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loulou123

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Tout ce qui a été posté par loulou123

  1. La Presse Le samedi 21 avril 2007 Trois nouveaux établissements de restauration seront construits dans le complexe commercial Quartier DIX30, à Brossard : un restaurant italien, un steakhouse et un bistro français. Ces trois projets, issus d'une formule originale et non d'une franchise, représentent un investissement global de 9 millions. Le restaurant italien et le steakhouse devraient ouvrir leurs portes vers la mi-mai alors que le bistro français devrait être inauguré cet automne. Au total, une centaine d'emplois pourraient être créés avant la fin de l'automne dans ces trois nouveaux restaurants.
  2. Oui une trés belle nouvelle ,on va bientop suivre la construction avec les photos sur le forum .
  3. Le Journal de Montréal 21/04/2007 QUÉBEC -- On saura cet automne quel consortium privé construira, en partenariat public-privé, le prolongement de l'autoroute 30 sur la rive sud de Montréal. «On devrait être en mesure d'annoncer, à la fin de l'automne-début de l'hiver prochain, le soumissionnaire privilégié», a indiqué au Journal de Montréal le président de l'Agence des partenariats public-privé du Québec, Pierre Lefebvre. M. Lefebvre a précisé que les travaux seraient lancés peu après, au terme de «quelques semaines de discussions sur le closing financier» avec le soumissionnaire retenu. Rappelons que trois consortiums -- Infras-Québec A-30, Nouvelle Autoroute 30 et SNC-Lavalin -- sont en lice pour construire et entretenir les 35 km du prolongement de la 30 entre Châteauguay et Vaudreuil-Dorion et un tronçon de 7 km reliant Salaberry-de-Valleyfield. Évalué à plus d'un milliard de dollars, le projet prévoit un système de péage. Haltes routières C'est également à l'automne qu'on connaîtra le nom du consortium qui construira et exploitera, pour environ trente ans, les sept nouvelles haltes routières de Saint-Jérôme, Rigaud, Rivière-Beaudette, Magog, Melbourne, Saint-Augustin-de-Desmaures et Maskinongé, a soutenu M. Lefebvre. Les deux consortiums en lice sont Host International et Immostar. Le président de l'Agence des PPP a également précisé que c'est «au début de l'été, en juin» que le nom du soumissionnaire retenu pour le parachèvement de l'autoroute 25 serait divulgué. D'une longueur de 7,2 km et comprenant un pont de 1,2 km au-dessus de la rivière des Prairies, ce projet permettra d'éviter l'autoroute Métropolitaine pour relier, moyennant un droit de péage, l'est de Montréal à Laval, les Laurentides et Lanaudière. Les trois entreprises candidates sont Consortium Nouvelle-Route, Infras-Québec A-25 et SNC-Lavalin. Ce sont, pour l'essentiel, les mêmes trois joueurs que pour le prolongement de l'autoroute 30.
  4. 10 avril 2007 Le 4 avril, François Purcell, conseiller de Saint-Édouard, a présenté un mémoire sur le projet d’implantation d’un campus de l’Université de Montréal sur le site de la gare d’Outremont. Un projet positif pour Rosemont–La Petite-Patrie, estime-t-il, mais «trop refermé sur lui-même.» Dans un communiqué émis le 5 avril, François Purcell expose que Montréal rate une occasion «d'unifier physiquement et socialement les quartiers limitrophes au projet.» Devant les commissaires de l’Office de consultation publique de Montréal, il a regardé, point par point, l'impact qu'aura ce nouveau voisin dans son patelin. Sa conclusion? Le projet doit s’intégrer davantage avec le secteur ouest de la Petite-Patrie, tant sur le plan social, économique que physique (bâtiments, parcs, liens piétonniers). La liste Le chef de Vision Montréal a en main une longue liste: ajout d'un parc à l’intersection de la rue Beaubien et de l’avenue du Parc, un aménagement plus sécuritaire à l'intersection de la rue Beaubien et de l’avenue du Parc, des mesures afin de contrer une éventuelle flambée de la valeur foncière dans les secteurs environnants et un diagnostic complet sur la revitalisation des commerces voisins, exercice assorti d'un plan d’action. Dans son élan, il demande que soit mieux pensé le réseau vert comme la desserte en transport collectif. «Dans cette perspective, il est impératif de prolonger le trajet de l’autobus no 18 de la rue Beaubien vers le site du nouveau campus», dit-il. André Lavallée persiste et signe En tant qu'élu de Rosemont-La Petite-Patrie et responsable du transport collectif et de l'aménagement urbain pour la Ville de Montréal, André Lavallée maintient suivre attentivement l'évolution du dossier et, par ses fonctions, être aux premières loges afin de suivre ce qui se passe dans la cour du voisin. Le maire Lavallée demeure fidèle à ses convictions et croit toujours que le quadrilatère compris entre le viaduc Van Horne, les rues Bellechasse, Saint-Denis et le boulevard Saint-Laurent fait face à une chance unique de revitaliser tout un secteur industriel en perte de vitesse. En ce sens, il rappelle qu'un compte-rendu des discussions entre les fonctionnaires de l'arrondissement RPP, l'arrondissement d'Outremont et l'Université de Montréal sera bientôt disponible. Les questions en lien avec les aménagements routiers et les impacts dans le secteur Alexandra-Marconi, par exemple, seront examinées, souligne André Lavallée.
