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  1. Source: Société immobilière du Canada Location: Montréal Un nouvel appel public de déclaration d’intérêt a été publié à la section des appels d’offres, au sujet de la propriété de la SIC à Longueuil, au Québec. Vous pouvez consulter l’entente de partenariat pour un développement immobilier en cliquant ici. http://www.clc.ca/sites/default/files/Appel_public_de_declaration_dinteret-Longueuil_Quebec.pdf
  2. Mi'X 28 condos dans le Mile-Ex 28 condos dans le Mile-Ex Le Mi’X vous offre l’opportunité de vivre dans le cœur du Mile-Ex, un quartier en pleine ébullition. Imaginez-vous à quelques pas du Marché Jean-Talon, le Parc Jarry, la Petite Italie et 2 stations de Metro (Parc et deCastelnau). Vivre au Mi’X c’est la vraie vie de quartier. De plus le Mi’X contient un ascenseur et stationnement sous-terrain. Le Mi’X est un investissement assurée. Condos à partir de 173,900 + tx et plusieurs unités qualifie pour la subvention Access à la Propriété Livraison a partir du 1er mars 2015 Bureau des ventes Bureau des ventes ouvert 5405 St-Denis, Montreal Lundi - Jeudi 13h30 a 19h00 Sam-Dim 12h00 a 17h00 Tél: 514-998-1514 Fax: 514-744-9169 Courriel: mowen@mondevimmobilier.com http://www.mondev.ca/138-condo-mi-x-28-condos-dans-le-mile-ex.html
  3. Akelius Canada, filiale de la suédoise Akelius Residential Property, vient d'acquérir quatre immeubles d'habitation au centre-ville de Montréal, un investissement de 120 millions pour 415 logements. Il s'agit du Westmount Estates, au 1800, De Maisonneuve Ouest, du Plaza Drummond, au 3435, Drummond, du 3421, Drummond et du 4555, Bonavista, dans Côte-des-Neiges. Les propriétés étaient auparavant contrôlées par Cromwell Management, propriété de George Gantchev et Stanley Zipkin. Akelius est entrée au Canada en 2011. Elle se concentre dans les marchés de Toronto et Montréal pour le moment. Elle vient de franchir le cap des 1000 logements à Montréal avec ces dernières acquisitions. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201601/26/01-4943781-un-groupe-suedois-investit-120-millions-au-centre-ville.php
  4. TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental Inc. pour 800 M$ MONTREAL, QUEBEC--(Marketwired - 29 oct. 2015) - TransForce Inc. (TSX:TFI)(OTCQX:TFIFF), un chef de file nord-américain du secteur du transport et de la logistique, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu une convention définitive d'achat d'actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto, en Ontario. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 % des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l'opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l'obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l'absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. "Nous sommes très heureux d'avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n'a jamais été pleinement reconnue", a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. "Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j'aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement", a ajouté M. Bédard. La convention d'achat d'actions prévoit qu'une tranche de 100 M$ du prix d'achat pourra être acquittée par l'émission à TransForce d'actions de GFL, sous réserve du respect de certaines conditions à la satisfaction de TransForce. Si TransForce choisit de ne pas être payée au moyen d'actions de GFL, GFL paiera 775 M$ à TransForce à la clôture et règlera le solde du prix d'achat au moyen d'un billet à ordre de 25 M$ payable quatre ans après la date de clôture et portant intérêt au taux de 3 % par année. ---- L'équivalent d'une perte de siege social
  5. Adopter une résolution autorisant la démolition du bâtiment existant situé aux 2148-2150, rue de la Montagne ainsi que la construction d'un bâtiment commercial sur le lot 1 341 026, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble Une demande de projet particulier a été déposée le 6 mai 2015 afin d’évaluer la démolition du bâtiment existant ainsi que des dérogations relatives à la hauteur minimale prescrite, à la superficie maximale du commerce et à l’unité de chargement dans le cadre de la construction d’un édifice commercial bordant la rue de la Montagne. Cette demande peut être effectuée en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (CA-24-011). DÉCISION(S) ANTÉRIEURE(S) n/a DESCRIPTION Description du site La propriété est située dans l’ouest de l’arrondissement dans le secteur animé de Bishop/Crescent entre la rue Sherbrooke et le boulevard De Maisonneuve. L’emplacement, d’une superficie de 267 m², est actuellement occupé par un bâtiment de 3 étages plus soussol construit en contiguïté avec les 2 bâtiments voisins. Ledit bâtiment a été construit vers 1866 et a été agrandi en 1969 dans la cour avant jusqu'à la limite d’emprise de la rue de la Montagne. Cet