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  1. Jean Coutu à l'assaut des régions 14 octobre 2008 - 06h15 La Presse Réjean Bourdeau Jean Coutu (PJC.A) veut grandir dans les régions. «On lance un nouveau concept pour être plus présent dans les petites communautés», annonce François-Jean Coutu, en entrevue à La Presse Affaires. La nouvelle bannière s'appellera PJC Santé Beauté. Elle sera composée de magasins plus petits que ceux des grandes villes. Mais elle offrira une intéressante gamme de produits: médicaments, cosmétiques, photos, produits saisonniers (Halloween, Noël, etc.), précise le président. Deux projets pilotes, à Caplan, en Gaspésie, et à Néguac, au Nouveau-Brunswick, ont donné d'excellents résultats. Le groupe a l'intention d'implanter une cinquantaine de magasins de 5000 pieds carrés d'ici trois ans. Cela lui permettra d'augmenter ses revenus annuels de 200 millions de dollars, estime la direction. «On a toutes les possibilités de le faire, dit M. Coutu. On est solide financièrement et on a un bon nom.» Reste maintenant à trouver des emplacements intéressants. Et à convaincre des pharmaciens indépendants. Discussions en cours La société est justement en discussion avec plusieurs pharmaciens. «Nous leur offrons la structure, la rigueur et l'efficacité de notre groupe, explique le président. Ils profiteront aussi de notre pouvoir d'achat.» L'investissement requis est de 1 million de dollars par projet. Il sera partagé entre les partenaires. Jean Coutu s'occupe notamment du terrain, de l'édifice et du bail. Le franchisé est responsable des stocks, des améliorations locatives et du personnel. Le groupe est en mesure de déménager et d'agrandir des petits commerces de 1000 pieds carrés et plus. «On adapte notre concept Jean Coutu à de plus petites surfaces, dit le président. C'est moins coûteux à exploiter et ça permet d'être rentable avec un chiffre d'affaires moins élevé.» Les communautés francophones de l'Ontario et du Nouveau-Brunswick sont ciblées. Au Québec, il y aurait beaucoup de potentiel dans le territoire regroupant Montmagny, Saint-Georges, Trois-Rivières et Saguenay. «Il y a un grand bassin de pharmaciens dans cette région», remarque le dirigeant. Jean Coutu crée aussi des liens avec de jeunes étudiants en pharmacie. «Cette année, on a 109 étudiants qui travaillent chez nous, dit François-Jean Coutu. De ce nombre, 101 vont rester. C'est très bon.» Par ailleurs, le groupe poursuit son projet pour rafraîchir son réseau de 343 établissements. Il coûte 100 millions par année. «Depuis deux ans, en collaboration avec nos franchisés, on fait des déménagements, des relocalisations, des agrandissements et des rénovations, souligne le grand patron. Il nous reste encore deux ans pour terminer une centaine de magasins.» L'ENTEPRISE : son réseau au détail en pharmacie compte 343 établissements franchisés au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Ontario. Le groupe emploie plus de 16 000 personnes sous les bannières PJC Jean Coutu, PJC Clinique et PJC Santé Beauté. La société détient une participation de 29,9% dans l'américaine Rite Aid Corporation (5000 magasins dans 31 États). Son symbole à la Bourse de Toronto est PJC. A. DÉFIS : Développer le potentiel des régions et renouveler le réseau après 40 ans d'existence STRATÉGIES: Lancer le nouveau concept Santé Beauté et investir, avec les franchisés, pour déménager, agrandir ou rafraîchir les pharmacies existantes.
  2. «On lance un nouveau concept pour être plus présent dans les petites communautés», annonce François-Jean Coutu, en entrevue à La Presse Affaires. Pour en lire plus...
  3. Immeubles de bureaux: la crise retardera des projets 7 octobre 2008 - 07h04 La Presse Laurier Cloutier La rareté de bureaux libres au centre-ville de Montréal s'accentue et touche un record historique, mais la crise financière pourrait retarder les projets de nouvelles tours. «D'ici de six à neuf mois, un projet d'immeuble de bureaux devrait tout de même être annoncé», assure à La Presse Affaires le président et chef de la direction de GVA Devencore, Jean Laurin, après son étude d'hier sur le marché canadien, où les locaux vides sont rares partout pour les locataires. À Montréal, plus de 95% des bureaux sont occupés et c'est en outre la seule ville canadienne où on ne construit toujours pas d'immeuble de ce type, malgré un marché saturé à 100% au moment de sa livraison éventuelle, note Jean Laurin. Des promoteurs travaillent à cinq projets de tours à Montréal, souligne-t-il. Ceux de Hines et de SITQ Immobilier, au 900, De Maisonneuve Ouest, et de Westcliff, au Square Victoria, sont bien connus dans l'industrie. Le plus récent, c'est celui de Sidev, à l'ouest du Complexe Desjardins