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  1. Recherche et développement Pratt & Whitney annonce un investissement de 360 M$ Mise en ligne 20/10/2008 14h41 Recherche et développement - Pratt & Whitney annonce un investissement de 360 M$ http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/10/20081020-144124.html ARGENT Pratt & Whitney Canada (P&WC) annonce un investissement de plus de 360 millions $ en recherche et développement dans la région de Montréal. Cet investissement s'échelonnera sur trois ans. Investissement Québec offrira une aide remboursable de 125 millions $ à l'entreprise, a confirmé le ministre du Développement économique, Raymond Bachand. «Cette aide remboursable contribuera au maintien de nos activités R&D dans la région montréalaise et à l'économie québécoise», a déclaré le premier vice-président de P&WC, John Saabas. L'entreprise, dont le siège social est situé à Longueuil, souhaite améliorer sa technologie pour construire des moteurs d'avions «qui dépasseront les normes environnementales les plus exigeantes». «Grâce à nos investissements soutenus en R&D, nous avons mis en marché plus de 65 nouveaux moteurs au cours des 15 dernières années, ce qui est une grande réalisation», a ajouté M. Saabas. Les principaux centres de recherche et développement de l'entreprise sont situés à Longueuil et à Mississauga. L’entreprise y emploie quelque 1 500 ingénieurs.
  2. Cette annonce survient après la décision par le gouvernement du Québec d'accorder à l'entreprise une aide remboursable pour la recherche et le développement. Pour en lire plus...
  3. La Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD) a indiqué dimanche qu'elle n'enquêtera pas sur la récente embauche de Piroska Nagy, une économiste qui figure au centre de l'enquête visant le directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn. Pour en lire plus...
  4. C'est ce que croit Raymond Bachand, ministre du Développement économique. Il précise toutefois qu'il ne faut pas s'attendre à une croissance fulgurante de l'économie québécoise. Pour en lire plus...
  5. Le géant américain de l'informatique Microsoft a procédé à l'ouverture officielle de son premier centre de développement canadien en banlieue de Vancouver. Pour en lire plus...
  6. La firme de design et de fabrication aéronautique Héroux Devtek, de Longueuil, obtiendra ce matin un appui financier fédéral de près de 30 millions de dollars à son projet de recherche et développement sur les trains d'atterrissage de l'avenir. Pour en lire plus...
  7. L'Organisation de la coopération et du développement économiques estime que l'Europe est désormais plus proche d'une récession que les États-Unis. Pour en lire plus...
  8. Par la facturation des sacs à usage unique, la société d'État espère recueillir des fonds pour des organismes qui oeuvrent dans le domaine du développement durable. Pour en lire plus...
  9. Vents favorables au port de Montréal 28 août 2008 - 06h45 La Presse Hugo Fontaine La vision de développement durable du nouveau PDG du port de Montréal, Patrice Pelletier, intéresserait le port de Rotterdam. Alors que le port de Montréal a connu un premier semestre qui surpasse les résultats de l'année record 2007, le port de Rotterdam s'intéresse à la vision de développement durable du président-directeur général, Patrice Pelletier. Une collaboration pourrait naître entre le plus grand port d'Europe et l'un des ports à la plus forte croissance de la côte est américaine. Dans une période où l'économie vacille, le trafic cumulatif de conteneurs a augmenté de 7,9% au port de Montréal durant le premier semestre. Le port ne prévoyait qu'une croissance de 4 à 5%, selon ce qu'a indiqué Patrice Pelletier à l'occasion d'une entrevue avec La Presse Affaires. Le trafic total, quant à lui, a augmenté de 7%. «Cela nous place en excellente position en Amérique du Nord», précise le dirigeant. Pour expliquer cette forte croissance, M. Pelletier évoque l'augmentation de la cadence de la nouvelle liaison