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loulou123

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  1. 16/03/2007Le Québec est le troisième émetteur de polluants atmosphériques en importance au Canada, selon les plus récentes données compilées par l'Association canadienne du droit de l'environnement. Il se classe quatrième pour les GES. Les installations québécoises ont rejeté en 2005 près de 600 millions de kilogrammes de polluants dans l'air, soit 15 % de la totalité émise par le Canada Ainsi, la Belle Province se classe troisième derrière la championne incontestée, l'Alberta (27 %), et sa plus proche voisine, l'Ontario (21 %). Au total, les entreprises canadiennes ont émis plus de 4 milliards de kilogrammes de polluants atmosphériques, dont les trois quarts sont jugés toxiques par la Loi canadienne sur la protection de l'environnement. Ces polluants sont associés à la contamination toxique, au smog, aux pluies acides ainsi qu'à divers effets sur la santé tels que les troubles respiratoires et le cancer. GES En ce qui a trait aux GES, le Québec se classe en quatrième position, côte à côte avec la Saskatchewan, en frôlant les 20 millions de tonnes. Le Québec est néanmoins bien loin de l'Alberta (110 millions) et de l'Ontario (80 millions). Le total canadien d'émissions de GES par les entreprises est de 279 tonnes, comparativement à 278 pour l'année 2004. Ces données sont publiées alors même qu'un comité parlementaire révise la Loi sur la qualité de l'air, qui sera déposée devant le Parlement d'ici la fin du mois. «L'environnement est la priorité des Canadiens et devrait également être la priorité de nos élus, qui devraient s'engager à apporter des changements nécessaires et à adopter une loi sur la qualité de l'air qui soit efficace», soutient Aaron Freeman, directeur des politiques pour le groupe Défense environnementale. Les chiffres sont fournis par les entreprises elles-mêmes à l'Inventaire national des rejets de polluants (INRP). Le classement est effectué à partir de ces données par l'organisme Défense environnementale et l'Association canadienne du droit de l'environnement.
  2. loulou123

    expo67

    wow trés belle les photos au contraire ca nous dérange pas en tout cas pour moi ,merci pour ces photos j ai beaucoup aimer surtout la sixiéme je savait pas qu il y avait un monorail a Montréal .
  3. (LA PRESSE)Plus de 500 personnes ont récemment eu la chance de faire une visite guidée du tout nouveau métro de Laval.Des étudiants ont été spécialement formé par l Agence Métropolitaine de Transport pour faire visiter le Métro de Laval a plus de 500 gens d affaires(élus,ingénieurs,architectes,...).En tant que maitre d oeuvre du projet ,l Agence Métroplitaine de transport considérait qu elle avait une respensabilité de faire découvrir et apprécier le Métro de Laval a un grand nombre de professionels oeuvrant dans les domaines concernés par la construction du Métro.L AMT a donc créé un programme de visites spécialement concu pour retransmettre ses connaissances et son expertise et faire visiter les fifférentes infrastructures du Métro.Pour mener a bien ce projet .l AMT a collaboré avec les universités pour recruter et former une quinzéne d étudiants qui agi a titre de guides lors de ces visites.Souhaitant faire des rapprochement avec le milieu universitaire, l AMT a également permis a des étudiants en génis,en architectuture,en urbanisme de découvrir les nombreux aspects de la réalisation de ce grand projet.Sachant que le métro de laval est le plus important chantier en milieu urbain des derniéres décennies,l AMT se faisait un devoir de partager le plus d informations possibles avec les ingénieurs et architectes de demain.<Ce programme de visites certainement contribué a la formation de nos jeunes ingénieurs.Ils ont eu cours de réalisation et d étre en contact avec ceux qui le réalisent>a souligné Joel Gauthier ,président -directeur général de l AMT.
  4. Après une attente de 90 ans, l'Oratoire St- Joseph aura finalement son ascenseur! L'appareil facilitera l'accès pour les visiteurs et les pèlerins à mobilité réduite et les familles avec des poussettes. Il reliera la chapelle votive, la salle des pas perdus et le niveau où est conservé précieusement le cœur du frère André. Son accès, à partir de la chapelle votive au niveau de la crypte, longe le roc du mont Royal sur plusieurs mètres et offre un coup d'œil unique sur dix mètres de falaise intérieure. Cette nouvelle installation sera inaugurée vendredi.
