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  1. Il semble que depuis la fin 2014, Montréal est en train d'explorer la possibilité de recouvrir l'autoroute Décarie dans le secteur Namur/De la Savane. Il y aurait au moins 2 hypothèses à l'étude. L'étendue de ce potentiel recouvrement n'est pas mentionnée. http://www.seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=1a3f81aa-ccb1-4046-9821-9ffa7f0254e2
  2. Un projet Accès Condos dans Montréal-Nord. Première phase proposant 87 unités, une deuxième phase suivra, pour un total de 150 unités. On y retrouvera de tout, du condo à une chambre jusqu'à la maisonnette sur deux étages au rez-de-chaussée. Le projet se trouve au coin des boulevards Maurice-Duplessis et Langelier, le bureau des ventes ouvrira samedi. Il y a longtemps que ce quartier n'avait pas eu un projet digne de mention. Voici un article de La Presse parlant plus en détail du projet. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201109/29/01-4452679-condos-accessibles-dans-montreal-nord.php Je suis désolé si ce projet est déjà répertorié ici, je ne l'ai pas trouvé avec une recherche. ÉDITION: Arrrg, j'ai fait une erreur dans le titre, c'est "Le MN", si un mod pouvait corriger, ce serait chouette.
  3. Les investissements municipaux au titre de la culture de cinq grandes villes du Canada. http://www.hillstrategies.com/resources_details.php?resUID=1000424&lang=fr
  4. Métro de Longueuil: des usagers frappés par une hausse de 60% La Société de transport de Montréal (STM) a pris la décision unilatérale d'imposer à ses usagers de Longueuil une hausse du coût d'accès au métro de presque 60%, en obligeant les voyageurs à présenter un titre de transport TRAM 3 de 111$, au lieu d'une CAM qui en coûte 70$. La Ville de Longueuil vient de dénoncer cette décision, prise ce matin lors d'une rencontre des élus de la métropole à la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) dans le cadre des discussions sur le financement métropolitain des transports collectifs. Le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, refusait depuis l'an dernier de verser ses contributions de 2 millions $ par année à la STM, pour protester contre l'inéquité tarifaire qui frappait les usagers de sa ville, forcés depuis l'ouverture du métro de Laval d'acheter un titre de transport TRAM 3 pour prendre le métro. Depuis toujours, les usagers qui prennent le métro à Longueuil, sans avoir utilisé les autobus du Réseau de transport de Longueuil (RTL) pour s'y rendre, peuvent accéder au réseau en utilisant le même titre de transport que les Montréalais, soit une carte CAM, qui coûte 70$ par mois. En vertu de la décision vivement dénoncée jeudi par la mairesse de Longueuil, Mme Caroline Saint-Hilaire, ces mêmes usagers devront à compter du 1er juillet prochain se procurer un titre TRAM 3, qui donne accès à la fois au métro et au réseau d'autobus locaux, en banlieue.