  5. 21 avril 2007 Des travaux de réfection des fenêtres, de la maçonnerie et de la plomberie seront entrepris à la caserne 30. Cette caserne, située au 5, avenue Laurier Ouest, a été construite en 1905. On a d'ailleurs souligné son centième anniversaire en 2005. Plusieurs composantes de l'immeuble ont atteint leur durée de vie utile et présentent un état de dégradation avancé. Le projet de rénovation prévoit la réfection complète de la maçonnerie, des portes et fenêtres ainsi que du système d'alimentation en eau. Ces rénovations s'inscrivent dans un plan annoncé la semaine dernière pour la rénovation de cinq casernes à Montréal. Les autres casernes sont situées dans les arrondissements Sud-Ouest, Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension, Lachine et Verdun. «Ces travaux sont nécessaires afin de freiner la détérioration des bâtiments, de préserver les actifs de la Ville de Montréal et d'assurer un environnement plus sain et plus sécuritaire pour les occupants de ces casernes, nos pompiers », a commenté Claude Dauphin, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable de la sécurité publique. «En agissant maintenant, nous éviterons la détérioration du parc immobilier et la croissance des coûts directs et indirects reliés à l'entretien et à l’exploitation de ces immeubles», a-t-il ajouté. Prévus dans le programme d’entretien, ces travaux franchiront l’étape d’appel d’offres après que le conseil d’agglomération les aura entérinés.
  6. C est vrai ,comme ils ont dit a Lcn ,si tout les projets se realise ,on connetrer plus Montréal a 2025 .
  7. 20/04/2007Montréal pourrait connaître un boom immobilier sans pareil d'ici une quinzaine d'années dans le secteur du Vieux-Port et du canal Lachine. Le gouvernement fédéral y possède cinq immenses propriétés actuellement abandonnées ou en friche qui pourraient connaître un développement résidentiel, commercial ou récréatif, selon les lots. Déjà, l'emplacement de Postes Canada rue Ottawa est à vendre. Compte tenu de sa situation dans le sud-ouest, on cherche un acheteur qui lui trouvera une vocation communautaire. Dans le secteur de la Pointe-du-Moulin, le silo numéro 5 intéresse le Musée d'art contemporain. Sur la Cité-du-Havre, un des lots deviendrait un parc et l'autre sera offert pour la construction résidentielle. En transférant ainsi ces propriétés à la Société immobilière, les projets ne sont plus liés au sort éventuel d'un gouvernement minoritaire. Cette nouvelle est accueillie avec enthousiasme par les principaux intervenants politiques et économiques. «Ce sont des projets dont on discute à Montréal depuis de nombreuses années. La bonne nouvelle aujourd'hui, c'est qu'on va les réaliser le plus rapidement possible», se réjouit le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Malgré l'ampleur du développement, la Société immobilière croit qu'il pourrait se faire rapidement. Gordon K. McIvor, de la Société immobilière du Canada, prévoit de 10 à 15 ans avant que le tout soit complété. http://lcn.canoe.com/cgi-bin/player/video.cgi?file=20070420-200340&link_nouvelle=http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional/archives/2007/04/20070420-200340.html&link_archive=/regional/&type_archive=Régional&alt=
  8. 20/04/2007 La restauration de l'Église St-James United, au centre-ville de Montréal, semble tourner au cauchemar pour plusieurs petits entrepreneurs embauchés par le maître d'oeuvre, L.M. Sauvé. Les sous-traitants tentent de récupérer 1,7M$ de ce projet subventionné à hauteur de 4M$. Une vingtaine d'entre eux ont enregistré des hypothèques légales sur les immeubles commerciaux sur lesquels ils ont travaillé. Le projet, estimé à 6,1M$, a finalement coûté 8,3M$, soit 2,2M$ de plus. Vendredi, L.M. Sauvé a fait appel à ses partenaires dans ce projet et propose un partage équitable des frais supplémentaires encourus. «Nous voulons nous assurer que chacun de nos créanciers se montre satisfait de notre proposition. Nous comprenons très bien les inquiétudes que ceux-ci peuvent avoir présentement, tout comme nous sommes convaincus qu'ils comprennent les circonstances particulières dans lesquelles se trouvent actuellement L.M. Sauvé», a déclaré le président de l'entreprise, M. Paul Sauvé.
