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  1. Autoroute Ville-Marie: deux autres voies fermées Photo archives La Presse Ariane Lacoursière La Presse Dès aujourd'hui, se rendre au centre-ville de Montréal sera plus pénible qu'à l'habitude pour les automobilistes. D'importants travaux de réparation entraînent la fermeture de deux voies de l'autoroute Ville-Marie pour une durée indéterminée. «Lors de nos inspections, nous avons découvert des défauts sous la structure de l'autoroute 720. Nous devons tout d'abord poursuivre certaines inspections. Nous commencerons ensuite à effectuer les premiers travaux dans les prochains jours. Par mesure de prévention, on doit toutefois fermer des voies», explique Claude Paquette, chef de projet pour Transports Québec à Montréal. En analysant la structure suspendue de l'autoroute Ville-Marie, les inspecteurs de Transports Québec ont noté que le béton est dans un état avancé de dégradation à plusieurs endroits. «Dans certains coins, l'acier des armatures n'est pas recouvert. C'est ce qui préoccupe nos ingénieurs. Nous allons remettre du béton là-dessus», assure M. Paquette. Deux voies sont donc retranchées sur l'autoroute Ville-Marie, l'une des principales voies d'accès au centre-ville. En direction est, la voie de gauche est fermée de la sortie Atwater jusqu'à la rue Guy. En direction ouest, la même voie est interdite à la circulation de la rue Panet à la rue Saint-Jacques. Comme si ce n'était pas assez, les deux voies de l'autoroute qui sont déjà fermées à la sortie du tunnel Ville-Marie en direction ouest le resteront. «Cela causera quelques problèmes de circulation, c'est sûr», admet M. Paquette. L'autoroute Bonaventure aussi Les conducteurs devront donc s'armer de patience. D'autant plus que l'autoroute Bonaventure, qui relie L'Île-des-Soeurs au centre-ville, fait elle aussi l'objet de réparations. Aux abords du pont Clément, une voie est en effet retranchée dans les deux directions. Curieusement, Transports Québec n'a pas tenu compte de cette donnée. «L'autoroute Bonaventure relève de la Ville de Montréal. En décidant de fermer des voies de l'autoroute Ville-Marie, on n'a pas considéré ce critère. On a décidé d'agir par mesure préventive. Malgré les inconvénients, on doit finaliser nos investigations et fermer des voies», dit M. Paquette.
  2. (PRESSE)Trente milliards de dollards devront étre investis a montréal au cours des deux prochaines décennies pour la mise a niveau des infrastructures, souterraines et de transport en commun.A l instar du fonds de l eau,qui permettra d autofinanacerles travaux d infranstructures dans le réseau souterrain a partir de 2013, l administration Tremblay-Zampino envisage la mise sur pied d un fonds similaire,celui ci dédié aux infrastructures routiéres.C est qu a révélé le président du comité exécutif de la ville de Montréal ,Frank Zampino,en entrevue avec Montreal Express.(ce fonds pour les infrastructures routiéres permettrait de mettre a niveau non ponts,viaducs et l ensemble du réseau artériel.Nous nous sommes engagés a investir 500millions dollard dans nos infratructures routiéres,notament pour corriger le probléme des nids-de-poules, mais cette somme n est pas suffisante pour la remise a niveau de toutes les rues )explique M.Zampino.Selon lui montréal nécessitera des investissements de 30 milliards au cours des 20 prochaines années,soit 10milliards pour les infrastructures routiéreset 10 milliards pour les infranstructures de transport en commun.Les deux autres paliers de gouvernement seront appelés a contribuer ,comme c est notament le cas du fédéral avec la taxe d accise sur l essence et du gouvernement du Québec pour le métro de montréal .Mais Montréal n en reste pas la et réclame également des pouvoirs habilitants en matiére fiscale et administrative pour continuer son dévloppement.(Nous dépendons de l impot foncier qui représente environ70pour100 de nos revenus sur un budget de 4 milliards dollard , poursuit M.Zampino .Nous voulons obtenir une partie de la croissance générée a Montréal.Chaque fois qu un milliard est investi ici,les gouvernements supérieurs retirent chcun 150millons .On demande a Québec et a Ottawa de partagerla moitiéde ces retombées avec nous)(Si le gouvernement n accorde pas d attention a sa métropole,elle qui crée plus de la moitié de la richesse au Québec , nous serons toujours en retard par rapport a Toronto et aux autres grandes villes du monde.Ajourd hui ,la compétition se fait entre les grandes villes ,pas entre les pays)soutient le président du comité exécutif.Le maire Gérald Tremblay et Frank Zampino doivent rencontrer sous peu le chef du parti québéquois et celui de l Action démocratique su Québec pour les sensibiliser aux besoins de Montréal.
