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  1. Dans le sujet sur l'état des rues commerciales dans le Plateau Mont-Royal, il y avait un désaccord sur l'appréciation des saillies vertes. Pour l'un c'était de la mauvais herbe, pour l'autre, c'était très réussi. J'ai donc décidé de faire un sujet montrant quelques exemples de verdissement à Montréal, histoire d'avoir un endroit où montrer ce qu'on aime, ce qu'on aime pas. Le verdissement prend une place importante dans plus en plus de villes, et a un impact de plus en plus significatif sur l'urbanisme, le paysage urbain, et même la configuration de nos rues. Je trouve donc pertinent d'en parler dans un forum d'urbanisme! J'ai donc fait un petit tour rapide dans mon quartier et aux alentours: le nord du Plateau, Saint-Viateur Est, le Mile-End. Nous sommes en septembre, donc c'est pas mal moins fleuri et coloré que durant le reste de l'été, mais ça donne une idée de la qualité de l'infrastructure, je crois. La saillies vertes Ces saillies ont non seulement pour objectif de verdir une rue, mais aussi d'augmenter le dégagement pour la visibilité des piétons et des automobilistes, ainsi réduire la distance à traverser dans une rue. Une des plus grande saillies sur le Plateau. Elle va de la rue Boucher jusqu'à Maguire, et ainsi s'occupe de deux intersections d'un seul coup. Il y a une bonne diversité dans les plantes choisies pour l'aménagement. Sur Fairmount, une grande saillie est aussi devenue une petite place publique bien occupée: Voici quelques autres saillies dans le secteur: Retrait d'un cul-de-sac dans le parc Laurier On avait bien ri de la peinture verte sur la chaussée, mais l'aménagement final est plus qu'un simple bout de gazon. Les travaux du parc Laurier ont permis de revitalisé le parc. Le sud du parc Laurier est maintenant très populaire. La fin de semaine, il est difficile de trouver la moindre place libre. Il n'y a pas grand monde un vendredi matin de septembre par contre, plus simple pour les photos . Verdissement du terre-plein de Saint-Joseph Pas vraiment la place pour un motif floral complexe, c'este du foin et des arbres, plutôt que du béton et un bac à fleurs. Champ des possibles, nouveau parc laissé à l'état naturel C'est grâce à la pression populaire que cet espace n'a pas été aménagé en parc traditionnel. Il est donc laissé dans un état naturel. Par contre, le terrain est fortement contaminé, et ça énerve le gouvernement du Québec. En tout cas, c'est une bonne oasis de verdure à côté d'un imposant centre d'emplois. Verdissement du domaine public par les citoyens Les fameuses fausses d'arbre appropriées par des citoyens et des commerces pour y planter quelques fleurs. Je n'ai pas les exemples les plus éloquents en photos, c'était ce qu'il y avait sur mon chemin. Voici une initiative plus particulière: des bacs sont installés pour y planter des trucs comestibles (un organisme bénévole gère tout cela). Rendu en septembre, ça pousse moins bien, mais il y a quelques semaines on pouvait même cueillir son propre blé d'inde de ces bacs. Le papier présent est un plan avec les emplacements de ces bacs comestibles dans le quartier. Il y a du verdissement partout, et je n'ai pas couvert les ruelles vertes du coin. S'il y a du verdissement que vous aimez dans votre coin, ou s'il y a des aménagements qui sont dignes de la mauvaise herbe que vous voulez dénoncer, n'hésitez pas à mettre vos photos dans ce sujet!
  2. http://www.lactualite.com/blogues/le-fouineur/montreal-il-y-a-50-ans/ <header style="margin: 0px 0px 20px; padding: 0px 0px 20px; border-width: 0px 0px 1px; border-bottom-style: solid; border-bottom-color: rgb(204, 204, 204); font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; float: left; width: 1000px;">Voici à quoi ressemblait la vie à Montréal, en 1964. <time class="published" title="2014-01-08T16:26:58+00:00" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline;">8 jan. 2014</time>par Vincent Destouches <ins style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: bottom; width: 300px; height: 250px; display: inline-table; position: relative;"><ins style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; width: 300px; height: 250px; display: block; position: relative;"><iframe id="google_ads_iframe_/7326/Rogers.ExchangePassbacks/lactualite.CPGFrench_1" name="google_ads_iframe_/7326/Rogers.ExchangePassbacks/lactualite.CPGFrench_1" width="300" height="250" scrolling="no" marginwidth="0" marginheight="0" frameborder="0" style="margin: 0px; padding: 0px; border-width: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; position: absolute; top: 0px; left: 0px;"></iframe></ins></ins> </header> En 1964, les rues étaient tout aussi enneigées. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, les Montréalais se promenaient au Jardin des Merveilles, et les enfants profitaient de la baleine de Jonas ou encore de l’arche de Noé. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la Ville se préparait à accueillir l’Expo 67 en agrandissant l’île Sainte-Hélène et en érigeant l’île Notre-Dame. En 1964, la Place Ville Marie trônait depuis deux ans seulement sur le centre-ville. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le pont Champlain tenait sans super-poutre. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le Vieux-Montréal était à l’aube d’une transformation. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la gare Windsor servait encore de terminus et de siège social au Canadien Pacifique. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, il n’y avait pas de plage urbaine ni d’Igloofest dans le port de Montréal. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, on faisait du bateau sur l’étang du parc La Fontaine, lors des beaux vendredis d’été. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la rue Sainte-Catherine était à double sens. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, les Montréalais n’utilisaient pas le métro, mais seulement les bus de la Commission de transport de Montréal (CTM), l’ancêtre de la STM. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, on allait voir les Canadiens affronter les Bruins au Forum. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, Claude Léveillée, Nat King Cole et Charles Aznavour se produisaient à la Place des Arts. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le défilé de la Saint-Jean-Baptiste était haut en couleur, comme ici le char de la pêche sportive. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la Maison de Radio-Canada n’existait pas encore. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le mont Royal était un poil plus fringant. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, l’aéroport de Dorval était le plus achalandé au Canada. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, il y avait quelques tours en moins au centre ville, mais les nuits montréalaises étaient toutes aussi belles. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Quant à 1914, on dirait que c’était il y a un siècle… Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Toutes ces photos appartiennent aux Archives de la Ville de Montréal. Rendez-vous sur leur page Flickr pour en voir davantage.