  9. le 13 avril 2007 Alors que l'arrondissement voisin de Ville-Marie construira un nouvel édifice pour accueillir la bibliothèque Centrale-jeunes, l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal cherche toujours une solution au débordement de sa bibliothèque. La bibliothèque du Plateau-Mont-Royal occupe présentement un espace de 12 000 pieds carrés. Selon les normes, elle devrait plutôt profiter de 34 000 pieds carrés. L'espace est tellement exigu que les rayons débordent et les livres sont disposés tant par terre que sur le bord des fenêtres. Louise Guillemette-Labory, directrice associée bibliothèque à la ville de Montréal, admet que l'arrondissement Plateau-Mont-Royal planche toujours pour trouver une solution à la surcapacité de la bibliothèque du Plateau-Mont-Royal, sur l'avenue du Mont-Royal. «La bibliothèque du Plateau est très utilisée, confirme-t-elle. Il y a encombrement et un manque d'espace minimal à respecter». Le nerf de la guerre consiste à trouver le financement pour mener un projet d'agrandissement de la bibliothèque. «On cogne à toutes les portes», ajoute-t-elle. Plan de rattrapage La Ville de Montréal s'est engagée par le biais de sa Politique de développement culturel de la Ville de Montréal 2005-2015, à se doter d’un plan de rattrapage pour ses bibliothèques. Amorcé en 2005, ce plan vise à atteindre, au cours des 10 prochaines années, le niveau moyen de services des bibliothèques des grandes villes canadiennes. Le plan prévoit notamment l'augmentation des heures d'ouverture selon les particularités locales, l'ajout de personnel spécialisé, la mise à jour des collections dans les bibliothèques sous-dotées, de même que la mise aux normes des espaces. Sa mise en œuvre fait appel à la volonté de tous les acteurs concernés et implique, entre autres, une synergie entre les bibliothèques, les partenaires du milieu, les arrondissements, les services corporatifs et les villes de l'Île de Montréal. Le défi est vaste et sa réalisation contribuera à faire de Montréal une Ville de lecture, une Ville de savoir. Le financement La Direction du développement culturel et des bibliothèques évalue à environ 175 M$ les sommes nécessaires à la réalisation du plan de rattrapage dont une partie sera versée par le biais du programme triennal d'immobilisations. @R:En comptabilisant les sommes récurrentes d’année en année, le total des investissements requis, selon la Direction, se chiffre à près de 250 M$ pour les 10 prochaines années. Les trois éléments incontournables et indissociables dans la mise en place d’une bibliothèque publique sont : des locaux adéquats, des collections à jour et un personnel qualifié. Cependant, il apparaît pertinent de rappeler l’importance capitale des espaces alloués au fonctionnement d’une bibliothèque, car même «un bibliothécaire exceptionnel ne pourra jamais donner sa mesure dans un local étriqué», comme l'écrit Bertrand Calenge dans le livre Les petites bibliothèques publiques. À l'étroit La bibliothèque du Plateau occupe 12 000 pieds carrés alors que la norme est de 34 000 pieds carrés.
  10. 20 avril 2007 Les initiatives reliées au développement durable sont nombreuses sur le Plateau-Mont-Royal. L'arrondissement a adopté des mesures s'inscrivant dans cette volonté en cherchant à préserver l'environnement. Le budget participatif du Plateau-Mont-Royal fait place à un volet dédié au développement durable et à la qualité de vie. Quelques centaines de milliers de dollars du Programme triennal d'immobilisation seront allouées à des projets liés au développement durable. «Les gens du Plateau sont vraiment concernés par l'environnement. Il suffit de faire un peu de porte-à-porte pour connaître leur intérêt. Une dame, qui réside dans un logement au troisième étage, nous a fait part de son désir de composter. Ce qui n'est pas évident pour cette locataire. C'est pourquoi, il faut être à l'écoute pour mettre des projets de l'avant», mentionne la mairesse de l'arrondissement Helen Fotopulos. La conseillère municipale Josée Duplessis, responsable du dossier de l'environnement, souligne que l'arrondissement consacre des ressources financières supplémentaires aux initiatives locales. «Il faut toutefois que les résidants réalisent que l'arrondissement ne peut assumer seul le financement de toutes les initiatives», met en garde Mme Duplessis. Les ruelles vertes, qui poussent comme des champignons à l'échelle du Plateau, sont un exemple de partenariat pour assurer la pérennité des projets de verdissement. On ne compte plus les initiatives de verdissement menées par les éco-quartier. En plus de la contribution financière de l'arrondissement, des commanditaires et des partenaires gouvernementaux supportent ces initiatives. Plusieurs initiatives La Commissions de l’aménagement urbain et du développement durable (CAUDD) déposera prochainement son rapport sur la gestion des matières résiduelles. Les conclusions feront partie du plan d'action de l'arrondissement à l'automne prochain. Le Plan de déplacement urbain, actuellement en préparation, prévoit plusieurs actions afin de réduire les gaz à effet de serre, de diminuer la vitesse de la circulation automobile, l'espace réservé à l'automobile et la circulation de transit, améliorer les voies cyclables, etc. Toutes ces suggestions s'inscrivent dans la volonté de doter l'arrondissement d'un développement durable. Cette année, l'arrondissement a modifié sa réglementation afin de réduire le nombre d'espace de stationnement pour les automobiles lors de nouvelles constructions. En contrepartie, les promoteurs doivent prévoir des espaces réservés pour ranger les vélos
  11. Le Journal de Montréal 20/04/2007 Rona (RON) se prépare pour un déménagement et deux ouvertures de magasins dans la grande région de Montréal. Des projets qui totalisent 75 M$ et qui créeront 325 emplois. Rona a annoncé hier qu’elle avait acquis un immense terrain au centre commercial Carrefour Candiac afin d’y construire un Réno-Dépôt. Les travaux, qui commenceront en juin, se termineront au printemps 2008. Environ 175 emplois seront alors créés. Le magasin adoptera un nouveau concept qui utilise des pictogrammes pour guider les clients. «C’est quelque chose d’assez révolutionnaire dans le commerce de détail», soutient Pierre Dandoy, premier vice-président, magasins à grande surface de Rona. «Quand tu sors de l’allée des planchers, les pictogrammes te font penser que tu as peut-être besoin de colle», donne-t-il en exemple. Ce concept, implanté à Rimouski depuis novembre, connaît beaucoup de succès, selon Rona. L’entreprise fermera par ailleurs son magasin-entrepôt du boulevard Taschereau, à Brossard, pour le déménager au Quartier Dix30. On souhaite ainsi profiter du grand pouvoir d’attraction que ce nouveau centre commercial doit avoir. La construction du magasin commencera ce mois-ci. Tous les employés du magasin sur Taschereau y seront transférés. Enfin, le détaillant est sur le point de terminer la construction d’un Rona L’entrepôt à Pierrefonds. L’ouverture est prévue pour juillet, et 150 personnes y trouveront du travail. Même si la SCHL prévoit un ralentissement dans les mises en chantier et les reventes de maisons pour 2007, Rona estime qu’il y a encore de la place au Québec pour de nouveaux magasins comme les siens. «C’est certain qu’on ne s’attend pas à une grosse année en ce qui concerne les ventes des magasins comparables (une mesure utilisée dans le commerce de détail pour évaluer la performance)», admet Stéphane Milot, directeur des relations avec les investisseurs chez Rona. En 2007, Rona prévoit entreprendre la construction de 15 magasins de grande surface et de proximité dans diverses provinces canadiennes.
