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loulou123

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  1. 17 avril 2007 La Commission de toponymie du Québec a officialisé des odonymes pour désigner trois nouveaux espaces verts dans l’arrondissement de Verdun. Deux de ces parcs se trouvent dans le quartier de L’Île-des-Sœurs, alors que le troisième est situé dans celui de Wellington-de l’Église. «Au-delà de doter l’arrondissement de trois nouvelles aires de détente, je suis particulièrement fier de nommer un de ces îlots de verdure à la mémoire d’un ex-magistrat qui s’est illustré sur la scène locale, tant au niveau municipal que provincial», a déclaré le maire de l’arrondissement de Verdun, M. Claude Trudel. Parc Lucien-Caron Cet îlot de verdure est situé face au nouveau chalet du parc Arthur-Therrien sur le boulevard Gaétan-Laberge dans le quartier de Wellington-de L’Église. Il est ainsi nommé en l’honneur de Lucien Caron (1929-2003) qui a été successivement conseiller municipal de Verdun de 1966 à 1977 et maire de Verdun de 1977 à 1985. Il a également été élu député libéral dans Verdun en 1970, puis réélu successivement en 1973, en 1976 et en 1981. Parc de l’Orée-du-Fleuve Ce parc est situé en bordure de la piste cyclable près de la rive du Saint-Laurent et voisin des tours résidentielles Les Sommets sur la Pointe Sud du quartier de L’Île-des-Sœurs. Parc des Parulines Cet autre parc se trouve à l’intersection du Chemin de la Pointe Sud et de la rue des Parulines également dans le quartier de l’Île des Sœurs. Rappelons que ces désignations de parcs ont été approuvées lors du conseil de l’arrondissement de Verdun le 26 février dernier. La Commission de toponymie du Québec assume le mandat général de gérer la nomenclature géographique du Québec. À cette fin, il lui revient d’approuver les toponymes et les odonymes qu’elle juge conformes à ses critères de choix et à ses règles d’écriture.
  2. La Presse 17 avril 2007 Une dose de boisson énergisante pourrait-elle requinquer les joueurs du Canadien? La question mérite d'être posée à la suite de la publication d'un article dans un quotidien autrichien selon lequel le créateur et copropriétaire de Red Bull, Dietrich Mateschitz, serait intéressé par le Canadien de Montréal. Mateschitz recevrait, ces jours-ci à Salzbourg, une délégation du Canadien pour des «négociations secrètes» visant la vente du club, selon un article du Kronen Zeitung, le tabloïd le plus lu d'Autriche, tel que résumé par le site Internet sportnet.at. Mis au parfum, le Canadien a formellement nié cette information, la jugeant sans fondement. «C'est la première fois qu'on entend parler de cette histoire. Il n'y a absolument aucun fondement à ça parce que le Canadien n'est pas à vendre», a affirmé le vice-président aux communications du Canadien, Donald Beauchamp, lundi après-midi.Red Bull Canada a offert le même démenti. «Ce ne sont vraiment que des rumeurs et de la spéculation, rien de plus», a tranché Lubor Keliar, responsable des communications. Peu d'informations ont filtré dans la dépêche de sportnet.at, sinon que Mateschitz aurait visité le Centre Bell à deux reprises au cours de la dernière saison et qu'il aurait aimé l'atmosphère qui y régnait. L'été dernier, Mateschitz, 62 ans, avait déjà exprimé son intérêt pour le hockey professionnel en Amérique du Nord, affirmant avoir entrepris un travail exploratoire en ce sens. Lancée en 1987, Red Bull est une boisson dite «énergisante» qui a rapidement inondé le marché. En 2006, plus de trois milliards de canettes ont été vendues dans plus de 130 pays. Mateschitz détient 49 % de la compagnie. Red Bull s'est démarquée grâce à un marketing original et agressif, principalement axé sur le sport. Les sports extrêmes et motorisés ont été les principales cibles. Ainsi, Red Bull commandite de nombreux pilotes et riders. Récemment, Red Bull s'est lancée dans les propriétés sportives comme les écuries Red Bull Racing et Toro Rosso en Formule 1. En 2005, le géant de la boisson à la caféine a aussi acheté le club de soccer de Salzbourg pour le renommer le Red Bull, qui évolue dans la Bundesliga autrichienne. Idem pour le club de hockey de Salzbourg. En Amérique du Nord, Mateschitz a mis la main sur les MetroStars du New Jersey de la MLS avant de les renommer Red Bull de New York. Cette année, il commandite également deux voitures de NASCAR propulsées par des moteurs Toyota. Au Québec, mis à part la commandite personnelle du skieur Erik Guay, Red Bull a fait parler d'elle avec la deuxième présentation de son Crashed Ice, le mois dernier, dans la Vieille Capitale. La course à obstacles sur patins a attiré quelque 75 000 spectateurs dans le Vieux-Québec. Le Canadien est propriété de l'homme d'affaires George Gillett (80,1 %) et de Molson Coors (19,9 %). Le brasseur détient un droit de préemption (droit de premier refus) sur une vente éventuelle du Canadien.