  3. Où sont passées les grues à Montréal? MÉTRO 11 février 2010 Où sont passées les grues à Montréal? C’est ce qui frappe, en parcourant les rues de la métropole : le peu de chantiers d’envergure. Pour vérifier cette impression, nous avons interrogé Malek Racho, fondateur et modérateur de Mtlurb.com, le plus grand forum de discussion sur le développement immobilier du Grand Montréal. Où en est Montréal côté construction? Nos membres ont recensé une centaine de chantiers dans le Grand Montréal. C’est bien moins qu’au milieu de 2008, mais mieux qu’en 2009, au cœur de la crise financière. Côté résidentiel, on parle surtout de densification autour des stations de métro : le Louis Bohème (28 étages) au centre-ville, le Blu Rivage à Longueuil (26 étages), le Quartier 54 au métro Rosemont, ainsi que d’autres projets à Laval. Sans oublier Le Solano au Vieux-Montréal, les lofts Lowney, les Bassins du Nouveau Havre et la nouvelle Place L’Acadie. Le démarrage éclair de la salle de l’Orchestre symphonique de Montréal a vraiment impressionné nos «forumeurs» qui s’étaient habitués aux tergiversations sans fin. Finalement, deux ponts et deux parachèvements d’autoroutes sont bien avancés, soit les très attendus 25 et 30, sans compter la reconstruction complète du rond-point Dorval. Aalléluia. Plusieurs projets sont sur la glace… Tous les projets entamés avant la crise financière sont en cours de réalisation, mais les autres sont retardés. Les projets d’édifices à bureaux sont gelés, faute de demande (comme le 900, boul. de Maisonneuve Ouest, le 701, rue University, le Place de la Cité Internationale phase 2 et le 1215, square Phillips). Le Campus Outremont de l’Université de Montréal, le CHUM et le CUSM sont au ralenti. Pareil pour l’Hôtel-Complexe Château Viger, dont on n’a pu entamer la construction avant la crise financière à la suite des délais innombrables dus aux consultations publiques. Le modeste projet Griffintown semble pratiquement mort. Le démarrage éclair de la salle de l’Orchestre symphonique de Montréal a vraiment impressionné nos «forumeurs» qui s’étaient habitués aux tergiversations sans fin. Finalement, deux ponts et deux parachèvements d’autoroutes sont bien avancés, soit les très attendus 25 et 30, sans compter la reconstruction complète du rond-point Dorval. Aalléluia. Qu’attendez-vous pour 2010? Les membres du forum aiment les grandes tours. Ils attendent donc avec impatience les superbes tours Altitude Montréal (33 étages au centre-ville) et Écocité sur le Bois (24 et 27 étages), dans l’ouest. Signalons la rénovation du quartier Concordia, la finition du Quartier des spectacles, la multitude de projets qui traînent dans la rue Sainte-Catherine et qui ternissent l’image de cette artère (2-22, Place du Spectrum, nouveaux bureaux d’Hydro-Québec, etc.) et la conclusion du dossier de l’Îlot Voyageur, qui est aussi très attendue. Enfin, en matière d’infrastructures, on a fait des annonces sur le train vers l’aéroport et sur l’échangeur Turcot. Et si les astres s’alignent, des travaux pour de nouvelles stations de métro devraient commencer.
  4. Consultez « À la une » provenant de La Presse+. http://plus.lapresse.ca/screens/a0893e1f-43ec-470c-ad15-f25dd78f036e%7C_0.html De centre-ville inhabité et moribond, le cœur de Montréal est en train de devenir un véritable quartier résidentiel, dynamique et enthousiaste. La métropole québécoise est-elle en train de vivre une véritable révolution? Nos journalistes ont parcouru les projets qui fleurissent dans les quartiers chauds de Montréal tels que Griffintown, le quartier des spectacles et le centre-ville; ils ont constaté une effervescence dont nos derniers souvenirs pourraient remonter aux Olympiques de 1976. Tours à condos, grands projets de transport, revitalisation des quartiers et projets du 375e convergent pour donner un nouveau souffle à Montréal. Le dossier spécial Le réveil de Montréal, publié le dimanche 5 juin dans La Presse+, vous projettera dans un futur proche très emballant. sent via Tapatalk
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  6. FRANCIS VAILLES La Presse Serge Godin n'a pas l'habitude de commenter les grands enjeux économiques ou de se mêler de politique. Cette fois, le proprio du Groupe CGI sort de sa réserve concernant la fuite de nos sièges sociaux, qu'il juge très préoccupante. En particulier, il affirme que la fiscalité canadienne incite nos entrepreneurs à vendre leur entreprise au plus offrant plutôt que la léguer à leurs enfants. Cette problématique accentuera grandement nos pertes de sièges sociaux au cours des prochaines années, soutient le président exécutif du conseil de la multinationale informatique. « Le problème est extrêmement sérieux. On essaie de protéger nos sièges sociaux, mais le système fiscal fait exactement le contraire », dit Serge Godin, dont l'entreprise de Montréal fait travailler 65 000 employés dans 40 pays. Selon l'homme d'affaires, ce sujet est la grande inquiétude de l'heure des entrepreneurs du baby-boom. Cette préoccupation est confirmée par le fiscaliste Jean-François Thuot, de Raymond Chabot Grant Thornton. De nombreux hommes d'affaires de Québec inc. sont rendus à un âge avancé. Qu'on pense à Jean Coutu, aux frères Lemaire, à Alain Bouchard ou à Rémi Marcoux. Pour eux, la question de la succession devient cruciale même si certains ont fait des arrangements. « Quand un siège social est à Montréal, c'est ici que se prennent les décisions, ce qui favorise nécessairement la communauté, les avocats, les comptables, etc. Il y a