  3. Il a sauvé le Théâtre Rialto et dénoncé le «scandale des garderies libérales». Ezio Carosielli se paye aujourd'hui l’Édifice CIBC, un autre joyau patrimonial au 265, Saint-Jacques, l'ancienne rue des banques, dans le Vieux-Montréal. «Ce sera le Théâtre Saint-James», annonce l’homme d’affaires en tous genres, à la fois avocat, amateur de beaux immeubles et propriétaire de garderies. «Nous ferons comme au Théâtre Rialto : des spectacles, des lancements de disques, des mariages, des pièces de théâtre… Tout ce qui rassemble deux personnes et plus, on le fait !» Les Bitton ne savaient plus trop qu'en faire.Le vendeur est une compagnie à numéros que détient la famille fondatrice de Buffalo Jeans. Elle avait acquis l’immeuble en 2010 de la CIBC après que la banque eut fermé la succursale. Fin 2011, Gabriel Bitton a tenté de le revendre en vain pour 5,7 M$, selon des documents de vente de Cushman & Wakefield. Il vient de la laisser à Ezio Carosielli pour 4,05 M$. «C'est un vrai gentleman», assure le nouveau propriétaire. Un gentleman qui revend tout de même l'immeuble presque un million plus cher que payé en 2010. L’édifice de 35 500 pieds carrés, que le ministère de la Culture et des Communications a l’intention de classer, nécessite peu de travaux, assure Ezio Carosielli. Il prévoit ouvrir dès décembre ou janvier son nouveau Théâtre Saint-James. Seul un permis d’amphithéâtre de la Ville de Montréal est nécessaire, dit-il. «L’idée, c’est de mettre en valeur ce qu’il y a déjà là.» Payant, les spectacles dans les immeubles patrimoniaux ? «Tout-à-fait. Il y a moyen de faire de l’argent avec la culture, répond-il. Mon entreprise est à but lucratif.» Édifice de prestige De monumentales colonnes romaines de granit ornent la façade de l’immeuble d’architecture classique, construit de 1907 à 1909. Il abrite une immense salle de guichets, cinq chambres fortes, de nombreux bronzes, des marbres et une collection de toiles. La Canadian Bank of Commerce, puis la Canadian Imperial Bank of Commerce - après une fusion en 1961 - ont occupé l’édifice jusqu’en 2010. L’organisme de protection du patrimoine Héritage Montréal s’est inquiété de son sort quand l’institution torontoise a décidé de le vendre. Ezio Carosielli a la manie de sauver les immeubles patrimoniaux. Pour 2,1 M$, il a mis la main en 2010 sur le Cinéma Rialto, avenue du Parc, dans le Mile-End. L’ancien propriétaire, Elias Calogeras, voulait le transformer en centre commercial et avait déjà commencé à le dégrader. Mais la valeur patrimoniale de l’édifice, érigé en 1924, est reconnue à la fois par la Ville, Québec et Ottawa, et l’homme d’affaires n’avait pu aller de l’avant. Garderies: le libéral insoumis L’entrepreneur est pour le moins éclectique. Le premier actionnaire de Théâtre Rialto Productions inc., Le Groupe Merveilles d’Ezio Carosielli, possède aussi dix garderies privées. Bien au fait de ce qui se trame dans ce domaine, c’est lui, le militant libéral insoumis, qui a alerté le Vérificateur général au sujet du «scandale des garderies libérales». Se qualifiant lui-même de «connaissance» du ministre déchu Tony Tomassi, responsable du dossier à l’époque, l’avocat avait néanmoins dénoncé la revente de permis de garderies pour des sommes allant jusqu’au demi-million de dollars. Le Parti québécois avait dénoncé le réseau «à la Wal-Mart» du Groupe Merveilles, qui avait obtenu des permis pour offrir au total 800 places dans ses dix garderies. Bon militant libéral, Ezio Carosielli dit avoir versé avec sa famille quelque 14 000 $ à l’ancien parti de Jean Charest depuis 2003. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/vieux-montreal-le-theatre-rialto-achete-ledifice-cibc/550493/1
  4. via Radio-Canada Frédéric Metz, figure marquante du design au Québec, est décédé Mise à jour le lundi 11 août 2014 à 8 h 35 HAE Frédéric Metz, le « pape du design », est mort d'un cancer samedi soir, à l'Hôpital Notre-Dame de Montréal, le jour de son 70e anniversaire. Membre fondateur de l'École de mode et du Centre de design et ancien professeur associé à l'UQAM, Frédéric Metz était également reconnu comme un pédagogue et un communicateur hors pair. Né en Suisse, Frédéric Metz est arrivé à Montréal en 1967, pendant l'Exposition universelle. Le livre « Design? » de Frédéric Metz Son livre, Design?, s'était vendu à plus de 6000 exemplaires. À la télévision, il avait aussi lancé en 2013 l'émission Design, une série d'entretiens visant à faire découvrir les esprits créateurs qui ont marqué le design au Québec. Il laissera en héritage plusieurs concepts graphiques connus, dont celui de l'aéroport Mirabel, de l'hôtel Méridien et des chaussures Browns, de même que l'accent grave sur le logo de l'UQAM. Bien connu pour ses nombreuses participations à des émissions de radio et à la télévision, il a aussi signé durant trois ans une chronique pamphlétaire dans le magazine Grafika. Le designer a aussi remporté en 2008 le Prix excellence en enseignement, volet carrière de l'Université du Québec. « Je peux enseigner la même matière, mais jamais de la même façon », avait-il lancé. Il avait pris sa retraite en 2009, après 32 années passées à enseigner. L'an dernier, il s'est vu attribuer l'Icograda Achievement Award pour l'ensemble de sa carrière.