  5. Presse Canadienne 11/03/2007 Le Parti vert propose d'investir 15 milliards $ au cours des 20 prochaines années dans le transport en commun dans la grande région de Montréal. Le chef de ce parti, Scott McKay, a déclaré dimanche que la métropole du Québec est toute désignée pour faire de l'écologie un moteur de son développement économique. M. McKay a rappelé que c'est le transport qui remporte la palme en matière d'émissions de gaz à effet de serre, d'où la nécessité de s'y attaquer en posant des gestes concrets. C'est pourquoi il souhaite doter Montréal d'un réseau de 200 kilomètres de tramways électriques, fabriqués par Bombardier, qui serait financé à même les revenus de postes de péage installés sur les ponts. Le chef du Parti vert a indiqué que le tarif de ce péage serait établi à 2 $, ce qui permettrait de recueillir une somme d'environ 500 millions $ par année dont les trois quarts seraient investis dans le réseau du transport en commun et le reste devant servir à une baisse de taxe pour les résidents de l'Ile de Montréal. Par ailleurs, Scott McKay s'est dit déçu de ne pas avoir été invité à participer au débat télévisé des chefs mardi soir prochain. Pour lui, «ce sera un triste jour pour la démocratie au Québec». Il a rappelé que les Québécois ont déjà vécu des débats à cinq, à l'époque de l'Union nationale et de l'arrivée de René Lévesque à la tête du Parti québécois, ce qui avait été une étape marquante pour la démocratie.
  6. Le planétarium de Montréal ,qui doit étre rocalisé dans de nouvelles infratructures scientufiques a la fine pointe,au parc olympique ,ne sera vraisemblabement pas inougré avant 2010,croit son directeur Pierre Lacombe.M.Lacombe espérait que le Planétarium soit prét a temps pour l année internationale de l astronomie, en 2009,mais le retard accumelé,notament du coté d Otawa ,invoquent plusieurs sources consultées par Montréal Express ,repousse l ouverture a l autre décenie.<Cela aurait été une belle occasion ,mais ca devient de plus en plus difficile .Méme si demain on nous confirmait que les discussions sont complétées concernet le montage financier ,nous ne serions vraisemblement pas prét a ouvrir avant le printemps 2010> <tous les partenaires semblent d accord pour dire que le projet doit aller de l avant ,parce que ca consoliderait le pole des muéums natures et que le planétarium pourrait doubler son achalandage actuel en se retrouvant sur le site du Parc olympique >indique -t-il.
  7. 12/03/2007Lorsque vient le temps de se vanter, Vancouver peut toujours prétendre au titre du plus grand centre de développement de jeux vidéo au Canada. Mais non seulement Montréal se rapproche-t-elle de la marque des 3 000 emplois en studios de jeux à Vancouver, certains considèrent même que la Belle Province surpasse la Côte Ouest - et peut-être toute l'Amérique du Nord - au chapitre de la qualité. «Je me demande s'il existe une ville autre que Montréal qui génère autant de titres "triple A" par année de la part d'autant de développeurs différents», note Stéphane D'Astous, directeur général des bureaux montréalais du géant du jeu vidéo du Royaume-Uni, Eidos Interactive. Les titres «triple A» - l'équivalent des blockbusters hollywoodiens dans le monde du jeu vidéo - sont nombreux dans le catalogue d'Ubisoft Montréal, dont la franchise Tom Clancy's Splinter Cell s'est vendue à plus de 17 millions d'exemplaires tout en étant une des séries les plus acclamées par la critique ces cinq dernières années. Le studio Artificial Mind and Movement travaille fréquemment avec des géants de l'animation comme Disney et Dreamworks et a produit plus de 50 jeux vidéos inspirés de films et de séries télévisées comme Monsters Inc. ou Kim Possible. Eidos, qui compte parmi ses succès les immensément populaires Tomb Raider et Hitman, ne veut pas dévoiler son premier projet pour Montréal. M. D'Astous a néanmoins indiqué qu'il s'inscrira dans une série fort populaire et hautement estimée.
