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loulou123

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Tout ce qui a été posté par loulou123

  1. J éspére que tout va aller bien car moi aussi j ai dés doutes et le maire avec sa prudence me fait peur.
  2. (12/04/2007)La Société du Havre veut abattre l'autoroute Bonaventure, qui est construite sur pilotis, du bassin Peel à la rue Saint-Jacques. Coût des travaux: 90 millions de dollars. Ne rien faire coûterait de toute façon 60 millions en entretien. Le terrain libéré par la démolition permettrait la construction de nouvelles tours à bureaux. Il ne s'agit que d'un avant-projet. Il reste deux autres phases d'étude avant même de commencer les travaux, ce qui laisse une large place aux doutes. Le maire de Montréal trouve l'idée bonne, mais préfère jouer de prudence. «Lorsqu'on regarde les considérations économiques, les considérations sociales, les considérations urbaines et environnementales, c'est une projet très structurant», soutient le maire Gérald Tremblay. Mais pour l'opposition, c'est l'inertie de la Ville qui est responsable des annonces à répétition de ce projet. Si tout va bien cette fois-ci, les travaux pourraient commencer en 2009 et être terminés en 2012.
  3. loulou123

    skyline de 2016

    Moi je trouve ca bien que se soit la 2éme ou la 3éme ,ca serait bien pour Montréal ,mais est ce que tout ces projéts peuvent étre réaliser ?je pense pas ,surtout pour 2016.
  4. La méme chose ,bravo ,surtout la 5éme et la 7éme qui m ont plus.
  5. Merci WestAust ,je peut dire qu une seule chose ,que ca serai fantastique si tout cela se réalise.
  6. Oups on a mis le méssage en méme temps WestAust ,tellement on est content de ce projet et on aimerai partager avec les autres:) .
  7. (Le jeudi 12 avril 2007 la presse )Peu après la présentation des études de faisabilité du réaménagement de l'autoroute Bonaventure en boulevard urbain, ce matin, par la Société du Havre de Montréal, le maire Gérald Tremblay a déclaré qu'il déclenchait les travaux préliminaires de ce projet. Le maire a décidé qu'il y aura dès cet été des études de caractérisation des sols d'effectuées près de l'autoroute Bonaventure afin d'étudier leur possible contamination. Il veut aussi que débutent dès que possible des fouilles archéologiques pour ne pas perdre de temps. «Je veux un kiosque sur le site tout de suite, a-t-il dit par la suite à La Presse, comme j'en ai vu un pour le projet Confluence, à Lyon. Quand il y a de gros projets comme ça, il faut un kiosque pour présenter le projet à la population. De plus, il y a un collecteur qui date d'un certain nombre d'années à cet endroit. Il faut le remplacer, alors nous allons en profiter pour le faire dès que possible». Le maire Tremblay s'est engagé à ce que d'ici le déclenchement des prochaines élections municipales, en 2009, le projet de réaménager l'autoroute Ville-Marie, entre la rue Notre-Dame et la rue Wellington, en boulevard urbain soit bien avancé. La Société du Havre a annoncé ce matin que le plus grand défi de ce projet sera de résoudre le problème de congestion automobile que cette transformation pourrait générer. La présidente du conseil d'administration de la Société du Havre, Isabelle Hudon, a déclaré que ce problème ne sera réglé que si la priorité est donnée au transport en commun avec la réalisation rapide du tramway du Havre, l'entrée en service d'un train SLR entre la Rive-Sud et le centre-ville et l'augmentation de la fréquence des services d'autobus qui empruntent le pont Champlain pour se rendre sur l'île. Le projet présenté par la Société du Havre propose une revitalisation du secteur, avec notamment l'implantation de commerce sous le viaduc ferroviaire (à droite) qui serait entièrement rénové.
