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loulou123

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  1. J ai trouver des photos de plusieurs villes qui sort de l ordinaire dont Montréal voici le lienhttp://www.worth1000.com/cache/contest/contestcache.asp?contest_id=6605
  2. 24/03/2007 Plusieurs des 2000 résidents du secteur montréalais Glenmount, dans Côte-des-Neiges, demandent l'annexion à Ville Mont-Royal, mais ce n'est pas là une mince affaire. «On veut appartenir à Ville Mont-Royal parce qu'on y vit en permanence et la voie ferrée qui longe la rue Jean-Talon nous coupe géographiquement de toutes activités dans Côte-des-Neiges», explique Francine Brodeur, porte-parole des propriétaires. Le quartier est au trois-quarts encerclé par Ville Mont-Royal et la rue Jean-Talon et une voie ferrée le découpe de Côte-des-Neiges, au sud. «Bibliothèques, sports, loisirs, églises, écoles, commerces, restaurants, épiceries! Notre enclave, dit-elle, nous conduit logiquement à Ville Mont-Royal pour toutes ces activités. «D'ailleurs, la Ville de Montréal accepte de verser 80 000$ à sa voisine pour nous permettre d'utiliser les services publics de Mont-Royal.» Elle paraît tellement logique cette «annexion» que le Comité de transition avait attaché le quartier Glenmount à l'arrondissement Mont-Royal, lors de la grande fusion de 2002. Mais Ville Mont-Royal a été reconstituée lors de la bataille des défusions et la Ville de Montréal a repris possession de «son ancien quartier» qui représente tout de même une valeur foncière de 137 M$. Échanges «Notre association veut au moins obtenir une vraie consultation pour connaître l'opinion générale. Nous préparons une pétition, porte-à-porte, en vue de faire bouger les choses auprès du gouvernement qui sera élu lundi», confirme Francine Brodeur. Le maire de l'arrondissement montréalais, Michael Applebaum, croit que la démarche n'est pas nécessaire et que les citoyens de Glenmount peuvent aussi profiter de tous les services de l'arrondissement. «Montréal assume tous les services de première ligne comme le déneigement et la cueillette des déchets et nous leur assurons une très bonne qualité de vie», soutient le maire. Il croit par ailleurs qu'une annexion à Mont-Royal coûterait «très cher» aux propriétaires qui auraient à rembourser immédiatement leur part de la dette publique étalée sur 20 ans. On a déjà songé à tenir un référendum La mairesse de Mont-Royal, Vera Danyluk, a songé au référendum pour annexer le secteur Glenmount, mais cette «solution» ne tient pas du miracle. Non seulement n'y a-t-il aucune assurance que le «oui» serait majoritaire, dans un tel référednum, «mais encore faudrait-il que Ville Mont-Royal se plie à la loi qui l'obligerait aussi à consulter la population concernée de Côte-des-Neiges pour savoir ce qu'elle en pense», explique la mairesse. Et l'aventure ne se terminerait pas avec un deuxième résultat positif. «Le ministre des Affaires municipales aurait, ultimement, le pouvoir d'acccepter ou de refuser l'annexion si tout le monde y était favorable», dit-elle. «Je me suis informé à savoir si la ministre verrait ça d'un bon oeil et j'ai obtenu comme réponse qu'elle préférerait régler les problèmes de l'agglomération avant d'avoir à trancher dans un éventuel dossier d'annexion de Glenmount.
