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loulou123

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Tout ce qui a été posté par loulou123

  1. (Le samedi 31 mars 2007)L'administration Tremblay-Zampino planche sur l'idée d'ouvrir toute l'année des corridors cyclables dans les grandes artères de Montréal. Les détails seront inclus dans le Plan de transport de Montréal, qui doit être rendu public dans un mois, selon ce qu'a appris La Presse. Ces corridors cyclables prendront la forme de bandes de quelques pieds de largeur peintes au sol dans les grands axes qui traversent le centre-ville de Montréal. Le sujet est tellement chaud à la Ville que le responsable du transport collectif au comité exécutif, André Lavallée, a refusé d'en parler hier. Depuis quelques jours, il a tenu des rencontres intensives avec des fonctionnaires de la Ville pour mettre la dernière main au fameux plan. Le responsable des communications au comité exécutif, Darren Becker, a confirmé que le vélo sera un volet important du plan et que l'équipe du maire de Montréal a l'intention de dévoiler une «vision globale pour le cyclisme» à Montréal.
  2. Je ne sais pas ou j ai vu ca ,il faut dire que je ne suis pas sure ,mais je pense aussi qu avec ce projet il y aura une passerelle du métro Guy concordia vers le pavillons .
  3. (30 mars 2007)Le fléchissement de l'économie canadienne observé l'an dernier devrait lentement s'inverser en 2007, ce qui conduira, selon la RBC, à une croissance annuelle de 2,5 %. Selon les plus récentes prévisions économiques de la RBC, publiées vendredi, les bonnes performances du marché du travail et les fortes liquidités dans les portefeuilles de placement devraient soutenir la consommation. Sans grande surprise, les provinces axées sur les ressources naturelles, notamment Terre-Neuve-et-Labrador (4 %) et l'Alberta (3,6 %), resteront en tête du classement de la croissance économique, alors que l'Île-du-Prince-Edouard et l'Ontario fermeront la marche avec respectivement une croissance de 1,9 % et 2 %. Au Québec, l'économie devrait bénéficier, toujours selon la RBC, des transferts fédéraux et d'une conjoncture positive pour l'aéronautique et les alumineries, permettant ainsi une croissance modérée de 2,1 % en 2007.
  4. Merci Gilbert pour nous préciser ca , moi je trouve méme trés bien que la hauteur soit pareil avec son voisin méme si elle a était plus haute que son voisin ca aurait était aussi bien ,mais pour moi ca serait pas beau si elle est etait plus petite ,car ca serait pas équivalent ,je suis content de ce projet car vraiment il y avait un grand vide dans ce coin:)
  5. McGill Ouest en photos http://galeriedephotos.cyberpresse.ca/index.php?t=Black&a=172
  6. (Le jeudi 29 mars 2007)Après avoir entendu 400 personnes et lu 34 mémoires, l'Office de consultation publique de Montréal conclut que le projet d'établir le Centre hospitalier de l'Université de Montréal au centre-ville est un projet qui sera le bienvenu, mais ajoute que son concept est à ajuster. Le projet est perçu tout autant comme une occasion d'améliorer les services de santé publique que de poursuivre la revitalisation du centre-ville. Il pourra aussi accroître l'accès et l'utilisation des transports en commun et pour réparer la blessure urbaine que constitue l'autoroute Ville-Marie. Cependant, des ajustements restent à faire. Le débit de la circulation et la cohabitation entre piétons et automobilistes sont déjà problématiques dans le secteur, aux heures de pointe. Or, avec l'arrivée de CHUM 2010, le nombre total de travailleurs sur le site devrait plus que doubler et le nombre de visites et de déplacements être fortement augmenté. La démonstration qui a été faite concluant à l'absence de problèmes de circulation automobile dans l'avenir n'est pas convaincante, selon le rapport, la commission proposant qu'un plan de gestion des déplacements soit mis en place. La commission croit aussi que le promoteur doit poursuivre ses efforts d'intégration des édifices historiques en assurant une présence tangible du patrimoine bâti ainsi qu'un rappel des paysages de la rue Saint-Denis. Les commissaires estiment aussi que le CHUM 2010 s'intégrerait mieux dans le quartier si la volumétrie des bâtiments projetés était redistribuée sur les îlots sélectionnés en reportant les hauteurs le long du boulevard René-Lévesque. La commission rappelle que le projet pourrait transformer le quartier en vaste chantier pour la prochaine décennie. La population résidente a donc besoin d'être informée et sécurisée quant aux soins de santé qui seront disponibles pendant cette période et quant à la réduction des nuisances occasionnées par un tel chantier. Le rapport de l'Office a été remis au maire de Montréal, Gérald Tremblay, le 15 mars et sera déposé au conseil municipal lors de sa séance du 23 avril. Le CHUM doit être situé dans l'arrondissement Ville-Marie, entre les rues Saint-Denis, Sanguinet et Saint-Antoine et le boulevard René-Lévesque.