  8. (Le mardi 10 avril 2007)La Ville de Montréal entend mettre en pratique les principes du TOD, acronyme pour Transit Oriented Development - en français «développement axé sur les transports en commun», pour développer les alentours des stations de métro et des gares de train de banlieue sur son territoire. Le but: maximiser l'utilisation du transport en commun et freiner l'exode des urbains vers la banlieue. «Le métro a fêté l'an dernier son 40e anniversaire, mais on semble parfois le tenir pour acquis. On oublie que chaque jour, il transporte plus de 800 000 passagers. Notre objectif est de repositionner cette infrastructure de transport au centre du développement de la ville. Certaines stations de métro, comme Saint-Laurent ou Préfontaine, sont carrément sous-utilisées», affirme André Lavallée, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable du transport collectif. Le TOD est une approche urbanistique américaine qui prône un développement intégré de haute densité, mêlant résidences et commerces, articulé autour d'une infrastructure de transport, comme un métro ou une gare, et où le design urbain favorise les déplacements à pied plutôt que l'utilisation de l'automobile. Même si Montréal fut à l'origine un immense TOD, avec l'ouverture de nouveaux quartiers grâce au tramway, cette manière de faire a disparu avec la démocratisation de l'automobile. Seul le centre-ville applique une véritable approche TOD. Montréal veut désormais appliquer les principes du TOD pour développer les abords des stations de métro et des gares de train. Un projet phare vise la mise en valeur des ateliers municipaux Rosemont, adjacents à la station de métro du même nom.
  9. Les distributeurs indépendants ne sont pas contre. Selon Sonia Marcotte, économiste à l'Association québécoise des indépendants du pétrole, il manque de raffineries, et à défaut d'y aller d'une nationalisation, un important pays producteur pourrait être approché pour investir ici. En janvier 2005, les distributeurs indépendants avaient même adressé une proposition semblable au gouvernement du Québec. " Avoir plus de joueurs dans le domaine du raffinage est une idée très intéressante, car il s'agit d'un secteur très concentré, dans lequel on retrouve peu de joueurs ", a affirmé à ARGENT Mme Marcotte. Selon Mme Marcotte, une raffinerie de plus en Amérique du Nord permettrait de mettre en marché un peu plus de pétrole, ce qui pourrait influer sur le prix du pétrole qui est déterminé à l'échelle nord-américaine. " Mais, c'est une première étape, ça prendrait plus qu'un joueur ", dit-elle.
  10. (11 avril 2007) Un vide. C’est ce que va provoquer la fermeture du Spectrum, en août prochain, privant le Quartier des spectacles naissant et les grands festivals internationaux d’une salle au gabarit unique à Montréal. « Le Spectrum va nous manquer pour plusieurs raisons, explique Laurent Saulnier, de l’Équipe Spectra.« Pour nous, comme organisateur de plusieurs festivals, c’est assez dramatique la fermeture du Spectrum, poursuit M. Saulnier. Ça va aussi manquer pour les groupes britanniques et étrangers, mais que dire des artistes québécois. Il ne faut pas oublier qu’il y a une dizaine d’années, faire le Spectrum, c’était un vrai accomplissement, une consécration. Faire le Spectrum, ça voulait dire que tu étais arrivé à un autre niveau. Tu partais de l’underground et tu devenais un groupe établi. » Plusieurs projets sur la table Laurent Saulnier affirme que plusieurs projets sont sur la table en ce qui concerne un nouveau Spectrum. Selon lui, Spectra est prête à investir: « «Je ne peux pas dire de quelle hauteur sera l’investissement de Spectra, mais il y aura de l’argent de notre côté, on ne s’attend pas à ce qu’on nous livre un nouveau Spectrum sur un plateau d’argent. Il y a plusieurs projets qui sont étudiés en ce moment sur différents emplacements. M’avancer sur un scénario à l’étude, ce serait de favoriser une option plus qu’une autre. » Idéalement, indique Laurent Saulnier, le Spectrum 2.0, pour reprendre une formule au goût du jour, aurait la même capacité et serait construit dans le même quadrilatère, celui où sont organisés les festivals pilotés par l’Équipe Spectra. Le Spectrum en chiffres… 25: la mythique salle est en opération depuis 1982 150: le nombre de spectacles qui y sont présentés chaque année 1000: la capacité d’accueil
