Aller au contenu
publicité

loulou123

Membre
  • Compteur de contenus

    1 012
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par loulou123

  1. (29/04/2007)La Ville de Montréal investira 100 millions de dollars dans la réfection de ses infrastructures routières cette année. Quatre-vingt-dix pour cent de cette somme sera consacrée à la réfection de portions d'artères importantes, comme le boulevard Queen Mary, près de l'oratoire Saint-Joseph, et le boulevard Angrignon. Le maire Gérald Tremblay demande aux Montréalais d'emprunter autant que possible les transports en commun et le réseau cyclable, puisque de nombreux chantiers routiers perturberont le trafic dans la métropole cet été. En tout, 72 chantiers de réfection seront aménagés. Les 100 M$ injectés s'ajoutent aux 40 M$ déjà consentis cette année par les 19 arrondissements dans la réfection de leurs rues locales. Dix millions de dollars seront par ailleurs consacrés à la réparation des nids-de-poule sur tout le réseau.
  2. (28 avril 2007 )L’arrondissement de Rosement plantera 350 arbres de rues d’ici la fin de l’année sur l’ensemble du territoire. Entre autres, sur la rue Beaubien, 49 arbres seront plantés entre la rue Saint-Denis et le boulevard Saint-Laurent. Ce qui complétera le réaménagement de cette artère. Reverdir les parcs de l’arrondissement Le programme horticole prévoit la plantation d’une cinquantaine d’arbres au parc Père-Marquette. En plus des 50 arbres ajoutés au parc Lafond, 31 arbres seront plantés au parc Molson. Par ailleurs, 39 arbres et 1000 arbustes et plantes vivaces seront plantés dans les parcs Cité-Jardin, Mozart, du Pélican et Sainte-Bernadette. Le programme prévoit aussi la plantation de 40 000 fleurs annuelles. Ces fleurs se retrouveront principalement dans les plates-bandes décoratives des parcs et des artères commerciales. L’arrondissement distribuera en plus 46 000 fleurs aux citoyens, le 26 mai, dans le cadre du volet embellissement de sa campagne de propreté. Programme d'élagage bonifié Cette année l'arrondissement investira 350 000 $ dans son programme d’élagage. Par ce programme, on vise à maintenir la qualité du domaine végétal public. En 2006, on a ainsi répondu à 800 appels d’urgence, ainsi que l’élagage de plus de 1600 arbres.
  3. J ai pris aussi quelque photos de l art dans les nouvelles stations .
  4. Les citoyens de Laval, et aussi ceux de Montréal, ont maintenant accès à trois nouvelles stations. Le service est gratuit pendant toute la fin de semaine pour souligner l'événement ,donc j ai décider d aller et prendre quelaue photos:D .
  5. Le prolongement du métro vers Laval devrait augmenter le nombre d’utilisateurs du transport en commun. De combien? Les paris sont ouverts. Selon l’Agence de transport métropolitain, 3000 personnes de plus choisiront de prendre le métro plutôt que la voiture pour se rendre au travail tous les jours. Ce n’est pas beaucoup pour un investissement de 800 millions, souligne Gérald Beaudet, directeur de l’Institut d’urbanisme de l’Université de Montréal. Le nombre de nouveaux adeptes du transport en commun pourrait même être encore moins élevé que ces prévisions, selon lui. Si la voie réservée aux autobus qui transportaient les Lavallois vers la station Henri-Bourassa, sur le pont Viau, est retournée aux automobilistes, la hausse du nombre d’usagers des nouvelles stations pourrait être plus faible. Le problème, selon lui, c’est que l’impact des investissements dans le transport en commun est toujours réduit, et même annulé, par d’autres investissements dans les ponts et les autoroutes qui favorisent le transport privé. «Si on veut vraiment développer le transport en commun, il faut aussi rendre le transport privé plus coûteux en argent et en temps», explique l’urbaniste lors d’un entretien avec La Presse Affaires. Or, le Québec multiplie les décisions contradictoires. Le prolongement du métro de Laval n’empêchera pas le gouvernement d’investir des dizaines de millions de dollars dans la construction d’un autre pont entre Montréal et Laval. Le nouveau pont facilitera la vie des automobilistes qui tiennent à aller travailler