Valence-Montréal exploitée par MSC. Le trafic depuis les Caraïbes, notamment en provenance du port de transbordement de Freeport (Bahamas) est aussi en augmentation. La croissance est telle que l'administration portuaire, Patrice Pelletier en tête, ne peut que maintenir le rythme dans le plan de développement du port, qui s'échelonne sur 12 ans et devrait permettre de tripler la capacité du port. Déjà, le réaménagement des terminaux va bon train en 2008. L'Administration portuaire explique aussi son plan d'action à ses partenaires commerciaux et aux gouvernements, en espérant que cela se transforme en 2009 en expression d'intérêt pour investir. Une vision qui séduit Si l'expansion de la capacité du port est un défi, il en existe un autre qui compte beaucoup aux yeux de Patrice Pelletier. «Il faut gérer le port avec une stratégie de développement durable, explique-t-il. C'est d'une complexité certaine, mais pour moi ça veut dire de pouvoir développer le plan de croissance du port en atteignant un équilibre entre les impacts économiques, sociaux et environnementaux.» «J'essaie d'influencer le mode de gestion même de l'organisation, poursuit M. Pelletier. Ça va au-delà de l'écologie.» Ainsi, M. Pelletier associe à son concept de développement durable les solutions à la pénurie main-d'oeuvre à venir, ou encore l'engagement des communautés et des différents partenaires. Sans oublier la croissance du port et la protection de l'environnement. Patrice Pelletier a présenté sa vision sur différentes tribunes, dont au World Ports Climate Conference de Rotterdam, le 10 mai dernier. L'idée a été bien reçue, soutient-il. «La direction de la stratégie de Rotterdam nous a dit qu'elle a entendu notre message et qu'elle aimerait collaborer avec nous.» Il est encore trop tôt pour savoir quelle exacte forme prendra cette collaboration, mais elle aurait un objectif relié à l'implantation d'un mode de gestion de développement durable. «J'ai pensé à un jumelage de personnel comme façon effective de le faire, dit M. Pelletier. J'ai demandé à ma division environnement de réfléchir à une mission pour établir les jalons de la collaboration.» Selon M. Pelletier, Rotterdam peut donner à Montréal les exemples de choses à faire et à ne pas faire. «À Rotterdam, on peut presque voir une projection de ce qui pourrait arriver chez nous, même si c'est un plus gros port. La collaboration nous permettrait de voir concrètement où ils sont rendus, les problématiques qu'ils ont, comment les éviter.» «Dans le sens positif, on peut aussi voir ce qui peut être fait sur le plan du développement durable, ajoute-t-il. Et c'est vrai aussi dans l'autre sens. Je crois que c'est ce qui les a intéressés.» «Vulgariser» le port À la fin de l'automne 2007, après une réflexion de la haute direction sur la mission et la stratégie, le Port de Montréal prenait la résolution de se rapprocher de la communauté citoyenne. «Les gens n'ont jamais vu le port, dit Patrice Pelletier. Les gens ne savent pas ce qu'il y a derrière cette fameuse clôture qui sépare la ville du port.» C'est là qu'est née l'idée de Port en ville, une journée portes ouvertes qui aura lieu dimanche le 31 août (http://www.portenville.ca). Pour M. Pelletier, la journée est une première étape d'une stratégie pour «vulgariser» le port. «Les gens ne savent pas que quand ils vont chez Ikea, chez Wal-Mart, quand ils prennent une bouteille de vin italien, ce qu'ils achètent passe par le port. Il faut aussi expliquer les bénéfices économiques et environnementaux. Mais la première étape, c'est que les gens voient ce qu'est le port.
  10. Alors que le port de Montréal a connu un premier semestre meilleur que l'année record 2007, le port de Rotterdam s'intéresse à la vision de développement durable du PDG Patrice Pelletier. Pour en lire plus...
  11. La venue à Fort McMurray de l'investisseur et du mécène n'est pas passée inaperçue. L'exploitation des ressources et le développement régional étaient au menu de la visite. Pour en lire plus...