  12. La Presse Le vendredi 20 avril 2007 Le gouvernement de Stephen Harper veut redonner au port de Montréal son lustre d'antan : après avoir annoncé mardi des investissements dans la Société du Vieux-Port, le ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux, Michael Fortier, énoncera ce midi en compagnie de son collègue aux Transports, Lawrence Cannon, quelques principes de développement du havre montréalais afin de «maximiser les propriétés fédérales». Mais y aura-t-il de l'argent attaché à cette politique? Le nouveau président du conseil d'administration de la Société du Vieux-Port, Bernard Roy, s'est échappé en conférence de presse mardi en annonçant, à la surprise totale du ministre Fortier, que ce dernier aurait une bonne nouvelle pour Montréal aujourd'hui. Les deux ministres vont en effet participer ce midi à un déjeuner-causerie à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain au cours duquel ils parleront «transport, infrastructures et avenir de Montréal». Me Roy avait répondu ainsi à une question de La Presse : «Vous avez fait allusion au réaménagement du Silo no 5 et c'est évidemment un des projets qui est dans la vitrine et j'ai toutes les raisons de croire que lors de l'énoncé (des ministres) vendredi, il y aura quelque chose sur cette question.» Le Silo no 5 a fait l'objet d'un concours pour le recycler. Trois propositions ont été soumises, notamment par le Musée d'art contemporain de Montréal, qui souhaite le restaurer, y installer un musée d'art moderne et en faire, avec le privé, une attraction spectaculaire du Vieux-Port. Si Ottawa souhaite garder la primeur de son annonce d'aujourd'hui sur le développement économique et social de la métropole, La Presse a tout de même appris que le gouvernement conservateur veut que le portefeuille immobilier fédéral soit un peu plus fructueux qu'il ne l'est dans la zone portuaire. Ses intentions sont multiples, mais le gouvernement veut notamment que le port redevienne une porte d'entrée majeure en Amérique du Nord pour le transport maritime. Actuellement, le port de Montréal souffre de la concurrence des ports d'Halifax, de Baltimore et surtout de New York, avec lequel il ne peut rivaliser en ce qui a trait au volume des marchandises tout en ayant des résultats honorables dans le domaine des conteneurs. Outre le port, toute la zone incluse entre le pont Champlain et les installations portuaires à l'est du pont Jacques-Cartier comprend des terrains en friche qui ont besoin d'être mis en valeur à long terme, dans le cadre de la Vision 2025. Comme plusieurs de ces terrains sont de propriété fédérale, Ottawa a un rôle à jouer. La Société du Havre de Montréal annonçait récemment avoir demandé au gouvernement canadien «d'assumer le leadership d'une stratégie de recyclage de ses terrains en confiant leur gestion à une agence gouvernementale dont l'unique objectif serait d'assurer leur réinsertion dans la trame urbaine montréalaise grâce à une mise en marché dynamique et à un programme de gestion des sols contaminés». Mais, selon ce que La Presse a appris, les deux ministres n'annonceront pas la création de cette agence qui aurait coordonné les échanges entre les différents titulaires des propriétés fédérales, notamment les terrains de Postes Canada (l'ancien centre de tri postal), ceux de l'administration portuaire ou les anciens ateliers du CN. «Il y a assez de bureaucratie pour en ajouter encore», dit-on à Ottawa. Les ministres présenteront ce midi de quelle manière ils entendent développer d'une façon moderne et rentable ce secteur. La Ville fait des démarches constamment pour avoir une partie des 33 milliards promis par les conservateurs pour investir dans les infrastructures municipales d'ici 2014. Elle espère donc que les intentions fédérales seront converties en espèces sonnantes et trébuchantes, notamment pour l'aménagement de l'autoroute Bonaventure ou le tramway du havre. Bernard Roy a toutefois insisté mardi sur le fait que les projets de mise en valeur du Vieux-Port seront financés «par le secteur privé et par les gouvernements provincial et fédéral». «Toutes les grandes villes du monde qui se redéploient à l'heure actuelle profitent d'un soutien très important des gouvernements supérieurs, notamment les villes de Boston ou de Toronto», a dit hier à La Presse André Lavallée, responsable du dossier du transport collectif au comité exécutif de Montréal. Le cabinet du ministre Fortier, la présidente du conseil d'administration de la Société du Havre, Isabelle Hudon, et le président du Port de Montréal, Dominic Taddeo, ont préféré ne pas commenter ce dossier, hier.