  7. C est une trés belle nouvelle ,ca va étre fantastique pour le quartier et ca va donner plus de vie pour le coin.
  8. MONTREAL, le 28 mars- Le Biodôme de Montréal a annoncé aujourd'hui le démarrage d'un projet qui lui permettra d'amorcer le renouvellement des outils d'interprétation offerts à ses visiteurs. La Fondation TD des amis de l'environnement, créée par le Groupe Financier Banque TD, apporte une contribution de 200 000 dollars qui permettra de réaliser la phase I de ce projet estimé à 1,5 million de dollars au total. "Le Biodôme désire profiter du renouveau que permet cet important soutien de la Fondation TD des amis de l'environnement, pour réviser l'ensemble des sujets traités ainsi que les approches éducatives pour l'interprétation de sa collection. Le Biodôme a encore aujourd'hui un concept unique au monde, et c'est pour garder sa position de chef de file en matière d'éducation à l'environnement qu'il désire s'ajuster au discours plus actuel portant sur l'importance de la diversité biologique et le rôle des écosystèmes dans le maintien de celle-ci.", de préciser madame Francine Senécal, vice-présidente du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable des Muséums nature. A cet égard, le soutien financier de la Fondation TD des amis de l'environnement arrive à point pour permettre le démarrage du projet qui, sitôt le montage financier complété, permettra de revoir entièrement les outils d'interprétation du Biodôme. En cette 15e année d'existence, le Biodôme désire continuer à offrir à son public une expérience de découverte unique et actualisée en fonction des grands enjeux environnementaux du 21e siècle et des possibilités extraordinaires qu'offrent les nouvelles technologies, d'où le développement d'un projet qui vise le renouvellement complet des outils d'interprétation. Celui-ci comprend l'aménagement d'une zone d'introduction, le réaménagement des zones de transition entre les écosystèmes, le changement complet des panneaux d'interprétation actuels par des éléments plus flexibles et plus interactifs, l'ajout d'éléments interactifs et ludiques pour bonifier l'expérience de visite des plus jeunes, le tout autour du thème de la biodiversité. Le projet se fait d'ailleurs en collaboration avec le Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique (CDB) des Nations Unies. "La conservation de la diversité biologique sera certainement un enjeu prioritaire qui interpellera de plus en plus les citoyens du Québec, du Canada et du monde entier. Aujourd'hui, les espèces disparaissent à un rythme de 50 à 100 fois supérieur au rythme naturel. Il s'avère urgent d'agir, et c'est pourquoi la Fondation TD des amis de l'environnement, dont la mission est de soutenir les efforts de Canadiens dévoués à la santé de notre environnement, est fière de contribuer à un projet qui vise à promouvoir des comportements responsables face à celui-ci.", de souligner monsieur Bernard Dorval, Chef de Groupe, Services bancaires aux entreprises et assurance pour le Groupe Financier Banque TD et Coprésident de TD Canada Trust. Les écosystèmes du Biodôme sont tout indiqués pour sensibiliser les visiteurs à la préservation de la diversité biologique. Cette diversité réside avant tout dans la variété des écosystèmes que l'on rencontre, les forêts, les zones humides, les lacs, les rivières et les régions polaires. Dans chaque écosystème, les êtres vivants y forment un tout et interagissent les uns avec les autres, mais aussi avec l'air, l'eau et la terre qui les entourent. C'est l'essence même des quatre représentations d'écosystèmes du Biodôme. Avec ses 850 000 visiteurs annuellement, le Biodôme est l'attraction touristique payante la plus fréquentée au Québec et constitue ainsi une importante vitrine pour l'éducation à l'environnement. L'annonce faite ce matin lui permettra, bien au-delà des impacts positifs qu'aura ce renouvellement sur les plans économique et touristique, de continuer d'être un lieu de délectation et de réflexion pour la préservation de la diversité biologique.
