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  1. this week 4 years ago: champagne de sensibilisation et re-lancement d'une app a l'appui... - rue de la Cathédrale 13 mars 2012, aujourd'hui rénovée.
  2. Pas moins de cinq plaques indiquent l'intersection des rues Sherbrooke et Cuvillier, dans Hochelaga-Maisonneuve. Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir 10 février 2014 17h39 | Marco Fortier | Le blogue urbain Bientôt à Montréal, des noms de rues faciles à lire Avez-vous déjà remarqué à quel point il est difficile de lire les noms de rue à Montréal? Les plaques blanches qui indiquent les noms de rue sont parfois cachées. Et tellement petites qu'il faut quasiment arrêter aux coins de rue, en voiture, pour les déchiffrer. La Ville de Montréal reconnaît le problème et compte le régler. Surtout que la population vieillit: 15,2% des Montréalais sont âgés de 65 ans et plus. D'ici 2026, cette proportion grimpera à un Montréalais sur cinq. Sans faire de bruit, la Ville a commencé un projet-pilote, rue Sherbrooke, pour créer des « plaques odonymiques » beaucoup plus grandes et aux couleurs vives. Pour que les jeunes et moins jeunes puissent les lire plus facilement. Pas moins de cinq plaques indiquent l'intersection des rues Sherbrooke et Cuvillier, dans Hochelaga-Maisonneuve. Une rouge, une bleue, une grise et deux blanches. Une de ces plaques mesure 200 mm par 750 mm — le format habituel — tandis que les autres, de plus grand format, font 300 mm par 1200 mm. « Entre vous et moi, il n'est pas toujours facile de trouver les noms de rue à Montréal. Nous tentons de déterminer un format, un type de lettrage et une couleur qui les rendront plus lisibles », explique Guy Pellerin, ingénieur en circulation et chef de division à la direction des transports de la Ville. Guy Pellerin et son équipe cherchent aussi à déterminer la hauteur optimale pour suspendre les plaques — environ 4,3 mètres pour une artère comme la rue Sherbrooke, comparés à 3 mètres et moins pour les petites rues. Les plaques doivent être visibles, mais pas trop: il faut aussi voir les feux de circulation, le mobilier urbain, les commerces, les arbres... Les tests, qui ont commencé en novembre dernier, se poursuivront encore plusieurs semaines, à d'autres intersections. Si tout va comme prévu, les plaques odonymiques « améliorées » s'intégreront au tronçon de 2 km de la rue Sherbrooke qui s'étire entre le boulevard Pie-IX et la rue Frontenac, qui sera entièrement reconstruit d'ici deux ans. Passages pour piétons D'autres mesures pour aider les personnes âgées sont en préparation. La Ville envisage d'allonger le temps de traversée pour les piétons à 1200 intersections, d'ici l'an prochain. Davantage de compteurs numériques seront installés pour indiquer le temps restant de traversée. La Ville compte aussi s'assurer qu'une zone de 5 mètres sera dégagée aux intersections, pour rendre la traversée des piétons plus sécuritaire.
  3. Du Constructeur de Carré SoHo Condo Le VIC Nouveau projet de condos 24 unités sur 3 étages 100% béton http://www.condovic.com/ 11873 Rue Victoria, Pointe-aux-Trembles, QC H1B 2P9
  4. RDP-PAT veut une rue Sherbrooke Est «digne d’une métropole» Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles (RDP-PAT) s’est doté d’un plan d’urbanisme afin de donner une vision d’avenir pour la rue Sherbrooke, artère que l’arrondissement veut plus verte, moderne et urbaine. Le plan de développement urbain, économique et social (PDUES) adopté lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement établit les lignes directrices de l’aménagement du territoire aux abords de la rue Sherbrooke. Selon Yann Lessnick, conseiller en planification à la direction du développement du territoire, l’arrondissement misera sur le développement résidentiel et commercial lors de l’élaboration d’éventuels projets dans cette artère du quartier. «Nous voulons que la rue Sherbrooke devienne un corridor urbain contemporain digne d’une ville comme Montréal, dit-il. Nous voulons que les citoyens sentent déjà, lorsqu’ils arrivent de Repentigny par la rue Sherbrooke, qu’on arrive dans une métropole.» Des efforts seront donc consacrés afin de mettre en valeur la portion de rue entre le carrefour giratoire à l’extrémité est de la rue Sherbrooke et la gare de Pointe-aux-Trembles à la hauteur de la 57e Avenue, tronçon où circulent quotidiennement 24 000 véhicules. Une meilleure image Les promoteurs qui souhaitent développer des projets dans le secteur devront se plier à certaines normes établies par l’arrondissement. «Nous souhaitons avoir un cadre bâti particulier à l’entrée de la ville. Travailler avec des matériaux nobles, avoir une architecture relevée qui sera durable, mais qui offrira une conception visuelle intéressante afin de bonifier l’image de cette partie de la rue», indique M. Lessnick. Les espaces verts qui longent la rue Sherbrooke, dont le Parc de la Coulée Grou et le Parc-nature de la Pointe-aux-Prairies seront également mis en valeur. «L’arrondissement est vu comme un lieu urbain dans un milieu naturel, c’est une image que nous aimons et que nous voulons conserver», souligne le conseiller en planification. Commerces et résidences Rappelons que ce plan a été adopté à la suite de plusieurs consultations auprès des citoyens et organismes du secteur. «Les gens veulent avoir des commerces de proximité. Des restaurants, des lieux pour se réunir, des petites boutiques spécialisées, et c’est sur ça que nous allons mettre l’accent dans ce plan.» Plusieurs intersections pourraient devenir de nouveaux pôles commerciaux, notamment le coin des rues de la Rousselière et de la Famille Dubreuil. «Cette partie de la rue Sherbrooke est considérée comme un désert alimentaire. Il est difficile de se procurer des aliments frais, alors nous allons essayer de trouver une façon de changer cette situation, signale M. Lessnick. Nous voulons offrir des services complémentaires afin que les gens ne soient pas obligés de se déplacer à Anjou ou Repentigny afin de se procurer certains produits.» Finalement, on indique qu’en ce qui concerne le développement résidentiel, l’arrondissement favorisera une densification du secteur. «On parle de projets de six étages et plus. Les gens sont tout à fait d’accord avec cette approche et nous pensons que c’est également une façon de moderniser cette artère», conclut le conseiller. Selon l’arrondissement, près de 35 hectares de terrains vacants sont disponibles pour le développement résidentiel et commercial dans ce secteur du quartier. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/915674/rdp-pat-veut-une-rue-sherbrooke-est-digne-dune-metropole/