  8. (PRESSE)Trente milliards de dollards devront étre investis a montréal au cours des deux prochaines décennies pour la mise a niveau des infrastructures, souterraines et de transport en commun.A l instar du fonds de l eau,qui permettra d autofinanacerles travaux d infranstructures dans le réseau souterrain a partir de 2013, l administration Tremblay-Zampino envisage la mise sur pied d un fonds similaire,celui ci dédié aux infrastructures routiéres.C est qu a révélé le président du comité exécutif de la ville de Montréal ,Frank Zampino,en entrevue avec Montreal Express.(ce fonds pour les infrastructures routiéres permettrait de mettre a niveau non ponts,viaducs et l ensemble du réseau artériel.Nous nous sommes engagés a investir 500millions dollard dans nos infratructures routiéres,notament pour corriger le probléme des nids-de-poules, mais cette somme n est pas suffisante pour la remise a niveau de toutes les rues )explique M.Zampino.Selon lui montréal nécessitera des investissements de 30 milliards au cours des 20 prochaines années,soit 10milliards pour les infrastructures routiéreset 10 milliards pour les infranstructures de transport en commun.Les deux autres paliers de gouvernement seront appelés a contribuer ,comme c est notament le cas du fédéral avec la taxe d accise sur l essence et du gouvernement du Québec pour le métro de montréal .Mais Montréal n en reste pas la et réclame également des pouvoirs habilitants en matiére fiscale et administrative pour continuer son dévloppement.(Nous dépendons de l impot foncier qui représente environ70pour100 de nos revenus sur un budget de 4 milliards dollard , poursuit M.Zampino .Nous voulons obtenir une partie de la croissance générée a Montréal.Chaque fois qu un milliard est investi ici,les gouvernements supérieurs retirent chcun 150millons .On demande a Québec et a Ottawa de partagerla moitiéde ces retombées avec nous)(Si le gouvernement n accorde pas d attention a sa métropole,elle qui crée plus de la moitié de la richesse au Québec , nous serons toujours en retard par rapport a Toronto et aux autres grandes villes du monde.Ajourd hui ,la compétition se fait entre les grandes villes ,pas entre les pays)soutient le président du comité exécutif.Le maire Gérald Tremblay et Frank Zampino doivent rencontrer sous peu le chef du parti québéquois et celui de l Action démocratique su Québec pour les sensibiliser aux besoins de Montréal.
  9. Cette année encore,plus de 22000montréalais quitteront l ile de montreal pour aller s installer en banlieu.depuis quatre ans,c est pratiquement100000montrealais qui ont ainsi quiitte la metropole,preférent les désavantages reliés a la circulation a ceux de la vie urbaine.alors que le centre se vide,la couronne,elle grossit sans cesse lanaudiére(139 pour 100),les laurentides(111pour100),laval(62pour 100)ont onregistré une croissance démographique considérable au fil des derniéres années.cet étalement urbain n aide en rien le dévoloppement économique de montreal, comme l explique l organisme Équiterre< en se dirigeant vers les banlieues,les gens plus fortunés ont laissé deriére eux une concentration de pauvreté dans la ville centrale.C est ce qu on apelle le phénoméne du (trou de beigne),le trou étant la pauvreté que l on trouve dans le centre de la ville et le beigne ,ce qu il ya autour ,en l occurence les mieu nantis>.Les chiffres dévoilés en début d année par l institut de la satistique du quebec appuient cette allégation .Selon ces données ,les gens des classes moyenne et supérieure,souvent des personnes de 25a 49ansayant des enfants,sont plus susceptible de quitter Montreal pour la banlieue que les gens moin fortunés,les familles monoparentales,les étudiants ou les personnesdi troisiéme age.(on peut pratiquement diviser les Montrealais en deux catégories,il ya ceux qui ont des revenus tres élevés et qui profitent des services que la ville offre,et il ya les autres moin fortunés qui ne peuvent quitter leur milieu de vie de faute moyens.les jeunes familles fuient Montreal au profit des gazon verduyant et des bungalows plus adorables de la banlieue .Le phénoméne ,observé et documenté ,s accentue depuis l an 2000,conséquence de la hausse vertgnieuse du pris des maisons unifamiliales.Une enquéte de l Institut de la statistique du quebec rendue publique récemment revéle que les pertes nette de Montreal dépassent 20000personnes pour une quatriéme année consécutive.Pendant ce temps,dans les 450 les projets se multiplient et