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loulou123

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  1. Et qu elle magnifique vu ,chanceux toi d avoir eu une vu comme ca
  2. 25/04/2007 De nombreuses activités se tiendront au cours des prochains mois au parc Jean-Drapeau à Montréal pour marquer le 40e anniversaire de l'Expo 67. Entre autres, l'exposition «Expo 67, passeport pour le monde» sera présentée du 23 juin au 3 septembre au Complexe aquatique de l'île Sainte-Hélène. On y retrouvera des montages photographiques, des artefacts, des capsules d'information et des projections vidéo. Également, «La Balade du 40e» proposera une visite guidée des îles, du 4 juillet au 31 août. Des activités d'animations accompagneront ce parcours faisant revivre l'esprit d'Expo 67. Le parcours «Une galerie d'art à ciel ouvert» proposera d'autre part un circuit de découverte des oeuvres d'art créées à l'occasion de l'Expo 67, dont l'Homme de Calder. L'Orchestre symphonique de Montréal présentera un concert au parterre de l'île Sainte-Hélène en hommage à Montréal dans le cadre de son programme «L'OSM dans les parcs», le 28 juillet à 20 heures. Ce concert soulignera deux événements marquants de la Ville: les 350 ans de l'arrivée des Sulpiciens à Montréal et les 40 ans de l'Expo 67. Parmi les autres événements qui se dérouleront au parc Jean-Drapeau, il faut souligner le déménagement de la «Fête des enfants de Montréal» et les «Week-ends du monde au parc Jean-Drapeau» dont la thématique sera les 40 ans d'Expo 67. Rappelons que l'exposition universelle de Montréal s'est déroulée du 27 avril au 29 octobre 1967. Plus de 50 millions de visiteurs se sont retrouvés sous le signe de l'amitié, de la paix et de la fraternité, avec une moyenne quotidienne de 271 900 visiteurs.
  3. Le Soleil Le mercredi 25 avril 2007 Ceux qui espéraient une baisse des taux hypothécaires pour acheter une propriété en 2007 pourraient attendre longtemps. Les taux risquent plutôt d'augmenter en milieu d'année. Mais la hausse devrait être contenue. Les économistes du Mouvement Desjardins ont noté, dans leur plus récente prévision des taux d'intérêt, que l'économie américaine se comporte mieux que prévu depuis le début de l'année. Si les bonnes nouvelles se multiplient, la Banque du Canada pourrait ne pas toucher à son taux directeur. Desjardins prévoit tout de même une légère remontée des taux en deuxième moitié d'année, ce qui va se répercuter chez les institutions financières. Desjardins, qui détient 40 % du prêt hypothécaire au Québec, entrevoit un taux préférentiel fluctuant entre 5,50 et 6 % en 2007. Ce taux sert de référence pour les hypothèques à taux variable. Compte tenu de la relative stabilité des taux à court terme, la remontée pourrait être plus notée dans les échéances à long terme. Le taux de cinq ans, actuellement de 6,65 %, pourrait ainsi grimper jusqu'à 7,10 % à la fin de l'année.
  4. Presse Canadienne Le mercredi 25 avril 2007 Montréal Les revenus empochés par la Ville de Montréal grâce aux parcomètres ont augmenté de 59 pour cent en un an seulement, de 2005 à 2006. Stationnement de Montréal a en effet remis à la Ville pour 2006 des redevances de 25,1 millions $, soit 9,3 millions $ de plus que les 15,8 millions $ de 2005. Le butin de la Ville sera encore plus important l'an prochain puisqu'il tiendra compte des hausses 2007 de la tarification, de l'ajout de 156 bornes dans l'arrondissement de Ville-Marie et des heures et journées qui ont été ajoutées à la tarification, selon ce que rapporte le «Journal de Montréal». Quand la nouvelle tarification est entrée en vigueur, au début de l'année, des observateurs ont prévu que les revenus de la Ville à ce chapitre pourraient atteindre 40 millions $ l'an prochain. Une représentante de plusieurs petits commerçants, Sharon Freedman, annonce qu'une pétition qui contient actuellement 15 000 noms de personnes qui dénoncent les tarifs sera déposée très bientôt. 
