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  1. Bientôt dans une rue près de chez vous Sébastien Templier - La Presse 07 avril 2009 | 08 h 43 Communauto pourrait avoir de la concurrence à Montréal. L'entreprise torontoise CityFlitz a l'intention de proposer son service de location de voitures tape-à-l'oeil d'ici le mois de juin. Pour la modique somme de 1$ par jour, on pourra par exemple rouler dans une Mini aux couleurs de Yahoo! . Instaurer un service d'autopartage compétitif tout en faisant de la publicité, tel est l'objectif poursuivi par cette jeune entreprise ontarienne. CityFlitz est avant tout une agence de pub «nouveau genre» qui propose à toute entreprise de lui assurer sa publicité par le biais de voitures brandées, autrement dit aux couleurs de la compagnie en question. Et pour conduire sa flotte de Mini, Smart, New Beetle et Prius, elle compte tout simplement sur le commun des mortels. Depuis septembre dernier, on peut ainsi louer ces voitures à Toronto pour seulement 1$ par jour. La voiture est disponible à partir de 8h le matin jusqu'à 7h le lendemain. La réservation d'une auto se fait uniquement à partir du site internet de CityFlitz. Sa prise de possession et sa remise se font à l'un des cinq points de chute. Au préalable, il faut signer un contrat d'adhésion et respecter certaines conditions d'utilisation. Parmi elles, l'interdiction de sortir de l'agglomération torontoise et l'obligation de parcourir au moins 30 km par jour. La raison? Ces 30 km garantissent un taux de visibilité au client qui affiche ses couleurs sur la voiture. Cette distance n'est aucunement une contrainte, selon le PDG de CityFlitz, Andreas Kotal: «Nos membres ne sont pas limités par ces 30 km. En fait, ils conduisent en moyenne 50 km par jour.» Pour chaque kilomètre en dessous de cette limite minimale, l'usager paye des frais de 4$. Le contrôle des membres sur la route se fait simplement au moyen d'un système GPS. L'abonnement annuel à CityFlitz est de 30$. Des frais mensuels de 7$ sont perçus et un dépôt (remboursable) de 350$ est exigé à l'inscription. Le plein d'essence est aux frais du conducteur. Dans son fonctionnement, CityFlitz ressemble beaucoup à Communauto. Les tarifs sont concurrentiels. Mais dans l'esprit, les deux entités ne poursuivent pas les mêmes objectifs, selon Marco Viviani, responsable développement et relations publiques de Communauto. «Est-ce vraiment de l'autopartage? On pense que non, dit-il. Notre objectif est de remplacer la possession de véhicules par un service de partage d'automobiles. Est-ce que le service de CityFlitz répond aux mêmes besoins que l'autopartage? Je pense que non. Ils ont une location plus souple avec un objectif publicitaire.» Pour M. Viviani, que ce soit Communauto, CityFlitz ou n'importe quelle agence de location, «tous font la même chose mais pas avec les mêmes objectifs, et tous répondent différemment aux besoins de la population». Il insiste pour dire que Communauto fait de la location à court terme, à très court terme même, 24 heures sur 24, sept jours sur sept, avec une flexibilité d'utilisation. Ce que n'offre pas encore CityFlitz à Toronto. Avec seulement 10 voitures offertes au grand public, CityFlitz est évidemment victime de son succès dans la Ville reine - ou atteint déjà ses limites. «Au début, le public était choqué par le prix de 1$ par jour. Maintenant, tout le monde aime nos voitures brandées et nous affichons toujours complet. Nous avons actuellement une liste d'attente de 4000 personnes pour notre programme d'autopartage. Mais nous allons doubler notre flotte dans les trois prochains mois», affirme Andreas Kotal.