  5. Il semble que le Devoir va quitter l'édifice Caron dans LaPresse : Publié le 10 février 2016 à 08h37 | Mis à jour à 08h37 Le Devoir prévoit déménager à l'automne Le quotidien Le Devoir envisagerait de déménager dans l'édifice Archambault, rue Sainte-Catherine, selon ce qu'a appris notre journaliste. PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE Jean Siag La Presse Le Devoir quittera ses locaux du 2050, rue De Bleury l'automne prochain, selon ce qu'a appris La Presse. Le quotidien montréalais, qui occupait le 9e étage du bâtiment depuis le mois de novembre 1992, s'installerait dans l'édifice Archambault, rue Sainte-Catherine, près du métro Berri-UQAM. Selon nos informations, les locaux actuels étaient devenus trop vastes pour les besoins du journal et le coût du loyer, trop élevé. Le déménagement s'inscrirait ainsi dans une volonté de saine gestion de l'entreprise de presse. Le nouveau directeur du Devoir, Brian Myles, officiellement en poste depuis lundi, a refusé de commenter la nouvelle, même si le projet de déménagement du quotidien a été communiqué aux employés récemment. «La possibilité d'un déménagement des locaux du Devoir est évoquée assez ouvertement par la direction depuis plus d'un an», affirme Guillaume Bourgault-Côté, président du Syndicat de la rédaction du Devoir et journaliste politique. Dans un texte publié en septembre 2014, l'ancien directeur du Devoir Bernard Descôteaux - qui a quitté son poste officiellement vendredi dernier - avait indiqué sa volonté de «réduire les dépenses d'exploitation» du quotidien dans le cadre de son plan de redressement budgétaire. M. Bourgault-Côté n'a pas voulu confirmer l'emplacement du nouveau lieu avant que la direction ne le fasse elle-même, mais a affirmé avoir reçu l'assurance que le lieu serait toujours «très central et parfaitement adapté à [leurs] besoins». C'est donc une page d'histoire que s'apprête à tourner Le Devoir, qui aura passé 24 ans dans ce qui est devenu le Quartier des spectacles. On se souvient qu'avant de s'installer rue De Bleury, le quotidien se trouvait au 211, rue Saint-Sacrement, dans le Vieux-Montréal.
  6. http://ici.radio-canada.ca/regions/montreal/2016/02/08/001-accidents-pietons-montreal-carte.shtml Où sont les endroits les plus dangereux pour les piétons à Montréal? Mise à jour le lundi 8 février 2016 à 6 h 40 HNE Déjà quatre piétons sont morts depuis le début de l'année à Montréal et plusieurs voix s'élèvent pour demander des aménagements plus sécuritaires. Mais quels sont les endroits les plus dangereux pour les piétons à Montréal? Radio-Canada a analysé près de 4700 accidents survenus entre 2011 et 2014. Voici ce que nous avons découvert. Un texte d'Anne-Marie Provost, de Grand Montréal TwitterCourriel Au total, 4825 piétons ont été blessés pendant cette période, selon les données compilées par la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) à partir de rapports du Service de police de Montréal (SPVM). Si la majorité d'entre eux (90 %) ont subi des blessures légères, 59 sont décédés des suites de l'accident. Notre carte montre la répartition de tous les accidents impliquant des piétons et des véhicules entre 2011 et 2014. Par souci de lisibité, les intersections où se sont produits trois accidents et moins ne sont pas affichées. Pour regarder la carte sur votre appareil mobile, cliquez ici. Le centre-ville : densité égale danger! À cause de sa grande densité, le centre-ville est une des zones où les collisions entre marcheurs et véhicules se produisent le plus fréquemment. Le secteur de l'Université Concordia est particulièrement dangereux. Un total de 21 accidents en quatre ans sont survenus sur la rue Guy, entre les boulevards René-Lévesque et Maisonneuve. Radio-Canada s'est déplacée au coin des rues Guy et Sainte-Catherine avec Marie-Soleil Cloutier, professeure au Centre urbanisation culture société de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), pour en comprendre les causes. « C'est une intersection très achalandée, à la fois avec des piétons et des automobilistes, entre autres à cause de la rue Sainte-Catherine et de l'Université Concordia. La rue Guy est aussi très large et à double-sens », explique la spécialiste en sécurité routière. Plusieurs accidents ont eu lieu à l'intersection des rues Guy et Sainte-Catherine entre 2011 et 2014.Plusieurs accidents ont eu lieu à l'intersection des rues Guy et Sainte-Catherine entre 2011 et 2014. Photo : Radio-Canada Marie-Soleil Cloutier souligne que le rétrécissement de la chaussée est une méthode efficace pour réduire les accidents et que plusieurs solutions existent pour rendre le partage de la route entre piétons et automobiles moins dangereux. Prévu par la Ville de Montréal dans les prochaines années, le réaménagement de la rue Sainte-Catherine, entre les rues De Bleury et Atwater, pourrait contribuer à sécuriser les lieux, selon la spécialiste. La Sainte-Catherine comporte en effet son lot d'accidents, tout comme le boulevard René-Lévesque, où on recense quatre piétons grièvement blessés sur les onze touchés à l'intersection de la rue Guy. Les intersections les plus à risque à Montréal : Beaubien et Pie-IX Henri-Bourassa et Lacordaire Saint-Denis et René-Lévesque Boulevard Robert et Viau Sherbrooke Est et rue du Trianon Saint-Denis et Mont-Royal Les voies de transit : la vitesse souvent en cause Des artères plus éloignées du centre-ville sont le théâtre d'un grand nombre d'accidents, et ce, même si les piétons y sont moins nombreux. L'intersection du boulevard Pie-IX et de la rue Beaubien est parmi celles où il y a eu le plus de collisions, selon notre compilation. La largeur des voies et la circulation à double-sens sont