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  1. En ce moment, il se tient le "Forum des grands projets de la Chambre de commerce du montreal métropolitain". Il est possible de suivre l'actualité sur Twitter de cet événement ici: https://twitter.com/#!/search/%23CCMMQCCA Il est difficile d'avoir des annonces officielles par Twitter, mais voici ce que j'ai vu passé d'intéressant à date: - La FTQ suggère qu'il y a une demande pour 2 millions de pieds carrés de bureaux supplémentaires et le maire Tremblay suggère l'annonce d'une nouvelle tour cette semaine. - Le maire a spécifié que 10 nouveaux projets dans Ville-Marie seront annoncés la semaine prochaine. - On a beaucoup parlé des chantiers en santé, particulièrement: CHUM, CSUM, Maisonneuve-Rosemont, Ste-Justine, l'hôpital général juif. - Les palissades du CHUM seront couvertes d'oeuvres d'art. L'art aura une place déterminante dans le nouveau CHUM, il y aura un amphithéâtre et la façade sur Saint-Denis sera complètement vitrée. - Un "Quartier Viger" a été mentionné (gros potentiel de développement dans l'est du centre-ville). Voilà pour le moment J'espère qu'on aura plusieurs nouveaux projets intéressants durant les prochains jours!
  2. Voici une liste et des liens sur les nombreux articles sur Montréal parus dans les médias internationaux en 2012 et début 2013. https://membres.tourisme-montreal.org/pages/mtlMedias.aspx
  3. Qu'ils aient visité le Vieux-Port, marché sur le Mont-Royal ou encore arpenté les rue du Plateau, les visiteurs qui ont mis les pieds dans la métropole pour deux nuitées ou plus au cours de l'année 2011 sont vraisemblablement repartis satisfaits de leur séjour, puisque 84% d'entre eux ont affirmé avoir certainement l'intention de recommander la destination à leurs proches. Et près de 49% des touristes ont donné une note de satisfaction de 9 sur 10 à la métropole en 2011, alors qu'ils étaient 40% à lui attribuer ce résultat en 2006. C'est du moins ce que révèle un sondage mené par la firme de recherche Ipsos pour le compte de Tourisme Montréal, dévoilé mercredi. Ainsi, l'année dernière 7,8 millions de touristes ont foulé le sol montréalais, une augmentation de 1,7 % par rapport à 2010. De ce nombre, 56 % provenaient du Québec, 21 % du reste du Canada et 23 % des États-Unis ou d'ailleurs dans le monde. Parmi les attraits les plus visités par les voyageurs, le Vieux-Port arrive en tête, suivi du parc du Mont-Royal et du Quartier chinois. Médias sociaux Par ailleurs, les données du sondage démontrent que les médias sociaux ont maintenant une importante influence dans le choix des destinations touristiques. La preuve, à la suite de leur séjour dans la métropole québécoise, près de 37% des visiteurs partagent leur expérience à Montréal en publiant en ligne des photos de leur voyage, alors que 25% d'entre eux émettent des commentaires sur différents sites Internet. De plus, le web a été l'outil le plus utilisé par les touristes qui ont atterri à Montréal pour l'organisation et les réservations. Plus de la moitié d'entre eux (57%) ont eu recours à internet pour planifier leur voyage. http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/montreal/201205/23/01-4527907-les-visiteurs-satisfaits-de-leur-sejour-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  4. Invitation aux médias - Rencontre avec le président de Société Générale au Canada - SOCIÉTÉ GÉNÉRALE CHOISIT MONTRÉAL POUR Y INSTALLER UN NOUVEAU CENTRE SPÉCIALISÉ MONTRÉAL, le 18 févr. /CNW Telbec/ - M. Pierre Matuszewski, Président de Société Générale au Canada, invite les représentants des médias du secteur des affaires, de l'économie et des finances à venir en apprendre davantage sur le nouveau centre spécialisé du Groupe qui s'implante à Montréal et sur les nouveaux emplois qui y seront créés. Il y sera aussi question de la présence de la banque française sur l'échiquier québécois et canadien. Cette rencontre se tiendra le mardi 22 février à 10 h 30 dans les bureaux de Société Générale. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/February2011/18/c4040.html
  5. Avis aux médias - Un autre Québec est possible - Lancement de l'Alliance sociale QUÉBEC, le 3 nov. /CNW Telbec/ - Afin de contrer le discours de droite de plus en plus présent sur la scène publique et en prévision des consultations prébudgétaires du ministre des Finances, Raymond Bachand, des groupes progressistes lancent l'Alliance sociale. Les représentantes et les représentants des médias sont invités à une conférence de presse qui se tiendra le 5 novembre 2010, à 9 h 30, à l'hôtel Québec Hilton, à la salle Beauport. Cet événement se déroulera en présence de Michel Arsenault (FTQ), Claudette Carbonneau (CSN), Réjean Parent (CSQ), François Vaudreuil (CSD), Lucie Martineau (SFPQ), Dominique Verreault (APTS), Gilles Dussault (SPGQ), Louis-Philippe Savoie (FEUQ) et Léo Bureau-Blouin (FECQ).
