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  1. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/transports/201011/12/01-4341883-aeroports-de-montreal-8000-emplois-crees-depuis-2005.php
  2. États-Unis 800 millions pour un projet de train à grande vitesse en Floride Agence France-Presse 25/10/2010 22h52 MIAMI - Le gouvernement américain va allouer 800 millions de dollars pour la construction d'une ligne à grande vitesse reliant en train les villes de Tampa et d'Orlando en Floride, ont rapporté lundi des parlementaires de l'Etat et des médias locaux. Avec ces nouveaux fonds, le projet de train à grande vitesse en Floride --le premier aux États-Unis-- s'élève à plus de deux milliards de dollars. «C'est une super nouvelle pour la Floride», a déclaré le sénateur Bill Nelson. «Ce projet va permettre à l'État de garder un train d'avance en matière de train à grande vitesse», a-t-il ajouté. Le Tampa Tribune a rapporté lundi que le secrétaire d'Etat aux transports Ray LaHood avait annoncé aux parlementaires de Floride que 800 millions de dollars seraient alloués à la ligne Tampa-Orlando. Huit millions de dollars vont aussi servir à financer une étude pour une ligne reliant Miami et Orlando, selon le journal. Un porte-parole de la Federal Railroad Administration a refusé de confirmer auprès de l'AFP les chiffres avancés, précisant qu'une annonce sur ce thème serait faite jeudi.
  3. Les arts de la scène ont la cote au Québec Mise à jour le jeudi 14 octobre 2010 à 17 h 13 Les Québécois sont toujours friands de spectacles. En 2009, un nouveau sommet a été atteint avec 17 000 représentations dans la province, en augmentation de 3 % par rapport à 2008, selon les plus récents chiffres publiés par l'Observatoire de la culture et des communications du Québec. Les spectacles au Québec ont attiré 7,4 millions de personnes, soit 6 % de plus qu'en 2008. Ils ont généré des revenus de billetterie de 274,6 millions de dollars, en hausse de 16 % par rapport à l'année précédente. Les 10 spectacles les plus populaires sont des productions québécoises : •Cirque du Soleil - Ovo •Martin Matte - Condamné à l'excellence •André Sauvé - André Sauvé •Louis-José Houde - Suivre la parade •Cavalia - Cavalia •Véronic Dicaire - Véronic Dicaire •Rachid Badouri - Arrête ton cinéma •Cirque du Soleil - Allegria •Céline Dion - Taking Chances •Grande gueules - Complices . Ces 10 spectacles concentrent 18 % de l'assistance et 32 % des revenus de billetterie des spectacles présentés en 2009. Le cirque et l'humour ont la cote La fréquentation des spectacles de cirque et de magie atteint de nouveaux sommets avec une hausse de 58 % de l'assistance et de 244 % des revenus de billetterie par rapport à 2008. Le succès populaire des spectacles d'humour ne se dément pas, avec une croissance de 36 % de l'assistance et de 83 % des revenus de billetterie entre 2007 et 2009. En 2009, l'humour a généré 45,5 millions de dollars de revenus de billetterie grâce à 1,3 million de spectateurs, soit plus que les revenus du théâtre (33,6 millions) et de la danse réunis (8,5 millions). Ces deux catégories d'évènements ont attiré 1,9 million de spectateurs. Après deux ans en baisse, les spectacles de chansons francophones connaissent une croissance de l'assistance de 12 % et une hausse des revenus de billetterie de 26 % par rapport à 2008. Montréal, Québec et les régions Depuis 2006, les spectacles payants tenus dans les régions de Montréal et de la Capitale-Nationale ont connu un taux de croissance annuel moyen de 5 % de l'assistance et de 16 % des revenus de billetterie. Au cours de la même période, les autres régions du Québec ont vu leur assistance diminuer de 3 %, et leur revenu stagner. http://www.radio-canada.ca/nouvelles...chiffres.shtml Bonne Nouvelle pour le Quartier Des Spectacles!
  4. Un nouveau centre mondial d'essais à Mirabel Mise à jour le lundi 4 octobre 2010 à 19 h 00 La compagnie Pratt & Whitney a inauguré lundi son nouveau centre mondial d'essais en vol à l'aéroport de Mirabel. Le fabricant de moteurs concentre ainsi ses activités d'essais qui étaient dispersées entre Longueuil et Plattsburgh, aux États-Unis. Il s'agit de la première phase, dont le coût est de 100 millions de dollars. La facture totale du projet s'élève à 360 millions de dollars. Quand tout sera complété en 2015, Pratt & Whitney prévoit l'emploi de 300 personnes sur le site, dont plusieurs ingénieurs spécialisés. Selon l'entreprise, Mirabel deviendra ainsi un des centres d'essais en vol les plus modernes au monde. Le centre aéronautique de Mirabel servira aux essais en vol de toute la gamme de moteurs de Pratt & Whitney. Il abrite deux avions Boeing 747 transformés en bancs d'essai volants pour simuler toutes les conditions de vol possibles et enregistrer des données sur les moteurs. La deuxième phase du projet sera terminée l'an prochain. L'usine en construction abritera les opérations de montage et d'essai de deux nouvelles familles de moteurs de Pratt & Whitney, les PW1000, qui serviront au CSeries de Bombardier, et les PW800, qui serviront notamment aux gros jets d'affaires, censés être assemblés dans une usine près du site, dont la construction est déjà commencée. « Cette technologie n'existe pas ailleurs dans le monde. Nous sommes très fiers de pouvoir faire ça ici. On pourra valider les moteurs pour les générations à venir », affirme John Saabas, président de Pratt & Whitney Canada. Cet investissement découle en partie de l'achat des C-17, les avions de transport militaires du gouvernement fédéral. Cet investissement de 360 millions de dollars est lié aux retombées industrielles régionales que Pratt & Whitney doit verser. Les responsables de l'aéroport de Mirabel espèrent aussi que ces installations auront un effet d'entraînement pour que d'autres constructeurs viennent s'établir sur le site http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2010/10/04/017-pratt-mirabel-investissement.shtml
  5. Toronto rafle le paquet… pour Montréal des miettes Serge Joyal, sénateur Où en sommes-nous un an plus tard dans la course au leadership culturel dans laquelle sont engagées Montréal et Toronto? On a beau lever le nez sur Toronto et penser qu’ «on est toujours seul au monde» comme dit la chanson de Starmania, n’empêche que, comme Montréal puise largement aux mêmes sources de financement privées que Toronto, ce que la Ville-Reine siphonne de tous bords pour financer ses sept nouveaux équipements culturels majeurs, c’est autant de moins de disponible pour Montréal. Le marché des fonds privés n’est pas indéfiniment élastique. Qu’on en juge : au total Toronto aura raflé, à ce jour, plus de 565 millions de dollars du secteur privé pour financer le milliard et plus que couteront ses 7 projets d’agrandissement ou de construction de musées, de salles de concert, de spectacles et de Festival. À Montréal, l’an dernier, les 7 institutions culturelles correspondantes auront ramassé en tout et pour tout 25 millions de dollars. Cela ne représente pas plus que 4.5% de ce que Toronto aura recueilli! En fait, parce que Montréal a mis ses priorités ailleurs, dans le cadre du programme d’infrastructures publiques financé par le fédéral, exclusivement dans la réfection de ses égouts et aqueducs (126 millions de plus cette année sur les 270 millions de ce budget, selon l’annonce du 1er juin 2006, dont 35 millions proviennent du transfert fédéral de la taxe d’essence) , elle a laissé, à toutes fins pratiques, le champ libre à Toronto pour rafler à peu près tout du secteur privé et obtenir des commandites et partenariats de compagnies, sociétés et fondations nationales qui ont littéralement pressé le citron au maximum, ne laissant à Montréal que des miettes. J’en veux pour exemple deux contributions majeures, celle de Telus, et celle de Bell Canada, deux entreprises qui ont un large marché au Québec, et dont l’une, Bell Canada, a toujours son siège social à Montréal depuis sa création en 1880. Ainsi, Telus a contribué cette année 10 millions à la construction