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loulou123

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Tout ce qui a été posté par loulou123

  1. 8 mai 2007 La Société de Transport de Laval (STL) a complètement redessiné son réseau d'autobus pour le concentrer autour des nouvelles stations de métro. Une situation qui provoque attente et déception chez certains usagers du transport en commun de Laval. Le terminus situé sur le boulevard Henri-Bourassa à Montréal a été pratiquement abandonné par la STL. Auparavant, 29 des 34 autobus de Laval circulaient à Montréal pour se rendre à la station Henri-Bourassa. Il ne reste que 6 autobus qui utilisent la station Henri-Bourassa et aucun ne fait la navette par le pont Papineau-Leblanc. Les changements de trajets constituent une mauvaise nouvelle pour les élèves de la Rive-Nord qui fréquentent les collèges Bois-de-Boulogne, Régina-Assumpta et Mont-Saint-Louis. Certains doivent faire des détours importants et payer plus cher le titre de transport puisqu'ils doivent emprunter le métro. Un transport privé à la rescousseLa direction de certains de ces établissements a mis sur pied un réseau de transport privé pour éviter aux élèves de perdre en moyenne 30 minutes dans le transport. « Il y a un coût à ça, ça oscille entre 950 et 1000 $ et il semble que pour certaines personnes ça répond à un besoin », soutient le directeur général du Collège Mont-Saint-Louis, André Lacroix. La Société de Transport de Laval a reçu des plaintes, mais elle affirme que son nouveau réseau est plus efficace. Des changements seront apportés à plusieurs trajets d'ici l'automne pour accommoder un plus grand nombre d'usagers, mais il n'est pas question de revenir à l'ancien système et de faire circuler plus d'autobus sur l'île de Montréal.
  2. La PresseLe mardi 08 mai 2007 «Arrêtez de vous inquiéter.» Le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, a profité du conseil municipal d'hier soir pour rassurer ses citoyens qui craignent de voir un hippodrome s'installer à Sainte-Dorothée, dans l'ouest de la ville. Selon le maire, les chances qu'un tel projet arrive à Laval sont «très minces». «Je ne crois pas du tout que le promoteur vise Sainte-Dorothée. Il avait pris des options sur un certain nombre de terrains, mais il les a laissé tomber», a déclaré Gilles Vaillancourt. Au cours des dernières semaines, plusieurs Lavallois ont manifesté leur mécontentement devant la rumeur voulant que le promoteur privé Attractions hippiques construise un hippodrome et un salon de jeu de 1300 appareils sur des terres agricoles de Sainte-Dorothée. Le terrain en question est situé à la jonction des autoroutes 440 et 13. Plus de 9500 noms de citoyens s'opposant au projet ont été amassés. La pétition a été déposée, hier, au bureau de la ministre responsable de la région de Laval, Michelle Courchesne. En plus du terrain lavallois, Attractions hippiques avait identifié trois autres emplacements, l'automne dernier, qui auraient pu accueillir son projet. Les terrains étaient situés dans les municipalités de Boisbriand et de Blainville ainsi que dans un autre secteur de Laval. En janvier, Boisbriand et Blainville ont adopté une résolution s'opposant à l'arrivée d'un hippodrome sur leur territoire. Hier soir, Charles Roy, l'un des instigateurs de la pétition, a demandé au maire de Laval d'adopter une résolution semblable. Mais Gilles Vaillancourt a refusé catégoriquement de le faire. «Ce serait une mesure populaire, mais qui ne voudrait rien dire», a dit le maire. Selon lui, la résolution «n'aurait aucune valeur juridique». M. Vaillancourt a expliqué que si un promoteur voulait vraiment construire un hippodrome à Laval, une résolution de la Ville ne pourrait pas l'en empêcher. « Adopter une telle résolution serait un perte de temps «, a déclaré M. Vaillancourt. Trop d'obstacles Le maire a ensuite répété qu'il y a de toute façon " trop d'obstacles dans le contrat " pour qu'Attractions hippiques soit intéressé à installer son projet à Laval. " Notamment, les délais de dézonage seraient trop longs. Arrêtez de vous inquiétez. Les chevaux courent à Blue Bonnets et je suis persuadé qu'ils le feront encore dans cinq ans ", a conclu Gilles Vaillancourt.
