin Singer, de l'Université Concordia, qui a le plus bénéficié de ce système de primes pour le moins étonnant. Après avoir occupé le poste de vice-recteur exécutif durant tout juste trois ans, entre 2004 et 2007, il a ensuite bénéficié d'un «congé administratif» de 14 mois, une période au cours de laquelle il a empoché la bagatelle de 363 430 $. Et ce n'est pas tout. Le contrat de M. Singer était à ce point généreux qu'il lui garantissait son plein salaire de cadre supérieur durant cinq ans, même s'il avait quitté «hâtivement» ses fonctions. Ce professeur d'histoire, qui a été nommé doyen à l'Université York de Toronto le 1er juillet dernier, a donc pu gagner 184 137 $, durant les neuf derniers mois de l'année 2008-2009, alors qu'il enseignait seulement deux cours par session. Réembauchée 11 mois plus tard Le cas de Martin Singer est loin d'être unique dans le réseau des universités québécoises, qui affichait pourtant un déficit accumulé de 455 M$, en 2008. La vice-rectrice à l'administration de l'Université du Québec en Outaouais (UQO), Hélène Grand-Maître, a obtenu une «indemnité de départ» de 142 427 $, l'an dernier, après avoir volontairement «rompu son lien d'emploi» avec l'institution. Les hauts fonctionnaires oeuvrant dans le réseau de l'Université du Québec ont tous droit à une telle prime après quatre ans de service, a-t-on expliqué au Journal. Mais le «départ» de Hélène Grand-Maître n'a pas été très long : moins d'un an après avoir reçu son «indemnité», elle a été nommée vice-présidente de l'Université du Québec, en août dernier. C'est cet organisme qui chapeaute les universités régionales, dont fait partie son ancien employeur, l'UQO. À l'Université Concordia, le professeur Truong Vo-Van a eu droit à une indemnité de départ de 139 037 $, en 2008-2009, après avoir quitté ses fonctions de vice-recteur associé. Or, il est de retour au sein du corps professoral cette année, indique le secrétaire général de l'institution, Bram Freedman. Un cadeau de retraite ? D'autres cas soulèvent par ailleurs des doutes quant à la nécessité de verser de telles primes à ces hauts fonctionnaires. Le 28 novembre 2008, l'ancien directeur général de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), Pierre Lapointe, a quitté son poste, ce qui a lui a permis d'empocher une prime de 167 562 $. Mais trois jours plus tard, il était nommé à la tête de FPInnovations, une société de recherche du secteur forestier, qui lui aurait offert un «pont d'or» pour l'attirer, selon un article paru à ce moment-là dans un hebdomadaire lavallois. D'autres indemnités de départ ont été consenties à des hauts fonctionnaires des universités l'an dernier, soit parce qu'une telle mesure était prévue à leur contrat ou qu'ils avaient tout simplement décidé de prendre leur retraite. L'ancien recteur adjoint de l'Université de Sherbrooke, Denis Marceau, est du nombre. Il a eu droit à un chèque 217 441 $, il y a quelques mois, en partant à la retraite. Avec la collaboration de Serge Laplante, notre recherchiste à l'Assemblée nationale. «Révoltant» et «absurde» La Ligue des contribuables du Québec trouve «absolument révoltant» le versement de ces primes de départ à des hauts fonctionnaires des universités. La porte-parole de l'organisme, Claire Joly, avait du mal à contenir sa colère lorsqu'elle a été informée des révélations du Journal. «Ces gens-là profitent du système pour s'en mettre plein les poches, dénonce-t-elle. C'est carrément honteux d'accepter ce genre de primes-là, surtout quand ils ont le culot de venir nous dire ensuite que le système d'éducation supérieur est sous-financé.» Pourquoi de telles primes ? Claire Joly souligne que ce genre de pratique est «malheureusement assez répandu dans le secteur public.» «C'est une pratique de rémunération absurde, qui n'existe absolument pas dans le secteur privé. Si on démissionne ou on prend sa retraite, on n'a pas le droit à une prime de départ.» Mme Joly craint toutefois qu'il soit difficile de mettre un frein à ce système d'indemnités puisque «l'exemple vient d'en haut.» «Les députés eux-mêmes reçoivent une prime de départ s'ils démissionnent», déplore-t-elle.