et au sud de la rue Sainte-Catherine. Magil-Laurentienne et Canderel sont en outre sur les rangs avec des tours de jusqu'à un million de pieds carrés, près de la Place Bonaventure et du Square Phillips. Click here to find out more! La Ville de Montréal consacre aussi des efforts à la mise en valeur de secteurs comme Griffintown, le faubourg des Récollets (autoroute Bonaventure) et Chabanel, dit Jean Laurin. Par contre, des «prêteurs vont analyser attentivement tout projet avant de s'embarquer dans son financement» à cause de la crise financière, reconnaît le président. «Le promoteur devra avoir de l'expérience, un emplacement de choix et des locataires sérieux», explique-t-il. «Ça pourrait prendre un peu plus de temps avant de construire, mais il ne faut pas mettre toutes les institutions financières dans le même panier, ajoute Jean Laurin. Les caisses de retraite doivent investir leurs rentrées régulières de fonds.» Cela pourrait favoriser le projet de SITQ Immobilier, filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Encore faut-il que les loyers éventuels soient à la hauteur des coûts de construction et de financement. Jean Laurin souligne que les loyers n'ont pas grimpé de façon radicale, malgré la rareté des bureaux, et ils ne sont pas encore tout à fait au rendez-vous, estime-t-il. Après le projet dédié du Campus Bell, aucun locataire important n'a encore annoncé une expansion d'envergure de ses activités, pour justifier illico une nouvelle tour au centre-ville, dit-il. Le taux d'inoccupation de 4% à Montréal équivaut à ceux de Toronto et d'Edmonton. Dans le Vieux-Montréal et le Quartier international de Montréal, ce taux s'approche même de 2%, comme à Vancouver, Calgary et Ottawa, au grand dam des locataires. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20081007/LAINFORMER/810070843/5891/LAINFORMER01
  4. Publié le 30 septembre 2008 à 16h36 | Mis à jour à 19h13 Exclusif: les libéraux provinciaux en avance Cyberpresse Les libéraux du Québec confirment leur avance dans les intentions de vote, selon un sondage exclusif réalisé pour La Presse et Cyberpresse. Le dernier coup de sonde de CROP attribue une avance de neuf points aux troupes de Jean Charest, à 41%, devant le Parti québécois qui récolte 32% des intentions de vote, après répartition des indécis. L'Action démocratique du Québec est loin derrière, à 16% des intentions de vote, suivie du Parti vert du Québec (6%) et de Québec solidaire (4%). Jean Charest est par ailleurs considéré comme le leader politique qui fait le meilleur premier ministre du Québec par 41% des répondants, devant Pauline Marois (31%) et Mario Dumont (16%). Les résultats du sondage reposent sur 1000 entrevues téléphoniques effectuées du 18 au 28 septembre 2008.
  5. Le partenaire du Groupe Jean Coutu aux États-Unis a vu sa perte nette presque tripler au cours du deuxième trimestre de l'exercice en cours en raison des résultats décevants de pharmacies. Pour en lire plus...
  6. Jean Larose, directeur général depuis plus de 10 ans, quittera son poste dans un mois. Richard Petit, directeur général adjoint, a abandonné le sien le 1er août dernier. Pour en lire plus...
  7. Charest: «On n'a pas de comptes à rendre à Ottawa» Jean Charest (Photo David Boily, La Presse) Photo David Boily, La Presse Denis Lessard La Presse Le gouvernement du Québec n’a pas de comptes à rendre à Ottawa quant à sa décision de baisser les impôts avec l’argent transmis par Ottawa au printemps 2007, a soutenu jeudi le premier ministre Jean Charest. Il répliquait sans ménagement aux propos tenus plus tôt par le premier ministre Stephen Harper pour qui le Québec ne pouvait à la fois prétendre que le déséquilibre fiscal demeurait et baisser les impôts pour ses contribuables. «Baisser les impôts pour la classe moyenne, j’y tenais beaucoup. Les économistes reconnaissent que c’est la raison pour laquelle l’économie du Québec va tirer son épingle du jeu malgré le ralentissement (économique)», a soutenu M. Charest à l’arrivée à la réunion présessionnelle de son caucus. «Je n’ai pas de comptes à rendre au gouvernement fédéral sur la gestion des fonds au Québec», a-t-il laissé tomber. Pour lui le règlement du problème du déséquilibre fiscal passe aussi par une solution au financement de l’éducation post-secondaire, malmenée par les coupures d’Ottawa dans les années 1990. «Comme premier ministre du Québec je vous dis que ce n’est pas réglé et qu’on va continuer à réclamer du financement pour le post-secondaire», a déclaré M. Charest.
  8. Le principal représentant des petits détenteurs de papier commercial adossé à des actifs, Brian Hunter, incite ceux-ci à écrire aux dirigeants de Jean Coutu, de Domtar et de la SGF. Pour en lire plus...