agrandissement est venu masquer et/ou enlever la plupart des caractéristiques architecturales d’origine. Le bâtiment est actuellement vacant. Il comportait un restaurant au rez-de-chaussée, une boutique de chaussures au sous-sol et 3 logements aux étages supérieurs. Selon une inspection de juin 2013, les logements sont vacants depuis cette date. Enfin, une ruelle publique donne accès à l’arrière de la propriété. Le programme Le requérant désire démolir le bâtiment existant et le remplacer par un nouveau bâtiment commercial. Tous les planchers, la toiture ainsi que le 3e étage (avec toit mansard) seraient démolis. Seul les fondations et une partie du mur arrière seraient conservées. Le nouveau bâtiment aurait 2 étages plus sous-sol et 11,79 mètres de hauteur, donc moins haut, en mètres, que le bâtiment existant. L’ensemble du bâtiment serait occupé par une boutique de vêtements de 520 m2. Au niveau stationnement, il y aurait 1 unité pour auto et 5 unités pour vélo situées à l’extérieur dans la cour arrière. L’accès à ces stationnements se ferait par la ruelle publique à l’arrière. Enfin, il n’y aurait aucune unité de chargement et les livraisons se feraient par cette même ruelle. sent via Tapatalk
  6. Nouveau projet par Kevric http://www.kevric.ca/projets-en-developpement/montreal/280-faillon/ 280 Faillon Édifice à bureaux Projet à l’étude Montréal Le projet Faillon consiste en la conversion d’un bâtiment industriel de 80,000 pi. ca. (2 étages de 40,000 pi.ca.) en un édifice à bureaux. Type de propriété : Édifice à bureaux, projet de développement Ville : Montréal
  7. http://www.clc.ca/fr/propriete/pointe-de-longueuil Le projet de réaménagement de la Pointe-de-Longueuil de la SIC n’en est qu’à la première étape, mais promet néanmoins de jouer un rôle important dans la revitalisation du secteur riverain de la Ville de Longueuil, sur la berge du fleuve Saint-Laurent qui fait face à Montréal. Avec ses panoramas spectaculaires, cette propriété de prestige voisine le centre-ville et le point d’accès au métro, ce qui présente une possibilité d’aménagement fantastique pour la SIC. En 2002, la SIC a conclu une entente d’achat avec Transports Canada portant sur 180 biens immobiliers du portefeuille de la Voie maritime du Saint-Laurent. De tailles variées, ces propriétés ont été désignées excédentaires aux besoins immobiliers du gouvernement du Canada. La SIC a formellement acquis la propriété en juin 2006 et a entamé des pourparlers avec la Ville de Longueuil au sujet des usages possibles du site à l’avenir. La propriété occupe un peu plus de 57 acres (23,1 hectares) et est dotée d’un zonage à la fois commercial et résidentiel. La SIC consulte actuellement la Ville de Longueuil et d’autres intervenants pour élaborer un projet qui engloberait des usages résidentiels et commerciaux, tout en donnant aux citoyens locaux l’accès à des nouveaux parcs et espaces récréatifs. Le calendrier d’aménagement du projet de la Pointe-de-Longueuil n’en est qu’à l’étape d’étude. La SIC verra en temps opportun à collaborer ou initier des consultations qui permettront aux parties intéressées de se prononcer sur les usages possibles de la propriété et sur la façon dont elle sera aménagée pour en tirer le bénéfice optimal, tant pour la collectivité locale que pour la Ville de Longueuil. http://www.clc.ca/properties/pointe-de-longueuil CLC’s Pointe-de-Longueuil redevelopment project is still at an early stage, but already promises to play a major role in the revitalization of the waterfront area of the City of Longueuil, which is located directly across the St. Lawrence River from Montréal. This prestigious property, with its spectacular views, is also adjacent to the city’s downtown core and subway node -- providing CLC with a great development opportunity. In 2002, CLC reached an agreement with Transport Canada to purchase approximately 180 properties located along the St. Lawrence Seaway. These properties, of varying sizes, were considered surplus to the real estate needs of the Government of Canada. CLC formally acquired the property in June 2006 and has begun discussions with the City of Longueuil on possible future uses for the site. The property totals just over 57 acres (23.1 hectares) and is zoned for both commercial and residential use. CLC is currently in consultations with the City of Longueuil and other stakeholders to develop a vision for the property combining residential and retail uses, while also giving local residents access to new parks and recreational space. The timeline for development of the Pointe-de-Longueuil project is currently only in the study stage. CLC intends to initiate consultations in the future to allow interested parties to have their say on appropriate uses for the property, which will allow for the value of the property to be optimized for both the local community and the City of Longueuil.
