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  1. Plus de trois milliards $ à l’abri des taxes municipales Jean-Louis Fortin 28/07/2010 Pendant qu’on prépare les contribuables à de nouvelles hausses de taxes foncières pour 2011, des milliers de propriétaires d’immeubles ne paient pas un sou en taxes municipales et scolaires, grâce à la loi provinciale et à des ententes avec les villes. En 2010, à Montréal, Laval et Longueuil, la valeur combinée des immeubles exemptés atteint 3,3 milliards $, révèle une enquête menée par 24H. Au total, les trois villes estiment qu’elles pourraient récolter presque 100 millions $ en revenus supplémentaires chaque année, si ces immeubles étaient taxés. Lieux de culte de toutes les sectes et religions, terrains de golf publics, théâtres, marinas ; la liste des organisations qui échappent aux charges foncières s’allonge même à un rythme soutenu, avons-nous constaté. Ces chiffres excluent plusieurs catégories d’immeubles exemptés dont les édifices gouvernementaux, les hôpitaux et les écoles publiques, qui paient des compensations fixes aux villes, de même que les bâtiments municipaux et les terrains sur lesquels se trouvent des voies de circulation. Bien que controversés, ces congés de taxes sont parfaitement légaux, puisqu’ils s’appuient sur la Loi sur la Fiscalité municipale (LFM). Duplex et triplex Ainsi, sur le territoire de la ville de Montréal, 1167 propriétés classées comme « lieu de culte » ne paient pas de taxes foncières en vertu de l’article 204 de la LFM. Parmi ces immeubles religieux d’une valeur totale de presque 1,9 milliard $, on retrouve des lieux de rassemblement tels des églises et des mosquées, mais aussi de nombreux duplex et triplex dont certains servent de presbytères. Il faut y ajouter 174 « cimetières », des terrains dont l’évaluation combinée dépasse le demi-milliard $. On compte aussi huit terrains de golf publics d’une valeur totale de presque 130 millions $, exemptés en vertu de l’article 211 de la même loi, qui ne paient pour la plupart que la valeur des taxes reliée aux bâtiments. C’est le cas du Club de golf de l’Île de Montréal, dont la photo était utilisée erronément, et qui paie des taxes foncières sur les bâtiments. Le terrain, dont il n’est pas propriétaire, appartient à la Ville. La liste des propriétés exemptées inclut également le Royal St-Lawrence Yacht Club, une marina de 3,6 millions $ aux abords du lac Saint-Louis, à Dorval, fondée en 1888. L’administration Tremblay, aux prises avec un manque à gagner de 400 millions $ pour boucler son budget 2011, pourrait-elle remettre en question la pertinence de ces congés de taxes ? Réponse sans équivoque dans un courriel en provenance du cabinet du maire: « Non. Le maire Tremblay a déjà dit que la Ville ne réévaluera pas la question des exemptions ». Manque à gagner relié aux propriétés non imposées (évalué par les municipalités) Montréal : 64 millions $ Longueuil : 21,7 millions $ Laval : 11 millions $ De plus en plus de congés de taxes Les registres du service d’évaluation foncière de Montréal révèlent que la valeur totale des exemptions a presque triplé en trois ans, uniquement en ce qui concerne les organismes sans but lucratif, par exemple la Société canadienne du Cancer et la Mission Old Brewery. Ainsi, dans le rôle d’évaluation 2004, 306 organismes à but non lucratif, dont les immeubles valaient au total 296 millions $, étaient exemptés de taxes municipales et scolaires. Trois ans plus tard, en 2007, ce chiffre avait grimpé à 530 organismes, dont les immeubles valaient 880 millions $. Parmi les ajouts à la liste, on retrouve le Festival international de Jazz de Montréal, propriétaire d’un bâtiment sur la rue Sainte-Catherine Ouest qui vaut 9,5 millions $. Il y a aussi le Cirque Éloize, dont le siège social de 2,4 millions $ est situé dans le Vieux-Montréal , ainsi que l’immense Cité des arts du Cirque (TOHU), rue Jarry, dont la valeur foncière est estimée à 16 millions $. L’ajout le plus important est celui du Stade Uniprix, appartenant à Tennis Canada, dont les bâtiments et terrains ont une évaluation combinée de 33,7 millions $. L’exemption de Tennis Canada, une organisation sans but lucratif, découle d’une entente spéciale avec la Ville, qui exige notamment que 45% des équipements sur le site soient utilisés par le grand public. « Complètement absurde » Claire Joly, directrice générale de la Ligue des contribuables du Québec, est estomaquée de la valeur totale des exemptions de taxes municipales. « Beaucoup de contribuables vont sursauter en voyant ces chiffres, surtout que cette année, après les élections de novembre dernier, il y a eu des hausses de taxes assez généralisées dans la plupart des municipalités », déplore-t-elle en entrevue. « C’est complètement absurde d’exempter les terrains de golf publics, ils font des profits », dénonce-t-elle entre autres. La loi provinciale qui accorde un congé fiscal aux terrains de golf a été adoptée en 1963. Depuis 1980, la nouvelle Loi sur la fiscalité municipale (LFM) limite cette mesure aux terrains publics. « Les objectifs visés par cette disposition étaient de protéger les terrains de golf contre la taxation abusive de certaines petites municipalités et de protéger et de favoriser l’existence d’espaces verts naturels en milieu urbain », explique Caroline Saint-Pierre, porte-parole du ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/07/20100728-162408.html
  2. jeudi 17 mai 2007 Un an après l'abandon du projet de déménagement du casino, le quartier Pointe-Saint-Charles de Montréal fait l'objet de nouvelles propositions de développement. Le propriétaire des anciens terrains du Canadien National (CN) veut y aménager de 800 à 1000 nouveaux logements, en plus de relancer les ateliers d'entretien de trains dans les anciens hangars ferroviaires, selon les informations obtenues par Le Devoir.
