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  1. LA RETRAITE VOUS VA SI BIEN ! Piscine, plage intérieure, salle d’exercice, allées de quilles, cinéma, salle à manger, loisirs intérieurs et extérieurs… Quand tout est sur place, vous avez le temps de vous adonner à toutes vos envies. Alors, devenez propriétaire ou locataire au Boréa, en toute liberté ! http://www.legroupemaurice.com/fr/projets-en-developpement.html
  2. Bravo au Maire Coderre!! Il était temps que quelqu'un prenne le taureau par les cornes! Il faut amincir la taille de nos bureaucraties! Montréal veut abolir 2700 postes d'ici cinq ans http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201404/03/01-4754115-montreal-veut-abolir-2700-postes-dici-cinq-ans.php Karim Benessaieh La Presse Aux prises avec une masse salariale en explosion depuis dix ans, qui gruge plus de 52% de ses revenus, la Ville de Montréal aura droit à un remède de cheval. L'administration Coderre a annoncé ce matin l'abolition d'un poste sur dix d'ici cinq ans, soit 2700 postes, une économie annuelle de près de 240 millions. En point de presse à l'hôtel de ville, le maire Denis Coderre estime que ce plan lui permettra de «reprendre le contrôle des ressources humaines de la Ville, freiner la croissance démesurée qu'on a connue au cours des dix dernières années.» À titre de comparaison, les deux dernières grandes opérations de rationalisation depuis 2006 visaient chaque fois l'abolition d'un millier de postes. Elles ont eu des résultats mitigés, puisque le nombre global d'employés n'a cessé d'augmenter. Cette fois, pour contrer la tendance, on ne remplacera qu'un poste sur deux laissé vacant, soit par un départ à la retraite «ou autre motif» d'ici 2018, chez tous les groupes à l'exception des policiers et des pompiers. La Ville prévoit que 1589 cols bleus, 843 cols blancs et 471 cadres, notamment, seront admissibles à une retraite sans réduction d'ici 2018. «Ça ne peut plus continuer comme ça. On ne peut plus laisser les effectifs de la Ville croître suite à la prise de décisions en silo. L'improvisation, c'est fini.» Denis Coderre, Maire de Montréal Révision à la sécurité publique Même les pompiers et les policiers, les seuls groupes d'employés qui avaient été épargnés par les compressions dans le budget 2014, devront subir une «révision des processus des services de la sécurité publique et une rationalisation du personnel en conséquence», peut-on lire dans un document explicatif remis aux journalistes. On prévoit qu'un millier de pompiers et 876 policiers seront admissibles à une retraite sans pénalité d'ici 2018. Selon les projections de la Ville, on s'attend à ce que 2150 autres personnes vont quitter pour «d'autres motifs» d'ici 2018. Ce «plan quinquennal de la main-d'oeuvre 2014-2018» prévoit en outre l'embauche de 100 personnes par année «pour répondre aux priorités de la Ville». On prévoit qu'il s'appliquera autant aux services centraux qu'aux arrondissements. Ceux-ci, de qui relèvent 30% des effectifs, seront toutefois libres de s'y soustraire. «C'est un projet non seulement ambitieux, mais réaliste et nécessaire pour sortir Montréal de l'impasse financière», estime le maire Coderre. Il a tenu à rassurer les employés de la Ville, qu'il a décrits comme «excessivement compétents». «Ces mesures ne sont pas dirigées contre vous, nous ne procédons pas à des coupures sauvages ni à des mises à pied massives. Tout cela va se faire dans le respect des conventions collectives.» 800 millions comptant À terme, on espère simplement revenir aux effectifs de la Ville de Montréal au moment des fusions, en 2002, qui était de 20 000 employés à temps plein et représentaient alors 42,5% des dépenses. Ils ont graduellement monté pour s'établir à 22 423 en 2013, pour 51,9% du budget, soit une hausse de 9,4%. L'objectif principal de l'administration Coderre est de hausser les investissements dans les infrastructures, bâtiments et équipements de toutes sortes. Alors que les besoins sont évalués à 2,1 milliards annuellement, on ne prévoit y consacrer que 1,3 milliard. Cet écart annuel de 800 millions, on veut essentiellement le combler graduellement d'ici 2024 en augmentant la part payée comptant des immobilisations, qui passerait de 80 millions cette année à 800 millions. Cette décision de recourir moins souvent aux emprunts est «une question d'équité intergénérationnelle, pour ne plus pelleter vers l'avant», estime le président du comité exécutif, Pierre Desrochers.