les gens vont de plus en plus loin pour dénicher leur petit coin de paradis.Selon les plus récentes données de la chambre immobliére du grand Montreal ceux qui optent pour Montreal ,ou qui en ontencore les moyens, doivent débourser100000dollard de plus,en moyenne, pour une maison unifamiliale, par rapport a laval et a longueuil.Dans lanaudiére ,la région qui séduit plusque toute autre,avec 6830nouveaux résidents en 2005 2006(+1.60pour 100),les gens dépensent la moitié moin pour accéder a la propriété.Tout ca des infrastructures plus récentes et des centres commerciaux jouissant de milliers d espaces de stationnement exemptés de parcométres.... MANQUE DE LEADERSHIP Pour Francois purcell ,chef de vision de Montreal ,le manque de leaderchip du maire Tremblay en matiére d habitation contraint les couples a s exiler.<je connais beaucoup de gens qui ne juraient que par Montreal .Il ont du se résoudre a quitter l ile parce que leurs besoins ont changé ,souvent en accueillant un deuxiéme enfant ,et qu ils ne pouvaient plus se loger convenablement ici.C est néfaste pour toute la communauté métropolitaine ,du point de vue économique ,mais aussi pour l environnement surtout au chapitre des transports>M.Purcell affirme que la ville doit encourager les entrepreneurs a construire des habitations qui répondent aux besoins,mais surtout au moyens des familles.<il faut aussi se doter d une politique familialequi regarde l ensemble des besoin.Force est de constater que les gens qui quittent ,deouis quelques années ,le font parceque leur portefeuille ne peut plus ici ,leur garantir un logement décent en fonctionde leur besoins.Le maire de Montreal qui est président de la communauté métropolitaine de Montreal ,doit s asseoir avec Quebec pour parler des conséquences de l étalement urbain> LES IMMIGRANTS A LA RECOUSSE.dans le passé les arrivants étranger palliaient l exode des Montrealais vers les banlieues.Cela ne semble plis etre le cas aujourd hui.Selon les données provenant de l Institut de la ststistique du Québec ,la metropole a perdu 8004citoyens entre le 1juillet 2005et le 30juin 2006,et comme par les années passées, prés de 30 000 immigrants se sont installésa Montreal durant cette période.Cependant ,les soldes migratoire intraprovincial (-27 846)et interprovencial (-6536)sont négatifs.Résultat les nouveaux immigrants internationaux n arrivent plus a pallier l exode actuel des Montrealais.
  10. Les 20 millions de dollars supplémentaires amassés avec cette hausse vont servir au nettoyage et à l'amélioration des artères de Montréal. Le directeur du conseil régional de l'environnement aurait préféré que les sommes soient investies dans le transport en commun.
  11. MONTREAL, le 9 mars 2007- M. Marvin Rotrand, conseiller de ville de l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce et vice-président de la Société de transport de Montréal, M. Michel Labrecque, conseiller de ville de l'arrondissement du Plateau Mont-Royal, et le directeur général du Conseil régional de l'environnement de Montréal ont affirmé publiquement leur soutien aux modifications apportées par la Ville de Montréal à la tarification et aux plages horaires des parcomètres. "Dans le contexte du Protocole de Kyoto et des efforts internationaux pour réduire les gaz à effet de serre et dans le contexte où la Ville de Montréal doit chercher et diversifier ses revenus pour faire face à ses obligations, les nouveaux tarifs des parcomètres sont pleinement justifiés. Cette décision aura des effets positifs, tant sur l'environnement que sur les finances de la Ville. C'est un choix écologique et économique qui est dans le meilleur intérêt des Montréalaises et des Montréalais", a déclaré M. Rotrand. "Il ne faut pas oublier que les parcomètres doivent être utilisés pour du stationnement de courte durée, et ce, de façon à favoriser l'accès aux commerces au plus grand nombre possible d'usagers. Or, la hausse des tarifs des parcomètres pourrait éventuellement décourager ceux qui veulent utiliser ces espaces tarifés pour du stationnement de longue durée. Ca va probablement inciter aussi un plus grand nombre de personnes à utiliser les transports collectifs", a ajouté M. Rotrand. Le conseiller Labrecque a rappelé pour sa part que les nouveaux tarifs des parcomètres à Montréal sont légèrement inférieurs ou similaires à ceux des autres grandes villes canadiennes, comme Québec, Ottawa, Toronto, Calgary et Vancouver où, dans ce dernier cas, les tarifs des parcomètres