  2. Vidéotron va créer 271 emplois à Joliette 25 mars 2009 - 10h37 Louis-Pierre Côté ARGENT La société Vidéotron entend embaucher 271 personnes à temps plein à son nouveau centre de service à la clientèle et de soutien technique de Joliette, d’ici l’été 2010. La compagnie a annoncé mercredi l’ouverture de son Centre Contact Clients dans la capitale régionale de Lanaudière à l’été 2009. D’ici là, Vidéotron lancera son offensive de recrutement depuis le Salon Emploi – Compétences qui battra son plein entre les 2 et 4 avril prochain aux Galeries Joliette. Situé devant le centre commercial Les Galeries Joliette, le nouveau centre de service à la clientèle de Vidéotron fera partie des premiers locataires à aménager dans le nouvel édifice sis au 1075 du boulevard Firestone. Le montant de l’investissement n’a pas été dévoilé. Vidéotron dit aussi poursuivre ses efforts de recrutement afin de combler plus de 500 postes permanents en 2009 dans tous les services de l’entreprise. Vidéotron est une filiale de Quebecor Media, elle-même une filiale du Groupe Quebecor (QBR.B).
  3. Quebecor se retire de La Presse canadienne La Presse canadienne Édition du jeudi 12 mars 2009 Toronto -- Le groupe Quebecor affirme qu'il se retirera l'année prochaine de la coopérative Presse Canadienne, en misant sur le développement de sa propre agence de presse créée plus tôt cette année. L'entreprise possède notamment Le Journal de Montréal, Le Journal de Québec, les journaux Sun ainsi que plusieurs autres publications de langues française et anglaise au Canada. Quebecor est aussi propriétaire du plus important réseau de télévision privé au Québec, TVA, en plus d'une chaîne de télévision à Toronto, de plusieurs sites Internet, du câblodistributeur Vidéotron et d'un service de téléphonie au Québec. Une porte-parole de Quebecor Média a confirmé hier que le chef de la direction, Pierre Karl Péladeau, a fait parvenir une note de service à des employés afin de les aviser que la compagnie entend quitter la coopérative pour développer sa propre agence de presse. Dans cette note, M. Péladeau affirme que Quebecor doit s'adapter aux changements dans l'industrie des médias. «Comme vous le savez, la presse écrite traverse une période de bouleversements au Canada et à l'étranger, écrit-il. Plus que jamais, nous devons profiter de nos forces, et elles sont nombreuses: nous devons tout simplement tirer le maximum de celles-ci. C'est pourquoi nous devons continuer de construire et accélérer le développement de notre propre réseau -- en l'occurrence notre propre agence de presse, QMI -- afin de fournir et de partager le contenu entre tous nos médias partout au pays.»
  4. Les faiblesses du coeur 23 février 2009 par Joseph Facal Il est louable de vouloir aider les gens frappés par la crise économique. Mais le cœur ne suffit pas : encore faut-il les aider de la bonne manière. Le PQ propose de geler les tarifs de tous les services publics pour ne pas «accabler la classe moyenne et les plus démunis». Voyons cela de plus près. Les Québécois ont payé l’an dernier 22,2 milliards en tarifs de toutes sortes : Hydro-Québec, garderies, frais de scolarité, assurance-médicaments, droits d’immatriculation, permis de chasse et pêche, et bien d’autres. Il n’est pas déraisonnable en temps de crise de vouloir surseoir à telle ou telle hausse de tarif. Le moment ne se prête pas non plus à l’introduction de nouveaux tarifs. Mais fallait-il geler TOUS les tarifs actuels ? Pourquoi ne pas avoir étudié chaque cas à la pièce ? A-t-on fait des études pour mesurer l’impact de ce gel mur-à-mur sur les finances déjà très fragiles du gouvernement, ou sur sa capacité à fournir