  6. Par Radio-Canada, http://www.radio-canada.ca, Mis à jour le: 11 mars 2010 07:01 Hydro-Québec - Le Vermont veut renouveler son contrat La corporation américaine Green Mountain Power, du Vermont, serait sur le point d'annoncer une nouvelle entente avec la société d'État québécoise, selon plusieurs médias américains. Hydro-Québec - Le Vermont veut renouveler son contrat La corporation américaine Green Mountain Power, du Vermont, serait sur le point de conclure une nouvelle entente avec Hydro-Québec pour l'achat d'électricité, selon des médias américains. Le porte-parole de l'entreprise américaine, Robert Dostis, a précisé qu'une annonce officielle sera faite jeudi. Des représentants de Green Mountain Power et de Central Vermont Public Service Corporation sont à Québec depuis mercredi, rapportent des médias américains. Les négociations auraient commencé il y a plus d'un an. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, doit rencontrer son homologue du Vermont, le gouverneur James H. Douglas, jeudi. Une « annonce en matière d'énergie » est d'ailleurs prévue au programme de M. Charest, notamment avec le PDG d'Hydro-Québec, Thierry Vandal. « Nous renégocions un contrat [en vigueur depuis] 20 ans, ce qui est un gros accord pour les deux parties », a confirmé M. Charest dans une interview avec une chaîne de télévision américaine mercredi soir. Un fournisseur pourrait disparaître Le Vermont est déjà un client d'Hydro-Québec. Il achète environ le tiers de son électricité à la société d'État, soit environ 310 mégawatts à 6,5 ¢US le kilowattheure, selon le Rutland Herald. Outre Hydro-Québec, la Vermont Yankee Nuclear Power Station fournit un autre tiers de l'électricité à cet État américain. Mais le sénat du Vermont a récemment voté la fermeture de cette centrale, dont la licence expire en 2012. Quant au contrat avec Hydro-Québec, il se termine en 2015. Le représentant démocrate Tony Klein a déclaré que cette entente était « extrêmement importante » pour le Vermont. « C'est une grande source fiable d'énergie sans émission de carbone », a-t-il ajouté. Il s'attend à une extension du contrat de 10 ans, voire 20. M. Klein tente de faire passer une loi qui accorderait le qualificatif de renouvelable à l'hydroélectricité québécoise, à condition qu'Hydro-Québec s'engage pour 10 ans ou plus, selon la radio publique du Vermont. Radio-Canada.ca avec Associated Press
  7. Chrysler se protège de ses créanciers Publié le 30 avril 2009 à 09h00 | Mis à jour à 09h49 Michel Munger lapresseaffaires.com (Montréal) Tel que le réclamaient les autorités, le constructeur automobile Chrysler va demander la protection des tribunaux afin de se restructurer, pouvant ainsi éviter la faillite. La Maison-Blanche a annoncé ce matin que l'entreprise aura recours au chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Le président Barack Obama devrait confirmer le tout devant les médias à midi.La protection judiciaire permettra à Chrysler de faire le ménage au sein de ses activités, au lieu de se faire démanteler par environ 45 créanciers à qui elle doit 6,9 milliards de dollars US. Les médias italiens ont rapporté plus tôt dans la journée que Chrysler s'est entendue avec le constructeur italien Fiat pour que ce dernier prenne une participation de 35%. Les deux entreprises avaient jusqu'à aujourd'hui pour boucler ce partenariat. Le Wall Street Journal rapportait cette semaine que dans le cadre du marché avec Fiat, le syndicat United Auto Workers raflerait une participation de 55% dans Chrysler. Les créanciers, notamment des banques, et les autorités américaines hériteraient des 10% restants. Le recours