  5. Montréal, terre d'accueil de Future Earth Publié le 11 juin 2014 à 08h48 Une organisation internationale visant à coordonner les recherches mondiales sur les changements climatiques vient de choisir Montréal pour s'y installer. Future Earth, qui compte notamment l'UNESCO et le Programme des Nations unies pour l'environnement parmi ses commanditaires, établira une partie de ses activités dans la métropole québécoise. L'information n'a toutefois pas encore fait l'objet d'une annonce officielle, et les partenaires impliqués se sont faits avares de commentaires, hier. C'est le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, qui a vendu la mèche dans un communiqué diffusé lundi. Montréal International, qui a travaillé à pousser la candidature de Montréal dans ce dossier, a confirmé du bout des lèvres que Montréal avait été désigné «soumissionnaire favori» pour abriter le secrétariat de l'organisation. La ville a proposé une candidature commune avec la France, le Japon, la Suède et les États-Unis. Il n'a pas été possible de savoir combien d'emplois devraient être créés à Montréal, ni si des mesures d'incitation financières ont été offerts pour attirer ce nouveau secrétariat. «Il s'agit d'une nouvelle fantastique pour le rayonnement de Montréal. Il y a déjà 62 organisations internationales basées à Montréal, contre 14 à Vancouver et 34 à Toronto. Nous sommes la ville internationale du Canada», a dit Stéphanie Allard, vice-présidente, organisations internationales, chez Montréal International. Future Earth, dont le secrétariat est actuellement à Paris, s'est donné comme mission de favoriser les recherches sur les meilleures façons de réagir aux changements climatiques. Elle dit vouloir mobiliser 1000 chercheurs et tisser des partenariats avec les décideurs de la planète au cours des 10 prochaines années. Montréal International avait formé une alliance avec les universités montréalaises, le Fonds de recherche du Québec et le consortium de recherche sur le climat Ouranos pour promouvoir la candidature de Montréal. http://www.lapresse.ca/environnement/dossiers/changements-climatiques/201406/11/01-4774771-montreal-terre-daccueil-de-future-earth.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_environnement_263_accueil_POS1
  6. Bravo à M. Dolan! Xavier Dolan, coup de coeur du 67e Festival de Cannes Cannes — Non, il n'y a pas que la Palme au palmarès. C'est un honneur important qu'a remporté Xavier Dolan avec le Prix du jury samedi soir (heure locale) pour son cinquième long métrage Mommy, qui fut l'immense coup de cœur de ce festival. Un laurier récolté ex aequo avec Godard pour Adieu au langage, l'aîné et le cadet des cinéastes en compétition logés à la même enseigne. La présidente du jury Jane Campion a dit aux médias avoir aimé beaucoup Mommy : «film merveilleux d'un brillant jeune cinéaste. Chez lui comme chez Godard, on sentait la passion et la liberté.» La cérémonie du palmarès s'est déroulée in abstentia de Godard, bien entendu. «Ce prix ne devrait pas révolutionner sa vie», a souligné, lucide, son producteur Alain Sarde, ajoutant : «Xavier Dolan 25 ans, Jean-Luc, 83, c'est magnifique!» Au moment de recevoir son laurier au grand amphithéâtre Lumière, Xavier Dolan ému, la voix brisée, a remercié Jane Campion dont La Leçon de piano l'avait jadis ébloui. Il a encouragé sa génération à croire à ses rêves. «Je pense que tout est possible à qui rêve, ose et travaille.» L'étreinte de Jane Campion à Xavier Dolan venait du fond du cœur. Plus tard, le jeune cinéaste québécois a commenté devant nous cette association avec Godard : «Je reconnais le gouffre de temps qui nous sépare. Nos recherches respectives de liberté au cinéma se sont faites à des époques différentes. En son temps, il a tenté de réinventer le cinéma. J'aime avoir l'impression que le cinéma prend un virage et que j'y participe. Le cinéma s'exprime à travers toutes les générations. Je viens du Québec. Toute mon enfance j'ai entendu : “Redescends sur terre! Pour qui tu te prends?” Je venais d'un endroit plutôt grand où les gens rêvaient petit. Les gens de ma génération ont une plus grande propension à rêver.» Il avait fantasmé sur la Palme, que tant de voix lui prédisaient. «On avait rêvé à tout. Il faut voir grand, rêver grand. Ce Prix du jury, nous dit que ses membres ont reconnu ce film, voulu le célébrer. Cette récompense me flatte de matière incompatible avec la mesure de mes rêves. On a un prix formidable que l'on ramène avec une grande fierté.» La Palme d'or à un grand film Le Turc Nuri Bilge Ceylan, plusieurs fois primé à Cannes, était un des favoris de la Palme d'or, qu'il a remporté pour son remarquable Winter Sleep — en plus du laurier de la critique internationale (Fipresci) — œuvre pleine de maturité et de maîtrise, très dialoguée, en quête de vérité profonde, son meilleur film. Il a souligné que cette année était la centième de l'histoire du cinéma turc, pays qui récolte sa première palme. Jane Campion a jugé le film brillamment tchékhovien, sophistiqué, avouant qu'elle craignait d'abord sa durée : 3 h 15, mais en aurait ensuite bien pris deux de plus. «Il durait 4 h 30 au début du montage», avouait le cinéaste aux journalistes. Nuri Bilge Ceylan déclare s'intéresser à la part sombre de son âme, donc de la nature humaine. La jeune cinéaste italienne Alice Rohrwacher, dont le film tendre, fragile et poétique Les Merveilles avait été reçu tièdement, prend sa revanche, surclassée pour ainsi dire, en recevant le Grand Prix du jury. C'est la note incongrue d'un palmarès par ailleurs équilibré. L'Américain Bennett Miller, avec un laurier de la mise en scène pour son Foxcatcher, a de quoi soupirer de soulagement. Le tournage de l'adaptation d'un fait divers tragique, en présence de plusieurs protagonistes de l'époque, avait été éprouvant et Miller avoua qu'il n'aurait jamais pu faire le film sans ses trois grands acteurs. Le Russe Andrey Zvyagintsev a récolté le prix du scénario pour le beau, tragique et ironique Leviathan, brillamment mis en scène, une satire du régime russe, de ses abus et de ses corruptions. «Plus biblique de politique», estime pour sa part Jane Campion. Certains souhaitaient une troisième palme aux belges frères Dardenne pour Deux jours, une nuit, donnant la vedette à Marion Cotillard. Pour la première fois en six sélections, les voici repartis, bredouille. Il est vrai que leur excellent cinéma social piétine. Timbuktu d'Abderrahmanse Sissako, pressenti haut au palmarès, n'a rien reçu non plus. Les prix d'interprétation étaient mérités. Julianne Moore, folle de charisme dans l'excellent Maps to the Stars du Torontois David Cronenberg, satire féroce d'Hollywood, n'était pas à Cannes pour récolter son laurier. Timothy Spall, acteur britannique d'immense talent, récolte enfin la reconnaissance internationale .Le voici primé pour son extraordinaire performance du peintre paysagiste J.M.W. Turner (Angleterre du XIXe siècle) dans le film éblouissant de Mike Leigh Mr. Turner. Confus à