  13. Publié le 26 septembre 2009 à 08h36 | Mis à jour à 10h55 | Pierre Falardeau est mort Daphné Cameron et Daniel Lemay La Presse Le cinéaste, auteur et polémiste québécois Pierre Falardeau est décédé d'un cancer à l'âge de 62 ans. Le décès du réalisateur reconnu pour ses prises de positions tranchées a suscité une véritable onde de choc ce matin, tant dans les milieux politique que culturel. «Je le rencontrais souvent et à chaque fois je lui disais qu'on pensait à peu près tout le temps la même chose, mais qu'on l'exprimait de façons complètement différentes. Cela nous faisait beaucoup rigoler!», se souvient-il. «Son cinéma était vivant et vigoureux. Son art a servi l'indépendance nationale de façon inoubliable et humoristique avec Elvis Gratton et de façon poignante et dramatique avec Février 1839, son film sur les Patriotes», a-t-il ajouté. «J'espère que son oeuvre va continuer de faire réfléchir et que lorsque l'on parlera d'indépendance, on aura une pensée pour lui.» «C'est la personne que j'ai rencontré qui était la plus attentive aux autres. Un personnage très sensible sous des dehors un peu rugueux», a confié son ami le journaliste Jean-François Nadeau. «C'est contradictoire par rapport au personnage public qui était demi-truand, très sûr de lui, il n'avait pas peur de la controverse. Mais en privé c'était quelqu'un qui écoutait beaucoup. Par ailleurs, il y avait une affection populaire autour de lui qui était inouïe. En son genre, c'était une sorte de Michel Chartrand de la fin du 20e siècle.» Pierre Falardeau est décédé hier soir à l'unité de soins palliatifs de l'Hôpital Notre-Dame du CHUM. Sa conjointe, Manon Leriche, et ses enfants, Jules, Hélène et Jérémie, souhaitent pour l'instant vivre leur deuil dans l'intimité et n'accorderont aucune entrevue aux médias aujourd'hui. Une carrière bien remplie Né à Montréal le 28 décembre 1946, Pierre Falardeau fréquente le Collège de Montréal, rue Sherbrooke. À la vieille maison des Sulpiciens, il fait la connaissance, entre autres, de Julien Poulin qui restera son ami et complice jusqu'à la fin. Sportif, le jeune Falardeau s'adonne à la pratique du football et s'initie brièvement à la boxe; lecteur avide, il préférera Hemingway à Musset et les muralistes mexicains aux naturalistes européens. L'art populaire, nous expliquera-t-il, n'est jamais bien loin du politique. Après son cours classique, il entreprend en 1967 des études d'anthropologie et d'ethnologie à l'Université de Montréal. Une formation qui, rappellera sa productrice Bernadette Payeur, amènera Falardeau le cinéaste à «scruter l'humain». Pierre Falardeau co-scénarise et co-réalise avec Julien Poulin un premier court-métrage en 1971 : Continuons le combat transpose le combat pour l'indépendance du Québec dans l'arène de lutte. Le tandem documentariste s'engage là dans une voie dont il ne s'éloignera plus beaucoup, sur le fond du moins: quête de liberté sous toutes ses formes. Suivent Les Canadiens sont là (1973) où les comparses font leurs choux gras d'une mission culturelle canadienne qui tourne mal à Paris; Le Magra, (1976) sur la formation des policiers, qu'il présentera à la Biennale de Venise; À force de courage (1977), tourné en Algérie, qui vit alors la deuxième décennie de son indépendance. Après six ans de tournage (à leurs frais), Falardeau et Poulin sortent leur premier long-métrage en 1978 : Pea Soup traite de l'aliénation du peuple québécois, de l'usine à la taverne, des ruelles de l'est aux avenues de Westmount. Deux ans plus tard, avec un titre sorti du même souffle, arrive Speak White, sur le célèbre poème de Michèle Lalonde: «Nous sommes un peuple inculte et bègue»... En 1981, Julien Poulin passe devant la caméra pour incarner Elvis Gratton dans un court-métrage du même nom. Avec Les vacances d'Elvis Gratton (1983) et Pas encore Elvis Gratton, le mythe explose dans toute son effrayante démesure dans Elvis Gratton, le King des Kings qui réunit les trois courts métrages. Le Québec a une nouvelle devise : « Pense big, s'tie! ». En 1989, Falardeau change de ton: Le party traite toujours de liberté, ou d'absence de, mais perçue, ici, du fond de la cellule d'une prison. L'ex-felquiste Francis Simard, qui a passé 11 ans en prison pour le meurtre du ministre Pierre Laporte en octobre 1970, a collaboré au scénario du film; son livre Pour en finir avec octobre servira de base à Octobre, que Falardeau sortira finalement en 1994 après dix ans de marchandage avec les instances subventionnaires. Outre son oeuvre cinématographique, il a publié quelques essais dont La liberté n'est pas une marque de yogourt, aux Éditions Stanké, en 1995, Les boeufs sont lents, mais la terre est patiente, chez VLB éditeur, en 1999. Pierre Falardeau animait son propre blogue.
