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  1. Avant de regarder le vidéo... lequel d'une intersection à 4 arrêts ou d'un rond point permet de faire circuler le plus d'autos durant le même lapse de temps? http://www.youtube.com/watch?v=OvoFjirrgYA
  2. Felicitation a la chanteuse americaine Celena Rae pour avoir chanter l'hymne national du canada dans les deux langues (francais et anglais) ce soir durant la partie canadiens-stars au American Airlines Center a Dallas, Texas.
  3. Ca manifeste sans savoir exactement pourquoi, contre qui ni même les connaissances de bases!
  4. À quand une belle grande patinoire sur le canal de Lachine? 17 février 2014 16h27 | Marco Fortier | Le blogue urbain http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/400206/a-quand-une-belle-grande-patinoire-sur-le-canal-de-lachine Une belle patinoire sur le canal de Lachine pourrait devenir un lieu emblématique de Montréal. Chaque hiver, sur les eaux glacées du canal de Lachine, dans le sud-ouest de Montréal, une toute petite patinoire prend vie. Entretenue par des enfants, et peut-être leurs parents. Une toute petite patinoire juste assez grande pour faire une partie de hockey. Nos amis de l'Association du design urbain du Québec ont posé récemment une très bonne question : pourquoi ce fabuleux canal long de 14,5 kilomètres n'héberge-t-il pas une patinoire digne de ce nom? Une vraie belle patinoire pourrait devenir un lieu emblématique de Montréal, un peu comme la patinoire du canal Rideau fait la réputation d'Ottawa comme ville d'hiver. Le canal de Lachine est bien beau en été, mais en hiver, c'est le désert. Il ne s'y passe pas grand-chose. Le canal longe pourtant Griffintown et Pointe-Saint-Charles, deux des quartiers les plus dynamiques de Montréal, qui connaissent une sorte de renaissance après des années difficiles. «Il y a tout un potentiel aux abords du canal de Lachine. On pourrait y aller étape par étape, en aménageant une patinoire entre le bassin Peel et le marché Atwater, par exemple», dit Jérôme Glad, de l'Association du design urbain du Québec. Pour lui, le canal représente une belle occasion de «mettre Montréal sur la mappe» en hiver. Aux Pays-Bas, les multiples canaux sont pris d'assaut par les patineurs durant la saison froide. Même chose ailleurs au Canada : la rivière Assiniboine, à Winnipeg, se transforme en piste cyclable — et de ski de fond — durant l'hiver. Benoit Dorais, maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, est bien d'accord avec l'idée d'aménager une patinoire sur le canal de Lachine. Il rappelle qu'en 2009, une pétition signée par plusieurs centaines de résidants du quartier avait réclamé une patinoire sur le canal. L'arrondissement ne roule pas sur l'or, mais le maire serait favorable à répartir sur 12 mois, plutôt qu'uniquement en été, le budget des activités prévues au canal. «Ça peut être une patinoire sur le canal, ou encore des pistes de ski de fond, de raquette ou de vélo le long du canal», dit-il. Le problème avec le canal, c'est que l'eau est instable, explique-t-il. De l'eau chaude est rejetée par des industries dans certains secteurs à l'ouest de l'échangeur Turcot. Chaque année, au moins une personne est secourue dans le canal parce que la glace a cédé sous son poids. Une des plus belles sections, entre le Vieux-Port et le marché Atwater, est propice au patinage. Avouez qu'une belle grande patinoire aiderait sans doute à profiter de l'hiver. En attendant les jours pas si lointains où on pourra enfin ressortir les kayaks... Une belle patinoire sur le canal de Lachine pourrait devenir un lieu emblématique de Montréal. L'hiver, il ne se passe pas grand chose actuellement sur le canal de Lachine. Aux Pays-Bas, les multiples canaux sont pris d'assaut par les patineurs durant la saison froide.