en voiture, le plus souvent tout seul dedans, illustre Gérald Beaudet. De telles décision sont très coûteuses pour une société comme le Québec, qui n’a pas beaucoup de moyens pour investir dans ses infrastructures. «Quand on n’est pas très riche, c’est encore plus important de prendre les bonnes décisions», dit l’urbaniste. Comparativement au transport en commun, la voiture privée ne cesse de prendre du gallon. «L’imaginaire se renforce de plus en plus avec la publicité, explique-t-il. L’auto est devenue le refuge ultime de l’individualisme, où il est possible de téléphoner, d’écouter la radio et la télévision». À côté, le transport en commun avec la foule, les attentes et les transferts, fait de moins en moins le poids. Le gouvernement du Québec s’est donné comme objectif d’augmenter l’achalandage du transport en commun de 8% d’ici juin 2012. Québec veut ainsi réduire la congestion routière et diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Le trou de beigne Le prolongement des réseaux de transport en commun vers des banlieues de plus en plus éloignées peut encourager l’étalement urbain et vider la ville-centre de ses habitants. C’est l’effet «trou de beigne», expérimenté par plusieurs métropoles américaines. Selon Gérald Beaudet, c’est un danger qui guette aussi Montréal. La ville a réussi jusqu’à maintenant à conserver des résidents de toutes les classes sociales. Il n’y a pas seulement des riches et des pauvres dans la métropole, mais aussi une classe moyenne qui habite des quartiers dynamiques comme le Plateau, Rosemont, Villeray ou Verdun. Mais pour combien de temps encore? «Il n’y a pas que le transport qui encourage l’étalement urbain. À chaque fois qu’on ferme un école ou un hôpital de quartier pour en ouvrir d’autre en banlieues, on ouvre de nouveaux fronts d’urbanisation». Berthierville est un exemple de nouveau front d’urbanisation. «Depuis l’ouverture de l’hôpital Le Gardeur, à Repentigny, ceux qui y travaillent peuvent aussi bien s’installer à Berthier, où les maisons sont moins chères». Pour encourager l’utilisation du transport en commun, l’urbaniste estime qu’il faut d’abord avoir une approche unique. «Il n’y a aucune raison d’avoir des sociétés de transport autonomes comme à Laval et à Longueuil», dit-il. Il faut ensuite rendre plus contraignante l’utilisation de la voiture pour se rendre au travail, ce qui veut dire encourager le covoiturage avec des voies réservées et taxer le stationnement. On n’en sors pas, répète Gérald Beaudet. «Si on ne contraint pas le transport privé, les investissements dans le transport en commun demeureront sans résultat».
  6. La Ville de Montréal participera au tiers du financement public total du projet du Centre culturel NCC et investira un montant maximum de 500 000 $ dès 2007 afin de procéder au démarrage du projet MONTREAL, le 27 avril - La Ville de Montréal est fière de participer au financement du projet de restauration, de rénovation et de redéploiement du Centre culturel NCC/Charles H. Este, situé dans l'arrondissement du Sud-Ouest. Le comité exécutif de la Ville de Montréal s'est engagé à investir le tiers du financement public nécessaire à la réalisation de ce projet, en fonction de la participation financière des gouvernements du Québec et du Canada. La Ville injectera un montant maximal de 500 000 $ en 2007. Selon un protocole à établir conjointement avec l'organisme, cette somme sera dédiée aux travaux de restauration, de rénovation et de redéploiement du centre. "L'administration de la Ville de Montréal soutient ce projet depuis plusieurs années. Il est significatif pour l'histoire de la population noire anglophone montréalaise. Le projet de restauration, de rénovation et de redéploiement se réalisera d'ici la fin 2008, et les nombreuses consultations réalisées au préalable permettent d'affirmer que ce sera un projet rassembleur et grandement attendu par la communauté", a déclaré le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay. "Nous sommes heureux de constater que les nombreux efforts consentis par les membres du conseil d'administration du Centre culturel NCC/Charles H. Este, par