  9. Cirque du Gourmet Montréal’s Jean Talon Farmers’ Market is a feast for the eyes, too By Matt Scanlon You can’t beat the people-watching at Café Italia on Boulevard St. Laurent in Montréal. From the coffeehouse’s small sidewalk tables, an observer can take in the city’s swirling blend of color and culture: a Rasta-capped dad pushing a tandem stroller; a reed-thin, ghost-pale city girl; a man-sandaled Red Sox fan, presumably from the States; a fiftysomething Asian woman in a sky-blue business suit. One thing unifies this disparate urban crowd: loot from the Marché Jean Talon. Grasping sacks filled with guava, pineapples, wedges of cheese and the requisite torpedoes of French bread, the shoppers spill out of one of the best open-air farmers’ markets in the city . . . some say the continent. To those who’ve fallen prey to the Jean Talon addiction, the place is much more than an opportunity for bag filling. Since its opening in 1933, the market has been an impromptu park: part “Where am I?” landmark for tourists, part political forum and part all-day hang-out for everyone from skateboard kids to fashionistas. Think of a circus with much better food . . . and no clowns. Situated between avenues Casgrain and Henri-Julien, closest to the Jean Talon metro stop, the Marché Jean Talon is one of only two large farmers’ markets in Montréal — the other is Atwater in the Westmount neighborhood. However, many locals feel Jean Talon represents a more faithful adherence to the “buy local, sell local” motto. Its 300-odd stalls — shaded from the sun by a roof without walls, train-station-style — overflow with cheese, meat, produce of virtually every shape and description, freshly cut flowers, fish just plucked from the Gulf of St. Lawrence, and Québec crafts such as hand-woven hats and rugs. The outside edges of the market hold restaurants, larger food stores and a raft of cafés. Though the market resides on the northwestern edge of Little Italy, the neighborhood vibe is more Gallic than Latin, and the happiest customers are those who can at least introduce their inability to speak French . . . in French. Stylish epicurians are quick to note that the Atwater market, with its tonier locale, has more cachet these days, and for people less eager to immerse themselves in Québécois culture, its largely Anglophone location is certainly American-friendly. But that’s just the point: When we go to Montréal, it’s because we want to get away. And Jean Talon has plenty of exotic tastes, including Québec favorites such as Rougemont and Mont-Sainte-Hilaire apples, lamb and pork from the Rigaud hills, and chèvre and Pied-de-Vent cheeses. Open year-round, a market of this size naturally has its share of imports, too. You can grab a Florida orange for nostalgia’s sake, but really. Fromage fans in particular have good reason to make the journey to Jean Talon. Though we have plenty of fine unpasteurized cheeses in Vermont, the market is a prime place to sample Québec’s offerings. Purists believe heat kills much of the earthy texture and place-presence (or terroir) of cheese, and after a hockey-puck-sized serving of a goat’s milk variety called “Tome,” it’s difficult to argue the point. Grassy, sharp and with a white-wine-like finish, it’s a revelation. Such bliss comes with a side order of caution; unpasteurized milk is more prone to have listeriosis and E. coli passengers on board, and pregnant woman should abstain. Though there are at least a dozen great places to buy, Fromagerie Qui Lait Cru — a nifty pun that means both “raw milk” and “Who would’ve believed?” — has a particularly garrulous staff when it comes to answering questions. There are few better examples of Jean Talon’s emphasis on local flavor than Porc Meilleur. Supplied by a family-run farm of the same name in the Maskoutan region, its hormone- and antibiotic-free meat comes from pigs that are fed a combination of grains, yogurt and milk — the proportions are a house secret — and the results are the stuff of local legend. It’s not uncommon for shoppers to come from as far as Ottawa for the bacon, and a shortage of chops can be cause for a near-riot. If veal is your thing, Veau de Charlevoix, just a stone’s throw from Porc Meilleur, is just as passionate about animal raising and quality. Les Délices de la Mer has the unofficial designation of the go-to place for fresh fish in the market. You’ll know it by the number of people standing nearby eating fried fillets out of paper wrappers, eyes turned heavenward in appreciation. Les Délices sells and cooks what’s in season, of course, and at the moment turbot is in abundance. A relative of the flounder, this 10- to 30-pound bottom dweller is prized for delicate (if firm) flesh and a decidedly non-fishy flavor. More than anything else, though, what you see in the market is produce, and again, as long as the harvest lasts, local fruits and vegetables are the stars of the show. For sheer scale and diversity, start with Sami Fruit, just off the market on Rue Jean Talon South. Portage potatoes look appreciably different from their Idaho cousins, while Reliance peaches and Nova Scotia grapes put many in the States to shame. Though these staples of Jean Talon anchor the day, the best part of the market is the unexpected. One day an intrepid shopper might find a small stall offering fresh lobster; the next, a display of crayfish; the next, kosher pickles manufactured by the remnants of the area’s once-sizeable Jewish community. Each visit is different, and as you dip your baguette into a jar of brandied strawberry puree over the low notes of a Mexican guitarron, suddenly the ennui of the border crossing seems worth it. Fruit Flight What’s the point of filling your bags with the wonders of Québec if they end up in the hands of customs agents? Crossing the border is nervewracking enough without worrying about the rules regarding the legal importation of Canadian goods, and the trouble is that these regulations change constantly. With every new potato worm, fruit fly or blight, products that were acceptable yesterday become illegal today. Generally, though, things play out like this: Prepared items such as jam, jelly, sauce, olive oil, mustard, honey, wine and vinegar are permissible, with the very strict exception of anything containing meat. Importing a meat product of any kind is forbidden. For the sake of your stomach, and because it generally falls under the meat heading, leave the fish on your plate, too. The rules are a bit more relaxed regarding Canadian fruit and vegetable importation than with flora of Mexico, Central America or Europe. As long as your plunder is not exotic (eat the last of that pineapple before you leave) and/or bears a “grown in Québec” label either on the fruit or on the bag, you’ll most likely be OK. To be safe, don’t mingle different types of fruit in one bag. Hard cheeses, even those containing raw milk, are generally allowed, but no soft varieties — sorry, Brie lovers. Be further advised, though, that any customs agent can decide for any reason that an item is inadmissible or exceeds the maddeningly vague “reasonable amount” rule. Don’t press your luck by proclaiming your rights — you really don’t have any when it comes to this stuff — or doing your Alan Shore impersonation from “Boston Legal.” Smile, surrender the olives, and move on.
  10. Les avocats qui poursuivent au criminel Vincent Lacroix, Jean Renaud et quatre autres hommes relativement à l'affaire Norbourg tiennent à plaider derrière des portes closes. Pour en lire plus...
  11. Le maire de Saguenay, Jean Tremblay, et le conseiller municipal Serge Simard s'opposent fermement à la démolition de l'usine de panneaux MDF de La Baie. Pour en lire plus...
