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  1. http://www.nightlife.ca/2016/07/22/osheaga-demenage L’annonce a été faite hier par Nick Farkas et Dan Glick, qui s’occupent du booking chez evenko. C’est durant un Livestream, pendant lequel les fans du festival étaient invités à poser leurs questions, que les deux responsables de la programmation ont annoncé la grande nouvelle. Comme 2017 marque le 50e anniversaire de l’Expo 67, le Parc Jean-Drapeau recevra une cure de rajeunissement majeure. Les deux îles qui s’y retrouvent, l’île Sainte-Hélène et l’île Notre-Dame, subiront donc des rénovations importantes. Nick Farkas, vice-président aux concerts et événements chez evenko, a expliqué dans la vidéo que les rénovations étaient supposées être terminées pour l’été prochain, mais que malheureusement, le tout prendra plus de temps. C’est pourquoi la 12e édition du festival Osheaga se tiendra dans un autre lieu. Voici ladite vidéo. Sa réponse se trouve aux alentours de 15 :30. Le nouvel emplacement n'est pas encore dévoilé, mais dans la vidéo, Nick Farkas assure que ce sera un site pas trop loin de celui où se déroule maintenant Osheaga. Il ne pouvait pas en dire plus pour l’instant, car rien n’est coulé dans le béton, mais il promet que ce sera très excitant! Toi, t’aimerais qu’elle se déroule où la 12e édition du festival? Sent from my SGH-M919V using Tapatalk
  2. http://www.lactualite.com/blogues/le-fouineur/montreal-il-y-a-50-ans/ <header style="margin: 0px 0px 20px; padding: 0px 0px 20px; border-width: 0px 0px 1px; border-bottom-style: solid; border-bottom-color: rgb(204, 204, 204); font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; float: left; width: 1000px;">Voici à quoi ressemblait la vie à Montréal, en 1964. <time class="published" title="2014-01-08T16:26:58+00:00" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline;">8 jan. 2014</time>par Vincent Destouches <ins style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: bottom; width: 300px; height: 250px; display: inline-table; position: relative;"><ins style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; width: 300px; height: 250px; display: block; position: relative;"><iframe id="google_ads_iframe_/7326/Rogers.ExchangePassbacks/lactualite.CPGFrench_1" name="google_ads_iframe_/7326/Rogers.ExchangePassbacks/lactualite.CPGFrench_1" width="300" height="250" scrolling="no" marginwidth="0" marginheight="0" frameborder="0" style="margin: 0px; padding: 0px; border-width: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; position: absolute; top: 0px; left: 0px;"></iframe></ins></ins> </header> En 1964, les rues étaient tout aussi enneigées. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, les Montréalais se promenaient au Jardin des Merveilles, et les enfants profitaient de la baleine de Jonas ou encore de l’arche de Noé. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la Ville se préparait à accueillir l’Expo 67 en agrandissant l’île Sainte-Hélène et en érigeant l’île Notre-Dame. En 1964, la Place Ville Marie trônait depuis deux ans seulement sur le centre-ville. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le pont Champlain tenait sans super-poutre. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le Vieux-Montréal était à l’aube d’une transformation. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la gare Windsor servait encore de terminus et de siège social au Canadien Pacifique. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, il n’y avait pas de plage urbaine ni d’Igloofest dans le port de Montréal. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, on faisait du bateau sur l’étang du parc La Fontaine, lors des beaux vendredis d’été. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la rue Sainte-Catherine était à double sens. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, les Montréalais n’utilisaient pas le métro, mais seulement les bus de la Commission de transport de Montréal (CTM), l’ancêtre de la STM. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, on allait voir les Canadiens affronter les Bruins au Forum. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, Claude Léveillée, Nat King Cole et Charles Aznavour se produisaient à la Place des Arts. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le défilé de la Saint-Jean-Baptiste était haut en couleur, comme ici le char de la pêche sportive. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la Maison de Radio-Canada n’existait pas encore. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le mont Royal était un poil plus fringant. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, l’aéroport de Dorval était le plus achalandé au Canada. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, il y avait quelques tours en moins au centre ville, mais les nuits montréalaises étaient toutes aussi belles. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Quant à 1914, on dirait que c’était il y a un siècle… Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Toutes ces photos appartiennent aux Archives de la Ville de Montréal. Rendez-vous sur leur page Flickr pour en voir davantage.