du nouveau Conservatoire de Musique de Toronto (Projet total de 119 millions) et s’est aussi engagé à recueillir un autre 5 millions auprès de son réseau d’affaires . Dans le même temps, Telus aura donné cette année 20 000 dollars (2 000 dollars l’an dernier) au Musée des beaux arts de Montréal et 25 000 dollars aux Grand Ballets Canadiens. Mais, rien au MAC, au CCA, à l’Opéra de Montréal, ou à l’OSM. Quant à Bell Canada dont le nombre d’abonnés au Québec est toujours élevé depuis des lustres, elle donne 25 000 dollars par année au MBAM (depuis 1998 jusqu’en 2009); jusqu’à l’an dernier, 50 000 dollars par année (2000 à 2005) au MAC; et 21 000 dollars en 2005 aux Grands Ballets. Mais, rien au CCA, rien à l’Opéra de Montréal, ni à l’OSM . Pendant ce temps là, à Toronto, Bell est devenue, jusqu’en 2023, le fournisseur exclusif du nouveau «Festival Centre», ce même centre où se déroulera le Festival du Film de Toronto (devenu le 2ième en importance au monde après Cannes) pour un montant de plusieurs dizaines de millions de dollars, probablement au-delà de 30 millions, si l’on en juge par les annonces diffusées les 1er et 11 septembre 2006 . Ce n’est pas que Bell ou Telus boudent Montréal; c’est Montréal qui n’offre pas à Bell et Telus l’occasion de se manifester en grand, à ce niveau de contribution. En d’autres mots, parce que Toronto s’est donnée un plan stratégique de développement culturel axé sur de grands projets d’infrastructures et d’équipements qui la situeront à la fine pointe des institutions semblables en Amérique, elle a réussi à littéralement écrémer le marché des commandites privées auprès des grandes entreprises canadiennes, même de celles qui sont bien implantées, et ce depuis fort longtemps, dans le marché montréalais. De plus, le gouvernement ontarien fait des pieds et des mains pour obtenir du fédéral 49 millions de plus aux 140 qui ont déjà été versés pour ces 7 projets et leurs fonds de dotation. La faiblesse de notre leadership conjugué, Montréal-Québec-Ottawa, aura fait en sorte que la très grande majorité des fonds disponibles chez les grandes entreprises aura été canalisée vers le financement des équipements culturels de Toronto. Ce manque à gagner pourrait éventuellement être compensé si les entreprises situées au Québec contribuaient au financement de la culture au moins autant que celles actives ailleurs au Canada, en particulier en Ontario. Mais la Chambre de Commerce de Montréal, dans une étude exhaustive publiée en novembre 2005, a fait éclater le mythe voulant que la culture soit une priorité collective au Québec, supportée à sa juste part par les milieux d’affaires. L’étude conclut : «Le Québec se classe bonne dernière parmi les provinces pour l’importance des dons qui sont de petite envergure» (page 8) et plus loin « La tradition de philanthropie est peu développée parmi les entreprises francophones au Québec» (page 9) . On est donc doublement frappé : d’un côté on n’a pas de projets mobilisateurs capables d’aller chercher notre part du gâteau, et de l’autre, les nôtres sont en fait moins intéressés par la culture que leurs vis à vis ailleurs au Canada ! Même les québécois demeurent les moins généreux au pays, selon Statistique Canada . Il y a donc pour nous, d’une certaine façon, «un prix à payer» pour notre manque de vision dans la gestion de la modernisation de nos grands équipements culturels. Qui plus est, le marché de l’art canadien est maintenant concentré pour de bon à Toronto. Depuis, un an, les ventes aux enchères d’art canadien ont totalisé 47.8 millions à Toronto, contre à peine 4 millions à Montréal, soit moins de 10 % ! On a en fait l’impression que depuis un an on fait du sur place, quand on ne s’embourbe pas. Qu’on en juge : 1) L’Opéra de Montréal souffre! la démission du conseil de son principal mécène, M. Hans Black, a coupé les jambes à l’institution. Un différent sur la programmation était à l’origine de la dispute. 2) Le Festival International du Film de Montréal (FIFM) n’a pas eu lieu en 2006. On a passé l’hiver dernier à enquêter sur l’utilisation du million en subvention dépensé l’an dernier qui a produit la faillite que l’on sait. M. Losique, avec son FFM, continue de ramer contre vents et marées, sans un sou des gouvernements de Québec et d’Ottawa. 3) Le Musée d’Art Contemporain a produit un ambitieux projet de 100 millions pour le réaménagement de ses collections d’art moderne au sommet des silos à grain (no 5) désaffectés dans le Vieux-Port. Mais du côté des gouvernements, c’est un silence…de mort. Le MAC est un musée d’état et on connaît la rapidité légendaire des bureaucrates pour fournir des réponses qui permettraient d’enclencher à court terme le projet. On s’en reparlera dans… 4) Le MBAM se débat comme un beau diable pour concevoir un projet d’agrandissement qui lui permettra de prendre tout le potentiel que ses dirigeants dynamiques sont en mesure de lui inculquer. 5) Les gouvernements provincial et municipal et les représentants de l’OSM ont bien annoncé à la fin de juin un PPP de 105 millions pour la construction d’une nouvelle salle sur le site de la Place des Arts mais personne ne connaît encore l’identité de l’entreprise du secteur privé qui soit preneur, et la date d’ouverture en est reportée en 2011 ! Vous avez bien lu, d’ici ce temps-là on aura eu quelques élections municipales, provinciales et fédérales. On a d’ailleurs déjà eu cette annonce du gouvernement précédent… 6) Le quartier des spectacles avance…à pas de tortue. L’annonce d’une contribution par la Ville en novembre est opportune, mais ne fait pas oublier que le manque de financement de d’autres sources que les fonds publics empêchera le plan global de se réaliser. En fait, de puis un an, on s’est plus appliqué à faire un faux débat public en prétextant opposer le «béton à la création», comme si on pouvait isoler les institutions et le support qu’elles apportent à la définition de l’excellence et au relèvement de la qualité, et du statut des créateurs. C’est un faux argument qui ne résiste pas à l’analyse. Les chiffres révélés par Statistique Canada le printemps dernier démontrent, on ne peut plus clairement, qu’à Montréal les artistes sont moins bien rémunérés qu’à Toronto, soit en moyenne 26 245$ par année comparativement à 34 139$ (le revenu le plus élevé au pays). Malgré tous les beaux discours sur la création et la priorité qu’on est censé faire de l’aide aux artistes, les chiffres ne mentent pas : ils ont encore à se débattre avec un salaire de pitance. Même plus, le gouvernement de M. Harper a coupé de moitié l’annonce des 300 millions de plus au budget du Conseil des arts du Canada qu’avait réussi à obtenir Lisa Frulla l’an dernier. L’argument souvent répété que le Québec dépense plus en moyenne que les autres provinces, pour la culture, lui aussi en prend un coup. En fait, en dépenses culturelles, Québec est devancé par la Saskatchewan, et dépense à peine 1% de plus que le Manitoba. Ce qui permet en fait au Québec de figurer en tête du peloton pour les dépenses publiques en culture, c’est le fait que le fédéral dépense plus au Québec que le Québec lui-même (156 millions contre 153) et que nulle part ailleurs au Canada (c’est 119 millions en Ontario) . On peut bien continuer de se bercer d’illusions, d’entretenir le mythe que la culture est une priorité au Québec, que tout est mis en œuvre pour garantir son développement, et notre capacité commune à en faire un élément distinctif de notre rapport au monde et à la civilisation, mais c’est un mythe qui malheureusement ne survit pas au test de l’analyse toute crue. Où en serons-nous dans sept mois, à l’aube du Sommet sur la Culture attendu à l’automne 2007? Nous contenterons-nous d’ergoter sur les priorités de l’an 2015? A qui chercherons-nous alors à faire porter la faute quand on regardera avec envie ce que nos voisins auront accompli et la profondeur du « déficit culturel » qu’il nous faudra combler? Où se situe vraiment la culture entre un Québec lucide, et un Québec solidaire?