  5. La ville de St-Eustache a une grande histoire. Une histoire qui se situe principalement dans les années 1700 et 1800 mais dont le point culminant se joue le 14 décembre 1837 lors de l'attaque militaire du général et gouverneur John Colborne envers les patriotes. Aujourd'hui nous somme bien loin de tout cela. Voici donc quelques photos d'un passé pas si lointain et du présent de cette ville. __________________________________ L’histoire de la paroisse Saint-Eustache remonte au XVIIIe siècle. Un presbytère-chapelle est construit dès 1774 sur un terrain ayant été offert par le Seigneur Louis-Eustache Lambert Dumont et longeant la rivière des Mille-Îles. Six ans plus tard, débute la construction de la première église, qui sera bénite en 1783. Entre 1830 et 1833 l’actuelle haute façade en pierre est construite. Cette église occupe une place spéciale dans l’histoire du Québec surtout en raison des événements tragiques qui s’y sont déroulés en 1837, lors de la bataille des Patriotes. Le bâtiment sera lourdement endommagé lors de la rébellion . Ce n'est que 4 ans plus tard, que le curé Paquin peut enfin entreprendre la reconstruction de l'église. Durant la deuxième moitié du XXe siècle, Saint-Eustache connaît un important développement économique et démographique. Ainsi, les paroisses Christ-Roi, Saint-Esprit et Sainte-Marguerite-Bourgeoys voient le jour respectivement en 1964, 1970 et 1989, afin de répondre aux besoins d’une communauté en croissance. Quant à l’église de Saint-Eustache, elle fut classée monument et lieu historique en 1970. Grâce à sa voûte en berceau elle bénéficie d’une si belle acoustique que l'Orchestre symphonique de Montréal y a enregistré tous ses albums pendant plus de 20 ans. Elle est d’ailleurs visitée par des milliers de touristes chaque année. Source: Ville de St-Eustache. Église de St-Eustache, 1920 // 23 Mars 2013. Les bâtiments de droite ont disparus mais la Maison Charles Marsil a gauche, est toujours en place... Hotel St-Eustache vers 1940 // 1975 Située au 124-128 Rue Saint Eustache, l’Hôtel Saint-Eustache, dans la rue du même nom, a connu plusieurs propriétaires durant sa longue vie, dont Joseph-Mathias Goulet, les familles Pesant, Laurin et Jos. Lauzé. L’hôtel dispose de la traditionnelle taverne en plus d’être le point de service local pour la compagnie de d’autobus Provincial Transport. Comme plusieurs autres établissements de Saint-Eustache, il fut rasé par un incendie d’origine douteuse dans les années '80. Ce bâtiment comprenait aussi dans les années '70, la discothèque "Le Stress", qui était très populaire a cette époque. Hotel St-Eustache 1975 // 30 mars 2013. (tout a disparue, des condos font maintenant partie du décor). Hotel Riviere du Chene, St-Eustache, 1902. (Vue de la rue St-Eustache) L’Hôtel Rivière-du-Chêne bâti vers 1900 sur la rue Saint-Eustache au coin de la rue Dorion, a pris le nom d’Hôtel des Mille-Iles et a longtemps été opéré par Napoléon Robin et son fils Jean. L’hôtel fut rénové puis converti en logements vers 1967. Ce qu'est devenue l'Hotel Rivière du Chêne, 30 mars 2013 Hotel Riviere du Chene, St-Eustache, 1968 (coin Dorion). 30 mars 2013, coin Dorion. La maison Brion, année inconnue // 30 mars 2013. Construite en 1771, la maison Brion est située au 65 de la rue Saint-Louis, dans le vieux Saint-Eustache. Avec l'église de Saint-Eustache, elle est un des rares témoins de la bataille du 14 décembre 1837. Le 14 décembre 1837, comme une bonne partie du village, la maison est incendiée durant la bataille. Elle restera en ruines pendant neuf ans, témoin de la lutte. En septembre 1838, Pierre Janvry donne le terrain et les murs de pierre qui subsistent à son fils Édouard, comme cadeau pour son mariage avec Marie-Charles Dumoulin. Un an plus tard, Édouard revend le tout à Ambroise Brion dit Lapierre, un cultivateur de Saint-Eustache. En mai 1846, Lapierre signe un marché de construction avec le maçon Ulric Robillard. Ce dernier devra démolir ce qui reste des murs du second étage (car a l'origine elle avait donc deux étages) et reconstruire