grimpent jusqu'à 4 $ de l'heure. M. Labrecque ajoute qu'une tarification des parcomètres est en vigueur le dimanche à Québec, Toronto et Vancouver, ainsi qu'à Ottawa, avec certaines exceptions. Il a aussi rappelé que les tarifs des parcomètres, n'eut été de la légère hausse qui avait été décrétée en 2006, n'avaient pas été augmentés depuis plus de dix ans à Montréal. "Nous sommes élus pour prendre des décisions et pour nous assurer que la Ville et les arrondissements aient les ressources financières nécessaires pour offrir des services de qualité aux Montréalaises et aux Montréalais. Les revenus additionnels que générera la hausse des tarifs des parcomètres sur les voies artérielles, comme l'avenue du Mont Royal, seront laissés et partagés entre les arrondissements de l'ancienne Ville de Montréal et une bonne partie de ces sommes seront réinvesties dans la propreté et dans l'embellissement des rues commerciales", a mentionné M. Labrecque. M. Robert Perreault, directeur général du Conseil régional de l'environnement de Montréal, s'est aussi dit favorable aux nouveaux tarifs des parcomètres. "Ca encourage l'utilisation d'autres moyens de transport que l'automobile. Un consensus est en train de se bâtir sur la nécessité d'un changement de culture afin de réduire l'utilisation de l'automobile, augmenter sensiblement l'offre de transport collectif et favoriser le transport actif. Les modifications des tarifs des parcomètres s'inscrivent dans cette optique", a plaidé M. Perreault.
  12. Je comprend pas pourquoi a chaque fois ils nous representent un projet sans le faire,s ils ne peuvent pas faire ces projets ou ils n ont pas les moyens pourquoi ils nous le representent ou pourquoi ils le font sortir dans les medias ,ils n ont qu a rien représenter et comme ca tout le monde est tranquille c est mieu de faire réver le monde sans que rien se passe.
  13. Tres belles les photos ,surtout ceus des arcs ils m ont impréssionner merci iamthewalrus .
  14. 07/03/2007 Montréal va de l'avant avec le projet du Quartier des spectacles. La Ville a annoncé hier la création d'un plan d'aménagement qui changera le visage de cette partie de la métropole. Alors que Montréal mène contre Toronto une lutte acharnée pour le statut de métropole culturelle du Canada, l'aménagement du Quartier des spectacles se veut un levier de développement fort attendu par le milieu. Ce quartier, sis au carrefour de la rue Sainte-Catherine et du boulevard Saint-Laurent, constitue le berceau des hauts lieux de la culture montréalaise, englobant notamment la Place des Arts, le Métropolis et le Spectrum. La conception du projet du Quartier des spectacles a d'ailleurs été confiée à Clément Demers, celui-là même qui a mené à bien le développement du Quartier international. Une annonce qui a fait l'unanimité dans le milieu. «C'est le signal clair que le Quartier des spectacles passe de la phase de la planification à celle de la réalisation», s'est réjoui le président du Partenariat du Quartier des spectacles, Charles Lapointe.Le nouveau plan d'urbanisme sera déposé au plus tard en octobre prochain, juste à temps pour le Rendez-vous novembre 2007, Montréal métropole culturelle, où le milieu discutera du positionnement de Montréal sur la scène internationale
  15. 07/03/2007 La Ville de Montréal ne volera pas au secours du Spectrum. Les 7 M$ manquant à sa reconstruction devront venir du privé. «C'est un projet privé et c'est au promoteur de trouver son financement dans le domaine privé», a indiqué Gérald Tremblay, questionné à ce sujet lors de la conférence de presse sur le Quartier des spectacles. «C'est à nous de créer un environnement propice à l'investissement. À partir de ce moment, on aura fait notre job», insiste-t-il. Vendredi, une pétition de 15 000 signatures sera déposée à la Ville pour tenter de sauver le Spectrum. Édifice désuet La salle de spectacle mythique de Montréal est menacée de disparaître parce que son actuel propriétaire, la compagnie SIDEV, veut raser l'édifice désuet pour laisser place à des habitations. Pour qu'un nouveau Spectrum fasse partie du projet de construction, l'équipe Spectra, qui gère la salle, doit investir 10 M$. L'équipe, qui chapeaute également les FrancoFolies et le Festival de jazz, est prête à investir 3 M$ et cherche des partenaires pour le reste. Spectra n'écarte pas non plus la construction d'une toute nouvelle salle dans l'îlot Balmoral avec l'aide du gouvernement du Québec et de la Ville de Montréal.