à la loi sur les faillites était imminent car Chrysler avait jusqu'en fin de journée pour déposer un plan de relance. Le Trésor américain espérait que les créanciers acceptent une révision à la baisse à 2,25 milliards de la dette du constructeur. Ils ont finalement dit non. L'administration Obama a joué un rôle important dans la décision, ayant fait savoir qu'une restructuration avec la protection des tribunaux était la meilleure solution pour Chrysler. Le 30 mars dernier, Barack Obama donnait 30 jours à Chrysler pour préparer sa restructuration et s'entendre avec Fiat, lui fournissant temporairement du capital afin de survivre. Washington laissait entendre qu'une fois ces objectifs atteints, il pouvait allonger 6 milliards de dollars US de prêts. Ce plan de match avait été lancé après des consultations avec les gouvernements canadien et mexicain. «Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas et nous ne laisserons pas disparaître notre industrie automobile. Ce secteur est comme aucun autre un emblème de l'esprit américain et un symbole passé comme avenir de la réussite de l'Amérique», déclarait le président Obama il y a un mois. Il avait cependant averti qu'«il y a des emplois qui ne pourront être sauvés et des usines qui ne rouvriront pas» et que «des choix difficiles» devront être faits.
  8. Médias - L'hebdo Ici ferme ses portes Le Devoir Paul Cauchon Édition du jeudi 30 avril 2009 Mots clés : Quebecor, Ici, Culture, Média, Québec (province), Montréal Un autre média meurt au combat: l'hebdomadaire montréalais Ici ferme ses portes, Quebecor avouant que sa rentabilité n'était pas au rendez-vous. Le magazine hebdomadaire gratuit Ici publie son dernier numéro aujourd'hui: Quebecor a en effet décidé de mettre fin à l'aventure. «Il y avait longtemps que le journal n'était pas rentable, et nous avons sans cesse injecté de l'argent pour le maintenir à flot, déclarait hier au Devoir Isabelle Dessureault, vice-présidente chez Quebecor. Nous avons révisé notre plan d'affaires, et il aurait fallu encore investir trop d'argent.» Après avoir investi plus de 10 millions de dollars au fil des ans, Quebecor a donc conclu que la rentabilité d'Ici était «inexistante», particulièrement à la lumière de l'actuelle chute des revenus publicitaires dans les journaux. La fermeture d'Ici entraîne la mise à pied de neuf employés permanents. Le journal avait également recours aux services de 15 à 20 pigistes. Mais Quebecor ne veut pas abandonner la marque Ici. «Il y a une volonté de continuer à faire vivre le branding», soutient Isabelle Dessureault. Quebecor a en effet l'intention de publier une section culturelle Ici chaque jeudi dans son quotidien gratuit 24h, sans qu'on sache pour le moment combien de pages la section comportera. De plus, certains chroniqueurs d'Ici se feront proposer de continuer à publier leurs textes sur le site Internet du 24 h et sur le site Canoë de Quebecor. La liste de ces collaborateurs n'était pas encore établie hier après-midi, mais il semble que Pierre Falardeau s'est fait offrir de continuer sur Internet. Ici a également une version télévisuelle puisque le canal Vox, diffusé par Vidéotron, présente un magazine culturel, Ici et là, animé par le rédacteur en chef d'Ici, Pierre Thibeault, et où l'on retrouve certains chroniqueurs de l'hebdo, dont Nelly Arcan. «Nous souhaitons que cette émission demeure sur Vox, explique Isabelle Dessureault, mais nous devons faire une réflexion sur les collaborateurs qui s'y retrouveront.» Ici a été fondé en 1997, en concurrence directe avec l'hebdo gratuit Voir. Par ailleurs, Quebecor publie également en anglais l'hebdo gratuit Mirror. Selon Mme Dessureault «le marché anglophone est différent» et la publication du Mirror n'est pas remise en question. http://www.ledevoir.com/2009/04/30/248119.html (30/4/2009 8H12)
