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  1. Très bonne nouvelle pour le patrimoine de Montréal *** 28/05/2014 Mise à jour: 28 mai 2014 | 19:54 Ajuster la taille du texte L’église Très-Saint-Nom-de-Jésus rouverte au culte à Noël http://journalmetro.com/actualites/montreal/501635/leglise-tres-saint-nom-de-jesus-rouverte-au-culte-a-noel/ Par Marie-Eve Shaffer Métro ’église Très-Saint-Nom-de-Jésus pourrait rouvrir ses portes à temps pour tenir une première messe de Noël depuis six ans. Presque cinq ans après avoir fermé ce lieu de culte d’Hochelaga-Maisonneuve en raison des coûts d’entretien élevés, l’Archevêché de Montréal a décidé de le rénover à grands frais dans l’espoir de le rouvrir au culte vers la fin de l’année. Il a lancé cet hiver des travaux d’urgence pour sécuriser le bâtiment. Des acteurs de la communauté ont pu visiter le chantier au début de la semaine et prendre connaissance de l’état de l’église. «C’est un grand chantier qui fait toute la hauteur de l’église, avec des échafauds qui montent jusqu’au ciel», a illustré la députée d’Hochelaga, Carole Poirier. C’est vraiment impressionnant.» «J’ai été agréablement surpris, a dit de son côté le directeur archiviste de l’Atelier d’histoire d’Hochelga-Maisonneuve, Réjean Charbonneau. Je suis content que l’archevêché prenne en compte la valeur culturelle et artistique des temples qu’il a contribué à ériger par les mains de nos ancêtres.» Depuis 2009, l’église Très-Saint-Nom-de-Jésus a été entretenue au minimum. «[Malgré tout], la structure de l’église demeure solide et viable, mais il y a des ajustements et des réparations qui sont nécessaires», a indiqué l’archevêque de Montréal, Mgr Christian Lépine. Il y a près de deux ans, le bris d’une conduite avait endommagé la voûte de l’église et avait fait tomber la toile centrale de la nef, intitulée Le Père éternel. Des travaux sont présentement en cours pour réparer la toiture, retirer l’amiante de la structure de l’église et refaire le plâtre des murs et du plafond. L’œuvre d’art a quant à elle été envoyée chez un restaurateur. Le célèbre orgue Casavant de l’église est en bonne état, a assuré l’Archevêché de Montréal. L’entreprise Casavant Frères veille à son entretien et s’est assurée qu’il serait bien protégé pendant les travaux. L’Archevêché de Montréal espère remettre complètement en état l’église Très-Saint-Nom-de-Jésus d’ici 5 ans. L’électricité, la maçonnerie et toute la décoration intérieure feront aussi l’objet de réfection ou de nettoyage. La facture totale atteindra près de 6M$. Pour s’en acquitter, l’Archevêché pigera dans son fonds d’entraide des paroisses et il organisera une campagne de financement pour l’entretien de son patrimoine religieux. «On n’a pas tout l’argent pour faire les travaux, a indiqué la directrice des communications de l’Archevêché de Montréal, Lucie Martineau. Mgr Lépine a autorisé des dépenses pour des interventions urgentes.» Une église ouverte à des activités culturelles et communautaires Même si les travaux ne seront pas complétés, l’Archevêché de Montréal entend rouvrir l’église Très-Saint-Nom-de-Jésus aux résidants d’Hochelaga-Maisonneuve vers la fin de l’année. Les activités de culte y seront organisées en priorité, mais des événements culturels pourront aussi s’y dérouler. Des discussions sont en cours avec les organisateurs du festival Orgue et couleurs. L’archevêché est aussi prêt à laisser une partie du sous-sol de l’église à l’organisme communautaire pour personnes âgées Résolidaire, qui perdra son local d’ici 2015. Quelques dates 1903 à 1906 – Construction de l’église Très-Saint-Nom-de-Jésus selon une inspiration byzantine et romaine. 2009 – L’Archevêché de Montréal ferme l’église Très-Saint-Nom-de-Jésus en raison des coûts élevés d’entretien qui atteignent près de 100 000$ par année. 2010 – L’Archevêché décide de démolir l’église pour y construire à la place un immeuble de logements abordables. 2010 – La communauté d’Hochelaga-Maisonneuse se mobilise pour sauver l’église. Le cardinal Jean-Claude Turcotte accepte de la vendre pour la somme symbolique de 1$. 2012 – Mgr Christian Lépine est nommé à la tête de l’Archevêché de Montréal. Il met un holà à tous les projets de vente d’église. 2013 – L’Archevêché annonce qu’il rouvrira l’église Très-Saint-Nom-de-Jésus au culte.