tout un écosystème autour d'un siège social et des emplois bien rémunérés », détaille Serge Godin. Or « la fiscalité est un incitatif à vendre nos entreprises, ce qui contribue à la fuite des sièges sociaux. Tous les entrepreneurs sont pris avec ce problème-là », dit Serge Godin, 66 ans, dont la fille Julie est l'une des vice-présidentes de CGI. Deux raisons expliquent la situation : le manque de liquidités de la succession pour acquitter les impôts lors de l'héritage, d'une part, et les pertes importantes qu'engendrerait le legs de l'entreprise plutôt que sa vente pure et simple, d'autre part. Lorsque le propriétaire d'une entreprise décède, faut-il savoir, le fisc exige des héritiers le paiement immédiat des impôts sur le gain en capital. Essentiellement, ce prélèvement représente 26,7 % de la valeur des actions du fondateur au Québec (fédéral-provincial combiné). Or la succession - souvent les enfants - n'a pas les fonds nécessaires pour payer les impôts et doit donc vendre une portion importante des actions de l'entreprise, ce qui en met le contrôle à risque. Prenons l'exemple d'une firme dont les actions du fondateur en Bourse valent 100 millions de dollars et représentent 55 % des droits de vote. À son décès, les héritiers devront payer 26,7 millions en impôts, essentiellement. N'ayant pas les fonds, ils devront vendre 26,7 % de leurs actions de l'entreprise, faisant ainsi passer la position de la famille de 55 % à 40 % environ, ce qui leur fait perdre le contrôle. La situation est plus dramatique lorsqu'il s'agit d'actions à vote multiple, par exemple des actions qui donnent droit à 10 votes. Ces actions procurent le même gain qu'une action ordinaire lorsqu'elles sont vendues en Bourse, mais leur cession fait perdre à la famille 10 droits de vote pour chacune. La position de contrôle peut alors fondre très rapidement avec le paiement des impôts. Autre élément néfaste, selon Serge Godin : la mécanique fiscale fait en sorte que les héritiers empochent davantage si l'entrepreneur vend au plus offrant avant de mourir que s'il transfère les actions à son décès. Par exemple, un entrepreneur qui vend son entreprise en Bourse à un concurrent obtient une prime qui peut atteindre 40 %. Dit autrement, les actions qui valaient 100 millions peuvent gonfler à 140 millions lors d'une offre d'achat. Après l'impôt de 26,7 %, il reste environ 103 millions net pour les héritiers éventuels. Au contraire, au décès, les héritiers reçoivent une valeur nette de 73 millions après paiement de l'impôt de 26,7 millions, soit beaucoup moins que si le père avait vendu son entreprise avant son décès, dit-il. Cette problématique est semblable dans les autres provinces canadiennes, mais elle est moins aiguë aux États-Unis. Serge Godin croit qu'il faut carrément changer les dispositions fiscales lors du legs à la famille d'actions d'entreprise. Il imposerait seulement le gain à la vente des actions. L'homme d'affaires affirme qu'il ne cherche absolument pas à vendre son entreprise, ni à éviter de payer ses impôts. Il est conscient que ses suggestions seront impopulaires et difficiles à vendre sur le plan politique. « Mais si on veut garder nos sièges sociaux et ne pas redevenir une économie de succursales, il faut agir », affirme-t-il. Après la sortie d'Alain Bouchard sur les actions à droit de vote multiple, voilà un autre débat connexe lancé sur nos sièges sociaux par un homme d'affaires d'envergure... GROUPE CGI EN BREF Employés : 65 000 Étendue : 400 bureaux dans 40 pays Revenus annualisés : environ 11 milliards Capitalisation boursière : 20 milliards http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201604/21/01-4973867-sieges-sociaux-en-peril-le-cri-du-coeur-de-serge-godin.php
  7. ROSEMONT SUR LE PARC - 48 CONDOS NEUFS - LANAUDIÈRE COIN BOULEVARD ROSEMONT Condo Montréal. Nouveau projet à Rosemont. 48 condos de Studio, 1 et 2 chambres à partir de 134 452$. Subvention disponible selon le nouveau programme de la Ville en 2010. Rosemont sur le Parc est situé sur la rue Lanaudière près du boulevard Rosemont, dans un secteur en pleine évolution. Découvrez nos différents plans en cliquant sur les unités disponibles. Réservez votre unité pour occupation été/automne 2012. Projet de MONDEV http://www.mondev.ca/condo-montreal-rosemont-sur-le-parc-48-condos-neufs-a-montreal-rosemont-.html?ProjetID=114
  8. http://www.journaldemontreal.com/2016/01/20/les-plus-pauvres Nous sommes tellement habitués à ce genre de manchettes, c’est à peine si cela se fraye encore une place dans les bulletins de nouvelles. Le Québec est la province la plus pauvre du Canada. L’Île-du-Prince-Édouard a connu une meilleure croissance depuis deux ans. Cette minuscule province nous a dépassés. Dixième sur dix. Ces données de l’Institut de la statistique du Québec auraient dû semer la panique dans la population, nous servir un électrochoc pour revoir tout notre modèle économique. On devrait voir des gens s’arracher les cheveux, des vieillards frapper les lampadaires avec leur canne et des politiciens pleurer de rage. Rien de tel ne se produit au Québec. Endormis On reçoit cette nouvelle comme un fait divers. Certains nient la réalité en se moquant des statistiques, d’autres se réfugient derrière l’idée que nous sommes choyés d’avoir un modèle plus «égalitariste». Le pauvre François Legault fait cavalier seul en s’époumonant depuis des mois à l’Assemblée nationale à essayer d’intéresser quelqu’un à la tragédie de notre appauvrissement collectif. La statistique dont on parle est pourtant simple: le