  12. Plusieurs acheteurs sur les rangs pour Uniprix 23 juillet 2008 - 06h29 La Presse Laurier Cloutier Le statu quo est inacceptable pour Uniprix, car la concurrence augmente et ses pharmaciens font moins d'argent. Non seulement le grossiste canadien McKesson Canada lorgne Uniprix, mais Metro-Brunet, de Montréal, et Katz Group of Companies, d'Edmonton, s'intéressent aussi à la première chaîne du Québec pour le nombre de pharmacies. «C'est McKesson qui est le plus motivé par l'acquisition d'Uniprix, mais Metro et le Katz Group seraient grandement intéressés aussi», déclare à La Presse Affaires un analyste financier d'un grand courtier canadien. McKesson doit se défendre contre les braconniers dans son marché, ajoute David Hartley, analyste de BMO Marchés de capitaux. Un peu lassée d'attendre l'acquisition souhaitée de la chaîne de supermarchés Safeway Canada, Metro miserait encore davantage sur l'expansion de Brunet, sa filiale de pharmacies, et leur grossiste McMahon, explique son collègue. Quant au Katz Group, ce leader nord-américain possède plus de 1800 pharmacies au Canada et aux États-Unis. En outre, Katz exploite Meditrust Pharmacy, seule entreprise canadienne de vente en ligne de produits pharmaceutiques. Par ailleurs, Katz ne compte encore aucun magasin au Québec, ni dans les Maritimes, note le premier analyste financier. Pas de surprise pour Jacques Nantel, professeur de commerce de détail et secrétaire général de HEC Montréal. Juste après l'acquisition de Proxim par McKesson le 1er juillet dernier, Jacques Nantel a en effet prononcé une conférence chez Uniprix sur la consolidation du secteur des pharmacies. Les chaînes de pharmaciens indépendants vont devoir se consolider, tout comme antérieurement celles dans l'alimentation et la quincaillerie, dit Jacques Nantel. Par ailleurs, un autre spécialiste du commerce de détail affirme que Metro manifeste un appétit tel pour l'expansion de Brunet que des dirigeants du groupe ont tenté d'acheter Proxim, raflée par McKesson Canada. Metro-Brunet a de plus discuté d'une acquisition avec Uniprix et même avec... Jean Coutu, ajoute ce spécialiste. Metro-Brunet a refusé de donner des détails hier, tout comme le Groupe Jean Coutu. De son côté, le porte-parole d'Uniprix, Pierre Gince, a lancé "qu'un autre gros acteur essaie d'acquérir une chaîne de pharmacies au Québec". Leader au Québec pour les ventes, avec 305 grandes pharmacies, Jean Coutu ne serait pas autorisé à acheter Uniprix par le Bureau canadien de la concurrence, déclare l'analyste financier qui ne veut être identifié. Par contre, Metro demeure en bonne santé financière, malgré la sévère concurrence que doit affronter sa filiale ontarienne A&P, et pourrait réaliser des synergies appréciables après l'acquisition d'Uniprix par Brunet, estime cet analyste. Les gammes de produits des supermarchés et des pharmacies se ressemblent souvent. En outre, contrairement au grossiste McKesson, Metro-Brunet possède une grande expertise dans le commerce de détail. Quant à Katz, sa structure d'exploitation s'apparente en partie à celle d'Uniprix, selon l'analyste, contrairement à celle de Shoppers-Pharmaprix. C'est toutefois McKesson qui offrirait le meilleur prix pour la bannière Uniprix, selon l'analyste, pour protéger son marché. Le grossiste approvisionne à la fois Uniprix et Proxim. Shoppers-Pharmaprix serait le groupe le moins intéressé par Uniprix, même si la chaîne compte près de 400 pharmacies. Joint aux États-Unis, Guy-M. Papillon, fondateur d'Essaim (la chaîne devenue Proxim), déclare que les pharmaciens sont enchantés du prix payé par McKesson. Le statu quo est inacceptable pour Uniprix, car la concurrence augmente et ses pharmaciens font moins d'argent, dit l'analyste. Le Québec offre un marché plus intéressant que les autres provinces, pour le nombre de prescriptions. L'acquisition d'Uniprix et de Proxim par McKesson pourrait entraver la croissance en cours de Jean Coutu et de Shoppers-Pharmaprix au Québec, dit David Hartley. Ces deux chaînes seraient davantage menacées, par contre, si Metro-Brunet entrait dans la danse en achetant Uniprix, selon lui.
  13. Bien qu'il se propose de réévaluer le dossier Rite Aid à l'automne, le PDG François-Jean Coutu ne s'attend toutefois pas à y voir un retour à la rentabilité à si court terme. Pour en lire plus...
  14. Les affaires vont plutôt bien au Canada mais la compagnie enregistre une perte plus que triplée au premier trimestre en raison de Rite Aid. Pour en lire plus...