  12. La Ville de Montréal dote ses arrondsissements de bacs roulants Montréal, le 8 août 2008 - Le responsable du développement durable, du développement économique et de Montréal 2025 au comité exécutif, M. Alan DeSousa, est fier d'annoncer que, conformément aux grandes orientations annoncées récemment dans son Projet de Plan de gestion des matières résiduelles de l'agglomération de Montréal 2008-2012 (PDGMR), le comité exécutif de la Ville de Montréal a autorisé des appels d'offres afin de doter les arrondissements de bacs roulants partout sur le territoire où le bâti urbain le permet. Environ 250 000 bacs roulants seront ainsi bientôt distribués. De plus, le citoyen aura la vie plus facile, puisque les matières recyclables seront ramassées en mode pêle-mêle, c'est-à-dire que les matières recyclables n'auront plus à être séparées selon qu'il s'agisse de verre/plastique/métal ou de papier. « Il a été clairement démontré que le volume et la facilité d'utilisation de l'outil de collecte sont deux éléments directement reliés à la participation des citoyens et à l'augmentation des quantités de matières collectées », a déclaré M. DeSousa. « La Ville de Montréal prend donc les décisions nécessaires afin d'atteindre les objectifs de récupération et de valorisation de 60 % des matières résiduelles énoncés dans la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles 1998-2008.» Dans le cadre de l'élaboration du PDGMR, de nombreuses études techniques, économiques et d'aide à la décision basée sur l'analyse de cycle de vie ont permis de définir des scénarios à privilégier pour faire augmenter la quantité de matières recyclables collectées. Le scénario privilégié préconise l'utilisation d'outils en fonction de trois catégories de bâti urbain, soit les habitations détachées de 8 logements et moins, les habitations non détachées de 8 logements et moins et les multi logements de 9 logements et plus. Pour les habitations détachées, le PDGMR préconise l'utilisation de bacs roulants d'un volume variant de 120 à 360 litres. Pour les habitations non détachées, le PDGMR préconise l'utilisation de bacs roulants d'un même volume ou du nouveau hybride bac-sac actuellement en développement par Claude Mauffette Design Industriel, firme lauréate du concours de design industriel qu'a lancé la Ville de Montréal. Enfin, pour les multi logements, le PDGMR préconise le statuquo, soit l'utilisation de bacs roulants d'un volume variant de 240 à 660 litres. La distribution de ces nouveaux outils – dont l'implantation se déroulera d'ici la fin de l'année 2009 – aura permis, en 2012, de détourner de l'enfouissement une quantité cumulative de matières recyclables estimée à au moins 180 000 tonnes. Pour M. DeSousa : « Les actions élaborées dans le PDGMR invitent à une responsabilisation collective afin d'atteindre les résultats que nous nous sommes fixés. Les citoyens sont invités à relever le défi auquel nous faisons face en participant toujours plus activement au recyclage des matières résiduelles qu'ils génèrent. Nous leurs proposons aujourd'hui de nouveaux outils de collecte qui tiennent compte des exigences environnementales et qui favorisent la participation citoyenne dans un esprit de développement durable ». Rappelons que le PDGMR permettra de mettre en œuvre les mesures établies par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) dans son Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles, tout en étant adapté à la réalité des différents arrondissements et des villes liées de l'agglomération. Le document de consultation fait présentement l'objet d'une analyse par la Commission du conseil d'agglomération sur l'environnement, le transport et les infrastructures. L'adoption du PDGMR est prévue pour l'automne 2008. Une fois adopté, le PDGMR constituera le cadre de référence de l'agglomération pour la gestion des matières résiduelles et guidera également son positionnement au sein de la CMM et dans ses discussions avec les gouvernements.
  13. Le maire de Londres veut un nouvel aéroport Reuters Édition du mercredi 13 août 2008 Londres -- Boris Johnson, maire de Londres depuis mai dernier, s'est prononcé hier pour la construction d'un nouvel aéroport à l'est de la ville afin de décongestionner les cinq autres qui desservent la capitale britannique. «Il est [...] plus urgent que jamais d'étudier une solution à long terme, sous la forme d'un nouvel aéroport international respectant mieux l'environnement», écrit-il dans le Daily Telegraph. Johnson dit douter qu'un projet de troisième piste envisagé pour Heathrow -- l'aéroport le plus actif du monde avec plus de 68 millions de voyageurs par an -- soit jamais réalisé. Il souligne en outre que Gatwick, le deuxième aéroport londonien par ordre d'importance, est «plein à craquer». «Le maire tient à connaître les solutions de rechange à l'agrandissement d'Heathrow et aimerait savoir si l'idée d'un nouvel aéroport sur l'estuaire de la Tamise serait viable ou non», a indiqué à Reuters un porte-parole de Johnson. «Il a demandé à des fonctionnaires d'examiner la faisabilité d'un nouvel aéroport pour voir si cela mérite une étude approfondie», a-t-il ajouté. Johnson a aussi fait savoir qu'il serait favorable à un développement du City Airport de l'est de Londres, prisé des hommes d'affaires parce que proche des quartiers financiers. Cet aéroport, propriété du consortium American International Group et de Credit Suisse, cherche à porter sa capacité annuelle de 80 000 à 120 000 vols. Selon un porte-parole de City Airport, ce développement ne réclamerait pas de nouveaux travaux de construction. Une demande d'autorisation initiale a toutefois été différée par Johnson le mois dernier pour que l'on détermine si ce développement n'affecterait un projet de pont sur l'estuaire de la Tamise. Heathrow, Gatwick et Stansted appartiennent tous à au groupe BAA, dont la commission britannique de la Concurrence cherche à déterminer s'il doit céder l'un de ses aéroports pour ne plus être en position de monopole. BAA a pour propriétaire l'espagnol Ferrovial. La commission pourrait remettre un rapport la semaine prochaine, bien qu'aucune date ferme ne soit fixée.