  13. 20 avril 2007 La Presse Montréal a besoin d'argent: 276 M$ supplémentaires dès l'an prochain, affirme le maire Gérald Tremblay. Taxer le stationnement, les billets de spectacles, instaurer des péages: les solutions abondent, mais sont loin de faire l'unanimité. Et si on regardait d'abord du côté des dépenses? demandent les entrepreneurs. Des rues défoncées, des aqueducs qui fuient, un réseau de transport en commun de moins en moins efficace. Si tout le monde s'entend sur le fait que Montréal a besoin d'investir massivement pour assumer son titre de métropole du Québec, les pouvoirs accrus de taxation réclamés par le maire Gérald Tremblay sont loin de faire l'unanimité. Le ministre Raymond Bachand, responsable à la fois du Développement économique et de la région de Montréal, détient la clé de cette question, selon Simon Prévost, économiste de la section québécoise de la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI). Accorder des pouvoirs supplémentaires de taxation à la ville de Montréal aura comme conséquence de faire fuir les entreprises vers la banlieue, estime l'économiste. «Si Montréal était un paradis fiscal, je ne dis pas, mais des nouvelles taxes viendraient s'ajouter à un fardeau fiscal déjà très lourd.» À Montréal, les entreprises paient déjà trois fois et demi plus en impôt foncier que les résidants, rappelle Simon Prévost. Il estime que toute augmentation supplémentaire «aura un effet boomerang sur la croissance économique de la ville». «Si je voulais m'ouvrir un commerce aujourd'hui, ajoute-t-il, je ne l'ouvrirais certainement pas au centre-ville.» Solution de la facilité Comme plusieurs autres représentants de la communauté d'affaires interrogés hier, le porte-parole de la FCEI croit que donner au maire Tremblay les pouvoirs qu'il réclame serait la solution de la facilité. «Est-ce qu'on peut au moins avant réfléchir sur la façon dont l'argent est dépensé actuellement?», demande-t-il en donnant l'exemple des nouveaux arrondissement qui, avec leurs pouvoirs de taxation, ajoutent un palier à une administration déjà lourde. Paul Muller, de l'Institut économique de Montréal, estime lui aussi qu'on regarde toujours du côté des revenus pour trouver la solution aux problèmes de Montréal, alors qu'on devrait aussi regarder du côté des dépenses. À la Chambre de commerce du Montréal Métropolitain, la présidente Isabelle Hudon souligne l'urgence de revoir la manière dont la Ville perçoit ses revenus. «La priorité numéro 1, qui est une très grande priorité, c'est de doter Montréal d'outils pour diversifier ses sources de revenus», dit Mme Hudon. Il faut cependant agir avec prudence, ajoute-t-elle. «Il faut éviter de proposer ça comme l'addition d'une nouvelle charge fiscale pour tout le monde, tout le temps. Il faut repenser le modèle fiscal pour Montréal.» C'est aussi l'avis de Louis Roquet, président de Desjardins capital régional, qui a accepté de faire partie du comité formé par le maire Tremblay pour repenser le financement de Montréal. La fiscalité actuelle n'incite pas les villes-centres à améliorer leur capacité d'accueil et à développer des spécialités, dit-il. «Si elle veut organiser des festivals, la Ville se ramasse avec les facture de sécurité et de nettoyage et les gouvernements empochent la TPS et la TVQ», illustre Louis Roquet. Taxer le stationnement Dans une sortie éclatante en février dernier, le maire Gérald Tremblay a affirmé qu'il manquera 276 millions de dollars à Montréal pour boucler son budget en 2008, et jusqu'à 700 millions en 2013 si rien n'est fait. Il réclame au gouvernement québécois des pouvoirs de taxation accrus, de même que des «pouvoirs habilitants». Le maire aimerait, comme à Toronto, pouvoir taxer le stationnement, les billets de spectacles ou encore instaurer des péages pour diversifier ses sources de revenus. Il a été impossible de parler à Gérald Tremblay jeudi à ce sujet. «Les attentes du maire sont fort connues, il les a exprimées avant les élections, a dit son attachée de presse Christiane Miville-Deschênes. Il espère reprendre les discussions là où il les a laissées.» Pour aider au financement de la métropole, Paul Muller, de l'Institut économique, suggère au ministre Raymond Bachand d'explorer des sources de revenus nouvelles, comme de permettre aux universités de conserver les revenus supplémentaires provenant des étudiants étrangers, qui sont actuellement versés au fonds consolidé de la province. De même, les hôpitaux devraient être autorisés à louer leurs salles d'opération quand elles ne sont pas utilisées. «C'est la rentabilisation d'équipements existants avec une nouvelle source de financement», dit Paul Muller. Mais le plus grand service que Raymond Bachand pourrait rendre à Montréal, selon lui, c'est de l'obliger à recourir davantage à la sous-traitance, pour aller voir si des économies sont possibles. Une ville ne fera pas ça de son propre chef, estime-t-il, il faut que le gouvernement lui donne une poussée. Selon Louis Roquet, le premier défi du ministre responsable de la métropole est d'amener tous les intervenants à s'atteler à un nombre limité de priorités. Il suggère de mettre l'argent disponibles dans des infrastructures productives, comme les routes et l'aéroport, et dans l'éducation. «Oublions les stades et les arénas, et mettons de l'argent dans ce qui nous aidera à attirer l'investissement, à retenir nos diplômés et à stimuler les jeunes à l'école», explique-t-il. Le secteur manufacturier Le président de la FTQ, Henri Massé, est d'accord avec Louis Roquet sur un point : il faut s'asseoir ensemble pour trouver des solutions. Le ministre Bachand doit être un rassembleur, selon lui. Sa priorité à lui, c'est l'investissement dans le secteur manufacturier, qui est en chute libre au Québec. «À Montréal, dans le secteur du vêtement, on a perdu plus de 20 000 emplois depuis deux ans», a-t-il rappelé. Ce n'est pas vrai qu'il fut mettre une croix sur ce secteur, estime-t-il. «Il y a des crénaux à développer pour passer à travers la bourrasque. On a des bouts de solutions, d'autres en ont aussi. Il faut s'asseoir ensemble.» Pouvoirs de taxation Depuis des mois, Gérald Tremblay réclame à hauts cris des pouvoirs de taxation accrus pour la métropole. Il aimerait notamment pouvoir taxer le stationnement et les billets de spectacle. La ministre Nathalie Normandeau a refusé d'aborder la question lors du dernier budget, et le maire Tremblay devra désormais négocier avec un gouvernement minoritaire. Quartier des spectacles La Ville de Montréal a récemment débloqué des fonds pour illuminer les façades de certaines salles de spectacle. Aussi, quatre consortiums ont répondu à l'appel du gouvernement le mois dernier pour réaliser en PPP la nouvelle salle de concert de l'orchestre symphonique. Deux dossiers qui traînent depuis des années mais qui semblent à un point tournant. Réaménagement des berges La Société du Havre a déposé un ambitieux projet pour transformer le sud du centre-ville de Montréal. On parle notamment d'aménager un tramway et de transformer une partie de l'autoroute Bonaventure en boulevard urbain. La volonté est là ; le financement des gouvernements suivra-t-il? Le CHUM Il y a deux ans, le gouvernement Charest a mis fin à d'interminables débats et choisi le centre-ville comme lieu de construction du CHUM. Depuis, aucune grue ne s'est activée sur le chantier du méga-hôpital francophone. Rue Notre-Dame Le projet de modernisation de la rue Notre-Dame a été annoncé et reporté à plusieurs reprises au fil des ans. Les élus s'impatientent, les automobilistes aussi.