  11. La Presse Le jeudi 12 avril 2007 Les arrondissements de Lachine, LaSalle et du Sud-Ouest ont signifié à l'administration montréalaise leur souhait de voir se réaliser, dès que possible, une ligne de tramway le long du canal de Lachine où l'emprise utilisée jadis par des voies ferrées du CN et du CP pourrait connaître une seconde vie. Ancien responsable du Transport à la Ville de Montréal, le maire de Lachine, Claude Dauphin, en a fait part à La Presse, mardi soir, lors du conseil d'arrondissement. «Nous avons écrit à André Lavallée, responsable du prochain plan de transport de Montréal, pour lui dire que cette ligne de tramway, le long du canal, serait très importante pour ce secteur où se sont matérialisés de nombreux projets immobiliers, résidentiels et commerciaux.» M. Dauphin espère que cette ligne fera partie des priorités du plan de transport qui sera dévoilé en mai par André Lavallée, d'autant plus que les voies sont déjà en place dans ce territoire longtemps industrialisé. Les bords du canal ont accueilli entre Lachine et Saint-Henri une ligne de tramway entre la fin du XIXe siècle et le milieu du XXe. Au milieu des années 90, une firme privée s'était même montrée intéressée à en créer une sur la rive sud du canal. «Ce serait intéressant pour LaSalle car le métro s'arrête aux limites de notre arrondissement, dit la mairesse Manon Barbe. On est un peu enclavé géographiquement et on cherche à avoir un accès rapide au futur CHUM.» La mairesse de LaSalle voit donc d'un bon oeil la création de la ligne du Havre qui permettra de se rendre du bassin Peel au site du CHUM par la rue de la Commune et la rue Berri. «Ce serait bien d'avoir une ligne le long du canal qui se connecterait à celle du Havre, dit-elle. Mais je comprends que la première phase concernera le centre-ville, même si, nous aussi, nous avons toutes les infrastructures en place, ce qui réduit les coûts. En tout cas, c'est un beau projet structurant et de le voir poindre, on se dit qu'on voit enfin la lumière au bout du tunnel!» Déjà comblé par le projet de tramway du Havre, l'arrondissement de Ville-Marie n'a pas fait de démarches pour vanter celui qui relierait le Vieux-Port au parc Jean-Drapeau. «Nous suivrons les propositions du plan de transport de M. Lavallée», a dit, hier, Jean-Yves Duthel, responsable de communications de Ville-Marie. Quant à Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, l'arrondissement a si hâte de voir se réaliser la transformation de la rue Notre-Dame, du pont Jacques-Cartier jusqu'à l'autoroute 25, qu'il ne veut pas qu'un projet de tramway éloigne le début des travaux. «Nous sommes l'arrondissement résidentiel le mieux pourvu en stations de métro avec neuf, dit le conseiller de MHM, Laurent Blanchard. On n'est donc pas brimés en transports en commun rapides vers le centre-ville et on ne veut pas que le tramway serve d'alibi pour retarder encore les travaux.» Récemment, une entente est intervenue entre les professionnels de la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec sur la transformation de la rue Notre-Dame. Les élus montréalais n'attendent plus que le O.K. du nouveau ministre des Transports (à être nommé prochainement) pour que débute ce chantier annoncé à maintes reprises depuis 30 ans, et notamment par Jean Charest, il y a deux ans.