  3. Dans le cadre de la discussion sur le réaménagement du Square Viger, j'ai proposé un grand parcours piétonnier dont voici le texte. J'ai finalement décidé de le publier dans la section Vision, pour le mettre plus en évidence et aussi pour ne pas nuire, par une longue digression, au fil du square lui-même. J'emprunte en même temps la vidéo publiée par ChrisDVD parce qu'elle est en partie ma source d'inspiration. Le projet de NIPPaysage Je retiens l'élément principal de cette vidéo, l'axe central qui ralliera les 4 segments du Square-Viger. Cet axe que j'espérais voir apparaitre sur les plans, me confirme que l'on pourrait à terme le prolonger de part et d'autre pour rejoindre le Palais des Congrès et le pont Jacques-Cartier via Lagauchetière et les terrains de la SRC. Et même au-delà, en se connectant éventuellement avec la promenade centrale du nouveau boulevard Robert-Bourrassa à l'ouest et un axe à poursuivre plus à l'est dans Ste-Marie. Le tout étant complété par une boucle de retour tout le long des berges du St-Laurent au Vieux-Port, le canal Lachine et finalement à nouveau la promenade R-B. Un merveilleux tour d'horizon piétonnier de quelques kilomètres, qui traverserait en les reliant: le Quartier International, le Quartier Chinois, le Quartier de la Santé, le Quartier des Ondes et le Quartier Ste-Marie. Retour via les berges du Port, le Faubourg Québec, le Vieux-Montréal et le Vieux Port. Donnant ensuite accès selon la direction choisie au Quartier des Médias, Griffintown et le centre-ville. Ce parcours urbain deviendrait en même temps un abrégé de Montréal, supporté par une application mobile conçue spécifiquement pour le trajet. On développerait ainsi un véritable circuit piétonnier central, de jour comme de nuit, complètement intégré et unique en son genre. Le Montréal d'hier, d'aujourd'hui et de demain, accessible à tous (montréalais et visiteurs), dans une promenade dynamique qui nous en mettrait plein la vue. A lui seul ce sentier pédestre deviendrait une attraction touristique ultra populaire, tout en nous invitant aux autres promenades urbaines, dont celle qui montera jusqu'au Mont-Royal. Difficile de faire mieux autant sur le plan urbanistique, qu'au niveau du développement durable. Même la valeur foncière des secteurs riverains augmenterait substantiellement par la proximité de ce superbe itinéraire structurellement organisé. On ne pourrait faire mieux non plus pour encourager la marche active et les activités de santé. Le tout couplé d'animations diverses et de places publiques invitantes sur chaque segment de cette exceptionnelle randonnée. Voilà en résumé mon rêve le plus cher pour Montréal. Ne suffit que d'un peu plus d'audace, car tout est potentiellement possible si on se donne la peine de construire des liens pratiques et esthétiques pour les chainons manquants. Pour le reste cette voie royale et les terrains concernés seront prochainement en chantier sur presque tout le parcours est-ouest. Ne suffira que de coordonner l'ensemble et travailler spécifiquement la grille de rues pour obtenir une infrastructure de classe mondiale, dont nous pourrons tous (montréalais et québécois) vraiment être fiers.
  4. Les terrains de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est sont officiellement en vente Huit millions de pieds carrés sont désormais disponibles pour le développement dans L’Est de Montréal. La pétrolière Shell Canada, propriétaire de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est, a annoncé, ce mardi, la mise en vente d’une partie de ses terrains à usage industriel ou commercial. Une manne d’investissement et de développement, selon les acteurs économiques du secteur. Exploitables dès 2017, ces terrains d’une superficie équivalente à 105 terrains de soccer sont situés au 10501 de la rue Sherbrooke sur les territoires de la Ville de Montréal-Est et de l’arrondissement d’Anjou. Répartie en 4 zones, dont trois au nord, le long de l’Autoroute 40 et une au sud, la vaste étendue sera accessible à partir de la rue Sherbrooke. Des démarches sont entamées avec le courtier immobilier Cushman & Wakefield afin de trouver un acquéreur, qui en tant que promoteur ou développeur immobilier, pourra donner une deuxième vocation au site. « Un terrain de cette ampleur ne se voit pas tous les jours, explique Erik Langburt, vice-président de Cushman & Wakefield. Ces 8 millions de pieds carrés, près du centre-ville et des infrastructures de transport vont répondre au grand besoin d’espaces pour le développement commercial ou industriel majeur sur l’île de Montréal », ajoute-t-il. Shell et Cushman & Wakefield n’ont pas souhaité révéler l’estimation du prix du terrain, laissant ainsi au marché le soin de faire leur propre évaluation des terrains. Depuis la mise en marché des terrains ce mardi, Erik Langburt semble déjà crouler sous les propositions. Plusieurs critères ― que ce dernier n’a pas voulu révéler ― permettront de sélectionner les promoteurs. Il a toutefois affirmé qu’ils étaient « ouverts à tous types de développement; même à un centre d’achats ». Un élan pour l’économique durable dans l’Est « On se dit qu’il y a des opportunités qui s’offrent à nous, commente Dimitri Tsingakis, directeur général de l’Association industrielle de l’Est de Montréal (AIEM). Nous souhaitons qu’il y ait une synergie industrielle pour établir des perspectives durables et respectueuses de l’environnement dans notre secteur », soutient-il. Une optique partagée par le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, qui déclare : « Il ne faut pas oublier que le processus de décontamination [des terrains] s’est effectué sur le site, évitant ainsi beaucoup de transport et de GES. Shell dépasse les plus hauts standards exigés dans l’industrie et c’est à leur honneur de respecter leurs engagements envers la communauté. Nous sommes en relation constante depuis le début de mon premier mandat et nous sommes fiers du travail effectué jusqu’à présent. » Le maire de Montréal-Est a également souligné que de « nouvelles entreprises émergentes de calibre mondial » pourront s’implanter générant ainsi de nouveaux emplois et revenus assurant ainsi une « prospérité et une sécurité financière à long terme pour le secteur. » Du côté de la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal, Isabelle Foisy, présidente-directrice générale de l’institution, se réjouit également de « cette grande opportunité ». Des plans et des projets pour les futurs promoteurs sont d’ores et déjà envisagés par la Chambre, selon cette dernière. « Quand la raffinerie a fermé ses portes, c’était un moment difficile, car Shell représentait un employeur de choix. Nous sommes très heureux que Shell ait pu réagir aussi rapidement pour décontaminer ses sols et rendre disponibles ses terrains », s’enthousiasme la présidente. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/980376/les-terrains-de-lancienne-raffinerie-de-montreal-est-sont-officiellement-en-vente/
  5. Je suis passé par là il ya quelques jours et le gros lot en rouge est en démolition. Les deux autres lots encerclés en rouge semblent abandonnés et faisant partie de la même compagnie d'antan... Ces terrains sont immenses et pourraient très bien faire du résidentiel... à suivre. Évidemment si vous avez une idée de ce qui se passe là, n'hésitez pas à commenter le fil.
  6. L'entrepôt qui je crois était loué par la ville situé au 701 Notre-Dame Ouest a été démoli voilà pas si longtemps. Ils débarrassaient encore des débris la semaine dernière. Le terrain appartient tout vraissembablement à Magil Laurentienne, juste en face de la tour de la Bourse Je ne suis pas en mesure de savoir quel développement qu'il y aura à cet endroit. On parle de grands terrains de stationnement en ce moment. Du coup j'aimerais ajouter que le terrain du Bureau en gros non loin de la est d'un gaspillage de "prime real estate" avec le nouveau boulevard qui sera la bientôt. Quelqu'un peu m'éclairer et me pointer vers le fil du suejt sur le forum? (s'il y en a un) ou comment trouver plus d'info sur le sujet?