  8. Publié le 03 juin 2010 à 07h01 | Mis à jour le 03 juin 2010 à 07h06 (Montréal) Signe que le marché immobilier de luxe se porte bien à Montréal, un record vient d'être fracassé dans l'arrondissement d'Outremont. L'agente Marie-Yvonne Paint, de Royal LePage, a obtenu le prix le plus élevé jamais payé dans ce quartier pour une résidence située au 22, avenue Ainslie. La maison vient d'être achetée par un couple d'industriels français au coût de 5,3 millions après sept mois sur le marché. «À Westmount, on a déjà eu ce prix-là, mais pas à Outremont, a indiqué Mme Paint. On a vraiment créé un précédent.» > Suivez Maxime Bergeron sur Twitter Le prix d'origine de la somptueuse résidence - connue sous le nom de Maison Tourville - était de 6,2 millions, mais il a été abaissé en mars. La propriété de cinq chambres à coucher est évaluée à 3,6 millions par la Ville, et ses comptes de taxes municipales et scolaires s'élèvent à 43 693$ par année. Les acheteurs, qui arrivent directement de France, s'y installeront avec leurs cinq enfants. Ils ne manqueront pas d'espace, puisque la propriété compte aussi une maison secondaire pour les invités. Avant cette transaction, le prix le plus élevé jamais obtenu pour une résidence à Outremont était de 2,7 millions, selon les données de la Chambre immobilière du Grand Montréal. La transaction remonte à 2004. Marie-Yvonne Paint se dit très satisfaite du prix final ainsi que du délai de vente de sept mois, «qui n'est pas long pour cette gamme de prix». La maison a fait l'objet d'un total de trois offres au fil des mois, a-t-elle affirmé. Ce prix de vente, si élevé soit-il, est à des années-lumière de ce que tente d'obtenir un vendeur de l'Île-Bizard, dans l'ouest de Montréal. Il demande 27 millions pour sa propriété de neuf chambres à coucher, sise sur un terrain de 48 000 mètres carrés. Les taxes combinées coûteront 64 000$ par an au futur acheteur... s'il se manifeste. Le marché du haut de gamme dans son ensemble se porte très bien dans la métropole, selon des données obtenues récemment par La Presse Affaires. Quelque 64 maisons de plus de 1 million ont changé de main au premier trimestre, contre 27 pendant la même période en 2009. Le prix moyen de ces transactions était de 1,5 million, comparativement à 1,3 million l'an dernier. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201006/03/01-4286371-un-record-immobilier-fracasse-a-outremont.php
  9. L'APCHQ part en guerre contre la SHDM Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du mercredi 27 mai 2009 Mots clés : Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec, programme Accès condos, Construction, Québec (province) Les constructeurs d'habitations réclament l'abolition du programme Accès condos Sévèrement blâmée pour sa gestion du dossier du Faubourg Contrecoeur, la SHDM fait de nouveau l'objet de critiques. Cette fois, ce sont les entrepreneurs en construction qui l'accusent de concurrence déloyale, montrant du doigt le programme Accès condos. Estimant que le programme Accès condos est illégal, l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ) a déposé une requête en Cour supérieure hier contre la Ville de Montréal et la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), afin que celles-ci cessent la mise en marché de tout projet lié à ce programme. Lancé en 2004, le programme Accès condos facilite l'accès à la propriété à Montréal. Grâce à un crédit d'achat, des ménages peuvent acquérir à un prix abordable une unité détenue en copropriété divise. Or, selon l'APCHQ, la SHDM agit comme constructeur et promoteur dans ce dossier sans toutefois détenir de licence, contrevenant ainsi à la Loi sur le