  14. 19/04/2007 La proposition de la Grande Bibliothèque du Québec d'installer des marquises au bas de l'édifice, afin de protéger le public contre d'éventuelles chutes de lamelles de verre provenant de sa façade, est rejetée. L'arrondissement Ville-Marie estime que les moyens proposés sont inadéquats et qu'ils n'assurent pas suffisamment la protection des citoyens. Une inspection a révélé que le tiers des 6200 plaques de verre de l'établissement sont défectueuses. La suggestion d'installer un filet le long des murs est cependant jugée acceptable sur une base temporaire, dans la mesure où cette solution obtienne l'appui d'experts.
  15. Entierement daccord avec toi ,pourquoi le faire gratuit surtout que nous sommes assez endettés et en plus de ca ,ca va nous empecher de projeter la ligne ,mais encourager le monde a laisser leur voitures et prendre le transport en commun on peut méttre un prix résonable comme ta dit toi.
  16. Animation 3D du futur Stade Saputo http://www.canoe.com/player/?section=divertissement_musique&video=http%3A//www.canoe.com/divertissement/promo/jdem/impact/impact_stadesaputo2008.wmv
  17. photos du lancement symbolique des travaux de construction du nouveau stade Saputo
  18. Moi aussi je croise les doigts mais c est un grand pas vers l avenir du soccer de Montréal et pour l arrondissement et comme j ai dit c est une bonne nouvelle que la construction débute:) .Merci WestAust pour la nouvelle et les informations .
  19. La Presse18 avril 2007 Red Bull qui achète le Canadien? Dans les bureaux de la compagnie autrichienne, on trouve que l'histoire est un peu farfelue. Tina Sponer, l'assistante de Dietrich Mateschitz, le grand manitou de la compagnie Red Bull, a fait savoir, mardi, que la rumeur qui envoie M.Mateschitz à la tête du Canadien est pure fiction. Lors d'un échange de courriels avec La Presse, mardi, Tina Sponer a vivement démenti les propos du tabloïd autrichien Kronen Zeitung, qui laissait récemment entendre que le fondateur de Red Bull était intéressé à acheter le Canadien. «L'article du Kronen Zeitung n'est rien de bien valable, et il ne s'agit que de rumeurs, a tenu à préciser Tina Sponer par courriel. Tout ça est sans fondement.» Ce démenti s'ajoute à celui du Canadien. Le département des communications de l'équipe a fait savoir, lundi, qu'il n'y avait aucun élément de vérité dans l'article du Kronen Zeitung et que le Canadien n'est pas à vendre.Cependant, les rumeurs d'une éventuelle association entre le patron de Red Bull et George Gillett, le propriétaire du Canadien, circulent depuis un moment déjà. Les deux hommes auraient eu plusieurs discussions au cours des derniers mois. Ils ont tous deux un intérêt marqué pour la course automobile et on chuchote qu'ils aimeraient joindre leurs efforts dans l'aventure NASCAR. Les visées de George Gillett dans ce domaine ne sont plus un secret pour personne. De son côté, Dietrich Mateschitz, qui est déjà propriétaire d'une équipe de hockey en Autriche, n'est certes pas un inconnu dans les cercles de la LNH. Il est un très bon ami de Philip Anschutz, le propriétaire des Kings de Los Angeles. Les Kings doivent d'ailleurs se rendre en Autriche avant l'ouverture de la prochaine saison, afin d'y disputer un match préparatoire contre l'équipe de Mateschitz. Selon un article paru sur le site Internet autrichien sportnet.at, Mateschitz aurait été vu deux fois au Centre Bell au cours de la dernière saison. Mais selon son assistante, cela est très loin de la vérité. «En fait, M.Mateschitz n'a pas mis les pieds au Canada depuis plusieurs années, a-t-elle répondu. Alors je peux vous dire qu'il ne s'est définitivement pas présenté à Montréal au cours de la saison de hockey pour y voir une partie.» Autre élément qui lie les deux hommes d'affaires: un intérêt commun pour le soccer. Dietrich Mateschitz a son équipe de la MLS à New York, et George Gillett a son équipe en Championnat d'Angleterre, à Liverpool. Les deux hommes viseraient-ils une association? Encore là, jure Tina Sponer, il n'y a rien à rapporter. «Non, il n'y a vraiment aucun projet de ce côté, je peux vous l'assurer», a-t-elle ajouté. L'été dernier, le patron de Red Bull avait fait savoir que l'aventure de la LNH allait peut-être finir par l'intéresser. Il avait même évoqué la possibilité du retour du hockey professionnel à Québec, sans toutefois aller plus loin.