  3. wow que c est beau,non je régole cette tour me donne envie de vomir,mais je me demende en qu elle année etait faite cette tour peut étre si on était a cette période on serait content de cette tour qu elle se fasse a Montréal et ca serait peut étre un réve de l avoir ici et on serait aussi impréssionait par ca beauté et son design original ,comme aussi peut étre que nos petits petits petits enfants trouveraient les tours qu on aime maintenant affreuses et trés laides;)
  4. 22 mars 2007 Après Talisman, Junex (JNX) confirme avoir trouvé elle aussi d'importants indices de gaz naturel en Mauricie, plus précisément à Champlain, près de Trois-Rivières. «Il y a du gaz et il y a de la pression. C'est de bon augure», a fait valoir hier le vice-président des affaires corporatives de Junex, Dave Pépin. En novembre, la société d'exploration de Québec disait avoir trouvé des traces de gaz naturel dans son puits de Champlain. «Après analyse, on pense que les quantités de gaz détectées pourraient être reliées à un réservoir plus profond», a précisé M. Pépin. Le gaz naturel découvert par Junex se situe à des profondeurs variant entre 655 et 662 mètres. Avant de savoir si ce gisement trouvé peut justifier une exploitation commerciale, la société procédera à d'autres travaux de forage plus poussés, pouvant aller jusqu'à 900 mètres de profondeur. Junex soutient que l'exploitation de son puits de Champlain pourrait se faire rapidement en raison de sa proximité avec les gazoducs exploités par Gaz Métro. Le puits Champlain pourrait également être converti à plus long terme en une zone de stockage souterrain de gaz naturel. Sur les traces de Talisman Active dans la recherche pétrolière depuis 2001, Junex détient un million d'acres sous permis d'exploration entre Québec et Montréal, dans les basses terres du Saint-Laurent. La société espère trouver dans le secteur de Bécancour-Champlain la piste pouvant la mener à une découverte majeure. «Notre bassin géologique, celui des Appalaches, est le même que l'on retrouve dans l'État de New York, là où des joueurs comme Talisman tirent des dizaines de millions de pieds cubes de gaz par jour», fait observer M. Pépin. Il faut dire qu'à quelques kilomètres de son puits de Champlain, à Bécancour de l'autre côté du fleuve, Junex détient des permis d'exploration tout juste aux côtés du géant albertain Talisman et de la société Questerre. La semaine dernière, Talisman et Questerre ont annoncé avoir découvert du gaz naturel dans la formation Trenton Black-River. Le puits Champlain no 1 de Junex se situe également dans le haut de la formation Trenton Black-River. Pour l'heure, Talisman, dont la capitalisation boursière dépasse les 20 milliards $, parle d'un puits dans le secteur de Sainte-Sophie-de-Lévrard pouvant générer un débit journalier de 4,5 millions de pieds cubes de gaz naturel. Junex pourrait bientôt démarrer dans ce secteur des travaux de forage. La société a en main un partenariat avec une firme américaine. La zone visée par l'entente regroupe quatre blocs de permis sur une superficie de 143 395 acres. «Les trouvailles de Talisman nous apparaissent très positives», croit M. Pépin. Talisman est d'ailleurs convaincu que le sous-sol québécois partage d'étranges similitudes avec celui de l'État de New York, où la société albertaine a connu du succès au cours des dernières années. Il y a deux ans, une filiale de Talisman, Fortuna Energy, a découvert dans le nord de l'État de New York un réservoir pouvant produire 38 millions de pieds cubes de gaz naturel par jour. Fortuna est notamment reconnu dans l'industrie gazière pour avoir mis en pratique une nouvelle technologie de forage à l'horizontale. Rappelons que Junex détient quatre millions d'acres sous permis d'exploration dans le bassin des Appalaches. En Gaspésie, la société fait aussi de l'exploration. Elle a réussi à extraire l'an dernier en partenariat avec la société Pétrolia près de 500 barils de pétrole d'assez bonne qualité d'un de ses puits situés près de Gaspé. Mercredi, à la Bourse TSX croissance, le titre de la société a terminé la journée à 1,09 $, en hausse de 5 cents.