  9. La Bourse ou la langue! Publié le 04 avril 2009 à 07h59 | Mis à jour à 08h03 Stéphane Paquet La Presse La francisation des entreprises fait du surplace depuis 10 ans, selon la FTQ, qui a 600 comités qui veillent au grain dans les entreprises. Après les grands pas des années 70, Molière piétine. Coup d'oeil sur le monde des marchés boursiers où les entrepreneurs doivent faire le choix: la Bourse ou la langue! C'est un exercice que les initiés connaissent par coeur: aux trois mois, quand vient la période des résultats financiers, les dirigeants d'entreprise présentent leur bilan à des analystes payés pour tenter de comprendre où s'en va l'entreprise. Les dirigeants ont beau s'appeler Charest, Brisebois ou Lemaire et les analystes qui suivent leurs activités Hardy, Laprade ou Bourgeois, l'appel se passe en anglais... pour les autres analystes, plus nombreux, qui eux s'appellent Atkinson, Stewart ou Young. «Dans mon souvenir, on a eu une seule question d'un investisseur en français», explique Jacques Carrière, vice-président aux relations avec les investisseurs de l'Industrielle Alliance. L'assureur de Québec tient des conférences téléphoniques depuis neuf ans, depuis la démutualisation qui a fait changer son statut de coopérative à entreprise cotée en Bourse. «C'était un investisseur institutionnel de Montréal, un anglophone en plus, et il l'avait posée en français», se rappelle encore M. Carrière. Pour que tout le monde comprenne, les dirigeants de l'assureur ont traduit la question et donné une réponse dans les deux langues. «La Bourse, c'est en anglais, même si on ne veut pas», constate lui aussi Ronald Brisebois, l'homme derrière le succès de Cognicase, aujourd'hui à la barre d'Isacsoft, une autre entreprise du secteur informatique, qu'il a lancée en Bourse avant de fermer son capital. «La preuve est faite: Toronto a acheté (la Bourse de) Montréal», lance-t-il, mordant. La raison de cette préséance de l'anglais est simple: les entreprises qui vont sur les marchés boursiers le font pour avoir accès à de l'argent. Or, ce capital peut venir de Montréal, mais plus souvent, il arrive de Toronto, Boston, New York ou San Francisco. «Quand on est public, on peut s'attendre à avoir des investisseurs d'un peu partout à travers le monde. On n'a pas tellement le choix de s'y adapter», explique Jacques Bédard, chef des finances d'ART Recherches et Technologies avancées, qui a aussi vécu l'expérience de la Bourse chez Softimage. «Ça me chicotte énormément parce que je ne suis pas très à l'aise en anglais», confie pour sa part Alain Lemaire, le grand patron de Cascades, devant son vice-président aux communications qui soutient que le niveau d'anglais de M. Lemaire n'est pas si mal. «Je ne peux pas tout dire ce que je veux, tranche le principal intéressé. Je ne peux pas être moi-même autant.» Cette situation peut avoir un impact sur la langue de travail, surtout pour ceux qui gravitent autour des états financiers. «On travaille en anglais et on traduit en français, souligne M. Bédard, d'ART. Parce que nous, on est dans un secteur de pointe, de la technologie. La littérature, les papiers, beaucoup, beaucoup de choses se retrouvent en anglais. Donc, on est toujours partis de l'anglais.» Chez Cascades, on a beau se plier aux téléconférences en anglais, les réunions du conseil d'administration, on tient à ce qu'elles se déroulent en français. Les anglophones qui siègent au conseil doivent