  5. 24 avril 2007 Deux entrepreneurs bien impliqués dans le développement résidentiel ont été désignés Personnalités d’Affaires du mois d’avril, par la Fondation de développement local de Verdun. Raymond Allard et Sylvain Ménard sont tous les deux associés dans le projet Symphonia, qu’ils réalisent en partenariat avec la société Westcliff, sur la pointe sud de L'Île-des-Sœurs. Les deux constructeurs réalisent des projets domiciliaires depuis plus de 20 ans et ils sont impliqués dans le développement résidentiel, à L'Île-des-Sœurs, depuis l’an 2001. Raymond est le président des Habitations Raymond Allard tandis que Sylvain dirige les Habitations Sylvain Ménard. Ensemble, ils sont présentement impliqués dans neuf projets, dans la grande région de Montréal. À Verdun, c’est sous le chapeau de Construction Pointe-Sud, qu’ils ont lancé récemment un chantier de 1200 unités d'habitation, dans la partie sud de L'Île-des-Sœurs, en bordure du terrain de golf présentement en construction. Un environnement de prestige En bordure du fleuve et voisin du terrain de golf écologique, le projet Symphonia bénéficie d’un environnement exceptionnel. Les promoteurs accentuent ces atouts en ¸réservant plus de 50% du site à la construction de faible densité et en attachant une importance particulière aux aménagements paysagers. Les visiteurs et résidants seront accueillis, à l’entrée du projet par une place circulaire agrémentée d’une prestigieuse fontaine. La première phase du projet sera composée d’une soixantaine d’unités d’habitation de divers types (maisons isolées, maisons jumelées, maisons de ville et maisons-terrasses). Cette première phase est déjà commencée et elle sera suivie d’une autre qui offrira des caractéristiques semblables à la première. Si le contexte du marché le permet, cette partie du vaste projet résidentiel devrait être complétée vers la fin de l'an 2010. Par la suite, on procédera à la construction des habitations de moyenne et haute densité. Les promoteurs ont également conclu une entente avec la société Masterpiece qui amorcera très bientôt l’érection d’une résidence haut-de-gamme pour les personnes retraitées et semi-retraitées. Le président de Construction Pointe-Sud, Raymond Allard affirme qu’il a procédé à une étude exhaustive du marché pour être en mesure de répondre aux attentes des clients intéressés à s’établir à L'Île-des-Sœurs. Les acheteurs potentiels auront donc le choix parmi une grande variété de produits et chaque unité d'habitation disposera d'un stationnement intérieur. Le plan d’ensemble du projet a été conçu de façon à assurer l'exclusivité et la tranquillité aux résidants qui choisiront de s’y établir. Sur plusieurs tronçons de rue, la construction ne sera réalisée que sur le côté opposé au fleuve, afin d'accroître la visibilité sur ce cours d’eau et maintenir l'accès au réseau de parcs et de sentiers publics. Plusieurs rues seront à sens unique et emprunteront un parcours sinueux, afin de réduire la vitesse des automobiles. Ces voies de circulation permettront à l'ensemble de la population de profiter d’une grande porte ouverte sur les berges et les parcs. Il est aussi à noter que les promoteurs ont prévu de planter 950 arbres, dans ce nouveau quartier qui est ceinturé par une piste multifonctionnelle riveraine au fleuve et qui sera raccordée aux autres sentiers déjà existants. On peut obtenir plus d’informations sur Construction Pointe-Sud en composant le 514 762-2201 ou en se rendant au bureau des ventes situé au 127, chemin de la Pointe sud, à L'Île-des-Sœurs. L’entrée du projet Symphonia sera soulignée par une place circulaire paysagère et agrémentée d’une fontaine.
  6. La Presse Montréal a pu gonfler ses surplus budgétaires jusqu'à 140 millions de dollars en 2006 en embauchant moins d'employés, en laissant plus souvent ses camions de déneigement au garage et en profitant de la vigueur de la construction immobilière. Déposés hier au conseil municipal, les états financiers 2006 montrent que la Ville a pu dégager un surplus en grande partie en réduisant ses dépenses. Montréal a notamment économisé 23 millions en déneigement en raison des faibles chutes de neige au cours de l'hiver 2006. Le gel de l'embauche ainsi que la réduction des heures supplémentaires et des coûts d'assurances ont aussi fait diminuer les dépenses de 43 millions. Les marchés financiers favorables à la gestion de la dette et des placements ont aussi procuré des gains supplémentaires de 33 millions. L'administration municipale a aussi épargné plus que prévu dans les règlements de contestations d'évaluation foncière (20 millions). Les surplus budgétaires sont toutefois en baisse d'un peu plus de 20 millions en 2006 par rapport à 2005. «On a dégagé moins de surplus dans les revenus cette année que par les années antérieures», explique Frank Zampino, président du comité exécutif de la Ville. Montréal a en fait surestimé certains revenus. Le budget 2006 anticipait notamment l'obtention du droit de taxer les stationnements hors rue. Or, le gouvernement n'a pas modifié la loi pour permettre à la Ville de le faire. Les états financiers contiennent donc des revenus en baisse de 35 millions par rapport aux prévisions budgétaires. Les droits de mutations immobilières et les permis de construction ont néanmoins augmenté les surplus de la Ville de 18 millions. Au final, Montréal récolte donc un surplus de 140 millions. La Ville a déjà affecté la quasi-totalité de cette somme pour équilibrer le budget 2007 (53 millions) et renflouer sa réserve pour imprévu (33 millions). Une partie des surplus (37 millions) revient aussi aux arrondissements et au fonds de l'eau (8 millions). La Ville reste avec neuf millions à dépenser à sa guise. Le responsable des finances au comité exécutif estime que l'affectation quasi complète de ce surplus prouve la difficulté d'atteindre l'équilibre budgétaire à Montréal. L'année dernière, Montréal avait annoncé qu'elle faisait face à un manque à gagner de 400 millions pour boucler l'exercice budgétaire 2007. M. Zampino estime qu'il est encore trop tôt pour déterminer si la Ville pourra équilibrer son budget sans hausse de taxes en 2008. Le président du comité exécutif précise que son administration poursuit son exercice de restrictions budgétaires. Cette opération doit rapporter des économies de 300 millions sur trois ans. L'administration Tremblay-Zampino prévoit notamment éliminer 1000 postes par attrition.