  3. Désolé pour els amateurs de mauvaises nouvelles. Voici un artcile sur la progression de PSP Investissement, une caisse de retraire comparable à la caisse de dépot et 100% basé à Montréal (mis à part un bureau bidon à Ottawa pour de la représentation). La croissance de leur actif les positionnent maintenant au 4e rang des caisses de retraire au Canada derrière CDP, CPP et Teacher's. Un jour ils auront leur propre tour dans le CV de Montréal je vous le garantie. Publié le 13 décembre 2013 à 06h42 | Mis à jour à 09h29 Actif doublé à plus de 85 milliards en quelques années à peine. Effectif montréalais approchant les 500 employés. Plus de 4 milliards par an en nouveaux capitaux à investir. Le tableau de bord de la société montréalaise Investissements PSP a de quoi susciter l'envie parmi les gestionnaires d'actif des plus grandes caisses de retraite au Canada. Mais au dire de son président et chef de la direction, Gordon Fyfe, les défis de gestion chez PSP s'apparentent encore à ceux d'une entreprise en pleine émergence: produire de bons résultats courants et futurs tout en gérant une croissance rapide de l'actif et des effectifs. «Pendant que nous développons nos équipes de placement et leur portefeuille, nous devons aussi gérer beaucoup de liquidités qui entrent et qui sortent chaque année dans notre actif», résume Gordon Fyfe en entrevue avec La Presse Affaires. «Néanmoins, cet afflux de liquidités est aussi l'un de nos principaux avantages comparatifs parmi les gestionnaires d'actif de grosses caisses de retraite. Nous avons plus de flexibilité pour effectuer nos transactions aux moments les plus avantageux selon nos objectifs de rendement.» D'où provient cet avantage? Pour l'expliquer, il faut rappeler qu'Investissements PSP a été créée il y a 13 ans par le gouvernement fédéral en tant que société d'État autonome avec le mandat de mieux gérer l'actif des caisses de retraite de plusieurs dizaines de milliers d'employés fédéraux. Il s'agit d'abord de la caisse principale des fonctionnaires, mais aussi celles de la Défense nationale, de la Gendarmerie royale du Canada et, depuis peu, des membres de la Réserve militaire. À l'époque, en 2000, l'actif combiné de ces caisses de retraite se chiffrait à une dizaine de milliards de dollars. Treize ans plus tard, il vient de passer le seuil des 85 milliards. Et il est déjà prévu autour des 300 milliards dans une quinzaine d'années, selon les hypothèses actuarielles des caisses de retraite fédérales. En ce moment, la croissance de l'actif géré par PSP est en partie attribuable aux revenus de placement accrus par une gestion active. Ces revenus ont atteint 7,1 milliards lors de l'exercice terminé le 31 mars, ce qui a porté à 23 milliards le total des revenus engrangés au cours des quatre dernières années, depuis le revers de 9,5 milliards subi l'année de la crise financière. Mais aussi, admet d'emblée Gordon Fyfe, la croissance d'actif chez PSP provient encore beaucoup de l'influx annuel de 4 à 5 milliards de dollars en nouveaux capitaux à investir. PSP se retrouve ainsi dans une situation singulière parmi les gestionnaires d'actif des plus grandes caisses de retraite du secteur public au Canada. Selon M. Fyfe, cette situation découle de la «jeunesse démographique» des caisses de retraite fédérales dont PSP gère les placements, comparativement à ses semblables comme la Caisse de dépôt et placement du Québec et les caisses Teachers' et OMERS en Ontario. «Ces caisses de retraite sont plus matures démographiquement, et certaines déjà en phase de sortie de liquidités [NDLR: nombre croissant de retraités-prestataires par rapport aux salariés-déposants]. Chez PSP, les caisses dont nous gérons les actifs ne seront pas dans cette situation avant 15 à 20 ans.» D'où l'avantage comparatif auquel prétend PSP parmi ses pairs en pouvant compter sur un apport considérable de capitaux neufs à investir pour plusieurs années. Aussi, PSP peut orienter sa recherche d'actifs selon deux critères principaux. D'une part, des actifs à potentiel supérieur de croissance mais à long terme, notamment dans les économies émergentes par rapport aux économies développées. C'est ce qui explique en partie la part de 16% de l'actif total de PSP qui est identifiée aux régions d'économies