  3. <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">http://journalmetro.com/actualites/montreal/416662/montreal-a-travers-les-tombes/ Mise à jour: 11 décembre 2013 | 10:36 L’histoire de Montréal à travers les tombeso </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Yves Provencher/Métro«On n'apprend pas l'histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments,» explique Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse.</figcaption></figure>Au milieu des dénivelées de la montagne et dans le silence des sépultures du cimetière Mont-Royal, le Montréal d’antan est toujours bien présent. Bien loin des bouquins et des façades du centre-ville se cache une tout autre manière de découvrir la vie des familles qui ont fait le passé de la métropole québécoise. Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse, fait connaître ce secret de la ville lors de ses visites guidées du cimetière. «On n’apprend pas l’histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments», explique-t-elle. Dominant, même dans la mort À quelques mètres de l’entrée du cimetière, perché sur une petite colline, se dresse l’îlot de la famille Allen. Entouré d’un luxueux grillage en fer forgé, impossible de le manquer. «Cet aménagement correspond tout à fait à l’importance de la famille dans l’univers montréalais. Les frères Allen étaient les princes de Montréal», affirme d’emblée Armelle Wolff. Situé sur l’un des sommets de la partie la plus ancienne du cimetière, cet îlot familial a une vue impressionnante sur les sépultures autour. La tombe de Hugh Allen, détenteur de la plus grande fortune du Canada au 19e siècle, grâce à un monopole dans le commerce maritime, est donc placée aussi avantageusement dans le cimetière que la villa qu’il possédait près du mont Royal. «Il a le même rôle stratégique dans le cimetière que celui qu’il avait dans la ville, car, depuis sa résidence, il voyait arriver leurs bateaux dans le port. Même mort, il reste en terrain dominant», note la conférencière. Rencontre entre amis John Samuel McCord, premier président du cimetière Mont-Royal jusqu’en 1865, repose à l’endroit culminant du cimetière primitif. «Une place de choix», affirme Mme Wolff. Mais ses voisins de tombe révèlent un phénomène encore plus intéressant. À ses côtés se trouvent les sépultures de Peter McGill, ancien maire de Montréal, du révérend Francis Fulford et de la famille Ross. «C’était tous des amis, raconte Mme Wolff. Leurs villas à Montréal étaient voisines, tout comme leur tombe. Plusieurs de ces familles étaient même liées par des mariages.» Cette disposition des tombes regroupées entre famille et amis proches expose un phénomène courant de l’époque, selon la conférencière. «Les Montréalais avaient l’habitude de venir au cimetière le dimanche pour rendre visite à leurs proches décédés. Mais ils venaient entre amis et entre voisins. Avec cette disposition des tombes, ils se retrouvaient également entre amis et voisins au cimetière. Ils ne sortaient jamais de leur monde», explique la conférencière. La vie collective dans la ville ne faisait donc pas exception au cimetière. Des catholiques chez les protestants Le cimetière Mont-Royal ouvre en 1852 sous une administration anglophone protestante. Les protestants n’étant pas admis dans les cimetières catholiques, ils devaient reposer dans un espace distinct. Le cimetière Notre-Dame-des-Neiges, qui ouvre en 1855, est quant à lui réservé aux catholiques pratiquants en règle. Tous ceux qui ne peuvent pas prouver qu’ils sont de confession catholique, ou qui sont rejetés par le clergé, ne pouvaient pas, jusque dans les années 1960, être