l'heure de remercier le jury, empêtré dans son cellulaire et son incohérence, l'émotion, lui coupait le souffle. Le truculent et vibrant Party Girl de Marie Amachoukeli, Claire Burger et Samuel Theis a remporté la Caméra d'or du meilleur premier long métrage, avec l'histoire vraie d'une femme de province, kitsch, entraîneuse de cabaret, allergique à la vie ordinaire. Son fils est un des cinéastes. Party Girl avait remporté la veille le prix d'ensemble d'Un certain regard. Un autre premier long métrage, Les Conbattants du Français Thomas Cailley s'est fait remarqué : trois prix à la Quinzaine des réalisateurs en plus du laurier de la FIPRESCI hors compétition. Les astres sont bien enlignés bien pour lui aussi. Mais c'est Xavier Dolan qui aura remporté lors de ces derniers jours enfiévrés, la palme du cœur. Et l'immense vitrine internationale offerte à son Mommy en multiples porte-voix des médias du monde se traduit aussi par une distribution à l'échelle planétaire. Près de 1,5 M$ de ventes, sont déjà assurées, un chiffre énorme. Entre autres marché, l'Allemagne l'a acquis samedi en prévision d'une sortie importante. Les États-Unis en négocient les droits. Avec un tel buzz et le prix du jury, le film commence à peine sa trajectoire. http://www.ledevoir.com/culture/cinema/409164/67e-festival-de-cannes-la-palme-d-or-a-nuri-bilge-ceylan-le-prix-du-jury-a-xavier-dolan
  7. Lorsque j'ai déménagé dans le coin il y a deux ans, l'immeuble à cet endroit avait brûlé peu avant. Il y avait une terrible carcasse qui rendait ce coin de Mont-Royal, entre St-Denis et St-Laurent, très peu attrayant. Ils l'ont ensuite démoli, et pendant deux ans, ce terrain ressemblait à pas grand chose. Un autre terrain sous-utilisé du secteur. https://maps.google.com/maps?q=55+Avenue+du+Mont-Royal+Est,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&hl=en&ie=UTF8&ll=45.520293,-73.585289&spn=0.004082,0.010568&sll=45.520651,-73.585934&layer=c&cbp=13,344.57,,0,-5.12&cbll=45.520627,-73.585956&hnear=55+Avenue+du+Mont-Royal+Est,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H2T+1N4,+Canada&t=h&z=17&panoid=HmSVeRgzW0mIqi2KysbQ6A Finalement : un projet conventionnel de 4 étages et un rdc commercial! On aime quand même! Le local est loué. On ignore par quoi. Perso, je mets un 10 sur un Starbucks. Ils recherchent ce type d'espace commercial neuf vitré. De plus, il n'y en a pas dans le coin (St-Laurent/Mt-Royal), et la compagnie en ouvre partout sur le Plateau depuis 1-2 ans (Brebeuf/Mt-Royal, St-Hubert/Mt-Royal, Laurier/Lanaudière, Laurier/Parc). Je prie pour que ça soit un café, je vais vous avouer. 22 octobre 2012 :
  8. http://www.lapresse.ca/actualites/elections-provinciales/enjeux/201403/08/01-4745768-plq-un-traversier-pour-la-rive-sud.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_elections-quebec-2014_1965459_accueil_POS4 Publié le 08 mars 2014 à 09h35 | Mis à jour à 09h35 PLQ: un traversier pour la Rive-Sud Pour décongestionner le réseau routier, Philippe Couillard promet d'instaurer un service de traversier entre Montréal et la Rive-Sud, même si l'Agence métropolitaine des transports (AMT) a rejeté cette idée en 2012. Cet engagement fait partie de la «stratégie maritime» que le chef libéral a dévoilée hier et qui fait concurrence au Projet Saint-Laurent du chef caquiste François Legault (pour plus de détails, lisez le texte «Fleuve: Couillard dans les plates-bandes de Legault»). Le document de 48 pages donne peu de détails sur ce projet de traversier. On peut seulement y lire qu'il s'agit d'une solution pour «décongestionner les accès à Montréal», qui «vivra prochainement les conséquences de vastes chantiers» comme la construction du nouveau pont Champlain. Le coût serait de 10 millions par année. On ne précise pas l'emplacement des quais, la fréquence des départs, combien de personnes pourraient être transportées - des automobiles pourraient l'être aussi, comme pour le traversier reliant Lévis à Québec. La promesse repose sur des «études privées» que le PLQ a refusé de divulguer. Les libéraux disent s'inspirer des navettes fluviales qui existent à Boston. Ils rappellent que le député sortant Pierre Moreau avait lancé l'idée de telles navettes entre Montréal et la Rive-Sud au printemps 2012, à l'époque où il était ministre des Transports. L'AMT avait été chargée d'analyser cette option. Et elle l'avait rejetée. «Chaque fois qu'on a étudié cette mesure, on l'a écartée parce que le rapport coût-bénéfice n'est pas bon, a expliqué à La Presse une porte-parole, Claudia Martin. C'est une mesure qui coûte cher pour le nombre de personnes qu'on peut transporter. Et c'est difficile de mettre en place une mesure comme ça.»
  9. http://www.ledevoir.com/sports/soccer/401521/le-voile-et-le-turban-officiellement-autorises-dans-le-football <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;">[h=1]Le voile et le turban officiellement autorisés au football[/h]</header>1 mars 2014 10h31 | Agence France-Presse | Soccer <figure class="photo_paysage" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : Agence France-Presse (photo) Archives / Amir PoormandDes joueuses de l'équipe nationale iranienne féminine de football en échauffement, en 2009. Le port du voile ou du turban a été avalisé samedi par la FIFA.</figcaption></figure>Zurich — La possibilité de porter le voile ou le turban a été officiellement intégrée samedi dans les règles du football, ce qui devrait contribuer à lever la barrière religieuse à son développement dans plusieurs pays du globe. L’International Football Association Board (IFAB), l’organe garant des lois du ballon rond, avait autorisé à titre d’essai le port du voile sous certaines conditions strictes il y a deux ans, à la demande de plusieurs pays musulmans. Le Board avait ensuite accepté d’étendre cette expérience aux joueurs masculins après qu’un conflit autour du turban par des Sikhs déborde sur les terrains de football au Québec. «Une expérience a été menée et la décision restait à prendre. Cela a été confirmé: les joueuses peuvent avoir la tête couverte pour jouer», a déclaré le secrétaire général de la Fédération internationale de football (FIFA), Jérôme Valcke, lors d’une conférence de presse. «Nous ne pouvons faire de discrimination. Ce qui s’applique aux femmes peut s’appliquer aux hommes. Les hommes peuvent aussi porter dans les différents compétitions un couvre-chef», a ajouté Jérôme Valcke. Consignes à respecter Le Board a jugé ne plus avoir de raisons valables de l’interdire si les consignes fixées sont bien respectées. Car ce couvre-chef autorisé sur les terrains n’aura rien à voir avec le voile ou le turban de tous les jours. Il doit en effet être collé à la tête, être en accord avec la tenue du joueur, ne pas être rattaché à son maillot, ne pas constituer un danger pour celui qui le porte ou pour autrui, et ne doit avoir aucune partie qui dépasse. Les épinglettes pour le faire tenir aux cheveux sont aussi bannies. Il doit encore être défini précisément et une circulaire