émergentes comme l'Asie et l'Amérique latine. Flexibilité D'autre part, explique Gordon Fyfe, PSP a la flexibilité de liquidités pour investir rapidement dans des actifs de qualité mais qui se retrouvent en «détresse» temporaire en raison d'une conjoncture négative ou de problèmes financiers chez leurs propriétaires. Un exemple de cette flexibilité? Au lendemain de la crise financière de 2008, et même si le rendement de son actif en avait été très affecté comme chez ses pairs, PSP avait encore des milliards de dollars en capitaux neufs à investir dans des actifs soudainement dépréciés. C'est ainsi que PSP a pu profiter de la crise immobilière dans plusieurs villes américaines, dont New York, pour garnir son portefeuille de bons immeubles commerciaux à prix avantageux. Quelques années plus tard, le portefeuille immobilier de PSP approche les 10 milliards, à hauteur de 12% de l'actif total sous gestion. Et le rendement courant de ce portefeuille immobilier (11% durant l'exercice terminé le 31 mars) cote au double de celui de l'indice de référence sectoriel. «Nous réalisons de solides rendements de nos divers portefeuilles depuis quelques années et nous entendons bien continuer ainsi», affirme Gordon Fyfe. Quant à sa lecture courante des marchés du placement, il préfère s'en tenir à sa philosophie de direction des équipes de portefeuille chez PSP. «Ce qu'il y a d'intéressant dans notre domaine, c'est qu'il y a toujours quelque part de bons actifs qui se retrouvent dans le trouble. Et chez PSP, nous avons les moyens de transiger rapidement dans ce type d'actifs, mais toujours quand ça nous plaît vraiment et selon nos objectifs de rendement.» Investissements PSP en un coup d'oeil > Activités: gestion des placements de l'actif de quatre caisses de retraite d'employés fédéraux: fonction publique, Défense nationale, GRC, Force de réserve > Actif net (au 1er déc. 2013): 86 milliards > Rendement annualisé depuis quatre ans: 12,2% (au 31 mars) > Siège administratif: Montréal > Effectif: 470 employés > Frais d'exploitation: 0,24% de l'actif net (au 31 mars) > Rémunération des cinq principaux dirigeants: 16,1 millions (+57% en 2013) > Année de fondation: 2000 (société d'État fédérale) Source: Investissements PSP Les grands gestionnaires de fonds de retraite > Office d'investissement du Régime de pension du Canada: 192 milliards (au 30 sept. 2013) > Caisse de dépôt et placement du Québec: 186 milliards (au 30 juin 2013) > Teachers (Régime de retraite des enseignants de l'Ontario): 129 milliards (au 31 déc. 2012) > Investissements PSP: 86 milliards (au 1er déc. 2013) > Alberta Investment Management Corp.: 68 milliards (au 31 déc. 2012) > Omers (Régime de retraite des employés municipaux de l'Ontario): 61 milliards (au 31 déc. 2012) > BC Pension: 31 milliards (au 31 mars 2013) > OPB (Commission des régimes de retraite de l'Ontario): 19 milliards (au 31 déc. 2012) Sources: rapports annuels, Bloomberg, archives média Eureka
  4. Un sondage de l’ACP démontre que moins de Canadiens vivent d’une paie à l’autre. Les employés épargnent davantage, mais plusieurs sont encore loin de leurs objectifs de retraite. TORONTO (6 septembre 2012) – Ce sont de bonnes et de mauvaises nouvelles qui ressortent du sondage auprès des employés qu’a réalisé l’Association canadienne de la paie (ACP) dans le cadre de la Semaine nationale de la paie de cette année. Commençons par les bonnes nouvelles : Un moins grand nombre vit trop près du seuil Les réponses de 3 500 employés de partout au Canada ont permis de découvrir qu’un moins grand nombre vivent d’une paie à la suivante. Bien que 47 % d’entre eux maintiennent qu’ils éprouveraient des difficultés financières si leur paie était retardée d’à peine une semaine, il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’une nette amélioration sur les 57 % de l’an dernier qui avaient du mal à joindre les deux bouts. Les provinces ou régions qui comptent le pourcentage le plus élevé d’employés vivant d’un chèque à l’autre sont : les Maritimes (54 %), le Manitoba (53 %) et l’Ontario (52 %). C’est au Québec que le pourcentage est le plus bas (33 %). Épargner davantage Le quatrième sondage annuel de l’ACP comprend un signe encourageant puisqu’il démontre qu’un plus grand nombre d’employés