  16. La carte autobus-métro (CAM) disparaîtra bientôt du réseau de transport en commun montréalais. Dès 2008, les usagers pourraient devoir payer en fonction du nombre de stations de métro qu’ils parcourent ou encore du nombre de «zones» de transport qu’ils traversent. Cette modification majeure du mode de paiement des voyageurs sera rendue possible grâce aux cartes à puce, que l’on pourra utiliser dans l’ensemble du réseau montréalais. Un peu avant cette échéance, le président de la STM, Claude Trudel, prévoit étudier de nouvelles possibilités de paiement pour les usagers. Même si les pourparlers ne sont pas encore commencés, M. Trudel a accepté de présenter quelques-unes des options qui seront considérées. 1. Payer pour chaque station de métro La première possibilité serait de faire payer les usagers du métro pour le nombre exact de stations qu’ils franchissent. En s’engouffrant dans le métro, les citoyens passeraient leur carte à puce dans un lecteur. En sortant, ils repasseraient leur carte dans un autre lecteur pour connaître le coût de leur voyage, qui serait déduit automatiquement de leur carte. « Quelqu’un qui voyagerait d’un bout à l’autre du réseau paierait donc plus cher que quelqu’un qui n’embarquerait que pour une ou deux stations », dit M. Trudel. À Washington, le métro fonctionne selon ce principe d’ «utilisateur-payeur» depuis quelques années, avec succès. 2. Diviser le réseau en zones Un peu dans la même veine, la STM pourrait diviser l’ensemble de son réseau en «zones de transport». Tout déplacement dans la zone du centre-ville coûterait un certain prix. Circuler dans la deuxième zone, un peu plus éloignée du centre-ville, coûterait plus cher. Et ainsi de suite jusqu’à la limite du territoire de la STM. «Le réseau des trains de banlieue fonctionne déjà comme ça», explique M. Trudel. Ce principe sera aussi testé sous peu au nouveau métro de Laval. Comme La Presse l’a annoncé hier, les usagers qui désireront se rendre à l’une des trois stations lavalloises devront se munir d’une carte TRAM 3 (103$) plutôt que de la CAM (65$). M. Trudel a d’ailleurs confirmé cette nouvelle, hier. «Pour le métro de Laval, la TRAM 3 est la seule possibilité étudiée. Il n’y a pas d’intermédiaire», a-t-il dit. M. Trudel a ainsi fait taire la rumeur voulant que l’on propose aux Lavallois une CAM +, qui coûterait entre 103$ et 65$. 3. Payer plus cher aux heures de pointe Enfin, l’autre mode de paiement que la STM pourrait adopter en 2008 serait de faire contribuer davantage les Montréalais aux heures de pointe. Utiliser le métro entre 7 h et 10 h ou entre 15 h et 18 h serait beaucoup plus cher. Cette tactique inciterait les citoyens qui n’ont pas absolument besoin de se déplacer aux heures de grande affluence à utiliser le réseau à d’autres moments. M. Trudel a tenu à préciser que la STM étudiera bientôt ces possibilités mais qu’elle «n’est pas encore rendue là». Ce n’est que lorsque les cartes à puce seront complètement installées dans l’ensemble de son réseau qu’une refonte du système de paiement pourra débuter. D’ici là, on continuera de vendre la CAM.