  14. Metro pourrait-elle acheter Jean Coutu? Permalink 10/07/09 01:32 am, François Pouliot / Général, 967 mots Il serait intéressant de poser la question à Éric Laflèche et François Jean Coutu lors de leur prochaine sortie publique. Dans l’intérim, l’analyste Perry Caicco avance que c’est une possibilité bien réelle et parle même d’un mariage parfait. L’analyste de CIBC Marchés mondiaux ne détaille pas beaucoup sa proposition. Elle survient néanmoins à un moment où les deux sociétés approchent de la maturité et se cherchent des avenues de croissance. Surtout, elle survient à un moment où, si elles ne se courtisent pas relativement rapidement, il pourrait bientôt être trop tard. La situation de Jean Coutu Jean Coutu est enclavée. Après avoir réussi une première sortie du Québec dans les années 90, avec l’acquisition de Brooks, elle vient de mordre la poussière avec Eckerd. Sa participation de 32% dans Rite Aid (désormais propriétaire des Eckerd) l’empêche de songer à un retour aux États-Unis, et même si elle s’en défaisait, l’ampleur de l’échec a probablement fermé pour longtemps la porte à tout plan d’acquisition à l’extérieur du pays. Chat échaudé craint l’eau froide. Au Canada pendant ce temps, rien ne semble disponible. Le plan de match actuel repose donc sur quelques axes intérieurs. Le principal consiste à ajouter des pharmacies Jean Coutu dans le paysage québécois. Le groupe veut faire passer son réseau de 300 à 400 établissements d’ici 5 à 7 ans, tout en intégrant dans la plupart de ses surfaces des boutiques Passion Beauté (les produits de beauté génèrent de fortes marges). La stratégie est intéressante à moyen terme et génère d’assez bons rendements, mais les analystes notent que la création de valeur devient de plus en plus difficile, alors qu’en grandissant, Jean Coutu vole certes des parts de marché à ses concurrents, mais s’en vole aussi à elle-même, ce qui vient diminuer ses marges. L’acquisition du fabricant de produits génériques Pro Doc, il y a un an et demi, est une initiative qui pourrait donner plus de fruit qu’initialement escompté, mais tôt ou tard, l’état des résultats devra faire face à la situation géographique. La situation de Metro Plus de trois ans après avoir acquis A&P Canada, l’épicier est dans un vaste programme de rénovation de 200 M$. Actuellement 89 des 159 Loeb et A&P ont été rénovés et convertis à la bannière Metro. L’opération devrait être complétée à la fin de l’année. Metro continue de livrer d’impressionnants résultats. Au dernier trimestre, les ventes des magasins comparables ont progressé de 7,3% et son bénéfice a pulvérisé le consensus. Les analystes estiment cependant que la croissance est difficilement soutenable alors qu’une bonne partie de celle-ci provient de l’inflation. Après avoir extirpé toutes les synergies qu’elle pouvait tirer de A&P, tout comme Jean Coutu, et plus vite même, Metro se rapproche à nouveau d’une situation de maturité. Les avantages d’une fusion Par le biais de son grossiste McMahon, Metro exploite au Québec la bannière franchisée Brunet, qui compte 122 établissements. Elle exploite aussi la bannière Clini Plus, dont les 68 établissements de moindre taille sont souvent installés en périphérie de cliniques médicales. En Ontario, le détaillant compte 51 établissement Pharmacy (dans ses Metro et A&P) et 27 Drug Basics (dans ses Food Basics). À l’évidence, une acquisition de Jean Coutu par Metro permettrait de créer des synergies significatives et un certain effet de levier. -Le pouvoir d’achat des deux entités serait décuplé. -Les coûts de distribution seraient abaissés. -Les coûts administratifs tomberaient. -Les infrastructures de Metro en Ontario pourraient éventuellement un peu plus tard supporter une expansion de Jean Coutu dans la province. Metro a-t-elle les moyens? Oui. Ses ratios d’endettement sont bas (dette/BAIIA à 1,4). En 2005, elle avait payé 1,7 G $ pour A&P Canada et valait à l’époque elle-même 3 G$. Jean Coutu vaut aujourd’hui 2,4 G$, et Metro en vaut 4 G$. Avec les succès d’intégration de l’épicier québécois, il ne devrait pas y avoir trop de réticence des banquiers à financer. D’autant que l’acheteur pourrait en partie offrir de ses actions pour permettre aux actionnaires de la cible de participer à la récolte projetée de plus value et à la famille Coutu de conserver une position d’influence. Et le Bureau de la concurrence? C’est ici un peu moins évident. Selon sa dernière présentation aux investisseurs, Jean Coutu détient 32% de parts de marché au Québec en termes de ventes pharmaceutiques. Les parts de marché des Brunet et Clini Plus ne sont pas divulguées. Il se trouverait sans doute un certain nombre de concurrents pour agiter le spectre de la domination outrancière et ses conséquences néfastes à long terme (élimination de la concurrence et hausse des prix). En contrepartie, le paysage concurrentiel demeurerait tout de même encore assez bien peuplé (Pharmaprix, Familiprix, Uniprix, Proxim, Wal Mart, etc.) La question est intéressante parce qu’elle veut aussi dire que plus Jean Coutu continuera de grandir, plus sa part de marché devrait continuer de grimper (même si sa marge s’effritera). S’il a des hésitations à 300 établissements, le Bureau de la concurrence ne pourra qu’en avoir davantage à 400. C’est pourquoi si elles ne veulent pas rater un mariage catalyseur de valeur pour chacune, Metro et Jean Coutu auraient avantage à bientôt se parler.