  6. Un autre article flatteur du NYTimes. Ça devient presque lassant.... http://travel.nytimes.com/2010/08/15/travel/15hours.html + des photos de Mtl. Nice. http://www.nytimes.com/slideshow/2010/08/15/travel/36HOURSMONTREAL-9.html
  7. Montreal Real Estate Pushes Ahead By DORN TOWNSEND Published: June 11, 2010 MONTREAL — When Patrice Groleau began selling a proposed condo development this spring, he thought it would take about a year to sell all 100 units — even though the site is in Montreal’s historic old city and the project will have all the latest amenities. Half the apartments sold in the first month on the market. “The last few years have been mostly good for real estate, but this year has been phenomenal,” said the 33-year-old broker, who works for McGill Immobilier. “Some of the buyers are from elsewhere but 95 percent are local young professionals. A lot of them will buy several units or whole blocks of apartments.” Real estate markets in many cities around the world are still in the doldrums, but in Montreal, Canada’s second largest city, with 1.9 million residents, the downtown area is experiencing a boom and buying frenzy last seen more than a generation ago. Brokers say that new listings in desirable central neighborhoods can receive multiple offers within hours of going up for sale. Since 2003, when the present rush began, 5,500 to 7,000 new condo units have been hitting the market each year. Many of these homes are downtown in new mid-rise developments. According to the Montreal Real Estate Board, the median price of downtown condos has risen about 9 percent over the period, to 210,000 Canadian dollars, or about $198,000. While some downtown addresses can command as much as 1,000 dollars a square foot, in May the average price per square foot in the central city was about 350 dollars. “A lot of the new units downtown are for people in the suburbs looking to downsize, but you also get about 8 percent of sales going to foreigners,” said René Lépine, president of Groupe Lépine, one of the largest developers of downtown residential housing in the city. “I haven’t seen this kind of activity in the city center since the 1970s, when we had the Olympics.” Montreal’s real estate board reported that prices were up 8 percent in the first quarter from a year earlier, with sales up 54 percent. While there is disagreement over whether such growth is sustainable, demand is being driven by historically low interest rates, with a five-year fixed-rate mortgage going for about 3.8 percent. In an attempt to pop what many fear is an expanding housing bubble, the Bank of Canada in April began requiring purchasers to put down 20 percent on investment properties. Brokers, however, say such rules are easily skirted with interim financing. And in the two years since the global economic downturn, Canada’s big-five banking oligopoly has continued granting loans for real estate. But, like in the United States, these banks seldom hold on to the mortgages, instead passing them on to a government entity called the Canada Mortgage and Housing Corp., which insures buyers against defaults. Since 2005, the agency’s liabilities have grown to around 400 billion dollars from about 80 billion dollars. But many of the new homes insured by this national agency are the tiny studios and one-bedroom units like those in Montreal’s downtown towers. That easy financing helped turn Montreal’s real estate scene into something of a Sleeping Beauty story. For decades the city had a lot of real estate for sale, partly because of the departure of several hundred thousand English-speaking residents from 1976 to 1978 because they feared Quebec might become an independent French-speaking country. Afterward, prices rose slowly, and then took off in recent years. “I’m not one of those annoying people who say that Montreal is the best city,” said Ariane Truong, 30, a Montreal native who spent several years in London working as an architect for SOM. “But there’s this intangible, aesthetic quality here these days and when you’re in other cities, you notice that quality is missing.” Two years ago Mrs. Truong returned to her hometown, paying about 350,000 dollars for a refurbished 950-square-foot, or 88-square-meter, one-bedroom condo in the old city. The building incorporates part of the stone fortifications built from 1717 to 1738 to protect Montreal from native Indians and English attackers. Until recently many residents had spurned the area as a tourist magnet. These days the tourists still are ever-present, but the old warehouses have been converted into apartments with ground-floor cafes and restaurants. A mix of young professional residents has returned to live and work. A small but important part of the market is composed of foreign clients who buy into the city for its particular rhythm. Diane Urbain, 28, a transplant from Paris, is typical of the group. She and her husband spent about 520,000 dollars on a 1,600-square-foot cottage in the Plateau, a large neighborhood of row houses known for its public squares and cafes. The French consulate says about 100,000 French citizens are living in Montreal. “When I first arrived here as a student, I thought I’d never leave Paris,” Mrs. Urbain said “But I’ve come to love the way of life of this city.” She talked about the nearby parks where her children play and about biking to work. Vélo Québec, a cycling advocacy group, says that nearly 20 percent of downtown residents use bicycles as a primary means of transport. Yet the French are not the only people who choose Montreal. This year, almost all the units in one new high-end condo tower downtown were sold to Lebanese. The developer marketed heavily in Beirut, and many purchases were made as investments or as homes for children attending universities in Montreal. Source: http://www.nytimes.com/2010/06/11/greathomesanddestinations/11iht-remon.html
  8. Ottawa voit grand Mise à jour le lundi 26 avril 2010 à 23 h 49 Photo: La Presse Canadienne /Adrian Wyld Le ministre conservateur, Peter Van Loan. (archives) Le ministre fédéral du Commerce international, Peter Van Loan, a indiqué à la Presse canadienne que les négociations entre le Canada et l'Union européenne (UE) pourraient mener à un pacte plus élaboré encore que l'Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA). Ce que nous recherchons, c'est l'entente commerciale la plus ambitieuse que nous ayons jamais conclue. — Le ministre Peter Van Loan Selon le négociateur en chef du Canada, Steve Verheul, les négociations en vue de conclure l'Accord économique et commercial global (AECG) progressent bien. Les deux parties en sont à la troisième ronde de pourparlers, et deux autres ont été planifiées. Le ministre Van Loan souhaite que l'accord soit entériné d'ici la fin de 2011. La délégation canadienne compte quelque 60 personnes. À la demande de l'UE, des représentants des provinces canadiennes en font partie en tant que partenaires à part entière. Selon Scott Sinclair, un chercheur pour le Centre canadien de politiques alternatives, les délégués européens souhaitent notamment éliminer le système de régulation de l'offre dans les secteurs des produits laitiers et de la volaille, et la Commission canadienne du blé. En retour, croit-il, le Canada pourrait exporter une plus grande quantité de matières premières en Europe. Un marché important L'ancien ministre libéral John Manley, maintenant à la tête du Conseil canadien des chefs d'entreprise, fait observer que le Canada a besoin de diversifier son commerce international et que dans ce contexte, une entente avec l'Union européenne, dont l'économie ressemble à celle du Canada, pourrait générer d'intéressantes retombées. Le gouvernement canadien estime que l'entente ferait bondir le produit intérieur brut (PIB) du Canada de 12 milliards de dollars d'ici 2014. En 2008, les exportations canadiennes en Europe se sont chiffrées à 52 milliards de dollars, un montant plutôt modeste compte tenu de la taille du marché. L'Union européenne, un marché d'un demi-milliard d'habitants répartis dans 27 pays, a un PIB de 19 milliards de dollars. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, est un ardent défenseur d'un accord de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2010/04/26/014-canada-ue-pacte.shtml Pour ceux qui ne savent pas ce qu'est le système de régulation de l'offre dans le secteur des produits laitiers, en bref c'est ce qui fait en sorte que vous payez vos produits laitiers beaucoup trop chers, beaucoup plus cher qu'aux USA, puisque les prix sont artificiellement gonflés pour subventionner les producteurs laitiers (qui sont millionnaires soit dit en passant).