trouvent qu’ils sont mieux en mesure d’accroître leur épargne. Bien que seulement 40 % employés tentaient d’épargner davantage et le faisaient l’an dernier, ce nombre a augmenté à 66 % en 2012, un saut énorme. Au Québec, les employés sont les meneurs en ce qui a trait à leur capacité d’accroître leur épargne (71 %). Réévaluer les besoins de retraite Les employés au Canada semblent également se préoccuper davantage de leurs besoins de retraite. Un plus petit nombre croit que des économies de 500 000 $ à un million de dollars suffiront pour leur assurer une retraite à l’aise (34 % cette année, 42 % l’an dernier), alors qu’un plus grand nombre croit qu’il leur faudra plutôt entre un million et trois millions de dollars (38 % cette année, 27 % l’an dernier). Et maintenant, les mauvaises nouvelles : Un taux d’épargne toujours bas Bien qu’un plus grand nombre d’employés au Canada économisent, le taux d’épargne demeure bas. Près de la moitié (46 %) affirment qu’ils réussissent à épargner à peine 5 % ou moins de leur paie. Les spécialistes de la planification financière recommandent généralement un taux d’épargne de 10 % de la paie nette. Très éloignés des objectifs de retraite Ce bas taux d’épargne se reflète dans un autre constat inquiétant. Lorsqu’on leur demande jusqu’à quel point ils se rapprochent de leur objectif de retraite, 73 % des employés disent avoir épargné moins du quart des sommes qu’ils aimeraient avoir accumulées. Une conclusion particulièrement préoccupante : même chez les employés qui se rapprochent de la retraite (50 ans et plus), 45 % mentionnent qu’ils ont amassé moins du quart de l’épargne qu’ils avaient souhaité pour leur retraite. Devoir travailler plus longtemps En ce qui concerne les employés, qui se sont fixé une date de retraite : 41 % disent qu’ils devront maintenant travailler plus longtemps – cinq ans de plus en moyenne – qu’ils ne l’avaient prévu en 2007; la principale raison qui explique cette nécessité de travailler plus longtemps est « Je n’épargne pas assez pour ma retraite »; l’âge médian de retraite est de 60 ans. L’endettement est le principal obstacle à l’épargne Deux employés sur cinq au Canada dépensent leur paie nette ou davantage. En résumé « Le sondage de cette année montre qu’un plus grand nombre d’employés au Canada sont maintenant en mesure d’épargner davantage et que moins d’entre eux vivent d’une paie à la suivante », a remarqué Caroline Bernard, présidente du conseil de l’ACP. « Toutefois, à peine 13 % ont épargné la moitié ou plus de leur objectif de fonds de retraite. » Patrick Culhane, président-directeur général de l’organisme, affirme que l’insuffisance d’épargne-retraite est particulièrement préoccupante parmi les travailleurs les plus âgés. « Plusieurs d’entre eux quitteront le marché du travail dans quelques années à peine, pourtant la plupart d’entre eux sont bien loin de leurs objectifs de retraite. » Les professionnels de la paie peuvent souvent aider les employés à épargner automatiquement en demandant qu’une partie de leur paie nette soit versée dans un compte d’épargne distinct ou dans un régime enregistré d’épargne-retraite (qui contribue à réduire l’impôt sur le revenu personnel). Consultez le site http://www.payroll.ca pour une synthèse des conclusions du sondage (sous le volet Salle de presse) ou pour toute autre information. Les porte-parole de l’ACP sont accessibles pour des entrevues. [...] http://www.payroll.ca/Content/NavigationMenu2/Salledepresse/Communiqusdepresse/Communiqué_de_presse.htm
  5. Bon je sais que ce n'est pas une grande tour ou quelque chose de révolutionnaire. Mais ce condo est relativement important dans ma propre histoire personnelle. Voyez-vous, ce condo sera construit simplement parce que mon père prend sa retraite bien mérité à 74 ans. C'est assez simple. Mon père travaillais dans le garage à l'arrière plan dans la photo. Depuis maintenant 51 ans, le garage était très occupé avec des contrats de Puro, FedEx, la plupart des taxis du sud-ouest et des clients fidèles, mais puisque son "foreman" prend sa retraite et le propriétaire actuel ne veut tout simplement plus s'en occuper, il a vendu le terrain qui était en demande depuis plus de 10ans. Mon père sera la dernière personne à mettre la clé dans le garage. Le