parler français. «Ça, on y tient», dit encore M. Lemaire, ajoutant qu'il a peut-être dû écarter un candidat désiré en 20 ans pour cause de non-bilinguisme. Des cours d'anglais Pour des dirigeants d'entreprises, l'ouverture de leur capital à des fonds anglophones les a obligés à suivre des cours d'anglais, comme l'a fait Ronald Brisebois, avant de trouver une solution plus... personnelle. «J'ai marié une Américaine!» dit l'homme d'affaires originaire de L'Annonciation, près de Mont-Laurier, là où «la télévision en anglais ne se rendait pas». Même s'il avoue avoir trouvé «assez difficile au début» de faire ses présentations aux investisseurs et analystes en anglais, il ne pense pas avoir été désavantagé par son accent. «Quand c'est excitant, les analystes sont excités... Ils comprennent le langage de l'argent. Si tu fais des profits, même s'ils ne te comprennent pas, ils vont comprendre.» Alain Lemaire ne se souvient pas non plus avoir été pénalisé en raison de son accent. Mais il ajoute: «Pour vendre l'entreprise, si tu n'es pas aussi convaincant que dans ta langue maternelle, c'est sûr que ça pourrait te nuire.» Aux barricades? Dans ses tournées d'investisseurs et d'analystes, Jacques Carrière, de l'Industrielle Alliance, n'est pas certain que son patron, Yvon Charest, ait toujours saisi toutes les subtilités des questions posées. «Des fois, dit-il, je sens qu'Yvon n'a pas compris la question. Ça aurait pu être en français aussi... Alors là, je fais répéter l'investisseur: Est-ce que c'était ça ta question? Évidemment, dans une conférence téléphonique (avec les analystes), je n'irai pas interrompre Yvon pour lui dire que je pense qu'il n'a pas compris la question.» C'est aussi la technique employée par Alain Lemaire. «Il ne faut pas être gêné de redemander.» Cette semaine, le secrétaire général de la FTQ, René Roy, est monté aux barricades devant le surplace que fait le français dans les milieux de travail depuis 10 ans. Et le secteur financier, M. Roy? Il avoue ne pas entendre de hauts cris nulle part, mais prend le soin d'ajouter: «Si on ne se défend pas, on ne fait que reculer.» ________________________________________________________________________________________________________ Des porte-parole unilingues anglophones Publié le 04 avril 2009 à 11h10 | Mis à jour à 11h13 La Presse Montréal, le 5 mars dernier. Le grand patron de la Bourse de Montréal, Luc Bertrand, prend la communauté financière de court en annonçant qu'il quitte son poste. Les journalistes qui couvrent la nouvelle sont invités à joindre les relations médias de la Bourse de Montréal. Au bout du fil: Carolyn Quick, directrice des communications «corporatives» (de l'entreprise) du Groupe TMX - l'entité qui regroupe la Bourse de Montréal et celle de Toronto depuis leur fusion. Le hic: Mme Quick ne parle pas un mot de français. Aujourd'hui encore, les journalistes qui appellent à Montréal pour obtenir des informations sur la Bourse de Montréal sont redirigés vers la capitale financière du pays. «Il n'y a plus personne à Montréal maintenant. Il faut appeler Carolyn Quick à Toronto», s'est fait répondre La Presse Affaires la semaine dernière. La situation n'est pas unique. Une poignée d'entreprises québécoises choisissent en effet de confier leurs relations avec les médias à des unilingues anglophones. Chez Bombardier Transport, une entreprise bien ancrée dans la société québécoise, c'est le nom de David Slack qui figure au bas des communiqués de presse. L'homme ne travaille pas de Toronto, mais bien de Saint-Bruno, sur la Rive-Sud de Montréal. Pourtant, il répond seulement en anglais. Situation semblable