  2. La succursale vient tout juste d'être inaugurée après plusieurs mois de travaux d'agrandissement et de rénovations. L'entrée du magasin a été relocalisée du côté Est. Elle était auparavant située du côté Nord. Après les travaux: Avant les travaux: Source: Google StreetView
  3. Selon une nouvelle émise par le Journal La Presse, la Raffinerie Shell de Montréal-Est serait sur le point d'être sous les piques des démolisseurs. Cette raffinerie, fondée en 1932, constitue un patrimoine culturel important pour le Québec puisqu'il s'agit de la seule unité de raffinage du pétrole ayant une aussi grande profondeur historique. Dans le paysage de Montréal depuis 80 ans, la raffinerie pourrait disparaitre dans les prochains mois. Cette mauvaise nouvelle reste encore floue sur la quantité de démolition. Est-ce qu'il y aura des efforts de conservation des bâtiments de briques rouges sis sur la rue Sherbrooke-Est ?! Est-ce que nous pourrons conserver au moins une unité de la raffinerie afin de rendre hommage à cette époque industrielle pétrolière dans l'Est de Montréal ? Bref, que des questions à se poser sur le sujet ! (1932-2012) Shell: la démolition de la raffinerie va commencer Les travaux de démantèlement et de démolition de l'ancienne raffinerie de Shell à Montréal-Est débuteront sous peu, a annoncé mardi la multinationale. Dans un communiqué, Shell a indiqué avoir choisi l'entreprise de services environnementaux Delsan-AIM, de Montréal, pour effectuer les travaux, dont les coûts n'ont pas été divulgués. Dans le cadre de l'entente, Delsan-AIM achètera puis revendra les réservoirs, la tuyauterie et les autres équipements de raffinage ayant une valeur marchande en vue de leur réutilisation ailleurs dans le monde. Les éléments qui ne trouveront pas preneur seront recyclés. Shell et Delan-AIM prévoient que les travaux s'échelonneront jusqu'à la fin de 2014. Quant à la restauration du terrain de la raffinerie, elle doit avoir lieu au printemps 2013. Québec a autorisé le démantèlement de la raffinerie en juin 2011. Le gouvernement avait conclu que la fermeture des installations n'allait pas entraîner de pénurie puisque les deux autres raffineries de la province ont une capacité totale de 400 000 barils par jour, soit 40 000 barils de plus que la consommation québécoise quotidienne. La raffinerie de Shell, qui a cessé ses activités en novembre 2010, donnait du travail à environ 800 personnes. Le syndicat des employés a multiplié les efforts pour bloquer sa fermeture, mais en vain.
  4. Complexe Funéraire Goyer. Photos prises pour le début des travaux 24 juillet,suivante 12 août, et 15 septembre.. Le Complex Funéraire est situé sur le boul Desjardins ou était le dépositaire GM Desjardins Automobile. Yvon L'Aîné
  5. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2013/06/27/004-moisissures-condominium-sante.shtml Un condominium rendu inhabitable par des moisissures Le rêve de Nathalie Parent d'être propriétaire s'est transformé en cauchemar. Son condominium hypothèque sa santé et celle de l'amie qui vit avec elle. Les moisissures rendent également sa copropriété inhabitable. Un reportage d'Anne-Louise Despatie Depuis trois mois, elle ne peut plus habiter dans l'appartement. « J'ai toujours eu une bonne santé, mais depuis deux ans, c'était des bronchites à répétition, des infections aux yeux, aux oreilles, à la gorge, de l'enflure et une immense fatigue ». Vivant tantôt chez sa sœur, tantôt chez des amis, elle doit continuer de payer l'hypothèque et les frais, mais n'a pas plus de chez-soi. L'ampleur du problème de moisissures dans son appartement s'est révélée l'an dernier lorsqu'elle a fait faire une analyse de qualité de l'air, demandée par un acheteur intéressé. « On a enfin compris pourquoi on avait été si malade tout l'hiver », dit-elle. Nathalie Parent a également fait faire une expertise par l'architecte Gilles Huot. Il est catégorique : « La brique est poreuse, les fondations sont en pierre et en briques. Ça n'a pas été réparé et ça n'a pas été imperméabilisé. Le plancher de l'appartement est plus bas que le terrain à l'extérieur. Alors quand il y a de l'eau qui coule sur le terrain, elle arrive à traverser puis s'infiltrer sous le plancher de bois. C'est ça le problème. » Cette copropriétaire paye une hypothèque et des frais pour un condo qu'elle ne peut habiter et qu'elle ne peut plus vendre. Crédit photo : Anne-Louise Despatie Impasse financière et juridique Nathalie Parent n'a pas beaucoup de recours. Elle a mis en demeure son syndicat de copropriété de faire les travaux d'urgence pour stopper les infiltrations d'eau dans son appartement, côté jardin. Le syndicat de copropriété, de son côté, poursuit ceux qui ont conçu et réalisé le projet de 182 unités dans l'ancienne biscuiterie Viau : le promoteur, l'architecte et l'entrepreneur. Ce dernier se défend en estimant avoir fait les travaux pour lesquels il a été mandaté au départ. Ni le syndicat de copropriété, ni la firme de gestion Ges-Mar n'ont voulu commenter. Comme les correctifs doivent être faits d'abord dans la cour avant qu'elle puisse faire décontaminer et réparer son condo, Mme Parent est dans un cul-de-sac financier et juridique. Elle ne peut mettre son appartement en vente dans cet état et ne peut l'occuper. Elle a peu de recours, puisque sa compagnie d'assurances ne couvre pas les moisissures. Des problèmes fréquents dans les condos L'histoire de Nathalie Parent n'est pas unique. Les professionnels du bâtiment voient de plus en plus de ces problèmes d'infiltration d'eau et de moisissures qui en découlent. L'architecte Gilles Huot et l'hygiéniste de l'environnement Yves Frenette constatent un laisser-aller dans la construction de certains projets de condominiums. Pour M. Frenette, chargé de cours en hygiène de l'environnement à l'Université de Montréal, les pratiques sur les chantiers sont inadéquates. Les matériaux poreux, comme le bois, sont parfois mal protégés de la pluie. « Il m'est arrivé de voir des condos neufs où l'on ferme le toit à la fin des travaux, ainsi tous les matériaux ont été exposés à la pluie. Le risque d'y voir ensuite des moisissures est grand », dit M. Frenette M. Huot constate que les poursuites sont nombreuses. Il montre aussi du doigt les projets des trois paliers de gouvernements. « C'est toujours le même problème avec les gouvernements : c'est toujours l'architecte le moins cher, l'ingénieur le moins cher, le concept le moins cher et le prix le moins cher. Alors quand on fait du nivellement par le bas, tout le temps, un moment donné, il y a des erreurs qui sont commises ou alors il y a des travaux qui auraient dû être faits qui ne le sont pas. » Quand les moisissures et vices cachés ne sont pas couverts par les assurances Pour les compagnies d'assurances, les moisissures qui découlent d'une humidité excessive et d'infiltration d'eau ne peuvent être considérées comme des dommages subis ou accidentels. Ces problèmes ne sont donc pas couverts. Les vices de construction et les mauvaises conceptions mènent souvent aux tribunaux. Nathalie Parent en est à regretter d'avoir fait appel au programme Accès-Condo par lequel elle a pu obtenir du financement. La Société d'habitation de Montréal (SHDM), qui n'est pas le maître d'œuvre du projet de la biscuiterie Viau, a facilité le financement pour les nouveaux propriétaires. « Quand j'ai acheté, c'était un projet de la SHDM, j'étais en confiance. Je me disais, les normes doivent être respectées », affirme Mme Parent. Dans ce projet, la SHDM était seulement là pour donner accès au financement, contrairement au projet de rénovation de Benny Farms, où elle a dû assumer les frais de plusieurs réparations urgentes. L'architecte Gilles Huot a produit une expertise dans certains condominiums du projet Benny Farms. « Il y a des moisissures. La SHDM a fait des travaux de drainage extérieur, mais puisqu'elle n'a pas assez d'argent pour défaire toutes les dalles de béton d'origine, c'est resté comme ça. Je suis retourné : ça coule encore », dit-il. La porte-parole de SHDM affirme avoir fait les travaux qui s'imposaient pour corriger la situation. Cette cause se retrouve également devant les tribunaux.