bâtiment. Celle-ci précise d'ailleurs que les organismes publics ne peuvent obtenir une telle licence. «C'est la SHDM qui détermine l'emplacement, le nombre de logements, le type d'unité, le prix des unités, et c'est elle qui fait la vente. Elle n'agit pas comme promoteur et elle fait toutes ces étapes-là? Je trouve un peu ridicule de penser que les gens vont embarquer là-dedans», commente Marc Savard, directeur général de l'APCHQ du Montréal métropolitain. L'APCHQ ne s'oppose pas aux programmes d'accession à la propriété, mais elle estime que la SHDM et la Ville devraient plutôt se tourner vers des programmes de subventions pour acheteurs tel qu'Habiter Montréal. «Si elles jouent au promoteur-constructeur, comme elles le font présentement, c'est sûr qu'elles vont trouver des constructeurs sur leur chemin», ajoute M. Savard. L'APCHQ prépare le dossier depuis 13 mois. Elle souhaite que le Tribunal déclare illégale la façon d'agir de la SHDM et lui ordonne de cesser la mise en marché de tout nouveau projet dans le cadre d'Accès condos. Elle allègue que la SHDM représente une concurrence déloyale pour les entreprises en construction, car son statut d'organisme public lui permet notamment de financer ses projet à un taux d'intérêt «insignifiant» et la soustrait à l'obligation de payer des impôts sur certains revenus. Selon M. Savard, l'impact pour les promoteurs privés est majeur, car il devient difficile pour eux de vendre des unités lorsque la SHDM se pointe dans un quartier. La SHDM se défend d'agir comme un promoteur et de contrevenir à la Loi sur le bâtiment. «Quand on a développé le programme Accès condos, on l'a fait en se basant sur des opinions juridiques pour s'assurer qu'on ne contrevenait pas à la loi. Des vérifications récentes ont confirmé la même chose», indique Gabrielle Collu, porte-parole de la SHDM. Le programme est offert à tous les entrepreneurs dont les projets respectent les critères établis par la SHDM, insiste-t-on. «Ce programme est un énorme succès», rappelle Mme Collu. Depuis 2004, le programme a permis à près de 1000 ménages d'acquérir une propriété. http://www.ledevoir.com/2009/05/27/252316.html (27/5/2009 9H04)
  10. Québec a tenté de récupérer sa colline Antoine Robitaille Édition du samedi 21 et du dimanche 22 février 2009 Le gouvernement fédéral est toujours propriétaire d'une partie des terrains devant l'Assemblée nationale Québec -- Le gouvernement Charest a formellement demandé à son vis-à-vis fédéral, en 2006, d'enfin devenir propriétaire de certains terrains qu'il lui loue devant le parlement à Québec. Mais Ottawa n'a jamais daigné répondre, a appris Le Devoir. Paradoxalement, les bronzes de René Lévesque, de Robert Bourassa, d'Honoré Mercier et de Louis-Hippolyte Lafontaine se retrouvent donc en terrain fédéral loué (voir la carte au http://www.ledevoir.com). Dans une lettre datée du 7 juillet 2006, le ministre des Affaires intergouvernementales, Benoît Pelletier, soumettait à son homologue fédéral du temps, Michael Chong, «cette problématique que l'Assemblée nationale du Québec souhaite corriger depuis longtemps». C'est pour des raisons historiques liées aux besoins du Canada «en matière de défense au XIXe siècle», expliquait-il, que plusieurs terrains en face du parlement sont restés «de propriété fédérale». Sur une carte en annexe à la lettre, on prend conscience qu'Ottawa possède le terrain qui va pratiquement de la borne du kilomètre zéro (devant la porte centrale) jusqu'aux fortifications, en passant évidemment par le rond-point où se trouve aujourd'hui la fontaine de Tourny. Lors du réaménagement de la colline parlementaire à la fin des années 1990, Québec avait dû