chez Mega Brands, où Harold Chizick, vice-président, médias et communications corporatives, avoue parler «un français comme ci, comme ça» avant de diriger la conversation vers l'anglais. Est-il normal qu'une entreprise dont le siège social est au Québec se dote d'un porte-parole unilingue anglophone? «La question est intéressante», admet - en anglais - David Slack, qui précise qu'il est responsable des communications de Bombardier Transport non pas pour le Québec seulement, mais pour l'ensemble de l'Amérique du Nord. «Bombardier est une entreprise internationale qui possède des exploitations dans plusieurs pays, explique M. Slack. Au Québec, si un journaliste veut me parler et qu'il est à l'aise en anglais, c'est merveilleux. S'il préfère fonctionner en français, nous avons quelqu'un qui peut s'occuper de ça.» Talal Zouaoui, conseiller en communications, travaille en effet à Saint-Bruno lui aussi. Et parle parfaitement français. Son nom n'apparaît pas sur les communiqués de presse, mais M. Slack lui dirige les appels des journalistes qui insisteraient pour obtenir leurs renseignements en français. «Tout ce qu'on fait en matière de communiqués de presse, de site web, de matériel d'information, est traduit en plusieurs langues, dont le français. C'est le genre d'approche qu'adoptent les sociétés internationales», dit M. Slack. Explications semblables chez Mega Brands, où Carine Sroujian, francophone, épaule M. Chizick. «Elle est mon bras droit», explique M. Chizick, qui refuse d'admettre qu'il pourrait être plus facile d'obtenir des renseignements directement du vice-président que de sa directrice des communications aux entreprises. «Toutes les informations que je peux transmettre, elle peut les transmettre «, dit M. Chizick. «Nous sommes fiers d'être établis au Québec et nous tenons à ce que les journalistes puissent se faire répondre en français», ajoute-t-il. Une situation temporaire Au Groupe TMX, on explique que des membres francophones de la haute direction comme Luc Bertrand (encore président et chef de la direction de la Bourse de Montréal jusqu'au 30 juin), Alain Miquelon (premier vice-président, Bourse de Montréal) ou Richard Nadeau (premier vice-président, Bourse de Toronto) sont autorisés à parler aux médias. Mais personne ne répond en français au service des relations avec les médias, souvent beaucoup plus facile à joindre que les membres de la direction. «Pour le premier contact, il faut m'appeler moi, admet Mme Quick. Si vous avez besoin d'informations particulières, je peux trouver un collègue qui parle français et qui peut répondre à vos questions.» Mme Quick explique qu'il s'agit d'une situation temporaire depuis le départ de Jean-Charles Robillard, ancien directeur des relations de presse de la Bourse de Montréal, en février. Le Groupe TMX cherche actuellement un nouveau président aux affaires de l'entreprise. Il n'a pas toutefois pas été possible de savoir si le fait de parler français fera partie des critères d'embauche. En fait, dans les relations avec les médias comme avec les investisseurs, le pragmatisme semble dicter les décisions linguistiques. Chez Mega Brands, Harold Chizick estime que 90% des appels de journalistes proviennent de médias étrangers et que, parmi les appels du Canada, 80% proviennent de l'extérieur du Québec. Toon Boom, entreprise montréalaise qui ne traduit qu'environ 20% de ses communiqués de presse en français, tient le même discours. «Ça dépend des nouvelles. Comme certaines nouvelles ne concernent que le marché américain, on ne les fait qu'en anglais», explique - en français! - Karina Bessoudo, porte-parole de l'entreprise.