sera envoyée dans la foulée aux différentes fédérations pour expliquer les détails. La question du voile avait agité la planète du ballon rond ces dernières années. L’Iran était allé jusqu’à porter plainte contre la FIFA parce que les joueuses de son équipe nationale, faute d’être autorisée à couvrir leurs têtes, avaient dû faire une croix sur les qualifications pour les Jeux olympiques de Londres en 2012. Le débat avait ressurgi au Canada en juin 2013, quand la Fédération québécoise de football s’était opposée au port du turban par des Sikhs sur les terrains. La Fédération canadienne, qui y était favorable, avait décidé de suspendre la branche québécoise avant que la FIFA ne calme le jeu, en étendant aux joueurs masculins le champ de son expérience. Choix sportif plutôt que religieux Pour les instances dirigeantes du ballon rond, c’est l’aspect sportif qui a primé sur le débat autour du symbole religieux. «C’était une requête qui venait d’un groupe de pays et d’un groupe de joueurs qui disaient que cela contribuerait au développement du football et ce fut le principal argument qui a poussé l’IFAB à dire oui», a souligné Jérôme Valcke. Si l’autorisation d’avoir la tête couverte sur les terrains est valable pour le monde entier, cela ne veut pas dire qu’elle sera appliquée partout. En France, où le débat sur le voile fait rage dans toutes les strates de la société depuis plusieurs années, la fédération nationale de football avait déjà interdit, il y a deux ans, à ses licenciées le port du voile afin «de respecter les principes constitutionnels et législatifs de laïcité» qui prévalent dans l’Hexagone. Samedi, la FFF a rappelé que ces mêmes principes restaient valables y compris «en ce qui concerne la participation des sélections nationales françaises dans des compétitions internationales» et maintenu «l’interdiction du port de tous signes religieux ou confessionnels» dans le pays. L’IFAB a aussi amendé les règles concernant les tenues des joueurs afin d’interdire plus clairement tout slogan, déclaration ou image à caractère politique, religieuse ou personnelle sur la partie visible ou sur les sous-vêtements. Que leurs intentions soient bonnes ou non, les joueurs qui soulèvent leur maillot pour montrer au public un message écrit s’exposeront ainsi à des sanctions. Par Stéphanie Pertuiset
  10. Je crois que ce lien vient d'un membre de MTLurb BruB...si c'est le même mais j'ai trouvé ca interessant je n'étais pas au courant... Montréal est relativement chanceux, Notre aéroport est assez près du centre-ville pour qu’un voyage en taxi ne vous coûte pas plus de 40$, circulation ou non. Habituellement, vous vous en sauverez avec une course de 25$-30$. Mais avez-vous imaginez prendre le métro pour vous rendre à votre avion quelques minutes avant son départ, ou de vous présenter à l’aéroport et d’acheter votre billet sur place comme vous le feriez avec un autobus gare d’autocars de Montréal? Nous connaissons tous « l’autre » aéroport oublié sur la rive-nord, mais saviez-vous que Montréal a eu dans un passé pas si lointain deux autres aéroports? Plusieurs se rappelleront l’usine de Canadair (aujourd’hui Bombardier) à Cartierville (St-Laurent) qui était équipé d’un aéroport avec deux pistes d’atterrissage. Mais, je vous parlerais de l’Aéroport de Cartierville un peu plus tard. Aujourd’hui, je vous parle de celui que l’on connait moins et pourtant, est assez récent. Entre l’autoroute Bonaventure et le Pont Victoria se trouvait une piste d’atterrissage qui a été en fonction de 1974 à 1976. Le Stolport Victoria se voulait un projet-pilote pour améliorer l’offre de transport entre certaines grandes villes canadiennes et donner un coup de main à l’industrie de l’aéronautique qui en avait grandement besoin à ce moment et très peu d’information sur ce vestige est disponible aujourd’hui. Je me considère personnellement un connaisseur de notre belle ville, mais ce détail m’était complètement inconnue jusqu’au moment où je suis tombé sur ce billet du blogue de Taylor Noakes qui a vraiment piqué ma curiosité. Comment un aéroport a bien pu être construit puis détruit à l’endroit où se trouve aujourd’hui les Studios Mel’s et le Technoparc de Montréal? Le projet-pilote est présenté le 13 mai 1971 par le Ministre des Transports du Canada, Don Jamieson. La première ligne du système d’Adaport serait Montréal-Ottawa avec la construction d’un aéroport-de-ville où se situe un stationnement du temps de l’Expo 67 juste aux côtés du pont Victoria. Un Adaport, aussi appelé un Stolport est selon wikipedia, est un aéroport ou une plate-forme urbaine destinée à l’atterrissage et ou décollage d’appareils nécessitant un faible espace. Il est prévu pour être utilisé par des avions à décollage et atterrissage court (ADAC) ou des aéronefs à décollage et atterrissage verticaux (ADAV). À titre de référence, la piste de Montréal serait de 2000 pieds. Le fédéral s’engage à ce moment de construire les aérogares d’Ottawa et de Montréal et d’acheter six avions DHC-6 Twin-Otter de 11 passagers de la compagnie De Havilland Canada de Toronto et opérés par Air Canada de Montréal. Au moment de l’annonce en 1971, le projet avait déjà coûté 61 millions en étude de faisabilité. Avant même ces débuts il était prévu que le gouvernement fédéral devra verser 21 millions par années pour faire fonctionner la ligne MTL-OTT, le revenu des billets ne couvrant que les coûts de base. Le Pont Champlain et L’autoroute Bonaventure en arrière plan. Le choix de l’emplacement pour les adaports se devait d’être rapidement accessible du centre-ville, s’assurer que le bruit des avions soit égale à 300 pieds ce qu’un autobus était à 100 pieds et permettant une altitude de vol entre 3 000 et 5 000 pieds entre les deux destinations. Si le projet s’avérait positif, des villes comme Toronto, Boston et New-York était dans la mire des gestionnaires. Maintenant, pensez à la congestion aérienne. Dorval, Cartierville et Victoria se trouvaient pas mal tous dans l’ouest de la ville et c’est pour cette raison que les pilote furent judicieusement sélectionnés et entraînés pour le vol en basse altitude, sur une courte piste d’atterrissage et en environnement urbain. Il ne faut pas oublier que la piste de Montréal avait le pont et une ligne importante à haute tension tout prêt. Cette ligne électrique y est toujours présente Le 24$ de votre billet incluait en plus des taxes, la navette la « Stolmobile » entre l’hôtel Bonaventure (aujourd’hui un Hilton) et l’aérogare qui partait 15-20 minutes avant le décollage ou le stationnement gratuit et une autre navette à destination. Les vols partaient à toutes les heures entre 8h et 22h et ne duraient que 45 minutes environ. La petitesse de l’appareil Twin-Otter n’avait aucune cabine dédiée au pilotage, pas d’hôtesse, de repas ou même de journaux et peu de place pour des baguages. La clientèle visé était les « Hommes d’affaire ». Je mets homme d’affaire entre guillemets, puisqu’à ce moment dans notre histoire, l’idée de voir