  20. La Presse Voici une initiative qui plaira aux supporters de l'art à Montréal: les promoteurs du Montmartre, situé au 170, rue Sherbrooke Est, ont décidé de donner une petite voix aux artistes, dégageant un budget pour l'achat de peintures et de sculptures, qui orneront notamment le hall du nouveau complexe immobilier et le parc doté d'arbres centenaires. Les promoteurs veulent d'ailleurs modifier le design du hall pour le reconfigurer autour d'une oeuvre d'art. «C'est assez rare que dans les projets de condominiums, on ait ce genre de préoccupation», concède le directeur des ventes, Jacques Dufresne qui précise que le choix des oeuvres n'est pas encore arrêté. La construction du projet de 82 logements a démarré fin mars. Le lancement officiel s'est fait en même temps qu'un vernissage à la Maison Buchanan, bâtiment patrimonial de 1837, contigu au futur édifice. Au cours de la soirée, les invités ont pu apprécier les toiles de l'artiste-peintre et décorateur François Boucher exposées dans l'appartement-témoin. «Nous avons choisi M. Boucher parce que son style correspond au style du Montmartre. Les clients ont trouvé que c'était une bonne idée d'associer la construction d'un projet avec un événement artistique », de signaler M. Dufresne. L'entente convient aux deux parties: l'artiste amène ses clients au Montmartre et ceux-ci découvrent un nouveau projet d'habitation aux allures européennes situé au-dessus de la butte Sherbrooke. M. Boucher a expliqué de son côté qu'il a toujours travaillé avec des designers et des décorateurs. Et c'est d'ailleurs dans le cadre d'un projet de condos dans le Mile-End que M. Dufresne et lui ont d'abord collaboré. Par ailleurs, selon M. Jacques Dufresne, 50 % des unités du Montmartre ont trouvé preneur. La livraison est attendue pour le printemps 2008.Sur Internet:www.lemontmartre.ca
  21. La Presse Le mercredi 18 avril 2007 Martin Lemay, le député péquiste de la circonscription de Sainte-Marie-Saint-Jacques, à Montréal, va faire des démarches auprès du nouveau gouvernement de Jean Charest pour qu'il appuie financièrement la création du tramway du Havre de sorte que ce dernier soit gratuit. «Je suis prêt à faire les efforts nécessaires pour que Québec reconnaisse l'importance stratégique du centre-ville de Montréal, dit-il à La Presse. Cela prend un circuit au centre-ville pour les touristes, les gens d'affaires, les étudiants et les résidants. La gratuité du tramway existe aux États-Unis. Alors, on n'invente rien.» M. Lemay dit que la création d'une première ligne de tramway à Montréal est un «geste concret en faveur de l'environnement et de la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre», geste que le gouvernement Charest doit prendre en considération, dit-il. «Il s'agit d'un service accessible à tout le monde qui permet de diminuer le nombre de voitures au centre-ville, dit-il. Nous sommes 20 ans en retard, alors il faut agir et Québec doit intervenir. Le gouvernement a reçu 300 millions du fédéral. De plus, il y a le Plan vert. Donc je vais faire en sorte que Québec participe à ce projet.» M. Lemay souhaite, comme Charles Lapointe, le président-directeur général de Tourisme Montréal, que l'autobus qui empruntera temporairement la future ligne du tramway du Havre soit mis en service dès que possible. Toutefois, la Société de transport de Montréal dit qu'il faut, même quand on veut aller vite, faire des aménagements avant de créer une nouvelle ligne d'autobus. «Nous faisons partie d'un comité de travail formé dans le cadre du projet de la Société du Havre, dit Odile Paradis, responsable des communications à la STM. Nous allons donc évaluer les différents scénarios possibles et, si on a les infrastructures et le financement, on ira de l'avant avec cette desserte-là. Mais ce n'est pas encore planifié pour cet été, car il faut faire les aménagements nécessaires, et ce n'est pas si simple.» Le responsable du Transport au comité exécutif de Montréal, André Lavallée, estime quand même que la STM peut implanter cette ligne de bus cet été. «On a déjà créé une ligne temporaire entre les rues Berri et de la Commune lors des célébrations du 350e anniversaire de Montréal, en 1992, dit-il. La STM peut facilement la mettre en place, ce qui va aider les touristes, qui ont parfois de la difficulté à atteindre le Vieux-Montréal, notamment le musée de la Pointe-à-Callière.» Martin Lemay ajoute que cette ligne d'autobus «ne coûtera pas une fortune» et qu'il faut «recoller dès que possible le Vieux-Montréal au centre-ville». Selon lui, cette ligne d'autobus, et bientôt de tramway, plaira à de nombreux Montréalais qui pourront laisser leur auto au garage pour leurs déplacements locaux. «J'ai l'honneur d'avoir fait deux campagnes électorales en moins d'un an et je peux vous dire qu'un réseau de tramway au centre-ville est accueilli favorablement par les citoyens et les commerçants, dit-il. Ils sont enthousiasmés par la perspective de ce nouveau service.»