revenu disponible par habitant. Combien en moyenne nous reste-t-il dans nos poches pour vivre une fois que les gouvernements nous ont plumés? Difficile à truquer, pas difficile à interpréter. Il nous en reste beaucoup moins dans nos poches. Cela correspond pas mal à l’idée de pauvreté. Niveler par le bas Pourquoi ne pas être consolés par cette notion d’un Québec plus égalitaire? Il y a au Québec un écart moins grand entre riches et pauvres, cela est vrai. Mais attention. Les pauvres du Québec sont plus pauvres qu’ailleurs, la classe moyenne est plus pauvre aussi. Ladite égalité vient du fait que nous avons moins de riches. Moins de riches, donc moins de raison d’être jaloux peut-être, ce qui donne une impression de justice. Par contre, moins de riches signifie aussi moins de contributeurs pour payer les impôts qui financent tous nos beaux services publics. Une analyse complète permet difficilement de conclure que l’égalitarisme viendrait compenser pour le triste constat que nous sommes globalement plus pauvres. L’importance de l’écart mérite aussi qu’on s’y attarde. Plus de 4200 $. C’est le montant en moyenne de revenu disponible que nous avons de moins dans nos poches, par habitant! Faites le calcul: cela signifie que le couple québécois moyen dispose de près de 10 000 $ de moins pour faire face à ses obligations et se payer de petites gâteries. Les garderies auront beau coûter moins cher ici, on parle d’un écart énorme dans le même pays. Je reste estomaqué par une question existentielle: comment le discours dominant au Québec peut-il continuer d’être en faveur de la sauvegarde du supposé «modèle québécois»? Comment en sommes-nous venus à penser que notre modèle étatique, social et syndical nous rend service avec des résultats semblables? Mystère.
  9. 6 x 6 étages 3 x 8 étages 8 x 12 étages Fermez les yeux et imaginez-vous habiter dans un secteur où nature et vie pratique cohabitent à la perfection. C’est ce que vous offre Domaine Mont-Laval par son développement résidentiel situé au cœur de Sainte-Dorothée et à proximité du plus grand site naturel de cette belle ville. Nos condos et penthouses spacieux et abordables vous offrent le meilleur des deux mondes. Ils sont situés près des services tels qu’arrêt d’autobus, épicerie, dépanneur, restaurants, mais également bien lovés près d’un lac, d’une montagne, de parcs, de pistes cyclables et autres attraits naturels. http://charplexe.ca/domainemontlaval/index.asp
  10. Voici le lien FB https://www.facebook.com/chmmtl/?fref=ts
  11. http://www.groupecalex.com/index.php?id=68&mod=projets&cat=encours&pId=69 Nouveau Projet de condominium du Groupe Calex situé dans l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Prairie, Montréal Ce projet vous offre 29 unités de 1 et 2 chambres à coucher incluant des unités avec mezzanine et terrasses privée au toit. A noter qu’il y a des places de stationnement extérieur de disponible pour ce projet Situé à près du métro Rosemont et directement face au parc du Père Marquette, ce secteur vous offre une multitude de services tels que : piste cyclable, boutiques, restaurants, marché Jean-Talon, transport en commun, école, hôpital et autres. Réservez dès maintenant et profitez de nos prix de pré-construction incluant climatiseur murale ! Notez que ce projet se qualifie pour le programme de subvention de la Ville de Montréal Adresse : 5740 rue Garnier, Rosemont-La-Petite-Patrie, Qc, H2G 2Z7 Pour information contactez-nous au : 514-795-7121 ou @ info@groupecalex.com
  12. TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental Inc. pour 800 M$ MONTREAL, QUEBEC--(Marketwired - 29 oct. 2015) - TransForce Inc. (TSX:TFI)(OTCQX:TFIFF), un chef de file nord-américain du secteur du transport et de la logistique, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu une convention définitive d'achat d'actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto, en Ontario. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 % des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l'opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l'obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l'absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. "Nous sommes très heureux d'avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n'a jamais été pleinement reconnue", a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. "Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j'aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement", a ajouté M. Bédard. La convention d'achat d'actions prévoit qu'une tranche de 100 M$ du prix d'achat pourra être acquittée par l'émission à TransForce d'actions de GFL, sous réserve du respect de certaines conditions à la satisfaction de TransForce. Si TransForce choisit de ne pas être payée au moyen d'actions de GFL, GFL paiera 775 M$ à TransForce à la clôture et règlera le solde du prix d'achat au moyen d'un billet à ordre de 25 M$ payable quatre ans après la date de clôture et portant intérêt au taux de 3 % par année. ---- L'équivalent d'une perte de siege social