  10. Quebecor se retire de La Presse canadienne La Presse canadienne Édition du jeudi 12 mars 2009 Toronto -- Le groupe Quebecor affirme qu'il se retirera l'année prochaine de la coopérative Presse Canadienne, en misant sur le développement de sa propre agence de presse créée plus tôt cette année. L'entreprise possède notamment Le Journal de Montréal, Le Journal de Québec, les journaux Sun ainsi que plusieurs autres publications de langues française et anglaise au Canada. Quebecor est aussi propriétaire du plus important réseau de télévision privé au Québec, TVA, en plus d'une chaîne de télévision à Toronto, de plusieurs sites Internet, du câblodistributeur Vidéotron et d'un service de téléphonie au Québec. Une porte-parole de Quebecor Média a confirmé hier que le chef de la direction, Pierre Karl Péladeau, a fait parvenir une note de service à des employés afin de les aviser que la compagnie entend quitter la coopérative pour développer sa propre agence de presse. Dans cette note, M. Péladeau affirme que Quebecor doit s'adapter aux changements dans l'industrie des médias. «Comme vous le savez, la presse écrite traverse une période de bouleversements au Canada et à l'étranger, écrit-il. Plus que jamais, nous devons profiter de nos forces, et elles sont nombreuses: nous devons tout simplement tirer le maximum de celles-ci. C'est pourquoi nous devons continuer de construire et accélérer le développement de notre propre réseau -- en l'occurrence notre propre agence de presse, QMI -- afin de fournir et de partager le contenu entre tous nos médias partout au pays.»
  11. Le groupe Quebecor, appuyé par la bonne performance de ses activités de câblodistribution, a enregistré une perte nette de 343 millions de dollars au 4e trimestre, contre 963 millions $ un an plus tôt. Pour en lire plus...
  12. Le géant américain des médias réduit la valeur de ses actifs de 24milliards de dollars américains et déclare une perte nette de 16 milliards pour 2008. Pour en lire plus...
  13. Trois mois après un premier plan de sauvetage financier salué de par le monde, le gouvernement de Gordon Brown devrait une nouvelle fois voler au secours des banques britanniques cette semaine, en assurant sur les deniers publics leurs actifs à risque, selon les médias. Pour en lire plus...
  14. Selon plusieurs médias spécialisés, le géant pharmaceutique Pfizer s'apprête à congédier près du tiers de ses 8000 représentants des ventes. Pour en lire plus...
  15. Le constructeur automobile japonais veut s'ajuster à une demande en berne, ont indiqué jeudi les médias nippons. Pour en lire plus...
  16. «Créativité.» «Flexibilité.» En temps de crise, agences de pub et groupes médiatiques rivalisent d'ingéniosité pour offrir le plus de plateformes possibles aux annonceurs. Dans un but bien précis: les convaincre de dépenser. Pour en lire plus...
  17. BCE dément les rumeurs qui circulent dans les médias à l'effet que le Régime de retraite des enseignantes et enseignants de l'Ontario ait soumis une offre d'achat partielle. Pour en lire plus...
  18. Le groupe américain de médias a annoncé qu'il allait supprimer environ 7% de ses effectifs et que ses dirigeants n'auraient aucune augmentation de salaire en 2009. Pour en lire plus...
  19. Les difficultés économiques touchent également les médias: CTV effectue 105 mises à pied à Toronto. Pour en lire plus...
  20. Le magnat des médias estime que les pessimistes qui croient qu'Internet va tuer la presse quotidienne sont des «cyniques égarés». Pour en lire plus...
  21. Après avoir amélioré ses marges de profits en matière de médias verticaux, le fonds de revenu annonce que ses profits ont monté de 20% au troisième trimestre. Pour en lire plus...
  22. Le groupe américain de médias Time Warner a réalisé au troisième trimestre des bénéfices stables et, toujours plombé par le déclin de sa filiale Internet AOL, a revu à la baisse ses prévisions 2008. Pour en lire plus...
  23. Il s'agit du jugement des médias américains qui croient que le sauvetage s'avère dangereux surtout si celui-ci ouvre la porte à d'autres interventions de l'Oncle Sam. Pour en lire plus...
  24. Le projet est évalué à 1,9 G$. Depuis plusieurs jours, les médias avaient annoncé que la Société d’État irait de l’avant avec cette centrale située à Bécancour. Pour en lire plus...
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