  7. Le conseil municipal de Saint-Eustache a donné, le lundi 10 juin dernier, son aval à l’offre d’achat de Gestion Benoît Dumoulin (GBD) pour l’acquisition de la partie nord du terrain du Club de golf Deux-Montagnes, en vue d’y développer la portion résidentielle du projet Albatros. Les terrains acquis par GBD au coût de 11,7 millions de dollars couvrent une superficie de 2,2 millions de pieds carrés sur les 6,7 millions que compte actuellement le terrain de golf. À terme, la Ville estime à quelque 200 millions de dollars les investissements privés. Deux jours plus tard, la Ville dévoilait le concept du projet résidentiel, dans un point de presse tenu à la mairie de Saint-Eustache. Positionné au nord du chemin de la Rivière‑Sud, dans la portion où sont notamment situés les bâtiments principaux du club de golf et le stationnement, ce nouveau concept de résidences comportera 700 unités de logement. «Près de 380 000 pieds carrés de terrain seront réservés aux espaces verts, dont 200 000 réservés pour l’aménagement d’une piste cyclable et d’une aire de repos», a indiqué le maire Pierre Charron. «On trouvera dans le projet une mixité d’habitations, soit de l’unifamilial, des maisons en rangée et des condos», a expliqué Éric Desjardins, architecte associé chez DKA Architectes, qui a travaillé de concert avec la Ville pour élaborer les plans. «50 % des stationnements seront intérieurs, soit par des garages privés ou des stationnements intérieurs, a‑t‑il précisé. Les lacs artificiels [du golf] seront conservés.» Les architectes qui ont travaillé sur les plans estiment vouloir recréer un mini Central Park, avec plusieurs éléments communautaires. «La zone tampon sera bonifiée et nous nous sommes limités à un maximum de quatre étages sur tout le site», a ajouté M. Desjardins. Si le design architectural n’a pas encore été fixé, M. Desjardins vise «une architecture contemporaine». Le quartier sera aménagé pour éviter la circulation de transit. Des carrefours giratoires seront aménagés aux intersections les plus achalandées. «Les nombreuses consultations que nous avons menées en lien avec le projet Albatros, nous ont fourni un cadre très rigoureux pour l’implantation d’un plan d’aménagement axé sur le développement durable. Deux projets se sont démarqués lors des négociations, mais c’est la proposition qui répond le mieux à la vision que nous avions, a souligné le maire Charron. Au terme de cette transaction, il nous restera encore 4,5 millions de pieds carrés de terrains industriels à vendre. L’amortissement complet surviendra dès que nous aurons vendu autour de 500 000 pieds carrés de terrains industriels, ce qui ne saurait tarder, la demande étant déjà très forte. Par la suite, la vente des quatre millions de pieds carrés restants générera des profits nets, au bénéfice de la collectivité.» Rappelons que l’ensemble du terrain de golf doit être acheté par la Ville de Saint-Eustache au montant de 13,25 M$. En marge de ce point de presse, M. Charron a tenu à faire le point sur «de fausses informations qui circulent à ce propos», dit‑il, rappelant qu’aucun dézonage agricole n’est nécessaire, le terrain de golf étant déjà zoné «blanc» et «déjà desservi par des services». http://www.leveil.com/Actualites/2013-06-14/article-3277154/Projet-Albatros%3A-Le-volet-residentiel-comportera-700-unites-de-logement/1 http://www.projetalbatros.com/Portals/0/SKIN/PlanAlbatros.jpg
  8. http://journalmetro.com/local/ouest-de-lile/actualites/907385/projet-de-camping-au-cap-saint-jacques/ 24/01/2016 Mise à jour : 25 janvier 2016 | 10:31 Projet de camping au Cap-Saint-Jacques Par Laurence Houde-Roy Métro TC Media Vue du Cap-Saint-Jacques La Ville de Montréal est en réflexion au sujet de l’implantation d’un projet de camping individuel au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, dans l’ouest de l’île. Les tarifs pour ce projet ont d’ailleurs déjà été approuvés dans le dernier budget 2016 de la Ville de Montréal. Rien n’est encore assuré, a toutefois prévenu le service des communications de la Ville de Montréal à Métro. Ces tarifs ont été approuvés seulement «en prévision d’une éventuelle implantation du camping individuel dans les parcs-nature», nuance-t-on. «Mais les études requises pour une telle implantation n’ont pas été faites (capacité de support du milieu, services sanitaires, etc)», a précisé le service des communications. Actuellement, le camping est permis pour les groupes de 10 personnes et plus dans le secteur du centre de plein air du Cap-Saint-Jacques, dans le secteur est du parc. Si les études en à venir sont concluantes, le projet pourrait offrir des terrains individuels au centre du parc-nature du Cap-Saint-Jacques au centre du parc, soit des terrains sans services (sans eau ni électricité), et les véhicules devraient être garés dans les stationnements. «Par contre, il n’est pas garanti que ce soit cette année. Et si c’était le cas, ce serait sur une base expérimentale, car nous n’avons pas encore les infrastructures nécessaires (processus de réservation, aspects de sécurité, aires de feu, etc.)», ajoute le service des communications. Le nombre de terrains qui seraient offerts n’a pas encore été défini, ni l’endroit exact dans le parc où ils seraient aménagés. Vincent Léger, un citoyen qui a déjà fait quelques propositions pour des projets de camping urbain à la Ville de Montréal notamment autour du bassin Peel, croit qu’il y a effectivement une demande de la part de la population «pour développer de nouvelles façons de visiter Montréal et d’y être hébergé». «Ce serait intéresse même de planifier un réseau pour le cyclotourisme, pour faire du plein air en ville et pouvoir s’installer de façon sécuritaire», ajoute-t-il. Il croit même qu’avec la revitalisation du Vieux-Port, qui a été annoncée, il y aurait des possibilités pour aménager certains terrains de camping dans ce secteur, «de façon à ce qu’on ait une image urbaine, qu’on se sente en ville même en faisant du camping», propose M. Léger. Métro a contacté Camping Québec, mais l’association n’a pas voulu commenter ce projet