  13. La Ville de Montréal, qui s'apprête à emprunter des milliards de dollars dans les prochaines années pour réparer ses infrastructures, économisera des sommes importantes en intérêts, puisque sa cote de crédit vient d'être rehaussée par une firme de notation, notamment en raison d'un «environnement politique plus stable». La cote de crédit de la métropole accordée par Standard & Poor passe ainsi de à A+ à AA-, une première hausse en plus de 30 ans pour la Ville de Montréal. La firme de notation vante les «liquidités exceptionnelles» de la Ville, son faible endettement et le redressement de la «performance budgétaire» par rapport à l'administration Tremblay. «Nous croyons que l'environnement politique s'est stabilisé dans les dernières années», peut-on lire aussi lire dans le document. Le maire Denis Coderre se réjouit de cette annonce, qui tombe la même semaine que le dévoilement du programme triennal d'immobilisations 2016-2018 de la Ville de Montréal, lequel prévoit 5,2 milliards de travaux. « C'est la preuve que les décisions que nous avons prises commencent à porter fruit. Les experts de S&P ont examiné chacune de nos actions sur le plan du contrôle des dépenses, de la gestion de notre dette, de la planification de nos investissements. Ce rehaussement de notre cote de crédit traduit un niveau élevé de confiance en la solidité financière de Montréal à long terme », a déclaré M. Coderre, dans un communiqué. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201510/22/01-4912878-standard-poors-rehausse-la-cote-de-montreal.php
  14. http://sidlee.com/fr/news/2015/July/kyu 06-07-2015 Nous entamons aujourd’hui une nouvelle aventure : hisser Sid Lee au prochain niveau en déployant plus loin notre réseau mondial. Sid Lee est heureuse d’annoncer la conclusion d’une entente pour se joindre à kyu, un nouveau collectif d’entreprises de créativité, dont le siège social se trouve à New York et qui a été établi par Hakuhodo DY Holdings pour renforcer sa présence mondiale. Nous sommes fiers de nous joindre à kyu en vue de bâtir un nouveau modèle de regroupement d’agences créatives et pour accroître la portée de la marque de Sid Lee dans le monde. Cette transaction est toute particulière parce qu’il s’agit de la première fois de l’histoire canadienne où l’on acquiert la marque d’une agence dans le but de la déployer en un réseau global. Quand nous avons démarré la compagnie il y a plus de 20 ans, les entrepreneurs naïfs – mais très enthousiastes – que nous étions n’auraient jamais osé rêver d’un jour chercher à atteindre des ambitions aussi audacieuses. Aux termes de l’entente, Sid Lee maintiendra son siège social à Montréal; ses dirigeants actuels ont un engagement à long terme avec kyu et continueront de bâtir l’entreprise pour la prochaine décennie. Nous estimons que cette transaction créera plus d’emplois à Montréal et à Toronto étant donné que nos deux bureaux les plus importants agiront en tant que carrefours de création et de production pour contribuer à augmenter le rayonnement de Sid Lee dans le reste du monde. L’appui d’un partenaire mondial nous aidera à développer nos capacités plus complètement et plus rapidement. De manière plus importante, Sid Lee bénéficiera dorénavant des vastes ressources de Hakuhodo DY Holdings en Asie. Le Cirque du Soleil demeurera un partenaire commercial, comme ce fût le cas depuis 15 ans. En bref, nos clients et nos employés peuvent s’attendre à ce qui suit : Une plus grande portée géographique. La même approche dynamique et entrepreneuriale : les dirigeants de Sid Lee se joignent au collectif kyu afin de contribuer à bâtir le regroupement d’agences créatives de l’avenir. Les dirigeants actuels de Sid Lee conserveront leurs rôles pendant encore de nombreuses années : la structure de l’entente est conçue pour récompenser tout autant les succès futurs que le rendement antérieur. La marque Sid Lee sera maintenue et déployée davantage. Le siège social de Sid Lee demeurera à Montréal et notre engagement à l’égard de la métropole ne changera pas. Nous prévoyons y créer davantage d’emplois de qualité pour soutenir notre croissance internationale. Sid Lee continuera de soutenir C2 Montréal avec autant de passion qu’au cours des quatre dernières années afin d’aider Montréal à rayonner dans le monde entier. Pour en savoir plus sur l’entente, veuillez vous reporter au communiqué officiel de kyu. sent via Tapatalk
  15. http://tourismexpress.com/nouvelles/le-palais-des-congres-de-montreal-rafle-l-or-a-l-international
  16. https://www.facebook.com/archibranches About Animation : Marc-André B. Carignan Production : AGLA Médias www.aglamedias.com Description Grands artisans de l'effervescence de nos cités, les architectes modèlent notre cadre de vie et lèguent une identité, une singularité à nos paysages urbains. Archi-Branchés tient à rendre hommage à ces hommes et femmes visionnaires, trop ignorés du grand public. À travers l'odyssée du journaliste Marc-André B. Carignan, le magazine convie à l'exploration des grands projets immobiliers, les plus novateurs du Québec. Chaque émission est ainsi consacrée à un architecte et à la visite exhaustive de sa dernière création. Une approche originale qui sonde ses inspirations, questionne son imaginaire et sa vision de la ville de demain. Une formidable opportunité pour le public de s'imprégner de leur ingéniosité, de leur avant-gardisme, mais aussi de mieux saisir les enjeux cruciaux en matière d'habitat et d'urbanisme. Chaque épisode d'Archi-Branchés représente bien plus qu'une visite de bâtiment, il propose plutôt d'en dresser une véritable biographie. Quel est l'historique du site, du quartier ? Quel est le rayonnement culturel, social ou économique de l’œuvre sur son environnement ? Quelles sont les pistes de développement envisageables ? C'est toute la portée spatio-temporelle du monument qui est ainsi mise en scène. Le portrait du projet ne se limite pas au cadre de sa silhouette : il en trace les perspectives et raconte son histoire. Basic