  3. La ville devient immobilier promoteur immobilier Pour la première fois de son histoire, la Ville de Montréal se lance dans un mégaprojet de développement domiciliaire évalué à 300 M$, dans l'est de la ville. L'administration Tremblay a confié à la paramunicipale SHDM le mandat de construire environ 1800 maisons, condos et appartements sur un vaste terrain, le site Contrecoeur, qui appartient à la Ville. Le projet doit être réalisé sur une période d'au moins cinq ans et le constructeur principal retenu à la suite d'un appel d'offres est la firme F. Catania. Le site est impressionnant avec ses 380 000 mètres carrés. Il est délimité au sud par la rue Sherbrooke, à l'ouest par la rue Pierre-Bernard, au nord par Anjou et à l'est par la carrière Lafarge, à Montréal-Est. Logements sociaux Les clientèles visées sont les familles, les revenus moyens, les retraités. Une place importante sera faite aux logements sociaux et, à ce chapitre, il a déjà été déterminé par l'administration de Montréal que plus de la moitié des logements seront de type «abordable» (39 %) et à caractère «social» (21 %). Une zone de maisons unifamiliales sera réservée au nord. Elle sera voisine de l'arrondissement d'Anjou. Cet important développement qui amènera près de 5000 personnes dans le quartier Maisonneuve est évalué à 300 M$. «Nous sommes excités, commente la mairesse de l'arrondissement, Lyne Thériault, mais le projet soulève quelques questions auxquelles l'hôtel de ville devra apporter des réponses.» Elle mentionne entre autres «les dépenses accrues auxquelles devra faire face l'arrondissement pour fournir les services publics à cette nouvelle population». Des parcs L'entreprise est colossale. La SHDM doit prévoir plusieurs zones de développement avec ses rues, ses parcs, ses infrastructures et ses unités d'habitation. À l'extrémité est, les nouveaux quartiers seront voisins de la carrière Lafarge. «Je n'ai pas d'inquiétude quant à cette proximité. Le projet prévoit une large bande verte avec des arbres pour atténuer le bruit et la poussière et autres nuisances liées à l'exploitation de la carrière», soutient la mairesse. Une zone de commerces est aussi aménagée le long de la carrière, dans la partie sud du nouveau quartier. Le projet domiciliaire rapportera 5 M$ et plus de taxes municipales annuellement dans les coffres de la Ville.
  4. Le sort des arbres, dont le prix unitaire est de 2500 $, demeure inconnu l'hiver venu, moi avec ce prix la ,j aurais fait des palmiers artificiélles qui s allument la nuit et qui restent été comme hiver .
  5. Sous le thème «Montréal, terre d’avenir!», les célébrations du 40e anniversaire d’Expo 67 proposeront de nombreuses activités jusqu'au 29 octobre offrant ainsi l’occasion aux Montréalais et aux visiteurs de redécouvrir les îles et le parc Jean-Drapeau et de revivre l’esprit de Terre des Hommes. «L’Expo 67 a donné à Montréal un formidable élan de développement urbain dont elle a profité pour s’inscrire dans la modernité, élargir son rayonnement international et s’ouvrir sur le monde. Ce projet, qui tenait à la fois du rêve et de la vision de ses bâtisseurs, est un legs extraordinaire pour la métropole. L’Expo 67 est une source de fierté pour nous, Montréalais, mais c’est aussi une source d’inspiration. Ce 40e anniversaire est non seulement une occasion de souligner un moment important dans l’histoire de la métropole mais aussi une invitation à voir plus loin et à rêver plus grand», a déclaré le maire de Montréal Gérald Tremblay. Un parc, des expos... Plusieurs activités spéciales auront lieu au parc Jean-Drapeau, terre d’accueil de cet événement. Pour revivre les grands moments entourant la mise en œuvre et la réalisation de ce projet, l’exposition «Expo 67, passeport pour le monde», produite par le Centre d’histoire de Montréal sera présentée du 23 juin au 3 septembre au Complexe aquatique de l’île Sainte-Hélène. On y retrouvera des montages photographiques, des artefacts, des capsules d’information et des projections vidéo. Parmi les éléments forts de la programmation, «La Balade du 40e» qui propose une visite guidée des îles, du 4 juillet au 31 août. Des activités d’animation accompagneront ce parcours faisant revivre l’esprit d’Expo 67. Le parcours «Une galerie d’art à ciel ouvert» propose un circuit de découverte des œuvres d’art créées à l’occasion de l’Expo 67, dont l’Homme de Calder. L’Orchestre symphonique de Montréal présentera un concert au parterre de l’île Sainte-Hélène en hommage à Montréal dans le cadre de son programme «L’OSM dans les parcs», le 28 juillet à 20h, soulignant ainsi deux événements marquants de la Ville, les 350 ans de l’arrivée des Sulpiciens à Montréal et les 40 ans de l’Expo 67. Enfin, d'autres événements comme la Fête des enfants et les Week-ends du monde, s'installeront au parc Jean-Drapeau et prendront les 40 ans d’Expo 67 comme thématique.