  9. Des chiffres obtenus grâce à la Loi d'accès à l'information indiquent que, malgré une population trois fois supérieure, Montréal reçoit moins que Québec dans un des quatre principaux programmes d'infrastructures. Programme d'infrastructures de loisirs C'est vrai pour l'important programme d'Infrastructures de Loisirs, qui permet aux villes canadiennes de réparer ou construire des installations sportives. Des chiffres obtenus indiquent qu'à Montréal, quatre projets d'une valeur de 3,321 millions de dollars ont été approuvés. Québec a obtenu le financement pour quatre projets d'une valeur de 3,565 millions de dollars. À Montréal, trois arénas de la métropole ont reçu des subventions de 1 million de dollars pour mettre à niveau les systèmes de réfrigération. Cependant, environ le tiers des projets acceptés par Ottawa ont été censurés par l'Agence de développement économique du Canada, qui gère ce programme. Cela signifie que d'autres projets à vocation sportive pourraient êtres annoncés d'ici quelques mois. Reste qu'à Montréal certains projets, comme la réfection de l'aréna Ahuntsic, semblent être morts au feuilleton. En septembre dernier, l'ex-président du comité exécutif Claude Dauphin aurait confirmé à la députée fédérale d'Ahuntsic, Maria Mourani, que l'aréna serait l'objet d'un projet de rénovation de 5 millions de dollars. Ottawa aurait aussi confirmé à madame Mourani que les fonds ont été envoyés à Montréal. Mais le projet ne serait plus dans les cartons, aux dires de la députée. Elle se demande si les millions dorment quelque part à Montréal ou si les contribuables d'Ahuntsic sont victimes du fait qu'ils ont voté pour un des deux partis d'opposition. « Pourquoi avant l'élection municipale, on était une priorité - et j'ai même des confirmations écrites ici - et puis, qu'après les élections, soudainement, on ne fait plus partie du décor? Est-ce que c'est parce que Ahuntsic n'a pas voté pour le maire de Montréal? C'est ça, moi, ma question », affirme Me Mourani. Fonds de stimulation de l'infrastructure En ce qui a trait au fonds de stimulation de l'infrastructure, Montréal a obtenu jusqu'ici 42 millions de dollars. Québec, avec le tiers de la population, en a obtenu presque autant, c'est-à-dire 40 millions de dollars. Les chiffres ont été colligés par Infrastructure Canada, qui gère ce programme destiné à financer des programmes de réfection routière. Renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées Quant au fonds pour la réfection des conduites d'eau, Montréal n'a obtenu que 36 millions de dollars. Selon Louise Harel, la chef de Vision Montréal, cela représente moins de 10 % des fonds disponibles pour le Québec. « C'est vraiment décevant, parce que les gouvernements supérieurs ont créé ces programmes-là, mais cela ne reviendra pas. Et ça ne reviendra pour un bon bout de temps, parce qu'on connaît les niveaux de déficits de Québec et d'Ottawa », souligne Mme Harel. Dans un sommaire décisionnel publié lundi, l'administration explique que les investissements importants réalisés par Montréal depuis trois ans ont rendu la tâche de la Ville plutôt difficile. L'ajout de projets supplémentaires aurait été compliqué pour deux raisons. Puisque la Ville défraie le tiers du coût des projets, l'ajout de projets aurait été prohibitif pour Montréal. De plus, ça aurait présenté un défi logistique pour la Ville, compte tenu du grand nombre de projets d'infrastructures déjà prévus avant le plan de relance fédéral. Fonds d'initiatives vertes Montréal figure mieux dans le cadre de ce programme, parce que la métropole a obtenu 67 millions de dollars pour des projets de traitement des déchets. La ville de Québec a obtenu seulement 16 millions dans le cadre de ce programme. L'administration Tremblay n'a pas répondu à nos appels. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/04/19/008-Gentile-infrastructure-Quebec.shtml
  10. Publié le 12 janvier 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Péréquation: le portrait a changé Joël-Denis Bellavance La Presse (Ottawa) Longtemps considéré comme la locomotive économique du pays, l'Ontario souffre plus que jamais. À un point tel que la province recevra un paiement de péréquation trois fois plus élevé en 2010-2011, un signe qu'elle a maintenant besoin de l'aide financière des autres régions du pays pour pouvoir se payer des services publics comparables. L'Ontario a empoché des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire en 2009-2010, soit 347 millions de dollars. En 2010-2011, ces paiements auront presque triplé pour atteindre 972 millions de dollars, a appris La Presse lundi. Le ministre des Finances, Jim Flaherty, a confirmé à ses homologues des provinces les sommes qu'Ottawa compte leur verser au cours du prochain exercice financier lors de la conférence des ministres des Finances qui a eu lieu à Whitehorse à la mi-décembre, a indiqué lundi Jack Aubry, porte-parole du ministère des Finances. En tout, les paiements de péréquation atteindront 14,4 milliards de dollars en 2010-2011. Comme c'est le cas depuis plusieurs années, le Québec obtiendra la part du lion de cette somme, soit 8,5 milliards de dollars - environ 200 millions de dollars de plus que lors du dernier exercice financier. Terre-Neuve, qui a longtemps été considérée comme une province pauvre au pays, ne touche plus de paiement de péréquation depuis l'an dernier, en raison de la hausse de ses revenus découlant de l'exploitation des réserves de pétrole du projet Hibernia. En 2007-2009, la province de Danny Williams avait touché 477 millions de dollars. En somme, l'Ontario a dorénavant remplacé Terre-Neuve dans la liste des six provinces les plus pauvres de la fédération canadienne. Les autres provinces qui reçoivent un coup de pouce financier d'Ottawa pour pouvoir s'offrir des services publics comparables à un taux d'imposition comparable aux autres régions sont le Manitoba (1,8 milliard), le Nouveau-Brunswick (1,581 milliard), la Nouvelle-Écosse (1,110 milliard) et l'Île-du-Prince-Édouard (330 millions). La Saskatchewan, l'Alberta et la Colombie-Britannique font partie du club des provinces plus riches avec Terre-Neuve. La faute au dollar «L'Ontario souffre énormément en ce moment. Et il souffre depuis très longtemps», a affirmé lundi Serge Coulombe, professeur de science économique à l'Université d'Ottawa qui s'est longuement penché sur la situation économique de cette province. Il explique que le boom des ressources naturelles dans l'Ouest a contribué à la hausse de la valeur du dollar canadien, ce qui a nui considérablement au secteur manufacturier qui exporte vers les États-Unis. «L'Ontario a été énormément touché par l'appréciation du dollar canadien. La forte croissance économique que nous avons eue au Canada entre 2002 et 2008 s'est faite au détriment de l'Ontario. Alors, quand la récession est arrivée en 2008, l'Ontario était déjà lourdement touché à cause de la force du dollar», a expliqué M. Coulombe. Il affirme que l'Ontario a perdu quelque 250 000 emplois dans le secteur manufacturier entre 2002 et 2008, soit avant même le début de la récession. Et l'un des secteurs qui ont été durement touchés est celui de l'automobile, concentré en Ontario. Déficit record En octobre, le ministre des Finances de l'Ontario, Dwight Duncan, a revu à la hausse le déficit de l'Ontario - un manque à gagner record de 24,7 milliards en 2009-2010. La cause : une chute brutale des revenus provenant des impôts des sociétés, privant le Trésor ontarien de 5,8 milliards de dollars. Huit mois auparavant, M. Duncan avait estimé le déficit à 14 milliards de dollars. «L'Ontario était la province canadienne qui comptait le plus sur le secteur manufacturier. En plus, elle est la province canadienne la plus tournée vers les États-Unis pour ses exportations. L'Ontario n'est donc plus la locomotive du développement économique du pays depuis 2002», a dit M. Coulombe. La crise qui frappe l'Ontario est telle que le gouvernement Harper a décidé de mettre en place l'an dernier une agence de diversification de l'économie du sud de la province. Cette agence, créée à la suite du dernier budget, dispose d'un milliard de dollars sur cinq ans pour soutenir cette région durement frappée par la crise économique. L'économiste en chef de la Banque Toronto Dominion, Don Drummond, avait aussi prédit, dans un rapport publié en 2008, que l'Ontario perdrait sous peu son statut de province toute-puissante du pays. «L'Ontario n'est plus le roi tout puissant de l'économie», avait affirmé M. Drummond dans ce rapport qui avait fait beaucoup de bruit. L'an dernier, le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, cachait mal sa gêne en confirmant que sa province recevrait des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire.