la maison dans les murs du rez-de-chaussée. C'est cette maison que nous pouvons toujours observer aujourd'hui sur la rue Saint-Louis. Magasin Paquin vers 1898 // 30 mars 2013. Au début de 1800, le docteur Jacques Labrie acquiert la propriété de Joseph Debien sur la rue Saint-Eustache. Il agrandit la maison et fait ériger des murs de pierres. Il habite la demeure près de 20 ans. Puis, William-Henry Scott achète la propriété et y établit un magasin général. A sa mort, les enfants Scott continuent à opérer le commerce. En 1875, Joseph-Albert Paquin acquiert la bâtisse. Après un incendie majeur en 1889, la maison et le magasin sont reconstruits. Devenu une quincaillerie, le commerce ferme ses portes vers 1990. La maison est toujours occupée par les descendants de Joseph-Albert Paquin. Banque Provincial, 1970 // 30 mars 2013. Ce bâtiment construit dans les années '20 et abritant la banque provinciale (aujourd’hui fusionnée avec la banque canadienne nationale qui a créé la banque nationale) a eu pignon sur la rue St-Eustache de 1930 à 1979. Hotel Bellevue dans les années '60 // 30 mars 2013. Situé a l'angle des rues Saint-Louis et Saint-Eustache (face a l'église). Elle fut construite entre 1905 et 1910 par Cléophas Laurin puis opéré par Charles-Édouard Girard, l’hôtel Bellevue accueille des visiteurs de partout. Dans les années 1950, l’aile ‘Indian Lounge’ est ajoutée du côté sud-ouest. Le corps principal de l’hôtel fut incendié en 1974, ne laissant que l’aile ‘Indian Lounge’. Aujourd’hui un commerce de vêtements occupe la bâtisse rénovée en plus d'un autre bâtiment plus récent construit a l'emplacement de l'hotel. La maison Globensky-Coriveau vers 1890 et 1930. Portant les adresses 64 et 68 rue St-Eustache dans le village du même nom, Hubert Globensky fit construire cette maison en 1832. Le notaire Cyrille H. Champagne s’y installe ensuite jusqu’à sa mort en 1906. Son fils Hector y réside jusqu’à son décès en 1941. Enfin, le docteur Yvon Corriveau acquiert la maison en 1941. [C’est lui qui va la faire reculer de quelques mètres vers l’arrière]. Maintenant, l’emplacement est occupé par le restaurant Saint-Eustache. Source: Ville de St-Eustache ------------------------------------------------------------ De la fin des années 1780 jusqu'en 1795, l'emplacement de la maison Hubert Globensky appartient à la seigneuresse de Blainville, Marie-Thérèse Céloron de Blainville. En 1799, Auguste Globensky, un chirurgien polonais s'étant établi au Canada après la Révolution américaine, achète le terrain. Une maison en pièce sur pièce ainsi que divers bâtiments s'y trouvent déjà. À la mort de son père en 1830, le marchand Hubert Globensky fait l'acquisition de la propriété. Deux ans plus tard, il fait démolir l'ancienne demeure et bâtit la résidence actuelle. Le magasin et la maison d'Hubert Globensky sont pillés par les Patriotes durant les jours précédent la bataille du 14 décembre 1837. En raison du soutien apporté par Globensky au parti loyal, sa demeure est toutefois épargnée par les troupes du général Colborne. Une partie de l'état-major de l'armée britannique y est logé après la bataille. En 1941, le docteur Yvon Corriveau devient propriétaire de la maison. En plus d'y apporter quelques modifications, il la fait reculer de quelques mètres vers l'arrière. La demeure était auparavant située en bordure du trottoir. La maison Hubert Globensky est l'une des rares demeures d'inspiration néoclassique dans la région. L'architecture néoclassique apparaît durant la seconde moitié du XVIIIe siècle et domine jusqu'à la moitié du XIXe siècle. Style inspiré de l'Antiquité gréco-romaine, le néoclassique se démarque par sa recherche de symétrie, d'harmonie et de clarté. Les maisons d'inspiration néoclassique se caractérisent aussi par la présence d'une vaste galerie couverte d'un auvent en façade ainsi que d'un fronton au-dessus de la porte d'entrée. La façade de la maison Hubert Globensky était auparavant ornée d'une longue galerie. 30 Mars 2013, Position éloignée du trottoir par rapport a avant 1941. .....a suivre !!