  7. Le Journal de Montréal 24/04/2007 La Ville de Montréal a lancé hier la phase finale des travaux de restauration du monument de Sir George-Étienne-Cartier, dont la facture est évaluée à 3 M$, soit près de 300 000 $ de plus que prévu. Cet imposant monument situé au pied du mont Royal, sur l'avenue du Parc, est le plus imposant et le plus fréquenté de Montréal. Il rend hommage à la mémoire d'un grand homme politique qui a joué un rôle important sur les scènes fédérale et provinciale et qui a participé à la rébellion de 1837. Depuis sa création, au début du siècle dernier, le monument n'a jamais reçu une telle cure de rajeunissement. Pour cette dernière portion des travaux, le comité exécutif a octroyé un contrat de 560 870 $ à la firme Maçonnerie Rainville et Frères, et un autre contrat de 689 400 $ pour la restauration des personnages de bronze aux restaurateurs Dolléans Art Conservation, pour une facture de 1 250 270 $. Terrasse dangereuse La firme Fournier Gersovitz Moss et Associés, qui a préparé les plans de la restauration et qui assure la surveillance des travaux, recevra 240 000 $. D'autres travaux ont été réalisés en 2005 et 2006 pour consolider la structure de béton et la terrasse entourant le monument. La terrasse avait été jugée en très mauvais état il y a quelques années et le site avait été fermé aux joueurs de tam-tam et au public en général pour des raisons de sécurité peu avant le début des travaux. Benoit Labonté, maire de Ville-Marie et responsable politique des dossiers culturels à Montréal, a assisté hier à la «dépose» des 17 personnages de bronze du monument, c'est-à-dire au déplacement des statues pour leur restauration. Il s'est dit enchanté «de la reprise de ces travaux à l'un des endroits les plus fréquentés du Mont Royal», travaux qui devraient être terminés au printemps 2008. Difficultés budgétaires Ce dossier a connu beaucoup de soubresauts depuis l'automne 2004 et, à l'hôtel de ville, on indique que des raisons d'ordre budgétaire expliquent l'étirement de l'échéancier. La restauration du piédestal en granit sera réalisée sur place mais la restauration des personnages, en bronze, sera effectuée en atelier. L'expertise en profondeur en vue des travaux a été réalisée en 2000 par la Ville alors que l'ouvrage présentait déjà des faiblesses. Cette restauration sera financée en parts égales par la Ville et le ministère québécois de la Culture et des Communications.
  8. 24/04/2007 La Ville de Montréal, qui réclamait encore récemment de nouvelles sources de revenu de Québec, a terminé l'année 2006 avec un excédent budgétaire de 140M$, ce qui représente un peu plus de 3,5% de son budget annuel de 3,9G$. Le président du comité exécutif de la ville, Frank Zampino, a toutefois tenu à mettre ce surplus en perspective, indiquant que cela se comparait à un ménage ayant un revenu de 60 000$ qui aurait réussi à économiser 2160$ à la fin de l'année. Il en a profité pour louer la rigueur dont fait preuve l'administration municipale dans la gestion de ses finances publiques, imputant le surplus, en outre, au fait que la Ville aura réduit ses dépenses de 300M$ et ses effectifs de 1000 personnes d'ici trois ans. L'administration a déjà engagé plus de 90% de cet excédent, et la part provenant des arrondissements demeurera dans leurs budgets respectifs, indique la Presse Canadienne. Frank Zampino prend soin d'ajouter que ces résultats n'effacent en rien les besoins financiers de Montréal dont la situation financière demeure précaire, selon lui. Il précise que l'administration Tremblay-Zampino entend donc poursuivre ses démarches auprès de Québec pour accroître l'autonomie de Montréal en matière d'administration et de fiscalité.