les services avec moins d’argent ? Et quelle est la durée anticipée de cette crise, et donc du gel ? L’arithmétique est pourtant implacable : comme le coût pour fournir le service ne peut être gelé, un gel des tarifs condamne le gouvernement à s’endetter davantage, à se financer en haussant les impôts, ou à couper dans la qualité du service. Pendant cette crise, la très grande majorité des Québécois conserveront leurs emplois, leurs revenus, leurs maisons. Ce sera mon cas. Pourquoi faut-il geler MES tarifs ? Pourquoi ne pas concentrer l’aide sur ceux qui seront touchés au lieu de gaspiller de précieuses ressources qui pourraient servir à la relance ? La démonstration a été faite mille fois : on aide mieux les pauvres par des mesures fiscales ciblées sur eux que par des gels qui profitent surtout à ceux qui ont les moyens de surconsommer, qui sont évidemment les riches. Et plus le gel des tarifs est généralisé et long, plus il nous condamne à des hausses salées plus tard. Les Québécois consomment déjà huit fois plus d’eau que les Danois. Le gel des frais de scolarité n’a aucun impact sur l’accessibilité et aggrave le retard de nos universités, qui est dramatique dans une économie du savoir. Un tarif de garderie uniforme profite aux riches qui pourraient contribuer davantage en fonction de leurs revenus. Le progressisme n’est pas toujours là où on le pense. Il faut vivre dans le réel. Nous n’irons nulle part si nous ne commençons pas à tordre le cou à quelques tabous hérités d’une autre époque. Un gel tous azimuts prive aussi l’État de précieuses ressources à un moment crucial. Réduire, par exemple, le nombre d’élèves par classe pour lutter contre le décrochage coûterait des dizaines de millions. La crise aurait justement dû être une occasion pédagogique pour rappeler à nos concitoyens quelques vérités de base à cet égard. De toute façon, règle générale, nos tarifs sont déjà plus bas et ont moins augmenté qu’à peu près partout ailleurs. En plus, comme un service public n’est JAMAIS gratuit en ce sens qu’il en coûte toujours quelque chose pour le produire, quand son tarif est trop bas ou gelé trop longtemps, on le paie en réalité via nos impôts …ou on le fait payer par quelqu’un d’autre. C’est pour cela que là où les tarifs sont plus élevés, les impôts sont généralement plus bas et vice versa. Voilà des constats qui font largement consensus chez les gens qui ont étudié ces questions à fond, qu’ils soient de gauche ou de droite. Vous noterez que j’ai dit consensus, pas unanimité. Qu’une crise requiert davantage de sensibilité politique qu’en temps normal, soit. Mais les principes de base de la saine gestion ne cessent pas pour autant d’exister. Le cœur et la tête peuvent très bien cohabiter.
  5. Création de 500 nouveaux emplois chez Vidéotron en 2009 Feb 11, 2009 12:34 ET MONTREAL, QUEBEC--(Marketwire - 11 fév. 2009) - L'entreprise poursuit ses efforts de recrutement afin de combler plus de 500 postes permanents en 2009. Plus de 330 emplois permanents sont actuellement affichés sur le site videotron.com/carrières pour combler des postes dans tous les services de l'entreprise, de l'Ingénierie à l'Informatique en passant par le Service à la clientèle, le Service technique, les Finances, le Marketing, la Construction et l'Entretien de réseau, et les Ressources humaines. Des centaines de nouveaux emplois d'ici la fin de 2010 A elle seule, la construction du nouveau réseau de télécommunications sans fil, un projet qui représente des investissements d'entre 800 millions et 1 milliard de dollars, permettra la création de plusieurs centaines de nouveaux emplois chez Vidéotron au cours des deux prochaines