  6. La Place Longueuil dans un projet de rajeunissement de 100 M$ 9 mai 2013 - Elie Despins En vue d’accueillir le détaillant américain Target dans ses centres commerciaux en novembre 2013, le Fonds de placement immobilier Cominar a mis sur la table un projet de rajeunissement de 100 M$. Ce sont La Place Longueuil, la Place Alexis Nihon à Montréal, et le Centre Laval qui en seront bénéficiaire, rapporte La Presse Affaires. La Place Longueuil, dont les besoins de renouveau sont pour le moins criants, aura droit à une véritable cure de rajeunissement d’ici la fin de l’automne. Parmi les travaux qui débuteront en juin; la réfection des corridors et de la foire alimentaire, ainsi que l’ajout de puits de lumière. Les travaux d’agrandissement sont déjà entâmés à l’emplacement de l’ancien magasin à grande surface Zellers, où Target s’y installera dès le mois novembre. Un projet de rénovation et d’agrandissement d'une telle envergure a pour objectif primo d’augmenter les ventes totales « de façon très appréciable », explique Guy Charron, vice-président directeur, exploitation – commerce de détail de Cominar. « Toutes les études prévoient que Target performera mieux que Zellers ». Cominar désire faire bondir l’achalandage dans ces centres commerciaux, qui font face, entre autres, à la popularité croissante du magasinage en ligne. « Pour contrebalancer l’internet, affirme Guy Charron, il faut offrir du nouveau et surprendre les clients. Il faut investir pour que nos centres commerciaux soient des milieux de vie, pas uniquement des lieux de passage. […] On investit pour améliorer la performance de nos centres commerciaux et pour la maintenir. » Cominar n’a pas voulu dévoiler de quelle façon sera réparti les 100 millions parmi les trois centres commerciaux visés, ni la proportion à payée par ses locataires.
  7. Travaux de 4,8 MS pour la mise en place d’un service d’autobus express sur Roland-Therrien Denis Germain Rive-Sud Express.ca Une fois les travaux complétés sur Roland-Therrien, huit nouveaux abribus seront installés au coût de 175 960.$ Publié le 29 Mars 2013 LONGUEUIL – D'importants travaux de réfection de 4 828 913$ seront réalisés sur le boulevard Roland-Therrien pour la mise en service dès la rentrée scolaire 2013 d'un service d'autobus express. La première phase de ces travaux, entre les rues Parc-Industriel et Fréchette, commencera le 8 avril afin de préparer l’arrivée de ce service de bus express et l’ajout d’une nouvelle piste cyclable. En tout temps, au moins une voie de circulation demeurera ouverte dans chaque direction. Pour contourner la zone de travaux, les automobilistes sont invités à emprunter le chemin de Chambly, le boulevard Jacques-Cartier ou le boulevard Jean-Paul-Vincent. Deuxième phase des travaux En mai prochain, d’autres travaux touchant la réparation de la chaussée, le marquage et la signalisation seront effectués sur le boulevard Roland-Therrien, entre le boulevard Curé-Poirier et la rue Berthelet. Des entraves partielles et temporaires sont à prévoir. Il est à noter que le stationnement sera dorénavant interdit sur le boulevard Roland-Therrien, pendant la période des travaux entre la rue Parc-Industriel et le boulevard Roberval, en lien avec l’aménagement d’une voie réservée. Enfin un service d’autobus express Une fois les travaux terminés, la Ville de Longueuil, en collaboration avec le RTL, mettra en place dès cet automne, un service d’autobus express 24 h sur le boulevard Roland-Therrien. Ce nouveau service offrira aux usagers des transports en commun de Longueuil des passages plus fréquents et des temps de trajets plus courts aux heures de pointe, notamment par l’aménagement d’une voie réservée pour autobus. En plus de ce nouveau service novateur, des abribus plus fonctionnels seront installés et augmenteront le confort de la clientèle du RTL, tout en intégrant les principes d’accessibilité universelle. (D.L)
  8. VILLE DE MONTRÉAL RÈGLEMENT 12-053 RÈGLEMENT AUTORISANT UN EMPRUNT DE 17 800 000 $ AFIN DE FINANCER LA RÉALISATION DE TRAVAUX D'INFRASTRUCTURES, D'AMÉNAGEMENT ET DE RÉAMÉNAGEMENT DU DOMAINE PUBLIC ET POUR L’ACQUISITION DE MOBILIER URBAIN DANS LE SECTEUR DU PÔLE FRONTENAC Vu l’article 544 de la Loi sur les cités et villes (L.R.Q., chapitre C-19); Attendu que l’emprunt prévu au présent règlement est décrété dans le but d’effectuer des dépenses en immobilisations prévues au programme triennal d’immobilisations de la Ville de Montréal; À l’assemblée du 17 décembre 2012, le conseil de la Ville de Montréal décrète : 1. Un emprunt de 17 800 000 $ est autorisé afin de financer la réalisation de travaux d'infrastructures, d'aménagement et de réaménagement du domaine public et pour l'acquisition de mobilier urbain dans la partie du secteur nommé Pôle Frontenac constituée de la rue Ontario entre l'avenue De Lorimier et la rue Lespérance. 2. Cet emprunt comprend les frais et honoraires d’études, de conception et de surveillance des travaux, les acquisitions d’immeubles et les autres dépenses incidentes et imprévues s’y rapportant. 