enterrés en terrain consacré. Ils étaient alors automatiquement dirigés vers le cimetière protestant Mont-Royal. «Vous voyez, ici, c’est la loge des francs-maçons francophones…catholiques», lance Mme Wolff. Étonnant pour un cimetière protestant… «Chez les francophones catholiques, la franc-maçonnerie était une hérésie. C’était des anticléricaux, qui se battaient pour l’éducation laïque», rappelle la conférencière. Les francs-maçons étant donc bannis de l’Église, ceux de confession catholique devaient eux-aussi être enterrés dans le cimetière protestant Mont-Royal. «Souvent, les gens ont tendance à fonctionner par polarisation: c’est blanc ou noir. Il y a les catholiques et les protestants. Ici on peut voir que, dès le départ, c’était beaucoup plus compliqué que ça», affirme Armelle Wolff. Les Molson s’imposent «L’imposante structure du mausolée de la famille Molson et la place qu’il occupe au cimetière témoignent, comme aucun autre pareil, de l’importance de cette famille à Montréal», affirme Armelle Wolff. Une revue touristique de 1868 parlait même de ce mausolée comme étant le plus prestigieux et le plus monumental du continent Nord-Américain, selon la conférencière. «Ici, ils dominent la ville comme ils dominaient dans le paysage socioculturel montréalais», résume-t-elle.</article>
  4. 9,9 M$ pour agrandir le Collège Montmorency Geneviève Fortin Publié le 25 Mai 2010 Malgré la mauvaise température à l'extérieur, les sourires étaient nombreux au Collège Montmorency, lundi matin, alors que la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, annonçait un investissement de 9,9 M$ pour l'agrandissement de l'établissement postsecondaire. Attendue depuis longtemps, cette annonce est la suite logique de celle faite en octobre concernant l'augmentation du nombre admissible d'étudiants. Le collège qui compte actuellement 5700 étudiants peut en accueillir 100 de plus selon le nouveau devis. Le bâtiment construit au début des années 1970 a quant à lui une capacité d'accueil de 5000 étudiants. Lors de la conférence de presse, la directrice générale du Collège Montmorency, Denyse Blanchet, a souligné qu'il n'était plus possible d'agrandir le cégep de l'intérieur. En entrevue, elle notait que le manque d'espace ne se traduit pas seulement par une pénurie de locaux de classe, mais également par un manque d'espace dans les aires communes, notamment la cafétéria et la bibliothèque. Le député de Laval-des-Rapides, Alain Paquet, estime que l'agrandissement du collège permettra d'avoir un environnement adéquat pour l'enseignement. Celui qui avait promis l'agrandissement de l'établissement collégial lors de la dernière campagne électorale a insisté sur l'importance de pouvoir compter sur une relève qualifiée dans un contexte où le taux de chômage est très bas. Travaux La directrice générale dit espérer que les travaux d'agrandissement débuteront l'automne prochain. Les plans de construction n'étant pas établis, les élus et Mme Blanchet ne peuvent dire de quelle façon on augmentera l'espace, ni de quel côté le bâtiment s'agrandira. «Nous avions déjà travaillé sur des plans, mais ils étaient pour un devis pédagogique moindre», indique Mme Blanchet. Elle assure toutefois, que les plateaux sportifs ne seront pas être sacrifiés. -------------------------------------- 1er juin 2010 Expansion du collège Montmorency (à droite)
  5. Un autre série d'immeuble qu'on pourrait qualifier de "taudis"... Mais au moins, il y a du changement qui s'en vient .... Il y avait d'autres immeuble du même ensemble dont les travaux étaient un peu plus avancés près de Jarry, mais je pouvais pas m'arrêter.