lendemain, il sera mis à terre grâce à quelques coup de pelles bien placé. J'ai effectivement grandi dans ce garage, été voir mon père depuis 34 ans y travailler et faire vivre ma famille depuis toujours. C'est sentimental en effet et je dois dire que je suis un brin nostalgique. La bonne nouvelle dans tous ça, mon père peut finalement se reposer, travailler un peu moins à temps partiel pour d'autres garages qui lui demande de venir les aider de temps à autres. Un homme qui veut vous dire que votre véhicule n'est pas enligner et vous dire de combien de degrés juste en regardant les roues à oeil nu, c'est en demande, même à 74 ans . On dirait que la brique à changé de couleur selon le rendu du site web et celui de l'affiche. http://www.stemarguerite.ca/
  6. Des ponts d'or dans les universités Sébastien Ménard Le Journal de Montréal 05/11/2009 05h32 Malgré un déficit de 455 millions - Des ponts d'or dans les universités Le campus du centre-ville de l’Université Concordia. L’institution anglophone a remis des primes de départ pour le moins étonnantes à au moins deux cadres supérieurs. Les universités de la province ont beau crouler sous les déficits, cela ne les empêche pas de verser de très généreuses primes de départ à leurs cadres supérieurs... même quand ceux-ci continuent à travailler pour elles par la suite. Des données obtenues par le Journal grâce à la Loi sur l'accès à l'information révèlent que plusieurs hauts dirigeants d'universités québécoises ont reçu des «indemnités de départ» équivalant à au moins un an de salaire, l'an der nier, quelques mois seulement avant d'être réembauchés dans d'autres fonctions. C'est le professeur Martin Singer, de l'Université Concordia, qui a le plus bénéficié de ce système de primes pour le moins étonnant. Après avoir occupé le poste de vice-recteur exécutif durant tout juste trois ans, entre 2004 et 2007, il a ensuite bénéficié d'un «congé administratif» de 14 mois, une période au cours de laquelle il a empoché la bagatelle de 363 430 $. Et ce n'est pas tout. Le contrat de M. Singer était à ce point généreux qu'il lui garantissait son plein salaire de cadre supérieur durant cinq ans, même s'il avait quitté «hâtivement» ses fonctions. Ce professeur d'histoire, qui a été nommé doyen à l'Université York de Toronto le 1er juillet dernier, a donc pu gagner 184 137 $, durant les neuf derniers mois de l'année 2008-2009, alors qu'il enseignait seulement deux cours par session. Réembauchée 11 mois plus tard Le cas de Martin Singer est loin d'être unique dans le réseau des universités québécoises, qui affichait pourtant un déficit accumulé de 455 M$, en 2008. La vice-rectrice à l'administration de l'Université du Québec en Outaouais (UQO), Hélène Grand-Maître, a obtenu une «indemnité de départ» de 142 427 $, l'an dernier, après avoir volontairement «rompu son lien d'emploi» avec l'institution. Les hauts fonctionnaires oeuvrant dans le réseau de l'Université du Québec ont tous droit à une telle prime après quatre ans de service, a-t-on expliqué au Journal. Mais le «départ» de Hélène Grand-Maître n'a pas été très long : moins d'un an après avoir reçu son «indemnité», elle a été nommée vice-présidente de l'Université du Québec, en août dernier. C'est cet organisme qui chapeaute les universités régionales, dont fait partie son ancien employeur, l'UQO. À l'Université Concordia, le professeur Truong Vo-Van a eu droit à une indemnité de départ de 139 037 $, en 2008-2009, après avoir quitté ses fonctions de vice-recteur associé. Or, il est de retour au sein du corps professoral cette année, indique le secrétaire général de l'institution, Bram Freedman. Un cadeau de retraite ? D'autres cas soulèvent par ailleurs des doutes quant à la nécessité de verser de telles primes à ces hauts fonctionnaires. Le 28 novembre 2008, l'ancien directeur général de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), Pierre Lapointe, a quitté son poste, ce qui a lui a permis d'empocher une prime de 167 562 $. Mais trois jours plus tard, il était nommé à la tête de FPInnovations, une société de recherche du secteur forestier, qui lui aurait offert un «pont d'or» pour l'attirer, selon un article paru à ce moment-là dans un hebdomadaire lavallois. D'autres indemnités de départ ont