  3. ah ok ,je comprend maintenant la vitesse du projet car le trou a déja été fait avant et les conditions de la terre doit étre bonne ,merci begratto pour les informations.
  4. La Presse Le lundi 16 avril 2007 Les Habitations Laurendeau construiront sous peu un nouveau complexe résidentiel à l'angle de la Promenade Ontario et de la rue Valois, dans Hochelaga-Maisonneuve. Avec des formes hors du commun, le projet sera traversé par un corridor de verdure qui reliera entre eux deux parcs du quartier. L'arrondissement vient de donner le feu vert à la construction des Cours Valois. Le constructeur lancera les travaux en mai, et espère livrer ses premiers appartements avant Noël prochain. Au total, 46 nouveaux condos viendront s'ajouter au quartier en pleine revitalisation. «La Ville, les résidants du quartier et les commerçants ont depuis longtemps entrepris de rendre sa beauté au secteur, constate Marc Laurendeau, coprésident des Habitations Laurendeau. Nous souhaitons participer à ces efforts.» «On ne veut pas qu'Hochelaga-Maisonneuve deviennent un deuxième Plateau-Mont-Royal, ajoute Roger Gallagher, directeur général de la Promenade Ontario, mais l'arrivée de jeunes professionnels dans ces appartements donnera encore plus de vigueur au quartier.» Pendant leurs emplettes, les passants pourront circuler sous les arbres, entre les trois nouveaux bâtiments. «On crée une rue verte pour les piétons, explique M. Laurendeau. Cette voie sera aménagée par la Ville et elle sera suffisamment éclairée pour être sécuritaire.» Le promoteur a fait appel au bureau d'architectes Boutros et Pratte pour dessiner les plans des futurs immeubles et leur environnement. L'équipe a notamment signé le projet Europa à Outremont, dont la phase 4 a été primée aux 22e Prix d'excellence de l'Ordre des architectes du Québec. L'architecte Raouf Boutros estime que son bureau a su créer un équilibre entre la vie urbaine et la verdure. «J'aime les édifices denses, affirme-t-il. C'est une des meilleures façons de vivre en ville et de se sentir en sécurité. Dans le cas des Cours Valois, la densité est agréable parce que les résidants partagent un espace vert central où ils peuvent se connaître.» Du petit et du grand Afin d'éviter que cette voie verte soit étouffée par les édifices de trois étages qui la bordent, les architectes ont suggéré l'utilisation de bois pour les murs extérieurs face au parc. Ce matériau réfléchira davantage la lumière que la brique utilisée pour les façades sur les rues Ontario, Valois et Nicolet. Les 46 appartements des Cours Valois sont susceptibles d'attirer un public très large. Habitations Laurendeau offrira des espaces de 515 à 1218 pieds carrés. Plusieurs appartements compteront aussi deux étages. «La clientèle d'Hochelaga-Maisonneuve est relativement jeune, et très ouverte. On peut oser davantage, et ça donne des espaces intéressants», fait remarquer Marc Laurendeau. Pour la première phase du complexe, donnant dans la rue Ontario, le promoteur fixe le prix des appartements à environ 200 $ le pied carré (entre 135 900 $ et 214 000 $, taxes incluses).