  6. Le problème est bien connu; et pour les routes à grands débits, les élargissements et même les voies de desserte ne suffisent pas. Dans la région de Montréal on en a quelques exemples, notamment l'A-15/A-440 à Laval. On peut certes penser à reconfigurer l'ensemble, mais cela comporte plusieurs désavantages: coûts très élevés, longs délais, et perturbations majeures de la circulation durant les phases de reconstruction. L'exemple de l'A-15/A-640 un peu plus au nord à Boisbriand/Sainte Thérèse vient facilement à l'esprit. Or je me souvenais d'une situation semblable (fort débit) aux abords de l'aéroport de Francfort-sur-le-Main--échangeur de l'A-3 et de l'A-5. Il y a 30 ans, c'était déjà fort occupé quand j'y étais passé alors maintenant? Le problème là-bas était encore plus compliqué: 1) la proximité de l'aéroport rendait impossible les structures en hauteur; 2) le tracé en tunnel des voies ferrées pour le nouveau train rapide interdisait la solution en tunnel pour des voies routières; 3) la densité de la circulation rendait impensable qu'on l'entrave sérieusement durant la construction; et 4) il n'était pas question d'agrandir le périmètre de l'échangeur. LA SOLUTION? --sur ou sous chacune des quatre bretelles intérieures (boucles) du trèfle, un court viaduc ou tunnel qui permet aux voies de desserte arrivant par la gauche de franchir la boucle et de revenir en parallèle (SANS ENTRECROISEMENT) pour franchir ensemble les travées principales de l'autoroute croisée. Mais allez voir la carte détaillée. Une image vaut mille mots. Evidemment, un tel échangeur n'aura jamais l'élégance des NOUVEAUX échangeurs construits au même moment qu'une nouvelle route (par exemple: 400/407 au nord de Toronto), mais sa conception élimine néanmoins le défaut principal: les entrecroisements. Et la construction ne perturbe pas tout le secteur!
  7. Montréal Piétonnisation de la rue Masson: loin d’être chose faite Agence QMI Laurent Dionne 26/05/2011 17h59 MONTRÉAL - Dans la foulée d’artères commerciales devenues piétonnes à Montréal, comme les rues Sainte-Catherine et Saint-Paul, voilà que la rue Masson pourrait également faire de même dès l’été 2012, si les commerçants et résidants du secteur donnent leur aval. «Les commerçants vont être appelés à voter à la mi-juin. S’ils acceptent le projet, nous demanderons aux résidants s’ils sont du même avis. Ça prend l’accord de tout le monde», a indiqué Louis Tremblay, porte-parole de l’arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie. L’arrondissement avait initialement proposé la piétonnisation tout au long de la semaine, ce qui avait soulevé le mécontentement des occupants du quartier. Cette fois, le projet vise une fermeture à la circulation durant la fin de semaine seulement, soit du vendredi 16 h au dimanche 17 h, entre la 1ère avenue et le boulevard Saint-Michel. L’accès aux voitures serait interdit, mais la ligne d’autobus qui dessert l’artère resterait en service. Les propriétaires des établissements commerciaux seraient invités à installer des terrasses. Une partie des frais de ces travaux serait prise en charge par l’arrondissement. Des commerçants peu convaincus Si les commerçants doivent attendre à la mi-juin pour se prononcer, d’autres laissent déjà paraître leur désaccord. «Ça ne nous arrangerait pas du tout. Ce serait un gros problème pour le stationnement, parce que la plupart de nos clients viennent en voiture. Ça ne serait pas bon pour les commerçants de la rue», a témoigné Dionisios Chronopoulos, propriétaire du buffet Casa Corfu. «Notre position reste la même, c’est-à-dire qu’on est contre. Nous