  17. 06/03/2007Les autorités de la ville de Montréal ont prévu une réserve de 55M$ pour réaliser en quatre ans le plan d'aménagement du Quartier des spectacles attendu à la fin d'octobre prochain. Y seront arrêtés tous les détails, petits et grands, liés à l'éclairage des artères, l'illumination des édifices, le design du mobilier urbain et l'image de marque qu'on veut donner au quartier. L'annonce de cette autre étape a été faite conjointement, mardi, en conférence de presse, par le maire de Montréal Gérald Tremblay et le président du conseil d'administration du Partenariat du Quartier des spectacles, Charles Lapointe, dans la plus parfaite harmonie, selon la Presse Canadienne. Il y a quelques semaines, M. Lapointe, en sa qualité cette fois de président de Tourisme Montréal avait dénoncé publiquement la saleté et le délabrement des édifices et du mobilier de la ville devant quelques centaines de représentants du milieu touristique montréalais. Il avait été ovationné, ce qui avait piqué le maire Tremblay au vif. Le soin d'arrêter un plan global de développement, à partir des projets et suggestions accumulés tout au long des trois dernières années, a été confié à Clément Demers en raison de son expertise acquise à titre de président du Quartier International de Montréal. Avec des investissements publics de 70M$ pour la construction notamment de l'édifice abritant la Caisse de dépôt et placement du Québec, il avait suscité des investissements privés à hauteur de 1G$. Dans le cas du Quartier des spectacles, les projets déjà connus, entre autres, les Ateliers de danse et l'édifice d'Équiterre, nécessitent des investissements de 300M$. «La Place des Arts et Desjardins ont fait leur travail sur les territoires privés. Avec le plan de développement, on va pouvoir aller sur le secteur public et décider, avec les privés, comment se fera l'aménagement pour que ça coûte le moins cher possible aux festivals pour s'installer sur Sainte-Catherine de façon à ne pas avoir besoin de recommencer à chaque année», a expliqué M. Lapointe. M. Demers verra à attribuer les terrains pour la Place des festivals. Il examinera les plans déjà soumis, par exemple pour la construction de deux tours d'habitation. Dans ce dernier cas, «il va falloir parler de gabarit, prévoir le nombre maximal d'étages et déterminer quels sont les terrains qui seront laissés à l'usage public», a ajouté M. Lapointe. «Notre responsabilité est de créer un environnement favorable aux investissements», a résumé le maire Tremblay qui compte se tourner vers les gouvernements du Québec et du Canada. «Une fois devenue plus attrayant, le quartier devrait attirer d'autres investisseurs», a-t-il ajouté.
  18. Mardi 6 Mars 2007 .Les images ne mentent pas. Pendant que le maire Gérald Tremblay livrait son plaidoyer sur une stratégie nationale de transports en commun, des images défilaient sur un écran. Des autobus, des wagons de métro et...un tramway. Il n'en fallait pas plus pour que le premier montréalais soit interrogé sur le retour des tramways dans les rues du centre-ville. Esquivant la question avec un sourire en coin, M.Tremblay s'est limité à dire que son collègue du comité exécutif, André Lavallée déposera à la fin du mois d'avril un plan de transport étoffé pour la métropole. "Toutes les options pour améliorer le transport collectif sont retenues", a déclaré M.Tremblay. Ça sent le retour sur les rails des tramways à pleines narines! Source le journal 24heures du métro de montreal.
  19. Presse Canadienne 05/03/2007La Fédération canadienne des municipalités et son Caucus des maires des grandes villes pressent le gouvernement du Canada d'adopter une stratégie nationale de transports en commun comportant des mesures concrètes pour s'attaquer aux changements climatiques, mais également pour accroître la compétitivité des villes et améliorer la qualité de vie. L'Association canadienne du transport urbain estime que les réseaux de transports en commun du pays ont besoin de 20,7 milliards $ pour leurs infrastructures d'ici à 2010. Gérald Tremblay, maire de Montréal, croit que le transport en commun accroît l'attractivité et la compétitivité des régions métropolitaines. Il rappelle que le secteur des transports représente 30 pour cent des émissions de gaz à effet de serre du Canada, et les véhicules particuliers produisent, à eux seuls, 70 pour cent des émissions de ce secteur. Compte tenu qu'un autobus peut transporter autant de passagers que 50 voitures et qu'il pollue 18 fois moins, il serait logique de convaincre les Canadiens de ranger leur voiture et de prendre les transports en commun, selon les maires. Les maires reconnaissent que le gouvernement fédéral investit déjà dans les transports en commun, mais ils soutiennent que les besoins sont de beaucoup supérieurs aux gestes fédéraux consentis. Les maires demandent aussi d'intégrer l'aménagement du sol et la planification des transports, d'adopter des mesures pour inciter la population à choisir les transports en commun, de mener des recherches pour stimuler l'utilisation des transports en commun et de mettre en oeuvre des mesures de reddition de comptes visant tous les ordres de gouvernement. L'Association canadienne du transport urbain estime que les réseaux de transports en commun du pays ont besoin de 20,7 milliards $ pour leurs infrastructures d'ici à 2010.