  5. 23/03/2007 VIA Rail devra modifier certains de ses wagons pour les rendre accessibles aux personnes handicapées, même si cela lui coûtera vraisemblablement des dizaines de millions de dollars. Dans un jugement partagé, à cinq contre quatre, la Cour suprême du Canada ordonne à VIA de se soumettre à une décision de l'Office des transports du Canada. En 2000, VIA avait acheté 139 wagons européens et l'Office voulait que 40 de ces wagons soient modifiés afin de les rendre accessibles aux personnes handicapées. VIA refusait. La compagnie estimait, entre autres, que son personnel à bord des trains pouvait transférer une personne en fauteuil roulant sur un fauteuil plus étroit, disponible sur le train, que ce même personnel pouvait aider une personne handicapée à utiliser les toilettes - trop étroites pour un fauteuil - de ces wagons. Pour la majorité des juges, la juge Rosalie Abella écrit que l'accès indépendant au même confort, à la même dignité et à la même sécurité que les personnes n'ayant aucune déficience physique est un droit fondamental de la personne pour les utilisateurs d'un fauteuil roulant, rapporte la Presse Canadienne. La première réaction de VIA Rail, par la bouche de son porte-parole, Malcolm Andrews: la compagnie étudiera le jugement et la compagnie assure qu'il n'aura aucun impact sur le prix des billets de train. Quant à ceux qui ont mené cette bataille devant la cour, les membres du Conseil canadien avec déficiences, ils se réjouissent, bien-sûr de la décision qui, selon eux, reconnaît qu'ils ne sont pas des citoyens de seconde classe. Cependant, ils estiment que le gouvernement fédéral aurait pu intervenir, forcer VIA, société d'État indépendante, à modifier ses wagons achetés avec l'argent des contribuables, disent-ils, plutôt que de laisser la chose traîner devant les tribunaux pendant sept ans.
  6. 23/03/2007 «Gérald Tremblay devrait imposer le péage pour entrer à Montréal afin d'améliorer le transport en commun». Celui qui parle ainsi est le syndicaliste Claude Benoit, président du syndicat des chauffeurs d'autobus et conducteurs de métro de la STM. «Le transport en commun est pourri à Montréal, et le maire a raison de demander des nouveaux pouvoirs de taxation à Québec», dit-il. Je suis prêt personnellement à payer un dollar ou deux tous les jours pour venir travailler à Montréal.» M. Benoit estime qu'il manque entre 50 et 100 autobus tous les matins sur les différents circuits de la STM. À la STM, Isabelle Tremblay reconnaît que le plan de développement prévoit l'amélioration des services d'autobus et de métro, mais elle ne peut préciser les besoins au chapitre des autobus. «Ça veut dire qu'entre 50 000 et 100 000 usagers paient quotidiennement pour un mauvais service», précise le président, qui prêche aussi pour sa paroisse puisque de nouveaux autobus, ça signifie aussi de nouveaux employés. Mais son but immédiat est de «soutenir le maire de Montréal dans la recherche de nouvelles sources de revenus». «Je demeure à Laval, et je veux bien faire ma part et payer un droit de passage au pont Papineau pour travailler à Montréal et utiliser son réseau routier tous les jours.» L'offre de Boisclair «Mais ces nouveaux revenus qui pourraient atteindre de 150 à 200 M$ par année devraient être consacrés exclusivement à la relance du transport en commun.» M. Benoit est satisfait des promesses du chef péquiste à l'endroit de la Ville et demande aux deux autres chefs des grands partis de préciser leur pensée sur cette question de nouvelles sources de revenus pour Montréal. Claude Benoit réagissait à l'entrevue, publiée dans le Journal, dans laquelle Gérald Tremblay déplore l'absence de Montréal et de ses besoins financiers dans la présente campagne. C'est avec «satisfaction» aussi qu'il a appris le mea-culpa du maire concernant la décision de Québec, en 1992, alors qu'il était ministre libéral, de désengager le gouvernement des dépenses d'exploitation du transport en commun. Une mesure persistante La possibilité d'un péage aux ponts de l'île de Montréal revient périodiquement dans l'actualité et poursuit maintenant les banlieusards depuis une douzaine d'années, comme on peut le voir ci-dessous : Novembre 1995 Sammy Forcillo, vice-président du comité exécutif de Montréal, prône le péage comme source de revenus pour l'entretien du réseau routier et le déficit du transport en commun. M. Forcillo est aujourd'hui membre de l'équipe Tremblay. Septembre 2002 Le Conseil régional de l'environnement de Montréal propose des solutions pour développer le transport en commun, dont celle du péage aux ponts de l'île. Le mouvement Équiterre prend aussi position. Novembre 2002 Transport 2000 est le premier organisme à recommander l'imposition d'un péage aux automobilistes pour accéder à l'île de Montréal. Février 2007 Le maire Gérald Tremblay demande à Québec le pouvoir de tarifer les banlieusards qui utilisent le réseau routier de Montréal, mais il refuse de parler de péage aux ponts. Avril 2007 Dans un mois, la Ville de Montréal doit rendre public un plan de transport avant-gardiste. Le péage pourrait faire partie des mesures envisagées.