avertir le gouvernement fédéral de ces travaux, a-t-on appris. Dans sa lettre de juillet 2006, Québec n'avait toutefois réclamé la propriété que d'un seul des quatre «lots» loués à Ottawa depuis 1881: celui le plus rapproché du parlement, à l'ouest de l'avenue Honoré-Mercier (autrefois Dufferin), numéroté 1 315 204 et faisant presque 10 000 mètres carrés. Benoît Pelletier, qui est redevenu professeur de droit constitutionnel la veille du déclenchement des élections, le 4 novembre -- après avoir détenu le portefeuille des Affaires intergouvernementales pendant cinq ans --, écrivait que cette propriété fédérale sur un terrain hautement symbolique pour la nation québécoise constituait un accroc aux principes mêmes du fédéralisme. Il soulignait qu'en 1867, l'Acte de l'Amérique du Nord britannique avait consacré l'intention des provinces fondatrices du Canada de «contracter une union fédérale» en vertu de laquelle chacune posséderait une assemblée législative indépendante du Parlement canadien et «souveraine» dans ses sphères de compétence. «Dans ces circonstances, poursuivait-il, il nous apparaît important que le "situ" sur lequel l'Assemblée nationale est érigée reflète cette caractéristique fondamentale de notre régime fédéral.» M. Pelletier énonce donc le principe selon lequel «les terrains qui entourent l'Assemblée nationale doivent lui appartenir». Il a été impossible de savoir de quel type de contrat de location il est question ici. Certaines sources parlent d'un bail «emphytéotique» (de très longue durée, maximum de 99 ans, selon le Code civil). Dans un document intitulé Rapport d'un comité de l'Honorable Conseil exécutif, en date du 16 novembre 1888, consulté par Le Devoir, on peut lire une description s'apparentant à cette partie de terrain. On dit que, «conformément à un ordre de Son Excellence le Gouverneur général en Conseil du 24 janvier 1881», cette portion de terrain «est maintenant laissée à l'usage du gouvernement de la province de Québec, moyennant un loyer ou rente annuelle de cinquante piastres». Personne n'était en mesure hier, dans les officines étatiques, de dire si Québec déboursait toujours ce montant annuellement. On a toutefois souligné avec ironie que lorsqu'un bail emphytéotique se termine, les «améliorations» qui ont été faites sur le terrain deviennent propriété du «bailleur emphytéotique». Pas que symbolique Aux yeux de Québec, le transfert de propriété de ce terrain «n'aurait pas que des conséquences symboliques». Dans sa lettre, M. Pelletier souligne qu'«au plan pratique, cela permettrait au président de l'Assemblée nationale d'exercer pleinement ses privilèges et ses responsabilités quant à la sécurité de l'enceinte parlementaire». Une source bien au fait du dossier explique que lorsqu'il y a des manifestations, «on met des barrières»; or, «assurer votre sécurité sur un terrain qui n'est pas totalement le vôtre, mettons celui de votre voisin, c'est problématique, non?». La controverse autour de la commémoration de la bataille des plaines d'Abraham a ramené à l'avant-scène la présence très importante du gouvernement fédéral dans la capitale nationale québécoise. Celle-ci n'aurait pas d'équivalent dans les autres capitales de provinces au Canada. L'ancien président de la Commission de la capitale nationale, Pierre Boucher, faisait remarquer mercredi dans nos pages qu'au cours du XXe siècle, «la présence du gouvernement du Canada à Québec a pris une proportion stupéfiante». Il estimait la part de propriété fédérale à 40 % du territoire de la ville fortifiée et de ses alentours, «au point où même une portion de la place de l'Assemblée nationale est localisée en terre fédérale».