  9. Bon ca pas avancer beaucoup mais il n ya plus de neige dans le trou:D
  10. (28 mars 2007) Le conseiller d’arrondissement de Sainte-Marie–Saint-Jacques s’est réjouit de la décision de l’administration Labonté de donner suite au dossier des stationnements de surface illégaux dans le centre-ville. «Ce dossier avait été instauré par l’ancienne administration de l’arrondissement mais, en 2006, le maire Labonté avait suspendu les poursuites devant la cour. Nous sommes contents de voir que le maire Labonté a décidé de revenir sur sa décision et de mandater le Contentieux de la ville à entamer des procédures judiciaires contre les propriétaires et les exploitants fautifs. Comme élu, nous ne pouvons pas accepter l’illégalité, il nous fallait donc agir dans ce dossier le plus rapidement possible», affirme Pierre Mainville. Selon lui, cette décision forcera peut-être les propriétaires de ces terrains à les développer, ce qui rapportera des retombées fiscales supplémentaires pour la ville qui semble en avoir bien besoin ces temps-ci.
  11. MONTREAL, le 27 mars Annonce et dévoilement officiel du projet de renouvellement des outils d'interprétation du Biodôme, un projet qui démarre grâce à l'appui du Groupe Financier Banque TD via la Fondation TD des amis de l'environnement. -------------------------------------------------------------- Date le mercredi 28 mars 2007 Heure 10 h 30 Lieu Biodôme de Montréal 4777, avenue Pierre-de Coubertin
  12. 28/03/2007Pour améliorer la qualité de vie des Montréalais, la Ville de Montréal promet de faire plusieurs efforts au cours des prochaines années, dont ceux, toujours inconnus pour le moment, contenus dans son Plan de transport qui sera rendu public dans un mois. Alan DeSousa, responsable politique du développement durable à l'hôtel de ville, a lancé officiellement, hier, le plan stratégique de la Ville en matière d'environnement pour 2007-2009. Le maire de Saint-Laurent a choisi de faire son bilan, hier, au lendemain des élections, «parce que tous les partis ont pris des engagements sérieux en matière de développement durable et la Ville veut être de la partie», a-t-il dit. Remplacé 130 véhicules Il a rappelé plusieurs réalisations de la Ville dans ce domaine depuis 2005, «alors que plusieurs n'y croyaient pas». Dans cette première phase de projets, la Ville a remplacé 130 véhicules de sa flotte automobile par des autos sous-compactes, en plus d'acquérir des camions de quatre cylindres et une dizaine de véhicules hybrides. Il y aura non seulement des annonces intéressantes à venir au chapitre du transport en commun, mais l'administration Tremblay veut appliquer dès 2008 sa politique de mettre fin à l'élimination des résidus verts et des résidus de table par l'enfouissement. Compostage à grande échelle La Ville souhaite lancer le compostage à l'échelle de la ville au cours de 2008 et populariser graduellement cette activité. Le conseiller DeSousa a aussi confirmé l'implantation prochainement de la collecte sélective dans 11 grands parcs et élaborera une réglementation sur l'usage de l'eau. D'autres initiatives seront prises, dont celle de sensibiliser grandement la population au développement durable. La Ville a aussi encouragé des gestes modestes mais positifs pour l'environnement en ajoutant 20 kilomètres de voies cyclables depuis 2005.
  13. Le mardi 27 mars 2007 ( La Presse) Montréal Deux ans après l’adoption du premier plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise, Montréal et 76 partenaires économiques et sociaux annoncent un certain nombre d’initiatives en faveur d’une qualité de vie plus agréable sur l’île mais la Ville refuse de se prononcer sur des irritants environnementaux comme l’agrandissement de l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau. Lors de la première phase du plan, Montréal a pris des initiatives pour réduire les émissions des gaz à effet de serre. La deuxième phase se poursuit jusqu’en 2009 avec 19 actions en faveur de l’environnement. La Ville s’est engagée ce lundi à encourager les produits équitables, l’achat local, l’économie sociale et le verdissement. Elle a annoncé qu’une collecte des résidus verts et de table pour en faire du compost s’en vient. Mais il n’y a pas d’échéance pour ce projet. Parmi les partenaires de la Ville figure Communauto, qui multiplie les projets d’autopartage et se bat depuis des années pour obtenir du gouvernement Charest une reconnaissance afin de diminuer le nombre de véhicules en circulation à Montréal. Mais Alan DeSousa, responsable du développement durable à Montréal, ne s’est pas engagé à aider leur cause. Selon le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, depuis que Gérald Tremblay est devenu maire, le parc automobile de l’île croît au rythme de 10 700 véhicules par an, pour un total de 42 800 véhicules durant son premier mandat. « Sous le maire Jean Doré, au tournant des années 1990, des efforts réels de promotion du transport collectif avaient permis de limiter cette croissance à 1 050 véhicules par année, soit dix fois moins qu’aujourd’hui », dit M. Bergeron. De plus, M. DeSousa n'a pas voulu dire si l’agrandissement de l’aéroport de Dorval, qui fera disparaître des espaces verts et contribuera à augmenter la fréquentation de l’aéroport, annulera une partie des actions prises afin d'améliorer la qualité de vie des Montréalais.