  7. La Ville de Montréal vient d'obtenir les budgets pour acheter 500 nouveaux autobus. Ceux-ci remplaceront le tiers de la flotte de la métropole.
  8. Le gouvernement du Québec accumule depuis 10 ans une dette cachée de plus de 6 milliards de dollars pour financer la remise en état du réseau routier québécois, malgré sa propre loi sur le déficit zéro. Selon des données dévoilées par La Presse, ce déficit accumulé par le Fonds de conservation et d'amélioration du réseau routier, qui a été créé en 1996, a augmenté de 760 M$ par année en moyenne au cours des trois années au pouvoir du gouvernement libéral sortant. Durant cette période, Québec a investi annuellement plus de 1 milliard dans la réfection et la construction de nouvelles routes. Les 5,9 milliards de travaux routiers prévus d'ici trois ans pourraient faire passer le déficit du Fonds de conservation et d'amélioration à plus de 10 milliards. Depuis 1996, tous les travaux routiers sont financés par des emprunts au Québec, ce qui permet d'en amortir les coûts sur plusieurs années. L'amortissement est utilisé par plusieurs gouvernements, depuis plusieurs années.
  9. Merci iamthewalrus pour le lien ,ce qu il ma plut c est cette carte de métro retrouver dans le rébrique de( révons un petit peu) du site,cette carte est supposer pour 2100:D
  10. Le jeudi 22 mars 2007 La Société de transport de Montréal a annoncé ce jeudi avoir retenu le biodiésel comme choix pour soutenir son engagement envers le développement durable. La STM prévoit alimenter progressivement son parc d'autobus de 1600 véhicules avec du biocarburant, les premiers autobus fonctionnant au biodiésel étant mis en service au début de 2008. Le président du conseil d'administration de la STM, Claude Trudel, a dit que cette initiative permettra de réduire les émissions de gaz à effet de serre. «Le transport en commun est rentable pour la communauté», a-t-il dit. Par ailleurs, la STM prévoit mettre en service huit autobus hybrides en janvier 2008, notamment dans le secteur Côte-des-Neiges/Notre-Dame-des-Grâce. Ce projet pourrait permettre une réduction des gaz à effet de serre de l'ordre de 330 tonnes par année, soit l'équivalent du retrait d'une soixantaine de véhicules qui font 20 000 km.