  6. Provigo : le siège social se vide aussi 15 novembre 2011 | 18h52 ARGENT Au siège social, ils étaient 1200 employés au tournant des années 2000, ils ne sont plus que 300 après la fermeture du département d’informatique survenue la semaine dernière. « Provigo est l’enfant délaissé de Loblaw » Olivier Bourque Argent Il n’y a pas que les entrepôts montréalais de Provigo qui se vident. Au siège social, ils étaient 1200 employés au tournant des années 2000, ils ne sont plus que 300 après la fermeture du département d’informatique survenue la semaine dernière, a appris Argent. Photo : Agence QMI En tout, environ une centaine de travailleurs évoluaient dans ce secteur. Loblaws a décidé d’impartir ce service vers IBM. Seulement une poignée de travailleurs de Provigo a pris le chemin du bureau montréalais du géant informatique. Cette information a été confirmée par plusieurs sources. «Tout a commencé en 2005. On a perdu les emplois par centaines dans tous les secteurs. Et selon moi, c’est loin d’être terminé», nous a indiqué un ex-employé qui a voulu demeurer anonyme pour éviter de se faire «stigmatiser» dans son secteur professionnel. Selon cet ex-travailleur, les derniers mois ont été particulièrement difficiles. Plusieurs employés devaient accepter d’être rétrogradés. D’autres ont passé des entrevues pour des postes, mais uniquement en anglais et menées par des patrons provenant de Loblaw à Toronto. «Nous avons eu plusieurs patrons qui étaient anglophones. Un d’entre eux était d’ailleurs unilingue anglais. C’était assez désolant», nous a-t-il confié. Questionnée sur ces pertes d’emplois au «siège social» de Provigo situé au 400, boulevard Sainte-Croix, l’entreprise a minimisé la situation. Par courriel, la porte-parole de Provigo Josée Bédard a souligné que 600 employés travaillaient toujours au siège social. Sur place, certains employés d’entreprises qui louent les locaux de Provigo ont confirmé le confinement de l’ancien géant de l’alimentation à quelques étages seulement. L’entreprise fait notamment la location d’une partie de ses installations à l’imprimeur Transcontinental. Courriels inquiétants Par ailleurs, Argent a reçu plusieurs courriels lors des derniers jours et a consulté plusieurs sources. La plupart nous ont confirmé qu’il était périlleux pour eux de s’adresser avec les médias. «Il est maintenant interdit aux employés de parler aux journalistes sous peine de congédiement. C’est rendu l’enfer», a relaté un employé. «Ils n’ont aucun respect du Québec, aucun respect du français, car parfois, on ne peut pas communiquer avec eux si on ne parle pas anglais», a affirmé un autre employé dans un autre courriel.
  7. http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/bd-et-livres-jeunesse/201009/10/01-4314221-comiccon-2010-montreal-le-super-heros.php Super! J'espère que ça va se développer ici. Je pense qu'on devrait: 1- relier cet événement au festival Fantasia. La renommée de l'un aiderait l'autre, et on en ferait un rendez-vous encore plus complet! 2- intégrer une section BD européenne et francophone, question d,étendre la visibilité au public franco. Plus de monde, plus de succès, une formule plus originale qu'ailleurs en Amérique du Nord. La jonction unique entre le monde de la BD Euro et US, on est très bien placés pour pouvoir la faire à MTL! Je pense qu'on a un vrai potentiel ici!
  8. J'ai pensé qu'une bonne idée pour un fil serait un fil sur nos histoires comme passagers sur transport en commun (métro, train de banlieue, autobus, etc). Je vas commencer. J'ai fini des travaux pour un de mes classes à l'université avant de partir pour le métro à 5:45 au station Guy-Concordia. Il avait plein de monde qui attendait pour un train. Un message sur l'intercom disait qu'il y avait un ralentissement de service sur la ligne verte en direction Honoré-Beaugrand. Ah! c'est pour ça! j'ai pensé. Environ 2 minutes plus tard un train a venu (je n'avais pas vraiment besoin d'attendre). Tout les wagons étaient remplis, et j'ai embarqué sur un. J'ai remarqué que le wagon étaient exactment 3/4 plein, avec 1/4 complètement vide. Je tenais à un poteau. Puisqu'il y avait un section plus ou moins vide juste à coté, j'ai décidé de m'en aller s'asseoir. Un jeune homme fit un geste vers le plancher à côté de moi. J'ai regardé, et j'ai vu un monticule de grands morceaux de vomi orange. J'ai presque perdu MON lunch. J'ai immédiatement changé de place en attendant pour la prochaine station. Même de mon nouveau siège, je pouvais sentir que l'odeur du vomit orange. J'ai débarqué à Peel (et j'avais un drôle d'expression sur ma face que certains passagers attendants au station ont remarqués). Finalement, j'ai embarqué sur un autre wagon, et j'ai continué jusqu'à mon destination.