3. Le terme total de cet emprunt et de ses refinancements ne doit pas excéder 20 ans. 4. Pour pourvoir aux dépenses engagées relativement aux intérêts et au remboursement de capital des échéances annuelles de l'emprunt, il est affecté annuellement à cette fin une portion suffisante des revenus généraux de la Ville de Montréal, conformément aux règles prévues par la Loi sur l’exercice de certaines compétences municipales dans certaines agglomérations (L.R.Q., chapitre E-20.001). 5. Le conseil affecte à la réduction de l’emprunt décrété au présent règlement toute contribution ou subvention qui pourrait être versée pour le paiement d’une partie ou de la totalité de la dépense décrétée par le présent règlement. __________________________ Ce règlement a été promulgué par l'avis public affiché à l'hôtel de ville et publié dans Le Devoir le 5 février 2013.
  9. Seconde vocation pour l'ancien Hôtel Grand Plaza à Montréal 14 mars 2013 Par Michel De Smet En juillet prochain, une nouvelle Résidence Soleil ouvrira ses portes aux aînés au coin des rues Berri et Sherbooke. Il s'agit d'un projet immobilier très singulier puisque, pour la première fois à Montréal, un hôtel de grande envergure va être converti en logements pour personnes âgées. « Nous sommes en train de transformer l'ancien hôtel Grand Plaza en appartements de 1 ½ à 4 ½ pièces. Il sera rebaptisé Manoir Plaza. Au total, il devrait compter 420 logements environ. Nous disposons pour cela d'une surface aménageable de 330 000 pieds carrés répartie sur 25 étages », souligne Eddy Savoie, fondateur et président du conseil d'administration du Groupe Savoie, propriétaire des Résidences Soleil. Pas moins de 30 000 pieds carrés seront réservés à des espaces communs. On y trouvera notamment un minigolf intérieur, deux allées de quilles, un vaste atrium, un spa, une salle de cinéma et une vaste salle à manger au dernier étage avec vue panoramique sur Montréal. À noter que l'édifice aura un accès direct à la station de métro, une première en Amérique du Nord pour une résidence de personnes âgées. Le Groupe Savoie, une entreprise familiale qui agit également à titre d'entrepreneur général, prévoit investir entre 45 et 50 millions $ dans le projet. Ce montant inclut 27 millions $ versés à la société néerlandaise Kincardine B.V. pour l'acquisition de l'hôtel qui fut fermé en octobre 2010. La conversion : nouveau défi pour Groupe Savoie « C'est un défi particulier de ne pas construire à neuf comme nous le faisons d'habitude pour nos résidences. Mais je dirais que dans le cas du Grand Plaza, ce fut plutôt un avantage. Par exemple, globalement, nous allons conserver les pièces dans leur état actuel sans devoir procéder à d'importants travaux de décloisonnement », indique Eddy Junior Savoie, président exécutif, construction, Groupe Savoie. De surcroît, la grande salle de bal de l'ancien hôtel va servir à l'aménagement d'un atrium grâce à un volume intéressant créé par une hauteur libre de 18 pieds. De plus, le bâtiment, construit en 1974, se présentait en très bon état lors de l'acquisition. Par conséquent, le Groupe Savoie n'a pas eu à embaucher une firme d'ingénierie de structure. Il a cependant fait appel à l'architecte Christian Langlois pour parfaire le concept architectural. Actuellement, environ le tiers des travaux de restructuration du bâtiment entrepris à la fin de l'automne 2012 est terminé. « Nous avons embauché la firme GRV Experts-Conseils pour mener à bien les travaux de génie mécanique et électrique. La mise aux normes de nos six ascenseurs et des systèmes de sécurité va débuter sous peu. Progressivement, nous procédons aux travaux de décloisonnement nécessaire à l'aménagement de nos appartements les plus grands. De plus, durant les trois mois à venir, nous allons refaire le dallage du stationnement souterrain de l'édifice », ajoute Eddy Junior Savoie. Le Manoir Brossard À l'automne 2011, le Groupe Savoie a également entrepris la construction d'une autre Résidence Soleil à Brossard, sur le boulevard St-Laurent, à proximité immédiate du fleuve. « On prévoit accueillir nos premiers résidents en juin prochain. L'immeuble comportera 17 étages et 480 logements. Les commodités ainsi que les divisions des logements sont très semblables à celles du Manoir Plaza », fait remarquer Eddy Savoie. Environ 90 millions $ seront investis dans ce projet qui comportera une seconde phase évaluée à 75 millions $. L'échéancier des travaux pour cette dernière n'a pas encore été déterminé, mais une fois totalement achevé, le Manoir Brossard devrait compter un millier de logements. Actuellement, 85 % des travaux de la phase 1 ont été complétés. Il reste à achever certains détails de maçonnerie et de finition ainsi que la peinture intérieure. L'aménagement paysager sera réalisé l'été prochain. Avec l'ajout de ces deux nouveaux projets, le Groupe Savoie comptera désormais 14 résidences au Québec. [url=]http://www.portailconstructo.com/actualites/seconde_vocation_pour_lancien_hotel_grand_plaza_montreal[/url] J'entend déjà les commentaires que certains d'entre vous vont se faire dans leur tête en lisant cette info.