  11. Le plan Carbonneau pour ruiner le Québec Permalink 09/12/09 13:52, Pierre Duhamel / Général, 682 mots Pour la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, les choses sont claires et simples. Les contribuables québécois doivent payer plus d’impôts pour payer les augmentations de salaires des employés de l’État. Ses propositions sur les finances publiques du Québec seraient désastreuses pour les Québécois et leur économie. Voici pourquoi. Hausser les impôts Claudette Carbonneau veut reprendre les baisses d’impôts de 950 millions de dollars accordées aux Québécois en janvier 2008. Ces baisses réduisaient de 40 % l’écart entre les Québécois et les autres Canadiens. Je fais remarquer à la présidente de la CSN qu’il subsiste un écart de 60 % et que seules trois provinces sont plus imposées que le Québec. Sa proposition ne vise qu’à nous redonner le titre de contribuables les plus imposés en Amérique du Nord, un championnat auquel je ne tiens pas particulièrement. Quant aux entreprises, soulignons que le Québec est la seule province à avoir augmenter l’impôt des entreprises depuis 2001. Les juridictions concurrentes cherchent à diminuer le fardeau fiscal des entreprises pour qu’elles puissent prospérer, investir et embaucher sur leur territoire. Pour rester concurrentiel, le Québec a entrepris d’éliminer la taxe sur le capital, une mesure qui a permis aux sociétés d’abaisser leur fardeau fiscal de 20 % depuis 2002. Non à la compression des dépenses Le gouvernement Charest veut limiter la croissance des dépenses à 3,2 % par année. On ne parle pas ici de diminution des dépenses, mais d’un ralentissement de leur augmentation. De plus, cette hausse de 3,2% reste un peu plus élevée que la croissance anticipée de l’économie au cours des prochaines années. Ce n’est pas comme si le Québec avait du rattrapage à faire au niveau des dépenses publiques, bien au contraire. Les dépenses de programmes – les services de l’État à la population – représentaient en moyenne 26 % du PIB québécois entre 1989 et 2009, contre 17 % pour l’Ontario et 20,3 % pour la moyenne des provinces canadiennes. Surtout pas de hausse de la TVQ L’idée de Madame Carbonneau, c’est de faire payer toute la facture par les 58,6 % des contribuables qui paient de l’impôt et d’épargner tous les autres. Elle fait partie d’une école où vaut mieux taxer la production, plutôt que la consommation. Pour elle, une hausse d’un point de la TVQ serait évidemment «régressive», puisqu’elle avantagerait les mieux nantis. Je lui ferait néanmoins remarquer que les Québécois de la classe moyenne sont déjà lourdement imposés et que les mieux nantis seraient les premières cibles d’une hausse de la TVQ, parce qu’ils consomment davantage. De plus, les plus démunis sont compensés par le gouvernement pour la TVQ et il en serait varisemblablement ainsi si le gouvernement voulait hausser les tarifs d’électricité. Sept ans pour rétablir l’équilibre budgétaire Le gouvernement Charest prévoit des déficits cumulés de 13,2 milliards de dollars d’ici 2013-2014. 13 milliards qui s’ajoutent à la dette déjà considérable du Québec. En ne limitant pas la croissance des dépenses et en refusant l’augmentation de la TVQ, le déficit atteindrait 26,9 milliards de dollars, soit plus du double. Même en ajoutant la ponction fiscale de 3,6 milliards de dollars en quatre ans favorisée par la CSN, on arrive avec 10 milliards de dollars supplémentaires à ajouter à la dette du Québec. En ajoutant deux autres années de déficit au niveau de 2013-2014, on parle de plus de 30 milliards de dollars. Ces dizaines de milliards participeront à la croissance du service de la dette, déjà le troisième poste budgétaire après la santé et l’éducation. Les propositions de Claudette Carbonneau sont injustes pour les contribuables Québécois et ruineuses pour les finances publiques. C’est bête et c’est cher et cela rendra le financement des services de l’État encore plus difficile.
  12. Malek, je sais que tu va me dire que ce n'est pas grave...mais à un certain moment, il faut se poser la question. Avons nous les moyens de se payer tout ces beaux services?? 130 milliards$ la Dette du Québec + 122 milliards$ notre part de la dette Fédérale = 252 milliards$ pour une population de 7.8 millions. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/michel-girard/200911/04/01-918156-la-question-de-12-milliards.php La question de 12 milliards Publié le 04 novembre 2009 à 06h39 Michel Girard La Presse (Montréal) Douze milliards de dollars... c'est la somme totale des frais d'intérêt (service de la dette) que les Québécois vont payer cette année sur les dettes gouvernementales accumulées au fil des décennies par nos deux gouvernements. Une fois les actifs financiers soustraits, on parle d'une dette nette totale de 251 milliards de dollars. Cela comprend la dette provinciale de 129 milliards et la portion de la dette fédérale qui nous revient, soit 122 milliards. Une telle dette nette d'un quart de trillion équivaut à 85% du produit intérieur brut (PIB) du Québec. Quand même! Selon les données transmises à La Presse Affaires par le service économique de Desjardins, de toutes les provinces, c'est au Québec qu'on écope de la plus lourde dette par tête d'habitant. Combien? Du bébé au vieillard, chaque Québécois supporte présentement une dette gouvernementale de 32 341$ (soit 16 635$ du provincial et 15 706$ du fédéral). C'est près de 19% de plus que l'Ontarien et 52% de plus que le Canadien de la Colombie-Britannique. Pire encore. Les frais d'intérêt sur le service de la dette gouvernementale propre aux Québécois devraient dépasser les 15 milliards d'ici à peine deux ans. Pourquoi? Parce que notre endettement gouvernemental va augmenter sensiblement au cours des prochaines années en raison des lourds déficits budgétaires que la récente crise financière nous fait subir. À preuve, Québec prévoit pour l'année en cours un déficit approchant les 5 milliards et le fédéral, un déficit de l'ordre de 56 milliards. Non seulement les revenus d'impôts et de taxes baissent, mais, en plus, les dépenses gouvernementales augmentent. Pour re... stimuler l'économie, les deux ordres de gouvernement ont été contraints de mettre en place un train de programmes et de mesures d'urgence. Et autre facteur majeur: comme les taux d'intérêt vont augmenter, il en coûtera forcément plus cher aux deux ordres de gouvernement pour financer leurs immenses dettes respectives. Revenons à la question de 12 milliards: est-ce grave de devoir payer une telle facture de frais d'intérêt, laquelle va grossir par surcroît au fil des prochaines années? Le chiffre est tellement gros et abstrait... qu'il est difficile d'en saisir l'importance. Voilà pourquoi il m'apparaît intéressant de voir plus concrètement ce que peut représenter la «valeur» de ces 12 milliards de dollars de frais d'intérêt. Jugez par vous-même! Tiens, cette charge de 12 milliards... ça représente les deux tiers de l'impôt sur le revenu des particuliers (18 milliards) perçu l'an dernier par le gouvernement du Québec Cette somme astronomique équivaut à elle seule à 86% du budget (13,9 milliards) du ministère de l'Éducation, Loisir et Sport. Autre comparaison qui fait image: cette facture de 12 milliards de frais d'intérêt sur notre dette équivaut à la somme des dépenses gouvernementales annuelles des ministères suivants: Emploi et solidarité sociale (4,2 milliards); Famille et aînés (1, 9 milliard); Développement économique innovation et exportation (833 millions); Transports (2,3 milliards); Culture, communications, condition féminine (659 millions); Affaires municipales et régions (1,8 milliard); Agriculture, Pêcheries, Alimentation (711 millions). Ces 12 milliards de frais d'intérêt dépassent deux fois la somme totale des revenus de tarification que le gouvernement du Québec tire de l'assurance médicaments, de l'assurance parentale, des droits et permis de conduire et immatriculation des véhicules, de l'assurance automobile (SAAQ), des droits de scolarité universitaire, des services de garde d'enfants, des contributions des adultes hébergés dans le réseau de la santé et des services de police fournis par la Sûreté du Québec . Restons dans les revenus. Un coût d'intérêt de 12 milliards, ça équivaut à 2,4 fois la somme totale des revenus que le gouvernement du Québec a tirés l'an dernier de ses principales vaches à lait... de sociétés d'État: Société des alcools du Québec (797 millions), Loto-Québec (1,3 milliard) et Hydro-Québec (2,8 milliards). Autre comparaison: c'est presque deux fois et demie les baisses d'impôt (5 milliards) consenties par le gouvernement Charest depuis 2003! La population étant vieillissante, comment nos jeunes vont-ils réussir à se sortir de l'endettement gouvernemental dans lequel nous les avons plongés?