  5. Oui ,moi aussi j ai l impression que ce chantier est plus rapide que les autres .
  6. MONTREAL, le 13 avril L'industrie montréalaise des technologies de l'information et des communications se regroupe pour être plus novatrice et compétitive - "La création aujourd'hui de TechnoMontréal, la grappe des technologies de l'information et des communications (TIC), en présence de quelque 300 acteurs clés de l'industrie représente une nouvelle encourageante pour l'économie de Montréal", a fait valoir M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif de la Ville. "Aujourd'hui, alors que nous sommes au coeur d'une forte poussée des économies émergentes, l'approche des grappes industrielles est plus que jamais d'actualité, puisqu'elle permet à l'ensemble des partenaires de l'industrie des TIC, comme les producteurs de contenu, les fabricants de matériel, les fournisseurs, les universités, les chercheurs, les travailleurs et les gouvernements, de travailler à l'essor de leur industrie les uns avec les autres", a précisé M. DeSousa. TechnoMontréal a été mis sur pied grâce à la volonté des principaux acteurs de l'industrie et au soutien du Fonds de compétitivité de la Communauté métropolitaine de Montréal. Financé à part égale par les trois paliers de gouvernement, le Fonds a alloué, sur deux ans, une somme de 1,2 million de dollars à la Grappe des TIC qui emploie pas moins de 110 000 personnes dans la grande région de Montréal. "L'annonce d'aujourd'hui est importante pour l'économie montréalaise qui figure déjà parmi les leaders mondiaux dans le secteur des jeux vidéo. Cependant, il reste beaucoup à faire pour que la stratégie des grappes puisse fournir son plein potentiel et génère un relèvement de la productivité et de la compétitivité de l'économie montréalaise" a expliqué M. DeSousa. La création des TechnoMontréal annonce donc des jours meilleurs pour l'économie montréalaise qui sera ainsi en mesure d'être davantage compétitive et de se démarquer de manière toujours plus avantageuse dans des secteurs comme les TIC, où l'innovation et la créativité sont déterminantes. "Il s'agit également d'une étape supplémentaire dans la mise en oeuvre de notre ambitieux plan de match Imaginer - Réaliser Montréal 2025 grâce auquel Montréal pourra se hisser parmi les métropoles qui offrent le meilleur niveau de vie et la meilleure qualité de vie en Amérique du Nord", a conclu Alan DeSousa. De plus en plus populaire en Europe, l'approche des grappes représente un élément central de la stratégie de développement de Montréal. La métropole est d'ailleurs la seule ville nord-américaine à faire partie du prestigieux regroupement européen des seize régions métropolitaines les plus innovantes du vieux continent. Mis sur pied par la Commission européenne, ce réseau permet à la fois à Montréal de profiter de l'expertise des villes européennes les plus innovantes et d'accroître le rayonnement de ses grappes industrielles à l'étranger.
  7. Oui ,son ouverture c est cette été et l été s pproche de plus en plus:rolleyes: , j ai hate de voir ce projet terminer car vraiment c est une belle tour ,juste j ai espérer que sa couronne soit allumer la nuit comme celle de 1501Megill college et qu il soit un petit peu plus haut ,ca aurait été magnifique ,mais en gros ca reste un beau projet et l un des meilleure dans son architecture dans ces dernieres annés a Montréal.
  8. Presse Canadienne Le samedi 14 avril 2007 Montréal La Fondation de l'Oratoire Saint-Joseph, à Montréal, a jusqu'à présent réussi à amasser le tiers des 75 millions $ dont elle besoin pour la restauration et le réaménagement du célèbre site religieux qui accueille plus de 2 millions de visiteurs annuellement. Cette campagne de financement, qui se fait auprès du public, des entreprises et des gouvernements, se poursuit samedi avec la tenue d'un premier encan d'objets uniques. On retrouve 200 lots, dont des tableaux de Léo Ayotte et du Frère Jérôme, des icônes, des meubles anciens, des collections musicales, de timbres et de monnaies, des bijoux, et des objets sportifs, notamment un chandail autographié par les joueurs du Canadien de Montréal. Les travaux à l'Oratoire ont débuté en 2002; ils devraient être complétés en 2010.