  11. L'entente, qui élimine certaines restrictions touchant la propriété et les vols directs, fera du marché canado-européen l'un des plus ouverts au monde. Pour en lire plus...
  12. Le géant montréalais de la transformation laitière fait l'acquisition de Neilson Dairy, une filiale du groupe Weston, pour la somme de 465 millions de dollars. Pour en lire plus...
  13. Les ventes des maisons existantes en hausse 15 octobre 2008 - 11h38 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Les ventes des maisons existantes a été hausse en septembre, le prix en baisse. Les ventes des maisons existantes ont augmenté en septembre alors que les acheteurs se sont empressés d’acheter de l’immobilier avant que les conditions de crédit se resserrent. Selon l’Association canadienne de l’immeuble, les ventes ont été en hausse de 25 680 unités ou 3% par rapport au mois précédent. Cette hausse est explicable selon l’Association par un flux d’acheteurs importants qui souhaite accéder à la propriété avant les nouvelles mesures gouvernementales. En juillet dernier, les conditions des prêts hypothécaires ont été resserrées. Ainsi, pour avoir accès à l’assurance hypothécaire, les nouveaux acheteurs doivent signer une hypothèque étalée sur 35 ans ou moins avec une mise de fonds de départ d’au moins 5% de la valeur de la propriété. Toutefois, le prix de revente a chuté de 6,2% à 315 461 $ alors qu’il était à 336 321 $ pour le même mois l’an passé. Une chute des prix moyens est donc à prévoir selon l’association. «Dans certains marchés résidentiels cossus du Canada, la chute des prix sera plus importante que les autres hausses de prix que subiront les autres marchés, et elle continuera à faire baisser le prix moyen national d’ici la fin de l’année et jusqu’en 2009», indique l’économiste en chef de l’ACI, Gregory Klump. Encore et toujours les principaux coupables, les turbulences qui secouent les marchés financiers mondiaux et le recul de la croissance économique, ont un impact sur le secteur.
  14. Avec la déprime boursière, le rap n'est pas très à la mode ces temps-ci - pas le style de musique, mais bien le Régime d'accès à la propriété, mieux connu sous l'acronyme RAP. Pour en lire plus...
  15. Air Canada a accueilli favorablement la proposition du Parti conservateur visant à augmenter l'accès des sociétés étrangères à la propriété dans les secteurs aérien et des mines d'uranium. Pour en lire plus...
  16. La minière québécoise a indiqué avoir conclu une entente de principe avec Joseph Leadbetter pour l'obtention de droits relatifs au prolongement de la propriété Leadbetter. Pour en lire plus...
  17. Avec les récents soubresauts de l'économie, l'acheteur d'une nouvelle propriété pourrait être tenté de verrouiller ses paiements en optant pour une hypothèque à taux fixe: est-ce une bonne idée? Pour en lire plus...
  18. La Réserve fédérale américaine a adopté lundi une série de règles destinées à mieux protéger les accédants à la propriété des pratiques de prêt jugées douteuses. Pour en lire plus...
  19. Un nombre croissant de propriétaires de chalet au Canada songent à vendre leur propriété estivale. Pour en lire plus...
  20. Les Canadiens n'ont jamais été aussi nombreux à être propriétaires de leur logement. Et ils n'ont jamais autant emprunté pour accéder à la propriété. Pour en lire plus...