  9. «Montréal devrait se positionner comme un leader du tourisme vert au Canada, c’est gagnant économiquement et socialement», croit Vincent Léger, consultant en tourisme durable. Avec ses partenaires, il est déjà en contact avec trois arrondissements. Les terrains libres ne manquent pas. Sur le bord du bassin Peel, dans le sud-ouest, un terrain de 170 000 pieds carrés pourrait faire l’affaire. «Comme il est sur le bord de l’eau, il pourrait très bien se jumeler avec des activités de canot Rabaska et attirer des touristes étrangers», fait valoir M. Léger. Le secteur Bellechasse qui doit être revitalisé près du métro Rosemont, est aussi envisageable et aurait l’avantage d’être central. Plusieurs villes comme Berlin (Tentestation) ou Paris (dans le Bois de Boulogne) disposent déjà de campings accessibles en transport en commun. Depuis deux ans, New York a ouvert une douzaine de ses parcs, dont Central Park, au camping familial les fins de semaine d’été, afin notamment de reconnecter les citoyens avec la nature. Un concept qui rejoint celui de M. Léger. «Autour de ce camping, il y aurait plusieurs activités liées à la nature qui pourraient aussi intéresser les Montréalais ne pouvant s’évader de l’Île», affirme-t-il. Le camping, qui serait interdit aux véhicules à moteur, ferait la part belle à différents types d’habitations comme la tente prospecteur ou la yourte tout en incorporant une dimension design avec des cabines faites à base de conteneurs. Du côté de Tourisme Montréal, on se dit étonné par l’idée. «Par le passé, on a déjà eu quelques demandes de campings, mais surtout pour des roulottes et des mobiles homes, indique Pierre Bellerose, porte-parole de l’organisme. Toutefois, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de place pour ce type d’offres.» M. Bel*lerose précise que le coût des terrains sur l’île pourrait être un frein. http://www.journalmetro.com/linfo/article/775903--du-camping-a-montreal
  10. Nom du projet : Les Berges de la Rivière Description : Nouveau projet au bord de l'eau à Ste-Dorothée, Laval. Près de tous les services, gare, centre-d'achats, autoroute 13 et 440. -À cinq minutes de marche des stations St-Dorothée et Ile Bigras. -Une courte distance du Méga Centre Sainte Dorothée incluant des boutiques, restaurants, et autre -À proximité de superbes terrains de golf, écoles, sentiers de promenade, parcs, et activités sportives -Un stationnement sous-terrain sécuritaire et bien éclairé -Des constructions en ciment à l’épreuve du feu Site : Les Berges de la Riviere | Exceptional Laval Condos Images : http://www.lesbergesdelariviere.com/wp-content/uploads/2012/10/Lavalle-Condos-Building-980x610.jpg http://www.lesbergesdelariviere.com/wp-content/uploads/2012/10/condo-homes-montreal.jpg
  11. via Radio-Canada Près de 200 arbres touchés par l'agrile du frêne à Montréal Mise à jour le samedi 1 mars 2014 à 3 h 10 HNE L'agrile du frêne poursuit sa progression à Montréal. Le dernier bilan de la Ville fait état de 197 arbres infestés par l'insecte ravageur dans la métropole, dont 58 dans l'arrondissement de Merchier-Hochelaga-Maisonneuve. Rosemont-La-Petite-Patrie, Ahuntsic-Cartierville, Notre-Dame-de-Grâce-Côte-des-Neiges et Saint-Laurent sont aussi touchées par l'agrile du frêne. Les maires d'arrondissements et des villes situées sur l'île de Montréal doivent se rencontrer le 10 mars prochain afin de coordonner les efforts de lutte contre l'insecte et discuter de plans d'intervention sur les terrains privés. Comme ailleurs en Amérique du Nord, Montréal doit s'attaquer à l'agrile du frêne, qui menace une partie importante de la canopée montréalaise depuis son apparition en 2011. À Rosemont-La-Petite-Patrie, l'arrondissement procède à l'abattage de 300 frênes infestés ou menacés de l'être qui se retrouvent sur des terrains publics. L'opération devrait être terminée d'ici la mi-mars, selon le maire d'arrondissement, François Croteau. Le parti dont fait partie M. Croteau, Projet Montréal, réclame un fonds d'urgence de 10 millions de dollars de la part de l'administration municipale afin de lutter plus efficacement contre l'agrile du frêne. L'été dernier, Montréal avait investi un million de dollars pour combattre l'insecte. Avec les informations de Benoît Chapdelaine
  12. http://www.ledevoir.com/sports/soccer/401521/le-voile-et-le-turban-officiellement-autorises-dans-le-football <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;">[h=1]Le voile et le turban officiellement autorisés au football[/h]</header>1 mars 2014 10h31 | Agence France-Presse | Soccer <figure class="photo_paysage" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : Agence France-Presse (photo) Archives / Amir PoormandDes joueuses de l'équipe nationale iranienne féminine de football en échauffement, en 2009. Le port du voile ou du turban a été avalisé samedi par la FIFA.</figcaption></figure>Zurich — La possibilité de porter le voile ou le turban a été officiellement intégrée samedi dans les règles du football, ce qui devrait contribuer à lever la barrière religieuse à son développement dans plusieurs pays du globe. L’International Football Association Board (IFAB), l’organe garant des lois du ballon rond, avait autorisé à titre d’essai le port du voile sous certaines conditions strictes il y a deux ans, à la demande de plusieurs pays musulmans. Le Board avait ensuite accepté d’étendre cette expérience aux joueurs masculins après qu’un conflit autour du turban par des Sikhs déborde sur les terrains de football au Québec. «Une expérience a été menée et la décision restait à prendre. Cela a été confirmé: les joueuses peuvent avoir la tête couverte pour jouer», a déclaré le secrétaire général de la Fédération internationale de football (FIFA), Jérôme Valcke, lors d’une conférence de presse. «Nous ne pouvons faire de discrimination. Ce qui s’applique aux femmes peut s’appliquer aux hommes. Les hommes peuvent aussi porter dans les différents compétitions un couvre-chef», a ajouté Jérôme Valcke. Consignes à respecter Le Board a jugé ne plus avoir de raisons valables de l’interdire si les consignes fixées sont bien respectées. Car ce couvre-chef autorisé sur les terrains n’aura rien à voir avec le voile ou le turban de tous les jours. Il doit en effet être collé à la tête, être en accord avec la tenue du joueur, ne pas être rattaché à son maillot, ne pas constituer un danger pour celui qui le porte ou pour autrui, et ne doit avoir aucune partie qui dépasse. Les épinglettes pour le faire tenir aux cheveux sont aussi bannies. Il doit encore être défini précisément et une circulaire sera envoyée dans la foulée aux différentes fédérations pour expliquer les détails. La question du voile avait agité la planète du ballon rond ces dernières années. L’Iran était allé jusqu’à porter plainte contre la FIFA parce que les joueuses de son équipe nationale, faute