années. Ces embauches se feront principalement au sein des secteurs de l'ingénierie et de l'informatique; emplois qui s'ajouteront à quelques centaines d'autres actuellement en recrutement au sein d'autres projets corporatifs et à l'embauche de ressources additionnelles dans les entreprises qui participeront à la construction du réseau. "Depuis que Vidéotron a entrepris son virage client, en 2003, elle a presque doublé son équipe, qui regroupe aujourd'hui plus de 4200 personnes. En cette période d'incertitude économique, l'entreprise est heureuse de contribuer à l'économie du Québec en générant un nombre important d'emplois et en offrant de belles possibilités de carrière", affirme Robert Dépatie, président et chef de la direction. Des emplois de qualité Au cours de la dernière année, Vidéotron a investi plus d'un demi-million de dollars dans la formation et le perfectionnement de ses conseillers du Service à la clientèle, du Service technique et de ses gestionnaires - toutes catégories confondues. Par ailleurs, l'entreprise accompagne les employés souhaitant grandir au sein de l'entreprise en leur offrant de nombreuses possibilités d'avancement. Les employés peuvent également bénéficier d'un salaire intéressant, d'un régime de bonification, d'un régime de retraite à prestations déterminées et d'un programme d'assurance très avantageux. Les profils recherchés L'entreprise est à la recherche de candidats aux formations très pointues comme des ingénieurs en télécommunications, des analystes de réseau IP et des analystes programmeurs, de même que de candidats avec des formations plus générales pour des postes de conseiller au Service à la clientèle, de technicien et d'agent de ventes dans les kiosques, entre autres. Les efforts de recrutement ont notamment permis de développer des partenariats avec des écoles spécialisées et des universités et de mettre en place des stages et des programmes de bourses pour sensibiliser les jeunes aux nombreuses possibilités offertes par l'industrie des télécommunications. "Vidéotron s'adapte aux besoins du travailleur et répond à la nécessité d'une plus grande flexibilité en appliquant des programmes basés sur les nouvelles réalités comme le travail à horaire comprimé et le télétravail", précise M. Dépatie. Pour soumettre sa candidature Tous les postes sont affichés sur le site de videotron.com et sur Jobboom. Les candidats sont invités à postuler en ligne à partir de la section carrières corpo.videotron.com/site/carrieres/index-fr.jsp où on leur demande de répondre à un questionnaire et d'y joindre leur CV. Vidéotron ltée (http://www.videotron.com), filiale à part entière de Quebecor Media inc., est une société intégrée de communications oeuvrant dans les domaines de la télédistribution, du développement multimédia interactif, des services d'accès Internet, de la téléphonie par câble et de la téléphonie sans fil. Vidéotron est un chef de file en nouvelles technologies, grâce notamment à son système de télévision interactive illico et à son réseau à large bande lui permettant d'offrir, entre autres services, l'accès Internet haute vitesse par modem câble et la télévision en modes analogique et numérique. Au 30 septembre 2008, Vidéotron comptait au Québec 1 691 500 clients à son service de télédistribution, dont 876 700 clients à illico télé numérique. Vidéotron est également le numéro un de l'accès à Internet haute vitesse au Québec avec 1 031 400 clients à ses services par modem câble au 30 septembre 2008. A cette date, Vidéotron avait activé 58 600 lignes de son service sans fil et assurait le service de téléphonie par câble à 797 900 foyers et organisations du Québec.