  9. (12 avril 2007 La Presse)Il y a une si forte demande de résidences pour personnes âgées qu'elles poussent comme des champignons, au Québec et ailleurs au Canada. Si l'immobilier plafonne dans plusieurs secteurs, cette année, les groupes Melior et Maurice, de Montréal, voguent à une cadence de 50 % de hausse du nombre de logements pour retraités. Le taux d'occupation dans les 10 complexes du Groupe Maurice atteint 100 %, à une exception près, a déclaré à La Presse Affaires son président, Luc Maurice. Pourtant, les loyers à son nouveau projet L'Image d'Outremont, qui ouvrira à l'été 2008, commencent à 1095 $ et s'élèvent jusqu'à 3975 $ par mois. «Les capitaux pour financer les projets ne manquent pas», assure le président du conseil et chef de l'exploitation du Groupe Melior, Jean M. Maynard, en transit entre deux réunions pour les contrats de trois projets. «Ça va très vite, beaucoup plus que prévu», renchérit Pierre Ferland, président et chef de la direction de Maestro, de Montréal. Fondée en 2001, Maestro gère déjà 43 résidences au Canada, avec 8000 logements pour aînés, dont près de 20 au Québec. En six ans seulement, le gestionnaire immobilier a réussi à amasser plus de 500 millions, auprès de caisses de retraite et de compagnies d'assurance canadiennes, et la valeur de son actif dépasse le milliard de dollars. Trois projets, à Québec, Hull et Kingston, vont ajouter une valeur de 150 millions, dit Pierre Ferland, sans parler de 10 transactions à conclure d'ici l'été. La demande ne provient même pas encore de la grosse cohorte des baby-boomers, souligne Pierre Ferland. Les premiers baby-boomers viennent de passer le cap des 60 ans et ne commenceront à prendre d'assaut les résidences pour personnes âgées que dans 15 ans. Outre Melior et Maestro, les leaders des résidences au Québec comprennent les groupes El Ad, Maurice et Soleil. Melior est en train d'investir 73 millions à Laval, dans la construction de deux immeubles du Domaine des Forges et l'acquisition des Habitations La Roseraie, tout près, pour un total de 475 logements. Ses projets pour 2700 logements additionnels d'ici deux ans nécessiteront toutefois 400 millions, souligne Jean Maynard. Cela portera la valeur de l'actif de Melior à plus de 1 milliard, sans inclure les nouvelles transactions potentielles pour 1200 autres clients. Melior gère déjà 6700 logements au Québec -des studios et suites en passant par des appartements- d'une valeur de 651 millions, précise Jean Maynard. «L'industrie des résidences doit croître, y compris pour les aînés atteints d'Alzheimer et les aidants naturels», explique Jean Maynard. «La moyenne d'âge des résidents s'établit à 82 ans, mais on vient de fêter six centenaires en pleine santé», lance Pierre Ferland. À Outremont, Luc Maurice ne néglige pas la demande pour des appartements avec plusieurs services de la part de couples dont l'un des membres devient plus fragile. «C'est une première au Québec», selon lui. Le Groupe Maurice compte plus de 1800 logements et en offrira 3020 grâce à quatre projets en construction, à L'Île-Bizard, face aux pyramides olympiques à Montréal et à Shawinigan. Pour satisfaire la demande, Melior a conclu des partenariats avec le leader canadien Chartwell FPI et Solim, le bras immobilier du Fonds FTQ. Et Melior achète des immeubles de plusieurs communautés religieuses du Québec, note Jean Maynard. La croissance ralentit temporairement, et pour quatre ou cinq ans encore, parce que la demande provient des retraités nés au cours de la Grande Dépression de 1929, explique Pierre Ferland. Un des défis est d'embaucher pour cette nouvelle industrie des résidences, selon lui. Dans trois ans, il y aura un surplus d'offre dans la région de Montréal, souligne Luc Maurice. «Il faudra bien servir le client, qui aura le choix. Les promoteurs devront se dépasser et sortir des sentiers battus», dit-il.