été consenties à des hauts fonctionnaires des universités l'an dernier, soit parce qu'une telle mesure était prévue à leur contrat ou qu'ils avaient tout simplement décidé de prendre leur retraite. L'ancien recteur adjoint de l'Université de Sherbrooke, Denis Marceau, est du nombre. Il a eu droit à un chèque 217 441 $, il y a quelques mois, en partant à la retraite. Avec la collaboration de Serge Laplante, notre recherchiste à l'Assemblée nationale. «Révoltant» et «absurde» La Ligue des contribuables du Québec trouve «absolument révoltant» le versement de ces primes de départ à des hauts fonctionnaires des universités. La porte-parole de l'organisme, Claire Joly, avait du mal à contenir sa colère lorsqu'elle a été informée des révélations du Journal. «Ces gens-là profitent du système pour s'en mettre plein les poches, dénonce-t-elle. C'est carrément honteux d'accepter ce genre de primes-là, surtout quand ils ont le culot de venir nous dire ensuite que le système d'éducation supérieur est sous-financé.» Pourquoi de telles primes ? Claire Joly souligne que ce genre de pratique est «malheureusement assez répandu dans le secteur public.» «C'est une pratique de rémunération absurde, qui n'existe absolument pas dans le secteur privé. Si on démissionne ou on prend sa retraite, on n'a pas le droit à une prime de départ.» Mme Joly craint toutefois qu'il soit difficile de mettre un frein à ce système d'indemnités puisque «l'exemple vient d'en haut.» «Les députés eux-mêmes reçoivent une prime de départ s'ils démissionnent», déplore-t-elle.
  7. Pratt Whitney: 500 postes à supprimer à Longueuil (Source: Radio-Canada) La moitié des postes dont veut se départir l'entreprise seront éliminés dans son usine du Québec. Ce nombre pourrait toutefois diminuer si certains employés acceptent un programme de retraite anticipée. 2009-04-10 18:11:44 L'entreprise Pratt & Whitney Canada éliminera 500 emplois à son usine de Longueuil. Ces suppressions d'emplois font partie des compressions de 1000 postes annoncées en février dernier. Ce nombre pourrait toutefois diminuer si certains employés acceptent un programme de retraite anticipée. « C'est important de dire qu'il s'agit d'un chiffre approximatif, car des employés pourront se prévaloir d'un programme de retraite anticipée volontaire. Quand on saura exactement combien d'employés souhaitent se prévaloir du programme, ça réduira d'autant le nombre de mises à pied à faire. Ça pourrait donc être beaucoup moins », a précisé Pierre Boisseau, porte-parole de Pratt et Whitney. Une centaine de travailleurs pourraient souscrire au programme de retraite anticipée volontaire, mais M. Boisseau n'a pas donné de chiffre exact. Ce sont les employés de la production qui seront surtout touchés par les congédiements, de même que des employés de bureau. Un marché qui bat de l'aile L'entreprise, qui fabrique principalement des moteurs d'avion, emploie 10 000 personnes dans le monde, dont 5500 au Québec. Pratt & Whitney explique ces mises à pied par la morosité du marché de l'aviation d'affaires. Elle mise sur la stabilité du marché des hélicoptères et de l'aviation régionale pour éviter d'autres compressions, mais elle ne les exclut pas. Mise à part l'aviation d'affaires, les autres secteurs pour lesquels Pratt & Withney Canada produit des moteurs (aviation commerciale régionale, hélicoptères et petits appareils) se portent encore relativement bien. Au pays, la compagnie compte des installations à Longueuil, à Lethbridge, en Alberta, à Mississauga, en Ontario, et à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Radio-Canada.ca avec Presse canadienne
  8. La Caisse appauvrie de 38 milliards Publié le 05 février 2009 à 23h30 | Mis à jour le 05 février 2009 à 23h50 La Caisse de dépôt et placement du Québec va rendre publics des résultats catastrophiques pour l'année 2008, de loin les pires de ses 45 ans d'histoire. Le bas de laine des Québécois a fondu du quart - de 26% environ - selon les chiffres qui circulent à l'interne, dont La Presse a pu prendre connaissance. Une bien piètre performance, comparée à celle de l'ensemble des grandes caisses de retraite au Canada. L'ensemble des fonds de retraite au pays accusera un recul de 16%, prévoient les spécialistes de ce secteur. Les chiffres