  9. Le Mardi 4 Août 2009 | Mise en ligne à 15h03 À quoi ça sert, un maire ? Ariane Krol David Miller a tenu tête aux employés municipaux durant plus d’un mois, mais apparemment, ce n’était pas assez. Les Torontois se montrent beaucoup moins enclins à réélire leur maire qu’avant le conflit, montre un sondage CTV/The Globe and Mail. Et on ne parle pas d’un petit recul. Presque 60% des citoyens interrogés ont moins envie de voter pour lui aux élections de l’an prochain. L’enquête a été réalisée à la fin de la semaine dernière, juste après que les conditions de l’entente avec le premier syndicat aient rendues publiques. Plus de 60% des répondants trouvent que leur maire s’est écrasé devant les grévistes. Où étaient les partisans de la ligne dure durant le conflit? On a entendu des masses de citoyens se plaindre des ordures qui s’accumulaient dans les parcs, mais très peu dire que le jeu en valait la chandelle. Qu’ils étaient prêts à endurer quelques semaines de puanteur pour éviter que leur compte de taxes ne grimpe en flèche. Remarquez, on ne fait pas mieux avec notre neige, qu’on voudrait voir ramassée instantanément sans se demander combien il en coûterait de plus. La réaction des Torontois a au moins le mérite de donner l’heure juste sur les attentes des citoyens. David Miller n’a pas ménagé ses efforts pour accroître le rayonnement de sa ville. La métropole canadienne s’embellit et devient plus intéressante de jour en jour, au point que son maire est devenu une sorte de repoussoir pour dénoncer l’apathie de Gérald Tremblay. Et pourtant… Ce qui sera déterminant dans l’isoloir, ce ne sera probablement pas l’architecture des musées ou les nouveaux festivals, mais les services municipaux. Parce que la raison d’être d’une municipalité, c’est avant tout de donner des services. Je suis la première à souhaiter que les maires des grandes villes comme Montréal fassent preuve d’inspiration et voient plus loin que la gestion quotidienne. Mais le premier mandat n’exempte pas du second et les élus ne devraient jamais l’oublier. Car ce ne sont pas les commentateurs de tout acabit qui remplissent les urnes, mais les simples citoyens. (Remarquez, si les citoyens en question étaient aussi prompts à aller voter qu’à critiquer les élus , on aurait peut-être des administrations municipales plus efficaces…)
  10. Les mises en chantier d'habitations ont augmenté en mai au Canada Publié le 08 juin 2009 à 08h57 | Mis à jour à 09h46 La Presse Canadienne Ottawa La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) s'attend à ce que le rythme des mises en chantier d'habitations continue de s'améliorer cette année. L'organisme a publié mardi des statistiques qui font état d'une accélération de l'activité, tant dans le segment des maisons individuelles que dans celui des logements collectifs. La SCHL a indiqué que le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d'habitations au Canada a grimpé à 128 400 en mai, comparativement à 117 600 en avril. Elle a observé une hausse de 22% dans les grands centres urbains de l'Ontario, de 16,8% dans les Prairies, de 7,3% dans l'Atlantique et de 3,3% au Québec. Un recul de 5% a toutefois été noté en Colombie-Britannique. On évalue à 20 600 le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier dans les régions rurales du Canada pour le mois de mai. Au Québec, 3594 fondations ont été coulées en mai, comparativement