  10. (Le samedi 14 avril 2007)L'organisme Les Amis de la montagne va demander à la Ville de Montréal de considérer un prolongement de la ligne de tramway du Havre jusqu'au mont Royal afin de réduire le nombre de véhicules qui y circulent. Comme La Presse l'a écrit au début de la semaine, le projet de tramway dans le Vieux-Montréal figurera dans le Plan de transport de la Ville, qui sera dévoilé le mois prochain. La ligne pourrait aller de Berri-UQAM au square Dorchester en passant par la rue de la Commune et la rue Peel. Les Amis de la montagne proposent de ne pas arrêter le tramway rue Peel, au coin de la rue Sainte-Catherine, mais de le prolonger au nord jusqu'à l'avenue des Pins. L'organisme va écrire au conseiller municipal André Lavallée, responsable du Plan de transport, pour lui faire part de cette recommandation. «Cette entrée importante du parc du mont Royal va être bientôt réaménagée par la Ville, dit Sylvie Guilbault, directrice générale des Amis de la montagne. Elle est d'autant plus importante qu'on veut réduire la circulation sur la montagne et favoriser l'entrée dans le parc pour les piétons. On n'a pas fait d'étude de faisabilité pour que le tramway puisse monter la côte, mais il y en a un à San Francisco, donc ça se fait.» Les Amis de la montagne considèrent que leur proposition est en accord avec le plan d'urbanisme de Montréal, qui veut améliorer l'accessibilité piétonne et cycliste au mont Royal. Elle concorde surtout avec le Plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise. Ce plan regroupe 76 partenaires de la Ville de Montréal, et les Amis de la montagne en font partie. Dans la phase 2007-2009 de ce plan, dévoilé le mois dernier, une des actions s'intitule «Minimiser la circulation automobile sur le mont Royal (chemins Camillien-Houde et Remembrance)». Elle consiste à implanter des mesures qui permettront de réduire la circulation automobile sur le mont Royal, surtout la circulation dite de transit, c'est-à-dire celle qui a lieu la semaine aux heures de pointe. De nombreux automobilistes utilisent en effet la montagne comme raccourci afin d'éviter le chemin de la Côte-Sainte-Catherine ou le chemin de la Côte-des-Neiges, très souvent encombrés en début et en fin de journée. Le mont Royal est un site du patrimoine de Montréal, un arrondissement historique et naturel, et un écoterritoire. Les Amis de la montagne souhaitent donc qu'on réduise la circulation locale. «On a quand même quatre voies au milieu du parc, dit Mme Guilbault. De plus, l'autobus 11 dessert très mal la montagne. C'est toujours le premier autobus qui est annulé quand il y a un peu de neige ou que c'est glissant. Le transport en commun est donc important pour la montagne.» En prolongeant la ligne de tramway jusqu'à l'avenue des Pins, on fournirait en plus un accès plus facile au transport en commun pour les nombreux étudiants du campus de l'Université McGill. Cette maquette grandeur nature a donné l'automner dernier un avant-goût aux Montréalais de l'allure que pourrait avoir le nouveau tramway du Havre. Aucune étude de faisabilité n'a été menée pour déterminer si le tramway est assez puissant pour grimper la côte menant au mont Royal.
  11. (13/04/2007)Après celles de l'aérospatiale, du cinéma, de l'agro-alimentaire, entre autres, la grappe industrielle des technologies de l'information et des communications vient de naître. TechnoMontréal est le nom de baptême de cette grappe industrielle des technologies de l'information et des communications du Grand Montréal. Cette nouvelle grappe industrielle, lancée vendredi en présence du ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Raymond Bachand, et du maire de Montréal, Gérald Tremblay, vise à créer entre 15 000 et 25 000 emplois liés aux technologies de l'information et aux communications d'ici 2010. On compte actuellement 108 000 emplois dans ces secteurs: logiciels, fabrication, services informatiques, services en télécommunications et autres, indique la Presse Canadienne. La grappe vise également à faire croître les exportations de 30% dans le domaine des communications et des technologies de l'information. Ses partenaires souhaitent aussi voir les effectifs en recherche et développement augmenter de 25% dans les secteurs privé et universitaire.