  6. 7 mai 2007 L’administration Tremblay-Zampino consacrera 100 millions $ à la réfection des artères de Montréal en 2007, une enveloppe huit millions plus importante que l’an dernier. C’est ce qu’ont annoncé le maire Gérald Tremblay et le responsable des infrastructures et de la voirie au comité exécutif, Sammy Forcillo, dans le cadre du Programme de réfection des voies artérielles sur l’Île de Montréal. Quelque 72 chantiers seront en activité sur les voies artérielles et les rues locales de l’ensemble du territoire au cours des prochains mois. Aussi bien dire que les automobilistes devront encore une fois s’armer de patience. « (…) les 100 millions $ que nous injectons dans la réfection des voies artérielles de l’île de Montréal s’ajoutent aux 40 millions $ de dollars consentis cette année par les 19 arrondissements dans la réfection de leurs rues locales. L’investissement que nous annonçons aujourd’hui fait partie de notre plan d’action qui prévoit un minimum de 500 millions $ dans la réfection routière d’ici à la fin de notre mandat. L’ensemble des montants que nous consacrons à notre réseau routier commence à donner des résultats. La guerre aux nids-de-poule est une réalité. Les Montréalais peuvent constater que les nids-de-poule sont de moins en moins nombreux et les rues et les voies artérielles de plus de plus en sécuritaires. Tout n’est pas encore parfait, mais nous y travaillons avec beaucoup d’ardeur et c’est une guerre que nous allons gagner. Nous entendons redonner aux Montréalais des infrastructures sécuritaires et de qualité », a indiqué M. Tremblay. Le conseil d’agglomération a déjà octroyé des contrats pour un montant de 25 millions $ et la Ville, elle, a réservé 20 millions $ pour mener à terme certains chantiers non réalisés en 2006. Par ailleurs, l’administration montréalaise prévoit allouer une autre série de contrats pour environ 40 millions $ au cours des prochaines semaines. La réfection consistera principalement à refaire les chaussées et trottoirs. Damnés nids-de-poule Sammy Forcillo a précisé par ailleurs que 10 millions $ seront affectés à la réparation des nids-de-poule. Cinq véhicules effectuant le remplissage mécanisé des nids-de-poule parcourront, pour une quatrième fois depuis le mois de décembre, la totalité des 1 000 kilomètres du réseau artériel. D’autres équipes utilisant différentes autres techniques, dont le fraisage à chaud, la réfection par revêtement mince, le rapiéçage mécanique et le scellement des fissures, feront partie de l’arsenal municipal pour s’attaquer aux détériorations causées par la saison hivernale. Les chantiers sur Internet Les internautes pourront trouver des informations sur chacun des chantiers sur le site Internet de la Ville, une nouveauté qui vise une meilleure communication avec les Montréalais :www.ville.montreal.qc.ca Des chantiers importants Boulevard Angrignon: réhabilitation majeure des infrastructures de surface, de la rue Irwin jusqu’au nord de la rue Saint-Patrick Reconstruction complète des infrastructures de surface sur le chemin Queen-Mary, entre la rue Lemieux et le chemin de la Côte-des-Neiges Poursuite des travaux de sécurisation dans la rue Notre-Dame, entre les rues Dickson et Honoré-Beaugrand Cinq millions $ seront investis dans des réaménagements géométriques des intersections du boulevard Saint-Jean et de la voie de service de l’autoroute 40, ainsi qu’à la croisée du boulevard de l’Acadie et de la rue Sauvé.
  7. Je trouve l idée bonne sauf que ca coute trés chér surtout que c est tomporaire puisque ca serai difficile que ces palmiers restent l hiver ,vu la température ca serait méme impossible.