  9. Presse Canadienne 24/04/2007 Bibliothèque et Archives nationales du Québec accuse l'arrondissement montréalais de Ville-Marie d'avoir induit le public en erreur au sujet de son projet d'aménagement d'un périmètre de sécurité autour de la Grande Bibliothèque située à l'angle du boulevard de Maisonneuve et de la rue Berri. Le périmètre serait mis en place afin de protéger le public des lamelles de verre recouvrant le bâtiment; depuis l'ouverture de la Grande Bibliothèque, il y a deux ans, une dizaine des 6200 lamelles de verre de l'immeuble sont tombées au sol. La Ville de Montréal a rejeté la semaine dernière le plan d'aménagement proposé par Bibliothèque et Archives nationales du Québec, suggérant qu'elle serait prête toutefois à étudier la possibilité que soient installés des filets de sécurité le long des murs. Hier, dans un communiqué, Bibliothèque et Archives nationales du Québec a accusé le directeur des affaires publiques de l'arrondissement, Jean-Yves Duthel, d'avoir diffusé des faussetés relativement à cette affaire au cours de ses multiples entretiens avec les médias. Bibliothèque et Archives nationales du Québec soutient en outre que l'avis de la Régie du bâtiment du Québec sur lequel l'arrondissement dit avoir basé sa décision de rejeter le plan d'aménagement n'existe tout simplement pas. La Régie en est encore à l'étape de l'analyse attentive et approfondie de notre proposition, affirme la société d'État. De son côté, l'arrondissement déplore que la Grande Bibliothèque occulte la question de la sécurité dans ses sorties publiques. M. Duthel a d'ailleurs rendu public hier un avis défavorable du Service de sécurité incendie de Montréal. La semaine dernière, les responsables de la Grande Bibliothèque s'étaient aussi plaints du fait qu'ils avaient appris par le biais des médias la décision de l'arrondissement de rejeter leur proposition d'aménagement. Cette proposition prévoit notamment de planter des arbustes et d'installer des marquises pour éviter qu'un bris de lamelle ne blesse un passant.
  10. Le lundi 23 avril 2007 La géothermie pourrait bientôt gagner du terrain au Québec puisque dès mai 2007, Hydro-Québec accordera des subventions au secteur résidentiel et aux promoteurs immobiliers pour la géothermie. Les détails seront annoncés plus tard, le temps de finaliser les modalités, précise une porte-parole de la société d'État. Au dernier Salon de l'habitation, le président de Forages Géopros a constaté une curiosité accrue du public. Son entreprise a réalisé les installations géothermiques de Benny Farm et du Zoo de Granby. «On a été surpris de voir à quel point les gens connaissaient la signification du mot géothermie, ce qui n'était pas le cas il y a quelques années», dit Jacques Lapointe, qui préside aussi l'Association des puits et pompes du Québec. En Europe, cela fait très longtemps que les avantages de la géothermie sont connus. Au-delà de trois mètres dans le sol, la température varie peu : 9 degrés en moyenne. On peut climatiser et chauffer une maison en récupérant cette énergie renouvelable non polluante. C'est le principe de la géothermie. Les avantages ? En plus d'être écologique, c'est silencieux, très durable et cela requiert peu d'entretien. Et cela ne dépare pas le bâtiment. Par contre, il faut s'éloigner d'au moins 15 ou 20 pieds de l'habitation (pour le forage) et éviter de faire pousser de la verdure par-dessus. En plus du forage, requis pour enfouir des tuyaux d'un pouce et quart de diamètre dans le sol, il faut installer une thermopompe géothermique. Équipée d'un élément électrique, celle-ci procure un chauffage d'appoint par temps très froid. Mais sa fonction première consiste à extraire la chaleur ou la fraîcheur du mélange eau-méthanol circulant dans les tuyaux et à la transmettre au système de ventilation de la maison. Climatisation douce «Cela produit une climatisation douce, confortable. Il n'y a pas de courant d'air glacé», constate René Lajeunesse, architecte de formation. Son système de géothermie est en fonction depuis un an. Le forage, dans sa cour arrière, à Montréal, a requis une journée de travail. Mais l'installation d'un tel système n'est pas donnée. Il faut prévoir de 25 000 $ à 30 000 $ si, comme René Lajeunesse, on doit remplacer ses calorifères par un système de chauffage central. Lui a payé 25 000 $, réalisant quelques économies en gérant lui-même les travaux - ce qu'il déconseille, à moins de connaître de quoi il en retourne. Le coût serait rentabilisé en 10-12 ans selon Jacques Lapointe, ou entre cinq et 12 ans selon l'installation, indique-t-on dans le site de la Société canadienne de l'énergie du sol (earthenergy.ca, en anglais). Facture mensuelle à la baisse La facture mensuelle d'Hydro de René Lajeunesse est passée de 350 $ à 250 $, pour une surface habitable de 3600 pi2 et un spa extérieur. «Pour une surface inférieure à 2500 pi2, cela ne vaut pas la peine d'installer la géothermie», dit-il. Selon la taille de la résidence, l'entrepreneur en forage calcule la profondeur et la longueur des tuyaux. Pour assurer une bonne conductivité, un coulis doit être introduit autour. «Depuis l'année dernière, nous propulsons le coulis à partir du fond pour que le travail soit mieux fait et éviter qu'il n'y ait des poches d'air. Mais surtout, nous voulons éviter de faire descendre toute autre chose au fond ! C'est comme une cheminée, cela pourrait contaminer la nappe phréatique», prévient M. Plante. Aucune réglementation n'existerait à cet égard. Conscience environmentale Pourquoi choisir la géothermie? René Lajeunesse cite l'augmentation du prix des sources d'énergie et une prise de conscience environnementale. La pompe circulatrice qui pompe le liquide dans les tuyaux fonctionne à l'énergie électrique. Quand on utilise 1 kW d'électricité pour faire fonctionner un tel système, plus de 3 kW d'énergie est retirée du sol, selon Équiterre.