  12. Merci a toi Gilbert:) ,en si concerne le placement de du nouveau spectrum voila ce qu elle dit la presse.
  13. Ah ok ,je comprend comment ta fixer l intérvale de la la date ,merci iamthewalrus pour les photos et l information.
  14. (13/04/2007) Les Montréalais pourraient bientôt aller magasiner sous le viaduc du boulevard Notre-Dame. Le maire de Montréal a laissé échapper cette information hier, lors de sa conférence de presse sur la démolition de l'autoroute Bonaventure. Gérald Tremblay commentait alors le projet de transformer le viaduc du CN en galerie marchande et s'est permis un parallèle avec celui de Notre-Dame. Le viaduc Notre-Dame a été conçu pour accueillir des commerces sous sa structure. Mis à part les trois arches de métal qui délimitent les rues qui se rendront au fleuve, le reste de l'ouvrage est en béton et peut facilement s'adapter à une vocation commerciale. La construction de nombreuses unités d'habitation tout autour du viaduc amène la Ville à soutenir l'implantation de commerces de quartier à cet endroit. «Il y a un promoteur qui s'appelle Télémédia qui a acheté la gare Viger pour neuf millions de dollars. Il y a un financement international très important et, dans les plus brefs délais, on va annoncer un projet. Et vous allez voir, ce qui était prévu il y a un certain nombre d'années va se réaliser», a laissé entendre le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Développement Télémédia s'est refusé à tout commentaire, prétextant que l'annonce était prématurée et qu'une conférence de presse sera convoquée en mai sur cette question. La compagnie qui souhaite développer ce quartier s'est associée à deux autres investisseurs européens. Déjà, on sait qu'elle veut transformer l'ex-gare Viger en hôtel de luxe et construire des tours d'habitation dans le stationnement de l'ex-gare. Dans les années 90, l'ex-maire Jean Doré avait proposé un projet semblable, mais rien n'avait été fait.
  15. Plus de 15 000 personnes ont signé une pétition dans laquelle ils dénoncent vigoureusement l'augmentation des tarifs de parcomètres et des taxes commerciales de la Ville de Montréal. Cette pétition a été déposée aux instances municipales par la coalition " Assez c'est Assez ". Ce groupe demande à l'administration du maire Gérald Tremblay de lui fournir les vraies raisons des hausses de taxes commerciales et de l'augmentation des tarifs des parcomètres et des nouvelles amendes pour la propreté devant les commerces. Pour un, le président de l'Institut des affaires publiques de Montréal, Baril Wiseman insiste pour savoir si ces nombreuses augmentations sont attribuables à la construction des nouvelles stations de métro. En réaction aux membres de la coalition, Marvin Rotrand, conseiller de l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce et Michel Labrecque, élu de l'arrondissement du Plateau Mont-Royal ont réaffirmé que les modifications à la tarification et aux plages horaires des parcomètres sont légitimes et resteront en place malgré le vent de contestation qui souffle depuis plusieurs semaines. " Les tarifs n'ont pas été augmentés depuis dix ans. Le choix de procéder à des modifications est tout à fait légitime lorsqu'on prend en considération l'accroissement du coût de la vie depuis dix ans ", de dire M.Rotrand. " Les arguments des opposants qui déclarent que les hausses des tarifs des parcomètres vont entraîner une réduction du nombre d'automobilistes et le déclin des commerces ne tiennent pas la route ", répondent d'un commun accord les deux conseillers municipaux. Plusieurs groupes environnementaux dont Équiterre, le Conseil régional de l'environnement et Vélo Québec, entre autres, ont approuvé la décision des instances municipales de modifier la tarification et les plages horaires des parcomètres. L'administration municipale précise que les nouveaux tarifs des parcomètres sont légèrement inférieurs ou similaires à ceux des autres grandes villes canadiennes comme Québec, Ottawa, Toronto, Calgary et Vancouver