  12. (11 avril 2007)Le maire de l’arrondissement Ville-Marie et responsable de la culture à Montréal, Benoit Labonté, laisse entendre que le programme particulier d’urbanisme (PPU) du Quartier des spectacles, qui sera dévoilé en octobre prochain, pourrait profiter d’une augmentation de son budget, voir même doubler. Actuellement, la Ville prévoit un investissement de 55 millions de dollars pour ce programme. « On attendra les conclusions du PPU, pour voir l’ampleur de tout ça. Mais s’il faut augmenter le budget, on le fera. Il faut comprendre que le développement du Quartier des spectacles n’est pas une dépense, mais bien un investissement. » La conception et le développement du plan sont confiés au président du Quartier International de Montréal (QIM), Clément Demers. Le QIM doit, d’ici octobre, « proposer un plan d’aménagement urbain et une nouvelle qualification des espaces à développer et des lieux retenus, intégrer des stratégies de mise en lumière et de signalisation, établir une programmation des interventions et des phases de développement et identifier les opportunités de partenariat. » M. Labonté souligne également que c’est à même ce montant que la municipalité compte dédommager les propriétaires et locataires expropriés et procéder au rachat d’immeubles qui pourraient nuire au développement futur du Quartier des spectacles. « La Ville va devenir propriétaire de nombreux immeubles cet été. On va pouvoir opérer très rapidement à partir de ce moment », estime-t-il. Quant à l’opposition officielle, sa chef, Noushig Eloyan, se questionne sur l’utilisation réelle du montant consenti par la Ville. « Pour l’instant, ce ne sont que des promesses. C’est facile de dire des choses, mais il est maintenant temps de passer à l’action. C’est un projet sérieux qui mérite un véritable plan d’actions, pas juste des belles annonces », laisse-t-elle entendre
  13. (11 avril 2007 la presse )L’ADISQ en rêve depuis l’an 2000. Une trentaine de partenaires lui ont emboîté le pas depuis, dont Montréal et l’arrondissement Ville-Marie. Est-ce que le projet de développement du Quartier des spectacles prendra enfin forme pour le bien d’une industrie qui peine à remplir ses salles? Entretien avec Pierre Deschênes, directeur général du Quartier des spectacles. Après des années de consultations et de discussions, la table sera mise en octobre prochain. Un Programme particulier d’urbanisme (PPU), récemment lancé et piloté par l’équipe du Quartier international de Montréal, orientera alors le développement des deux pôles du Quartier des spectacles, la Place des Arts et le Quartier latin. Encadrer les promoteurs Il n’y a toutefois pas de temps à perdre, car les promoteurs immobiliers veulent exploiter les terrains à leur façon. La mort annoncée du Spectrum, qui sera rasé en août pour faire place à un complexe commercial et à une tour à bureaux, n’est qu’un exemple illustrant l’urgence d’agir pour doter le secteur d’un cadre de développement. « Le PPU est une démarche extrêmement importante, car si on ne fait rien, nous allons perdre nos actifs. La Ville projette un développement au nord de l’îlot Balmoral et l’OSM aura une salle au nord-est de la Place des Arts, deux terrains que les festivals occupent », soutient M. Deschênes, inquiet que la planification aille dans toutes les directions. C’est pourquoi il attend avec impatience le dépôt du PPU. Pour le moment, tous les projets en cours ou annoncés totalisent 300 millions de dollars d’investissements, notamment la salle de l’OSM, la Maison Équiterre et les Ateliers de danse moderne de Montréal. « Le PPU deviendra un règlement très clair donnant des balises et des contraintes au développement du Quartier des spectacles. Il nous permettra de nous projeter dans l’avenir pour définir une vision. Le Quartier des spectacles est très animé durant les festivals, mais en dehors de ces périodes de pointe, il y a un problème d’achalandage », indique M. Deschênes. qui croit que le secteur est un écosystème fragile qui bénéficierait de