  5. Ça me surprends que personne n'en ait parlé encore... Pour ceux qui ne le savent pas encore, l'OMS a élevé son niveau d'alerte à 4 aujourd'hui. http://www.canoe.com/infos/international/archives/2009/04/20090427-170256.html Si cette crise continue de se concrétiser, elle pourrait signer l'arrêt de mort pour plusieurs entreprises qui sont déjà mal en point à cause de la crise économique. À titre d'information, la souche de la grippe porcine (H1N1) est la même que la grippe espagnole de 1918 qui a fait environ 30 millions de morts. Je sais qu'à l'époque, la médecine et la technologie était loin d'être ce qu'elle est aujourd'hui, mais ça mérite quand même réflexion, je crois. Finalement, ce qui m'a poussé à ouvrir le sujet, c'est que j'ai constaté aujourd'hui que la grippe porcine a fait plus de victimes en plus ou moins 4 semaines que la grippe aviaire (H5N1) en 5 ans. http://fr.wikipedia.org/wiki/Influenzavirus_A_sous-type_H5N1 Au niveau des impacts : Jean Charest : Les Québécois doivent éviter le Mexique http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/04/20090427-191030.html Le port du masque se répand à l'aéroport Montréal-Trudeau http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2009/04/20090427-213254.html Divers pays demandent à leurs ressortissants d'éviter le Canada. http://nouvelles.sympatico.msn.ca/abc/Grands_titres/ContentPosting_SRC_grands_titres.aspx?isfa=1&feedname=CBC_TOPSTORIES_V3_FR&showbyline=True&date=true&newsitemid=433684 Grippe porcine : les sociétés aériennes écopent http://argent.canoe.com/lca/infos/international/archives/2009/04/20090427-084549.html Grippe porcine La technologie antimicrobienne de Noveko International en demande 27 avril 2009 - 14h34 Argent Si certains secteurs de l’économie sont fortement affectés par l’éclosion de la grippe porcine, qui semble prendre une proportion internationale, d’autres, pharmaceutiques en tête, sont tirées vers le haut en raison de la forte demande pour leurs produits. Ainsi en va-t-il pour Noveko International (EKO), une société montréalaise qui, par l'intermédiaire de ses filiales, se spécialise principalement dans le développement et la commercialisation de filtres à air, masques et autres produits aux propriétés antimicrobiennes. Son président et chef de la direction, Alain Bolduc, explique que l’entreprise avait déjà par le passé effectué du démarchage auprès du Mexique et que des produits de Noveko International y seront livrés sous peu. L’alerte à la grippe aviaire a un effet positif sur l’activité de l’entreprise, reconnaît M. Bolduc. «On était déjà prêt (à une situation semblable) constate-t-il. On est déjà approuvé par Santé Canada, CE Marking, et on est sur le point d’être approuvé par la FDA aux États-Unis», de sorte que Noveko est «prêt à commercialiser (ses produits) à grande échelle». Qui plus est, la société montréalaise jouit d’une expertise dans le domaine des porcheries, qu’elle équipe de son système de filtration afin de réduire les incidences d’infections virales. Lundi, le titre de Noveko International cotait à 2,95$ en mi-journée, soit 1,05$ de plus qu’à la fermeture vendredi.
  6. Publié le 22 avril 2009 à 05h00 | Mis à jour à 11h30 Une guerre du café à l'horizon Pierre Couture Le Soleil (Québec) Après la guerre des beignes, assisterons-nous à celle du café? McDonald's vient de lancer une vaste offensive sur Tim Hortons. Le but : gagner des parts dans le très lucratif marché des buveurs matinaux. Ne riez pas, de grosses sommes d'argent sont en jeu. L'an dernier, il s'est vendu au Canada plus de 1,8 milliard de tasses de café dans les restaurants et les établissements spécialisés. Les ventes de café ont ainsi progressé de 2 % (36 millions de tasses) par rapport à 2007. Selon un sondage commandé par la firme NPD Group, le café demeure le produit le plus prisé des Canadiens lorsqu'ils franchissent les portes d'un restaurant. Le tiers des ventes des restaurateurs sont associées au café. En calculant un profit net d'environ 85 % sur chaque tasse vendue, on comprend un peu mieux l'engouement