  8. Ta entiérement raison ,mais ce n est jamais tard ,ils peuvent augmenter la hauteur petit a petit, il faut que les prochaines ont commes hauteur 30 -35 étages et aprés pourquoi pas avoir une de 40 étages .
  9. La Presse Le lundi 07 mai 2007 À partir d'aujourd'hui, quatre palmiers de près de 15 mètres trôneront au coin des rues Sainte-Catherine et Amherst, en plein centre du Village gai. Ces arbres gigantesques seront la pièce maîtresse d'un arrangement végétal le long des deux artères pendant tout l'été. Ils ont fait leur entrée hier dans le centre-ville de Montréal sur la plateforme d'un long camion en provenance de la Floride. Une demi-douzaine d'hommes et de femmes ont mis plusieurs heures à les décharger, sous le regard amusé des passants. L'initiative vient de la Société de développement commercial du Village (SDC), qui investira 50 000 $ dans le projet. Chaque arbre vaut 2500 $. «C'est une question de se démarquer et d'embellir le quartier», a confié le directeur général de la SDC, Bernard Plante. «C'est aussi pour créer un sentiment d'appartenance, a-t-il ajouté. Quand tu arrives, tu vois tout de suite le décor et tu sais que tu es dans le Village. Tu sais que c'est différent, tu sais que c'est particulier.» Annuelles et palmiers de Noël En plus de ces quatre palmiers qui ne manqueront pas d'attirer les regards, une centaine de pots de fleurs seront disposés dans les deux rues, avec... des palmiers de Noël à l'intérieur. Cette variété mesure environ un mètre et sera plantée dans un pot d'un mètre de hauteur également. Des annuelles orneront le bord de ces larges contenants, descendant parfois en cascade jaune ou rose fluorescent contre les rebords. L'idée d'orner ainsi le quartier s'est matérialisée l'an dernier, durant les Outgames. Hibiscus, ficus et autres lauriers avaient été disposés rue Sainte-Catherine. «Cette année, on voulait quelque chose d'encore plus gros et original», a indiqué le concepteur du projet, Matthew Calderisi, lui-même propriétaire de la boutique Jean de Fleurette. Une assurance de trois millions de dollars a été contractée pour garantir les installations. Bernard Plante ignore ce qu'il adviendra des palmiers l'hiver prochain. «Je suis sur le point d'appeler le Jardin botanique pour savoir s'ils en veulent!» a-t-il lancé en riant. Le budget de la SDC du Village provient des cotisations de ses membres, a-t-il aussi souligné. Récemment, l'organisme a installé des affiches faisant la promotion du Village sur les lampadaires du quartier.
  10. 5 mai 2007 Des feux à décompte numérique ainsi que des feux sonores pour les non-voyants permettent maintenant aux piétons de traverser en toute sécurité cette importante intersection située à proximité du CLSC de Rosemont et d’institutions scolaires. Des contrôleurs de feux électroniques ont également été installés pour remplacer les anciens modèles électromécaniques. Rappelons que ces travaux ont été réalisés dans le cadre de l’important programme de modernisation des feux de circulation de la Ville de Montréal.