  14. Dévoilement du concept d'aménagement de la rue Chabanel et prolongement de la rue Jean-Pratt Des investissements de 19,3 M$ pour la revitalisation de l'Acadie-Chabanel Montréal, le 6 août 2008 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, accompagné de M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif, et de Mme Marie-Andrée Beaudoin, mairesse de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et responsable du développement social et communautaire au comité exécutif, a annoncé des investissements de 19,3 M$ pour la revitalisation du secteur l'Acadie-Chabanel. De cette somme, un montant de 17 M$ servira à réaménager la rue Chabanel et un montant de 2,3 M$, à prolonger la rue Jean-Pratt où les travaux ont, d'ailleurs, débuté à la fin juillet. « En 2005, nous nous étions engagés à consentir des investissements majeurs pour la revitalisation du secteur l'Acadie-Chabanel. Cette dernière étape finalise un projet qui permettra entre autres d'améliorer l'attractivité de cette artère importante. Déjà les projets d'investissements privés dans le secteur sont estimés à 250 M$, voilà des retombées concrètes », a déclaré M. Tremblay. « Ce secteur offre un important potentiel de développement grâce, notamment, au fort gabarit des immeubles dont la superficie de plancher atteint les dix millions de pieds carrés. D'ailleurs, l'Acadie-Chabanel représente un pôle de développement dont la portée dépasse largement l'arrondissement. C'est pourquoi nous avons identifié ce quartier comme prioritaire dans notre stratégie de développement économique », a ajouté M. DeSousa. Le réaménagement de la rue Chabanel, entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Meilleur, vise à transformer la rue pour y créer un véritable milieu de vie. Ainsi, le concept d'aménagement retenu permet d'améliorer la sécurité et le confort des piétons, de rehausser la qualité des aménagements du domaine public, d'offrir un cadre vert et durable par un reverdissement important, de favoriser la présence des transports actifs et de donner une identité propre à la rue Chabanel. Les travaux de prolongement de la rue Jean-Pratt, entre les rues Chabanel et Beauharnois, offriront, de plus, un meilleur accès aux nouveaux immeubles qui y ont été construits récemment. « Ces travaux permettront d'améliorer considérablement le cadre de vie du quartier conformément aux préoccupations des résidants et des commerçants que nous avons consultés à plusieurs reprises. Et nous avons la ferme intention de les tenir informés de l'avancement des travaux et d'être à l'écoute de leurs besoins afin de minimiser les impacts sur leur quotidien », a noté Mme Beaudoin. Le concept d'aménagement de la rue Chabanel a été développé par un consortium composé de la firme Affleck + de la Riva architectes, de Version & Vlan paysages et d'Éclairagepublic à la suite d'un appel de propositions. Adopté en 2005, le plan d'action Réussir l'Acadie-Chabanel comportait cinq volets, soit l'implantation de la gare Chabanel, inaugurée en janvier 2007, la mise en place d'initiatives économiques structurantes, la création d'un partenariat de gens d'affaires, mis sur pied en mars 2007, la planification détaillée du secteur, approuvée en octobre 2006, et la création d'un programme d'aide aux propriétaires d'immeubles à grand gabarit, en vigueur depuis le début de l'année. Arrondissement Ahuntsic-Cartierville / Montréal, QC Portes Ouvertes Réaménagement de la rue Chabanel 29 mai 2008 Les dessins préliminaires du réaménagement de la rue Chabanel - un projet réalisé par Affleck + de la Riva en collaboration avec Version/Vlan Paysages, Éclairage Public et l'agence de signalisation IF - seront presentés au public lors de l'événement des Portes Ouvertes du bureau de l'arrondissement Ahuntsic-Cartiervlle au 555 Chabanel Ouest, 6é étage.
  15. En raison d'une charge qui ne se reproduit pas et de la réduction des frais de recherche et développement, l'ancienne Neurochem réduit ses pertes de 58% au deuxième trimestre mais cherche de l'argent. Pour en lire plus...