  6. Agence QMI Mathieu Bruckmüller 11/02/2009 20h16 Si la saga entourant le renouvellement des voitures du métro fait toujours couler beaucoup d'encre, la Société de transports de Montréal (STM) a au moins un motif de se réjouir: l'achalandage a battu des records en 2008. Bien que les chiffres finaux ne seront dévoilés que dans quelques semaines, la porte-parole Odile Paradis affirme que la fréquentation a enregistré une progression de 4% l'an dernier, du jamais vu depuis 1987. Au final, la STM aura enregistré 382 millions de déplacements dans les rames de métro et dans les autobus, soit 15 millions de plus par rapport à 2007. «En un an, nous avons rempli la moitié de l'objectif de la politique québécoise de transport collectif qui vise une augmentation de 8% de l'achalandage d'ici à 2011», se félicite Odile Paradis. Amélioration du service Plusieurs facteurs peuvent expliquer la popularité du transport en commun qui ne devrait pas se démentir dans les mois à venir. Il y a bien sûr l’amélioration du service concernant les autobus et le métro. D'ici la fin de l'année, 350 000 heures de service auront été ajoutées au réseau des autobus depuis 2007. Il en va de même pour le métro qui va parcourir en 2009, 1,5 million de kilomètres de plus hors pointe, soit une augmentation de 2% par rapport à 2008. Odile Paradis cite aussi les trois nouvelles stations du métro de Laval ouvertes en 2007, sans compter les partenariats noués avec les évènements spéciaux comme le Grand Prix de F1 ou la Coupe Rogers de tennis au stade Uniprix, pour transporter les nombreux spectateurs. La hausse des prix de l'essence l'été dernier, avec un litre à 1,50$, et les tempêtes de neige de l’hiver précédent, expliquent également en partie la poussée de la fréquentation. Cependant, Mme Paradis ne cache pas que des améliorations doivent être apportées concernant le métro aux heures de pointe. «Nous sommes à saturation. Tout le matériel roulant est utilisé. On ne peut pas faire plus», reconnaît-elle. La STM attend donc avec impatience l'arrivée des nouvelles voitures pour remplacer les wagons actuels. Âgés de 43 ans, ils ont dépassé leur durée de vie normale qui est de 35 à 40 ans. «Les nouvelles rames permettront d'accueillir plus de clients, car elles offrent plus d'espace que les précédentes», dit Odile Paradis. Mais les usagers devront être patients. La STM n'a toujours pas accordé le contrat pour le renouvellement des voitures. Elle qui pensait les recevoir à partir de l'été 2012 ne vise plus que le début de 2013. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/02/20090211-201607.html
  7. Jean prendrait bien 10 jours de vacances de plus au lieu d'une augmentation de salaire. Marie, elle, préfère bénéficier d'un service de conciliation travail-famille. Pour en lire plus...
  8. La direction du transporteur aérien a conclu une entente de principe sur le renouvellement du contrat de travail de ses 5000 agents des ventes et employés de service à la clientèle affiliés aux TCA. Pour en lire plus...
  9. Est-ce que le métro devrait être en service la nuit ou est-ce que ça serait une dépense inutile?
  10. Le CN fait 50 M$ d'acquisitions au Québec 3 novembre 2008 - 09h53 LaPresseAffaires.com Michel Munger Le transporteur ferroviaire Canadien National (CNR) annonce ce matin qu'il met 49,8 M$ sur la table pour faire quelques achats auprès de la Société des chemins de fer du Québec (SCFQ). Pour son argent, compagnie montréalaise deviendra propriétaire des trois principales filiales de chemin de fer de la SCFQ et d'un service marchandises de traversier-rail. Ce sont 864 kilomètres de voies ferrées que le CN se réapproprie, après les avoir vendus à la SCFQ à la fin des années 1990. De plus, l'entreprise détenait une participation minoritaire dans le service de traversier depuis qu'il a été démarré en 1975. «Les services que nous achetons sont importants pour le CN parce que la SCFQ, qui est notre deuxième partenaire en importance parmi les chemins de fer d'intérêt local, dessert d'importants clients au point d'origine et alimente directement notre réseau de lignes principales», explique Hunter Harrison, PDG du Canadien National. «La SCFQ a fait de l'excellent travail avec ces propriétés ferroviaires et nous croyons qu'il sera possible d'apporter d'autres améliorations ultérieurement, ajoute-t-il. En misant sur son modèle d'exploitation avant-gardiste et son expérience antérieure en matière d'intégration harmonieuse de sociétés acquises, le CN prévoit réaliser des gains d'efficacité importants sur le plan de l'exploitation grâce à l'inclusion de ces propriétés au sein de son réseau.» Voici la liste des propriétés acquises: - Le Chemin de fer de la Matapédia et du Golfe; - La Compagnie de chemin de fer de la côte est du Nouveau-Brunswick; - L'Ottawa Central Railway (OCR); - La Compagnie de gestion de Matane Inc. Le Sydney Coal Railway, en Nouvelle-Écosse, et le Chemin de fer de Charlevoix sont exclus de la transaction. Le CN indique qu'il investira au cours des trois prochaines années pour moderniser lors les propriétés acquises. Il n'a toutefois pas l'intention de modifier immédiatement le service de marchandises, de voyageurs VIA Rail ou les niveaux d'emploi (214 personnes). L'action du transporteur gagnait 2,3% à 53,51 $ peu après l'ouverture lundi à la Bourse de Toronto.