  10. Il y a des travaux sur la maison Henry Vincent Meredith du campus McGill
  11. Projet de rénovation majeur pour cet édifice, transformation et conversion. Il sera méconnaissable après les travaux. État actuel (lamentable) : http://maps.google.ca/maps?q=17e+Av+%2F+Boulevard+Cr%C3%A9mazie+Est,+Montreal,+Quebec&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.566708,-73.603377&spn=0.025568,0.066047&sll=45.566708,-73.603377&sspn=0.006392,0.016512&t=h&z=15&layer=c&cbll=45.566655,-73.603422&panoid=cBlEOdJ7qg5-pUXk73zlmg&cbp=12,354.76,,0,-22.92
  12. Publié le 20 janvier 2013 à 11h54 Une grue de 600 tonnes a fracassé les fenêtres d'une tour de bureaux et est passée à un cheveu de s'effondrer en plein centre-ville de Montréal dimanche matin lorsque le vent s'est déchaîné subitement. Personne n'a été blessé lors de l'incident, mais plusieurs travailleurs et passants ont été quittes pour une bonne frousse. La grue effectuait des travaux à l'angle de la rue Stanley et du boulevard René-Lévesque lorsque de fortes rafales se sont levées, peu après 8h. «On a été pris au dépourvu. On a déjà vécu une microrafale, mais ça, c'était pire», a raconté un travailleur rencontré sur place. Le crochet de la grue a effectué un mouvement de pendule et est allé fracasser au moins quatre fenêtres aux étages supérieurs de l'édifice La Laurentienne, une tour de 27 étages qui abrite les bureaux de la banque du même nom et de plusieurs autres entreprises comme Médias Transcontinental. L'appareil de 600 tonnes s'est presque renversé sur le côté, selon les employés qui participaient aux travaux, mais le grutier, décrit comme un opérateur très expérimenté par ses collègues, a réussi à la maintenir debout de justesse. «C'est passé proche, mais il a fait ce qu'il fallait faire», raconte un collègue. Du verre brisé est tombé au sol jusque sur la rue Peel, selon les pompiers. «Mais il n'y a pas de dommage structurel à l'édifice, et personne ne travaillait dans les bureaux à ce moment-là», a déclaré Francis Leduc, chef aux opérations pour le Service de sécurité incendie de Montréal. Un large périmètre de sécurité a été érigé par la police et les pompiers, le temps que la grue et les fenêtres soient sécurisées. Le boulevard René-Lévesque a été fermé temporairement et une église située près du site des travaux a été évacuée. [url=]http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201301/20/01-4613099-une-grue-frappe-une-tour-et-menace-de-seffondrer-a-montreal.php[/url]
  13. https://www.facebook.com/photo.php?pid=11349948&l=24edd1ed64&id=286149459542 Article du devoir en 2002 au moment de la démolition Démolition controversée de l'ancien poste de police du Port de Montréal La Société du Vieux-Port a annoncé hier qu'elle démolira l'ancien poste de police du Port de Montréal et que les travaux commenceront... dès aujourd'hui. Abandonné depuis 1981, le bâtiment est dans un si piètre état que la direction du Vieux-Port estime qu'on ne peut retarder les travaux. Ce n'est pas l'avis du conseiller municipal de Ville-Marie, Robert Laramée, qui considère cette décision aussi discutable que précipitée. Construit en 1923, l'édifice de trois étages situé tout près du quai de l'Horloge était inutilisé depuis deux décennies. Dès 1982, la Société du Vieux-Port avait décelé des faiblesses dans sa structure et avait procédé, au cours des années suivantes, à diverses interventions, dont l'installation de poutrelles d'acier, pour tenter de le consolider, mais en vain. Sa stabilité précaire et la progression des fissures ont convaincu la direction du Vieux-Port qu'une démolition s'imposait. En mai dernier, le Service de sécurité incendie de Montréal avait même jugé l'édifice non sécuritaire et, depuis octobre dernier, celui-ci est recouvert d'une toile pour protéger les passants des chutes de mortier. Alerté, le conseiller municipal de Ville-Marie, Robert Laramée, a songé à obtenir une injonction pour empêcher la Société du Vieux-Port d'aller de l'avant avec ses travaux, mais le contentieux l'en a vite dissuadé, jugeant la démarche inutile. C'est donc par lettre hier qu'il a demandé à Claude Benoît, présidente du Vieux-Port, de surseoir à sa décision car il attribue au bâtiment une valeur patrimoniale certaine. «Il vaut la peine, selon moi, qu'on prenne deux minutes de respiration. Peut-être pourra-t-on trouver le financement nécessaire pour le mettre en valeur», fait-il valoir. Mais selon Jean-Claude Marsan, professeur à l'École d'architecture de l'Université de Montréal, l'ancien poste de police a une valeur patrimoniale plutôt mineure, tant sur le plan historique que sur le plan architectural, et, connaissant le délabrement de l'édifice, il reconnaît que dans «des circonstances comme celle-là, où un édifice est en train de tomber, il faut prendre de telles décisions». http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/14858/demolition-controversee-de-l-ancien-poste-de-police-du-port-de-montreal
  14. On avait pas de fil je crois, mais le projet était dans les plans en même temps que le Parc Laurier (maintenant réouvert et vraiment très beau!). Aujourd'hui, le Carré était complètement clôturé. Les travaux sont commencés!