avons trop de marchandises volumineuses qui nécessitent une voiture», a répondu Dominic Bélanger, propriétaire de la Quincaillerie Rona Bélanger, qui affirme qu’une grande partie de son chiffre d’affaires annuel provient des ventes effectuées durant les fins de semaine d’été. Du côté de la Société de développement commercial Promenade Masson, on souligne que le conseil d’administration a décidé de «soutenir le projet d’essai», a signifié son secrétaire, Michel Séguin. Selon ce dernier, «l’important est de garder les véhicules dans le secteur». Pour ce faire, un projet de construction d’un stationnement à étages est envisagé. Travaux d’embellissement Dans la même lignée de revitalisation, des travaux de réaménagement sont également prévus. «Nous croyons que la piétonnisation et les travaux d'embellissement que nous proposons auront un impact majeur sur la qualité de vie des résidants et sur la vitalité de l'ensemble de ce secteur, c'est pourquoi nous mettons tout en œuvre pour que ce projet aille de l'avant», a pour sa part soutenu le maire de l’arrondissement, François Croteau, par voie de communiqué.
  8. Montréal L'industrie de l'hôtellerie ressuscite Agence QMI Stéphane Fortier 07/06/2010 18h59 MONTRÉAL - Le retour du Grand prix de Formule 1 engendre un effet bœuf sur l’industrie de l’hôtellerie à Montréal, et les établissements affichent un taux d’occupation de 90% à quelques jours de la course. Tentant de pallier les pertes enregistrées à pareille date l’année dernière, les hôteliers profitent en effet de la manne et gonflent le prix des chambres. «Les coûts varient selon l’hôtel», indique Bill Brown, vice-président exécutif de l’Association des Hôtels du Grand Montréal. Par exemple, le Best Western Europa au centre-ville, demande entre 300 $ et 375 $ durant la fin de semaine du Grand Prix. Normalement, on peut y bénéficier d’une chambre pour un prix allant de 109 $ à 180 $. Au Days Inn, on demande en moyenne 417 $ par jour pour une chambre durant la semaine du 9 au 13 juin. Dans une période plus creuse, la même chambre coûte 120 $. «Il reste encore des chambres, mais surtout en périphérie de Montréal. Il y a des disponibilités encore au centre-ville, mais il faut faire vite», constate M. Brown. Rebond Le levier économique engendré par le grand cirque de Bernie Ecclestone s’est fait sentir dès le mois de mai 2010 puisque les hôtels du Grand Montréal ont enregistré 10% de demandes de réservation de chambres de plus qu’à pareille date l’an dernier. «Pour augmenter le taux d’occupation de nos hôtels, il n’y a rien qui s’approche du Grand prix de Formule 1. Ce sont les journées les plus importantes de l’année. C’est un véritable catalyseur pour nos membres», fait remarquer M. Brown. «Ceux qui réservent des chambres viennent de partout dans le monde. La plupart viennent profiter de toute la frénésie de la fête. D’autres n’assistent qu’aux qualifications et d’autres à la course en tant que telle», poursuit M. Brown. En juin 2009, le taux d’occupation enregistré montrait une nette baisse, période où habituellement Montréal reçoit le Grand prix de Formule 1. L’hôtel Delta, en plein cœur du centre-ville de Montréal, notait un taux d’occupation en baisse de 10 % par rapport à 2008. Et les autres hôtels présentaient des baisses similaires allant de 8 % à 11 %. «L’absence du Grand prix de Formule 1 s’est cruellement fait sentir chez nos membres», confirme M. Brown. En termes de retombées, un événement comme le Grand Prix du Canada rapporte entre 75 et 100 millions $. On estime que 20 % de ce montant, environ 15 millions $, est consacré à l’hébergement.