  11. Trés bonne nouvelle pour Montréal ,je voit qu on est tous daccord pour ca ,mais comme il adit Elix j éspere que le projet sera approuvé ,car les propositions on a beaucoup mais les projet qui voit le jour sont peu.Mais je reste optimiste pour ce projet car ma sensation me dit qu il va se realiser:)
  12. Bombardier Produits Récréatifs (BRP) entamera sous peu la construction d’un tout nouveau centre de design et d’innovation de 15 M$ à Valcourt. D’une superficie de 54 000 pieds carrés, le nouvel édifice regroupera toutes les ressources de BRP en design sous un même toit. Ces employés travaillent actuellement à Valcourt et à Sherbrooke. BRP commencera les travaux dès ce printemps en démolissant un bâtiment pour faire place à la nouvelle construction. Cette dernière devrait être prête à acceuillir plus de 50 employés en 2008. «BRP est aux premiers rangs d'une industrie en constante évolution et où la compétition est de plus en plus forte en raison de la mondialisation, explique dans un communiqué le pdg de BRP, José Boisjoli. Dans ce contexte, il devenait primordial de regrouper nos équipes de design afin d'augmenter la synergie entre elles et ainsi accroître notre capacité de créer des produits plus innovateurs et compétitifs.» Le fabricant des Ski-Doo, Can-Am, et autres Spyder veut faire de ce nouveau centre sa vitrine technologique. La société espère d’ailleurs attirer des designers de partout au monde grâce à la convivialité accrue du nouvel édifice. En plus des équipes de design, le bâtiment abritera aussi le service des achats. En outre, l’équipe de compétition déménagera dans un autre immeuble des environs.
  13. oui mais cette vu qu on a ,elle vient du bélvidaire de Mont-Royal , peut étre il n aurait fallut une autre photos de ce genre mais d un autre coin pour voir qu est ce que ca aurait donner ces grattes ciels avec la montagne.
  14. Après les dépassements des coûts du métro de Laval, tqs a appris hier que l’ont doit maintenant réparer une voie dont la courbe est trop prononcée. Voici le lien http://www.tqs.ca/videos/infos/2007/03/metro-de-laval---une-erreur-de-500-000--7919.php
  15. Oui entiérement daccord avec toi sauf qu avec le transport en commun on peut combattre ca surtout si on l améliore petit a petit ,moi je voit méme ca une chose tres nécessére faire le train léger entre montreal et brossard ,allonger la ligne bleu vers anjou ,la ligne orange aussi ,faire le tramway ,mettre des péage aussi je suis daccord car ca, ca va aider a améliorer le transport en commun et pour que le monde l utilisent de plus en plus, mais aussi il faut étre consiont que pour n importe qu elle projét ou pour qu on puisse arriver a une résultat satisfusante il faut savoir qu il ya un pri a payeé car le probléme que les gens disent oui on a besoin de ca mais c est trés cher pour nous ,mais pour avancer il faut oser faire biensure quand c est une necéssité et c est le qua . Pour les amélioration des pont et des viaducs moi je voit qu ils sont obliger a le faire pour éviter une autre drame a arriver comme celle de viaduc la concorde.
  16. Le Journal de Montréal 20/03/2007 Ottawa - Pour améliorer les routes, les ponts, les transports en commun, les réseaux d’aqueduc et d’égout, le budget Flaherty verse aux provinces et aux villes 16 milliards de dollars pour les sept prochaines années. Le Québec et ses municipalités, dont les routes ont bien besoin d’être réparés, auront leur part du gâteau. D’ici à 2009, ils recevront 1,2 milliard de dollars pour soutenir les infrastructures liées au transport. Essence Le fédéral s’engage aussi à prolonger de quatre ans le transfert aux municipalités de la taxe sur l’essence. «Pour aider les municipalités à combler leurs besoins d’infrastructures, nous continuerons de partager avec elles le produit de la taxe sur l’essence», a indiqué le ministre des Finances, Jim Flaherty. Jusqu’à 2014, Ottawa donnera 2G$ par an de la taxe sur l’essence aux villes canadiennes. Cet argent sera affecté aux priorités municipales, dont la voirie, les transports en commun et l’eau. Si on ajoute les investissements du budget 2006, on obtient un financement fédéral de 33G$ pour les infrastructures au pays pour les sept prochaines années.