  15. Ça fait un p'tit bout de temps que j'ai vu l'affiche sur le vieil immeuble laid qu'ils veulent transformer. Hier soir, il était clôturé. J'imagine que les travaux doivent commencer puisque sur leur site, l'occupation est pour l'automne. Site actuel : https://maps.google.com/maps?q=rue+laurier+ouest,+montreal&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.520846,-73.594698&spn=0.002041,0.005284&sll=45.535934,-73.483644&sspn=0.008522,0.021136&t=h&hnear=Avenue+Laurier+Ouest,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec,+Canada&z=18&layer=c&cbll=45.520987,-73.594581&panoid=rPklogQ4JYd8_0G3VWSHsg&cbp=12,345.24,,0,0.46 Site web : http://www.175laurier.com/
  16. Six HLM crouleront sous les pics Diane Lapointe 22 octobre 2009 Mise à jour à 13:46:53 VIEUX-LONGUEUIL. Ce n’est qu’une question de jours avant que six habitations à loyer modique (hlm) situés dans l’arr. du Vieux-Longueuil croulent sous le pic des démolisseurs. Les édifices seront complètement rasés et reconstruits à neuf, un projet de 24 M$. L’Office municipal d’habitation de Longueuil (OMHL) planche sur ce projet depuis 2006. «Ces édifices construits au début des années 1970 sont vétustes et nécessitent d’importants travaux de rénovation, explique le directeur général de l’OMHL, Sylvain Boily. Dans ces circonstances, il est souhaitable de les démolir et de les remplacer par trois nouveaux bâtiments multifamiliaux correspondant davantage aux besoins et aux normes actuels.» Essentiellement, le projet consiste à démolir les six hlm situés aux 12, 24 et 48, rue Labonté, au 35, boul. Quinn, et aux 570 et 580, rue Bord-de-l’Eau. Ces édifices comportent de gros problèmes de structure et ce, depuis leur construction. «Ils seront remplacés par trois nouveaux immeubles de six étages d’architecture moderne et certifiés LEED. Ils s’intégreront bien à l’environnement du Vieux-Longueuil et briseront l’image de ghettoïsation. Les nouveaux hlm offriront le même nombre d’unités d’habitation, soit 180, mais la superficie de chacune de celle-ci sera en moyenne de 30% plus grande, de sorte que l’ensemble du projet locatif procurera un meilleur cadre de vie aux locataires», explique Sylvain Boily. Pas sur le trottoirPlus aucun locataire n’habite ces six édifices depuis juillet dernier. Ils ont tous été relocalisés, soit dans des logements locatifs privés ou dans d’autres hlm du territoire. Les travaux de démolition devraient débuter d’ici quelques semaines et l’ensemble du complexe devrait être complété au plus tard, d’ici à mai 2011. Le projet est financé à 90% par les gouvernements du Canada et du Québec et à 10% par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM). VIEUX-LONGUEUIL. Ce n’est qu’une question de jours avant que six habitations à loyer modique (hlm) situés dans l’arr. du Vieux-Longueuil croulent sous le pic des démolisseurs. Les édifices seront complètement rasés et reconstruits à neuf, un projet de 24 M$. L’Office municipal d’habitation de Longueuil (OMHL) planche sur ce projet depuis 2006. «Ces édifices construits au début des années 1970 sont vétustes et nécessitent d’importants travaux de rénovation, explique le directeur général de l’OMHL, Sylvain Boily. Dans ces circonstances, il est souhaitable de les démolir et de les remplacer par trois nouveaux bâtiments multifamiliaux correspondant davantage aux besoins et aux normes actuels.» Essentiellement, le projet consiste à démolir les six hlm situés aux 12, 24 et 48, rue Labonté, au 35, boul. Quinn, et aux 570 et 580, rue Bord-de-l’Eau. Ces édifices comportent de gros problèmes de structure et ce, depuis leur construction. «Ils seront remplacés par trois nouveaux immeubles de six étages d’architecture moderne et certifiés LEED. Ils s’intégreront bien à l’environnement du Vieux-Longueuil et briseront l’image de ghettoïsation. Les nouveaux hlm offriront le même nombre d’unités d’habitation, soit 180, mais la superficie de chacune de celle-ci sera en moyenne de 30% plus grande, de sorte que l’ensemble du projet locatif procurera un meilleur cadre de vie aux locataires», explique Sylvain Boily. Pas sur le trottoir Plus aucun locataire n’habite ces six édifices depuis juillet dernier. Ils ont tous été relocalisés, soit dans des logements locatifs privés ou dans d’autres hlm du territoire. Les travaux de démolition devraient débuter d’ici quelques semaines et l’ensemble du complexe devrait être complété au plus tard, d’ici à mai 2011. Le projet est financé à 90% par les gouvernements du Canada et du Québec et à 10% par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).