  13. États-Unis : Déficit budgétaire record de 1409 milliards Publié le 07 octobre 2009 à 18h38 | Mis à jour à 18h45 Agence France-Presse Washington Les États-Unis ont accusé un déficit budgétaire record de 1409 milliards de dollars pour l'ensemble de l'exercice 2008-2009, clos fin septembre, soit un peu moins que prévu, selon l'estimation du Bureau du budget du Congrès (CBO) publiée mercredi. Le déficit équivaut ainsi à 9,9% du PIB américain, du jamais vu depuis 1945, écrit le CBO dans son analyse mensuelle sur le budget. Cette estimation doit encore être confirmée par le département du Trésor, qui publiera les chiffres officiels pour l'année 2008-2009. Une porte-parole du ministère a indiqué à l'AFP que cette publication aurait lieu «mi-octobre». La Maison-Blanche et le CBO avaient indiqué fin août qu'ils attendaient un déficit fédéral de 1580 milliards de dollars pour l'ensemble de l'année budgétaire passée. Au cours de l'exercice écoulé, les comptes de l'État ont été affectés par la baisse des recettes fiscales provoquée par la crise, du fait du recul des revenus des entreprises et des ménages, et par la hausse des dépenses liées à la récession (relance budgétaire, hausse des prestations sociales et sauvetage d'institutions financières). Les recettes ont ainsi baissé de 17% par rapport à 2007-2008, pour ne représenter que 15% du PIB, soit leur niveau le plus bas en plus de 50 ans, écrit le VBO. Quant aux dépenses, elles ont fait le chemin inverse, augmentant de 18% pour atteindre presque 25% du PIB, leur niveau le plus haut en plus de cinquante ans, ajoute l'étude. Le CBO relève que «presque la moitié de la hausse des dépenses (245 milliards) a été le résultat de dépenses entraînées par» le plan de sauvetage du système financier promulgué début octobre 2008 et par les mesures prises pour sauver les organismes de refinancement hypothécaire parapublics Fannie Mae et Freddie Mac. Le Bureau estime par ailleurs que 200 milliards de dépenses supplémentaires ont été engendrées par le plan de relance budgétaire de 700 milliards de dollars sur trois ans promulgué mi-février par le président américain Barack Obama. En 2007-2008, le déficit budgétaire américain avait atteint 459 milliards de dollars, soit 3,2% du PIB. Pour l'exercice en cours, le Bureau du budget de la Maison-Blanche table sur un déficit budgétaire de 1502 milliards de dollars, soit 10,4% du PIB américain. M. Obama, qui a hérité du gouvernement républicain précédent des finances publiques dans un état catastrophique, s'était engagé en février à ramener le déficit budgétaire sous les 3% du produit intérieur brut du pays à la fin de l'exercice 2013.L'année 2013 correspond à la fin du mandat de M. Obama, qui a pris ses fonctions de président fin janvier pour quatre ans. Mais la Maison-Blanche estime désormais que le déficit de l'État fédéral atteindra 775 milliards de dollars à la fin de l'exercice 2012-2013, soit environ 4,6% du PIB.
  14. Le déficit atteint déjà trois milliards Tommy Chouinard La Presse Publié le 23 septembre 2009 à 14h25 | Mis à jour à 16h06 (Québec) Québec se dirige vers un déficit plus élevé que prévu. Trois mois seulement après le début de l'année financière, le déficit atteint déjà trois milliards de dollars. Or, le gouvernement Charest avait prévu un trou de 3,9 milliards pour toute l'année. Le rapport mensuel des opérations financières, rendu public par le ministère des Finances aujourd'hui, indique que le déficit budgétaire s'élève à trois milliards de dollars au 30 juin. Les revenus du gouvernement atteignent 15,6 milliards, un niveau similaire à celui de la même période l'an dernier. Mais les dépenses (18,6 milliards) ont bondi d'un milliard. Elles ont surtout augmenté aux ministères de la Santé (546 millions), de l'Éducation et de la Culture (168 millions). D'avril à juin, le déficit cumulatif s'élève à trois milliards. Notons qu'en début d'année financière, les revenus sont généralement moins importants. «Conformément à la tendance historique, les résultats cumulatifs pour les trois premiers mois de l'année indiquent un excédent des dépenses par rapport aux revenus. L'écart mensuel devrait diminuer progressivement au cours des prochains mois», peut-on lire dans le document du ministère des Finances. Il n'en demeure pas moins que le rapport envoie un signal inquiétant sur l'état des finances publiques. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/200909/23/01-904803-le-deficit-atteint-deja-trois-milliards.php
  15. Les entreprises chinoises surpassent leurs rivales américaines en 2008 Publié le 07 septembre 2009 à 10h56 | Mis à jour à 11h00 Agence France-Presse Pékin Les entreprises chinoises ont nettement surpassé, pour la première fois, leurs rivales américaines en terme de bénéfices nets en 2008, selon une étude élaborée par un groupement d'entreprises chinoises, publiée ce week-end. Les entreprises chinoises les plus performantes ont totalisé quelque 171 milliards de dollars de bénéfices nets en 2008, contre 99 milliards de dollars pour les entreprises américaines, selon l'enquête réalisée par la China Enterprise Confederation (CEC) auprès des 500 principales sociétés chinoises. Les 34 premières entreprises de la liste sont des propriétés d'État. Selon l'étude élaborée sur le modèle américain de Fortune 500, publié chaque année depuis 2002, les entreprises chinoises ont vu leurs bénéfices baisser de 13,2% en 2008 par rapport à l'année précédente, alors que les entreprises américaines, selon le Fortune 500, accusent une chute de 85%. Le principal raffineur pétrolier d'Asie, le groupe public Sinopec, domine ainsi ce top 500 chinois avec un chiffre d'affaires de 1.500 milliards de yuans (215 milliards de dollars US) en 2008. Sinopec avait déjà figuré au neuvième rang du top 10 du Fortune Global 500. Le premier producteur pétrolier de Chine, China National Petroleum Corp (CNPC), arrive derrière Sinopec, selon la CEC, à 1.300 milliards de yuans de chiffre d'affaires, suivi de State Grid Corporation of China avec 1.100 milliards de yuans. Industrial and Commercial Bank of China, première banque de crédit du pays, se place au 4e rang à 490 milliards de yuans. Selon le vice-président de la CEC, Wang Jiming, la performance des entreprises chinoises en 2008 révèle essentiellement que la crise financière a moins affecté l'économie des pays asiatiques que celle des États-Unis. «Les entreprises chinoises bénéficient d'une bonne politique et d'un bon environnement du marché intérieur», a déclaré Wang Jiming, cité sur le site web de la CEC. «Mais en comparaison des grandes entreprises mondiales, elles (...) restent en arrière en termes d'allocations de ressources, d'innovation, de représentation internationale, de business model et de culture d'entreprise», a-t-il ajouté. Les entreprises chinoises ont également éclipsé la Grande-Bretagne dont les entreprises furent pour la première fois moins représentés dans le Fortune Global 500, a souligné M. Wang. Les entreprises chinoises apparaissent au nombre de 37 sur la liste mondiale 2009, soit une huit entreprises supplémentaires que l'année précédente, contre 26 entreprises britanniques seulement.
  16. BCE se retire des Maple Leafs de Toronto Publié le 21 août 2009 à 06h21 | Mis à jour le 21 août 2009 à 06h25 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse BCE n'aura pas de conflits d'allégeance l'hiver prochain lors des matchs épiques entre le Canadien de Montréal et les Maple Leafs de Toronto. Nouvel actionnaire minoritaire du Canadien, BCE s'est départie de ses derniers intérêts dans le club de hockey torontois. CTVglobemedia, une société détenue à 15% par BCE, a vendu hier son bloc de 7,7% des actions de Maple Leafs Sports&Entertainment (MLSE) au Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l'Ontario (Teachers'). Le montant de la transaction atteindrait 92 millions de dollars. En juin dernier, BCE a acquis une participation minoritaire dans le Canadien de Montréal au coût de 50 millions de dollars. BCE jurait alors ne pas être en conflit d'intérêts malgré sa participation financière dans les deux équipes. Le géant des télécommunications n'aura finalement pas à tester sa théorie. «La transaction avec les Maple Leafs permet à CTVglobemedia de réduire sa dette, ce qui est une bonne chose de notre point de vue d'actionnaire, dit Julie Smithers, porte-parole de BCE. Quant au Canadien, nous avons décidé d'investir parce que nous y voyions une belle opportunité d'affaires, notamment pour la téléphonie sans-fil.» À la suite de la transaction annoncée hier, Teachers' voit ses parts dans l'équipe de hockey torontoise passer de 58% à 66%. Les deux autres actionnaires des Maple Leafs sont le magnat de l'immobilier Larry Tanenbaum (20%) et la Banque TD (14%). En décembre dernier, CTVglobemedia avait vendu un autre bloc de 7,7% des actions de MLSE à Larry Tanenbaum. CTVglobemedia et Teachers' n'ont pas dévoilé le montant de la transaction d'hier. Teachers aurait payé environ 92 millions de dollars selon les estimations de La Presse Affaires, qui sont basées sur la transaction conclue en décembre dernier entre CTVglobemedia et Larry Tanenbaum. La valeur totale de MLSE - qui inclut les Maple Leafs, son club-école des Marlies, les Raptors (NBA), l'équipe de soccer Toronto FC, le Air Canada Center, le BMO Field, Leafs TV et Raptors NBA-TV - a alors été évaluée à 1,2 milliard de dollars. Teachers' est propriétaire des Maple Leafs depuis 1994. Il s'agit de l'un des meilleurs investissements de l'histoire de la caisse de retraite. Le rendement annuel composé sur ses premières actions achetées en 1994 est de 18%, selon les calculs de La Presse Affaires. «MLSE s'est avéré être un excellent placement au fil des ans, a dit hier Erol Uzumeri, vice-président de Teachers' Private Capital, par voie de communiqué. L'augmentation de notre participation dans MLSE reflète la confiance que nous avons dans sa prospérité à long terme, tant sur le terrain qu'en dehors de celui-ci.»