Info [TABLE=class: _5e7- profileInfoTable _3stn, width: 376] <tbody>[TR] [TH=class: label]Created[/TH] [TD=class: data]2013[/TD] [/TR] [TR=class: spacer] [TD=colspan: 2] [/TD] [/TR] [TR] [TH=class: label]Genre[/TH] [TD=class: data]Magazine[/TD] [/TR] [TR=class: spacer] [TD=colspan: 2] [/TD] [/TR] [TR] [TH=class: label]Network[/TH] [TD=class: data]Canal Savoir[/TD] [/TR] [TR=class: spacer] [TD=colspan: 2] [/TD] [/TR] [TR] [TH=class: label]Season[/TH] [TD=class: data]I[/TD] [/TR] [TR=class: spacer] [TD=colspan: 2] [/TD] [/TR] [TR] [TH=class: label]Starring[/TH] [TD=class: data]Marc-André B. Carignan[/TD] [/TR] [TR=class: spacer] [TD=colspan: 2] [/TD] [/TR] [TR] [TH=class: label]Directed By[/TH] [TD=class: data]Marie-Claude Gervais[/TD] [/TR] [TR=class: spacer] [TD=colspan: 2] [/TD] [/TR] [TR] [TH=class: label]Written By[/TH] [TD=class: data]Lloyd Pasqualetti, d'après une idée originale de Lisa-Marie Lampron[/TD] [/TR] [TR=class: spacer] [TD=colspan: 2] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] Contact Info [TABLE=class: _5e7- profileInfoTable _3stn, width: 376] <tbody>[TR] [TH=class: label]Website[/TH] [TD=class: data]http://www.aglamedias.com[/TD] [/TR] [TR=class: spacer] [/TR] </tbody>[/TABLE]
  17. À l'Exception du Benelux, ça fait presque 140 ans que Verdun est un ville sans de débit de boisson. Suite à un plan de restructuration de 10 ans. La ville ouvrira finalement la chance d'ouvrir un bar, brasserie ou tavernes sur Wellington et à l'ïle des Soeur. Pourquoi la ville devenue arrondissement aura restée sèche aussi longtemps ? À lire ici La seule ville encore sous la Loi de la Tempérance restera nos amis de St-Lambert.
  18. Je suis dans le domaine des TI et aujourd'hui un collègue de Toronto venait nous visiter à Montréal pour la première fois de sa vie. Il travaille bcp à New York et Singapour et bien sur Toronto. J'ai pris une marche au C-V René-Lévesque\De La Montagne en passant par Ste-Cath et Beaver-Hall Square Victoria et il a vraiment été impressionné il trouvait la ville super belle ! Il a remarqué le Mont-Royal, La Place Ville Marie, La rue McGill etc. Il aimait beaucoup l'architecture et nos vieux batiments (Sun Life, Cathédrale etc.) On reprend la visite demain Bref je voulais vous le partager j'ai trouvé ça bin l'fun ! C'est le fun se faire dire par un gars de l'extérieur qui trouve que Montréal une belle ville sans lui mettre les mots dans la bouche. :mtl:
  19. http://tvanouvelles.ca/helicoptere/ Des images le fun à regarder de nos grattes ciels préférés =)
  20. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/458218/charte-des-valeurs-economie-et-architecture/ Désirant profiter de la campagne électorale, l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) amorce une tournée provinciale pour réclamer de nos élus l’adoption d’une politique nationale de l’architecture. Mine de rien, le dossier traîne depuis plus de 30 ans à l’Assemblée nationale. L’OAQ avait en effet déposé en 1982, alors que René Lévesque était au pouvoir, un livre blanc pour guider le développement urbain du Québec. Le dossier a refait surface à quelques reprises depuis, mais n’a malheureusement jamais mené à l’adoption d’une réelle stratégie provinciale. C’est pourquoi l’OAQ partira, dès la semaine prochaine, à la rencontre de députés, de maires, d’architectes et d’organismes sensibles à notre patrimoine bâti afin de faire valoir les bénéfices d’une telle politique. Seize pays, dont les Pays-Bas et la Norvège, possèdent déjà la leur, alors que 14 autres y travaillent d’arrache-pied. Pourquoi pas le Québec? Une politique provinciale forcerait notre gouvernement à devenir un client exemplaire pour la construction de bâtiments publics, en établissant une série de critères précis à examiner avant de sortir le chéquier pour un musée, un hôpital et même un échangeur autoroutier. En ce moment, l’État québécois persiste trop souvent à sélectionner un projet en ne regardant que la facture. Pas le fournisseur le plus fiable. Pas le plus talentueux. Le moins cher, et ce, peu importe la proposition. Est-ce ce que vous feriez avec votre propre maison si vous souhaitiez, par exemple, l’agrandir? Prendriez-vous le plus bas soumissionnaire (peu importe son CV et ses références) ou opteriez-vous pour le meilleur rapport qualité/prix afin d’assurer une plus-value à votre propriété? Poser la question, c’est y répondre. Pourquoi procéder différemment avec notre patrimoine collectif? Depuis déjà trop longtemps, on dépense des millions et des millions de dollars en édifices publics sans prendre le temps de regarder plus loin que le bout de notre nez. Mais ces bâtiments maximisent-ils vraiment notre productivité au travail? Reflètent-ils notre créativité? Possèdent-ils une valeur touristique? Une stratégie nationale démontrerait [enfin] que nos politiciens se soucient réellement de l’aménagement de notre territoire en affirmant vouloir prioriser un patrimoine bâti de qualité. En donnant l’exemple, on s’efforcerait de transformer nos paysages urbains en une fierté nationale comme dans bien des pays. Mais attention ici. Je ne parle pas de favoriser la construction d’icônes tape-à-l’œil, dispendieuses, qui vieillissent mal et qui n’ont strictement aucun impact sur notre qualité de vie. Je parle plutôt d’une fierté collective qui se rapproche davantage des pays scandinaves avec une architecture à échelle humaine, respectueuse de l’environnement et qui reflète notre identité culturelle. Assurons-nous d’obtenir le meilleur pour notre société. Pas le minimum requis.