crédits de taxes ou de programmes visant à en accélérer le redéveloppement. « Il y a beaucoup de terrains vacants appelés à être développés. Il faut regarder comment on va procéder, car les festivals en utilisent plusieurs. C’est pourquoi on doit décider lesquels on veut garder comme places publiques pour soutenir nos festivals. Plusieurs terrains sont déprimés et négligés, comme au coin de Saint-Laurent et Maisonneuve, mais moi je dis que c’est plein d’occasions de développement », ajoute-t-il, sans cacher que la Ville et l’arrondissement Ville-Marie vont devoir s’entendre, notamment sur le rôle qu’aura à jouer la Société de développement de Montréal (propriétaire de la partie nord de l’îlot Balmoral). « La SDM, c’est une société paramunicipale qui n’a pas à être impliquée plus qu’un autre propriétaire de ce secteur. (…) Ne soyons pas naïf, c’est sûr qu’il va y avoir des échanges musclés. On avance lentement mais sûrement, mais notre plus grand défi, à tous, c’est d’apprendre à travailler ensemble », relate M. Deschênes. 55 M$ pour matérialiser une vision à définir Pour montrer son sérieux et inviter le privé à entrer dans la danse, la Ville, elle, allonge 55 millions de dollars, une somme qui servira, selon le maire de l’arrondissement, Benoît Labonté, à revitaliser le vaste périmètre abritant 450 entreprises culturelles, dont 28 salles de spectacles. L’argent dédommagera aussi propriétaires et locataires expropriés, en plus de permettre le rachat de certains immeubles, au besoin. Le mobilier urbain sera distinctif, de même que la signature de la signalisation, souligne-t-on. Le directeur général du Quartier des spectacles croit, de plus, que les festivals ont besoin d’infrastructures permanentes pour continuer à croître et à rayonner à l’international. Pierre Deschênes n’est pas gêné par la présence de l’équipe du Quartier international de Montréal, laquelle a remporté plusieurs distinctions sur la scène internationale après avoir métamorphosé tout le secteur entourant le Palais des congrès. Clément Demers, président du QIM, a le mandat, à travers le PPU, « d’analyser, de comparer et de décortiquer toutes les idées, projets et suggestions qui sont sur la table, autant de la part d’intervenants privés que publics, afin d’aboutir à un seul plan global de développement », soutenait récemment le maire Labonté en conférence de presse. Au QIM, on se prépare à examiner la situation: « Tout est en marche, mais il n’y a pas grand-chose de fait, car on vient d’avoir le mandat », indique Martin Maillet, gestionnaire principal – Projets spéciaux et communication. Clément Demers n’a pu être rejoint, car il était à l’extérieur du pays au moment d’écrire ces lignes.
  14. (Le mercredi 11 avril 2007) Un magazine américain de tourisme gai classe Montréal, Vancouver, Edmonton, Winnipeg et Toronto parmi les villes canadiennes les plus accueillantes pour les gais. Dans l'édition de l'été 2007 du magazine Out Traveler, Montréal est décrite comme une ville «qui s'amuse passionnément», portée par une nouvelle confiance, après les bouleversements politiques des années 1970 et le mouvement indépendantiste. Également, la publication qualifie Toronto de «ville débonnaire qui attire aisément des vagues d'admirateurs avec ses plages, ses boîtes de nuit, ses cocktails et ses terrasses». Le magazine a fait remarquer que la plus grande concentration de gais au Canada se trouve dans le secteur des rues Church et Wellesley, à Toronto. Par ailleurs, le rédacteur en chef Ed Salvato a affirmé dans une entrevue qu'Edmonton, la capitale de la riche Alberta, constituait un «bastion de progressisme» étonnamment accueillant pour les gais. Le magazine a fait remarquer que la ville a été désignée capitale culturelle du Canada par le fédéral en 2007 et qu'elle connaît une grande vitalité en raison de la croissance économique de la province. La voisine albertaine Calgary ne fait toutefois pas partie de la liste, même si la ville a annoncé il y a un mois qu'elle ciblait maintenant les touristes gais.