  17. Le maire de New York expédie des SDF à Granville Louis Laroque (à Caen) et Adèle Smith (à New York) 10/08/2009 | Mise à jour : 08:42 | Un programme créé en 2007 prévoit de payer un aller simple aux sans-abri accueillis par un membre de leur famille vivant hors de New-York. «Une famille américaine arrivée pour un long séjour dans ma ville ? Mon collègue de New York, Michael Bloomberg, ne m'a pas prévenu», ironise, un brin amer, Daniel *Caruhel, 63 ans, maire DVG de Granville, cité de 15 000 habitants sur les côtes du département de la Manche. Ce pourrait être le jeu de piste de l'été : rechercher ce couple et ses trois enfants en provenance de New York et censés être accueillis à Granville ou ses environs chez une parente de la mère de famille ? Il ne s'agit pas d'un voyage d'été, ni du déplacement classique des enfants et petits-enfants d'un vétéran du Débarquement. Mais d'un aller sans retour pour des SDF new-yorkais avec billets d'avion pour Paris et tickets de train de Montparnasse à Granville. L'addition de 6 332 dollars (4 520 euros) est réglée par la mairie de New York. Depuis 2007, la ville et son maire, Michael Bloomberg, paie des billets d'avion vers la destination de leur choix aux sans-abri. Seule condition : pouvoir justifier d'un hébergement assuré à destination. Une situation mise au jour par le New York Times dans son édition du 28 juillet. Contacté par Le Figaro, le département chargé des sans-abri à la mairie (Department of Homeless Services, DHS) affirme que la famille de Granville est la seule qui ait été renvoyée en France. Le DHS précise qu'en principe les familles reçoivent un appel des autorités de la ville de New York pour vérifier que leur installation s'est bien passée. Nul ne trouve en tout cas la *trace des intéressés en France : ni à la mairie, ni à la préfecture de la Manche, ni au consulat américain à Rennes. Même ignorance à l'ambassade US à Paris où l'on s'interroge : «Il ne s'agit pas d'un projet fédéral. Peut-être cela se *traite-t-il de mairie à mairie ?» «Marchandisation et exportation de la pauvreté» Le maire de Granville n'est au courant de rien. Ancien vice-président national de Peuples solidaires, cet horticulteur de 63 ans, élu en 2008 à la tête d'une liste «humano-pragmatique au-delà des clivages» ne mâche pas ses mots : «On connaissait déjà les charters pour Africains. Cette fois, on assiste à la marchandisation et à l'exportation de la pauvreté.» Interrogé par CNN, Michael Bloomberg a déclaré : «Est-ce que l'on est en train de transférer le problème ailleurs ? Je ne sais pas. Peut-être trouvent-ils un nouvel emploi quand ils arrivent dans un nouvel endroit, peut-être pas. C'est peut-être plus facile pour eux. Ce qui est sûr, c'est que l'on a deux choix : faire ce programme [de billets d'avions] ou payer très cher, chaque jour, pour leur fournir un hébergement.» Un hébergement qui coûte 36 000 dollars (25 000 euros) par an et par famille. Chaque nuit, 38 000 SDF sont accueillis dans les centres d'accueil de la grande métropole. Depuis 2007, près de 550 familles ont déjà bénéficié du programme de «rapatriement volontaire» pour un coût global d'environ un million de dollars (700 000 €). San Juan (Porto Rico) accueille le plus grand nombre d'entre elles pour un coût de «seulement» 484 dollars (340 €). D'autres sont partis pour Johannesburg (Afrique du Sud). Au total, 24 destinations différentes sur les cinq continents.
  18. Une "nouvelle" un peu vieille Stationnement : Montréal dans la moyenne nationale 25 juin 2009 | 15h16 Agence QMI Sarah-Maude Lefebvre 24 heures La Métropole se classe au 5e rang des villes canadiennes où il en coûte le plus cher par jour pour se stationner. Loin derrière la ville championne, Calgary, qui à 22$ par jour est la 2e ville la plus chère après New York sur le continent, Montréal se classe légèrement au-dessus de la moyenne nationale avec un taux moyen de 17$ par jour pour se stationner. 3e pour les tarifs par mois Selon le sondage annuel sur les prix de stationnement de Colliers International, il en coûte 460$ par mois pour se stationner au centre-ville de Calgary, soit une centaine de dollars de moins qu’au centre-ville de New-York. Toronto (305$), Montréal (280$), Edmonton (275$) et Vancouver (224$) complètent le top 5 des villes les plus coûteuses en terme de stationnement, si on se fie aux résultats de ce sondage publié dans The Gazette. Comme le rapporte le quotidien, les Montréalais peuvent tout de même s’estimer chanceux puisqu’ils paieraient 1020 dollars américains par mois s’ils habitaient à Londres ou encore 748 dollars s’ils étaient des résidents de Hong Kong. C’est à Régina qu’il en coûte le moins cher pour stationner son auto au centre-ville avec 148$ par mois. Saskatoon, Victoria, Winnipeg, Ottawa et Halifax ne dépassent pas non plus le cap des 200$ par mois. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2009/06/20090625-151618.html
  19. Mercredi 15 Juillet 2009 à 23h01 Un banquier de la LNH en déroute Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Le groupe financier CIT est au bord de la faillite. Après avoir tergiversé pendant plusieurs jours, l’administration Obama a finalement choisi de ne pas se porter à la rescousse de cette institution financière vieille de 101 ans. Ce groupe financier établi à New York l’a révélé en tout début de soirée, après que la négociation de son titre à la Bourse de New York eut été arrêtée quelques heures plus tôt. Aux yeux du gouvernement, CIT ne tombe pas dans la catégorie des institutions financières qui sont dites trop importantes pour tomber. Son actif sous gestion, de 75 milliards de dollars américains, est le dixième de celui de la défunte banque d’affaires Lehman Brothers. Toutefois, la clientèle de ce banquier se compose essentiellement de PME américaines, notamment dans l’industrie de la guenille. Ainsi, la faillite de CIT, qui est presque jugée inéluctable par l’agence de notation de crédit Standard & Poor’s maintenant que le gouvernement américain l’abandonne à son sort, pourrait faire des ravages dans l’économie des États-Unis. D’ailleurs, et c’est ce qui intéressera les amateurs de hockey, CIT a financé nombre d’équipes de la Ligue nationale, à la suite de son acquisition en 1999 de la firme torontoise Newcourt Credit Group. En 2006, un consortium bancaire dirigé par CIT aurait consenti 240 millions US à George Gillett, le propriétaire du Canadien de Montréal, afin qu’il puisse refinancer le club, la division sports et spectacles et le Centre Bell, selon l’hebdomadaire américain SportsBusiness Journal. L’an dernier, CIT a offert une facilité de crédit de 100 millions de dollars à la Rexall Sports Corporation afin de permettre à cette entreprise propriété de Daryl Katz de mettre la main sur les Oilers d’Edmonton. (Lire le communiqué ici.) CIT Group aurait aussi financé les Sénateurs d’Ottawa, les Devils du New Jersey et les Nashville Predators, selon le Globe & Mail. «Cela va être horrible (pour la LNH), a confié à ce quotidien torontois un conseiller financier non identifié qui travaille auprès d’équipes de hockey. Je ne sais pas ce qui va arriver quand ces financements arriveront à échéance.»