  21. Le segment montréalais est a 11:10 Nos opérations de déneigement fascinent les gens un peu partout sur la planète. Plus tôt cette semaine, la télévision publique allemande Das Erste a tourné un reportage sur le sujet en compagnie de notre équipe. Voici le résultat dans la langue de Goethe! <span class="userContent">https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dYf_cNf2kAw
  22. Désolé pour els amateurs de mauvaises nouvelles. Voici un artcile sur la progression de PSP Investissement, une caisse de retraire comparable à la caisse de dépot et 100% basé à Montréal (mis à part un bureau bidon à Ottawa pour de la représentation). La croissance de leur actif les positionnent maintenant au 4e rang des caisses de retraire au Canada derrière CDP, CPP et Teacher's. Un jour ils auront leur propre tour dans le CV de Montréal je vous le garantie. Publié le 13 décembre 2013 à 06h42 | Mis à jour à 09h29 Actif doublé à plus de 85 milliards en quelques années à peine. Effectif montréalais approchant les 500 employés. Plus de 4 milliards par an en nouveaux capitaux à investir. Le tableau de bord de la société montréalaise Investissements PSP a de quoi susciter l'envie parmi les gestionnaires d'actif des plus grandes caisses de retraite au Canada. Mais au dire de son président et chef de la direction, Gordon Fyfe, les défis de gestion chez PSP s'apparentent encore à ceux d'une entreprise en pleine émergence: produire de bons résultats courants et futurs tout en gérant une croissance rapide de l'actif et des effectifs. «Pendant que nous développons nos équipes de placement et leur portefeuille, nous devons aussi gérer beaucoup de liquidités qui entrent et qui sortent chaque année dans notre actif», résume Gordon Fyfe en entrevue avec La Presse Affaires. «Néanmoins, cet afflux de liquidités est aussi l'un de nos principaux avantages comparatifs parmi les gestionnaires d'actif de grosses caisses de retraite. Nous avons plus de flexibilité pour effectuer nos transactions aux moments les plus avantageux selon nos objectifs de rendement.» D'où provient cet avantage? Pour l'expliquer, il faut rappeler qu'Investissements PSP a été créée il y a 13 ans par le gouvernement fédéral en tant que société d'État autonome avec le mandat de mieux gérer l'actif des caisses de retraite de plusieurs dizaines de milliers d'employés fédéraux. Il s'agit d'abord de la caisse principale des fonctionnaires, mais aussi celles de la Défense nationale, de la Gendarmerie royale du Canada et, depuis peu, des membres de la Réserve militaire. À l'époque, en 2000, l'actif combiné de ces caisses de retraite se chiffrait à une dizaine de milliards de dollars. Treize ans plus tard, il vient de passer le seuil des 85 milliards. Et il est déjà prévu autour des 300 milliards dans une quinzaine d'années, selon les hypothèses actuarielles des caisses de retraite fédérales. En ce moment, la croissance de l'actif géré par PSP est en partie attribuable aux revenus de placement accrus par une gestion active. Ces revenus ont atteint 7,1 milliards lors de l'exercice terminé le 31 mars, ce qui a porté à 23 milliards le total des revenus engrangés au cours des quatre dernières années, depuis le revers de 9,5 milliards subi l'année de la crise financière. Mais aussi, admet d'emblée Gordon Fyfe, la croissance d'actif chez PSP provient encore beaucoup de l'influx annuel de 4 à 5 milliards de dollars en nouveaux capitaux à investir. PSP se retrouve ainsi dans une situation singulière parmi les gestionnaires d'actif des plus grandes caisses de retraite du secteur public au Canada. Selon M. Fyfe, cette situation découle de la «jeunesse démographique» des caisses de retraite fédérales dont PSP gère les placements, comparativement à ses semblables comme la Caisse de dépôt et placement du Québec et les caisses Teachers' et OMERS en Ontario. «Ces caisses de retraite sont plus matures démographiquement, et certaines déjà en phase de sortie de liquidités [NDLR: nombre croissant de retraités-prestataires par rapport aux salariés-déposants]. Chez PSP, les caisses dont nous gérons les actifs ne seront pas dans cette situation avant 15 à 20 ans.» D'où l'avantage comparatif auquel prétend PSP parmi ses pairs en pouvant compter sur un apport considérable de capitaux neufs à investir pour plusieurs années. Aussi, PSP peut orienter sa recherche d'actifs selon deux critères principaux. D'une part, des actifs à potentiel supérieur de croissance mais à long terme, notamment dans les économies émergentes par rapport aux économies développées. C'est ce qui explique en partie la part de 16% de l'actif total de PSP qui est identifiée aux régions d'économies émergentes comme l'Asie et l'Amérique latine. Flexibilité D'autre part, explique Gordon Fyfe, PSP a la flexibilité de liquidités pour investir rapidement dans des actifs de qualité mais qui se retrouvent en «détresse» temporaire en raison d'une conjoncture négative ou de problèmes financiers chez leurs propriétaires. Un exemple de cette flexibilité? Au lendemain de la crise