à 4659 un an auparavant. Le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s'est toutefois établi à 35 400 et dépasse donc son niveau d'avril, qui se situait à 33 100. Dans les régions métropolitaines de recensement du Québec, les résultats ont été disparates au cours du dernier mois. Alors que l'activité était en hausse à Gatineau et Sherbrooke, des baisses étaient enregistrées à Trois-Rivières, Montréal et Saguenay. Dans la région de Québec, les mises en chantier d'habitations ont été pratiquement au même niveau qu'à pareil mois l'an passé. Tout comme en avril, les mises en chantier de maisons individuelles étaient en baisse dans la majorité des régions métropolitaines du Québec le mois dernier, alors que les résultats étaient beaucoup plus variés du côté des habitations collectives. Au Nouveau-Brunswick, 334 habitations ont été mises en chantier le mois dernier dans les centres urbains, comparativement à 481 en mai 2008. Les mises en chantier de maisons individuelles ont fléchi de 38% dans les villes de la province: elles ont été au nombre de 138. Au 31 mai 2009, leur cumul annuel se chiffre à 292 et accuse donc un retard de 39% par rapport à l'an passé. Dans le segment des logements collectifs, les constructeurs ont coulé les fondations de 196 logements dans les villes du Nouveau-Brunswick en mai 2009, contre 258 un an plus tôt. Pour sa part, le cumul annuel des mises en chantier de logements collectifs n'accuse qu'un léger retard, de 6,7%, en regard du résultat enregistré pour la période allant de janvier à mai 2008.
  11. Quarante emplois s'envolent chez Air Transat 22 janvier 2009 - 06h39 La Presse Marie Tison Une quarantaine de postes administratifs disparaissent chez Air Transat (TRZ.B) à Montréal, mais le groupe soutient que cette initiative n'a rien à voir avec le ralentissement économique. «Les activités vont à plein régime, a affirmé le porte-parole de Transat, Jean-Michel Laberge, en entretien téléphonique avec La Presse Affaires. Les ventes étaient en avance en décembre dernier, c'est encore le cas actuellement.» Il a expliqué que l'élimination de ces postes faisait suite à une révision de la structure organisationnelle de l'entreprise. Il s'agit, essentiellement, de rendre Transat plus concurrentielle. «Ça ne touche pas des postes d'agents de bord, de pilotes ou du personnel d'entretien, a indiqué M. Laberge. On parle d'emplois de soutien, d'emplois de bureau.» Il a également souligné que 10 des 40 postes abolis étaient déjà vacants. «Il faut mettre les choses en perspective, a-t-il ajouté. Air Transat compte plus de 2000 employés au Canada, alors que l'ensemble de Transat en compte environ 5000. En tout, Transat emploie 6500 personnes dans le monde.» Optimisme Lors de la divulgation de ses résultats annuels en décembre dernier, la direction de Transat s'était montrée optimiste vis-à-vis la récession. Le président et chef de la direction, Jean-Marc Eustache, avait affirmé que les clients pourraient réduire les dépenses liées au voyage et choisir des forfaits moins coûteux, mais qu'ils continueraient à voyager quand même. C'est ainsi que les réservations pour la saison d'hiver étaient supérieures à ce qu'elles étaient l'année précédente à pareille date. L'action de catégorie B de Transat a perdu 49 cents pour clôturer à 9,45 dollars hier à la Bourse de Toronto. Il s'agit d'une baisse de près de 5%.