encore une fois ici en cause, mais aussi le nombre élevé de véhicules et leur vitesse. « Pie-IX est une voie de transit, ce n'est pas seulement de la circulation locale. C'est des gens qui partent du nord et vont plus au sud et la configuration leur permet d'aller vite », explique Marie-Soleil Cloutier. La même situation prévaut pour plusieurs autres artères que les automobilistes empruntent pour traverser l'île. L'emplacement des arrêts d'autobus aux quatre coins de rue de l'intersection Pie-IX et Beaubien peut aussi favoriser les accidents. « La présence de transport en commun n'est pas un problème en soi, mais ça va créer un afflux de piétons », affirme la spécialiste. Le coin du boulevard Pie-IX et de la rue Beaubien est un des plus dangereux de Montréal pour les piétons.Le coin du boulevard Pie-IX et de la rue Beaubien est un des plus dangereux de Montréal pour les piétons. Photo : Radio-Canada La présence d'une résidence pour aînés au coin de Pie-IX et Beaubien peut expliquer le nombre élevé d'accidents dans ce secteur, indique la professeure. « Les personnes âgées ont une vitesse plus lente, souvent les feux piétons ne vont pas être assez longs pour eux. » Marie-Soleil Cloutier précise qu'il s'agit d'une population particulièrement à risque et souvent victime de collisions. Les artères les plus à risque à Montréal : Boulevard Saint-Michel L'avenue Papineau Le boulevard Pie-IX Rue Sherbrooke Rue Sainte-Catherine Boulevard René-Lévesque Plus d'accidents en hiver et en fin d'après-midi Selon les données de la SAAQ, près du tiers des piétons blessés l'ont été pendant l'heure de pointe du soir entre 15 h et 18 h. Leur nombre est aussi plus élevé vers la fin de la semaine de travail, avec une pointe de 1728 piétons blessés les jeudi et vendredi contre 910 le week-end. L'analyse des chiffres par mois révèle de son côté que l'automne et le début de l'hiver sont plus propices aux accidents. Plus de 2000 pitéons (43 %) ont été victime d'un accident entre d'octobre à janvier. Les collisions en baisse depuis 2011 Si plusieurs endroits à Montréal sont problématiques, le nombre d'accidents impliquant des piétons a malgré tout chuté de 20 % entre 2011 et 2014. Aref Salem, responsable des transports pour l'administration Coderre, explique que la Ville vise une réduction de 40 % des accidents impliquant des piétons entre 2008 et 2017 et assure que Montréal agit. « Il y a beaucoup d'interventions qui se font au niveau des saillies de trottoir et de la réduction de vitesse. À la Ville, nous avons abaissé la vitesse de 50 à 40 kilomètres/heure. Il y a aussi les quartiers verts », énumère-t-il. Parmi d'autres projets qui ont été réalisés, la Ville veut notamment sécuriser le secteur des boulevards Gouin et Laurentien. Six voies de circulation seront réduites à deux. Il y aura élargissement de trottoirs et installation de feux piétons. Aref Salem ajoute que les activités de sensibilisation et les interventions des 133 policiers du SPVM dédiés à la sécurité routière contribuent à changer le comportement des vélos, piétons et automobilistes. Mais selon Marie-Soleil Cloutier, le travail s'est surtout fait au niveau des arrondissements, donc plus sur des rues locales que sur des artères. « La gouvernance de Montréal fait que beaucoup de choses se font sur les rues locales, mais il y a peu de choses qui se font sur les artères présentement. Ça coûte de l'argent, mais c'est clair que Montréal n'est pas un leader jusqu'ici », soutient-elle, sans pour autant dire que Montréal est un cancre. Elle cite en exemple les travaux récents sur la rue Laurier dans le Plateau-Mont-Royal et Rosemont-La Petite-Patrie, qui s'est dotée d'une politique pour sécuriser les abords des écoles. Le cas particulier de l'aéoroport Plusieurs remarqueront les 26 accidents que l'on recense à l'aéroport Pierre-Elliot-Trudeau. Ce résultat est toutefois à prendre avec des pincettes. Différents spécialistes interrogés soulignent que dans les grands espaces comme un aéroport, les policiers ont tendance à toujours mettre la même adresse dans leur rapport, ce qui vient fausser les données. En collaboration avec Florent Daudens sent via Tapatalk
  7. Héritage Montréal dénonce la construction de passerelles aériennes entre de nouveaux édifices du centre-ville. L'organisme estime que cela va à l'encontre des politiques de la ville qui ont plutôt favorisé par le passé le développement du Montréal sous terrain. Un reportage de René Saint-Louis La construction de passerelles est interdite à Montréal en vertu de l'article 353 du règlement d'urbanisme. Mais, exceptionnellement, les élus peuvent les autoriser selon des règles précises (voir en fin d'article). Par exemple, elles ne doivent pas être attenantes à un bâtiment patrimonial. La décision des élus de l'arrondissement Ville-Marie d'autoriser la construction d'une passerelle à proximité de la Gare Windsor, édifice classé, déplaît donc à Héritage Montréal. « Il y a une question de qualité d'aménagement, parce que des passerelles au-dessus des rues, c'est vraiment une chose qui est contraire au modèle montréalais d'aménagement, soutient le porte-parole de l'organisme, Dinu Bumbaru. On a développé la ville souterraine à Montréal. » « On va créer des précédents et finir comme les villes de l'Ouest (Saint Paul au Minnesota ou l'Alberta) où les centres-villes sont encombrés de passerelles qui empêchent le ciel d'être public finalement. C'est un très mauvais précédent qui n'est pas recevable. » — Le porte-parole d'Héritage Montréal, Dinu Bumbaru Cette passerelle qui enjambera la rue Saint-Antoine reliera une tour résidentielle de 37 étages, la Tour des Canadiens 2, au centre Bell. Ces dernières années, des dérogations ont aussi été accordées pour construire des passerelles au nouveau Centre hospitalier de l'Université de Montréal, à l'École de Technologie supérieure, et à la Caisse de dépôt et placement du Québec. Le professeur à l'école d'urbanisme de l'Université de Montréal, Gérard Beaudet, s'inquiète de cette tendance. « On ne semble pas avoir une vision globale, dit-il. Pour l'instant, les choses se font à la pièce. Quand on regarde l'expérience de certaines villes de l'Ouest