des géants de la restauration rapide pour cette précieuse boisson chaude. Au Canada, Tim Hortons domine outrageusement la vente de café le matin. Ses parts de marché sont estimées à environ 70 %. À l'opposé, McDonald's ne contrôlerait que 10 % des ventes de café entre 6h et 10h30. L'an dernier, les 2917 succursales Tim Hortons ont généré beaucoup de fric, soit des revenus de 2 milliards $. Chez Tim Hortons, environ 50 % du chiffre d'affaires émane de la vente de café. Or, McDo pense qu'elle pourrait s'attirer de nouveaux clients dans ce marché au cours des prochains mois. Depuis lundi, et ce, jusqu'au 3 mai, la multinationale du hamburger offre le café gratuitement à tous les clients qui se présentent dans ses restaurants. Aucun achat n'est requis. Plusieurs analystes estiment que cette façon de faire est audacieuse et pourrait permettre à McDonald's de gagner de nouveaux adeptes (voire ravir des clients à Tim Hortons). On pense notamment aux irréductibles automobilistes qui n'hésitent pas à faire la file de longues minutes le matin chez Tim Hortons pour se procurer un café. McDo cherche depuis longtemps à rentabiliser ce service peu fréquenté le matin par ses clients. Il faut dire que Tim Hortons tire 60 % de ses revenus le matin. «Cette promotion vise essentiellement à mettre de la pression sur Tim Hortons», signale l'analyste Perry Caicco, de CIBC Marchés mondiaux, dans une note de recherche à ses clients. Car voilà, en pleine récession, McDonald's a tout à gagner. Et Tim Hortons, beaucoup à perdre. Tim Hortons demeure une marque très populaire auprès des Canadiens, mais il semble y avoir une limite à vendre des cafés, des muffins et des beignes le matin. On imagine d'ailleurs mal comment la chaîne de beigneries au nom du célèbre joueur de hockey pourrait faire mieux. Au petit déjeuner, Tim Hortons détient 65 % du marché de la vente de café, alors que près de 50 % de sa clientèle revient au moins quatre fois par semaine dans ses établissements. À moins d'ouvrir de nouveaux restaurants et de risquer de «cannibaliser» davantage ses franchisés actuels, Tim Hortons devra se résigner à des objectifs financiers plus modestes cette année et l'an prochain, pensent certains experts. Au dernier trimestre, Tim Hortons a notamment vu ses revenus grimper de 9,4 %, à 563,7 millions $, alors que ses profits nets ont glissé de 8,7 %, à 69,1 millions $. Alors que l'Association des restaurateurs prévoit une contraction des ventes de 1,8 % cette année dans le secteur de la restauration rapide, Tim Hortons pense toujours faire grimper ses revenus entre 3 et 5 %. Pour faire taire les rumeurs, Tim Hortons a décidé de hausser de 11 % son dividende annuel le mois dernier tout en s'engageant à racheter 5 % de ses actions en circulation en 2009. Chez McDo, l'offensive café devrait déboucher sur l'entrée progressive au Canada des McCafe. Une nouvelle section déjà introduite dans des restaurants de la chaîne en Europe et aux États-Unis. Les McCafe offrent des cappuccinos, des cafés lattés et des pâtisseries à des prix, dit-on, imbattables. Chemin faisant, l'analyste David Hartley, de BMO marchés des capitaux, s'attend à ce que le titre de Tim Hortons fasse du surplace cette année. Il croit que d'ici un an, l'action vaudra 31 $. Hier, le titre de Tim Hortons (TSX : THI) a terminé la journée à 30,64 $, en hausse de 17 ¢. Il y a un an, le même titre s'échangeait autour des 34 $. L'analyste de BMO note toutefois que le titre de Tim Hortons se transige ces temps-ci à des ratios plus élevés que la moyenne de l'industrie. À la Financière Banque Nationale, Jim Durran vient d'ailleurs de revoir à la baisse sa cible annuelle sur Tim Hortons, passant de 37 $ à 33 $. L'analyste redoute les effets de la récession et de la compétition ainsi que les faibles bénéfices dégagés par les succursales aux États-Unis.
  7. Après 42 ans au service de la multinationale québécoise, dont 13 à titre de président et chef de la direction, Jacques Lamarre passe le flambeau à Pierre Duhaime, un vice-président de l'entreprise. Pour en lire plus...