  15. Après avoir complété son processus de restructuration, le constructeur General Motors présente un nouveau visage qu'il promet axé sur le client, et annonce la suppression de 450 postes de cadres. Pour en lire plus...
  16. États-Unis - Pourquoi la crise? AFP Édition du mercredi 06 mai 2009 Washington -- La Chambre des représentants se penche aujourd'hui sur la création d'une commission d'enquête sur les déboires économiques Les sénateurs ont déjà approuvé la création d'une commission parlementaire pour examiner les causes de la crise économique. La Chambre des représentants américaine devrait approuver aujourd'hui un projet de loi visant à créer une commission d'enquête indépendante pour examiner les causes de la crise économique, sur le modèle de celle instaurée après les attentats du 11 septembre 2001. Après le Sénat fin avril, la Chambre se prononcera sur le projet aujourd'hui, a-t-on appris hier au bureau du représentant républicain Darrell Issa, qui a introduit le texte à la chambre basse. Le texte devrait être soutenu par de nombreux parlementaires de tous bords. La présidente démocrate de la Chambre, Nancy Pelosi, a déjà fait part de son soutien. «Alors que le Congrès et l'administration s'emploient à répondre à la crise financière, il est judicieux de mettre en place une commission indépendante pour savoir ce qui a échoué et pourquoi», écrit M. Issa dans un communiqué. Le projet prévoit que la commission indépendante sera composée de 10 membres choisis parmi des «citoyens ayant une expérience dans les domaines de la banque, la régulation des marchés, la fiscalité, la finance et le logement». Les témoins qu'elle fera citer ne pourront pas s'y soustraire, aucun parlementaire ni membre de l'administration ne pourra y siéger et elle devra rendre sa copie au président et au Congrès le 15 décembre 2010. «Le but de cette commission n'est pas de désigner des coupables, mais plutôt d'identifier les erreurs de façon à ce que les efforts pour faire redémarrer l'économie et éviter une nouvelle crise ne soient pas vains», précise M. Issa. Le Sénat avait approuvé le texte le 22 avril sous la forme d'un amendement à une loi contre la fraude dans le système financier. Les sénateurs ont également approuvé le même jour la création d'une commission parlementaire ayant une mission semblable. L'idée a été lancée par le républicain John McCain, candidat malheureux à la présidentielle de novembre, et son collègue démocrate Byron Dorgan. Interrogé sur cette commission, le chef de la majorité démocrate de la chambre basse, Steny Hoyer, a répondu hier qu'elle servirait à «voir comment [la crise] s'est déroulée, pourquoi et quelles sont les démarches que nous devons entreprendre pour éviter que cela ne recommence». «Je pense qu'il y un consensus sur cette commission même si tout n'a pas été finalisé», a-t-il ajouté.