  11. Mardi 24 Avril 2007 La situation sur le site Contrecoeur n'a rien de dramatique, ni de catastrophique. Les dizaines d'arbres abattus dans ce vaste périmètre de quatre millions de pieds carrés situé sur la rue Sherbrooke, dans l'est de la métropole, n'étaient pas voués à une longue existence en raison de la contamination du sol. Après avoir vendu ces terrains en friche à la Société d'habitation de Montréal, la Ville a entrepris la décontamination du site en vue de la construction de 1800 unités d'habitation. " Par le passé, ce lieu servait de site d'enfouissement pour les matériaux secs comme des restes de poutre, des morceaux de trottoir et de rue. Il y avait même un ancien oléoduc de Pétro-Canada qui passait sur ce terrain. Il est faux de prétendre que nous avons procédé à une coupe d'arbres massive ", explique Pierre Guillot-Hurtubise, de la SHDM. La construction du projet Contrecoeur à Tétreaultville pourrait prendre entre huit et dix ans. On y retrouvera une grande mixité d'habitations, allant des maisons unifamiliales aux résidences pour personnes âgées, en incluant aussi de nombreuses unités conçues en fonction des besoins des familles. Hier soir, le conseil de ville de Montréal a demandé à ce que les citoyens soient informés de la nature du projet. Pour sa part, le conseiller municipal du district Tétreaultville, Gaétan Primeau, affirme que la population de Mercier a accepté le projet de développement. " Toutefois, les gens sont un peu froissés de la façon dont ça se passe avec SHDM. Les gens seront incommodés par les travaux et des moyens doivent être pris pour minimiser les impacts sur la population ", fait-il part.
  12. Mardi 24 Avril 2007 La mise en service des stations Cartier, Concorde et Montmorency marque le début d'un temps nouveau pour Laval. Au fil des ans, la Cité du Savoir prendra forme tout près de la station Montmorency. Dans ce carrefour, l'Université de Montréal, l'École des hautes études commerciales, l'Université du Québec, l'Université Concordia y auront toutes leur pignon. Les premiers pavillons universitaires de la Cité du Savoir accueilleront en 2009 plus de 4000 étudiants qui reçoivent présentement leur formation dans des locaux loués par les grandes institutions universitaires près du Carrefour Laval. L'an dernier, les instances de l'Université de Montréal avaient laissé savoir que des cours de formation continue seront donnés dans les nouvelles installations de la Cité du Savoir. Des cours réguliers universitaires seront aussi offerts par les enseignants. 3000 VÉHICULES DE MOINS Dès l'entrée en service du métro à Laval, on estime à environ 3000 véhicules qui seront retirés quotidiennement de la circulation sur les ponts reliant l'île Jésus à Montréal, ce qui diminuera les gaz à effet de serre et la congestion de la circulation. Pour satisfaire les automobilistes, on comptera 800 places de stationnement souterraines et 700 places extérieures à la station Montmorency. À la station Cartier, il y aura 525 espaces extérieurs. SÉCURITÉ Pour assurer la sécurité des usagers sur les quais d'embarquement, une centaine de caméras de surveillance seront installées dans les trois stations. De plus, Urgences Santé, la Société de transport de Laval, la Société de transport de Montréal, la police et les pompiers de Laval ont mis sur pied une équipe spéciale, le GIM (Groupe Intervention Métro), dotée d'équipements spéciaux permettant des interventions à l'intérieur d'un tunnel.