  17. Les Canadiens pourraient devoir se procurer un visa pour aller en France, au Royaume-Uni ou en Italie. L'Union européenne (UE) menace en effet d'exiger un visa des Canadiens pour visiter un de ses 27 pays membres si Ottawa ne renonce pas à son obligation d'en exiger un des citoyens de 10 pays admis récemment dans l'organisation, rapporte vendredi La Presse. Un haut responsable de la délégation de l'UE à Ottawa a confirmé au quotidien montréalais que l'avertissement avait été transmis aux autorités canadiennes. La question des visas est devenue un sujet de discorde entre l'UE et Ottawa depuis l'entrée de 12 nouveaux pays dans le groupe européen, en mai 2004. À leur entrée dans l'UE, les pays qui exigeaient un visa des Canadiens pour entrer sur leur territoire ont tous cessé de le faire pour se conformer à la politique des visas de l'organisation. Or, le Canada exige toujours des visas pour 10 des pays qui se sont récemment joints à l'Union européenne, soit la République tchèque, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la Slovaquie, la Slovénie, la Bulgarie, la Roumanie, la Hongrie et l'Estonie. Seuls les Hongrois, en 2005, et les Estoniens, en septembre 2006, se sont vu dispenser de cette exigence. Ces concessions sont cependant loin d'avoir satisfait l'Union européenne qui continue de faire pression sur le gouvernement canadien pour qu'il cesse cette pratique, sinon elle pourrait mettre sa menace à exécution. Dans un document de novembre 2006 à l'intention du ministre de la Citoyenneté et de l'Immigration, obtenu par le quotidien montréalais en vertu de la Loi sur l'accès à l'information, il est écrit que: « la Commission européenne et les nouveaux pays membres continuent à faire pression sur le Canada pour qu'il renonce à exiger le visa et pourraient lui imposer des sanctions, en vertu desquelles les diplomates canadiens et les autres titulaires de passeports officiels du Canada pourraient se voir tenus d'obtenir un visa pour entrer dans tout pays de l'Union européenne. » Depuis 2004, les négociations sur la question se sont avérées infructueuses. Ottawa maintient que sa politique des visas ne repose pas sur le principe de réciprocité, mais plutôt sur la nécessité de protéger la santé des Canadiens et de gérer l'accès au pays. Le gouvernement ajoute que les visas ne sont pas accordés en fonction de l'appartenance à un groupe ou organisation comme l'UE ou l'OTAN et que les dispenses de visas sont étudiées individuellement.
  18. BLADES OF GLORY Le STADE COMME DÉCOR. Qui eût cru qu'en 2007 le Stade olympique de Montréal serait en vedette dans un film hollywoodien! C'est le cas dans Blades of Glory, une nouvelle comédie avec Will Ferrell où Montréal est à l'honneur. «On a eu tellement de plaisir à tourner à Montréal qu'on aurait aimé y tourner tout le film», dit le plus sérieusement du monde Will Ferrell, en entrevue à Los Angeles la semaine dernière. Blades of Glory est une satire du milieu du patinage artistique dans laquelle Will Ferrell campe un champion déchu. Ceux qui iront au cinéma à partir du 30 mars n'auront pas qu'un air de déjà-vu, le film est une vraie carte postale touristique de la ville ! Tournées l'hiver dernier pendant deux semaines, les scènes du film ont comme décors le Vieux-Montréal, le canal de Lachine, l'Usine Five Roses, l'intérieur et l'extérieur du Palais des congrès et, bien sûr, le Stade olympique où se déroule la finale de patinage artistique. «C'est assez rare que Montréal fasse partie du scénario. Ça ne s'est fait qu'à deux ou trois reprises, comme dans The Score, avec De Niro (2001), et Taking Lives, avec Angelina Jolie (2003)», précise Adrian Knight, directeur montréalais des lieux de tournage. Mis à part le facteur économique, ce qui a séduit les deux réalisateurs du film est l'architecture des années 70. «On aime Montréal, on est fans de l'architecture de la période olympique avec le Stade et Habitat 