une femme en jupes ou même en pantalons se rendant au bureau était presque dérisoire Plusieurs retards dans la construction de l’adacport de Montréal dû en grande partie aux choix de l’emplacement choisi. Son emplacement est régulièrement remis en question à cause du terrain trop malléable en plus d’émanation de gaz s’échappant du sol. Le tarmac s’est enfoncé de plusieurs centimètres sous le sol constitué de déchets entassés sur plusieurs dizaines de mètres de hauteur pour construire le parc de stationnement Victoria. L’histoire ajoute même que la piste s’est fissuré en deux endroits et un inspecteur qui avait lancé sur une des fissures un bout de papier auquel il avait mis feu a eu la surprise de voir la piste prendre feu à ses pieds à cause du méthane provenant de la décomposition organique des poubelles. Une erreur de calcul des ingénieurs du gouvernement canadien. Les appareils dotés de la plus haute technologie firent leur premier vol le 24 juillet 1974 et selon les estimés, lors de leurs premières années d’opérations, devaient attirer près de 90 000 vols entre les deux villes. Lors de cette journée inaugurale, le nouveau Ministre des Transports Jean Marchand voyait là, une nouvelle façon de voyager, rendre l’avion accessible à une certaine classe de gens Durant sa période d’essais de 21 mois, la ligne entre l’Adaport Victoria de Montréal et le Rocckcliffe Airport d’Ottawa aura transporté 160 000 passagers et capturant 3% de part de marché des 2.1 millions de déplacements estimés entre Montréal et Ottawa soit en auto, en trains, en bus ou en avions conventionnels. Un peu plus de la moitié de ces voyageurs ont effectué un retour durant la même journée. Le projet fut annulé malgré les résultats positifs, mais ayant de grands problèmes financiers et suite à certaine démocratisation de l’aviation qui verra son apogée à la fin des années 70 en plus de quelques détails interdisant la licence à un opérateur unique. En 1985, avec l’aéroport toujours à cet endroit, mais inutilisé, une compagnie au nom de City Express revint au galops avec le concept de Stolport en partant de l’Aéroport Billy Bishop de Toronto eu le O.K du gouvernement du Canada et de l’autorité du Port de Montréal, alors propriétaire du terrain ou se trouvait le Stolport Victoria, mais arrêtèrent leur choix sur l’aéroport de Dorval. City Express plia baguage en 1991. De nous jours la compagnie Porter offre plus ou moins le même concept où City Express l’a laissé et ce, avec un certain succès faut-il ajouter. En 1989, la ville fait l’acquisition pour 1 000 001$ d’un peu plus du tier du terrain, pour créer le Technoparc de Montréal aujourd’hui appelé le PEPSC (Le Parc d’Entreprises de la Pointe-St-Charles). Le reste du terrain appartenant au CN et à la société des Ponts fédéraux. Le Victoria Stolport devient alors de l’histoire ancienne, souvent oubliée ou complètement inconnue par les dizaines de milliers d’automobilistes qui empruntent les voies de l’autoroute Bonaventure ou du pont Victoria à chaque jour. L’Adaport Victoria n’aurait jamais pu être de niveau international comme Dorval est aujourd’hui, mais le succès de l’Aéroport Billy-Bishop de Toronto pousse à se demander si le service centre-ville à centre-ville n’aurait pas un peu de positif pour les voyageurs locaux Source http://proposmontreal.com/index.php/category/urbanisme/
  11. Québec avance 1,2 million au studio Cinesite Publié le 15 janvier 2014 à 11h07 | Mis à jour à 11h07 Québec prête 1,2 million de dollars à la société de Grande-Bretagne Cinesite pour qu'elle implante un studio de production d'effets visuels et d'animation à Montréal. Le prêt est octroyé par le bras investisseur du gouvernement provincial, la société Investissement Québec. La venue du studio qui créera autour de 200 emplois a été rendue publique par La Presse ce matin. La nouvelle devrait être confirmée lors du passage de la première ministre Pauline Marois à Londres la semaine prochaine. On doit à Cinesite les effets spéciaux de la série de films Harry Potter. Il s'agit du second studio britannique à choisir Montréal en un an. À peu près à la même date l'an dernier, Framestore avait annoncé l'ouverture de nouvelles installations à Montréal. L'entreprise avait pu bénéficier d'un prêt sans intérêt de 900 000$ étalé sur 5 ans, ce qui coûte environ 35 000$ par année au gouvernement. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201401/15/01-4728925-quebec-avance-12-million-au-studio-cinesite.php
  12. Une belle histoire, juste avant Noël... http://www.lapresse.ca/arts/dossiers/nathalie-petrowski-rencontre/201312/20/01-4723016-osm-rencontre-avec-lunite-9-la-vraie.php
  13. CAD Industries Ferroviaires créera plus de 270 emplois Publié le 12 décembre 2013 à 13h06 CAD Industries Ferroviaires, de Montréal, annonce un investissement de 13 millions de dollars dans la modernisation et l'agrandissement de ses installations dans l'arrondissement de Lachine, ce qui lui permettra de pratiquement doubler sa main-d'oeuvre. L'investissement repose toutefois grandement sur le soutien financier des pouvoirs publics. La première ministre Pauline Marois était d'ailleurs de passage lors de l'annonce, jeudi matin, pour préciser que son gouvernement fournira un prêt de 5 millions de dollars et une subvention de 1,5 million. De plus, Emploi Québec ajoutera une contribution de près de 1 million pour la formation de la nouvelle main-d'oeuvre, pour un total de 7,5 millions de soutien public. Par ailleurs, la Caisse de dépôt et placement du Québec, qui avait déjà investi 7 millions en 2011 relativement au rachat de l'entreprise par sa direction, allonge un autre 4 millions sous forme de capital-actions dans l'entreprise. CAD Industries Ferroviaires, qui est déjà le plus grand atelier manufacturier de réparation et de réfection de véhicules ferroviaires au Canada, verra à terme le nombre de ses employés passer de 300 à près de 600. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201312/12/01-4720340-cad-industries-ferroviaires-creera-plus-de-270-emplois.php