  11. Le transporteur ferroviaire deviendra propriétaire des trois principales filiales de chemin de fer de la SCFQ et d'un service marchandises de traversier-rail. Pour en lire plus...
  12. L'Agence de notation de crédit Dominion Bonds Rating Service pourrait abaisser la cote de la papetière AbitibiBowater. Pour en lire plus...
  13. L'ingénieur forestier et ancien directeur général du Service canadien des forêts au Québec, Gilbert Paillé, affirme avoir trouvé la solution à la crise forestière vécue au Québec. Pour en lire plus...
  14. Les turbulences du marché financier font en sorte que les caisses affichent un recul de 10,1 % depuis le début de l'année, selon une étude publiée par le service aux investisseurs de RBC Dexia. Pour en lire plus...
  15. La plupart des grandes chaînes de vente au détail paient des agences pour faire évaluer leur service à la clientèle. Ils travaillent incognito et on les appelle clients mystères. Pour en lire plus...
  16. La livraison des wagons neufs débutera en janvier prochain, ce qui permettra de retirer du service un nombre équivalent de wagons plus anciens. Pour en lire plus...
  17. La société d'ingénierie décroche un contrat de service dans le cadre d'un projet de construction d'usine pour Minera y Metalurgica del Boleo au Mexique. Pour en lire plus...
  18. L'économie est fragile et l'industrie aérienne l'est encore plus, mais pendant ce temps, Porter Airlines poursuit son expansion avec des vols entre Toronto et Chicago. Pour en lire plus...
  19. Téléphonie - Quebecor pourrait attendre 2010 pour lancer son service de sans-fil La Presse canadienne Édition du jeudi 25 septembre 2008 Le chef de la direction de Quebecor tenant dans ses mains un iPhone. Quebecor a indiqué hier qu'elle pourrait être en mesure de se lancer sur le marché du sans-fil dès l'automne 2009, mais qu'elle pourrait décider d'attendre jusqu'en 2010 afin de s'assurer d'offrir un service de haute qualité. «La complexité de ce projet signifie que nous avons besoin de souplesse, alors ça pourrait être aussi tôt qu'à l'automne de 2009, mais ça pourrait aussi être en 2010 si nous pensons ne pas pouvoir fournir le produit de haute qualité que nous voulons», a affirmé Isabelle Dessureault, porte-parole de l'entreprise, lors d'un entretien. Carmi Levy, analyste du secteur des télécommunications chez AR Communications, a estimé qu'il était logique pour la société de reporter à plus tard le lancement de son service de sans-fil d'ici à ce qu'elle parvienne à une entente de partenariat et puisse solidifier la construction de son réseau sans fil. À l'occasion d'une conférence d'investisseurs de la Banque CIBC, hier, le chef de la direction de Quebecor, Pierre Karl Péladeau, a laissé entendre que l'entreprise de médias et de télécommunications dévoilerait la nature de son service de sans-fil dans un «avenir rapproché». Néanmoins, il a également fait allusion à un délai en affirmant que pour avoir du succès auprès des consommateurs, il était nécessaire de leur proposer les meilleurs services et produits. «Nous ne voulons pas lancer quelque chose qui vous fera vivre une mauvaise expérience de consommateur», a-t-il déclaré. M. Péladeau a refusé de parler d'éventuelles négociations de partenariat avec d'autres nouveaux joueurs du secteur de la téléphonie cellulaire, comme Globalive, afin d'établir un réseau national. Le dirigeant de Quebecor a indiqué que les actifs de la société dans le secteur des journaux au Canada anglais, par le biais de ses publications de la chaîne Sun, d'Osprey Media ainsi que de son portail Web Canoe, permettraient de fournir un contenu d'information qui est de plus en plus essentiel au marché du sans-fil. Quebecor compte dépenser jusqu'à 1 milliard au cours des quatre prochaines années afin de lancer son service de sans-fil au Québec. Ce montant comprend les 555 millions dépensés cet été dans le cadre des enchères organisées par Industrie Canada pour obtenir les licences du spectre réservé aux services sans fil.