l'arrondissement du Sud-Ouest et par la Ville de Montréal, et ce, depuis plusieurs années, reçoivent l'appui du comité exécutif", a ajouté la mairesse de l'arrondissement du Sud-Ouest, madame Jacqueline Montpetit. La petite histoire d'un grand projet A l'origine une église méthodiste, l'édifice hébergeant le Centre culturel NCC/Charles H. Este, anciennement le Centre communautaire des Noirs, a été construit au début des années 1900 dans le quartier de la petite Bourgogne. Le Centre culturel NCC, une organisation privée à but non lucratif (OBNL), a été fondée en 1927 afin d'améliorer les conditions sociales et économiques des gens de la communauté noire de Montréal. Avec le temps, cet organisme s'est orienté vers le soutien des activités s'adressant aux familles et aux jeunes. Depuis quelques années, l'immeuble centenaire nécessite des réparations majeures. Le NCC, avec le soutien de la Ville, a donc cherché à développer un projet permettant de rénover et de restaurer le bâtiment, tout en offrant à la population noire de Montréal de nouveaux services. En 2003, avec l'aide de l'arrondissement du Sud-Ouest et du Service de développement culturel, de la qualité du milieu de vie et de diversité ethnoculturelle de la Ville de Montréal, le nouveau conseil d'administration du Centre culturel NCC/Charles H. Este a lancé une vaste consultation afin d'élaborer un projet viable et lié très étroitement à la population multiethnique de ce quartier, et tout particulièrement, à la communauté noire anglophone. La conclusion de cette consultation a permis de définir un projet original. Celui-ci comprendra des logements, une salle multifonctionnelle, un centre de référence sur l'histoire des Noirs de Montréal, géré par un OBNL d'employabilité, ainsi que des salles d'activités et de réunions. Ce centre sera ouvert aux membres de la communauté noire, à la population de l'arrondissement du Sud-Ouest ainsi qu'aux organismes à but non lucratif. Concert bénéfice Le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay, la mairesse de l'arrondissement du Sud-Ouest, madame Jacqueline Montpetit, en présence du chanteur Oliver Jones et de distingués invités, vont participer au concert bénéfice du Centre culturel NCC/Charles H. Este, donné à l'Eglise St-James, le dimanche 29 avril à 19h.
  7. 27 avril 2007 Près d’une soixantaine de peupliers seront plantés de manière à ceinturer le Champ-de-Mars, le parc adjacent à l’hôtel de ville de Montréal. Le président du conseil municipal, Marcel Parent, dit vouloir redonner au Champ-de-Mars son cachet d’antan tout en mettant en valeur l’hôtel de ville et, par extension, le Vieux-Montréal. Le parc revampé constituera un « pont » entre l’histoire et la modernité de la métropole. Rappelons que le Champ-de-Mars a perdu sa vocation originale lorsqu’il a été transformé en terrain de stationnement au début du 20e siècle. L’aménagement du parc, tel qu’on le connaît aujourd’hui, s’est fait en 1992 à l’occasion du 350e anniversaire de Montréal. La Ville de Montréal a alors voulu recréer le Champ-de-Mars conformément au plan d’aménagement d’origine. Montréal avait procédé, il y a 15 ans, à la plantation de chênes pyramidaux anglais. Cependant, ces arbres ont dépéri en raison de leur exposition aux grands vents et au froid, croit-on. Le faîte des arbres ayant gelé, il a fallu retirer ces arbres au début de 2006. «Je me réjouis de la tenue des travaux de plantation d’arbres qui ont cours au Champ-de-Mars. Par cette action, la Ville de Montréal contribue à mettre en valeur ce site d’une grande importance patrimoniale et historique », a déclaré Marcel Parent. Perspective historique Afin de remplacer les chênes anglais, la Ville a choisi une essence plus robuste, mais qui a des caractéristiques semblables. Ce sont donc 56 peupliers fastigiés qui prendront la relève afin de redonner à ce parc ses allures d’antan. Les peupliers ont comme particularité de projeter leurs ramures de façon très étroite. En fait, ils respectent le design que la Ville a voulu donner à ce parc à l’époque. De par sa forme élancée, le peuplier fastigié sert à faire des alignements d’arbres.