  8. Circuit City ferme un magasin sur cinq 3 novembre 2008 - 10h22 Agence France-Presse et LaPresseAffaires.com Les opérations de liquidation des magasins concernés débuteront dès cette semaine. Le distributeur américain de produits d'électronique grand public Circuit City (CC) a annoncé lundi que, face à l'effondrement de ses ventes, il allait fermer 155 de ses 721 magasins d'ici la fin de l'année. C'est plus d'un cinquième de son réseau et de 7800 postes abolis. Circuit City, principal rival au plan national du groupe Best Buy (BBY), dont le chiffre d'affaires est presque quatre fois plus important, a précisé que sa restructuration entraînerait également le licenciement d'environ 17% de ses salariés. Quelque 7800 postes devraient être ainsi supprimés. Les opérations de liquidation des magasins concernés débuteront dès cette semaine. «Depuis la fin de septembre, des événements sans précédent intervenus sur les marchés financiers et de la consommation ont entraîné une forte détérioration des tendances macroéconomiques. Le climat affaibli a entraîné un ralentissement des dépenses de consommation», a justifié le directeur général James Marcum, cité dans le texte. M. Marcum avait précédemment jugé «inacceptables» les performances de la société, marquées par une perte nette de 235,7 M$ US lors des trois mois achevés à la fin d'août et par une baisse des ventes de 13,3%. L'annonce intervient alors que le secteur de la distribution s'attend à une saison de Noël catastrophique. Habituellement, la profession réalise 22% de son chiffre d'affaires annuel pendant cette période. La semaine dernière l'agence de notation Standard and Poor's avait tablé sur une baisse de 2% à 2,5% des ventes d'électronique de Noël par rapport à l'an dernier, en expliquant que «la vente des produits chers, comme les TV à écran plat et les ordinateurs portables devrait baisser (...) Les ventes d'appareils plus petits comme les téléphones portables et les jeux vidéos devraient mieux se porter, mais seront quand même sous pression», ajoutait-elle. Le 24 octobre, l'opérateur de la Bourse de New York avait averti Circuit City qu'elle risquait la radiation d'ici six mois, la valeur de son titre étant resté inférieure à 1 $ pendant trente jours d'affilée. Le titre de Circuit City a perdu quelque 96% de sa valeur en un an. L'action gagnait toutefois 23% à 32 cents lundi matin à la Bourse de New York.
  9. Henri-Paul Rousseau soutient qu'il n'a jamais négocié une indemnité de départ particulière lors de son embauche à titre de PDG de la Caisse, en 2002. Pour en lire plus...
  10. Le titre de Nortel Networks a repris un peu de sa valeur jeudi après avoir dégringolé la veille, suite à l'annonce de la compagnie concernant sa décision de se placer sous la protection des tribunaux . Pour en lire plus...
  11. Y a-t-il quelque chose de plus effrayant pour les actionnaires d'Apple que de penser au départ éventuel de Steve Jobs ? Probablement pas, et le titre perd 5%. Pour en lire plus...
  12. Trois dollars ou 35 cents? L'écart est grand entre la valeur accolée au titre de Rite Aid par le Groupe Jean Coutu et son cours actuel en Bourse. Pour en lire plus...
  13. La compagnie a vu son titre s'échanger pour moins de 1 $ US durant une période de 30 jours ouvrés consécutifs. Pour en lire plus...
  14. C'était très prévisible et inévitable -------------- Dès 2010 GM ne sera plus le commanditaire principal du Festival de jazz 17 décembre 2008 - 15h46 La Presse Canadienne Dans la foulée de la tourmente économique mondiale, le Festival international de jazz de Montréal perdra son commanditaire principal, General Motors, à compter de 2010. GM a indiqué aux organisateurs du Festival que son entente de commandite principale ne sera pas renouvelée lorsqu'elle viendra à échéance. C'est donc dire que la 30e édition de l'événement, en juillet prochain, sera sa dernière à titre de commanditaire principal. Le retrait du géant de l'automobile n'a pas surpris les organisateurs de l'événement, compte tenu des sévères difficultés de l'industrie automobile. «On s'y attendait, avec le contexte économique qu'ils vivent», a dit en entrevue, mercredi, le président et fondateur du Festival, Alain Simard. «On avait prévu au contrat, justement, une date butoir pour un renouvellement à long terme, de façon à ce qu'on ait le temps, ce qui nous donne un an et demi pour trouver un remplaçant. GM, dans le contexte actuel, n'était pas en mesure de confirmer qu'il renouvelait pour cinq ans», a-t-il ajouté. M. Simard s'est dit confiant de pouvoir dénicher un autre commanditaire principal, malgré la tourmente économique. «Ce qui m'inquiéterais plus, c'est l'effet domino sur les plus petits événements. Je suis très confiant que le Festival de jazz est une propriété convoitée par les commanditaires. Mais est-ce qu'ils vont se retirer d'autres événements plus petits pour pouvoir se payer le Festival de jazz? C'est sûr que c'est jamais une bonne nouvelle pour l'économie en général.» Alain Simard se dit déçu du départ de GM, faisant valoir que le constructeur automobile s'était montré un partenaire de choix. Il n'écarte pas d'autres associations dans l'avenir avec GM. Le montant de la commandite n'a pas été rendu public. On sait cependant que près de la moitié du budget de 25 millions $ du Festival provient de commandites et qu'à titre de commanditaire principal, l'investissement de GM était à tout le moins de quelques millions de dollars. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/12/20081217-154650.html
  15. Vers 10h15, le titre de GM reculait fortement (-14,34%) pour pointer à 3,53 $ alors que Ford perdait 2,76% ou 8 cents à 2,82 $. Pour en lire plus...