  14. loulou123

    Lyon

    Mérci Grumpy pour ces photos ,pour Lyon c est une ville francaise connu et belle en méme temps et biensure comme t a dit toi elle mérite un voyage pour qu on la connet plus.J ai beaucoup aimer le pont marchand ,il est vraiment formidable, j ai aimer aussi les fontaines faite a l ancien temps ca te raméne dans un voyage en arriére ,aussi le bateau avec son dessu en vert qui sort de l original, le théatre romain aussi ma beaucoup plus ca me rapelle tunis ma ville natale il ya un pareil ,ce que j ai trouver aussi d original c est la statut du boeuf a la rue (le boeuf).
  15. (26 mars 2007 La Presse)«C'est de la merde!» Comme les autres commerçants du boulevard Saint-Laurent, Barbara Daubin n'en peut plus de ses nouveaux voisins: les grues, les pics et les bouts de tuyaux qui se retrouveront éventuellement sous terre. Depuis le mois de novembre, la Ville de Montréal a entrepris des travaux sur le tronçon le plus fréquenté de cette artère commerciale. «La construction nous rend la vie impossible, dit Mme Daubin, gérante de la boutique de vêtements féminins Scandale. Notre chiffre d'affaires a diminué entre 20 % à 30%. Les passants qui flânaient dans la rue regardaient nos vêtements et décidaient d'entrer. Maintenant, la rue est devenue un parcours du combattant. Les gens avancent comme ils le peuvent, en regardant droit devant eux.» Moins de touristes Les restaurants du boulevard Saint-Laurent, l'une des artères les plus fréquentées de Montréal, n'ont pas été épargnés eux non plus. «Nous sommes dans une rue où les commerçants comptent beaucoup sur les passants, dit le chef Yves Therrien, du restaurant Maestro S.V.P. Il y a moins de touristes, qui préfèrent d'autres rues plus attrayantes le temps des travaux.» S'il n'y avait que les touristes... soupire Pascale Rouyé, copropriétaire du restaurant La Porte, spécialisé en gastronomie du terroir. «Les travaux sont une catastrophe, dit-elle. Déjà qu'il n'est pas facile de se stationner sur le boulevard Saint-Laurent, imaginez avec les travaux. Des clients nous appellent parfois pour annuler leur réservation parce qu'ils n'ont pas pu trouver de stationnement après avoir cherché pendant 30 minutes!» Le chef Yves Therrien fait un effort pour voir le verre d'eau à moitié plein. «Actuellement, c'est la saison morte dans notre industrie, dit-il. Ça va recommencer en juin avec la braderie et le Grand Prix de Formule 1, qui sont le coup d'envoi de notre saison touristique. Les dégâts ne sont pas trop grands pour le moment.» Ce n'est pas l'avis des employés de la boutique de vêtements de surf Océan, déserte lors du passage de La Presse Affaires la semaine dernière. «Nos ventes ont diminué de 80 % à 90 % durant les travaux malgré nos rabais et l'arrivée des nouvelles collections, dit Michaël Bonneau. Nous n'avons presque jamais de clients. Quand un client arrive, nous sommes deux pour lui répondre. Heureusement que nous avons deux autres boutiques, rue Saint-Denis et rue Sainte-Catherine. Quand il leur manque des grandeurs, les vendeurs leur disent de venir les chercher chez nous au lieu de faire un transfert entre magasins.» Au moins, les grues observeront une trêve en juin pendant les festivités du Grand Prix de Formule 1, se disent les commerçants. «À la demande des commerçants, la durée des travaux a été réduite de 22 à 13 mois, dit André Lazure, porte-parole de la Ville de Montréal. Ça signifie toutefois qu'il faut travailler autrement. Dans le tronçon entre Sherbrooke et Mont-Royal, il faut refaire tous les conduits souterrains: l'eau, une partie des égouts, les fils électriques et les fils téléphoniques. Les trottoirs seront élargis et les deux voies seront rétrécies à la fin des travaux.» Les travaux, qui ont commencé en novembre dernier, doivent se terminer en décembre prochain. Ils coûteront 31 millions de dollars, dont 25 millions pour le tronçon entre la rue Sherbrooke et l'avenue Mont-Royal, la partie la plus fréquentée du boulevard Saint-Laurent.