  15. 11/04/2007(D'Après PC) - Le Canada doit nationaliser l'industrie du pétrole et du gaz naturel pour échapper aux grandes pétrolières qui ne cessent d'éliminer leurs concurrents et de verser leurs profits aux actionnaires plutôt que de les investir dans des raffineries, prône le titulaire de la Chaire d'études socio-économiques de l'UQAM, Léo-Paul Lauzon. «À l'heure actuelle, le Canada autosuffisant en pétrole et en gaz, le troisième producteur pour le gaz naturel et le sixième pour le pétrole, se voit imposer des prix à la hausse en raison d'événements qui se produisent en Iran, en Irak ou en Arabie saoudite», a décrié M. Lauzon lors d'une conférence de presse tenue mercredi. «Parmi les pays producteurs de pétrole, le Canada est à contresens. Il est le seul pays occidental à avoir privatisé cette ressource vitale, majoritairement à des intérêts étrangers. On n'a plus les moyens de continuer à s'appauvrir», a-t-il avancé. À défaut de convaincre le gouvernement du Canada de l'urgence de nationaliser l'industrie du pétrole et du gaz naturel, le professeur au département des sciences comptables de l'UQAM propose que le Québec agisse par le biais de la Société québécoise d'initiatives pétrolières (SOQUIP), avec la Société générale de financement et la Caisse dépôt et placement du Québec, et en partenariat avec des détaillants indépendants pour la construction d'une raffinerie et la négociation directe avec les pays producteurs de pétrole que sont le Vénézuéla, le Mexique, la Bolivie ou l'Iran. «Nationalisons cette ressource pour en prendre le contrôle pour que l'argent reste ici au lieu d'aller aux États-Unis ou en Grande-Bretagne», a-t-il dit.
  16. On peut dire qu on recu deux bonnes nouvelles ,la premiére que le métro de Laval ouvrira bientop ,la 2éme c est que le projet a couté moin que prévu ce qui est rare .
  17. Presse Canadienne 11/04/2007 Le métro de Montréal roulera à Laval dès le 28 avril prochain. Le projet, qui devait coûter, selon les dernières estimations, quelque 803,6 millions $, aura nécessité, selon l'Agence métropolitaine de transport, moins que les sommes prévues. Le coût total du projet s'élèvera à 745 millions $. Cette somme représente un coût de 143,2 millions $ / km, soit 22 pour cent moins cher que la moyenne internationale de 175 millions $ / km, pour des métros de même envergure. Annoncé en 1998 à la veille de la campagne électorale par le gouvernement du Parti québécois, le métro ne devait nécessiter qu'un investissement de 179 millions $. Pour lancer le nouveau service vers Laval, la Société de transport de Montréal offira deux journées portes ouvertes les 28 et 29 avril, alors que les passagers pourront voyager gratuitement. La Société de transport de Laval offrira également la gratuité pour cette occasion. La STL révisera son offre de service dans l'optique d'un arrimage avec les trois stations à Laval. Pour bien les desservir, 19 lignes d'autobus se rendront à la station Cartier, trois feront un arrêt à la station de la Concorde et 14 se dirigeront à la station Montmorency.
  18. Wow ,qu elle trés bonne nouvelle WestAust, que je suis content de cette investissement que je l attend depuis longtemps ,les tracés du tramway sont trés intréssent ,l idéé de passer l autocard dans le tracé est une idéé intélligente ,pour les couts aussi je suis content que ca va couter moin puisque au havre ils n ont pas besoin ni d un pont ni de viaduc et en plus de ca ,la voie de la CN qui n est pas utiliser ca va aider beaucoup ,maintenant comme eux moi aussi j éspére que le gouvernement fédéral soit convaincu d investir des sommes significatives dans le développement de Montréal.
  19. Le mur de Berlin doit étre juste dériére lui.
  20. Merci MTLskyline c est trés intéressent cette article ,je savais pas que Longeuil était partagé en trois villes,pour les photos je sais qu il ya beaucoup d endroit plus beau que ca a Longeuil et j ai hate aussi de voir tes photos qui montre le coté beau .
  21. Oui en éffet , la facon dont il a déssiner les grattes ciel de Montréal donne l impréssion que c est réel, ce gas la est vraiment doué.