  20. La société Quebecor a indiqué hier qu'elle pourrait être en mesure de se lancer sur ce marché dès l'automne 2009, mais qu'elle pourrait décider d'attendre afin de s'assurer d'offrir un service de qualité. Pour en lire plus...
  21. Le Québec ne produit pas de gaz naturel. Mais une technologie d’extraction, récemment mise au point au Texas, pourrait changer les choses. Pour en lire plus...
  22. Hydro-Québec reconnaît que son service téléphonique à la clientèle n'est pas à son meilleur par les temps qui courent. Pour en lire plus...
  23. Le contenu de Quebecor sera un élément clé dans le sans-fil 9 septembre 2008 - 18h41 La Presse Canadienne Ross Marowits Le conglomérat Quebecor (QBR.B) garde pour lui la stratégie qu'il entend employer à titre de nouveau joueur de l'industrie canadienne des communications sans fil, mais son président et chef de la direction, Pierre Karl Péladeau, a fait valoir à Toronto, mardi, que ses journaux pourraient livrer un important contenu à d'éventuels partenaires dans ce secteur. «Nous sommes certainement en bonne position pour envisager toute négociation, en plus de quoi nous avons la capacité de donner accès au Québec aux autres opérateurs qui auront besoin d'une sorte de réseau», a déclaré M. Péladeau dans le cadre d'une conférence sur les télécommunications. La société montréalaise a récemment dépensé presque 450 millions $ afin de faire l'acquisition de 40 mégahertz de fréquences du spectre sans fil au Québec, en plus de 100 millions $ pour acquérir d'autres fréquences dans le sud de l'Ontario, soit des secteurs fortement peuplés dans lesquels se trouvent certaines des plus grandes villes au pays. Malgré le fait qu'elle ait abandonné son projet initial de développement d'une plateforme nationale, la société compte consacrer entre 800 millions $ et 1 milliard $, au cours des trois à quatre prochaines années, à la mise en service de son propre service sans fil. Le financement de ce service sera assuré au moyen de ressources internes et d'une émission d'obligations ayant eu lieu plus tôt cette année. Le propriétaire d'importants journaux de langue française à Montréal et Québec, en plus de journaux de langue anglaise dans d'autres parties du pays, a affirmé qu'il serait en mesure d'offrir du «contenu de première classe» aux services d'accès à Internet sans fil, expliquant déjà le faire sur une base quotidienne. En plus du Toronto Sun et d'autres quotidiens de Sun Media à Ottawa, Winnipeg, Calgary et Edmonton, Quebecor Media possède le London Free Press, dans le sud de l'Ontario, et plus de deux douzaines de quotidiens supplémentaires, pour la plupart acquis au moment du rachat d'Osprey Media. «Avec tous nos actifs à travers le Canada, nous pouvons mettre des choses intéressantes sur la table», a affirmé M. Péladeau à des analystes. Le service de télécommunications sans fil de Quebecor au Québec sera inclus avec les services de télévision par câble, de téléphonie et d'accès à Internet déjà assurés par Vidéotron. À la Bourse de Toronto, mardi, le cours de l'action de Quebecor a terminé la journée à 27,76 $, en hausse de 25 cents par rapport au précédent taux de clôture.
  24. Ce service sera assuré Gogo de la société américaine Aircell à compter du printemps prochain. Pour en lire plus...
  25. Les deux démissionnaires sont le président du conseil et chef de la direction, Derek Nice, et celle de son chef du service des finances, Roland Blais. Pour en lire plus...
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