canadien et de plusieurs villes des États-Unis, on peut penser que ce n'est pas le meilleur choix d'un point de l'urbanisme. On a l'impression actuellement que ce sont les promoteurs qui sont aux commandes et que la ville improvise. » Il s'inquiète aussi du milieu de vie pour les piétons dans ce secteur du centre-ville en plein développement. « Il ne faut pas justifier des passerelles parce que le quartier n'est pas fréquentable pour les piétons à l'heure actuelle », souligne-t-il. L'Office de consultation publique de Montréal et le Conseil du patrimoine de la ville et le Comité Jacques-Viger s'opposent aussi à la construction de passerelles aériennes. Critères pour permettre une dérogation et autoriser la construction d'une passerelle : Une passerelle devra relier deux bâtiments d'un ensemble détenu par un même propriétaire; La portion de rue où se trouve la passerelle ne devra pas présenter de perspectives visuelles intéressantes vers un repère bâti ou naturel important, tels le massif du centre-ville, le Mont-Royal ou un bâtiment d'intérêt patrimonial. La perspective devra idéalement présenter un champ visuel fermé; Interdire la construction d'une passerelle sur les axes structurants jouant un rôle dans la perception de Montréal et offrant notamment des vues sur les grandes composantes de son paysage urbain (rues d'ambiance, rues commerciales, axes commémoratifs et historiques, liens stratégiques à valoriser, grands axes et parcours d'accès au Centre), par exemple la rue Notre-Dame Ouest et la rue Peel. Exigences : Une passerelle ne devra pas être attenante à un bâtiment identifié comme ayant un intérêt patrimonial ou architectural; Une passerelle devra uniquement être localisée aux étages supérieurs d'un bâtiment à partir du 3e étage. Ceci permettra de limiter les impacts sur le paysage urbain des rues, ainsi que de maximiser les conditions d'ensoleillement du domaine public; Une passerelle devra avoir une hauteur limitée à un maximum correspondant à la hauteur de l'étage desservi (maximum un étage); La partie du rez-de-chaussée d'un bâtiment qui est localisée sous une passerelle devra comporter des activités génératrices d'animation. http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/01/27/pour-ou-contre-la-construction-de-passerelles-a-montreal_n_9087188.html
  8. Appel d'offres pour la démolition du 1885-1895 rue Villeray : https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=34a37b45-afa3-446f-be48-787800169c00&SubCategoryCode=C03&callingPage=4&ColumnAction=1&searchId=a853c015-7cf5-4074-a4bc-08fa6a5209c3&VPos=227 [sTREETVIEW]https://www.google.com/maps/embed?pb=!1m0!3m2!1sfr!2sca!4v1452868284987!6m8!1m7!1siteKHG5xOYGH3ToEraVniw!2m2!1d45.5519069!2d-73.6138088!3f321!4f0!5f0.7820865974627469[/sTREETVIEW] Bonne nouvelle.
  9. J'avoue ne pas trop comprendre ce projet. Le 2250 Sherbrooke Est est désigné immeuble patrimonial de valeur exceptionnelle http://patrimoine.ville.montreal.qc.ca/inventaire/fiche_bat.php?arrondissement=0&batiment=oui&lignes=2&id_bat=9943-94-3058-01&debut=482 mais la résolution vise : à suivre...
  10. Publié le 02 juillet 2014 à 07h28 | Mis à jour le 02 juillet 2014 à 07h28 Turcot: «Je perds 16 ans de ma vie», déplore un locataire expulsé http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201407/02/01-4780349-turcot-je-perds-16-ans-de-ma-vie-deplore-un-locataire-expulse.php Hugo Pilon-Larose La Presse Les résidants du 780, rue Saint-Rémi, dans le quartier Saint-Henri de l'arrondissement Le Sud-Ouest, à Montréal, ont fait leurs derniers adieux à leurs appartements, hier. Après des années de batailles et de négociations, le grand chantier du nouvel échangeur Turcot aura finalement eu raison d'eux. Depuis bientôt sept ans, les locataires de ces lofts tentaient de sauver l'immeuble qui, selon les plans du ministère des Transports du Québec (MTQ), doit être démoli pour céder la place à l'échangeur, ramené au niveau du sol. En vain. Depuis l'immense stationnement déserté, hier après-midi, l'imposant édifice revêtu de briques rouges semblait déjà vide. Seul entre les cônes orange et les bretelles de l'autoroute 720. Abandonné par la centaine de locataires qui se sont pourtant battus pour sa survie. Au deuxième étage, auquel on accède par une cage d'escalier bétonnée sans couleur ni décoration, la lumière du jour s'infiltrait dans le corridor par la porte ouverte d'un logement. La pièce était vide, sans aucune trace de la vie qui devait y régner jusqu'à tout récemment. Puis, apercevant La Presse, Andrew Kolakowski s'est présenté, visiblement ému de quitter l'endroit. «On avait tout pour nous ici. L'accès à l'autoroute était facile, nous avions accès à un grand jardin et, surtout, le loyer était abordable. Pour près de 500$, tout compris, on pouvait vivre en paix», a-t-il dit d'une voix trahissant son découragement et sa colère. En ce 1er juillet, festival des déménagements dans la métropole, l'homme d'origine polonaise a quitté ses quartiers contre son gré. Son nouvel appartement, qui est situé tout près d'une station de métro, se console-t-il, lui coûtera 900$ par mois. Une hausse soudaine du coût de la vie avec laquelle il doit composer. Un peu plus loin dans le long corridor sans fenêtres de l'immeuble construit en 1922 (il abritait à l'époque les quartiers généraux de l'Imperial Tobacco Company of Canada), une deuxième porte s'est ouverte. La lumière chaude du soleil de juillet frappait de plein fouet les fenêtres hautes de 15 pieds de ce loft entièrement aménagé. Le locataire, qui terminait de réunir ses affaires personnelles, a expliqué l'hostilité implacable qu'il vouait envers le MTQ. «Tout ce que tu vois ici, c'est moi qui l'ai construit. En quittant mon loft, je perds 16 ans de ma vie. J'aimerais bien être dédommagé, mais on ne nous offre presque rien. Le gouvernement a été présent juste pour fuck up our life», a dit Tasso Klavdianos, contenant difficilement sa colère. Promesse de nouveaux lofts Amers, les résidants quittent des lofts dont certains offrent une vue imprenable sur le centre-ville de Montréal. Mais un projet se prépare, a expliqué le plus ancien des locataires de l'immeuble, Michel Charbonneau, rencontré dans