  16. 26/03/2007La Ville de Montréal s’est mise sur un pied de guerre cette semaine pour venir à bout des nids-de-poule. L’opération nids-de-poule de la ville est entrée dans sa troisième et dernière phase cette semaine. «À cause du dégel, nous venons d’entrer dans la plus grosse période de l’opération», affirme le responsable de la voirie du comité exécutif Sammy Forcillo. 14 % en mauvais état Le comité exécutif de la métropole estime actuellement que 14 % du réseau routier est en mauvais état. «Notre objectif est de faire passer cette proportion à 4 % d’ici 2009», explique-t-il. Pour y arriver, une centaine de cols bleus et cinq machines spécialisées, les fameux camions jaunes avec une pompe à l’avant, bouchent quotidiennement les nids-de-poule à Montréal. Environ 500 millions $ seront ainsi investis entre 2006 et 2009 au niveau des grands axes de la ville. «Le plus important est le confort et la sécurité des citoyens», dit Sammy Forcillo. La troisième tranche de l’opération nids-de-poule de la Ville se terminera à la mi-avril.
  17. 26/03/2007Après cinq ans de tergiversation et 35 ans après avoir démoli des milliers de logements dans l'est, le ministère des Transports et la Ville de Montréal s'entendent enfin sur un concept final pour la modernisation de la rue Notre-Dame. Une conférence de presse majeure devait avoir lieu pour annoncer la bonne nouvelle, mais le déclenchement du scrutin a obligé Québec et Montréal à reporter l'événement à plus tard. Rappelons que le projet dépassera les 600 M$, aux frais de Québec. La Ville de Montréal investira une centaine de millions dans les aménagements (parcs, etc). Les trois derniers points litigieux qui semaient la discorde depuis de longs mois ont été solutionnés, a confirmé au Journal le conseiller municipal André Lavallée, responsable des dossiers concernant les transports, au comité exécutif. Ces trois questions sur lesquelles les parties ne s'entendaient pas étaient: 1. La configuration du raccordement Souligny-Dikson 2. Les accès au port de Montréal 3. Le lien de raccordement entre l'autoroute Ville-Marie et le nouveau boulevard Notre-Dame Le boulevard aura quatre voies dans chaque direction, en plus des voies réservées pour les autobus. Une piste cyclable sera aussi aménagée dans une plate-bande centrale et deux grands parcs publics sont prévus au-dessus de la voie rapide. «Il a été difficile de s'entendre pour le lien entre Ville-Marie et Notre-Dame, mais il n'y a jamais eu d'affrontement», admet André Lavallée, qui a pris le dossier en main il y a un peu plus d'un an avec le mandat d'accélérer le processus avec Québec. Il fallait aussi prévoir les déplacements nombreux des camions qui entrent et sortent du port de Montréal. Qualité de vie «Ce projet est d'une grande importance pour tout le développement économique de l'est, mais la qualité de vie des résidants dans Hochelaga et Maisonneuve n'a pas été négligée. «Il y a aura d'ailleurs des consultations sur l'intégration urbaine du boulevard, comme l'a demandé le BAPE», assure M. Lavallée. Les autorités du ministère et les dirigeants de Montréal ont adopté le projet de modernisation de la rue Notre-Dame en tenant compte des priorités de la Ville de Montréal. «Dans les quartiers Hochelaga et Maisonneuve, a indiqué M. Lavallée, le tracé comportera des tunnels pour permettre l'aménagement de parcs au-dessus du boulevard pour créer des fenêtres sur le fleuve.»
  18. 26/03/2007 L'échéancier des travaux sera décidé dans les mois à venir mais Henri Gilbert, directeur de la région de Montréal, au ministère des Transports, considère que la première phase est bien engagée. «Nous avons créé il y a quelques semaines un bureau de projet qui réunit une vingtaine de professionnels du ministère, de la Ville de Montréal et des firmes de consultants Dessau et SNC Lavalin. «C'est la première fois, dit-il, que nous procédons ainsi avec autant de personnel.» Tout ce monde-là est réuni «pour travailler plus efficacement». Ils logent dans un édifice du ministère, rue Galt, à Verdun. Obstacle André Lavallée ne voit plus «aucun obstacle» à l'approbation ministérielle du projet par le prochain gouvernement. «Après beaucoup d'impatience de ma part dans ce dossier, j'ai maintenant hâte de connaître le nom du prochain ministre des Transports», a conclu André Lavallée, qui est aussi maire de Rosemont- Petite-Patrie.