  16. Ce n'est pas un hasard si Ottawa vient de recruter Clément Gignac à titre de conseiller spécial du sous-ministre des Finances. Pour en lire plus...
  17. Le titre du groupe Internet réagit à des informations de presse indiquant que l'ancien patron du portail AOL, Jonathan Miller, chercherait à le racheter. Pour en lire plus...
  18. Fragilisée depuis le début de la crise financière, RIM voit son action chuter lourdement mardi et son titre a chuté de 70% depuis juin. Pour en lire plus...
  19. Comme le veut la «tradition», l'offre d'achat menacée de BCE marque un retour des facteurs fondamentaux pour l'évaluation de son titre en Bourse. Pour en lire plus...
  20. Le titre de Research In Motion a connu hier sa pire dégringolade en un mois à New York à cause de la pénurie de son nouveau téléphone intelligent Storm. Pour en lire plus...
  21. Nathalie Petrowski La Presse (Amsterdam) À un jet de pierre du musée et de la brasserie Heineken, au 70, Gerard Doustraat, une petite rue branchée d'Amsterdam, je suis tombée nez à nez avec un portrait du maire Jean Drapeau la semaine dernière. Le portrait était peint en noir sur une façade, tout en noir elle aussi, sur laquelle j'ai reconnu des dessins du Bonhomme Carnaval, de joueurs de hockey, d'une fleur de lys et quelques inscriptions comme «ostie de câlisse» ou «Made in Montreal». Hallucination due au stock trop fort qu'ils vendent dans les coffee shops de la ville? Non, il ne s'agissait pas d'une hallucination. Seulement des nouveaux locaux que l'agence de pub montréalaise Sid Lee a inaugurés à Amsterdam jeudi dernier. Sur le carton d'invitation, les gens étaient conviés à un 5 à 7, expression typiquement montréalaise qui n'existe pas ailleurs que chez nous. Le DJ Vincent Lemieux était venu expressément de Montréal pour l'occasion. La musique d'Ariane Moffatt et d'Arcade Fire figurait au programme, de même que du cochon grillé et de la tire d'érable sur glace. Tout cela gracieuseté de Sid Lee, une agence de publicité pas tout à fait comme les autres. En effet, chez Sid Lee, les publicitaires sont aussi des créateurs qui peignent des toiles, dessinent des meubles ou de la vaisselle et prêtent leur créativité aussi bien au Cirque du Soleil qu'à Robert Lepage. Récemment, par exemple, Philippe Meunier, un des cofondateurs de Sid Lee, a travaillé à titre d'idéateur et de scénariste au Moulin à images de Lepage. Il a aussi collaboré étroitement à plusieurs spectacles du Cirque du Soleil à Las Vegas. Mais l'aventure à Amsterdam est d'un tout autre ordre. D'une part, l'agence qui vient de remporter le contrat pour Adidas dans le monde entier voulait ouvrir une succursale en Europe, si possible dans une ville cool qui ne serait pas nécessairement une grosse métropole comme Londres ou Paris, mais où il y aurait des vols directs de Montréal tous les jours. Ce qui, en passant, n'est pas le cas de Berlin, dont le nom fut évoqué. Mais Sid Lee voulait aussi en profiter pour mettre de l'avant la marque Montréal. Car, dans l'esprit des gens de Sid Lee, Montréal n'est pas une ville en perte de vitesse, remplie de nids de poule, paralysée par les travaux de voirie et orpheline de son Grand Prix. Non. Aussi étonnant que cela puisse paraître, Montréal est, selon Sid Lee, une ville qui regorge de créateurs et de créativité, une ville originale et distincte, qui fait les choses à sa manière et qui mérite de