d’être autorisée à couvrir leurs têtes, avaient dû faire une croix sur les qualifications pour les Jeux olympiques de Londres en 2012. Le débat avait ressurgi au Canada en juin 2013, quand la Fédération québécoise de football s’était opposée au port du turban par des Sikhs sur les terrains. La Fédération canadienne, qui y était favorable, avait décidé de suspendre la branche québécoise avant que la FIFA ne calme le jeu, en étendant aux joueurs masculins le champ de son expérience. Choix sportif plutôt que religieux Pour les instances dirigeantes du ballon rond, c’est l’aspect sportif qui a primé sur le débat autour du symbole religieux. «C’était une requête qui venait d’un groupe de pays et d’un groupe de joueurs qui disaient que cela contribuerait au développement du football et ce fut le principal argument qui a poussé l’IFAB à dire oui», a souligné Jérôme Valcke. Si l’autorisation d’avoir la tête couverte sur les terrains est valable pour le monde entier, cela ne veut pas dire qu’elle sera appliquée partout. En France, où le débat sur le voile fait rage dans toutes les strates de la société depuis plusieurs années, la fédération nationale de football avait déjà interdit, il y a deux ans, à ses licenciées le port du voile afin «de respecter les principes constitutionnels et législatifs de laïcité» qui prévalent dans l’Hexagone. Samedi, la FFF a rappelé que ces mêmes principes restaient valables y compris «en ce qui concerne la participation des sélections nationales françaises dans des compétitions internationales» et maintenu «l’interdiction du port de tous signes religieux ou confessionnels» dans le pays. L’IFAB a aussi amendé les règles concernant les tenues des joueurs afin d’interdire plus clairement tout slogan, déclaration ou image à caractère politique, religieuse ou personnelle sur la partie visible ou sur les sous-vêtements. Que leurs intentions soient bonnes ou non, les joueurs qui soulèvent leur maillot pour montrer au public un message écrit s’exposeront ainsi à des sanctions. Par Stéphanie Pertuiset
  13. http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/379343/un-nouveau-quartier-pour-les-riches-ou-pour-tout-le-monde Un nouveau quartier pour les riches ou pour tout le monde? 29 mai 2013 07h46 | Marco Fortier | Le blogue urbain Photo : Société immobilière du Canada (SIC) Ces terrains d’une valeur extraordinaire, situés le long du canal de Lachine, sont en voie d’accueillir un nouveau quartier. Ce quartier vaut de l’or. À deux pas du centre-ville de Montréal, grand comme 120 terrains de football, le Bassin Wellington a le potentiel d’accueillir 3 millions de pieds carrés de bâtiments, soit une superficie équivalente à deux fois la Place Ville-Marie. Ces terrains d’une valeur extraordinaire, situés le long du canal de Lachine, sont en voie d’accueillir un nouveau quartier. Sans faire de bruit, la Société immobilière du Canada (SIC) a appelé le mois dernier les promoteurs immobiliers à soumettre des projets pour redonner vie à ce secteur au passé industriel. La SIC a confié ce mandat de relance au groupe financier Brookfield. On en sait bien peu sur les intentions de Brookfield et de la SIC, une société d’État qui a pour mission de développer les terrains du gouvernement fédéral. Mais déjà, des groupes communautaires de Pointe-Saint-Charles montent au front pour éviter que le Bassin Wellington soit offert à un promoteur privé sans véritable débat public. Ne pas répéter Griffintown « Il reste tellement peu de terrains publics dans ce secteur, ils ont tous tellement été bradés au profit d’entreprises privées, que nous demandons un développement qui réponde aux besoins réels des Montréalais », dit Karine Triollet, du groupe communautaire Action-Gardien. Elle dit craindre une répétition de ce qu’elle considère comme « les erreurs de Griffintown », le quartier voisin : la construction de milliers de condos vendus à prix d’or, sans tenir compte des 80 % de Montréalais qui n’ont pas les moyens de s’y installer. « Un maigre 15 % à 20 % de logements communautaires, c’est insuffisant », dit-elle. Karine Triollet n’est pas contre le développement économique, mais elle dit souhaiter une vaste réflexion sociale avant de lancer ce nouveau chantier. On verra dans les prochains mois si les groupes communautaires auront été entendus. Ou si l’épaisseur du portefeuille sera le principal critère pour choisir les résidants.
  14. Déménageons le Port de Montréal, dit Gaétan Frigon GAÉTAN FRIGON . les affaires.com . 13-09-2011 Tags : Économie, Montréal, Port de Montréal BLOGUE. Il y a quelques semaines, j’ai fait une balade en bateau sur le St-Laurent, à partir du Vieux-Port jusqu’à Contrecoeur. Outre les paysages bien de chez-nous, notamment dans les Iles de Boucherville et du coté sud du fleuve, ce qui m’a le plus frappé, ce sont les kilomètre de rives utilisés par le Port de Montréal. Quoiqu’il soit difficile en bateau d’estimer une distance terrestre, il m’a semblé que l’ensemble des installations du port s’étalait sur environ 15 kilomètres. J’ai trouvé cela aberrant et me suis mis à rêver d’un nouveau Montréal qui reprendrait possession, au nom de sa population et de son développement futur, de ces rives qui ont certes une valeur immobilière inestimable et qui pourraient sortir Montréal du pétrin financier dans lequel elle se trouve. Montréal a cette chance inouïe d’être située le long de ce majestueux fleuve St-Laurent qui est au cœur de l’histoire du Québec. Il est vrai que le Port de Montréal est d’une importance capitale pour le développement et le commerce de la grande région métropolitaine, mais est-il nécessaire qu’il soit situé presqu’en plein cœur de la ville alors qu’il pourrait très bien déménager ses pénates plus à l’Est près de Contrecoeur où il a déjà des installations importantes? Contrairement à d’autres grandes villes à travers la planète qui doivent vivre avec un port impossible à déménager, faute d’espace, le Port de Montréal ne manquerait pas d’espace plus à l’Est pour, non seulement remplacer ses installations actuelles mais aussi pour assurer son expansion future. Imaginons alors un projet de société basé sur le déménagement du Port de Montréal. Je n’ai évidemment pas fait d’études et je ne connais pas les problèmes qui seraient associés à un tel déménagement, mais il m’a semblé que cela serait possible s’il y avait une volonté politique d’agir en ce sens. Et cette volonté politique devrait commencer par une décision du gouvernement