  21. le jeudi 6 décembre 2007 La Ville de Montréal élargit les conditions d'accession à la propriété pour freiner l'exode des jeunes familles vers les banlieues. La Ville bonifie et prolonge son programme d'accès à la propriété jusqu'en 2009. Le nouveau programme favorisera davantage les familles. Actuellement, les familles ne représentent que 20 % des bénéficiaires. La nouvelle version du programme accorde une subvention de 10 000 $ aux familles avec enfant(s) qui désirent acheter une propriété au lieu de 7500 $ précédemment. Cette aide est conditionnelle du prix d'achat de la propriété. Ce seuil est revu à la hausse lui aussi. La subvention sera versée dans la mesure où le prix de l'achat est inférieur ou égal à 235 000 $, contre 200 000 $ auparavant. La subvention accordée aux ménages sans enfant est maintenue à 6500 $. Le prix maximum d'achat est revu à la hausse avec 180 000 $ au lieu de 165 000 $. Selon le Conseil jeunesse de Montréal, l'administration municipale doit non seulement améliorer ses programmes d'accès au logement, mais aussi renforcer le sentiment d'appartenance des jeunes envers l'île de Montréal. Selon l'Institut de la statistique, Montréal enregistre des pertes nettes migratoires dans presque tous les groupes d'âge, notamment chez les 25 à 44 ans. Quelque 250 000 familles vivent présentement sur le territoire de l'île de Montréal.
  22. La Presse Le mardi 27 novembre 2007 Partira, partira pas? Gabriel Maheu et Isabelle Chapdelaine hésitent. «Le plan, c'est de rester à Montréal tant qu'on n'aura pas d'enfants, mais ce n'est pas ferme», explique Gabriel. Montréal a son lot de services, mais la banlieue offre un meilleur milieu de vie pour élever une famille, selon le jeune homme de 25 ans. Les deux amoureux ne sont pas les seuls à hésiter ainsi. Pas moins de 40% des jeunes Montréalais de 18 à 30 ans se disent indécis quant à leur volonté de demeurer définitivement dans la métropole, selon une étude dévoilée hier par le Conseil des jeunes de Montréal. Ils sont 26% à être prêts à la quitter pour une meilleure offre, et seulement 33% à prévoir y rester. Le sondage mené auprès de 700 jeunes reflète la réalité. Entre 2001 et 2006, Montréal a perdu 10 500 personnes de 25 à 39 ans au profit d'autres régions, selon l'Institut de la statistique du Québec. La métropole en a perdu seulement 3800 pendant les cinq années précédentes. «Nous voulons que les jeunes s'attachent à leur ville et que Montréal ne soit plus une métropole de passage, au risque de perdre le dynamisme et tout le potentiel de sa jeunesse», a déclaré hier la présidente du Conseil des jeunes de Montréal, Marilou Filiatreault. Or, la part des jeunes âgés de 15 à 29 ans est restée stable dans la métropole entre les recensements de 2001 et de 2006 (21,4%), contrairement à la moyenne provinciale. L'immigration internationale - qui n'est pas comptabilisée dans le flux entre Montréal et les régions - explique cette constance. Mais selon le Conseil, «c'est important pour la ville de ne pas avoir juste des immigrants, mais d'avoir les deux groupes ensemble», a dit Marilou Filiatreault. La Ville doit agir Le Conseil a émis certaines recommandations à la Ville pour augmenter le sentiment d'appartenance des jeunes. Il a en outre proposé de mettre en place une politique jeunesse améliorée et de créer des mesures concrètes pour faciliter l'accès au logement et à la propriété. Le responsable des services aux citoyens du comité exécutif, Marcel Tremblay, accompagnait hier Mme Filiatreault. Il a convenu qu'élever une famille en ville était «dispendieux» pour les jeunes, tout en se disant en partie impuissant devant le problème. «On est très très très conscients des besoins, mais on n'arrivera jamais à empêcher les gens d'aller dans les banlieues», a-t-il dit. Selon lui, l'accès à la propriété demeure le «problème de fond» à l'exode des familles. La Ville serait-elle prête à baisser les taxes pour rendre les demeures plus abordables pour les familles? «Actuellement, on a de la misère à survivre avec les taxes foncières qui représentent 80% de notre budget», a répondu Marcel Tremblay.