  13. lundi 23 avril 2007 Une longue banderole a été installée en permanence dans l'est de la métropole. Elle est composée de grandes reproductions des oeuvres d'une vingtaine d'artistes de la relève. L'oeuvre d'art publique a été accrochée au mur de l'usine La Paysanne, rue Ontario Est, à proximité du bain Mathieu et du complexe de silos à grain. Des donateurs privés ont payé les deux tiers des coûts de l'oeuvre. Au total, elle a coûté quelque 33 000 $. L'an prochain, les silos à grain seront peints de motifs aux couleurs vives. Des projets d'exposition et d'animation culturelle seront aussi dévoilés bientôt pour le parc Émilie-Gamelin, ainsi que pour le parc de l'Espoir, rue Sainte-Catherine, dans le Village gai.
  14. Merci MTLskyline ,ca serait formidable ce projet s il se realise mais on parle plus de lui mais aussi je reste optimiste car vraiment ca reste la seule solution pour diminuer la trafic sur le pont champlain.Ah que j ai hate que ca se réalise .
  15. 23 avril 2007 Le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, s’enflamme quand il parle d’étalement urbain, d’exode des jeunes familles ou du tout-à-l’automobile. Son parti, dont le quartier général occupe un étage de sa maison, à quelques pas de l’hôtel de ville, propose ni plus ni moins qu’une révolution comme seul le maire Drapeau en avait le secret: celle du Nouveau-Tramway. Quatre décennies après l’érection du métro de Montréal, l’urbaniste et ex-employé de l’Agence métropolitaine de Montréal, veut, lui, créer un réseau de tramway dont les tronçons totaliseraient 250 kilomètres ! Ensensé par les uns, ridiculisé par les autres, le projet de 10 à 15 milliards de dollars, transformerait Montréal en un gigantesque chantier pendant 20 ans. Selon M. Bergeron, le Nouveau-Tramway redéfinirait la Ville en plus de retenir, sinon de ramener bon nombre de Montréalais contraints à l’exil, la ville ne répondant pas à leurs besoins. « C’est toujours une technologie de transport qui détermine la forme et l’organisation d’une ville. Nous proposons de recourir au Nouveau-Tramway pour contrer la ville conçue en fonction de l’automobile. Plus de 250 villes, de partout sur la planète, même aux États-Unis, ont des lignes de tramway modernes. C’est la révolution et Montréal y échappe pour le moment », clame M. Bergeron. Pour lui, le Nouveau Tramway s’inscrit comme un projet structurant au même titre que le métro aménagé dans les années 1960 et 1970. « Le calibre de décision qu’on a à prendre pour le tramway est exactement le même qu’à l’époque du métro. C’est un grand équipement structurant, qui va changer l’évolution de la ville de manière significative et qualitative. Je dis aux gens, devenons plus raisonnables et sortons-nous des griffes de l’industrie pétrolière. » Et le financement ? Richard Bergeron croit qu’il faut aménager le réseau de tramway en même temps qu’on refait les infrastructures souterraines. « Pourquoi personne ne réagit quand on dit qu’on va mettre 10 milliards dans les tuyaux et que la même somme investit pour un tramway, qui dépolluerait et changerait notre vie, c’est trop cher ? » M. Bergeron croit aussi qu’il faut construire des unités d’habitation qui répondent aux besoins des familles, créer des espaces verts et des aires de jeux à même les projets résidentiels. « Il faut faire ça en même temps qu’on crée le Nouveau-Tramway. L’automobile pour tous, ça a été un rêve qu’on a poussé jusqu’au bout. On se rend compte maintenant de son côté absurde, de l’apartheid social qu’elle génère et le pétrole à bon prix, c’est fini ça. »
  16. 23/04/2007 Des citoyens de Montréal se mobilisent pour tenter de stopper une coupe d'arbres massive actuellement en cours dans l'est de la ville. Depuis la semaine dernière, des ouvriers s'affairent à raser un secteur boisé situé près de la rue Sherbrooke, dans l'arrondissement de Mercier. Le secteur couvre une superficie équivalente à 40 terrains de football. La Ville dit vouloir décontaminer le site pour y construire plus de 1800 unités d'habitation, mais les citoyens sont furieux: ils accusent l'administration Tremblay de les placer devant un fait accompli. Les résidants soulignent qu'ils n'ont pas été consultés et que ce boisé était l'un des derniers espaces verts de l'est de Montréal.
  17. wow ,ca l air un trés beau projet et ca l air haut aussi ,un trés beau investissement ,mais est ce qu il ya quelqu un qui sait combien d étages il a ?