  9. Le Québec sur une mauvaise pente * Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement * 13:00 Le secteur de l'immobilier devrait également poursuivre son ralentissement durant les mois à venir. Selon Desjardins, l’économie québécoise s’est engagée sur une mauvaise pente, et cela devrait perdure durant les trois à six prochains mois. L'Indice précurseur Desjardins (IPD) a d'ailleurs perdu 0,7% en janvier, ce qui représente une quatrième diminution mensuelle consécutive pour l'IPD. Cette nouvelle chute indiquerait que l'économie québécoise est maintenant engagée dans un sérieux ralentissement qui devrait, selon Desjardins, se poursuivre pour au moins trois mois. Plusieurs autres facteurs économiques pointeraient également dans la même direction comme les livraisons manufacturières, les ventes des détaillants, celles des grossistes et la consommation. Le secteur de l'immobilier devrait également poursuivre son ralentissement durant les mois à venir. « Même si la réduction des taux hypothécaires a donné du tonus à la composante habitation en janvier, ce secteur continuera de s'affaiblir, soutient Hélène Bégin, économiste senior chez Desjardins. La détérioration de l'économie sera donc assez généralisée, de sorte que le PIB réel diminuera de 1,3 % en 2009. » Alors que la composante consommation de l'IPD s'est considérablement détériorée, coulée par les nombreuses mises à pied et par l'affaiblissement de la confiance, la composante habitation a quant à elle rebondi de 1,0 % en janvier sous l'impulsion de la réduction des taux hypothécaires. Mais la reprise n'est toutefois pas pour demain dans ce secteur puisque tous les autres indicateurs ont poursuivi leur tendance à la baisse. La diminution des indicateurs avancés continuerait d'affaiblir la composante exportation de l'IPD : « Voilà qui confirme que le climat économique se détériorera davantage pour les exportateurs québécois, prévient Hélène Bégin. Le repli des expéditions à l'étranger sera plus important en 2009, car la relance nord-américaine tardera à venir. » En dernier lieu, la composante financière de l'IPD est demeurée négative en janvier puisque, selon Desjardins, l'indice boursier Québec-30 a diminué de 6,3 % durant la période. Dans une nouvelle tentative de stimuler le marché du crédit, la Banque du Canada a de nouveau réduit son taux directeur ce matin à 0,5%. « Il s'agit bien entendu d'un nouveau creux historique, explique Hélène Bégin. Ce bas niveau des taux directeurs s'explique par la récession qui prend de l'ampleur au pays et par la faiblesse de l'inflation qui approche maintenant les 1 %. »
  10. Le nouveau visage de Calgary Le Bow, un édifice à bureaux de 58 étages et 236 mètres Publié le 19 février 2009 à 12h04 | Mis à jour à 12h09 (Calgary) Calgary, métropole économique de l'Alberta, veut se refaire une réputation architecturale. Son dernier projet d'édifice à bureaux, le Bow, sera le nouveau visage de la ville. Actuellement, le centre-ville de Calgary abrite d'innombrables édifices à bureaux, tous aussi carrés les uns que les autres. Mais le paysage architectural de la ville changera bientôt à jamais. Depuis juin 2007, un millier de travailleurs s'affairent à ériger le Bow, un édifice à bureaux de 58 étages et 236 mètres de hauteur qui doit être inauguré en 2011. Le Bow sera le sixième édifice le plus élevé au pays. Aucun édifice à l'extérieur de Toronto ne touchera le ciel aussi haut. Mais ce qui fera la renommée du Bow, ce n'est pas tant sa hauteur que son design audacieux en demi-lune. « C'est l'édifice qui va redéfinir Calgary. Peu importe où vous serez, c'est ce que vous verrez en premier. Le Bow est l'exemple parfait que Calgary s'intéresse à l'architecture. Ce n'est pas une tour à bureaux carrée comme on en voit partout », dit Michael Brown, vice-président de Matthews Development, l'entreprise du Texas en charge de construire le Bow. Pour les gens de Calgary, le Bow - un clin d'oeil