  23. Lundi 29 Octobre 2007 Les hautes instances de la Ville de Longueuil se réjouissent de l'adoption du projet de loi 6 à l'Assemblée nationale. Cette loi vise à améliorer le fonctionnement du Conseil d'agglomération de Longueuil. La loi 6 redonne une autonomie fiscale et financière aux villes liées. Elle abolit la taxe d'agglomération pour la remplacer par des quotes-parts qui seront versées par les municipalités reconstituées. Les contribuables ne recevront qu'un seul compte de taxes au lieu de deux. Certaines compétences seront redonnées aux villes reconstituées. Ainsi, les voies de circulation, la gestion et la propriété des parcs industriels, ainsi que les réseaux d'aqueduc et d'égout, reviendront sous la compétence de chacune des villes reconstituées. D'autres compétences relèveront toujours de la ville- centre, comme la police, l'évaluation foncière, les services d'incendie et le transport en commun. On se souviendra que l'agglomération de Longueuil avait été paralysée par la crise du budget. Les élus de St-Lambert, St-Bruno-de-Montarville et de Brossard avaient utilisé tous les stratagèmes afin de bloquer l'adoption du budget de l'agglomération.
  24. 24 juin 2007 La Presse Adjugés! Trois propriétés auraient été vendues au cours d'un encan silencieux qui a eu lieu le 6 juin dans une galerie d'art du Vieux-Montréal. L'instigatrice de cette soirée immobilière, Mariline Bervaldi, s'avoue elle-même surprise que des gens aient osé miser sur des propriétés qu'ils n'avaient encore jamais visitées. «Sincèrement, je ne croyais pas faire une vente puisqu'il s'agit d'un concept totalement nouveau. Mais, à ma grande surprise, après quelques explications, les gens n'ont pas hésité à faire monter les enchères», raconte-t-elle. Soirée jet-set Cet encan silencieux s'est déroulé à la galerie d'art contemporain Espace B51, rue Saint-Paul Ouest. Une soixantaine de personnes, principalement d'anciens clients et des contacts de Mme Bervaldi, avaient été conviées à cet événement, dont le représentant de La Presse. On avait aussi annoncé des vedettes, mais aucune ne s'est pointée. «C'est à cause du Grand Prix», justifie cette femme dynamique. L'objectif de Mme Bervaldi était de créer une soirée jet-set, avec tapis rouge à l'entrée et serveuses-mannequins, où les gens allaient miser sur les condos tout en avalant quelques canapés et en dégustant un bon verre de vin. «Je veux transformer le processus d'achat d'une propriété en quelque chose d'agréable. Je veux lui enlever son côté stressant», explique cette agente immobilière qui se spécialise dans le haut de gamme. Jusqu'à 1 million Neuf propriétés situées dans le Vieux-Montréal étaient soumises à l'encan, dont les prix de départ variaient de 239 000 $ pour un studio meublé à 1 010 000 $ pour un penthouse qui n'a pas encore levé de terre. Des prix très compétitifs, selon l'agente. «Ce sont également des propriétés exclusives, qui apparaissaient pour la première fois sur le marché», dit-elle. Chaque propriété avait son propre classeur contenant des photos, des informations supplémentaires ainsi qu'une fiche pour y inscrire, discrètement, le montant de sa mise. Toutes les propriétés appartenaient à des promoteurs immobiliers, et non à de simples particuliers. Robert Nadeau, président de l'Association des courtiers et agents immobiliers du Québec (ACAIQ), n'avait jamais entendu parler d'un tel événement. «C'est assez innovateur comme façon de faire. Ça ressemble à ce qui se fait en Ontario, où un agent peut demander à tous les acheteurs de soumettre leur offre d'achat à une date précise», explique-t-il en entrevue téléphonique. M. Nadeau ne voit pas de problème à cette pratique pourvu que toutes les règles pour la vente d'une propriété soient appliquées. Mme Bervaldi soutient que c'est le cas. Les appartements adjugés devront entre autres subir une inspection pré-achat. En soit, vendre une propriété aux enchères n'est pas totalement nouveau. Cette pratique est même très courante pour les propriétés commerciales et les reprises de finance. André Brunelle, président du courtier Immologique, en a déjà organisé plusieurs dans le passé pour des particuliers. «Mais avec le boom immobilier, la demande est tombée. À mon avis, c'est une façon de faire qui gagnerait à être connue», soutient-il. Avec le ralentissement qui se pointe, les encans deviendront-ils la nouvelle méthode pour écouler des propriétés?
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