fédéral de contribuer directement au renouveau de Montréal en lui remettant la propriété de tous les terrains appartenant au Port de Montréal en autant que la Ville de Montréal accepte en retour de défrayer les coûts associés à son déménagement plus à l’Est. Admettons d’ailleurs qu’une telle décision pourrait être populaire au point de donner aux conservateurs un certain nombre de sièges à Montréal, là où tous leurs efforts ont échoués dans le passé. Il est connu que l’administration du port a toujours refusé de considérer un déménagement potentiel, même partiel. Elle tient historiquement à chaque pouce carré de terrain comme à la prunelle de ses yeux. Je me souviens très bien de son objection presque maladive, il y a une dizaine d’années, à conserver le quai Bickerdike que Loto-Québec aurait aimé utiliser pour un développement majeur qui aurait changé le visage du Vieux-Port. Personne ne va me faire croire que le traitement des conteneurs doit se faire en plein cœur de la ville. Il serait important pour l’administration du Port de Montréal de regarder plus loin que leurs intérêts à court et moyen terme et d’accepter d’être les artisans d’un nouveau Montréal. Dans le fonds, l’idéal serait que l’un des candidats à la mairie, lors des prochaines élections municipales, axe son programme autour du déménagement du port et du développement de Montréal sur les terrains actuels. Ce serait là le premier grand projet structurant à voir le jour à Montréal depuis l’Expo 67 et les Jeux Olympiques de 1976. Le déménagement du Port de Montréal serait quelque chose de permanent qui changerait le visage de la métropole du Québec pour le très long terme. Ce serait plus que de simples souvenirs d’autant plus que la vente ou la location des terrains actuels rapporterait pas mal plus que les coûts associés au déménagement. Y-a-t’il quelqu’un pour prendre le flambeau…..?... http://www.lesaffaires.com/blogues/gaetan-frigon/dmnageons-le-port-de-montral-dit-gatan-frigon/534782
  15. Not sure where to place this news...... Danielle Bonneau La Presse Le quartier situé au pied du mont Royal, entre les rues Guy et University, au nord du boulevard René-Lévesque, est en effervescence. Pas moins de 13 projets immobiliers résidentiels y sont en construction ou en préparation! Tout un changement pour ce coin huppé du centre-ville où les jolies maisons victoriennes, les chic boutiques et les restaurants branchés côtoient depuis plusieurs décennies de vastes terrains à l'abandon servant de stationnements. Deux raisons expliquent cet intérêt soudain pour le quartier jadis adopté par les familles fortunées de Montréal, surnommé le Golden Square Mile (Mille carré doré), estime Sylvain Villeneuve, chef de la division de l'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie. D'abord, plus généralement, le centre-ville attire une nouvelle population, qui désire s'y installer. «Depuis deux ans, plus de 2000 logements par année ont été créés dans l'arrondissement, surtout à l'ouest du boulevard Saint-Laurent, indique-t-il. Depuis les années 90, nous voulons avoir un centre-ville plus habité, donc plus animé en tout temps, avec plus de commerces pour les résidants. La cadence de la construction s'est accélérée.» Le quartier profite aussi de la révision des hauteurs et des densités dans plusieurs zones situées aux abords du centre des affaires, réalisée au début de 2012. Un nouveau découpage a été fait à la fois pour mieux protéger le patrimoine et le paysage et pour favoriser la disparition de stationnements à ciel ouvert. Nouvelles hauteurs Au nord de la rue Sherbrooke, sur une partie du flanc sud du mont Royal, même s'il y a peu de terrains vacants, le plafond de hauteur a été réduit de 25 m à 16 m (l'équivalent de cinq étages résidentiels) pour préserver l'omniprésence de la montagne et mettre en valeur les bâtiments patrimoniaux. Dans d'autres secteurs, les plafonds ont plutôt été haussés. Des résultats se font déjà sentir dans la partie sud du secteur Bishop-Crescent, où la zone s'étendant de la rue Sainte-Catherine au boulevard René-Lévesque Ouest a été subdivisée en trois et passe de 25 m à 35 m, 65 m et 80 m (11, 21 et 25 étages), à mesure que l'on se rapproche du coeur du centre-ville. La hauteur permise grimpe à 120 m (40 étages), sur une partie de la rue Mackay. Elle demeure à son plus haut (environ 210 m, soit 70 étages) le long du boulevard René-Lévesque Ouest. Relancer la construction «Dans les années 90, les normes ont été réduites pour éviter la démolition des immeubles victoriens, explique M. Villeneuve. Or, il n'y a pas eu de revitalisation dans ce quartier.» Pour la favoriser, une nouvelle catégorie de hauteur a été créée (35 m), afin de permettre la construction d'immeubles de 11 étages résidentiels, entre les rues Guy et de la Montagne, au nord du boulevard René-Lévesque Ouest. Pour être rentable, ont fait valoir plusieurs promoteurs, une construction de béton doit en effet avoir au minimum 10 étages. En contrepartie, pour que la rue demeure animée, les tours devront être construites en retrait au-dessus d'un basilaire d'environ trois étages (comme les maisons victoriennes aux alentours), avec des commerces au rez-de-chaussée. Les complexes Flex et Viva Lofts Bishop, en construction rue Bishop, ont été conçus selon ce principe. «Le quartier, délaissé depuis plus de 40 ans, va devenir plus homogène, avec une architecture qui se distinguera de ce qui se fait ailleurs au centre-ville, estime Éric Huot, de l'agence Geiger " Huot Architectes, engagé dans trois projets résidentiels dans le Mille carré doré. Le nouveau zonage amène une autre vision des choses.» La Ville tient à préserver son patrimoine, constate de son côté l'architecte Karl Fischer, qui intègre la façade d'une maison victorienne dans le projet Les Condos Crescent. «En devant marier le vieux avec le neuf, cela nous oblige à être plus créatifs», souligne-t-il. Jean-Yves Bourdages, responsable du comité d'habitation et d'urbanisme à la table Interaction du quartier Peter-McGill, voit d'un bon oeil la densification du centre-ville, qui découle de la mise en valeur des terrains vagues. «L'arrondissement devrait par contre s'efforcer d'implanter de façon permanente l'inclusion de logements abordables, indique-t-il. Si on veut avoir une vie intéressante au centre-ville, il faut qu'il y ait une mixité sociale et qu'y habitent des étudiants, des enfants, des retraités et des gens avec de hauts et de faibles revenus.»