  8. Le Journal de Montréal27/04/2007 L'inauguration du métro à Laval, hier, a permis de découvrir les oeuvres d'art québécoises intégrées aux trois nouvelles stations et dans les nouveaux espaces de la station Henri-Bourassa, au coût de 700 000$. Ces oeuvres d'art ont été réalisées dans le cadre du Programme d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments publics du gouvernement du Québec. Cette mesure consiste à réserver une partie du budget de construction, environ 1 %, pour la réalisation d'une oeuvre d'art conçue spécifiquement pour les lieux. Dans le cas du métro à Laval, le coût de construction d'une station inclut l'architecture, la structure, la mécanique et l'électricité. Sous l'oeil du ministère L'application du programme est assurée par le ministère de la Culture et des Communications. Pour le métro à Laval, un comité a sélectionné un artiste par station à la suite d'un concours national. Chaque station se distingue donc par un concept, un design et une signature artistique différents. La modernité des nouvelles stations, encore brillantes comme des sous neufs, ne passe pas inaperçue lorsqu'on s'engouffre sous terre pour se diriger sur les quais.
  9. Pour la derniére photo il ya un gros trous qui forme un tunelle , je ne suis pas sur mais je pense que c est le tunelle qui va lui faire lier a la station du métro.
  10. (Newsmanagers.com) - Le gestionnaire allemand KanAm a acquis pour environ 45 millions de dollars canadiens deux immeubles d'exploitation appartenant au groupe Quebecor situés l'un à Aurora/Toronto et l'autre à Montreal. Ces actifs sont affectés au US-grundinvest Fonds, le seul fonds immobilier allemand offert au public dont les parts soient libellées en dollars américains. Son encours se situe actuellement à 583,5 millions de dollars.
  11. Cette tour allait dépasser la montagne ,si elle aurait été réaliser ca se peut qu on aura pas de limite maintenant.
  12. Le 10 décembre 1964, le maire Jean Drapeau dévoile un projet de tour pour Expo 67. Érigée à l'extrémité est de l'île Sainte-Hélène et d'une hauteur de 325 m (1 066 pi), cette tour, réalisée conjointement par les villes de Montréal et de Paris, doit commémorer le 325e anniversaire de la fondation de Montréal. Faute de ressources financières, le projet est abandonné l'année suivante. Le stade olympique dans lequel jouent les Expos aujourd'hui, ressemble étrangement à cette tour...
  13. Vidéos Vue aérienne en trois dimensions du nouveau havre de Montréal http://ram.canadacast.ca/asxgen/transport/2007-04-20/Concordia_Low-1.wmv Vue d'ensemble des réalisations de la Société immobilière du Canada et du nouveau havre de Montréal http://ram.canadacast.ca/asxgen/transport/2007-04-20/CLC_montage_11.wmv (POUR VISIALUSER LES CILPS VOUS AVEZ BESOIN DE Lecteur Windows Media player)
  14. 25 avril 2007 Scène un prise deux. L’arrondissement de Rosement poursuit sa lutte aux vieux canards à spring et structures de jeu moches. On investira 2 M$ dans quatre parcs de Rosemont–La Petite-Patrie. Comme l'année dernière, le maire André Lavallée a convié le Journal de Rosemont–Petite-Patrie à une tournée dans les parcs du coin, ceux qui feront l'objet de travaux. Cette fois, on vise essentiellement les aires de jeu destinées aux enfants de 5 à 12 ans. Tour du proprio On grimpe à bord de la minifourgonnette de l’arrondissement. Jacques Savard, directeur des travaux publics, prend le volant. Premier arrêt, le parc Beaubien – rue Beaubien, entre la 6e Avenue et la 9e Avenue. Les modules de bois peints en brun, d’une autre époque, feront bientôt place à de rutilants modules. Là, c’est surtout la petite pataugeoire, dans le décor rosemontois depuis les années 1950, et le Chalet des baigneurs qui seront retapés. La pataugeoire conservera la même superficie mais accueillera une nouvelle structure avec des jets d’eau variés. Le petit bassin sera muni d’un système de filtration afin d'assurer la salubrité de l'eau. Le contour de béton et d’asphalte fera place à un nouveau revêtement. L’endroit sera aussi clôturé. Fini les baignades improvisées pour toutou, espère le maire de Rosemont–La Petite-Patrie. Le parc Beaubien se taille la part du lion de toute cette seconde phase du plan de revitalisation des aires de jeu de l’arrondissement: 700 000 $ sont prévus au budget. Les travaux