  15. Que fera Jean Coutu avec Rite Aid? Jean Coutu a une décision à prendre avec Rite Aid qui symbolise sa «perçée» sur la scène internationale. Rite Aid n’apporte plus aucune valeur à Jean Coutu, selon les calculs de l’analyste Keith Howlett, de Desjardins Valeurs Mobilières. À son cours actuel, l’action de Jean Coutu est même sous-évaluée d’au moins 10%, affirme l’analyste. Rappelons que Jean Coutu détient une participation de 30% dans le pharmacien américain Rite Aid. M. Howlett estime que les activités de Jean Coutu au Canada ont une valeur de 9,50$ par action actuellement. L’action de Jean Coutu ne cesse de perdre de la valeur depuis un an ayant terminé la semaine à 8,38$ vendredi à la Bourse de Toronto. Le titre a même touché un nouveau plancher à 8,30$ en cours de journée vendredi. Rite Aid, dont le titre a perdu 22% de sa valeur jeudi pour clôturer à un creux de 1,35$ à la Bourse de New York, est devenu un boulet pour Jean Coutu. (Rite Aid a rebondi pour gagner 10% vendredi en Bourse) Le redressement des ventes dans les pharmacies Eckerd et Brooks aux États-Unis est un défi de taille que tente de relever Rite Aid. Plusieurs scénarios s’offrent à Jean Coutu pour la gestion de sa participation dans Rite Aid. Scénario no1 Injecter davantage d’argent dans Rite Aid dans l’optique d’obtenir un rendement raisonnable éventuellement. M. Howlett soutient que cette éventualité est peu probable étant donné que les dirigeants de Jean Coutu ont une tolérance limitée pour le risque excessif. Surtout après la mésaventure qui a mené à la vente des pharmacies Brooks et Eckerd à Rite Aid. Il ne faut pas oublier que Rite Aid est actuellement la seule avenue possible pour Jean Coutu si le pharmacien montréalais souhaite encore devenir un acteur important dans le secteur des pharmacies en Amérique du Nord. Scénario no2 Importer la marque Rite Aid au Canada. L’Ontario et l’Ouest canadien sont deux marchés qui pourraient être réceptifs à la venue de Rite Aid, croit M. Howlett. Scénario no3 Distribuer la participation dans Rite Aid directement aux actionnaires. Scénario no4 Vendre les actions de Rite Aid. Conclusion Peu importe le scénario, Keith Howlett ne s’attend pas à ce qu’une décision soit prise par Jean Coutu avant la fin de l’an prochain. Si Jean Coutu conserve ses actions de Rite Aid ou injecte davantage d’argent dans Rite Aid, la direction devra être convaincue que Rite Aid peut se mesurer à Walgreens, CVS et Wal-Mart. Ce qui n’est pas une mince affaire. Une réponse est attendue d’ici 18 mois. http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/dufour/?p=427
  16. Jean Renaud n'était pas seul. Un autre acolyte de Vincent Lacroix faisant face à une pluie d'accusations criminelles était employé pour l'Organisation de l'aviation civile internationale. Pour en lire plus...
  17. Le pharmacien américain dans lequel Jean Coutu possède une participation continue de perdre des plumes. Pour en lire plus...
  18. Les ténors souverainistes réclament des gestes concrets Photo Patrick Sanfaçon, La Presse Jean-François Cloutier La Presse La reconnaissance symbolique de la nation québécoise par le gouvernement Harper ne suffit pas aux ténors du mouvement souverainiste, qui exigent qu'elle se traduise par des mesures concrètes. «On a tous trouvé ça positif, la reconnaissance de la nation, mais maintenant on exige des actes qui ne soient pas seulement de l'ordre du symbole», a affirmé hier Gilles Duceppe. Le chef bloquiste était accompagné pour l'occasion de Gérald Larose, du Conseil de la souveraineté, de Jean Dorion, de la Société Saint-Jean-Baptiste, et de Marilyse Lapierre, des Intellectuels pour la souveraineté. De l'aveu même du chef du Bloc québécois, ce ne sont toutefois pas de nouvelles concessions qui réduiront l'appétit de souveraineté des Québécois. «Quand on voit qu'on est capables, on en veut toujours plus», a-t-il expliqué. Gilles Duceppe a ainsi rappelé que c'est à l'époque de Jean Lesage, au moment où les Québécois n'avaient jamais eu autant de place dans le Canada, que les aspirations indépendantistes avaient pris forme. À quelques jours de la fête nationale, le Bloc réclame trois gestes de la part du gouvernement Harper, dont la création d'un Conseil québécois de la radiodiffusion et des télécommunications (CQRT), qui remplacerait le CRTC fédéral. Le Bloc se défend cependant d'être opportuniste. «Cette demande n'est pas nouvelle, elle remonte à Duplessis», a fait valoir M. Duceppe. «Demandez aux employés de TQS s'ils aimeraient que nous ayons un CQRT, et beaucoup vous diront oui», a-t-il ajouté. La formation souverainiste demande également que la Loi 101 s'applique aux employés québécois d'entreprises de compétence fédérale. Quelque 275 000 personnes travaillant dans des secteurs comme les ports, les banques, les télécommunications et les transports seraient concernées par la mesure. Le Bloc réclame enfin que le Québec soit exclu de la loi fédérale sur le multiculturalisme, un concept ramené par Gilles Duceppe au «fractionnement de la société en une multitude de solitudes». Il lui préfère l'«interculturalisme». «Ici, nous avons un héritage commun auquel nous voulons que les immigrés se greffent», a-t-il déclaré pour illustrer les différences entre les deux modèles d'intégration. Taxe sur le carbone Questionné sur le projet de taxe sur le carbone de Stéphane Dion, Gilles Duceppe s'est montré sceptique: «Sans cibles absolues de réduction des gaz à effet de serre, on passe à côté du problème.» «Stéphane Dion a déjà dit qu'il ne fallait pas trop nuire aux pétrolières pour éviter de nuire à l'économie», a-t-il rappelé. http://www.cyberpresse.ca/article/20080621/CPACTUALITES/806211046/1019/CPACTUALITES