  11. vendredi 04 mai 2007 Le Devoir L'artiste Roadsworth est choisi pour insuffler un peu de vie à cet espace déserté. Trop souvent désertée par les passants, la place Émilie-Gamelin tentera de se refaire une beauté dès cet été grâce aux talents de l'artiste du pochoir Roadsworth, retenu par l'arrondissement du centre-ville pour transformer ce lieu de passage majeur en échiquier géant. L'oeuvre, qui sera inaugurée à la fin du mois de juin, sera réalisée dans la foulée du programme de financement d'art public Vill'Art Marie, créé l'an dernier par le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, pour revitaliser plusieurs places stratégiques au coeur de la métropole. Mais l'idée d'insuffler un peu de vie à la place Émilie-Gamelin émane aussi du groupe Dada Diffusion Art actuel, qui privilégie l'occupation des espaces publics par les artistes. La directrice de cet organisme, France Parenteau, qui se désolait de voir un si bel espace déserté, s'est mise en tête d'inoculer un sentiment d'appartenance chez les Montréalais qui traversent chaque jour cette vaste place, plus occupée par les coups de vent et les pigeons que par les citoyens. «La place Émilie-Gamelin est au carrefour de la Grande Bibliothèque, de l'UQAM, du métro Berri-UQAM et de la gare centrale. C'est donc un des lieux de passage les plus fréquentés de la ville. Mais les passants la contournent et ne se l'approprient pas. On veut en faire une place vivante, une vitrine pour les arts», a expliqué hier Mme Parenteau, qui a soumis l'idée à la Ville. L'idée sera donc de créer sur le sol un échiquier géant, portant le sceau de Roadsworth, dont les pochoirs créatifs ont envahi l'an dernier la place faisant face au Centre des congrès de Montréal. L'oeuvre sera assortie de pièces d'échecs géantes, qui inviteront, trois jours par semaine les promeneurs à s'arrêter pour tenter un échec et mat. La place Émilie-Gamelin, qui fut longtemps un parc de stationnement moche, a été réaménagée en parc à l'occasion des festivités du 350e anniversaire de Montréal et retapée à l'aide de dalles de pierre, de plans inclinés en gazon et de terrasses. Mais même les trois oeuvres de Melvin Charney qui y sont installées n'ont jamais réussi à y faire s'arrêter les Montréalais, de sorte que l'endroit est devenu le point de chute de plusieurs itinérants. «Avec les étudiants de l'UQAM, les usagers de la bibliothèque et les tours à bureaux autour, il y a ici un potentiel fameux pour y créer une vitrine des arts. Ça pourrait devenir un genre de Washington Square», souhaite France Parenteau. Ce projet s'accompagnera aussi d'une remise en beauté de la place de l'Espoir, un petit parc créé rue Sainte-Catherine à l'angle de la rue Panet, au début des années 1990, en hommage aux victimes du VIH. Lui aussi désaffecté, le parc sera requinqué par des murales temporaires réalisées par des artistes de l'UQAM, ainsi que par Roadsworth qui viendra y apporter son grain de sel. Le coût total du projet s'élève à 80 000 $, dont 30 000 $ proviendront du fonds d'art public de l'arrondissement de Ville-Marie, financé par les nouvelles amendes imposées pour assurer la propreté et les surplus provenant de la vente de permis. En effet, depuis que le gouvernement Harper a réduit de 1 % la TPS, la Ville a laissé inchangé le coût de tous ses permis et verse l'excédent, soit l'équivalent de 30 000 $ par année, dans son nouveau fonds pour l'art public.
  12. 2 mai 2007 Architectes, graphistes, designers industriels, urbanistes, architectes paysagistes ou d'intérieur convient le public à découvrir leur travail et leurs créations, le 5 mai. De 12 h à 17 h se déroulera la toute première opération Portes Ouvertes Design Montréal dans la métropole québécoise. « C'est une chose assez exceptionnelle », estime l'architecte Claude Perrotte, de l'agence Saucier + Perrotte Une cinquantaine de rendez-vous gratuits sont au programme. Près de la moitié comprennent la visite des bureaux de divers designers participants. Ainsi, la styliste Marie Saint-Pierre, le designer industriel Claude Mauffette, les architectes Provencher, Roy et associés ouvrent notamment leurs portes au public. « Si vous venez chez nous, vous verrez plein de maquettes et de dessins pèle-mêle dans notre bureau aménagé dans une ancienne fabrique de vêtements du quarter italien », déclare Claude Perrotte. Le design et les designers intimident plusieurs d'entre nous... à tort! — Macha Limonchik, porte-parole des Portes Ouvertes Design Montréal Des lieux à découvrir L'autre moitié des activités se compose de visites d'édifices, de lieux publics et d'autres réalisations qui ont été primées au cours des deux dernières années. En voici quelques-uns: square Dalhousie (Vieux-Montréal) Théâtre du Nouveau Monde (centre-ville) Pavillon du Lac-aux-Castors (mont Royal) Restaurant Pullman (Mile-End) Tohu, la Cité des arts du cirque (quartier Saint-Michel) Leurs designers seront sur place pour faire découvrir leurs créations. Trois circuits d'autobus, d'une durée de 1 h 30 à 2 h, permettront notamment aux intéressés de visiter plusieurs lieux. Organisme municipal, le bureau Design Montréal pilote l'opération Portes Ouvertes Design Montréal.http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=4236,5212090&_dad=portal&_schema=PORTAL