son logement au troisième étage. «La bataille a été tellement longue. On nous disait parfois qu'on pouvait garder nos logements, puis le Ministère changeait d'idée. On a finalement reçu la lettre finale d'éviction en avril dernier. Maintenant, on sait qu'un projet se prépare pour qu'on puisse être relogés dans quelques années dans des locaux sur la rue Ottawa. On ose y croire», a expliqué celui qui a longtemps été concierge au 780, rue Saint-Rémi. Le projet en question, piloté par l'entreprise d'économie sociale Bâtir son quartier, vise à offrir aux locataires évincés un loft dans un nouvel aménagement préparé sur le site de l'ancien centre de tri postal à l'angle des rues Guy et Ottawa, toujours dans Saint-Henri. «Ça fait huit ans qu'on nous promet d'être relogés, mais ça n'arrive jamais. Il faut aussi considérer le coût d'un déménagement. Ce n'est pas donné», a dit Lorraine Élément, conjointe de M. Charbonneau. Le couple, ensemble depuis 22 ans, a vécu plus de 16 ans dans ce loft qu'il quitte à contrecoeur. Assis autour de la table de cuisine, le seul meuble toujours présent pour occuper le premier étage de leur loft avec mezzanine, les deux amoureux ont profité d'une pause dîner pour se remémorer de bons souvenirs. «Quand tu t'assoyais sur le sofa, là-bas, près des fenêtres, les grandes feuilles de la plante cascadaient au-dessus de ta tête. C'était comme écouter la télévision dans la jungle», s'est rappelé M. Charbonneau, fier des dizaines de plantes, toutes d'une taille supérieure à un mètre, qui transforment son salon en oasis de fraîcheur. «Mes plantes, sais-tu où elles iront, dans quelques minutes?», a-t-il demandé en fin d'entrevue, sans donner plus de détails. La réponse à sa question se trouvait à la sortie de l'immeuble, placée de façon bien évidente, près du stationnement... Dans le conteneur à déchets.
  11. http://www.nytimes.com/interactive/2015/11/19/travel/what-to-do-in-36-hours-in-montreal.html 36 Hours in Montreal Whether you want to embrace the season on rinks, trails or runs, or dodge the cold and head to the spa, this vibrant city has it all. Winter is right around the corner, and when the going gets cold — like zero-degrees-Fahrenheit cold — Montrealers get resourceful. Some dodge Canadian winter amid the heated vapors of the city’s Nordic spas or the warming drinks of cozy bars. Others embrace it by skiing and skating in public parks, cheering the hometown Canadiens hockey team and ingesting hearty meals in the new wave of forestlike and lodge-inspired restaurants. And still others flamboyantly celebrate the frozen season, reveling at Igloofest (an outdoor electronic-music extravaganza), Montréal en Lumière (a food and entertainment festival) and sugar shacks (forest canteens that sprout during maple-syrup season) amid near-Arctic conditions. Whether you are more interested in creative cocooning or winter worship, Quebec’s biggest city offers manifold amusements for the province’s defining season. Outerwear recommended. Friday 1. *Ready, Set, Snow, 5 p.m. Skate, ski or sled into winter at Parc du Mont-Royal. (The mountain it partly occupies is said to have provided Montreal’s name.) The sprawling hilltop park is the center of activities involving snow and ice. From December to March, Le Pavillon du Lac aux Castors rents skates (9 Canadian dollars, or $7 at 1.30 Canadian to the U.S. dollar, for two hours), cross-country skis (12 dollars and up for one hour) and inner tubes (5 to 9 dollars, depending on age, for the day) for the nearby outdoor rinks, trails and runs, some affording lovely city views. 2. *Enchanted Forest, 8 p.m. Reheat in the stylish confines of the new SouBois restaurant and nightclub. The underground space suggests a magical woodlands where avant-garde sculptural trees hover over a dining room of plank floors, shingled walls, raw-wood tables and Scandinavian-style chairs. The chef, Guillaume Daly, conjures magic too, metamorphosing rustic Canadian ingredients into innovative treats. The poutine is a gorgeously gloppy stack of greasy thick fries — piled like logs in a fire, and drenched with velvety warm Cheddar sauce, pungent mushrooms and an unctuous block of foie gras — while veal steak gets a funky crunch from spiced popcorn. For dessert, revisit campfire memories courtesy of deconstructed s’mores, replete with cubed marshmallows, jagged chocolate fragments and crumbled cookies. A three-course dinner for two costs about 110 dollars. Make reservations. 3. Canadian Libations, 10 p.m. The staggering whisky menu at the Burgundy Lion, a lively British-style pub with dark wood surfaces and frosted glass, offers further means to warm up. The more exotic specimens hail from Taiwan, Sweden, France and Switzerland, while Canadian representatives include Wiser’s Red Letter (12 dollars), a mellow elixir with a hint of toasted nut. Down the street, candlelit La Drinkerie Ste. Cunégonde offers several Canadian beers as chasers, including Les Trois Lettres IPA (5.50 dollars), a fragrant, floral brew with hints of clove and nutmeg. Saturday 4. Earth and Sky, 9 a.m. Still chilly? Eternal summer awaits inside the humid tropical forest of the Biodôme, a glass-roofed nature preserve containing multiple ecosystems. You might glimpse iguanas, frogs, bats, snakes, sloths and other exotic creatures as you wend your way among the dense vegetation, streams and stone caverns. The trail then takes you into forest, mountains, Atlantic gulf and subarctic islands (complete with penguins). Next door, the two-year-old Rio Tinto Alcan Planetarium is a postmodern silvery structure shaped like two telescopes pointed at the sky. Within, two domed theaters-in-the-round take you on immersive sensory journeys across the cosmos with shows like “Dark Universe,” about dark matter and energy, and “Aurorae,” about the Northern Lights. Admission to both facilities costs 33.50 dollars. Check the website (espacepourlavie.ca) for the film schedule. 