qui circulent à la CDP ne sont pas finaux, ils n'ont pas encore la bénédiction du comité de vérification interne de la Caisse et du Vérificateur général. Ce dernier a jusqu'au 24 février pour se prononcer sur l'évaluation faite de la valeur des papiers commerciaux, notamment. La Caisse prévoit rendre publics ses chiffres deux jours plus tard, tout de suite après la prochaine réunion du conseil d'administration. Les dirigeants de la Caisse n'ont pas été saisis de ces résultats lors de leur dernière rencontre, vendredi dernier, mais le comité de vérification a commencé son travail. La Caisse avait amorcé l'année 2008 avec 155,4 milliards dans les coffres; à la fin décembre, on en était à 120 milliards, une perte de 38 milliards environ si on tient compte des 3 milliards de cotisations versés par les déposants, c'est-à-dire les grandes caisses d'assurance publiques comme la Régie des rentes, le REGOP (le fond de retraite des fonctionnaires), la CSST, la Société d'assurance automobile, la Commission de la construction et même le Fonds des générations. Avec des pertes d'environ 38 milliards, le verdict tombera, impitoyable. Le rendement de -26% fera porter le bonnet d'âne aux administrateurs du bas de laine des Québécois. Avec ce résultat, sur 10 ans, la moyenne de croissance sera d'un peu plus de 4%, bien loin de la cible à long terme de 7%, le niveau nécessaire pour faire face aux obligations des régimes d'assurance et de retraite, estimé par la CDP l'automne dernier. À la CDP, on a refusé de commenter les chiffres de La Presse. «Nous annoncerons les résultats pour l'année 2008 vers la fin février. D'ici là nous ne commenterons d'aucune façon les rumeurs et les spéculations», a dit Mark Boutet, le vice-président Affaires publiques. D'autres sources à la CDP ont vu dans ces chiffres les bilans que s'échangeaient au cours des derniers jours les cadres de la Caisse. Selon les chiffres qui circulent à la CDP, il faudra inscrire une provision pour pertes d'un peu moins de 4 milliards sur les papiers commerciaux adossés sur des actifs. La Caisse détient 12,6 milliards de ces créances boiteuses, qui sont difficilement négociables parce qu'aucun marché n'existe encore pour échanger ces titres. Avec la dépréciation de 2007, 1,9 milliard , la provision pour perte globale de ce portefeuille risqué dépassera clairement les 40%, bien au-delà de ce qui a été fait jusqu'ici par les autres détenteurs privés. Ces produits complexes - la ministre Monique Jérôme-Forget a déjà dit que les gestionnaires de la Caisse ne savaient pas ce qu'ils faisaient en les achetant - devaient donner un quart de 1% de plus de rendement. Sur le fonds d'actions et d'obligations, le tiers de son portefeuille environ, la Caisse accusera en 2008 une perte de 26 milliards environ. La Caisse a fait aussi des mauvais paris en jonglant avec les devises étrangères - une perte de 5 milliards pour avoir trop souvent mal jugé de la direction du vent. Bien sûr, la crise boursière était mondiale, mais le bilan de la Caisse se compare difficilement à celui des autres grandes caisses de retraite, répertoriées par RBC Dexia, l'étalon qui sert normalement à la caisse pour évaluer sa performance par rapport aux autres fonds de retraite de plus de 1 milliard. Pour RBC, le rendement des très grands fonds de retraite au pays sera un recul de 18,5% pour 2008. Pour l'ensemble des fonds «équilibrés» la médiane est de -16,2%. C'est d'ailleurs ce qu'a atteint le Fonds d'action de la CSN. Le Fonds de solidarité a fait un peu mieux avec -15,3%. Pour Morneau Sobeco, un autre évaluateur de rendement de ces fonds, les administrateurs les moins performants du pays - les 5% en queue de peloton - ont ramené un rendement de -24% en 2008. Au Parti québécois, on se prépare déjà à dénoncer le gouvernement Charest pour cette contre-performance. «Il faut expliquer un écart qui risque d'être de près de 10% entre les résultats de la Caisse et celui des autres fonds. Il y a une urgence à revoir les politiques de placement de la Caisse», observe le critique financier du PQ, François Legault, qui ajoute : «Il y a à la caisse un problème grave dans la gestion du risque; M. Rousseau avait le mandat du gouvernement d'optimiser les rendements; il n'y avait pas de limite au risque.»