  19. Philippe Couillard tire sa révérence La Presse et Cyberpresse Québec Après cinq ans à la tête du ministère de la Santé, Philippe Couillard tirera sa révérence la semaine prochaine de la vie politique. Son départ forcera le premier ministre Jean Charest à procéder, plus tôt que prévu, à un remaniement ministériel. Lors d'un très bref point de presse ce matin, M. Couillard a confirmé qu'il était en réflexion et qu'il a partagé de cette réflexion avec Jean Charest. Il a confirmé sa participation à des festivités liées au 400e de Québec la semaine prochaine et au Conseil des ministres du 25 juin. Quelques minutes avant lui, le premier ministre Jean Charest s'est adressé aux journalistes en parlant de son ministre de la Santé au passé, ce qui laisse croire que la décision de M. Couillard est bel et bien prise. Selon les informations obtenues par La Presse, M. Couillard a fait part il y a quelques semaines de son intention de partir. Il sait déjà qu'il obtiendra immédiatement un nouvel emploi dans une organisation internationale ou dans le secteur privé, ont indiqué hier soir des sources libérales à La Presse. «Il aspire à d'autres horizons», a-t-on résumé chez les stratèges libéraux. Pour le remplacer, tout le monde voyait d'emblée Michelle Courchesne, responsable du ministère de l'Éducation, mais il n'en est pas question, a-t-on appris. Déjà, avant le dernier scrutin, M. Couillard avait manifesté l'intention d'obtenir un autre portefeuille, le Conseil du Trésor notamment. Son intérêt pour la succession de Jean Charest était aussi manifeste mais, avec la remontée du chef libéral et de son parti dans les intentions de vote, cette hypothèse s'est envolée en fumée depuis huit mois. Pour remplacer ce poids lourd au sein du gouvernement, M. Charest devra plutôt se tourner vers Line Beauchamp, responsable de l'Environnement, ou Nathalie Normandeau, des Affaires municipales. Cette dernière vient de terminer une réalisation importante avec l'approbation de la loi 22 sur la gouvernance de Montréal. Cette obligation de brasser les cartes tombe à un mauvais moment pour M. Charest. Beaucoup de questions se posent toujours sur l'avenir du jeune ministre Claude Béchard. Le titulaire des Ressources naturelles est terrassé depuis deux semaines par la maladie. Une tumeur cancéreuse a été décelée et les médecins évaluent toujours les dommages causés par la maladie. Il y a des mois que M. Couillard a fait savoir qu'il voulait quitter la Santé. Il a de nouveau été consigné à ce poste quand le gouvernement a obtenu seulement un mandat minoritaire, au printemps 2007. Depuis plusieurs jours, son désintérêt était flagrant durant les travaux de la Chambre. Des questions demeurent sur l'ampleur du jeu de chaise musicale qui aura lieu la semaine prochaine. Aux Fêtes, le premier ministre Charest a temporairement mis de côté des scénarios de remaniement qui faisaient accéder deux, voire quatre députés, au Conseil des ministres. Les noms de Pierre Arcand, de Mont-Royal, et de Nicole Ménard, de Laporte, sont revenus fréquemment. Il s'agissait alors de décharger quelques ministres de trop nombreuses responsabilités. Michelle Courchesne empile les responsabilités, tout comme Raymond Bachand, titulaire du Développement économique. Ce scénario a été remis à plus tard. Les remaniements sont une carte importante, qu'on abat généralement pour freiner une glissade dans les sondages.
  20. Pouvoir fédéral de dépenser: Charest ne se formalise pas du peu de progrès Le lundi 16 juin 2008 Sylvain Larocque Presse Canadienne Plus d'un an après avoir promis de mobiliser l'Assemblée nationale dans le but de conclure avec Ottawa une entente pour limiter le pouvoir fédéral de dépenser, le premier ministre Jean Charest ne se formalise pas du cul-de-sac dans lequel le dossier semble être plongé. Interrog é sur le sujet lundi, en marge de la Conférence de l'Alliance entre les Etats du Sud-Est des Etats-Unis et les provinces canadiennes, qui se tient à Savannah, en Géorgie, M. Charest a dit espérer qu'Ottawa «clarifie les responsabilités des uns et des autres». Il s'est toutefois empressé d'ajouter qu'il incombait aux conservateurs de faire avancer le dossier. Au début du mois, le quotidien Le Devoir a révélé que les fonctionnaires fédéraux avaient terminé la rédaction d'un projet de loi sur la question, mais que les conservateurs s'abstenaient de le déposer aux Communes par crainte que le Québec ne le vilipende. Selon le journal, le projet de loi permettrait à une province de se retirer avec «juste» compensation financière de tout nouveau programme fédéral à frais partagés, à la condition que celle-ci mette en place un programme semblable. Or, Québec veut que la mesure s'étende à tous les programmes fédéraux qui tombent dans les champs de compétence provinciaux, que les provinces y contribuent financièrement ou non. Dans son discours d'ouverture, en mai 2007, Jean Charest avait soutenu qu'il ne revenait pas au gouvernement fédéral de dire à Québec «où et comment» dépenser ses fonds. Lundi, M. Charest a assuré qu'Ottawa ne l'avait pas informé de la teneur de son projet de loi. Quant à savoir à quel moment le dossier pourrait débloquer, le chef libéral s'en remet totalement au gouvernement fédéral. http://www.cyberpresse.ca/article/20080616/CPACTUALITES/80616208/1019/CPACTUALITES
  21. Le premier ministre Jean Charest refuse d'envisager toute ingérence du gouvernement dans la définition de la mission du «bas de laine» des Québécois, qui doit continuer à mettre l'accent sur le rendement, selon lui. Pour en lire plus...