  20. Le Québec risque d’avoir de la concurrence dans le secteur du jeu vidéo. Après avoir perdu des centaines d’emplois au profit notamment de la Belle Province, la France riposte en adoptant à son tour un crédit d’impôt pour soutenir sur son territoire les entreprises qui développent des jeux vidéo. Les députés français ont adopté la mesure le 1er février dernier. Celle-ci devrait entrer en vigueur en janvier 2008. À Investissement Québec, qui gère le crédit d’impôt remboursable pour les entreprises du secteur multimédia, on n’est pas inquiet. «C’est beaucoup moins généreux», affirme la porte-parole Josée Béland en parlant non seulement du programme français mais aussi des aides offertes en Ontario, en Nouvelle-Écosse ou encore en Irlande. Au ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation, on ne se prononce pas pour le moment. «Le dossier est à l’étude», a seulement indiqué la porte-parole France Verrette. Au Québec, le crédit d’impôt qui permet de rembourser une partie des salaires couvre jusqu’à 37,5% des coûts de main-d’oeuvre admissibles. En France, le pourcentage atteint au maximum 20%. Le crédit est aussi limité à 3 millions d’euros par entreprise (soit 4,6M$). D’autres mesures à venir ? À court terme, Guillaume de Fondaumière, président de l’Association des producteurs d’oeuvres multimédias (en France), admet que l’aide québécoise est plus généreuse. Mais à plus long terme, rien n’est moins sûr. «Le crédit d’impôt français est le prélude à une série de mesures qui devraient voir le jour au cours des prochaines années», affirme-t-il. «J’ai bon espoir que mes collègues allemands et britanniques nous emboîtent le pas», dit celui qui milite pour que l’Union européenne se dote d’une véritable politique dans le secteur du jeu vidéo. «Ça prendra peut-être plusieurs années mais on va y arriver!» affirme-t-il. Concurrence féroce En tout cas, la France compte redevenir un joueur de taille dans le domaine. «L’industrie française des jeux vidéo doit pouvoir reprendre sa place de premier rang», indique les textes de loi de l’Assemblée nationale française. La France, avec des entreprises comme Softimage, était une pionnière en matière de jeux vidéo au début des années 1980. Mais en raison de la concurrence provenant principalement de la Chine, des États-Unis et du Canada, le secteur est rapidement tombé en crise. En 6 ans, 70% des emplois dans la production de jeux ont disparu. «On est passé de 5 000 développeurs en 2 000 à 1 500 aujourd’hui», dit M. de Fondaumière. Au Québec, c’est tout l’inverse. Depuis le début de la décennie, la Belle Province est devenue l’un des plus grands pôles technologiques du monde dans le secteur du jeu vidéo. L’industrie compte plus de 70 entreprises. Il y a notamment 40 studios de développement, qui emploient plus de 2 700 personnes. - En juin 2003, le crédit d’impôt remboursable à la production de titres multimédias a été réduit de 50 % à 37,5 %.
  21. Les premiers travaux de construction du boulevard Métropolitain au centre de l'île de Montréal ont débuté en 1958
  22. 2 mars 2007 - A l'approche du budget fédéral, les intervenants du milieu touristique demandent à Ottawa de revenir sur sa décision d'abolir le remboursement de la TPS aux visiteurs internationaux. Les voyageurs qui viennent d'autres pays peuvent en effet se faire rembourser la TPS sur tous leurs achats au Canada, incluant les factures d'hôtel, lorsqu'ils quittent le Canada. La grande majorité des voyageurs qui viennent faire du tourisme d'agrément ne réclament pas cet argent mais la mesure est prisée des grossistes et organisateurs de voyage d'affaires qui obtiennent un rabais de 6 pour cent, soit l'équivalent de la TPS, lorsqu'ils achètent des forfaits pour leurs clients. L'industrie touristique fait valoir que plusieurs pays de l'OCDE et tous ceux de l'Union européenne ont une politique semblable et que la compétitivité du Canada sera menacée si le programme est aboli. Les représentants du secteur rappellent que le tourisme a beaucoup souffert à la suite du 11 septembre 2001, de la crise du SRAS, de la montée du dollar canadien et demandent à Ottawa de ne pas ajouter un nouvel irritant alors que, pour une fois, il a le pouvoir d'agir.
  23. La Ronde under construction in early spring with snow on the ground.The Habitat housing under construction
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