5. *Shack Snack, Noon If you can’t get to a real sugar shack, the “Sugar Shack” sampler (11.95 dollars) at Eggspectation — a vast all-day breakfast and brunch hall on fashionable Rue Laurier Ouest — is a copious, calorie-rich substitute. Typical sugar shack fare, the dish heaps on fluffy scrambled eggs, sliced ham, baked beans, fried potato slices and unfilled sweet crepes along with ample maple syrup. The restaurant’s formidable menu also encompasses everything from lobster macaroni and cheese (18.95 dollars) to around 10 types of eggs Benedict. 6. **Buy Canadian, 1:30 p.m. You’ve probably grown a size since that meal. Conveniently, the boutiques along Rue Laurier Ouest brim with Canadian-made garments to accommodate your expanded frame. Chic insulation abounds at La Canadienne, where ladies can score weather-treated knee-high suede boots (450 dollars), a long quilted silvery jacket with a fur-lined hood (1,125 dollars) and much besides. Cool, straightforward, solid-colored garments to wear underneath can be found in the eponymous boutique of the veteran Montreal designer François Beauregard, including stretchy jersey T-shirts in autumnal colors (50 dollars) and dark blue 1940s-style trench coat dresses (189 dollars). Strut the ensemble to Juliette & Chocolat, a cafe serving some 20 types of hot chocolate, complete with tasting notes (6.75 to 8.50 dollars, generally). 7. **Chromatherapy, 3 p.m. With its colorful collections of art and antiquities, the Musée des Beaux Arts de Montreal illuminates even the grayest Montreal days, notably in the ground-floor galleries of 19th- and 20th-century painting. Mediterranean sun, sea and palms radiate from Matisse’s “Seated Woman, Back Turned to the Open Window,” a 1922 canvas set in the French Riviera city of Nice. Almost adjacent, the disassembled, fractured and explicitly naked couple in Picasso’s erotic “Embrace” (1971) generates a different kind of heat. A kaleidoscopic array of iconic furniture and housewares fills the multilevel design pavilion, from burgundy Arne Jacobsen “Egg” chairs to candy-colored Ettore Sottsass bookshelves to space-age 1970s red televisions from the Victor Company of Japan. A sleek yellow Ski-Doo snowmobile from 1961 begs to be borrowed for a joy ride. Admission: 20 and 12 dollars, depending on exhibition. 8. **North Stars, 7 p.m. Canadian pride suffuses the friendly, lively new Manitoba restaurant. Animal furs and raw logs decorate the industrial concrete room, and indigenous ingredients from the Great White North fill the chalkboard menus. Among starters, the plump baseball-size dumpling spills out shredded, succulent pork tongue and flank into a tangy broth floating with crunchy daikon for a Canadian-Chinese mash-up. For mains, thick deer steak gets a zesty drench of red wine sauce infused with Labrador tea and crunch from root vegetables like candied carrot and smoked onion. Maple syrup-smoked bone marrow is topped with berries, onion and Japanese mushrooms for a sublime hunter-gatherer hybrid. A three-course meal for two is about 100 dollars. 9. *Liquor Laboratory, 10 p.m. Tucked across from Parc La Fontaine (a favorite ice-skating spot), Lab is a dimly lighted speakeasy of brick and dark wood where the mad mixologist Fabien Maillard and fellow “labtenders” ceaselessly research new cures for your sobriety. Who else could invent the Jerky Lab Jack (14 dollars), a concoction of Jack Daniels whisky, Curaçao, cane sugar and bitters flavored with barbecue sauce? It’s a gulp of the American south, flamed with a blowtorch and delivered under a miniature clothesline hung with beef jerky. Continuing toward the Equator, Caribbean flavors infuse the dozens of specialty rums (from Cuba, Jamaica, Trinidad, Grenada and beyond) and cocktails like Bébé Dragon, a blast of Barbados rum, house-made ginger syrup, lemon juice, lemon-lime soda, mango and basil (14 dollars). Reserve spots online. Sunday 10. Vintage Voyage, 10 a.m. Finally: a place stocking those stag heads, Lego figurines, cowboy paintings, flapper hats, snow shoes, lace doilies and neon signs you’ve had trouble finding. Near the last stop of the Metro’s blue line, Marché aux Puces Saint Michel is a vintage shopper’s Shangri-La. The sprawling, dusty, musty two-level labyrinth-like flea market holds hundreds of stalls selling the contents of seemingly every Canadian attic and basement. Kiosk 216 has an impeccable collection of vinyl LPs from the “Valley of the Dolls” soundtrack to Serge Gainsbourg’s “Grandes Chansons de Gainsbourg,” while Artiques (kiosk 219; 514-898-2536) sells well-maintained pinball machines, jukeboxes, pipe organs and radios. For gents needing winterwear, La Garette d’Anna (kiosk 358; facebook.com/LaGaretteDAnna) sports an extensive collection of bomber jackets, capes, police caps and pith helmets. Haggle. 11. Ship Shape, 1 p.m. Norway, Sweden and Finland have mastered the art of stylishly dealing with cold weather, and Montreal has paid homage to these experts with numerous Nordic-themed spas around town. The most innovative is Bota Bota, a former ferryboat that was remade in sleek contemporary style and reopened as a wellness facility in the winter of 2010. Spread over five decks, the indoor-outdoor spa offers many massages and facial treatments, but the core experience is the “water circuit” (35 to 70 dollars depending on day and time). Sweat out the weekend’s toxins in a Finnish sauna or hammam; plunge into one of the cold pools; and finally chill out in one of the relaxation areas or the restaurant. The 678 portholes and numerous wall-size glass panels afford superb views of the city skyline, though the best vantage point is the external heated whirlpool bath. There might be no warmer spot amid wintry Montreal. Lodging With 131 suites, downtown’s Hotel Le Crystal (1100, rue de la Montagne, 514-861-5550) offers anti-winter pampering perks like an indoor saltwater pool and an outdoor year-round rooftop hot tub, both with city views. Some executive suites and penthouses have operational fireplaces. Double rooms from 199 Canadian dollars. Situated in the hip Plateau neighborhood, the 21-room Auberge de la Fontaine (1301, rue Rachel Est, 514-597-0166) lies across the street from leafy Parc La Fontaine — home to an outdoor skating rink — and down the street from Lab cocktail bar. Certain rooms have whirlpool baths. Doubles from 122 Canadian dollars.