  19. 23 mars 2007 Voilà deux ans et demi que l'administration de John-Abbott cherche à vendre son terrain situé au cœur commercial de l'Ouest-de-l'Île, entre les édifices Merck Frosst et le Centre Fairview Pointe-Claire. C'est chose faite depuis lundi dernier, et c'est la compagnie Smart!Centres qui développera le site de Pointe-Claire. La vente s'est conclue par un montant brut de 30 570 000 dollars. Avec cet argent, John-Abbott veut construire un pavillon moderne pour ses programmes qui touchent la science et les nouvelles technologies. De nouveaux programmes pourraient aussi être offerts dans les prochaines années. Le collège aimerait aussi rénover certains de ses locaux actuels, car la plupart de ses bâtiments ont plus de cent ans. Le projet est présentement à l'état embryonnaire. «Maintenant, la balle est dans le camp du gouvernement. C'est lui qui pourra délivrer les autorisations nécessaires», explique Johanne Houle, aux communications du collège anglophone. Un autre mégacentre dans l'Ouest-de-l'Île? Smart!Centres est une compagnie ontarienne qui se spécialiste dans l'implantation des grandes surfaces. Et pour Pointe-Claire? Le projet est à l'étape préliminaire pour l'instant, la compagnie discute avec la municipalité, affirme-t-on à Smart!Centres. La ville confirme. «Pour l'instant à la ville de Pointe-Claire, il n'y a aucun projet qui a été déposé», explique l'urbaniste de la ville, France Gigère. La compagnie ne devrait pas avoir, en principe, trop d'entraves, parce que, selon le plan de zonage de la ville, ce terrain est dédié aux commerces et aux bureaux. Les quelques arbres qui sont situés à cet endroit feront donc bientôt place aux commerçants. Les centres que construit cette compagnie habituellement sont des mégacentres à aire ouverte, c'est-à-dire que chaque magasin a sa propre bâtisse. Ces constructions sont de plus en plus populaires en Amérique du Nord. Ces constructions sont caractérisées par l'utilisation de la voiture: elle est souvent nécessaire pour passer d'un magasin à l'autre. Smart!Centres s'est occupé de la construction du magasin à grande surface Wal-Mart qui a ouvert dernièrement à Vaudreuil-Dorion. À Kirkland, ils ont aussi développé le mégacentre près de l'autoroute 40, comprenant entre autres les magasins Wal-Mart et Brick. Encore plus d'étudiants Le cégep situé à Saint-Anne-de-Bellevue est très populaire, et accueille présentement 5600 étudiants réguliers et 2000 en formation continue. Sa population étudiante ne cesse d'accroître. Cette année encore, elle a augmenté de 1 %, malgré le fait que le programme d'entretien d'aéronefs a été aboli. Selon les chiffres du ministère de l'Éducation du Québec, environ 6200 étudiants réguliers pourraient envahir ce cégep d'ici 2012. C'est dans ce contexte que l'administration souhaite implanter un nouveau pavillon. À quoi servait le site de Pointe-Claire pour le cégep anglophone? «Depuis l'achat du parc immobilier de l'Université McGill en 2002, nous cherchions à le vendre pour libérer des fonds», explique Johanne Houle. Cette terre appartenait au cégep depuis 1972 et sa valeur a considérablement augmenté depuis. «L'intention à l'époque était de construire un campus à cet endroit», explique madame Houle. À l'époque, John-Abbott n'était pas propriétaire de ses locaux à Sainte-Anne-de-Bellevue, qui appartennaient à l'Université McGill. Entre 1973 et 1980, le campus du cégep est séparé en deux à cause de rénovations dans les locaux de Sainte-Anne-de-Bellevue, une partie des étudiants sont alors transférés dans un établissement de Kirkland. Finalement, la direction a décidé de se concentrer à Sainte-Anne-de-Bellevue. Le terrain de Pointe-Claire, toujours vierge, est devenu une source d'investissement.