  20. Le déficit américain dépasse les 1000 milliards Publié le 13 juillet 2009 à 14h05 | Mis à jour à 14h07 Agence France-Presse Washington Le déficit budgétaire des États-Unis s'est encore alourdi en juin pour dépasser les 1000 milliards de dollars à l'issue de ce neuvième mois de l'exercice 2008-2009, selon les chiffres officiels publiés lundi à Washington. Le déficit de l'État fédéral s'est creusé de 94,318 milliards de dollars au mois de juin, indique le département du Trésor dans son rapport mensuel sur le budget. C'est un déficit record pour un mois de juin, mais c'est un peu moins que ce que prévoyaient les analystes (97,0 milliards). En conséquence, le déficit cumulé depuis octobre 2008, premier mois de l'exercice en cours, atteignait 1086,263 milliards de dollars à la fin du mois de juin. Le déficit cumulé ne cesse de franchir des records depuis le mois de février. Selon les projections du Bureau du budget du Congrès, il devrait dépasser la somme pharaonique de 1800 milliards de dollars à la fin de l'exercice, le 30 septembre 2009. Le mois de juin est traditionnellement un mois d'excédent budgétaire, mais comme les mois précédents, les comptes de l'État ont été affectés par la baisse des recettes fiscales liées à la crise (la collecte des impôts étant moindre du fait de la baisse des revenus des entreprises et des ménages) et la hausse des dépenses liées à la récession (relance budgétaire et hausse des prestations sociales). Les recettes de l'État ont ainsi atteint 215,364 milliards de dollars en juin, soit 17% de moins qu'un an plus tôt. C'est le 14e mois de baisse consécutive des recettes en glissement annuel. Les dépenses ont connu un mouvement inverse, progressant de 37% sur un an, pour atteindre 309,682 milliards de dollars, un record pour un mois de juin. Juin a été le neuvième mois consécutif de déficit. Il faut remonter à mars 1992 pour retrouver une série de soldes négatifs plus longue (11 mois).
  21. Le Canada enregistre un déficit commercial de 1,4 milliard de dollars en mai, deux fois plus élevé que prévu. Pour en lire plus...
  22. Le fabricant de jouets Mattel est condamné à une amende record de 2,3 millions de dollars américains pour avoir commercialisé des jouets contaminés au plomb, en 2007. Pour en lire plus...
  23. CAE élimine 600 emplois à Montréal PAR DENIS LALONDE 14 mai 2009 09:58 Le fabricant de simulateurs de vols CAE supprime 700 emplois à travers le monde dans son secteur civil, dont 600 à Montréal, afin de «raffiner sa structure organisationnelle pour créer une organisation allégée». De ce nombre, 380 emplois seront supprimés au cours des prochaines semaines et le reste suivra à l’automne. Les suppressions incluent également 70 postes de gestion puisque la société a décidé de consolider la direction de ses deux secteurs civils. CAE explique que son secteur militaire n’a jamais été aussi fort, mais prévoit que les commandes civiles diminueront dans le contexte actuel, ce qui la force à supprimer environ 10% de sa main-d’oeuvre. CAE compte 7000 employés. La direction de l’entreprise estime que la restructuration entraînera une charge d’environ 34 millions de dollars, inscrite au 1er trimestre de son exercice 2010 (en cours). De plus, afin de réduire ses coûts, CAE décrète un gel des salaires pour sa direction et la plupart de ses employés. Tout le personnel devra également prendre cinq journées de congé sans solde avant la fin de l’exercice en cours. Des mesures d’incitation à la retraite anticipée et pour limiter le temps supplémentaire ont également été mises en place. «Ces initiatives nous permettront de contrebalancer en grande partie le coût de la restructuration au cours de cet exercice et nous prévoyons des économies récurrentes annualisées d'environ 15 millions de dollars à plus long terme», révèle CAE dans un communiqué. «Nous avons une base bien diversifiée et une structure financière solide, et maintenant nous avons un plan pour gérer le ralentissement tout en continuant à fournir de la valeur à nos actionnaires. Notre restructuration nous positionnera pour tirer profit de l'éventuelle reprise dans le marché civil et ressortir encore plus fort lorsque le marché se redressera», a déclaré le président et chef de la direction de CAE, Robert Brown. Résultats financiers Même si elle appréhende une baisse de la demande pour ses simulateurs de vol civils, CAE a tout de même vu son bénéfice net augmenter considérablement au 4e trimestre de son exercice 2009 terminé le 31 mars. L’entreprise a réalisé un bénéfice net de 51,3 millions de dollars (20 cents par action), lui qui était de 35,6 millions de dollars (14 cents par action) à la période correspondante il y a un an. Les résultats de l’an dernier incluaient toutefois une perte nette de 11,4 millions de dollars liée aux activités abandonnées, sans quoi le bénéfice net aurait été de 47 millions de dollars (19 cents par action). Les revenus de CAE ont totalisé 438,8 millions de dollars, en hausse de près de 20% sur ceux de 366,6 millions de dollars dévoilés l’an dernier. Pour l’ensemble de l’exercice, la société basée à Montréal a enregistré un bénéfice net de 199,4 millions de dollars, en hausse de 31% sur celui de 152,7 millions de dollars déclaré il y a un an. Les revenus ont grimpé de 17% à 1,66 milliard de dollars, eux qui étaient de 1,43 milliard de dollars l’an dernier. Le carnet de commandes consolidé affichait une valeur de 3,2 milliards de dollars à la fin de l'exercice, comparativement à 2,9 milliards de dollars à la clôture de l'exercice précédent.
  24. R.R. Donnelley veut acheter Quebecor World Publié le 13 mai 2009 à 08h07 | Mis à jour à 08h10 La Presse Canadienne Chicago L'imprimeur américain R.R. Donnelley & Sons (RRD) veut acquérir son concurrent québécois en difficulté Quebecor World (T.IQW) pour un montant global de 1,35 milliard de dollars US en espèces et en actions. Dans un communiqué de presse émis mardi, l'entreprise, dont le siège est à Chicago, dans l'État de l'Illinois, a rendu publique une lettre d'intention qu'elle a fait parvenir cette semaine aux dirigeants de Quebecor World. R.R. Donnelley y explique qu'elle estime, après étude du dossier, que son offre est plus intéressante pour les créanciers et les prêteurs de Quebecor World que les plans et déclaration d'information modifiés soumis récemment dans le cadre de sa restructuration, tant aux États-Unis qu'au Canada. Quebecor World s'est placée sous la protection des tribunaux en janvier 2008, alors que ses dettes étaient supérieures à 1 milliard de dollars US. Le tribunal américain de la faillite doit évaluer vendredi les nouveaux documents devant servir de base aux fins du vote éventuel des créanciers de Quebecor World aux États-Unis, alors qu'au Canada, la Cour supérieure du Québec devrait entendre jeudi la motion de l'entreprise visant à obtenir l'autorisation de tenir une assemblée de ses créanciers canadiens. Quebecor World estime que, si tout se passe comme prévu, elle pourrait se libérer de la protection contre ses créanciers avec un bilan solide d'ici la mi-juillet. Dans ce contexte, R.R. Donnelley, qui s'était déjà montrée intéressée en avril 2008 à acquérir Quebecor World, dit être prête à réaliser la transaction qu'elle propose le plus rapidement possible. Elle assure que sa proposition ne nécessite aucune condition de financement et qu'elle n'est pas non plus conditionnelle à un vote d'actionnaires. La proposition de Donnelley comprend une partie en espèces d'environ 700 millions de dollars US, plus un montant de 257 millions de dollars US correspondant aux liquidités estimées de Quebecor World au 30 juin prochain, plus 30 millions d'actions de R.R. Donnelley représentant environ 15 pour cent des actions émises et en circulation de la compagnie et ayant une valeur d'environ 394,2 millions de dollars US sur la base du cours du titre à la clôture des marchés le 11 mai dernier, soit lundi.
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