  22. Pénurie record de bureaux au centre-ville La Presse Laurier Cloutier Le choix de Montréal par Morgan Stanley, qui embauchera jusqu'à 500 personnes, va augmenter encore la demande pour des bureaux au centre-ville, sur un marché déjà en pénurie record et avec des loyers sous pression. La banque d'affaires new-yorkaise Morgan Stanley devra trouver de 75 000 à 125 000 pieds carrés à Montréal, affirme à La Presse Affaires Jean Laurin, président de GVA Devencore, chef de file canadien en conseil et courtage immobilier aux entreprises. La location d'une telle superficie pourra nécessiter la mise en chantier d'un immeuble de bureaux car les grands locaux vacants n'ont jamais été aussi rares à Montréal. SITQ Immobilier, pour sa part, cherche d'ailleurs un locataire principal pour 40% d'une tour projetée de 350 000 pieds carrés, avant de la mettre en chantier, boulevard De Maisonneuve, tout près de l'ex-Ben's, note un porte-parole, Jacques-André Chartrand. Ce projet, évalué à 150 millions de dollars, est un partenariat avec la société texane Hines. Selon la dernière étude de GVA Devencore, le taux d'inoccupation est passé de 7,1% à 3,7% à Montréal en un an, «un plancher historique», note Jean Laurin, comparativement à 10% en 2004. Ailleurs au Canada, le taux n'a jamais été aussi bas non plus. «Quand le marché tombe sous la barre de 7%, il est mûr pour une tour», ajoute la porte-parole, Sylvie Bachand. Jean Laurin s'attend non seulement à la construction d'une tour, mais aussi à la conversion d'immeubles industriels en bureaux, dans le Vieux-Montréal (ex-locaux liés au port), le quartier de la fourrure (près de La Baie) et celui du vêtement, dans le quadrilatère ceinturé par les artères Saint-Urbain, Rosemont, Saint-Joseph et Saint-Denis. «Le coût d'occupation peut aller du simple au double» dans ces quartiers par rapport au centre-ville, explique Jean Laurin. Si le loyer coûte de 45$ à 55$ le pied carré dans une nouvelle tour, il peut descendre à 25$-35$ dans des usines reconverties. Par contre, ces locaux réaménagés ne conviennent pas à tous. Ils peuvent attirer des entreprises de la publicité, des médias, des services au secteur financier, précise Jean Laurin. Allied Properties, de Toronto, qui a racheté la Cité du multimédia, de Montréal, fait partie des promoteurs qui ciblent des immeubles à restaurer, souligne le président de Devencore. Ces projets peuvent prendre un an car, paradoxalement, en dépit du faible taux record de locaux vacants, le marché immobilier est en période d'analyse, dit Jean Laurin. Tous scrutent la crise financière aux États-Unis, car si son impact déborde, le ralentissement économique peut se transformer en récession prolongée, «ce qui n'est jamais favorable au développement immobilier», dit Jean Laurin. Malgré cette période de transition, «l'appétit pour l'immobilier demeure fort», assure le président, d'autant plus que l'inflation s'accroît. Par contre, les entreprises peuvent patienter trois mois avant de s'engager à long terme pour un bail de 150 000 pieds carrés, mais pas trop, car la construction d'une tour prendra de 24 à 30 mois, dit-il. Les 200 employés du sous-traitant Compuware, que Morgan Stanley doit d'abord embaucher, travaillent à la Cité du multimédia. Compuware n'a pas rappelé La Presse Affaires sur l'utilisation de ces locaux. La Cité négocie, mais n'a pas de locaux vacants, déclare par contre le directeur immobilier, Jean-François Burdet. Outre la tour SITQ-Hines, la firme Devencore voit un intérêt croissant pour l'immeuble de 300 000 à 400 000 pieds carrés de Westcliff au carré Victoria. La demande potentielle s'accroît aussi pour une tour de jusqu'à un million de pieds carrés de Magil Laurentienne à l'angle des rues Université et Saint-Jacques, près de Place Bonaventure. Quant à Canderel, elle veut aménager un immense stationnement au carré Phillips, selon Devencore. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080508/LAINFORMER/805080932/-1/LAINFORMER01
  23. 21 novembre 2007 - 07h12 La Presse Laurier Cloutier Le marché des tours de bureaux se porte bien et des promoteurs pourraient ainsi en mettre en chantier de nouvelles, prochainement. «Il y a de moins en moins de locaux de bureaux vacants au Canada. Le taux d'inoccupation a rarement atteint un niveau aussi bas et depuis longtemps», déclare à La Presse Affaires le président de la société canadienne de consultants en immobilier GVA Devencore, Jean Laurin. GVA Devencore va compléter «d'ici quelques jours une étude canadienne sur l'immobilier non résidentiel et portant surtout sur les bureaux», indique Jean Laurin. Comme les locaux disponibles deviennent plus rares, «des projets de tours de bureaux devraient lever de terre au Canada et pas seulement dans l'Ouest canadien», assure Jean Laurin. Les manufacturiers de l'Ontario souffrent aussi de la hausse du dollar, notamment dans l'automobile. «Mais trois projets d'immeubles de bureaux sont malgré tout en construction à Toronto, dit Jean Laurin. Ailleurs au Canada, c'est plus tranquille, mais des projets d'immeubles de bureaux devraient quand même être lancés d'ici deux ou trois ans à Montréal, Ottawa, Calgary et Vancouver.» Voilà les paroles de mon patron, c'est encourageant, mais c'est vague. Pas trop trop de détails!