  14. Suncor: investissement de 220 millions à Montréal Suncor (T.SU) a fait savoir hier qu'elle investira quelque 200 millions de dollars à Montréal pour préparer sa raffinerie à traiter du pétrole de l'Alberta. Il s'agit d'une première étape d'un investissement plus considérable, pouvant dépasser le milliard de dollars, qui est nécessaire pour permettre à la raffinerie de Montréal de traiter du pétrole plus lourd et moins coûteux que le brut importé. Ce projet d'investissement est dans l'air depuis des années. Il avait été annoncé par Petro-Canada avant la transaction qui l'a fait passer aux mains de Suncor en 2009. Il refait surface aujourd'hui parce que le prix du brut importé est plus élevé que celui du pétrole albertain, qui souffre du manque de débouchés vers les marchés de consommation. Suncor a donné son appui à l'inversion du flux du pipeline d'Enbridge pour acheminer le pétrole de l'Ouest à Montréal. L'entreprise, qui est aussi le plus gros producteur canadien de pétrole bitumineux, a indiqué qu'elle avait l'intention d'utiliser le train pour approvisionner sa raffinerie de Montréal. L'annonce d'hier donne le feu vert officiel à la transformation de la raffinerie. L'investissement d'environ 220 millions fait partie du programme de dépenses de Suncor pour 2014, qui a été rendu public hier. Suncor prévoit investir 960 millions dans ses activités de commercialisation et de raffinage, soit 740 millions pour les entretenir et 220 millions pour les faire croître. «Le capital de croissance du secteur Raffinage et commercialisation de 220 millions sera affecté en grande partie à des projets visant à préparer la raffinerie de Montréal pour l'approvisionnement en pétrole brut intérieur», a précisé l'entreprise dans son annonce. Au total, Suncor prévoit dépenser 7,8 milliards en 2014, dont 4,2 milliards dans des projets de croissance et 3,5 milliards en entretien. Elle compte augmenter sa production de pétrole de 10%. http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201311/21/01-4712993-suncor-investissement-de-220-millions-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS22
  15. Un bel été pour les hôtels montréalais Publié le 19 septembre 2013 à 15h14 La saison estivale a visiblement été fructueuse pour les hôtels de la métropole. Selon l'Association des hôtels du grand Montréal (AHGM), ceux-ci ont enregistré un taux d'occupation de 79,3% pour les mois de juin, juillet août, un niveau comparable à celui de 2011, qui s'élevait à 79,8%. Le prix moyen des chambres a également connu une hausse, passant de 146, 77$ pour l'été 2011, à 151,05$ pour la saison estivale 2013. «Notons que la comparaison avec les données 2012 est difficile en raison du contexte particulier en lien avec la crise étudiante», peut-on lire dans le communiqué de l'AHGM publié jeudi. Rappelons que, avant le début des vacances, Tourisme Montréal avait tenu à rappeler que la bonne santé de l'industrie touristique de la métropole dépendait notamment de l'augmentation du prix moyen des chambres. «Quand on parle aux grands investisseurs hôteliers, ils nous disent que le Canada est l'endroit où leur taux de rentabilité est le plus faible», avait affirmé lors d'un point de presse, l'ancien président-directeur général de Tourisme Montréal, Charles Lapointe. Il estimait également que la ville avait une petite «faiblesse» du côté de l'hébergement de luxe. Seuls le Ritz et le Saint-James occupent ce créneau, affirmait-il. http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201309/19/01-4691123-un-bel-ete-pour-les-hotels-montrealais.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  16. Condos sur le boulevard Laird, de 700k à 2 750 000$. Toutes les photos proviennent de là: http://mansourrealties.com/canora_fr.html Projet: Ce qu'il y avait auparavant:
  17. Il n'y avait pas de fil pour la transformation du 410 Sherbrooke Ouest en résidences de McGill? Bref, il y avait un rendu sur le chantier aujourd'hui.
  18. L'INRS choisit Laval Violaine Ballivy La Presse Montréal? Laval? Entre les deux, le coeur de l'INRS ne balance plus. Il a craqué pour la banlieue. Le conseil d'administration de l'Institut national de recherche scientifique a décidé que son nouveau pavillon consacré aux nanotechnologies devra être érigé à Laval, a appris La Presse. Un ambitieux projet de 75 millions de dollars. Déterminé à réunir son équipe de chercheurs du secteur des télécommunications, situé au centre-ville de Montréal, avec celle de secteur de l'énergie et des matériaux, installée à Varennes, l'INRS avait envisagé sérieusement de s'implanter sur le campus que l'Université de Montréal veut développer à l'ancienne gare de triage d'Outremont. Mais une analyse plus approfondie du dossier a convaincu l'INRS de privilégier plutôt un agrandissement de ses installations de Laval, où se trouve déjà l'Institut Armand Frappier, spécialisé dans le domaine biomédical. «Notre choix est d'abord et avant tout scientifique, a expliqué à La Presse Charles Lapointe, directeur général de l'INRS. On s'aperçoit que nos recherches dans le secteur des télécommunications auront beaucoup plus d'applications dans le secteur biomédical que prévu. Il nous a semblé très clair que réunir notre secteur biomédical avec celui des nanosciences allait de soi. C'est une vision d'avenir qu'on ne pouvait pas évacuer.» Des lasers que les scientifiques comptaient consacrer au développement des appareils de télécommunications, par exemple, s'avèrent finalement plus utiles en médecine, dans les systèmes d'imagerie médicale. Il faut dire aussi que, dès le départ, la candidature de Laval a toujours semblé avoir une bonne longueur d'avance sur celle de son rival. D'abord côté budget. L'INRS réalisera des économies substantielles en s'installant sur le boulevard des Prairies, puisqu'elle y possède déjà les terrains où sera construit le nouveau pavillon. Puis, côté environnemental. La science des nanotechnologies - de l'infiniment petit - nécessite un milieu sismique parfaitement stable qui n'aurait pu être garanti à Outremont en raison du va-et-vient sur la voie ferrée. Déception à l'Université de Montréal L'Université de Montréal avait déployé beaucoup d'efforts pour séduire l'INRS et le convaincre de s'installer auprès d'elle. «Nous sommes déçus parce qu'on avait un beau projet de partenariat qui permettait des synergies intéressantes entre nos chercheurs», a commenté hier Sophie Langlois, porte-parole de l'établissement montréalais. Selon Mme Langlois, ce revers n'aura pas d'impact important sur le projet du campus d'Outremont. «Il y avait des choses intéressantes à développer en complémentarité, mais cela ne nous empêchera pas de poursuivre le projet.» Ce choix arrêté, les administrateurs de l'INRS s'échinent maintenant à peaufiner le montage financier du projet, dont le coût est estimé à 75 millions. Destiné à la fois à la recherche et à l'enseignement, l'établissement compte sur des subventions du ministère de l'Éducation, du ministère du Développement économique du Québec et Développement économique Canada. Charles Lapointe est pressé. La construction de cet édifice doté de laboratoires spécialisés s'annonce complexe et nécessitera au moins 18 mois de travaux. Or, «je compte bien procéder à la visite officielle en 2010.» Le nouveau pavillon regroupera aussi un peu plus de 300 chercheurs, techniciens et étudiants. Ce déplacement vers Laval représente la dernière étape du projet de l'INRS de regrouper en quatre endroits seulement ses huit centres de recherches afin de créer des pôles mieux définis et d'améliorer sa compétitivité à l'échelle mondiale. Peu de temps avant Noël, les bureaux de l'INRS situés à Pointe-Claire, qui accueillaient 125 chercheurs et, entre autres, le renommé laboratoire antidopage de Christiane Ayotte, ont aussi été rapatriés à Laval. Ce projet a coûté à lui seul 20 millions. http://www.cyberpresse.ca/article/20080214/CPACTUALITES/802140727/1019/CPACTUALITES