débuteront à la fin de la saison estivale. Parc de la Louisianne On remonte. Direction: le parc de la Louisiane – 31e Avenue et Beabien où l'aire de jeu pour les enfants de 5 à 12 ans sera réaménagée. André Lavallée profite du trajet pour parler du parc Jean-et-Éva-Tremblay, situé dans le secteur Angus, près de la rue Rachel. L’endroit s'est développé il y a une quinzaine d’années, faisant grimper du coup le nombre de bouts de chou dans le secteur. D'où la nécessité de remplacer les structures fatiguées, juge-t-on. Soccer au parc Père-Marquette Le maire Lavallée espère pouvoir refaire entièrement le terrain de soccer du parc Père-Marquette, travaux évalués à 500 000 $. L’arrondissement complète actuellement le montage financier et croise les doigts afin de dégotter, d'ici la fin de l’année, les fonds nécessaires. Plus qu'un vœu pieux, cette réfection est inscrite au plan triennal de l'arrondissement, dans sa planification pour 2007-2009. Des parcs et des sous Les investissements dans les parcs s'inscrivent en droite ligne avec le plan familial des élus locaux qui souhaitent faire de l’arrondissement un petit nid douillet pour tous. Pour que le financement soit à la hauteur des attentes, André Lavallée évalue la possibilité d’élargir le spectre des sources de financement. Pourrait-on courtiser le secteur privé ou compter sur des projets d’entreprises visant l'aide à la communauté, par exemple, afin de les mettre à contribution dans nos parcs? La formule n’est pas définie, mais oui, on réfléchit à différentes stratégies, expose le maire. «Montréal et le gouvernement du Québec contribuent financièrement aux efforts de l'arrondissement. Nous envisageons aussi des partenariats [privés] mais avec des règles très claires», dit-il. Par exemple, pas de privilège pour un promoteur qui déciderait d’investir dans du mobilier urbain, signale André Lavallée. Plantation d'arbres Détour par le parc Lafond. Les petits rigolos qui coupent à travers le parc avec leur voiture, sur le sentier piéton aménagé dans le prolongement de la 15e Avenue, frapperont un mur... de bois. Une cinquantaine d'arbres seront plantés. Avant le terminus, la fourgonnette passe devant la piscine du parc du Pélican, à l'angle de Masson et de la 1re Avenue. Un véritable champ de bataille où s'active encore l'artillerie lourde. L'été dernier, on y a entrepris des travaux de l'ordre de 1,7 M$. «On est dans les temps, on respecte le budget. Les travaux intérieurs et extérieurs ont suivi leur cours cet hiver et la piscine ouvrira comme prévu pour la saison», promet Jacques Savard. L'année dernière, l'arrondissement a investi 8 M$ dans huit de ses parcs. On a principalement rajeuni les aires de jeu pour les enfants de 2 à 5 ans, injecté 3 M$ pour le nouveau parc Jean-Duceppe – sur le site du Technopôle Angus – et investi 2,1 M$ dans le parc Étienne-Desmarteau.
  15. 25 avril 2007 C’est avec une satisfaction bien évidente que le maire Claude Trudel et plusieurs de ses collègues du conseil ont procédé, mardi dernier, à la présentation officielle du complexe Le Sommet de la Rive. Cette résidence pour personnes retraitées fera partie de la famille d’habitations Le groupe Résidences Prestige, géré par Maxera. Le maire de l’arrondissement a tenu à rappeler que ce projet concrétise un engagement pris lors de la dernière campagne électorale et répond aux demandes maintes fois répétées de résidants de Verdun. Lors de la construction du boulevard Gaétan-Laberge, inauguré en septembre 2005, une aire de développement résidentiel avait été dégagée à proximité de cette artère urbaine. C’est donc un emplacement de 6918 mètres carrés qui a été réservé aux fins de cette construction et, après étude des propositions reçues, l’arrondissement a cédé cette propriété au groupe Maxera/Vinac pour la somme de 1 100 000$. En contrepartie, le promoteur s’est engagé à y ériger une résidence répondant aux normes de l’arrondissement et aux besoins des aînés de cette communauté. Dans les précisions qu’il a apportées, le directeur de l’Aménagement urbain, Dany Tremblay a indiqué que ce projet s’inscrivait dans le plan de développement de ce secteur. Dans ce secteur, on retrouvera, au terme des projets, une mixité de logements à prix abordables, de condos et d’appartements pour personnes retraitées. C’est au 3501, boulevard