  13. 3 mai 2007 La PDG de l'institution montréalaise est indignée. La Grande Bibliothèque doit payer près de un demi-million de dollars par année à l'arrondissement de Ville-Marie pour l'espace de trottoir qu'occupe son périmètre de sécurité, aménagé autour de l'édifice. Ces clôtures temporaires servent à protéger les passants contre d'autres chutes de lames de verre. De juin 2005 à août 2006, 10 des 6200 lames de verre qui enveloppent l'édifice sont tombées au sol. L'institution voisine de l'UQAM doit payer 38 000 $ par mois à l'arrondissement de Ville-Marie. Après des négociations ardues, la Grande Bibliothèque a obtenu un congé de paiement en 2006. Toutefois, depuis janvier, ces frais sont de nouveau exigés. « C'est de l'argent de fonctionnement de la Bibliothèque 38 000 $ par mois. Je vous fais remarquer que ceci est un demi-million par année... un demi-million », a déclaré à la Première Chaîne sa présidente-directrice générale, Lise Bissonnette. Cette somme grève d'autant le budget de fonctionnement et de programmation (activités pour enfants, soirées de lecture et de poésie, etc.) de l'institution, souligne-t-elle. Stanley Péan outré Lise Bissonnette comprend mal qu'une institution qui, dit-elle, a tant apporté aux Montréalais et à l'arrondissement de Ville-Marie ait à payer pour son périmètre de sécurité. Il s'agit du même tarif qu'un commerce qui occuperait l'espace public pour des activités commerciales. « Ça n'a aucun sens, dit l'auteur Stanley Péan, président de l'Union des écrivains du Québec et porte-parole du Mouvement pour les arts et lettres. C'est comme si la Grande Bibliothèque devait devenir la vache à lait de cet arrondissement. Il ne s'agit pas d'un individu ou d'un commerce. Il s'agit d'une de nos grandes institutions culturelles nationales. Je les trouve un peu voraces. » Lise Bissonnette s'étonne de l'attitude du maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, et déplore de n'avoir eu aucune collaboration dans le difficile dossier des lames de verre. « Comment M. Labonté, qui est quand même le conseiller municipal qui a la responsabilité [du patrimoine et de la culture], d'une espèce de ministère de la Culture à Montréal, se laisse entraîner comme ça dans une relation de confrontation, ça m'apparait inexplicable. »
  14. 3 mai 2007 La popularité de L'Île-des-Sœurs auprès des acheteurs de propriétés ne se dément pas. On en peut juger par la rapidité avec laquelle les ventes se poursuivent, pour le tout dernier projet de Proment, la phase I du Vistal dont près de 70% des unités ont été vendues. C’est en septembre 2006 que la corporation Proment a procédé au lancement de la construction de cette nouvelle tour, située à proximité des Sommets IV. Samuel Gewurz a décidé de relever un grand défi en visant l’accréditation LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) pour ce projet et les acheteurs de propriétés ont répondu avec enthousiasme. Comme on le sait, les bâtiments LEED doivent répondre à des normes strictes, aux niveaux environnemental et écologique. Sur les 153 unités d’habitation qui seront construites dans cet immeuble, près de 100 ont déjà été réservées à de futurs occupants. Mme Brenda Gewurz, vice-présidente de Proment a précisé au Magazine que plusieurs acheteurs avaient décidé de combiner certaines des unités pour leur donner des dimensions plus importantes, ce qui a réduit le nombre total qui avait été prévu. Lorsque le projet a été annoncé, on prévoyait la construction de deux tours offrant la possibilité de 160 unités chacune, soit 320 unités au total. Les occupants de la première tour devraient donc y emménager au cours de l’été 2008 et il est très probable que l’on procédera bientôt au lancement de la deuxième tour de ce projet. Celle-ci devrait être l’ultime construction de Samuel Gewurz, sur la pointe sud de L'Île-des-Sœurs, car le président de Proment a déjà les yeux tournés vers la pointe nord où il doit réaliser un autre projet important, au cours des prochaines années.