67, même s'il y en a plusieurs là-bas qui détestent ça !» ont déclaré Josh Gordon et Will Speck, également en entrevue la semaine dernière à Los Angeles. Ces derniers ont aussi été attirés par les canaux fluviaux de la ville où ils ont pu tourner une course en patins. Ils ont toutefois eu des petits pépins avec le bassin Bonsecours qui n'était pas tout à fait gelé en mars, ce qui a eu pour effet de repousser les délais de tournage de deux semaines. Non seulement ils ont tourné une partie du film dans la métropole, mais les spectateurs seront surpris d'entendre quelques figurants s'exprimer en «québécois». Rémy Girard Il y a même Rémy Girard qui fait une courte apparition en homme d'Église au début du film. «Normalement, les équipes qui tournent dans une ville font semblant que ça se déroule ailleurs. Nous, on a mis Montréal partout: sur les sacs, les chaussures, les manteaux», ajoute un des réalisateurs. De fait, sur les objets promotionnels et affiches du film, le nom de Montréal est bien en évidence. À Montréal, on se réjouit d'une telle visibilité. «Ce film sera vu par des millions de personnes dans une soixantaine de pays. Aucune campagne de pub ne peut acheter ce niveau d'exposure», dit Hans Fraikin, du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec. «Les retombées économiques d'un tel tournage sont importantes», affirme Adrian Knight, directeur des lieux de tournage, précisant que chaque lieu de tournage bénéficie par le fait même d'un cachet. Blades of Glory (Les Rois du patin) sort en salle le 30 mars. Le film 300, qui bat des records au box-office en ce moment, a été entièrement tourné à Montréal dans les studios Mel's, et ce sont trois sociétés montréalaises qui ont produit les effets visuels.
  19. 18/03/2007Les Amis du parc Morgan, dans le quartier Maisonneuve, demandent à la Ville de cesser son «vandalisme institutionnel» et de remettre en place la clôture «patrimoniale» du parc Morgan. Monique Désy Proulx, porte-parole des Amis du parc Morgan, s'en prend à l'arrondissement Mercier - Hochelaga - Maisonneuve pour son tout dernier «acte de vandalisme», soit d'avoir enlevé l'historique clôture ornementale de fer forgé devant le parc, au pied de la grande avenue Morgan. À la demande de marchands de la rue Sainte-Catherine, qui veulent y faire une place publique pour organiser des fêtes populaires, l'arrondissement a donné suite à son projet de démantèlement de la clôture sur la façade du parc à l'été 2006. Plus convivial Le conseiller municipal Laurent Blanchard (Vision Montréal) ne croit pas que les opposants aient raison quant au caractère «patrimonial» de cette clôture et il appuie les commerçants. «Le fait d'enlever la clôture rend le site plus facile d'accès et plus convivial pour la population, comme le suggèrent les marchands», commente le conseiller, précisant que la mesure n'a aucun impact sur la sécurité publique. Mais Les Amis du parc Morgan font la vie dure au conseiller Blanchard et à la mairesse Lyn Thériault Faust et exigent que la clôture soit réinstallée pour sauvegarder l'intégrité du lieu. Dalles de ciment «Nous craignons que le parc Morgan subisse le même sort que la devanture du Marché Maisonneuve, où l'on a fait disparaître les pommiers qui entouraient la fontaine d'Alfred Laliberté pour couvrir le site de dalles de ciment. Un geste scandaleux», dit Mme Désy Proulx. Pour sa part, le conseiller Blanchard ne cache pas le peu d'attention qu'il accorde à la demande du groupe. «Ils sont quatre dans cette vaste mobilisation», ironise-t-il, rappellant que l'arrondissement a obtenu plusieurs appuis dans sa décision, dont ceux de la députée Louise Harel, du SPVM et des Loisirs Saint-Clément. Monique Désy Proulx n'a toutefois pas jeté l'éponge. Elle précise que «le noyau dur de cette mobilisation comprend actuellement huit personnes qui ont fait signer à ce jour une pétition de 500 noms pour le retour de la clôture.