Gaétan-Laberge que cet imposant édifice de dix étages sera construit. L’emplacement de ce complexe de 180 unités est particulièrement bien adapté aux attentes des personnes du troisième âge. Situé à deux pas de l’hôpital de Verdun, il offrira à ses résidants la proximité du fleuve, d’un vaste parc, des pistes cyclables et pédestres et d’une station de métro. Les occupants de ces appartements auront le choix entre une vue sur le fleuve ou une vue sur le centre-ville de Montréal. L’édifice de 10 étages offrira une insonorisation supérieure et un accès contrôlé avec surveillance vidéo. Destiné aux personnes autonomes et semi-autonomes, on pourra y bénéficier d’un service d’infirmière disponible 24 heures sur 24 et d’espaces dédiés, comme une piscine intérieure, un spa et bain tourbillon, une terrasse sur le toit avec vue panoramique, etc. Les résidants du complexe pourront bénéficier d’un ou plusieurs repas par jour inclus dans le forfait qu’ils choisiront. Les appartements de 1-1/2 à 4-1/2 pièces seront pourvus d’une cuisinière et d’un réfrigérateur et les tarifs incluent le chauffage, l’éclairage et la climatisation. Lors de la conférence de presse, M. Armando Pertugia, directeur du projet, a expliqué que cette nouvelle construction porterait à près de 900, le nombre des appartements gérés par le Groupe. La qualité de ses résidences lui a mérité le prix Rose d’Or 2001 et le Cœur d’or 2001 et 2004 de la Fédération de l’âge d’or du Québec (FADOQ). Les travaux de construction doivent débuter au début du mois d’août 2007 et les locataires du complexe pourront occuper leurs appartements en 2008. Le bureau de location est présentement situé au 3550, rue Wellington et un appartement-témoin sera bientôt aménagé dans le nouvel édifice, au 3501, boulevard Gaétan-Laberge. Cette maquette permet de bien visualiser l’apparence du complexe Le Sommet de la Rive.
  16. 26/04/2007 le métro de Laval a été officiellement inauguré jeudi matin. Une cérémonie a eu lieu un peu avant 10h à la station Montmorency, nouvelle station terminus de la ligne orange.Les portes des stations Montmorency, De la Concorde et Cartier seront ouvertes au public samedi dès 5h30. Des activités d’animation à l’extérieur des trois stations et des visites guidées seront disponibles au courant de la fin de semaine. Pour souligner l’événement, le réseau du métro et des autobus de la Société des transports de Montréal sera gratuit samedi et dimanche.
  17. Journal de Montréal 26/04/2007 La Ville de Montréal, qui a empoché des revenus records avec les parcomètres l'an dernier, n'est pas du tout gênée d'avoir pigé dans les poches des automobilistes. Elle croit même que c'est bon pour le commerce. «La Ville ne peut pas uniquement être financée par les taxes foncières», lance le conseiller municipal Marvin Rotrand, vice-président de la Société de transport de Montréal. «On a coupé tout le gras. Maintenant, on doit soit couper les services ou augmenter les taxes», ajoute-t-il. Légitime Le Journal de Montréal révélait en une hier que les revenus de parcomètres étaient en hausse de 59 % dans la métropole de 2005 à 2006. Stationnement de Montréal a en effet versé des redevances de 25,1 M$ à la Ville en 2006, soit 9,3 M$ de plus qu'en 2005. «C'est légitime de faire payer les automobilistes pour l'utilisation du domaine public», dit M. Rotrand. «Ce revenu représente une très faible portion du budget global de fonctionnement de la Ville», ajoute-il. Favoriser le commerce En choisissant d'appliquer des tarifs horaires plus élevés dans certains secteurs, la Ville de Montréal dit vouloir augmenter la fréquentation des artères commerciales. Plusieurs petits commerçants s'opposent toutefois aux hausses de tarifs, prétextant qu'elles affectent directement leur clientèle. «Je comprends qu'ils ne soient pas contents, mais leur argument ne tient pas. Si on favorise la rotation des automobiles sur les artères commerciales, il devient plus facile de se stationner, donc ça crée de meilleures occasions d'affaires», estime M. Rotrand. Selon une étude de la Ville, à peine 20 % des personnes qui se rendent au centre-ville de Montréal le font en voiture. Mais pour savoir d'où viennent les utilisateurs de stationnement dans la rue, il faudra attendre encore un peu, une première enquête étant actuellement en cours.
×
×
  • Créer...