  17. Publié le 05 mai 2009 à 17h28 | Mis à jour à 17h33 Après Sainte-Catherine, la rue Saint-Paul piétonisée Sara Champagne La Presse L'équipe du maire Tremblay vient de se faire couper l'herbe sous le pied par le maire Benoit Labonté avec son idée de piétonniser la rue Saint-Paul, dans le Vieux-Montréal. Après avoir planché sur le projet tout l'hiver, le maire de Ville-Marie et chef de l'opposition entend ouvrir la rue aux piétons dès cet été, de part et d'autre de la Place Jacques-Cartier, a appris La Presse. Les élus de l'arrondissement de Ville-Marie seront appelés à se prononcer, ce soir, los du conseil mensuel, sur le projet pilote prévu pour s'échelonner du 17 juillet au 3 août prochain. Histoire d'en tester la popularité, l'ouverture de la rue s'effectuera d'abord sur un petit tronçon, délimité entre la rue du marché Bonsecours et Saint-Gabriel. L'été dernier, dans la foulée de la piétonisation de Sainte-Catherine, pilotée par le maire Labonté, la ville-centre avait annoncé son intention de fermer à la circulation une portion de Saint-Paul. Mais devant la grogne des commerçants du Vieux-Montréal, l'administration Tremblay avait relayé le projet aux oubliettes. Se montrant bon joueur, André Lavallée, responsable du plan de Transport au comité exécutif du maire de Montréal, a admis que le projet n'avait pas été mené à terme, l'an dernier, «pour des raisons politiques.» «C'est un bon pas qui est en train de se réaliser, a dit M. Lavallée. Je pense que tous les élus, que ce soient de Union Montréal ou Vision Montréal, vont se rallier derrière le projet. Et je pense que les gens vont embarquer. Dans toutes les grandes villes du monde, que ce soit à Stockholm ou même sur Broadway, à New York, il y a un mouvement de piétonisation.» > D'autres détails dans l'édition de La Presse de demain.
  18. Atze

    Fox News s'excuse

    Fox News s'excuse La Presse canadienne Édition du mardi 24 mars 2009 Mots clés : Fox News, excuses, Forces armées, États-Unis (pays), Canada (Pays) Ottawa -- Un animateur du réseau américain de nouvelles continues Fox News a offert ses excuses aux Canadiens, hier, après que des commentaires formulés dans son émission eurent outré le gouvernement Harper. Greg Gutfeld, l'animateur de l'émission Red Eye, a affirmé que ses commentaires et ceux de ses invités «ont été mal compris», et qu'ils ne voulaient pas manquer de respect envers «les braves hommes et femmes» servant dans l'armée canadienne et leur famille. Au cours de l'émission Red Eye, l'animateur et plusieurs chroniqueurs ont fait des blagues sur les soldats canadiens, laissant notamment entendre qu'ils voudraient prendre une pause de la guerre en Afghanistan pour aller «faire du yoga, se promener sur les plages en bermudas et se faire faire une manucure», a lancé l'animateur Gutfeld. «Ne serait-ce pas le moment idéal pour envahir ce pays ridicule? Ils n'ont pas d'armée!» Les propos ont été tenus après que le chef d'état-major de l'armée canadienne, le lieutenant-général Andrew Leslie, eut indiqué qu'une fois terminé le retrait canadien d'Afghanistan, les militaires auraient besoin d'une année pour reprendre des forces. http://www.ledevoir.com/2009/03/24/241449.html (24/3/2009 9H06) Pour ceux qui voudraient voir le clip en question: http://www.youtube.com/watch?v=wPmXKEsm-HE
  19. Rassurées par l'annonce du rachat de milliards de dollars d'actifs toxiques des banques par le Trésor américain, les bourses d'Amérique, d'Europe et d'Asie progressent fortement. Pour en lire plus...
  20. Le voyagiste suspend le versement de son dividende trimestriel après avoir enregistré des pertes de près de 30 millions de dollars au cours de son dernier trimestre. Pour en lire plus...
  21. Quelques jours après la fusion de Pfizer et de Wyeth, le mouvement de fusion dans le secteur pharmaceutique se poursuit avec l'achat par Merck de son concurrent Shering-Plough. Pour en lire plus...
  22. Le gouvernement du Québec déposera son budget un peu plus d'une semaine après le début de la session parlementaire. Après une décennie d'équilibre budgétaire, il renouera avec un déficit. Pour en lire plus...
  23. Après 42 ans au service de la multinationale québécoise, dont 13 à titre de président et chef de la direction, Jacques Lamarre passe le flambeau à Pierre Duhaime, un vice-président de l'entreprise. Pour en lire plus...
  24. Après le Journal de Montréal, Quebecor met en lock-out la trentaine de travailleurs syndiqués de l'hebdomadaire de Jonquière. Pour en lire plus...
  25. L'assureur américain déclare une perte colossale de 62G$US au 4e trimestre, portant ses pertes à 100G$US pour 2008. Washington, déjà actionnaire majoritaire d'AIG après lui avoir versé 150G$US, est prêt à investir 30G$US de plus. Pour en lire plus...
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