  12. 2015-11-18 L'égali-Terre (coopérative d'habitation) 5360, 5370 et 5380, rue Rivard Année d'occupation avril 2016 24 unités Utopie-Créatrice (OSBL en habitation) 5350, rue Rivard 8 lgoements Projet pour personnes ayant une déficience intellectuelle http://www.atelierhabitationmontreal.org/projets_en_cours rue St-Denis
  13. J'ai été très surpris en voyant l'avis de démolition sur ce rare bâtiment en triangle de Montréal. Heureusement, on reconstruira un nouveau bâtiment pratiquement identique, plus durable et respectant les normes du bâtiment actuel. Fioooouuu! http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_PMR_FR/MEDIA/DOCUMENTS/351_361_GILFORD.PDF [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/maps?q=351+Gilford+St,+Montr%C3%A9al,+QC&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.524108,-73.585197&spn=0.003289,0.004823&sll=45.524127,-73.585228&layer=c&cbp=13,320.84,,0,2.6&cbll=45.524108,-73.585197&gl=ca&hnear=351+Gilford+St,+Montreal,+Quebec+H2T+1M6&t=h&z=18&panoid=ylerpZwmMR6rfKuSGKHEoA[/sTREETVIEW]
  14. Je n'arrive pas à situer exactement ou se trouvera ce nouveau projet mais il me semble que ce sera sur la rue Beaubien (évidemment), quelque part entre St-Laurent et la rue Durocher donc est-ce qu'on est dans la Petite-Italie ou plutôt Petite-Patrie ou peut-être dans le nouveau Mile Ex. Peu importe, je le trouve très bien ce petit projet. http://www.grouperossi.ca/56-condo-le-coin-beaubien.html
  15. Ce projet est situé dans le quartier Mercier-Ouest au 5655 rue Pierre-de-Coubertin, Montréal. Photos : Construction Vergo
  16. Adopter une résolution autorisant la démolition du bâtiment existant situé aux 2148-2150, rue de la Montagne ainsi que la construction d'un bâtiment commercial sur le lot 1 341 026, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble Une demande de projet particulier a été déposée le 6 mai 2015 afin d’évaluer la démolition du bâtiment existant ainsi que des dérogations relatives à la hauteur minimale prescrite, à la superficie maximale du commerce et à l’unité de chargement dans le cadre de la construction d’un édifice commercial bordant la rue de la Montagne. Cette demande peut être effectuée en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (CA-24-011). DÉCISION(S) ANTÉRIEURE(S) n/a DESCRIPTION Description du site La propriété est située dans l’ouest de l’arrondissement dans le secteur animé de Bishop/Crescent entre la rue Sherbrooke et le boulevard De Maisonneuve. L’emplacement, d’une superficie de 267 m², est actuellement occupé par un bâtiment de 3 étages plus soussol construit en contiguïté avec les 2 bâtiments voisins. Ledit bâtiment a été construit vers 1866 et a été agrandi en 1969 dans la cour avant jusqu'à la limite d’emprise de la rue de la Montagne. Cet agrandissement est venu masquer et/ou enlever la plupart des caractéristiques architecturales d’origine. Le bâtiment est actuellement vacant. Il comportait un restaurant au rez-de-chaussée, une boutique de chaussures au sous-sol et 3 logements aux étages supérieurs. Selon une inspection de juin 2013, les logements sont vacants depuis cette date. Enfin, une ruelle publique donne accès à l’arrière de la propriété. Le programme Le requérant désire démolir le bâtiment existant et le remplacer par un nouveau bâtiment commercial. Tous les planchers, la toiture ainsi que le 3e étage (avec toit mansard) seraient démolis. Seul les fondations et une partie du mur arrière seraient conservées. Le nouveau bâtiment aurait 2 étages plus sous-sol et 11,79 mètres de hauteur, donc moins haut, en mètres, que le bâtiment existant. L’ensemble du bâtiment serait occupé par une boutique de vêtements de 520 m2. Au niveau stationnement, il y aurait 1 unité pour auto et 5 unités pour vélo situées à l’extérieur dans la cour arrière. L’accès à ces stationnements se ferait par la ruelle publique à l’arrière. Enfin, il n’y aurait aucune unité de chargement et les livraisons se feraient par cette même ruelle. sent via Tapatalk
  17. nouvel emplacement pour la caisse pop de Lasalle, l'Ancien édifice en question étais en vente il y quelques mois pour 3m, il a été agrandit, ils sont maintenant rendu au briquelage. Il sera sur le boulevard Newman, beaucoup mieux placé que sur la rue Dollard. http://www.messagerlasalle.com/Actualites/Vos-nouvelles/2012-11-26/article-3127769/Le-siege-social-de-Desjardins-sur-lavenue-Dollard-demenagera/1
  18. http://www.spimmobilier.com/avenir.html LES TERRASSES OTWAY Réalisées par SP Immobilier, concepteur du projet Les terrasses Cherrier et Les terrasses Chambord dont le développement est synonyme de bon goût, d’'originalité et de qualité. Les terrasses Otway sauront vous séduire par son style moderne et ses matériaux haut de gamme. Situés en plein coeur du Mile End à deux pas de la rue Bernard et la rue Laurier ces condos de prestige vous offriront les attraits et le charme de Montréal.