  9. Les retraités des secteurs publics et parapublics québécois veulent faire toute la lumière sur les pertes de plus de 21milliards de dollars enregistrées en 2008 par leurs régimes de retraite. Pour en lire plus...
  10. Les contribuables qui veulent mettre de l'argent dans un Régime enregistré d'épargne retraite doivent le faire lundi, avant minuit. Pour en lire plus...
  11. La firme de notation de crédit Standard and Poor's prend cette décision en raison de ses rendements «nettement» inférieurs à ceux des autres grandes caisses de retraite canadiennes en 2008, ainsi qu'à une plus grande instabilité au sein de sa haute direction. Pour en lire plus...
  12. Le premier ministre du Québec et sa ministre des Finances misent sur la commission parlementaire pour comprendre l'important écart de rendement entre la CDPQ et les autres fonds de retraite canadiens. Pour en lire plus...
  13. L'insolvabilité des régimes de retraite à prestations déterminées (PD) oblige la plupart des capitales provinciales canadiennes à adopter des mesures extraordinaires pour ne pas étrangler les entreprises qui les parrainent. Pour en lire plus...
  14. La compagnie veut encore abaisser ses coûts et devenir concurrentielle et cette fois, elle offre la retraite à 1500 de ses employés syndiqués. Pour en lire plus...
  15. Le projet de loi déposé hier par le ministre de l'Emploi et de la Solidarité sociale Sam Hamad pallie le plus pressé dans la crise structurelle que traversent les régimes de retraite. Il ne la règle pas. Pour en lire plus...
  16. Le gouvernement du Québec a déposé mercredi un projet de loi pour assouplir les règles de financement des régimes complémentaires de retraite. Pour en lire plus...
  17. Le ratio de solvabilité du régime de retraite moyen a reculé de 27% en 2008, passant de 96% en début d'année à 69% vers la fin. Pour en lire plus...
  18. Quelle que soit leur taille, les caisses de retraite canadiennes ont sans aucun doute connu en 2008 les pires rendements de leur histoire, provoqués par la débâcle boursière. Pour en lire plus...
  19. BCE poursuit le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l'Ontario (Teachers) et ses partenaires pour réclamer au consortium une indemnité de rupture de 1,2 milliard $. Pour en lire plus...
  20. Le gouvernement libéral annoncera d'ici Noël des mesures pour alléger la gestion des régimes de retraite privés, dont 90% seraient déficitaires. Pour en lire plus...
  21. Le régime de retraite des enseignants ontariens a gagné son pari avec BCE en la rendant plus concurrentielle, dit l'analyste Amit Kaminer, du SeaBoard Group. Pour en lire plus...
  22. Le projet de rachat du géant des télécoms n'aura pas lieu, a annoncé jeudi le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l'Ontario. BCE réclame des frais de résiliation de 1,2 G$. Pour en lire plus...
  23. Le manque de main-d'oeuvre pousse les entreprises canadiennes à se tourner vers les programmes de retraite progressive pour garder leurs employés d'expérience. Pour en lire plus...
  24. Selon un sondage dévoilé par le Mouvement Desjardins, pas moins de 42% des Canadiens de plus de 40 ans prévoient reporter leur retraite de 5,9 années en moyenne. Pour en lire plus...
  25. Les contribuables ontariens devront payer pour le régime de retraite des employés de GM si le constructeur devient insolvable. Pour en lire plus...
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