  16. À l'étroit dans ses installations de Longueuil, le Groupe Jean Coutu (T.PJC.A) prépare un agrandissement ou un déménagement ailleurs sur la Rive-Sud de Montréal, un projet de 70 millions de dollars. La célèbre entreprise québécoise songeait à acquérir un terrain dans le parc industriel de Saint-Bruno-de-Montarville pour y déménager son siège social et son centre de distribution, mais l'administration municipale a refusé d'autoriser la transaction. La Ville voyait d'un mauvais oeil l'augmentation du trafic de camions qu'aurait entraîné la présence d'un gros entrepôt sur son territoire. Jean Coutu scrute donc les autres terrains disponibles sur la Rive-Sud. L'entreprise pourrait aussi décider d'agrandir ses installations actuelles de Longueuil, où elle est établie depuis 1976. Elle est déjà propriétaire des terrains nécessaires pour le faire. Pour l'instant, Jean Coutu ne privilégie aucune des deux options, a affirmé mardi la vice-présidente aux communications du groupe, Hélène Bisson, au cours d'un entretien téléphonique. Les critères de sélection les plus importants sont les coûts et la proximité des autoroutes. Le détaillant souhaite réaliser les travaux à «moyen terme», soit d'ici deux ou trois ans. Les installations actuelles suffisent encore à la tâche, mais plus pour longtemps, a indiqué Mme Bisson. La filiale de fabrication de médicaments génériques de Jean Coutu, Pro Doc, qui est établie à Laval, ne devrait pas déménager, a précisé la porte-parole. Le réseau Jean Coutu compte actuellement 405 pharmacies au Québec, en Ontario et au Nouveau-Brunswick. L'entreprise prévoit avoir ouvert 14 nouveaux établissements cette année. L'action de Jean Coutu a clôturé à 15,69 $ mardi, en hausse de 1,3 %, à la Bourse de Toronto. La valeur boursière de l'entreprise frise les 3,4 milliards de dollars. http://affaires.lapresse.ca/economie/sante/201302/19/01-4623324-jean-coutu-veut-agrandir-ou-demenager-son-siege-social.php
  17. Bientôt un camping urbain à Montréal ? par Philippe Lépine 17 Juillet 2012 Si l’idée de camper au centre-ville semble relever du mouvement Occupy, elle réjouit les amoureux de la nature et du tourisme durable qui ne peuvent pas s’évader de la ville. Les premiers piquets ont déjà été plantés dans certaines métropoles, et à Montréal, un projet de campings urbains est sur la table… de piquenique. Les amateurs de plein air, les cyclotouristes et les vacanciers à petit budget pourraient être séduits par l'ambitieux projet de Vincent Léger et ses partenaires : créer des terrains de camping à deux pas du centre-ville. « Une tente pour 75 dollars au lieu d'une chambre à 250, ça vaut la peine », croit le consultant en écotourisme et copromoteur du projet. Selon lui, de tels endroits permettraient à Montréal de devenir un leader en tourisme vert et de faire concurrence aux Américains, qui attirent beaucoup de voyageurs avec des campings semblables à New York. Le groupe Boréalis, dont Vincent Léger fait partie, voit grand. Il propose d'utiliser la bâche du Stade olympique, qui doit être remplacée, pour couvrir un écocamping au Parc olympique. Un autre camping pourrait être aménagé au bassin Peel, près du canal de Lachine, où les projets de casino et du Cirque du Soleil ont avorté en 2006. Ces campings seraient exclusivement réservés aux tentes et n'offriraient pas de service d'électricité, ce qui en ferait un substitut vert aux types d'hébergement traditionnels. Mais ne déroulez pas votre sac de couchage trop vite. La Ville n'a pas encore délivré les autorisations nécessaires. Les promoteurs consultent actuellement Tourisme Montréal afin d'élaborer un plan d'aménagement. Le porte-parole de l'organisme, Pierre Bellerose, croit que ce type d'hébergement pourrait attirer une nouvelle clientèle dans la métropole. « Le problème, c'est que les terrains sont très chers dans les grandes villes et qu'on ignore encore si le projet serait assez rentable », dit-il. Le groupe Boréalis serait tout de même prêt à occuper temporairement les terrains vacants. http://www.lactualite.com/culture/bientot-un-camping-urbain-montreal?page=0,1 http://ecocampingurbaincanada.wordpress.com/
  18. Les panneaux sont installés sur le terrain, début de la construction de la phase 4 prévue pour cet automne Incluant: le grand magasin Ogilvy, un 2e hotel, des bureaux, des commerces/restaurants, clinique médicale.. C'est sur le terrain entre le wal-mart et le cinéma. Également annoncés, de nouveaux grands magasins (best buy, germain larivière, Avril Supermarché), encore plus de restos (five guys burger, un autre restaurant asiatique entre autres) sur les terrains avoisinants
  19. Développement urbain à Montréal Vers une pénurie de terrains, selon l’APCHQ Première publication 21 septembre 2011 à 17h23 Vers une pénurie de terrains, selon l’APCHQ Par Laurent Dionne | Agence QMI La grande région de Montréal fera bientôt face à une pénurie de terrains pour de nouvelles constructions résidentielles, a prévenu mercredi l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ), qui estime par ailleurs que 110 000 ménages auront de la difficulté à se trouver un logement durant les 20 prochaines années. L'APCHQ espère que cet avertissement sera pris en compte par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) dans le cadre de son Plan métropolitain d'aménagement et développement (PMAD), qui prévoit la façon dont le développement urbain de la région montréalaise se fera au cours des deux prochaines décennies et qui fera l'objet de consultations publiques cet automne. «Actuellement, près de 60% des territoires de la CMM sont zonés agricoles. De cette superficie, l'équivalent de deux fois et demie l'île de Montréal représente des terrains inutilisés», a avancé Marc Savard, directeur général de l'APCHQ, en point de presse. Le plan d'aménagement du CMM propose de surcroît un gel du territoire pour les cinq prochaines années. Selon l'Association, les MRC de l'Assomption et Thérèse-de-Blainville souffrent déjà d'une pénurie de terrains résidentiels, et d'ici 2019, quatre territoires supplémentaires connaîtront le même problème. Afin de pallier cette situation, l'APCHQ propose d'utiliser progressivement le territoire non utilisé à hauteur de 5%. La densification, un autre problème Toujours selon l'APCHQ, il existe un autre effet néfaste du PMAD s'il est accepté tel qu'il est conçu actuellement, soit une densification abrupte et arbitraire de la population. Les prix des logements poursuivraient sur leur lancée et les maisons unifamiliales ne seraient réservées qu'aux plus nantis. Tous ces enjeux seront évalués cet automne et le PMAD doit être adopté dans sa forme finale au plus tard le 31 décembre.
  20. Cyberpresse.ca Publié le 09 juillet 2011 à 11h34 | Mis à jour à 11h34 La Presse Canadienne Une véritable institution disparaîtra sous peu. Le restaurant Madrid, situé sur l'autoroute 20, à Saint-Léonard-d'Aston, dans le Centre-du-Québec, sera démoli, après la fête du Travail. L'emplacement servira à faire place à une nouvelle halte routière comportant deux établissements de restauration rapide, un dépanneur et des terrains de jeux pour les enfants sur la thématique des «dinosaures», qui entourent le restaurant actuel. C'est un promoteur de Québec, Immostar, qui a acquis l'édifice et les terrains adjacents. Le coût total de la transaction est évalué à quatre millions de dollars. Le promoteur entend investir au total 8 millions de dollars dans l'aventure. La copropriétaire Julie Arel explique avoir pris la décision de vendre pour passer plus de temps avec sa famille, la gérance d'un restaurant étant très exigeante. Le Madrid, tel qu'on le connaît aujourd'hui, a été construit en 1967. Le président d'Immostar, André Pelchat, a indiqué qu'il tentera de s'inspirer du bâtiment actuel pour construire son nouveau développement. La nouvelle halte devrait être inaugurée au printemps 2012.