  15. Moi aussi j ai hésiter entre le 3 et le 4 mais finalement j ai choisi le 4.
  16. Bonne nouvelle ,c est a dire qu ils vont pas tarder pour commencer les traveaux.
  17. La Presse Le mercredi 02 mai 2007 Brendan Fraser sera à Montréal au cours de l'été. Le tournage du film Mummy 3 aura vraisemblablement lieu à partir de juillet dans les studios Mel's à la Cité du cinéma. L'acteur tournera donc au Québec pour la deuxième fois en deux ans. Cette fois-ci, il partagera la vedette avec Luke Ford, qui incarnera son fils. L'an dernier, Brendan Fraser était venu tourner Journey to the Center of the Earth 3D. L'opération sauvetage orchestrée par le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ), visant à ramener dans la métropole le tournage de productions américaines qui menaçaient de s'installer ailleurs, semble avoir porté fruits. En mars, le commissaire du BCTQ, Hans Fraikin, s'est rendu à Los Angeles pour rencontrer les représentants des grands studios comme Warner, Paramount, Fox et Disney. Résultat : Mummy 3 sera tourné à Montréal à partir du 27 juillet, rapportait hier le site Internet du magazine américain Variety. L'équipe de production ainsi que les comédiens s'envoleront ensuite pour la Chine. Plus prudent, Hans Fraikin a précisé hier qu'il n'avait pas encore obtenu le feu vert du studio Universal Pictures. «Le tournage du film à Montréal, c'est sûr à 95 %, a-t-il tenu à souligner. On a eu la confirmation des producteurs mais pas encore du studio.» Or, le bureau de production de Mummy 3 est déjà installé dans la métropole et Brendan Fraser est même venu à Montréal la semaine dernière pour faire des essais, nous dit Michel Trudel, propriétaire des studios Mel's. Le budget du film est évalué à environ 110 millions US. Les retombées économiques pour Montréal pourraient atteindre quelque 50 millions.
  18. 1 mai 2007Monument à Sir George-Étienne Cartier - Début des travaux de restauration de la dernière phase .Pour la réalisation de cette deuxième et dernière phase, le comité exécutif a tout récemment approuvé l'octroi d'un contrat de 560 870 $ à la firme Maçonnerie Rainville et Frères Inc., de même qu'un autre contrat de 689 400 $ aux restaurateurs Dolléans Art Conservation. Le chantier sera sous la supervision de la firme d'architectes Fournier Gersovitz Moss architectes et associés. La dernière phase de ce chantier débute dès maintenant avec l'enlèvement - la dépose - des 17 personnages en bronze pour se terminer au printemps 2008. Il s'agit de la restauration du piédestal en granit et des sculptures en bronze. La restauration du piédestal et de la Renommée - sculpture au sommet - sera réalisée sur place alors que la restauration des autres personnages en bronze s'effectuera en atelier.
  19. Le Journal de Montréal 01/05/2007 Le premier véritable test sur l'efficacité du métro à Laval a été un succès sur toute la ligne, selon la Société de transport de Montréal (STM). «La journée s'est très bien déroulée. Nous sommes très satisfaits», lançait en fin de journée Mariane Rouette, porte-parole de la STM. Dès 5h30 hier matin, le nouveau tronçon reliant Montréal à Laval a été mis à l'épreuve par quelque 13 000 usagers, pour l'heure de pointe seulement. À la fin de la journée, pas moins de 35 000 personnes avaient circulé en direction ou en provenance des trois nouvelles stations lavalloises. Pour faire face à cette affluence, la STM a déployé 33 trains de neuf voitures sur la ligne orange, cinq de plus qu'à l'habitude. «C'est la ligne qui a le mieux fonctionné aujourd'hui. Les clients se promènent avec le sourire», a dit Mme Rouette. Pas d'effet sur les routes Il n'empêche que les usagers de la station Henri-Bourassa ont eu une mauvaise surprise ce matin, étant obligés de laisser passer des trains bondés avant de pouvoir monter à bord du métro, ont relaté des témoins. Selon les experts en transport, le métro de Laval délestera le réseau routier de la rive nord d'environ 3000 automobilistes tous les jours. Mais ces effets n'étaient pas palpables, hier. «C'est tout à fait habituel pour la période de pointe. Ça n'a pas changé grand-chose sur les routes, ni ce matin ni cet après-midi», a observé le chroniqueur à la circulation de la station de radio CKOI, Yves Lussier. Le prolongement du métro de Montréal vers Laval a été annoncé en 1998. Il comporte les stations Cartier, Concorde et Montmorency. Il a coûté 745 M$, au lieu des 179 M$ prévus initialement par le gouver-nement de Lucien Bouchard.