  20. 22 mars 2007Le Conseil jeunesse de Montréal (CJM) a dévoilé son avis Mobile sur l’île, rapide en ville abordant les préoccupations des jeunes, incluant les différentes formes de transports viables, l’accessibilité et les orientations de la Ville en matière de transport. Plusieurs initiatives canadiennes et étrangères, pouvant être applicables à la métropole, sont aussi développées. Marilou Filiatreault, présidente du CjM, ajoute: «Les jeunes sont les plus grands utilisateurs du transport collectif et actif à 67,5% chez les 12-16 ans et à 62% chez les 17-25 ans comparativement à la moyenne montréalaise de 40%. Il est donc essentiel que leurs préoccupations soient considérées par l’administration et que nos recommandations influencent le plan de transport que la Ville s’apprête à déposer». C’est à partir de nombreuses recherches et consultations, auprès des jeunes de 12 à 30 ans, que les membres du Conseil ont formulé des recommandations pour faciliter aux jeunes l’accessibilité aux transports, et notamment les modes de transport viables, en cohérence avec le développement urbain de la ville et de la métropole. Parmi les recommandations, on retrouve l’installation de cages à vélos sécuritaires, aux abords des stations de métro, des institutions scolaires, des centres commerciaux et des secteurs d’emploi pour réduire les risques de vol et de vandalisme. La création d’un parc de vélos en libre service tel que déjà implanté à Lyon. Également, il est proposé à la Ville de soutenir les clubs d’auto-partage par des commodités en stationnement. En ce qui concerne les transports collectifs, les membres souhaitent plus de facilités entre les différents modes de transport, soit des supports à vélos à même les autobus, une intégration plus pratique dans le métro , et un réseau d’autobus nocturnes pour les jeunes, tel que dans plusieurs villes d’Allemagne, de Suisse et d’Autriche. D’autres recommandations sont présentes dans l’avis «Mobile sur l’île, rapide en ville sur les transports viables» disponible sur le site Internet du CjM au: www.ville.montreal.qc.ca/cjm
  21. 23 mars 2007 Les consultations publiques au sujet de l’aménagement d’un campus dans la gare de triage se sont poursuivies lundi soir au Centre communautaire intergénérationnel. Alors que l’Université de Montréal a tenté de se faire rassurante quant à l’impact de son projet sur la circulation automobile, plusieurs résidants ont fait part de leurs inquiétudes. C’est dans une salle bondée que s’est déroulé ce troisième atelier thématique dirigé par l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM), qui portait cette fois sur le transport et la circulation. L’objectif est «d’enrichir et d’approfondir la réflexion» en vue du dépôt des mémoires, qui doit se faire au plus tard le 29 mars, a expliqué le commissaire Jacques Beauchamp, en guise d’introduction. Le vice-recteur adjoint de l’Université de Montréal, Alexandre Chabot, a d’abord mentionné que des mesures d’apaisement du trafic, comme l’ajout de feux de circulation et un nombre limité de places de stationnement (1000), sont prévues pour favoriser les déplacements à pied, à vélo, en métro, en train ou en autobus. «Le projet est tourné vers le transport actif et le transport en commun. […] C’est sûr qu’on peut faire davantage en ce qui concerne le stationnement. Notre premier choix aurait été qu’il n’y ait aucune rue véhiculaire qui traverse le campus», a-t-il mentionné, estimant que l’université est toutefois parvenue à trouver un certain «équilibre», en accord avec la Ville de Montréal et l’arrondissement. M. Chabot a en outre indiqué que 56% des étudiants qui fréquentent actuellement l’Université de Montréal utilisent le transport en commun, et que 6,5% d’entre eux choisissent la bicyclette ou la marche pour se rendre à leurs cours. Par ailleurs, selon une simulation présentée au public lundi par l’établissement d’enseignement, la réalisation du projet n’augmenterait pas la circulation sur les avenues McEachran, Davaar et Van Horne, grâce entre autres au prolongement de certaines rues, ce qui permettra la «diffusion» des véhicules. Sur l’avenue Ducharme, les automobiles y seraient même moins nombreuses. Invitée à prendre la parole, Florence Junca-Adenot, professeure au département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM, s’est étonnée que ce qui est projeté concernant l’utilisation du transport en commun s’aligne sur la situation actuelle. «Pourquoi ne pas avoir fixé la barre plus haut pour le transport en commun?» a-t-elle demandé. Un campus sans voiture Durant