  21. Wow. Je pars une semaine et en revenant, je tombe là-dessus. Quelqu'un peut activer ses contacts pour en apprendre plus? http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/01/20110131-141311.html#texte
  22. Voici un beau gros projet massif comme on les aimait à l'époque. Ça c'est tous les terrains du 1250 René-Levesque Ouest, de l'édifice La Laurentienne et même de l'église Saint-Georges.
  23. Nouveau projet de centre commercial à Laval 26-11-2010 (modifié le 26-11-2010 à 13:16) Ivanhoé Cambridge veut construire un énorme centre commercial à l’est de la future autoroute 25, à Laval, a appris lesaffaires.com. Selon nos sources, la filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec négocie avec les propriétaires des terrains, dont la majeure partie appartient au promoteur Monit International. À l’angle de la 440, dans l’est de la ville, Ivanhoé Cambridge veut construire une méga galerie marchande sur le modèle de ses «Mills», comme à Vaughan, en Ontario, et à Calgary. Ces centres commerciaux ont une surface locative de plus d’un million de pieds carrés, soit l’équivalent de plus de 14 terrains de soccer. C’est presque aussi grand que le Carrefour Laval, qui compte 1,3 million de pieds carrés. Les deux «Mills» ont coûté environ 400 millions de dollars chacun à construire, en incluant les coûts de financement. Ivanhoé Cambridge a refusé de confirmer qu’il avait trouvé un emplacement pour ce centre. «On ne peut pas commenter ces rumeurs. On cherche toujours, dit Douglas Harman, vice-président, Développement, Région de l’Est. Ce n’est pas facile : ça prend des centaines d’hectares.» Une source à la Ville de Laval indique cependant que des discussions sont en cours avec l’administration pour construire le centre commercial. Le porte-parole officiel n’a cependant pas fourni d’informations à ce sujet. Le propriétaire des terrains concernés, Monit International, n’a pas commenté. Commerces et attractions Douglas Harman précise qu’en comptant les servitudes et les stationnements nécessaires pour un centre commercial de cette envergure, Ivanhoé Cambridge a besoin d’«au moins cinq millions de pieds carrés» pour construire un «Mills». Ivanhoé Cambridge a ouvert le Vaughan Mills, au nord de Toronto, en 2004, et le Cross Iron Mills, à Calgary, l’an dernier. La filiale de la Caisse cherchait depuis des années l’emplacement propice à Montréal. Les magasins à grande surface, comme Sears et Zellers, sont absents de ces projets, indique Douglas Harman. «Normalement, ils comprennent une quinzaine de commerces de 20 000 à 50 000 pieds carrés », dit-il. Le concept de «Mills» d’Ivanhoé Cambridge comprend aussi des attractions de divertissement. «À Vaughan, nous avons ouvert un Nascar SpeedPark, une piste de kart», illustre le vice-président. Le centre commercial abrite aussi un salon de quilles. Avec Marie-Eve Fournier http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/nouveau-projet-de-centre-commercial-a-laval/520949
  24. Voilà une occasion pour Cataclaw de se faire aller les méninges! J'ai bien hâte de voir quel genre de projet il va y avoir là. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201011/01/01-4338036-un-parc-industriel-de-longueuil-change-de-vocation.php
  25. et j'ai nommé les résidents du platô Hugo Fontaine La Presse Condos sur pilotis: la construction démarre, l'opposition renaît Mardi, un promoteur a officiellement conclu une transaction de 1,25 million de dollars avec Stationnement de Montréal pour l'acquisition des droits aériens lui permettant de construire 98 condos par-dessus les terrains de stationnement situés rue Généreux, au nord de l'avenue du Mont-Royal. Vers la fin de la semaine, des pelles mécaniques sont apparues sur un des terrains pour casser l'asphalte. La construction d'un controversé projet de condos sur pilotis a débuté la semaine dernière au coeur du Plateau-Mont-Royal. Un chapitre de plus dans un feuilleton qui dure depuis sept ans. Mardi dernier, le promoteur a officiellement conclu la transaction de 1,25 million de dollars avec Stationnement de Montréal pour l'acquisition des droits aériens lui permettant de construire 98 condos par-dessus les terrains de stationnement situés rue Généreux, au nord de l'avenue Mont-Royal, entre les rues De Lanaudière et Marquette. L'arrondissement avait délivré les permis nécessaires en décembre. Vers la fin de la semaine, des pelles mécaniques sont apparues sur un des terrains pour casser l'asphalte. La construction démarre, sans qu'aucune affiche n'indique la nature des travaux. Ça ne fait pas le bonheur de tout le monde dans le Plateau. Au début des années 2000, près de 12 000 personnes avaient signé une pétition contre le projet. Laurent Imbault, qui a été le porte-parole d'une coalition de citoyens qui s'opposaient à l'arrivée de ces condos, dénonce aujourd'hui l'absence d'intervention des politiciens. «Au bout du compte, tout le monde a enterré cette histoire en s'imaginant que ça allait disparaître tout seul.» Les inquiétudes des citoyens touchent principalement la question de la sécurité dans un stationnement recouvert et peu visible. La densification d'un quartier déjà dense est aussi une préoccupation. La Société de développement de l'avenue du Mont-Royal, qui s'est toujours opposée au projet, annoncera aujourd'hui qu'elle interpelle le maire Gérald Tremblay et la mairesse d'arrondissement Helen Fotopulos. Une rencontre entre la Société et l'arrondissement est aussi prévue en après-midi. «On aurait espéré que le projet ne se fasse jamais, a précisé le directeur général de la Société, Michel Depatie. Mais il faut prendre le problème où il est rendu.» Un projet dans les règles Le porte-parole d'Helen Fotopulos, Marc Snyder, rappelle que la mairesse a fait connaître à plusieurs reprises son opinion très négative sur ce projet. "Mais à partir du moment où le projet respecte la réglementation de toutes les façons, l'administration est obligée d'émettre les permis", explique-t-il. "Nous avons été mis devant un fait accompli par Stationnement de Montréal", affirme Mme Fotopulos, qui n'a pas trouvé cela "très élégant". "Si le projet se fait, ma priorité est que le chantier soit exemplaire en termes d'impact sur le voisinage, les résidants et les activités commerciales", a ajouté la mairesse. En plus de causer un tollé chez les marchands et les citoyens, le projet, d'abord approuvé par l'administration Bourque en 2000, fait l'objet d'un bras de fer juridique entre le promoteur David Owen et la Ville. Des recours judiciaires sont toujours en cours, dont une poursuite de 5,7 millions en dommages et intérêts contre la Ville. La Cour supérieure a ordonné aux deux parties de tenir une conférence de règlement qui aura lieu en avril. Avec la collaboration de Catherine Handfield source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080331/CPACTUALITES/803310468/5077/CPACTUALITES ----------------- Let me in but don't let anybody else come after me... c'est exactement l'attitude des platôiste
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