  18. La Presse Le lundi 23 avril 2007 Les designers montréalais ouvrent leurs portes au grand public le 5 mai prochain. L'événement Portes Ouvertes Design Montréal propose notamment une visite gratuite d'une quarantaine de projets d'architecture et de design déjà réalisés et récipiendaires de prix dans leur catégorie respective. Durant cette journée Portes Ouvertes Design Montréal, les bureaux de designers d'intérieur, de designers industriels, de graphistes, d'architectes, de paysagistes et d'urbanistes ouvriront leurs portes aux Montréalais. Les concepteurs des projets lauréats - projets qu'il sera possible de visiter - seront présents sur les lieux afin de commenter leur réalisation et de répondre aux questions des visiteurs. Trois circuits d'autobus seront mis à la disposition du public. Ils partiront de la Place Jean-Paul Riopelle, dans le Vieux-Montréal, et effectueront plusieurs arrêts au cours de la journée. Quatre catégories de projets sont proposées. Architecture et design urbain : Nouveau pavillon des arts et des sciences du Collège de l'Ouest de l'Île, Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec (ITHQ), Pavillon du Lac-aux-Castors, Pavillon Marcelle et Jean Coutu de la Old Brewery Mission, Quartier international de Montréal - Centre CDP Capital. La TOHU, au nord de l'autoroute métropolitaine, à Montréal fera partie du circuit du quartier des spectacles, l'un des quatre circuits offerts à l'occasion de la journée Portes Ouvertes Design Montréal.
  19. Lundi 23 Avril 2007 Au lieu de souffler sur les 40 chandelles pour souligner le quarantième anniversaire de l'Expo 67, une quarantaine d'arbres ont été plantés sur l'île Ste-Hélène, hier, dans le cadre du Jour de la Terre. " Par ce geste, nous démontrons que nous souhaitons assurer la pérennité de nos précieux espaces verts et semer un message pour les générations futures ", a commenté Diane Chartrand, vice-présidente et secrétaire du conseil d'administration de la Société du parc Jean- Drapeau. " Ces arbres sont une source d'inspiration pour le Montréal de demain, un Montréal vert ", a ajouté le maire Gérald Tremblay au cours de cette cérémonie à laquelle assistaient, entre autres, Jacques Languirand, porte-parole du Jour de la Terre et Pierre Karl Péladeau, président et directeur général de Quebecor, un des grands partenaires du Jour de la Terre. Le premier citoyen de Montréal a rappelé qu'en adoptant son premier Plan stratégique de développement durable dans la collectivité montréalaise, la Ville s'est engagée à améliorer la protection de la biodiversité, des milieux naturels et des espaces verts.
  20. Lundi 23 Avril 2007 Le prolongement de la ligne orange jusqu'à Laval dont le premier train s'arrêtera au quai de la station Cartier samedi prochain, a de quoi réjouir les usagers du transport en commun. Toutefois, l'arrivée du métro à Laval a forcé les architectes de la Société de transport de Laval à reconfigurer tous les circuits. Pour donner un service de qualité aux usagers du transport en commun sur l'île Jésus, la STL ajoute six nouveaux trajets. Ainsi, le nombre de circuits passe de 34 à 40, soit une augmentation du service de 18,5 %. Les utilisateurs du transport collectif miseront sur 35 circuits réguliers, deux trains-bus et trois circuits express. " Les usagers sont les gagnants sur toute la ligne. Avec plus de circuits et un nouveau tracé, les trajets seront plus rapides ", assure Pierre Lavigueur, directeur Planification et développement à la STL. " En moyenne, plusieurs voyageurs vont gagner entre sept et neuf minutes pour atteindre leur station de métro. " Cette refonte des circuits est la conclusion des consultations menées par le transporteur lavallois dans tous les coins de l'île en vue de l'arrivée du métro à Laval. " Nous avons rencontré les Lavallois dans leur milieu. Nous avons exposé les nouveaux tracés. Suite à ces échanges avec les usagers, nous sommes retournés à la table de travail afin de modifier des tracés. Nous avons été sans cesse à leur écoute ", insiste M. Lavigueur. ACHALANDAGE Interrogé quant à savoir si la venue du métro à Laval fera augmenter l'achalandage sur le réseau de la STL, M.Lavigueur se montre prudent. " Plusieurs usagers demeurent à une distance de marche raisonnable de l'une des trois stations. Donc, ces gens vont marcher plutôt que de prendre l'autobus pour se rendre au métro. Toutefois, nous espérons que les automobilistes laisseront leur véhicule à la maison pour utiliser le transport en commun afin de se rendre de l'autre côté de la rivière. " ARRÊTS Avec ces chambardements sur les circuits, les instances de la STL doivent aussi procéder au changement de plusieurs panneaux aux arrêts d'autobus afin d'ajouter ou de modifier des circuits. " Nous devons changer 3500 panneaux ", indique le responsable des communications à la STL, Marc Laforge. " Il y a aussi les horaires aux abribus qui doivent être changés et les horaires que les usagers peuvent se procurer à bord des autobus. " Trois circuits d'autobus s'arrêteront à la station Concorde. Il s'agit des lignes 33,37 et 42. La station Montmorency accueillera les autobus des circuits 26, 33, 39, 40, 42, 45, 46, 50, 56,61,63, 65,76 et 903. Dix-neufs circuits d'autobus se rendront à la station Cartier soit les lignes 12,17, 20,24,25,27,28/228,31,33,37,41,43,48,58,63,71,73,74 et 901 TERMINUS CARREFOUR Pendant ce temps, rien ne changera au Terminus Le Carrefour où les autobus de dix circuits (39,42,50,56,61,63,66,70,902, 903) continueront de faire monter et de déposer les usagers. " Le terminus Le Carrefour restera en place. Il continue d'être un pôle important de déplacement des voyageurs et de correspondance des circuits de la STL ", reprend M.Lavigueur.