  16. (Le vendredi 13 avril 2007)Pour Mme Hudon comme pour le maire, on aurait tort de ne pas investir dans ce projet puisque son coût en argent public (90 millions) est à peine plus élevé que ce qu'il en coûterait si l'on se contentait de réparer l'autoroute sans la moindre modification. D'autant que « l'argent est là «, a dit le maire Tremblay. «On a 180 millions pour les trois prochaines années dans le programme triennal d'immobilisations, a-t-il dit. De plus, Québec a annoncé 140 millions pour des projets structurants de Montréal. Ce n'est donc pas une question d'argent, mais de rentabilité économique, car on va libérer des terrains pour une valeur foncière annuelle de 16 millions, 6,6 millions de taxes municipales et 3,3 millions de droits de mutation.» M. Tremblay rappelle que ce projet est dans la continuité de celui du Quartier international qui a pris 15 ans, mais qui nécessitait «une vision». «Beaucoup de personnes avaient souri avant ce projet-là, mais c'était un investissement de 70 millions du public et qu'est-il arrivé? Il y a eu jusqu'à aujourd'hui 800 millions investis par le privé.» Présent à la conférence de presse, le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, a voulu «lancer un pavé dans la mare» en mettant un bémol à ces annonces : «Cela aura quand même pris 10 ans pour réaliser un projet de 90 millions de dollars, a-t-il dit. Ailleurs, dans le monde, en 10 ans, les villes changent complètement. Alors, on peut faire beaucoup plus vite et beaucoup mieux.» Échéancier > 2007 : Travaux préliminaires (caractérisation des sols, archéologie, état des collecteurs pluviaux) et études d'ingénierie. > 2008 : Feu vert des partenaires. > Automne 2009 : Début des travaux d'infrastructures et de voirie. > Automne 2011 : Fin des travaux. > Début 2012 : Début de la construction immobilière. > 2012-2013 : Développement des terrains. > 2013-2019 : Construction et livraison des projets.
  17. ah , le plus grand magasin de la chaine Lucky Brand Jeans au monde va étre au Centre ville de Montréal ?qu elle bonne nouvelle:)
  18. Dommage ,surtout qu il était le seul cinéma à diffuser des films en français sur rue Sainte-Catherine:( .
  19. Oui,on dirai qu il ya un grosse difference entre les deux photos ,pourtant d aprés ce que je voit il ya seulement deux grattes ciels qui se sont ajouté (le 1250 renée lévéque et le 1000de gouchitiére),comme j ai déja dit ,parfois deux ou trois tours peuvent faire une grosse difference et rendre le skyline de Montréal plus dense,mais je me demande en qu elle année a été prise la premiére photo?
  20. loulou123

    skyline de 2016

    Oui c est un beau projet ,mais ta pas un rendu de ce projet avec tout le skyline de Montréal pour voir qu elle éffet aura t il ?
  21. Oui ,parfois deux ou trois buildings de plus (surtout hautes)peuvent faire tout une différence.
  22. (12 avril 2007)Les membres du comité exécutif de la Ville de Montréal ont autorisé le lancement d’appel d’offres public pour des travaux d’exécution dans le cadre de la remise en bon état du belvédère Camilien-Houde dans le parc du Mont-Royal pour un montant évalué sommairement à 225 000$. «Ces travaux de restauration permettront d’améliorer la qualité du site, des aménagements, de les préserver en redirigeant les eaux de ruissellement pour éliminer les problèmes d’érosion et de bonifier le mobilier urbain pour répondre aux besoins des utilisateurs», explique Helen Fotopulos, mairesse de l’arrondissement Plateau Mont-Royal. Plusieurs composantes du belvédère ont subi une dégradation depuis son aménagement en 1995.