  19. Nom: Le Berger Hauteur en étages: 5 Hauteur en mètres: 18 Coût du projet: 4,5 millions Promoteur: Un Toit en Ville / Groupe CDH Architecte: Douglas Alford Architecte Entrepreneur général: Construction Bâtiment Québec Emplacement: Rue Berger/ de Bullion Début de construction: Avril 2014 Fin de construction: Autres informations: Accréditation Novoclimat visée Aperçu artistique du projet: À venir Cela fait un moment que je suis au courant de la préparation de ce petit projet de logement social. J'ai attendu avec impatience le lancement des appels d'offres publiques pour vous en faire part. Il s'agit d'un édifice de 22 logements à structure de béton qui accueillera une clientèle d'anciens sans-abris en réinsertion social avec le support de l'organisme Un toit en ville. Le bâtiment sera sur un lot traversant entre les rue Berger et de Bullion, à l'emplacement des jardins communautaires Faubourg Saint-Laurent qui seront relocalisés. Il sera mitoyen aux condos Dell'arte récemment construits. Les revêtements extérieurs seront de la maçonnerie, du parement métallique et du parement de bois. Il y aura aussi deux terrasses au toit et on prévoit y aménagé des bacs de plantation à l'usage des résidents pour compenser la perte du jardins communautaire dans le secteur. Plus de détails à suivre...
  20. La construction du complexe commercial Sortie 28 débutera au printemps Photo Gabrielle Doutre Le maire de Blainville, François Cantin, Gilles Laurence du Groupe Laurence, et Richard Perreault, conseiller municipal du quartier d’Alençon et président de la Commission des finances. Publié le 24 Octobre 2012 Claudine Mainville Investissement de plus de 60 M $ en bordure de l’autoroute 15 à Blainville Sujets : Groupe Laurence , Blainville François Cantin , Carrefour du boulevard Michèle-Bohec , Rue Notre-Dame Le Groupe Laurence a présenté cette semaine le plan de développement du complexe commercial, Sortie 28, qui couvrira le quadrilatère du boulevard Michèle-Bohec, de la rue Notre-Dame et de l’autoroute 15, à l’extrémité nord du territoire de Blainville, un projet nécessitant un investissement de plus de 60 M $ qui débutera au printemps 2013. Déjà, la disparition du boisé et les travaux de remblaiement sur le site avaient soulevé le questionnement des passants et des résidents de Blainville. «Il fallait effectuer ces travaux dès maintenant pour permettre la consolidation du sol, pour que les travaux de construction débutent dès le printemps 2013. Cette période était également préférable afin d’éviter la nidification…», a expliqué le maire de Blainville François Cantin. Le terrain avait été acquis par le Groupe Laurence il y a près de dix-huit mois, au coût de 9.1 millions de dollars. Le promoteur, le Groupe Laurence en collaboration avec Smart Centres, dispose de cinq années pour compléter le projet. Les premiers commerces devraient accueillir le public dès l’automne 2013. La première phase sera réalisée en bordure de l’autoroute, comprenant un bâtiment de 12 113 mètres carrés, soit un commerce de grande surface. Gilles Laurence a refusé de révéler à ce moment-ci, la bannière de ce commerce parce que les négociations seraient encore en cours…«Ce n’est pas encore signé mais ça devrait être complété au cours des prochaines semaines», a affirmé Gilles Laurence. Deux autres bâtiments de 5 300 et 2 090 mètres carrés complèteront la bordure de l’autoroute 15. À l’extrémité nord, longeant la sortie 28, quatre bâtiments sont prévus, dont un édifice de six étages pouvant accueillir un hôtel et des bureaux. Du côté du boulevard Michèle-Bohec, quatre bâtiments seront érigés et deux autres vers la rue Notre-Dame. Le centre du site sera constitué d’une place centrale, avec fontaine, aménagement paysager et mobilier urbain, permettant la circulation piétonne d’un commerce à l’autre, dans les sept bâtiments rassemblés. «Au carrefour du boulevard Michèle-Bohec et de l’autoroute 15, nous allons créer un milieu urbain de prestige, où l’on verra s’établir, sur le même site, des commerces, des restaurants et des services de proximité», a déclaré le président du Groupe Laurence. Le site du projet Sortie 28, du côté est de l’autoroute 15, compte 148 006 mètres carrés, dont 42 349 mètres carrés seront utilisés pour la construction de bâtiments. De l’autre côté de l’autoroute, sur le territoire de Mirabel, sera construit un autre complexe commercial, Factory Outlets, sur le site initialement prévu du Lac-Mirabel http://www.ville.blainville.qc.ca/pdf/CommProjetSortie28_22oct12.pdf
  21. Vanishing Montreal article PDF: ÉNONCÉ D’INTÉRÊT PATRIMONIAL (April 2012) PDF: AVIS DE DEMOLITION (April 2013)
  22. Situé sur la rue des Migrateurs. Le territoire pointillé continue de se développer et depuis que la photo a été prise, il s'est construit une SAQ Dépôt. Photos : Smart Centres Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
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