à la rivière Bow qui traverse la ville - sera le nouveau visage de la ville, un peu comme la Tour du CN à Toronto et le Stade olympique à Montréal. Mais pour l'entreprise de gaz naturel EnCana, le projet de 1,4 milliard sera simplement un lieu de travail. EnCana sera le seul locataire du Bow. Ses employés occuperont les 58 étages de l'édifice durant au moins 25 ans, la durée du bail initial. « Ça impressionne les gens que je rencontre à l'étranger, dit Michael Brown. Il y a plusieurs tours impressionnantes au Moyen-Orient, mais aucune d'entre elles n'abrite un locataire unique. » Présentement, les employés d'EnCana sont éparpillés dans six édifices du centre-ville. Un casse-tête logistique quand vient le temps d'organiser des réunions. En 2011, tous les employés d'EnCana déménageront au Bow. « Le Bow a été construit afin d'améliorer notre productivité, dit Gerry Protti, vice-président aux affaires corporatives d'EnCana. Nous voulions un édifice attirant et fonctionnel pour que nos employés aient hâte de venir travailler le matin. » EnCana doute que le Bow vole la vedette aux autres symboles architecturaux de la ville, la Tour de Calgary et Bankers Hall. « Nous sommes fiers et nous avons hâte d'inaugurer le Bow en 2011, mais Calgary a déjà beaucoup de symboles, fait valoir M. Protti. L'important, c'est que Calgary ne revive pas une période comme les années 1980, où les gens voyaient les édifices vides ou construits à moitié en raison de la récession et du programme énergétique du gouvernement fédéral. » La récession secouant l'économie canadienne n'aura pas raison du Bow, mais l'immense chantier au centre-ville de Calgary a néanmoins été affecté. Durant les Fêtes, les travaux ont été interrompus durant deux semaines par le propriétaire du Bow, la fiducie H&R Real Estate Investment, qui peinait à trouver les 200 millions nécessaires afin de continuer la construction. Michael Brown minimise la portée de cet incident. « C'est vrai que nous avons économisé de l'argent en fermant le chantier durant les vacances de Noël, mais nous avons seulement perdu trois jours de travail en raison des jours fériés, dit-il. En plus, nous n'avons plus d'acier car nous avions pris de l'avance en raison de la température clémente l'automne dernier.» L'ingénieur originaire de Calgary est optimiste de pouvoir mener son projet à terme avant l'échéancier initial de la fin 2011. Entre-temps, Michael Brown savoure chaque minute de cette aventure avec l'intention avouée de collectionner des histoires à raconter à sa progéniture. « Je me rappelle encore les histoires que mon grand-père me racontait sur l'inauguration de la Tour de Calgary, dit-il. Il était présent comme policier. Le Bow, c'est l'édifice qui va marquer la vie de mes enfants. »
  11. Les ventes de véhicules continueront de fléchir de façon notoire au Canada durant le premier semestre de 2009 pour ensuite afficher de meilleurs résultats. Pour en lire plus...
  12. Durant la période de trois mois terminée le 31 décembre, l'entreprise torontoise a compté 199 000 nouveaux abonnés à ses services sans fil, en hausse par rapport aux 183 000 enregistrés un an auparavant. Pour en lire plus...
  13. La compagnie a vu son titre s'échanger pour moins de 1 $ US durant une période de 30 jours ouvrés consécutifs. Pour en lire plus...
  14. Alors que Noël est coincé cette année entre une crise financière et une récession économique, il sera difficile d'éviter le sujet autour de la dinde et de la farce. Mais pour éviter de sombrer dans la déprime générale, profitez-en pour aborder la situation avec un sourire. Des gens inventifs, inspirés par la crise, ont mis sur le marché divers produits susceptibles de détendre l'atmosphère durant le repas, la soirée ou l'échange de cadeaux. Pour en lire plus...
  15. La compagnie lève le pied durant la période des Fêtes en raison des conditions difficiles qui prévalent sur le marché de la pâte. Pour en lire plus...