rayonner ailleurs que dans son petit carré de sable montréalais. C'est pourquoi on retrouvera, dans la boutique de Sid Lee Collective - adjacente aux bureaux de l'agence à Amsterdam -, des robes de la designer montréalaise Renata Morales, des CD de Turbo Recordings, label montréalais de musique électronique, des t-shirts haut de gamme de marque Adieu de Melinda Santillan-Moreno, des filtres à eau éco-design Ovopur et même des divans. Frédéric Gauthier, responsable du projet, raconte que l'impulsion de départ fut la nomination, en 2006, de Montréal comme ville UNESCO du design, au même titre que Berlin et Buenos Aires. «À ce moment-là, on s'est dit: «Pourquoi ne pas se servir de ce titre pour montrer aux autres de quoi nos designers sont capables?» raconte-t-il. C'est sûr qu'à Amsterdam, la concurrence est forte dans le domaine. Ils en ont vu d'autres, mais on pense quand même que la marque Montréal et l'esprit particulier qu'elle incarne apportent quelque chose de singulier et de différent au monde du design.» Fait étonnant, cette nouvelle vitrine qui vient de naître à Amsterdam n'a pas bénéficié d'un sou en subventions. De mémoire de journaliste culturelle, c'est la première fois en plus de trois décennies que je vois une telle initiative culturelle de la part du secteur privé. Toute cette belle énergie, cet enthousiasme et surtout cette foi en Montréal font chaud au coeur, mais ne garantissent pas des lendemains qui chantent, surtout en ces temps de grande tourmente économique. Est-ce que la marque Montréal résistera aux vents défavorables et réussira à s'imposer dans une ville qui accueille la crème des designers à la fois néerlandais et européens? Il est évidemment trop tôt pour le savoir. Chose certaine, l'initiative mérite d'être soulignée et applaudie. Et puis, si Sid Lee n'arrive pas à faire ses frais avec sa boutique et son bistro, l'agence pourra toujours se rabattre sur ses nouveaux clients. J'imagine que ce n'est pas un hasard si la brasserie Heineken est à deux intersections de ses bureaux. En juillet, la célèbre brasserie, dont le budget publicitaire est d'environ 40 millions d'euros, annonçait qu'elle était à la recherche d'un nouveau partenaire. Dès que l'appel d'offres sera lancé, on se doute bien que les gens de Sid Lee seront sur les rangs avec leur créativité, leur énergie et leur 5 à 7 typiquement montréalais, l'heure idéale pour boire une Heineken.
  22. Le titre prenait 9% lundi matin. La banque est un des principaux prêteurs dans le dossier de la vente de BCE à un groupe d'investisseurs comprenant Teachers. Pour en lire plus...
  23. La nuit, Olivier Gagnon fait souvent le même rêve. L'histoire se déroule en plein boom économique et le carnet de commandes de son employeur, le fabriquant de meubles Canadel à Louiseville, est rempli à craquer. À titre de directeur des ressources humaines, M. Gagnon passe ses journées à recruter de nouveaux employés. Pour en lire plus...
  24. Le fondateur doit avoir un pincement au cœur en regardant le cours de l'action de Yahoo! ce matin, car le titre monte après l'annonce de son départ. Pour en lire plus...
  25. Le cours des actions de l'entreprise a augmenté de plus de 27% après que l'entreprise eut annoncé avoir été choisie à titre de fournisseur par l'un des géants mondiaux des télécommunications. Pour en lire plus...
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