  12. Transat prévoit survoler la récession 18 décembre 2008 - 06h00 La Presse Marie Tison Jean-Marc Eustache Jean-Marc Eustache s'attend à ce que Transat (TRZ.B) traverse sans trop de mal la zone de turbulences économiques actuelle. «Aujourd'hui, je suis serein, je ne vois rien à l'horizon, même si on me dit qu'il est très sombre, je ne vois rien qui me rende extrêmement inquiet», a déclaré le président et chef de la direction de Transat au cours d'une téléconférence hier, à l'occasion de la divulgation des résultats du quatrième trimestre. Les revenus de Transat ont augmenté de 16,2% au quatrième trimestre par rapport à la même période de l'exercice précédent et le bénéfice lié à l'exploitation a grimpé de 80% pour atteindre 15,9 millions de dollars. M. Eustache a affirmé que les réservations pour la saison d'hiver étaient supérieures à ce qu'elles étaient l'année dernière à pareille date. Click here to find out more! Il a ajouté qu'il avait vécu plusieurs périodes de récession et qu'il était également passé au travers les attentats de 1995 en France, les attentats terroristes du 11 septembre 2001 et de la crise du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) au Canada. «Notre entreprise a toujours continué à se développer, a-t-il affirmé. Mon expérience de récession me dit que ça ne devrait pas se passer trop mal.» Il a expliqué que beaucoup de clients de Transat étaient des fonctionnaires, des policiers, du personnel infirmier, des gens qui continuaient à travailler. «Ils sont habitués à voyager assez régulièrement et je pense qu'ils vont continuer à voyager, a-t-il avancé. Peut-être vont-ils diminuer les dépenses dans les biens durables, mais le voyage, ça fait un peu partie des moeurs.» Selon lui, les clients pourraient réduire les dépenses liées au voyage et choisir des forfaits Trois étoiles plutôt que des forfaits Quatre étoiles, mais continuer à voyager quand même. Il s'agira alors d'adapter l'offre aux besoins des clients. «Nous avons un avantage dans notre pays, nous avons un hiver froid, a ajouté le grand patron de Transat. Rendus en février, même les plus durs, qui ont résisté à l'hiver, finissent par craquer et aller dans le sud.» Transat entend quand même faire preuve de prudence. Ainsi, le voyagiste n'entend pas procéder à des acquisitions dans un proche avenir. «S'il y a des acquisitions fantastiques à faire, nous allons regarder, mais je ne pense pas que ce soit le temps de faire des acquisitions», a déclaré M. Eustache. Transat attendra également un peu avant de bâtir un nouvel hôtel sur un terrain acheté à Punta Cana. L'entreprise mettra plutôt l'accent sur l'amélioration de sa rentabilité. Même si les ventes sont prometteuses, l'entreprise s'attend à ce que les marges de 2009 soient inférieures à celles de 2008 en raison de l'affaiblissement de l'économie canadienne et de la concurrence accrue vers le Mexique et les Caraïbes. En 2008, les revenus de Transat ont augmenté de 15% pour atteindre 3,5 milliards. Le bénéfice lié à l'exploitation a glissé de 18,4% pour se fixer à 57,5 millions, en raison surtout de la hausse rapide des prix du carburant. Des éléments qui n'étaient pas liés à l'exploitation ont toutefois plombé les résultats de l'entreprise. C'est ainsi que le bénéfice net de 78,5 millions réalisé en 2007 s'est transformé en perte nette de 50 millions en 2008. Ce dernier résultat est notamment lié à une perte de 106,4 millions liée à la juste valeur marchande du programme de couverture mis en place par Transat pour se protéger contre les fluctuations des prix du carburant. En vertu des règles comptables, cette perte doit être placée dans les résultats. Par contre, selon les mêmes règles, un gain de 196,1 millions lié à la juste valeur du programme de couverture sur les devises ne peut pas être inscrit dans les résultats. Il doit plutôt être comptabilisé au bilan. «Avec les nouvelles règles comptables, nous sommes obligés de dire des choses que, malheureusement, je trouve farfelues», a déploré M. Eustache. Les résultats de 2008 comprennent également une dévaluation de 45,7 millions liée au papier commercial adossé à des actifs (PCAA). Le titre de Transat n'a pas été échangé hier en raison d'une panne informatique majeure à la Bourse de Toronto.
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