  16. De nombreux hommes de chevaux de la province craignent que l'arrêt temporaire des courses durant la période hivernale ne sonne le glas de cette industrie au Québec. Pour en lire plus...
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  19. Trou béant de la Tour de Russie, symbole de la crise 21 novembre 2008 - 11h27 Agence France-Presse La Tour de Russie, futur plus grand immeuble d'Europe, devait incarner à Moscou les succès économiques russes, mais avec l'annonce vendredi du gel du projet, le trou béant de ce chantier symbolisera désormais la crise financière dans le pays. La construction de ce mastodonte de 612 mètres et 118 étages, censé battre un nouveau record après la Tour de la Fédération dans le quartier de Moskva City, avait été lancée en grande pompe en septembre 2007 et devait être achevée en 2012. Mais comme pour d'autres projets encore dans leur phase initiale, le promoteur de ce bâtiment dessiné par l'architecte britannique Norman Foster a gelé les travaux, jetant un nouveau froid sur un marché habitué à tous les records et toutes les extravagances. «On ne peut pas réaliser de tels projets dans les conditions économiques actuelles (...) Les taux d'intérêts sont élevés et il n'y a pas de ressources en crédits», a expliqué dans un entretien à l'agence de presse Interfax le patron de Russian Land, Chalva Tchiguirinski, qui devait construire le gratte-ciel. Il a aussi annoncé des licenciements et la mise au placard d'un autre projet phare de la société, l'immeuble Kristall, aussi créé par Norman Foster, à Khanti-Mansiisk, région pétrolière de Sibérie. M. Tchiguirinski n'a donné aucun calendrier pour la reprise des travaux, tout en assurant que l'arrêt était temporaire. Signe que tout le secteur souffre de la crise financière mondiale et de la chute des cours du pétrole, principale ressource en devises du pays, l'une des grosses sociétés de construction de Moscou, a annoncé une campagne de «soldes de 25% pendant les fêtes de fin d'année» sur ses appartements. Ainsi, dans le «Dom na Begovoï», un immeuble neuf en bordure du centre de Moscou, le mètre carré passera de 4000 à 3000 euros, a indiqué Oleg Stourakov, du département des ventes de Donstroï. «Les autres années, on faisait à cette période des réductions de 10-12% mais cette année, ça n'intéresserait personne (...) Il est clair qu'en Russie, comme ailleurs dans le monde, il n'y a pas d'argent», explique-t-il. Au regard des difficultés sur le marché et malgré l'ampleur de la promotion, ce responsable n'ose cependant pas s'avancer sur le succès que rencontrera l'opération auprès du public. «Personne ne va faire des prévisions, avec le retournement de situation actuel, on se tromperait à tous les coups», note M. Stourakov. Un sondage publié jeudi par l'institut Vtsiom souligne d'ailleurs que le pourcentage de Russes s'attendant à une stabilisation ou une baisse des prix de l'immobilier est passé de 17% en octobre à 31% en novembre. Pour Barry Schumaker, expert du secteur immobilier à la banque Uralsib, l'annonce des remises chez Donstroï va être suivie par les autres sociétés du secteur durant les «six à neuf mois à venir», et ce qui devait être une promotion de Noël deviendra finalement la norme. «Toutes les sociétés qui ont un gros stock d'invendus vont devoir faire ça. Ca fait deux mois que rien ne se vend, et les compagnies ont désespérément besoin de liquidités», relève l'expert, qui prévoit aussi des «banqueroutes». Car les sociétés de construction, portées par les crédits faciles et un boom sans précédent dans l'immobilier durant les années 2000, se sont largement endettées pour profiter d'un marché en pleine expansion. «A un moment donné, elles seront mêmes prêtes à vendre à perte si leurs dettes commencent à vraiment les menacer», prévoit M. Schumaker. D'autant que les acheteurs potentiels soit «n'ont pas assez confiance en l'avenir pour acheter un bien immobilier maintenant» soit, compte tenu des conditions actuelles, «sont intelligents et attendent que les prix baissent.
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