  20. Oui elles sont belles les photos , moi aussi je trouve que ca ressemble a Montréal surtout les photos 16 17 18 ca me rapelle le Vieu Montréal.
  21. Pour moi la forme je la trouve étrange mais c est pour ca je le trouve intréssant car j aime les projets qui sort de l ordinaire et qui cassent la routine .
  22. 17/03/2007Les dirigeants de Montréal ont décidé de donner le ton au débat public sur les parcomètres et de répliquer coup pour coup aux critiques des citoyens. Deux membres du comité exécutif, Sammy Forcillo et Helen Fotopulos, ont affirmé hier que les automobilistes doivent réaliser une fois pour toutes que l'ajout de parcomètres et la nouvelle tarification ont un double objectif économique et écologique. «Économique pour la Ville et pour les marchands», indique le conseiller Forcillo, qui s'est porté à la défense de la décision d'ajouter des parcomètres dans le Village gai. C'est à la demande des marchands que l'administration veut encourager une plus grande rotation dans les espaces de stationnement, soutiennent-ils. Sammy Forcillo a juré que «pas une seule zone réservée aux résidants ne sera touchée par les 123 nouveaux parcomètres dans le Village gai», contrairement aux déclarations de la veille du conseiller Pierre Mainville. Artère commerciale De son côté, la mairesse du Plateau, Helen Fotopulos, a tenu à rappeler que le boulevard Saint-Laurent est une grande artère commerciale et que même les résidants doivent le comprendre. Mme Fotopulos répliquait à la citoyenne Marie-Josée Paradis, citée dans un reportage publié hier dans nos pages, pour dénoncer la récente hausse des tarifs et la présence de parcomètres «sur sa rue», ce qui l'empêche de stationner devant son loft. «Il y a des stationnements réservés aux résidants dans des zones limitrophes et cette citoyenne peut y avoir accès», a répliqué Mme Fotopulos. M. Forcillo, conseiller de Sainte-Marie - Saint-Jacques, a précisé que plusieurs des nouveaux parcomètres du Village gai seront installés sur le boulevard René-Lévesque et le côté sud de la rue Sainte-Catherine, entre Amherst et Papineau. Transport en commun «Très souvent, ce sont des employés des commerces qui utilisent ces places de stationnement, des journées entières, ce qui nuit aux affaires des commerçants. Ce sont eux d'ailleurs, les commerçants, qui nous demandent d'intervenir. «Je pense qu'ils ont raison et que les travailleurs doivent songer de plus en plus à utiliser le transport en commun», dit-il. La mairesse du Plateau l'affirme aussi: «Nous n'arrêterons pas la démarche. Nous continuerons d'appliquer une solution économique et écologique.»
  23. moi aussi j éspére ca sauf qu il est entrain de neiger maintenant et on aura peut etre une accumulation de 20cm peut étre:D
  24. La bataille pour attirer l'investissement étranger dans le Grand Montréal est loin d'être facile. Entre la Chine, dont la capacité de production est immense et dont les coûts défient toute compétition, l'Inde, qui est en passe de devenir le "back office" de la planète, les Etats-Unis et l'Europe, qui demeurent deux des marchés les plus riches au monde, y a-t-il encore une place de choix pour Montréal? Si oui, laquelle? Comment la conserver? Comment la renforcer? Autrement dit, Montréal est-elle dans la course? Voilà les questions auxquelles répondra notre conférencier invité. Nous espérons avoir le plaisir de vous accueillir lors de ce déjeuner-conférence des plus intéressants. Lundi, le 19 mars 2007 12 h 00 à 14 h 00 Hôtel Hilton Montréal Bonaventure Salon Mont-Royal 900, de la Gauchetière Ouest, Montréal >>Renseignements: et source : Ginette Bergogne, Directrice générale, Le Cercle Canadien de Montréal, (514) 398-0457,
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