  17. brubru

    Pont Viau (2012)

    http://www.courrierahuntsic.com/Actualites/2010-07-08/article-1520626/Travaux-majeurs-sur-le-pont-Viau/1 http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/regions/laval_mille_iles/refection_du_pont_viau_route_335_entre_laval_et_montreal
  18. http://www.taz.ca/pls/htmldb/f?p=105:99:219766909423116::::P99_IM:109 http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/mtl_2025_fr/media/documents/Tazmahal.pdf MAI 2008 C’est un énorme chantier qui a débuté le 15 mai sur l’avenue Papineau, alors que l’ouverture officielle est toujours projetée pour le printemps 2009 ! La recette gagnante : un brin de patience, une pincée de détermination et une bonne dose de persévérance. C’est ce qui nous permet de voir le projet se concrétiser : une roue à la fois, en débutant par le chantier. Le site offre d’ailleurs un décor des plus inspirants : clôture de chantier, pépinière de transplantation d’arbres, pelles mécaniques, bulldozers… Ça vous démontre que le rêve devient peu à peu réalité, que c’est réellement parti ! Les travaux dans la zone d’excavation ont débuté et la première coulée de béton approche ! Madame Sénécal, Vice-présidente du comité exécutif à la Ville de Montréal, a officiellement fait l’annonce du début de chantier du TAZ lors du Conseil municipal de la Ville de Montréal, du lundi 26 mai dernier. Ce qui nous permet aujourd’hui de vous partager la bonne nouvelle…à vous de la propager ! C’est une équipe de professionnels de plus de 15 personnes qui nous appuie dans la conception et la mise en chantier de cette construction majeure. Les travailleurs débutent leur entrée sur le terrain pour plus de 10 mois de chantier. Ils s’assurent de mener à bon port les travaux pour l’aménagement paysager, l’excavation, l’ingénierie mécanique, électrique et de structure. Tout ça, sous l’œil averti de notre gestionnaire de projet. C’est le cas de le dire, ça fourmille sur le chantier ! On vous rappelle que cet espace jeunesse sportif est érigé sur un terrain d’une superficie de 280 000 pi² et sa construction totalisera près de 85 000 pi². Localisé au cœur de l’arrondissement Villeray – Saint-Michel – Parc-Extension, sur l’avenue Papineau, en bordure du Complexe environnemental de Saint-Michel et aux abords de l’autoroute Métropolitaine, Le TAZ deviendra l’une des portes d’entrée de ce futur 2e plus grand parc de la Ville de Montréal.
  19. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201103/12/01-4378670-lhopital-st-mary-sera-agrandi.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&ut m_contenuinterne=cyberpresse_BO2_montreal_173_accu eil_POS2
  20. Travaux additionnels au chalet du parc La Fontaine JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 07 avril 2011 21:45 Les travaux d’aménagement du chalet-resto du parc La Fontaine nécessiteront une dépense additionnelle de près de 91 000 $. L’état de dégradation avancé de la plomberie explique en grande partie cette hausse de coûts. Un montant de 49 000 $ avait été prévu pour des travaux contingents. Une directive émise par l’arrondissement pour le remplacement systématique de la tuyauterie du chalet, alliée à la nécessité de mettre en place de nouveaux raccordements électriques et mécaniques pour les équipements de la cuisine et le nouveau matériel audio-visuel, auront eu tôt fait de faire grimper la facture à quelque 139 800 $. L’ajout de près de 91 000 $ au contrat de l’entrepreneur devrait «permettre de finaliser partiellement une bonne partie des travaux d’aménagement du restaurant au chalet du parc La Fontaine dans l’attente de la présentation d’une seconde demande prévue au conseil d’arrondissement de mai prochain», peut-on lire dans les documents remis aux élus. Il n’a pas été possible de connaître la teneur de cette nouvelle demande, jeudi. Il semble toutefois qu’elle n’aura pas d’impact sur la date d’ouverture du chalet et de son restaurant. «Les travaux ont commencé en janvier et sont présentement complétés à 75 %, a indiqué Michel Tanguay, porte-parole de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. Il reste notamment à compléter des travaux de plomberie et la conception du mobilier. L’ouverture devrait avoir lieu au début du mois de juin.» L’organisme Cité Historia, qui exploite depuis une vingtaine d’années le Bistro des Moulins et anime le site historique de Sault-au-Récollet, au parc de l’Île-de-la-Visitation, se chargera d’exploiter et d’animer le chalet. Un nouvel organisme, baptisé L’Espace La Fontaine, a été créé à cet effet. http://www.journalmetro.com/linfo/article/826795--travaux-additionnels-au-chalet-du-parc-la-fontaine
  21. Le poids des ans commence à se faire sentir sur le sympathique stade Uniprix et Tennis Canada projette des rénovations de l'ordre de 11,8 millions qui le rendront conforme aux normes des grands tournois internationaux, a appris Le Journal de Montréal. Cela fait déjà 13 ans (1996) que les installations avaient été complètement remodelées au coût de 25 millions. Depuis ce temps, la popularité de l'événement a connu une croissance phénoménale et en plus, le site sert maintenant de base au Centre national d'entraînement. Sans compter la pratique récréative du sport au stade, qui compte pour 45% des plages horaires sur les courts, dont l'occupation d'octobre à avril est de 100%. Avec tout cet achalandage, les travaux sont rendus nécessaires afin «d'assurer la pérennité et la croissance des Internationaux de tennis du Canada à Montréal, l'un des neuf tournois majeurs des circuits professionnels de l'ATP et la WTA», a souligné Tennis Canada dans un document présenté récemment à la Ville de Montréal. Fonds publics Tennis Canada investira 1,6 million, le reste provenant des trois paliers de gouvernement : 1,6 million de Montréal, et une somme de 8,6 millions divisée à part égale entre Québec (programme d'infrastructures) et Ottawa (Chantiers Canada) à même les enveloppes budgétaires déjà en place. On prévoit l'ajout de quatre nouveaux courts sur terre battue, de nouveaux salons aériens, des vestiaires remodelés, une galerie de presse moderne et une aire d'accueil améliorée au stade secondaire. Le projet a été très bien reçu par la Ville de Montréal, reste à négocier les modalités de financement avec Québec et Ottawa. Dans le meilleur des scénarios, les travaux débuteraient au printemps 2010. # Les Internationaux de tennis du Canada existent depuis 1881; c'est le 3e plus vieux tournoi du monde après Wimbledon et le US Open. # De 2001 à 2007, selon une étude de la firme CFM Stratégies, les retombées économiques du tournoi sont passées de 15 à 28 millions, une augmentation de 9% par année. # Le tournoi fait l'objet de plus de 2000 heures de diffusion dans 150 pays. # Près de 50% des revenus générés par les deux Coupe Rogers sont réinvestis au Québec pour le développement du tennis. source: http://www.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2009/05/20090515-062700.html