  21. http://www.banq.qc.ca/histoire_quebec/parcours_thematiques/HenriRemillard/hr_index.jsp
  22. 22 avril 2007Un développement juste et équitable pour l'est du Plateau L’assemblée du 11 avril, portant sur les améliorations à apporter à l’est du Plateau, a fait ressortir la nécessité d’assurer un développement juste et équitable. D’ailleurs, les responsables du développement urbain de l’arrondissement avaient commencé à étudier la portion sud-est du quartier dès 2005. Il leur est alors apparu clairement qu'un consensus devait s'établir autour des futurs aménagements. Déjà, le Plan d'urbanisme de la Ville de Montréal met l'accent sur la revitalisation urbaine du secteur de la rue D’Iberville. Le chapitre dédié au Plateau-Mont-Royal révèle que «les principaux secteurs en transformation de l’arrondissement sont ceux des rues De Gaspé et Maguire ainsi que des rues D’Iberville et Rachel. Le secteur D’Iberville a été identifié comme étant à revitaliser et fera l’objet d’une stratégie de revitalisation urbaine intégrée qui portera autant sur les facteurs sociaux et économiques du milieu que sur le cadre physique et bâti et les équipements et services collectifs». «De plus, ce secteur représente des possibilités de développement d’une certaine envergure au chapitre de la création de milieux de vie intégrant une mixité d’usages, de la construction de bâtiments à l’architecture innovatrice ainsi que d’une certaine densité d’habitation accompagnée de l’aménagement de parcs, d’équipements et de services collectifs. Son développement donne l’occasion d’ajouter une facette contemporaine à l’image plus traditionnelle du Plateau-Mont-Royal», peut-on y lire. Interventions L'initiative menée par le comité habitation d'Action solidarité grand Plateau (ASGP) a connu un bon succès. Pour preuve, deux semaines après, les réflexions et les discutions se poursuivent. Des participants déplorent toutefois que des représentants de la STM et le député Daniel Turp n’aient pas été invités à cette soirée. Lors de la période de questions, une dizaine de personnes se sont présentées au micro. Michel Depatie, directeur général de la Société de développement de l’avenue du Mont-Royal (SDAMR), a salué l’exercice. «Nous appuyons ce qui se fait ici. Sûrement que notre association s’étendra jusqu’à la rue D’Iberville», avoue-t-il. Actuellement, la SDAMR regroupe les gens d’affaires et commerçants de l’avenue du Mont-Royal, entre Saint-Hubert et De Lorimier. M. Depatie invite à ne «pas baisser les bras devant un promoteur privé». Avec un développement de condos sur l’ancien site de Mont-Royal Ford et des logements sociaux sur le site de la Société de transport de Montréal (STM), on risque de créer deux ghettos, un riche, l’autre moins nanti. «On risque de passer à côté d’une belle occasion», avertit-il.
  23. Presse Canadienne Le dimanche 22 avril 2007 La Fédération québécoise des municipalités a amorcé sa démarche pour élaborer sa future politique sur le développement durable. L'initiative intervient dans le contexte de la Loi québécoise sur le développement durable, adoptée au printemps 2006, établissant que le gouvernement pourra déterminer le moment où les municipalités devront élaborer un plan d'action et des objectifs en matière de développement durable. Avec l'aide d'experts et de professionnels, la Fédération québécoise des municipalités veut donc établir les grandes lignes à considérer en termes de responsabilités municipales liées au développement durable. Outre les élus et les fonctionnaires municipaux, des représentants du monde des affaires et de différentes organisations des secteurs de l'environnement, de l'agriculture, des transports, de la santé et de l'éducation, seront mis à contribution. Les élus municipaux veulent mettre en place une nouvelle façon de faire, qui tienne compte à la fois fois de l'obligation de livrer des services à la population, tout en y intégrant les principes de développement durable. La Fédération dit répondre à la pression des citoyens, qui voient dans le développement durable une priorité pour les générations futures. Un colloque aura lieu en juin prochain. Des recommandations seront par la suite acheminées au congrès de la Fédération, en septembre.
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