  22. C est étrange pourtant moi je les voit ,ok esseyer ce lien ou j ai mis més images et dite moi si ca marche ou non.http://fr.pg.photos.yahoo.com/ph/walidguebli2000/album?.dir=376bre2&.src=ph&store=&prodid=&.done=http%3a//fr.pg.photos.yahoo.com/ph//my_photos
  23. (Le mardi 10 avril 2007 La Presse )Pressée de voir son projet avancer au coin de Saint-Laurent et Sainte-Catherine, la Société de développement Angus a entrepris de «pré-louer» des espaces sur un terrain qui ne lui appartient pas, pas plus qu'à l'arrondissement de Ville-Marie. Situé dans le Quartier des spectacles, le terrain convoité appartient à un propriétaire vivant en Asie. L'arrondissement procède à son expropriation dans le but d'y faire construire un édifice à vocation culturelle, où l'on pourrait acheter des billets de spectacle notamment, mais cette procédure n'est pas terminée. À la demande de Ville-Marie, la Société de développement Angus a déposé l'an dernier un projet de 20 millions pour un édifice culturel à cette intersection. Samedi, dans le quotidien Le Devoir, le promoteur a fait paraître une publicité de pré-location invitant à réserver une place dans ce bâtiment surnommé le Red Light et devant ouvrir au printemps 2009. «C'est pour le moins prématuré et imprudent, de s'exclamer le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoît Labonté, en entrevue téléphonique hier. Aucun mandat n'a été accordé dans ce sens. Nous n'avons même pas pris possession du terrain.» M. Labonté s'est dit d'autant plus «étonné» qu'il dit avoir rencontré Christian Yaccarini, PDG de la Société de développement Angus, récemment, en compagnie du maire de Montréal, Gérald Tremblay. Joint en fin de journée, M. Yaccarini affirme qu'il est normal de procéder ainsi. La pré-location est un préalable essentiel au démarrage d'un projet d'importance, comme celui du 2-22 Sainte-Catherine, qui changera considérablement le paysage du secteur. «On est en train de préparer le montage financier. Pour ce faire, il faut faire de la pré-location. À cette étape, il n'y a pas de signatures de baux, ni de garanties comme quoi le bâtiment va être livré. On monte un projet et pour le réaliser il faut pouvoir compter sur des gens intéressés», a-t-il expliqué. Expropriation Comme La Presse l'écrivait récemment, l'un des deux locataires de l'édifice situé au sud-est de l'intersection Saint-Laurent et Sainte-Catherine, gérant un peep-show, a laissé tomber son opposition à l'expropriation. Un autre locataire est en train de négocier le rachat de son bail avec l'avocate de la Ville. Quant au propriétaire de l'édifice, il n'a pas entrepris de recours, pour lesquels les délais sont expirés. Le maire Labonté s'attend à ce que le processus d'expropriation se termine vers le début des vacances d'été. Ensuite, le plan particulier d'urbanisme (PPU), annoncé il y a quelques semaines, identifiera d'ici le mois d'octobre le plan de développement du Quartier des spectacles, dont l'intersection Sainte-Catherine et Saint-Laurent. Vitrine culturelle Selon le maire d'arrondissement, il est clair que l'édifice qui y sera érigé comprendra la Vitrine culturelle, un guichet de dernière minute permettant d'obtenir des places pour la plupart des spectacles en ville. Il sera ouvert l'été prochain provisoirement à la Place des Arts. Dans la publicité de la Société de développement Angus et de son partenaire financier pour le Red Light, FondAction de la CSN, il est question de la Vitrine, mais aussi de la présence de la librairie Olivieri et d'un bistro-restaurant. Le financement de cet édifice devrait se faire à peu près à parts égales entre le public et le privé. Benoît Labonté répète cependant que ce «bâtiment phare et fort» du Quartier des spectacles pourrait reprendre en tout ou en partie le projet présenté l'an dernier par M. Yaccarini, tout comme il pourrait être remplacé par un autre. Le terrain lui-même pourrait être vendu ou cédé, à condition, souligne-t-il, que la vocation culturelle soit respectée.
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