  22. 9,9 M$ pour agrandir le Collège Montmorency Geneviève Fortin Publié le 25 Mai 2010 Malgré la mauvaise température à l'extérieur, les sourires étaient nombreux au Collège Montmorency, lundi matin, alors que la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, annonçait un investissement de 9,9 M$ pour l'agrandissement de l'établissement postsecondaire. Attendue depuis longtemps, cette annonce est la suite logique de celle faite en octobre concernant l'augmentation du nombre admissible d'étudiants. Le collège qui compte actuellement 5700 étudiants peut en accueillir 100 de plus selon le nouveau devis. Le bâtiment construit au début des années 1970 a quant à lui une capacité d'accueil de 5000 étudiants. Lors de la conférence de presse, la directrice générale du Collège Montmorency, Denyse Blanchet, a souligné qu'il n'était plus possible d'agrandir le cégep de l'intérieur. En entrevue, elle notait que le manque d'espace ne se traduit pas seulement par une pénurie de locaux de classe, mais également par un manque d'espace dans les aires communes, notamment la cafétéria et la bibliothèque. Le député de Laval-des-Rapides, Alain Paquet, estime que l'agrandissement du collège permettra d'avoir un environnement adéquat pour l'enseignement. Celui qui avait promis l'agrandissement de l'établissement collégial lors de la dernière campagne électorale a insisté sur l'importance de pouvoir compter sur une relève qualifiée dans un contexte où le taux de chômage est très bas. Travaux La directrice générale dit espérer que les travaux d'agrandissement débuteront l'automne prochain. Les plans de construction n'étant pas établis, les élus et Mme Blanchet ne peuvent dire de quelle façon on augmentera l'espace, ni de quel côté le bâtiment s'agrandira. «Nous avions déjà travaillé sur des plans, mais ils étaient pour un devis pédagogique moindre», indique Mme Blanchet. Elle assure toutefois, que les plateaux sportifs ne seront pas être sacrifiés. -------------------------------------- 1er juin 2010 Expansion du collège Montmorency (à droite)
  23. Un autre série d'immeuble qu'on pourrait qualifier de "taudis"... Mais au moins, il y a du changement qui s'en vient .... Il y avait d'autres immeuble du même ensemble dont les travaux étaient un peu plus avancés près de Jarry, mais je pouvais pas m'arrêter.
  24. 192 mètres de hauteur La plus haute grue mobile au monde à Montréal Agence QMI 26/01/2012 09h55 MONTRÉAL - La plus haute grue mobile au monde a fait son arrivée à Montréal. La grue, qui fait 192 mètres (627 pieds) de hauteur, est déployée sur les terrains de l'entreprise qui l'a achetée, Grue Guay, dans l'arrondissement d'Anjou. Elle est presque aussi haute que la Place Ville-Marie. Cette nouvelle grue permet d'effectuer des travaux d'envergure. Elle pourrait, par exemple, servir aux travaux de reconstruction de l'échangeur Turcot. C'est la compagnie Liebherr qui l'a conçue et fabriquée. Les gens qui empruntent l'autoroute 25, à Anjou, peuvent facilement l'apercevoir dans le ciel. Pour voir un vidéo de la grue : http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2012/01/20120126-095540.html
  25. Le 500 place D'Armes sera rénové et non détruit comme certains le souhaite... Cure de jouvence pour le 500, place d'Armes Publié le 07 décembre 2011 à 07h32 | Mis à jour à 07h32 André Dubuc La Presse (Montréal) À l'image de la place d'Armes dont on vient de refaire le parvis, le gratte-ciel de facture moderne qui la borde du côté ouest subira une cure de jeunesse dans les prochains mois. L'ensemble des systèmes électromécaniques de l'immeuble de 30 étages construit entre 1965 et 1968 sera remis aux normes du jour. Les travaux commenceront en 2012 et s'échelonneront sur 2 ou 3 ans. Le 500 place d'Armes a comme locataire principal la Banque Nationale. On y trouve aussi des bureaux d'avocats et l'Ordre des comptables généraux agréés. L'Agence métropolitaine de transport l'a quitté pour le 700, De La Gauchetière, connu autrefois sous le nom de Tour Bell. «Le 500, place d'Armes va redevenir un immeuble de catégorie A», dit André Plourde, président du Groupe Immobilier de Montréal, dans un entretien. Dans le jargon des professionnels de l'immobilier commercial, les immeubles de catégorie A représentent les plus beaux immeubles de bureaux, dotés de toutes les caractéristiques recherchées par l'utilisateur de bureaux. Le Groupe Immobilier de Montréal vient de décrocher le mandat exclusif de location des propriétés de Cromwell Management à Montréal et Québec. Outre le 500, place d'Armes, le portefeuille comprend l'ancien siège social de Cinar, au 1055, boul. René-Lévesque Est et le 500, boulevard René-Lévesque Ouest, l'ancien immeuble Air Canada. Cromwell appartient à son président Georges Gantcheff. À Québec, Cromwell possède le 500, Grande Allée Est, jadis un immeuble de prestige comptant 109 000 pieds carrés répartis sur 9 étages. Des travaux de près de 26 millions de dollars sont en cours pour redonner une nouvelle vie à cette adresse stratégiquement située sur la colline parlementaire, dans la Vieille Capitale. Au total, le Groupe Immobilier s'occupera de la location d'un portefeuille de sept immeubles totalisant 1,6 million de pieds carrés. «Il s'agit pour nous d'un important gain qui nous confère un statut de leader du secteur de la location commerciale avec un portefeuille qui atteint maintenant plus de 5 millions de pieds carrés», fait savoir M. Plourde dans un communiqué. Lien: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201112/07/01-4475357-cure-de-jouvence-pour-le-500-place-darmes.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS21
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