la période réservée aux commentaires du public, Jean-Marc Corbeil, un résidant d’Outremont, a proposé «un scénario moins coûteux», qui consisterait à aménager un «campus sans voiture». «Je ne comprends pas qu’un tel scénario ne soit pas à l’ordre du jour, ne soit pas étudiable et étudié, et qu’on ne fasse que prolonger la trame urbaine», a-t-il déploré. D’autres Outremontais ont fait des observations allant dans le sens de celle de M. Corbeil. Marc Poulin, entre autres, a fait réagir le public en mettant en doute l’importance accordée au vélo comme moyen de transport, à cause de l’hiver. Hugues Bélanger, qui demeure sur l’avenue Outremont, s’est quant à lui dit inquiet d’un afflux de voitures dans son quartier, où sont déjà localisées trois garderies, la piscine Kennedy et l’école Lajoie. «Je suis stressé», a-t-il avoué. Enfin, un autre Outremontais, du nom de Jean Larin, a cité une étude de la Société de l’assurance automobile du Québec révélant que le nombre d’automobiles dans la province a augmenté de 62% entre 1985 et 2005. «Votre [simulation] de la circulation ne semble pas tenir compte de la hausse, a-t-il lancé au micro. L’augmentation naturelle des prochaines années risque de nous amener dans un capharnaüm indescriptible, alors imaginez si on ajoute votre projet.» Un quatrième atelier, concernant les équipements collectifs et les nouveaux besoins, a eu lieu mardi soir. Les séances d’audition des mémoires sont à l’horaire le 3 avril, au Centre communautaire intergénérationnel (999, avenue McEachran) et le 4 avril au Complexe William-Hingston (419, rue Saint-Roch), à 19h.
  22. La Commission de la toponymie du Québec a dernièrement officialisé trois odonymes pour désigner des rues situées dans l’arrondissement de Verdun. Ces trois nouvelles rues se trouvent dans le nouveau projet résidentiel Symphonia, situé dans le secteur de la Pointe-Sud du quartier de L’Île-des-Sœurs. Ce sont les rues André-Prévost, Claude-Vivier et Serge-Garant. « Nous recherchions des noms qui puissent être à la hauteur du projet Symphonia et qui puissent évoquer la musique, le prestige et l’esprit contemporain », a souligné le maire de l’arrondissement de Verdun, M. Claude Trudel. « De plus, il nous paraissait important d’immortaliser le nom de ces grands compositeurs québécois de notre temps », a-t-il tenu à préciser. André Prévost (Hawkesbury, Ontario, 1934 - Montréal, 2001) est le nom d’un compositeur canadien de renommée internationale. Né en Ontario, il appartient cependant à une famille québécoise de « vieille souche ». Il a composé plus de 50 œuvres qui ont été exécutées par les plus grands orchestres de France, d’Angleterre, de Suisse, de Nouvelle-Zélande, de Corée, des États-Unis et du Canada. Il est mort des suites d’une longue maladie, le 27 janvier 2001. Claude Vivier (Montréal, 1948 – Paris, 1983) est un compositeur canadien. Ses premières œuvres jouées en public attirèrent sur lui l’attention du public et de la critique. Grâce à des bourses, il effectua des séjours en Hollande où il étudia avec Koenig, en Allemagne avec Stockhausen et Humpert et en France avec Méfano. Fasciné par les musiques d’Orient, il entreprit un long voyage dans plusieurs pays, dont Bali. Il est mort tragiquement à Paris en 1983, laissant une œuvre inachevée, Crois-tu en l’immortalité de l’âme, dont la création mondiale eut lieu à Montréal en 1990. Serge Garant (Québec, 1929 – Sherbrooke, 1986) est un compositeur, chef d’orchestre, pianiste, professeur et critique. Il avait 11 ans quand sa famille se fixa à Verdun. Ils s’installèrent plus tard à Sherbrooke où il s’initia à la clarinette et au saxophone. Ses rencontres avec Stockhausen et Boulez lui ouvrirent des horizons nouveaux. Pour assurer sa subsistance, Garant travailla comme pianiste répétiteur pour le ballet, arrangeur, accompagnateur et chef d’orchestre de variétés à la radio et à la télévision de Radio-Canada. Titulaire de nombreux prix pour son apport à la création et à la promotion de la musique canadienne, il s’éteignit en 1986, laissant une œuvre succincte et intense. Ces noms ont été approuvés lors de l’adoption de la résolution au conseil de l’arrondissement de Verdun le 31 octobre 2006. La Commission de toponymie du Québec assume le mandat général de gérer la nomenclature géographique du Québec. À cette fin, il lui revient d’approuver les toponymes et les odonymes qu’elle juge conformes à ses critères de choix et à ses règles d’écriture
  23. Trés belles tes photos ,merci de les avoir partager avec nous .
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