  23. (le 12 avril 2007) Antoine Richard est déterminé à revaloriser un site qui en a bien besoin. Une attraction incroyable pour Verdun L'art culinaire au sommet avec "L'Espace Françoise-Kayler" Babylone a eu ses jardins suspendus, Verdun aura son toit terrasse avec jardin, plan d'eau et surtout avec une librairie-bibliothèque gastronomique, un restaurant bistro pour 40 personnes, une salle de réception de 200 places et un gîte touristique. Si tout va bien, les Verdunois auront accès dès le mois de décembre prochain, à un lieu unique de diffusion, de restauration et d'hébergement sur le toit du stationnement étagé de la rue Ethel. Ce projet conçu par un jeune chef cuisinier, Antoine Richard, contribuera à revitaliser le secteur tout en renforçant la vocation touristique de Verdun. Du haut de ce stationnement, les visiteurs auront une vue imprenable sur Montréal. Le projet prend forme rapidement. D'ailleurs, le conseil d'arrondissement de Verdun en a approuvé le principe lors de son assemblée mensuelle le 3 avril dernier. Certes, il reste plusieurs étapes à franchir, mais le chef-cuisinier Antoine Richard, qui a élaboré le concept, se dit très encouragé par l'accueil enthousiaste des élus et des responsables de l'urbanisme de Verdun. Mettre en valeur ce site devenu sinistre au fil des années fait l'unanimité, à plus forte raison lorsqu'on sait que le promoteur complétera sans problème le montage financier de plus de un million de dollars. Dans quelques mois, le stationnement de la rue Ethel verra donc sa vocation s'enrichir d'un toit-terrasse accessible au public. C'est une belle vitrine pour la rue Wellington reliée directement au stationnement de la rue Ethel et par conséquent au futur complexe. Ancien propriétaire du restaurant La Petite Table et ex-directeur général de la SDC-Wellington, Antoine Richard poursuit actuellement sa carrière de chef-cuisinier en tant que copropriétaire de la division traiteur du restaurant Simple et Chic. Une autorité dans l'art de bien manger Entre la préparation de deux buffets où ses clients "sont traités aux petits oignons", Antoine Richard travaille d'arrache-pied à son projet porté par la notoriété de Françoise Kayler, critique culinaire de La Presse pendant de nombreuses années, maintenant à la retraite. Antoine explique que Mme Kayler était venue à son restaurant, et qu'elle avait publié un texte particulièrement élogieux sur "La Petite Table". C'était en 2003. Plus tard en 2004, Antoine Richard se voit offrir la possibilité de publier un livre de recettes par un éditeur spécialisé de L'Île-des-Sœurs, Richard Hamel de Communiplex. Le réputé chef compile ainsi ses plus belles trouvailles culinaires et il contacte Françoise Kayler qui accepte de préfacer l'ouvrage. La collaboration du jeune chef et de la doyenne des critiques culinaires se poursuit donc avec le projet appelé "L'Espace Françoise Kayler", qui comprend une librairie consacrée aux publications se rapportant à la cuisine d'ici et d'ailleurs, une bibliothèque réunissant des œuvres de la collection de la chroniqueuse et un lieu de location de certains équipements de cuisine. Promotion des produits du terroir Antoine Richard a expliqué au Messager qu'il privilégiait une cuisine authentique axée sur les produits du terroir pour le restaurant bistro et la boutique intégrés au projet. Le projet fera une large place à la promotion des produits d'ici et le gîte touristique qui comptera quatre chambres, permettra à des producteurs agricoles de passage à Montréal de rencontrer des grossistes en alimentation en séjournant ici à Verdun. M. Richard a rappelé que son projet répondait à la fois à l'intérêt public de revitalisation qu'à l'intérêt privé compte tenu du potentiel commercial et touristique. Qu'on pense au gîte, où les visiteurs n'auront même pas à prendre une voiture pour se rendre au centre-ville grâce au métro voisin. La présence de plus de 300 places de stationnement sous ce nouveau complexe évitera le débordement de voitures dans les rues avoisinantes. En outre, l'aménagement d'un toit vert ajouté à la volonté d'embellir le site sont autant de bonnes nouvelles pour les Verdunois. Au fil des semaines Le Messager suivra de près le dossier et présentera en primeur les croquis et maquettes en préparation que les architectes du projet nous fourniront.
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