  19. Voici un album flckr sur ma visite du Buzludzha Monument, situé sur la plus haute montagne de bulgarie près de l'ancienne capitale de Veliko Tarnovo. Une veille relique de l'époque communiste... (how to waste money, communist style) Il y avait beaucoup de brume cette journée là et il y reignait une ambiance trop spéciale. Je ne me sentais pas sur terre!! Enjoy! Lien: http://www.flickr.com/photos/61637441@N06/sets/72157632270571827/show/
  20. https://www.facebook.com/photo.php?pid=11349948&l=24edd1ed64&id=286149459542 Article du devoir en 2002 au moment de la démolition Démolition controversée de l'ancien poste de police du Port de Montréal La Société du Vieux-Port a annoncé hier qu'elle démolira l'ancien poste de police du Port de Montréal et que les travaux commenceront... dès aujourd'hui. Abandonné depuis 1981, le bâtiment est dans un si piètre état que la direction du Vieux-Port estime qu'on ne peut retarder les travaux. Ce n'est pas l'avis du conseiller municipal de Ville-Marie, Robert Laramée, qui considère cette décision aussi discutable que précipitée. Construit en 1923, l'édifice de trois étages situé tout près du quai de l'Horloge était inutilisé depuis deux décennies. Dès 1982, la Société du Vieux-Port avait décelé des faiblesses dans sa structure et avait procédé, au cours des années suivantes, à diverses interventions, dont l'installation de poutrelles d'acier, pour tenter de le consolider, mais en vain. Sa stabilité précaire et la progression des fissures ont convaincu la direction du Vieux-Port qu'une démolition s'imposait. En mai dernier, le Service de sécurité incendie de Montréal avait même jugé l'édifice non sécuritaire et, depuis octobre dernier, celui-ci est recouvert d'une toile pour protéger les passants des chutes de mortier. Alerté, le conseiller municipal de Ville-Marie, Robert Laramée, a songé à obtenir une injonction pour empêcher la Société du Vieux-Port d'aller de l'avant avec ses travaux, mais le contentieux l'en a vite dissuadé, jugeant la démarche inutile. C'est donc par lettre hier qu'il a demandé à Claude Benoît, présidente du Vieux-Port, de surseoir à sa décision car il attribue au bâtiment une valeur patrimoniale certaine. «Il vaut la peine, selon moi, qu'on prenne deux minutes de respiration. Peut-être pourra-t-on trouver le financement nécessaire pour le mettre en valeur», fait-il valoir. Mais selon Jean-Claude Marsan, professeur à l'École d'architecture de l'Université de Montréal, l'ancien poste de police a une valeur patrimoniale plutôt mineure, tant sur le plan historique que sur le plan architectural, et, connaissant le délabrement de l'édifice, il reconnaît que dans «des circonstances comme celle-là, où un édifice est en train de tomber, il faut prendre de telles décisions». http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/14858/demolition-controversee-de-l-ancien-poste-de-police-du-port-de-montreal
  21. Une immense toile de Salvador Dali dévoilée à Montréal MONTREAL - Une immense toile de Salvador Dali, peinte à New York pour servir de rideau au ballet Tristan Fou présenté au Metropolitan Opera en 1944, a été pour la première fois dévoilée lundi au public à Montréal, après avoir été restaurée en Suisse. La toile, qui mesure près de neuf mètres sur quinze et représente une vision surréaliste de Tristan et Yseult, sera utilisée comme un élément de décor par le metteur en scène de cirque Daniele Finzi Pasca pour son spectacle La Verità, dont la première mondiale est prévue au théâtre Maisonneuve à Montréal le 17 janvier prochain. La Verità sera une incursion théâtrale et acrobatique dans la vie du peintre espagnol, menée par douze interprètes de la compagnie Finzi Pasca, basée à Lugano en Suisse, a indiqué Daniele Finzi Pasca lors d'une conférence de presse. Après Montréal, la toile et le spectacle entameront une tournée en Amérique du Sud jusqu'à l'été 2013, puis gagneront l'Europe, à commencer par la France, la Suisse, l'Italie et l'Espagne, a précisé le porte-parole de la compagnie, Jean-Sébastien Rousseau. La toile de Dali avait dormi pendant des décennies entreposée dans les stocks d'anciens décors du Met avant d'être achetée par une société de collection d'art européenne, dont le nom est gardé secret, mais qui pourrait bien être basée en Suisse. Le spectacle de Finzi Pasca ne s'inspire nullement du ballet de Léonide Massine, dont Dali avait écrit le livret et créé les décors et les costumes. La toile de ce dernier, représentant Tristan et Yseult empêtrés dans leur drame mêlant amour, mort et folie, est bien entendu fidèle au style surréaliste de Dali avec une brouette qui émerge du dos d'un des deux personnages et une fleur de pissenlit poussant sur la tête de l'autre, a souligné une experte de l'oeuvre de l'artiste espagnol, collaboratrice temporaire de la compagnie Finzi Pasca, Jennifer Whisper. Dali avait peur d'être fou. Il a dit cette phrase célèbre: +la différence entre un fou et moi, c'est que je ne suis pas fou+. Mais il devait s'en sentir assez proche, a-t-elle ajouté. L'émergence de cette oeuvre inconnue permet de rappeler une facette inconnue et importante de l'oeuvre de Dali qui avait beaucoup travaillé avec des grands noms de la scène, dont Peter Brook, Visconti et Béjart, a souligné Mme Whisper. A l'époque de la présentation de Tristan Fou le décor de Dali avait été jugé trop grand par les critiques. L'introduction d'acrobates par Finzi Pasca permettra au spectacle de ce dernier d'être à la hauteur de l'oeuvre, pense-t-elle. http://www.romandie.com/news/n/_Une_immense_toile_de_Salvador_Dali_devoilee_a_Montreal58051120122015.asp
  22. De :http://www.uer.ca/ "La Canadian Pacific Railway Co. avait pour projet ce gigantesque Building sur la partie sud du Square Dominion. Malheureusement, è cause de la crise de 1929 elle n'y verra jamais le jour. Sa hauteur était-elle, qu'elle aurait dépassé toutes les constructions du temps à Montréal."
  23. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2012/05/09/008-phyllis-lambert-montreal.shtml Le vidéo est disponible dans le lien. Le développement actuel de Montréal inquiète l'architecte Phyllis Lambert, qui veut protéger cette ville qu'elle trouve « formidable ». En entevue avec le journaliste Gérald Fillion, elle discute du Quartier international, de Griffintown et de son Horse Palace et du boulevard Saint-Laurent. « S'il y avait un maire qui mettait un processus en marche pour tous les quartiers, qui ne brise pas ses principes pour ceci et pour cela, vous auriez une ville formidable! » — L'architecte Phyllis Lambert
  24. Selon un sondage Léger pour le jdm. http://www.journaldemontreal.com/merveilles Les gagnants sont: Le fleuve St-Laurent Le fjord du Saguenay Le Jardin botanique de Montréal Les plaines d'Abraham Le Chateau Frontenac Les chutes Montmorency Le rocher Percé J'aurais aimé qu'ils fassent un vote séparé pour les sites naturels et les constructions. Note: parmi les nominés il y avait... le Carrefour Laval.
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