  22. 17/04/2007 Presse Canadienne Le gouvernement fédéral met à la disposition de la Société du Vieux-Port de Montréal (SVPM) des ressources financières améliorées, pour les cinq prochaines années, en plus d'une somme réservée à la remise en état de plusieurs installations mal en point. Le ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux, Michael Fortier, en a fait l'annonce, mardi, en conférence de presse, en présence du nouveau président du conseil d'administration de la SVPM, Me Bernard Roy. En fait, au cours des cinq prochaines années, 35 millions $ iront à l'entretien des infrastructures et 94 millions $ au financement de nouveaux projets. Les ministres Fortier et son collègue des Transports, Lawrence Cannon, devraient fournir davantage d'informations à ce sujet lors d'un déjeuner-causerie, vendredi, de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. «Le temps de l'incertitude budgétaire pour la SVPM est révolu», a déclaré le ministre Fortier. La présidente et chef de la direction de la SVPM, Claude Benoît, a pour sa part indiqué qu'au cours des cinq dernières années, le budget de la SVPM n'avait connu aucune augmentation ni aucune indexation, de sorte que la société se limitait à faire ce qu'elle pouvait pour assurer la sécurité des usagers. «Il ne faut pas se leurrer. Ce n'est pas avec ce qui est annoncé aujourd'hui qu'on va pouvoir faire de grandes réalisations, mais ça présente l'avantage qu'on peut planifier nos opérations sans courir le risque d'avoir un déficit et surtout d'éviter la détérioration de plusieurs installations», a fait valoir Me Roy. «Nous avons plusieurs projets attrayants sur lesquels nous allons travailler. Il y aura plusieurs intervenants qui seront appelés à contribuer, pas seulement financièrement, mais à jouer un rôle important tant dans le secteur privé que du côté du gouvernement municipal et provincial», a-t-il ajouté. La contribution fédérale annuelle versée à la SVPM était de 17,1 millions $. La société réussissait à tirer des revenus de ses activités (par exemple le stationnement) qui lui procuraient un budget total de 25 millions $. Le fédéral ne fournissait aucune somme spécifique pour l'entretien des infrastructures, ce qui sera corrigé à la suite de l'annonce du ministre Fortier. «La société sera en mesure de protéger les actifs que sont les bâtiments, les équipements industriels, terrains, plans d'eau et infrastructures», a indiqué Me Roy. Un nouveau conseil d'administration a été mis en place. Outre Me Roy, il sera composé de Hélène Desmarais (présidente et chef de la direction du Centre d'entreprise et d'innovation de Montréal), de Patrick Kenniff (de chez Kenniff & Racine, entreprise de recrutement de cadres), de Tasha Kheiriddin (vice-présidente sortante de l'Institut économique de Montréal) et de Claude Thibault (NuEra International et anciennement de Médiagrif). De son propre chef, Me Roy a signalé qu'il avait déjà oeuvré au sein du même cabinet d'avocats que le ministre Fortier. La présidence du conseil d'administration lui procurera une rémunération annuelle de 30 000 $. Cette fonction pourrait exiger de lui une journée de travail par semaine, s'il se fie à son prédécesseur Bernard Lamarre.
  23. le mardi 17 avril 2007 Plus de 560 organismes artistiques se partageront une aide unique de 33 millions de dollars au cours des deux prochaines années. Ils ont été sélectionnés au terme « du plus grand concours de subventions jamais organisé par le Conseil des Arts du Canada (CAC) », précise l'organisme fédéral. Vingt des 33 millions de dollars sont réservés à des organismes « qui produisent un impact au-delà de la collectivité ou province dans laquelle ils sont situés », précise le CAC. En voici quelques-uns: Canadian Opera Company (Toronto): 2,2 millions $ Orchestre symphonique de Montréal: 1,7 million $ Royal Winnipeg Ballet: 434 500 $ Musée des beaux-arts de Montréal: 275 000 $ Ex-Machina (Québec): 235 000 $ Ces fonds supplémentaires leur serviront à financer leurs activités artistiques et administratives, ou encore à conquérir de nouveaux publics. De 2006 à 2008 Ces 33 millions de dollars font partie d'une enveloppe exceptionnelle globale de 50 millions que le CAC a reçue lors du budget fédéral de mai 2006. Les 17 millions restants sont consentis à des artistes, sous forme de bourses, ainsi qu'à des projets d'accroissement de l'accès du public aux arts.
  24. mardi 17 avril 2007 Le gouvernement fédéral va octroyer des ressources financières additionnelles à la Société du Vieux-Port de Montréal (SVPM). C'est le ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux, Michael Fortier, qui en a fait l'annonce mardi. Pour l'occasion, il était accompagné du ministre des Transports, Lawrence Cannon, et du nouveau président du conseil d'administration de la SVPM, Me Bernard Roy. Ottawa versera ainsi 129 millions de dollars à la Société au cours des cinq prochaines années. De cette somme, 35 millions iront à l'entretien des infrastructures et 94 millions au financement de nouveaux projets. MM. Fortier et Cannon devraient donner davantage de détails sur cette annonce vendredi, lorsqu'ils s'adresseront à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. La Société du Vieux-Port de Montréal a été créée en 1981 pour développer et promouvoir le site du Vieux-Port, qui s'étend sur 472 857 mètres carrés. Le site comprend notamment une promenade de 2,7 kilomètres par 100 mètres, des espaces verts, quatre quais, les écluses 1 et 2 du canal Lachine et le Centre des sciences de Montréal. Le Vieux-Port attire chaque année plus de 6 millions de visiteurs et génère plus de 71 millions de dollars en retombées économiques indirectes.
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