  20. Discussion portant sur le Stade Olympique Travaux sur la tour, le stade, l'esplanade aux alentours... Travaux en cours sur la tour:
  21. Le lundi 30 avril 2007 Changement de vocation pour le collège Rachel. Après avoir servi comme institution d'enseignement pendant plus d'un siècle, l'ancienne école du Plateau-Mont-Royal est actuellement reconvertie en résidence pour personnes âgées. L'ouverture de l'établissement, baptisé Les Résidences de l'académie Rachel, est prévue pour le mois de mai. En 2002, l'éviction des élèves du collège Rachel - alors une école secondaire privée - par le propriétaire des lieux, Jean-Christophe Chevreuil, avait fait couler beaucoup d'encre. Après la fin des classes, la direction de l'école n'avait eu que quelques jours pour quitter les locaux qu'elle occupait. M. Chevreuil voulait transformer le plus rapidement possible cette magnifique bâtisse de style néoclassique en condominiums de luxe. Avec tout le brouhaha que cela a provoqué, M. Chevreuil a échoué dans son entreprise. Il n'a même jamais demandé une autorisation à l'arrondissement pour réaliser cette transformation. Par la suite, l'histoire du promoteur a viré au cauchemar. En 2005, il a été condamné pour avoir agressé sexuellement deux toxicomanes, ayant même commis un de ses crimes dans le gymnase de l'école. Les lieux sont restés vacants jusqu'à ce que le Groupe Canvar, important promoteur immobilier montréalais (Profil-O, 801 Signature), acquiert le bâtiment en 2004. Le nouveau propriétaire a relancé le projet de condos de luxe en proposant d'ajouter deux étages à une aile du bâtiment, une modification nécessaire afin de rentabiliser cet investissement. Mais puisque le collège Rachel se trouve au coeur du site du patrimoine Saint-Jean-Baptiste, secteur protégé en vertu de la Loi sur les biens culturels, le Comité consultatif d'urbanisme a rejeté cette modification volumétrique. Si bien que le président de Canvar, Pierre Varadi, a changé son fusil d'épaule et fait appel à Ghislain Boulay, expérimenté dans la gestion de résidence pour personnes âgées, pour concevoir un projet de maison de retraite. «Cette nouvelle vocation permet de préserver la mission de l'édifice, qui est celle de servir la population locale», explique M. Boulay, propriétaire de plusieurs résidences de ce type, dont la Résidence des boulevards, au coin de Saint-Joseph et Saint-Laurent, sur le Plateau. 123 unités L'édifice en forme de U, dont la construction s'est échelonnée de 1875 à 1927, est actuellement transformé en 123 unités (studios, suites et 21/2) pour accueillir des personnes âgées autonomes ou en perte d'autonomie. Tous les services de l'établissement seront regroupés au rez-de-chaussée, comme l'administration, la salle de cinéma, le salon de coiffure et la salle à manger, qui donne sur une cour intérieure aménagée. «Les résidants ayant besoin de soins, comme les personnes à mobilité réduite ou souffrant de troubles cognitifs, logeront au premier étage, tandis que les étages supérieurs ainsi qu'une partie du rez-de-chaussée seront réservés à des personnes autonomes», explique Lisbeth Lavoie, directrice générale de l'établissement. Les promoteurs ont réussi à préserver quelques vestiges historiques du bâtiment, comme les murs de pierre au rez-de-chaussée. Cependant, les exigences de la vie moderne et du code du bâtiment ont effacé toutes les traces du passé aux étages. Dommage. «Par contre, on va restaurer la magnifique façade de l'édifice», indique M. Boulay. Le prix de location des appartements varie de 1450 à 2900 $ par mois (après les crédits d'impôt), ce qui inclut une multitude de services, comme les repas, le câble, l'entretien ménager, le téléphone, le personnel infirmier, etc. «Au bureau de location, plusieurs visiteurs sont des anciens élèves de l'école», précise Mme Lavoie. En y habitant, ils pourront se remémorer plusieurs beaux souvenirs de leur jeunesse.
  22. Ce qui est triste que les trois nouvelles stations peut étre qu ils n auront pas d impacts sur les commerces mais au moin c est bien au moin coté résidentielle ,enfin ,on éspere ca.
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