  24. Pas de train haute vitesse entre Montréal et New York 12 octobre 2007 - 07h09 Presse Canadienne Au moment où il lance un grand chantier de renouvellement des infrastructures, le gouvernement du Québec renonce au projet de train rapide entre Montréal et New York, un méga-projet d'au moins 4 milliards $. Cliquez pour en savoir plus : Transport ferroviaire | Chef de l'état | Jean Charest | Eliot Spitzer | Québec-New York Le projet, qui flotte dans l'air depuis des années, n'est plus dans les cartons du gouvernement et ne fera pas partie des échanges tenus vendredi, à New York, entre le premier ministre Jean Charest et le gouverneur de l'État de New York, Eliot Spitzer. Pourtant, en octobre 2005, à Albany, lors du dernier sommet Québec-New York, le gouverneur de l'époque, George Pataki, et le premier ministre Charest avaient clairement dit que l'idée d'un lien ferroviaire haute vitesse entre l'État de New York et le Québec était hissée au rang de «projet» à réaliser à court terme. Les deux hommes s'étaient engagés à tout mettre en oeuvre pour que le projet se réalise. Aux yeux de M. Charest, ce projet constituait un «symbole fort et puissant» des liens qui unissent les deux voisins, et un moyen de plus de réduire les émissions de gaz à effet de serre, par la promotion du transport en commun. Or, deux ans plus tard, le dossier n'a pas bougé. Dorénavant, au ministère des Transports, plus modestement, on mise plutôt sur l'amélioration des infrastructures actuelles, ont indiqué plusieurs sources gouvernementales au cours des derniers jours à La Presse Canadienne. Si ce projet était devenu réalité, les passagers auraient pu faire le trajet Montréal-New York en quatre heures à peine, au lieu de 10 actuellement. Certaines évaluations fixaient à 500 000, voire 700 000, le nombre additionnel de voyageurs intéressés à faire la navette entre les deux villes, si un tel train à haute vitesse avait vu le jour. En 2004, une étude de préfaisabilité, menée par le New York State Department of Transportation et Transports Québec, avait fixé à 4 milliards $ US le coût de réalisation du projet, uniquement pour la construction des voies ferrées sur 613 kilomètres, dont seulement 77 au Québec. Les Américains auraient donc dû assumer la plus grande partie de la facture, soit au moins 4 milliards $, sans compter les wagons et locomotives. Le train de passagers, qui aurait roulé à 240 km/h, nécessitait la construction de plusieurs ponts et tunnels dans les Adirondacks, d'où un coût élevé. Pour Québec, la facture des voies ferrées était évaluée à 110 M$. À l'époque, en 2005, le ministre fédéral des Transports, Jean Lapierre, s'était montré prêt à envisager un financement d'Ottawa pour la portion canadienne du trajet. Mais à l'automne 2006, Ottawa avait refroidi les ardeurs de Québec, alors que le ministre Lawrence Cannon jugeait que le projet n'était pas rentable. Électricité à vendre Vendredi, à New York, après avoir prononcé une allocution devant 400 gens d'affaires, le premier ministre Charest rencontrera pour la première fois le nouveau gouverneur de l'État, Eliot Spitzer. Au cours des derniers mois, M. Spitzer a rendu publiques ses priorités en matière de transport, mais le train rapide New York-Montréal n'en fait pas partie. Même si plusieurs sujets sont à l'ordre du jour de la rencontre, il est clair que la vente d'hydroélectricité au voisin du sud arrive au premier rang des priorités du Québec dans ses relations avec New York. «Nous, on peut faire de l'argent et en même temps on aide l'environnement», a résumé le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, lors d'un entretien téléphonique jeudi. Québec plaidera aussi pour assurer la fluidité du corridor de commerce entre les deux États. Les dossiers d'environnement et de sécurité seront aussi à l'agenda, de même que la tenue souhaitée d'un quatrième sommet Québec-New York. Les trois premiers ont eu lieu en 2002, 2004 et 2005. L'État de New York est le principal partenaire commercial du Québec aux États-Unis. En 2006, la valeur totale des échanges commerciaux a atteint 10,2 milliards $. Un sommet avait été atteint en 2000, avec 14,1 milliards $ d'échanges.
  25. Le mercredi 06 juin 2007 Maison de la culture et de la bibliothèque de Côte-des-Neiges. Par l’intérieur, on accède à la terrasse du deuxième étage. Outre la vue sur le mont Royal qui s’étend aux pieds du visiteur, celui-ci aura la surprise de découvrir des plants de géranium, de la lavande ou des iris.Il se trouve en effet sur le premier toit vert accessible au grand public à Montréal, qui a été inauguré hier, Journée mondiale de l’environnement, en présence du maire Gérald Tremblay et du maire de l’arrondissement de Côte-des-Neiges–Notre-Dame- de-Grâce (CDN-NDG), Michael Applebaum. « La rénovation du toit, nécessaire, s’est transformée en une remarquable occasion », explique le maire d’arrondissement. En effet, tout est parti de ce besoin, et d’une discussion entre Monique Côté, chargée de projet, et Jean Landry, architecte-paysagiste de l’arrondissement de CDN-NDG. L’idée d’un toit vert a germé. Christine Brault et Thérèse Chabot, deux artistes à la main verte, accompagnées du maire Gérald Tremblay inaugurent le premier toit vert accessible au grand public à Montréal, à la maison de la culture et de la bibliothèque de Côte-des-Neiges. Les travaux ont commencé à l’été 2006 et les derniers ajustements ont été terminés il y a quelques jours. « Ici, c’est plus qu’un toit vert, explique Jean Landry. C’est un toit-jardin. » Un espace de végétation clos, bordé d’une terrasse aménagée accessible à tous. Pour en arriver à un tel résultat, des études ont été faites pour savoir si la structure du toit pouvait supporter une telle charge. Au final, ce sont 250 m2 de verdure entièrement consacrés à ce projet de développement durable. Car un toit végétal peut faire beaucoup pour l’environnement : purification de l’air, réduction des effets de smog, régulation de la température ou récupération de l’eau de pluie. La réfection du toit de la maison de la culture et sa transformation en espace public ont nécessité des investissements de l’arrondissement de 680 000 $. Un coût supplémentaire d’environ 100 000 $ par rapport à une rénovation classique. Des fonds supplémentaires d’un total de 55 000 $ ont été apportés par la Ville et la Société de verdissement de Montréal métropolitain. De nombreux expositions, animations ou documentaires seront présentés à la population dans une visée didactique.
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