financière de 2008, et même si le rendement de son actif en avait été très affecté comme chez ses pairs, PSP avait encore des milliards de dollars en capitaux neufs à investir dans des actifs soudainement dépréciés. C'est ainsi que PSP a pu profiter de la crise immobilière dans plusieurs villes américaines, dont New York, pour garnir son portefeuille de bons immeubles commerciaux à prix avantageux. Quelques années plus tard, le portefeuille immobilier de PSP approche les 10 milliards, à hauteur de 12% de l'actif total sous gestion. Et le rendement courant de ce portefeuille immobilier (11% durant l'exercice terminé le 31 mars) cote au double de celui de l'indice de référence sectoriel. «Nous réalisons de solides rendements de nos divers portefeuilles depuis quelques années et nous entendons bien continuer ainsi», affirme Gordon Fyfe. Quant à sa lecture courante des marchés du placement, il préfère s'en tenir à sa philosophie de direction des équipes de portefeuille chez PSP. «Ce qu'il y a d'intéressant dans notre domaine, c'est qu'il y a toujours quelque part de bons actifs qui se retrouvent dans le trouble. Et chez PSP, nous avons les moyens de transiger rapidement dans ce type d'actifs, mais toujours quand ça nous plaît vraiment et selon nos objectifs de rendement.» Investissements PSP en un coup d'oeil > Activités: gestion des placements de l'actif de quatre caisses de retraite d'employés fédéraux: fonction publique, Défense nationale, GRC, Force de réserve > Actif net (au 1er déc. 2013): 86 milliards > Rendement annualisé depuis quatre ans: 12,2% (au 31 mars) > Siège administratif: Montréal > Effectif: 470 employés > Frais d'exploitation: 0,24% de l'actif net (au 31 mars) > Rémunération des cinq principaux dirigeants: 16,1 millions (+57% en 2013) > Année de fondation: 2000 (société d'État fédérale) Source: Investissements PSP Les grands gestionnaires de fonds de retraite > Office d'investissement du Régime de pension du Canada: 192 milliards (au 30 sept. 2013) > Caisse de dépôt et placement du Québec: 186 milliards (au 30 juin 2013) > Teachers (Régime de retraite des enseignants de l'Ontario): 129 milliards (au 31 déc. 2012) > Investissements PSP: 86 milliards (au 1er déc. 2013) > Alberta Investment Management Corp.: 68 milliards (au 31 déc. 2012) > Omers (Régime de retraite des employés municipaux de l'Ontario): 61 milliards (au 31 déc. 2012) > BC Pension: 31 milliards (au 31 mars 2013) > OPB (Commission des régimes de retraite de l'Ontario): 19 milliards (au 31 déc. 2012) Sources: rapports annuels, Bloomberg, archives média Eureka
  23. Pour une Maison de Tunisie à Montréal 2013-10-29 Montréal – De notre envoyé spécial – On ne peut pas développer nos relations avec le Canada sans œuvrer pour y consolider notre présence. L'ambassade de Tunisie à Ottawa, ouverte au lendemain de l’indépendance par feu Taïeb Slim, et dirigée à présent par Ryadh Essid, repose sur une équipe réduite pour couvrir l'un des pays les plus vastes du monde avec 7 millions de kilomètres carrés. A Montréal, parmi 50 missions consulaires, 49 sont des consulats généraux et une seule est un simple consulat, celle de la Tunisie qui veille sur nos 25000 ressortissants. Avec ce statut, le nombre de personnel affecté est réduit. Pourtant, le volume de travail s’est multiplié ces dernières années. C’est ainsi que les services consulaires ont procédé, rien que l’année dernière au renouvellement de plus de 3500 passeports et l’émission de 800 actes de naissance, en plus des autres tâches. La demande d'élever le statut de notre mission consulaire à Montréal à celui de Consulat général trouve largement sa justification. Deuxième aspect et non des moindres, le regroupement des différentes représentations tunisiennes à Montréal dans une même espace, plus fonctionnel et communicant. Outre le consulat, la Tunisie compte en effet une représentation du Tourisme, un centre social et une mission universitaire. Bientôt s’y ajoutera une représentation de la FIPA, ouverte début des années 1990, puis fermée. Actuellement, chaque représentation dispose de ses propres locaux, souvent très étroits, faute de budget suffisant dans une ville où loyers et charges flambent. Par souci d’économie, mais aussi de synergie et pour faciliter la tâche aux Tunisiens, un appel pressant est lancé par notre communauté pour trouver un local spacieux et convivial, digne de l’image de notre pays, qui sera érigé en Maison de Tunisie et où seront regroupés nos diverses missions. Réitérée devant Ridha Saidi, ministre auprès du Chef du gouvernement chargé des Affaires économiques, l’idée semble trouver une oreille attentive, surtout avec l'ouverture prochaine de la ligne directe de Syphax Airlines, Tunis-Montréal-Tunis. Taoufik Habaieb http://www.leaders.com.tn/article/pour-une-maison-de-tunisie-a-montreal?id=12501
  24. Beau papier d'opinion de 2 membres du CERIUM à propos de Montréal: http://www.lapresse.ca/debats/votre-opinion/201309/25/01-4693223-montreal-nest-pas-une-ile.php
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