  16. Les entreprises au pays sont peu imposées 28 juillet 2008 - 11h44 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque L'étude confirme, par ailleurs, l'avance de Montréal en matière de recherche et développement. Voilà une étude qui va déboulonner un vieux mythe, celui d’un Canada socialisant et étatisant qui impose lourdement ses entreprises. Selon une étude de KPMG, le Canada occupe la troisième place parmi 10 pays où le fardeau fiscal des entreprises est le plus léger. Seules les entreprises du Mexique et des Pays-Bas sont moins imposées que celles du Canada, indique l’étude. Suivent l’Australie, les États-Unis, le Royaume-Uni, le Japon, l’Allemagne, l’Italie et la France. L’étude a en outre comparé le régime fiscal de 102 villes de 10 pays, en se concentrant sur 35 grandes villes (plus de 2 millions d’habitants). Les experts ont analysé le fardeau fiscal des entreprises dont l’impôt sur les bénéfices, l’impôt sur le capital, les taxes de vente et la taxe foncière. En bref, plus un résultat est bas, plus les taxes imposées aux entreprises sont basses. Sur les 35 grandes villes étudiées, Vancouver arrive quatrième, Montréal, sixième, et Toronto, septième. Les trois premières places vont à des villes de Puerto Rico et du Mexique. L’étude contient une bonne nouvelle pour Montréal. La ville se débrouille très bien dans le domaine de la recherche et du développement où elle se classe au premier rang. Ailleurs au Québec, les villes de Sherbrooke et de Québec se comparent avantageusement à leurs contreparties américaines, notamment en recherche et développement, souligne le rapport de KPMG.
  17. Les États membres de l'OMC acceptent de poursuivre les négociations sur la libéralisation du commerce mondial après la présentation d'un projet d'accord rapprochant les positions des pays développés et en voie de développement. Pour en lire plus...
  18. PROJETS DOMICILIAIRES Une maison tournée vers le développement durable La fenestration généreuse, orientée plein sud, contribue à capter la chaleur du soleil en hiver. Le vendredi 25 juillet 2008 Sophie Ouimet-Lamothe La Presse Réduire vos coûts de chauffage de 60%. Minimum. Alléchant, mais impossible? Pourtant non. La Maison productive, un projet totalement vert en construction dans le quartier Pointe-Saint-Charles, permet de réaliser de telles économies d'énergie. «Nous sommes très occupés à brûler la nature, mais on ne songe pas à remplacer ce que l'on prend», note Rune Kongshaug, l'entrepreneur général du projet. C'est lui, le cerveau derrière la Maison productive. Son but: réduire l'«empreinte écologique» du bâtiment en jumelant trois aspects du développement durable - l'efficacité énergétique, l'agriculture urbaine et le transport alternatif. Le design du bâtiment permet, à lui seul, de réaliser une partie des gains d'énergie. La fenestration généreuse, orientée plein sud, contribue à capter la chaleur du soleil en hiver. L'eau est chauffée au moyen des panneaux solaires installés sur le toit, tandis qu'une partie de la climatisation et du chauffage est assurée par un système de géothermie. Trois trous de 600 pieds de profondeur ont été creusés pour tirer parti de l'énergie solaire emmagasinée dans le sol. Produire et consommer localement Les résidants pourront produire eux-mêmes une partie de leur nourriture en cultivant un jardinet. L'«agriculture urbaine» - produire localement, consommer localement - permet de réduire la pollution liée au transport des aliments. Chaque appartement possède un espace pour aménager un potager dans la cour. Y pousseront aussi des pommiers, des cerisiers et des poiriers. Dans un coin sera aménagé un jardin de fines herbes rempli de basilic, de romarin, d'origan et de menthe. Un espace a aussi été réservé pour le compostage. Des légumes frais pourront être cultivés à longueur d'année dans une serre aménagée sur le toit, recouverte de housses pendant l'hiver. Certains légumes n'ont pas besoin de beaucoup de chaleur pour pousser. C'est le cas, entre autres, de plusieurs variétés de laitue (dont le bok choy), des carottes, des pommes de terre et de l'ail. Transport écolo Deux espaces de stationnement seront réservés au système de partage de voitures Communauto, et un abri à vélos sera installé dans la cour. Avec la proximité des pistes cyclables et de la station de métro Charlevoix, les habitants de la Maison productive n'auront plus vraiment d'excuse pour posséder une voiture. Mais attention. Même si elle a toutes les allures d'une commune, mode de vie en vogue dans les années 70, la Maison productive n'en est pas une. «C'est chacun pour soi. Chacun a sa responsabilité», affirme Rune Kongshaug, qui s'est lui-même réservé une unité. La moitié des huit logements disponibles - cinq condos et trois maisons de ville - sont déjà vendus. Les prix restent abordables: ils oscillent de 185 000$ à 417 500$ (avant taxes), pour des superficies allant de 860 à 1598 pieds carrés. La livraison est prévue pour mars 2009. D'origine norvégienne, M. Kongshaug est le fondateur d'Ensemble Terre-Ciel, une firme montréalaise qui se consacre au développement durable. Avec la Maison productive, il vise la certification LEED platine, la plus prestigieuse. Et Rune Kongshaug est certain d'y arriver. «On a fait notre analyse préliminaire et, sur les 80 points nécessaires, on est à peu près à 100», conclut-il. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/8643-Une-maison-tournee-vers-le-developpement-durable.html
  19. RioCan vend une partie du Quartier Dix30 21 juillet 2008 - 14h23 Presse Canadienne RioCan vend une partie du Quartier Dix30. Le Fonds de revenu immobilier RioCan (REI.UN), le plus important propriétaire canadien de centres commerciaux, a cédé une participation de 20% dans le Quartier Dix30 à une filiale du régime de retraite des employés d'Hydro-Québec. Les termes financiers de cette transaction annoncée lundi n'ont pas été dévoilés. RioCan a expliqué que la participation de 20% que détenait Devimco a été acquise par 2946-8964 Québec. RioCan continue de détenir une participation de 50% dans le Quartier Dix30, un gigantesque centre commercial situé à Brossard, au sud de Montréal. L'autre 50% du projet appartient maintenant au régime de retraite des employés d'Hydro-Québec (20%), au Fonds de placement immobilier BB (15%), au régime de retraite des employés de la Société de transport de Montréal (9%) et au régime de retraite des employés municipaux de Québec (6%). En tant que gestionnaire du Quartier Dix30, RioCan est responsable notamment des baux et du développement de ce complexe qui comprend actuellement plus de 150 établissements et où une expansion est prévue. RioCan est le plus important fonds de revenu immobilier du Canada, avec une capitalisation boursière de 7,5 G$. Le fonds gère et détient 227 propriétés, dont 15 qui sont en développement. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080721/LAINFORMER/80721121/5891/LAINFORMER01
  20. Le PDG sortant, le cofondateur Guy Goulet, demeure président du conseil d'administration. Il portera une attention particulière au développement des affaires. Pour en lire plus...
  21. Le plus grand manufacturier au Canada d'électroménagers de marques comme GE et Hot Point a décidé de transférer au Mexique 30% de sa production et même sa recherche et développement. Pour en lire plus...
  22. Des investissements de 70 millions créeront 200 emplois au Québec La Presse canadienne Édition du mercredi 16 juillet 2008 Farnbourough -- Les compagnies RTI Claro, LISI Aéronautique Canada et un consortium comprenant Bombardier, Bell Helicopter et Composites Atlantic ont profité de la vitrine qu'est le Salon de Farnborough pour annoncer des investissements de plus 70 millions et la création d'environ 200 emplois au Québec. Au stand du Québec, le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, a de son côté annoncé que son gouvernement allait fournir un appui financier à tous «ces projets structurants». Expansion RTI Claro recevra ainsi 1 million pour soutenir son projet d'expansion de 13,5 millions. La firme de Laval qui fabrique des pièces en alliage de titane compte acquérir de nouveaux équipements afin d'augmenter sa capacité de production. Une cinquantaine de nouveaux emplois devraient être créés avec cette expansion. «On espère être en place avec le nouvel équipement et la nouvelle structure d'ici la fin de l'année», a précisé Francisco Vega, directeur du développement d'affaires de la compagnie. La filiale québécoise de l'entreprise LISI Aerospace a quant à elle obtenu un prêt de 1,9 million du gouvernement dans le cadre d'un investissement total de 10 millions. Elle souhaite elle aussi augmenter sa capacité de production. La compagnie qui fabrique des pièces pour l'aéronautique compte créer 150 emplois sur quatre ans. Recherche De leur côté, Bombardier, Bell Helicopter et Composites Atlantic se sont réjouis d'avoir obtenu neuf millions en crédits d'impôt pour un projet de recherche de pointe en partenariat avec le Centre national de recherche canadien (CNRC). «Cette aide nous permet d'accélérer la recherche», a précisé Jacques Saint-Laurent, président de Bell Helicopter. Aussi, ce type de collaboration permet de «combler la distance qui existait entre les recherches universitaires et le développement industriel», a-t-il poursuivi. «Pour des questions stratégiques», il s'est toutefois fait discret sur le contenu exacte de ces recherches dont la valeur totale s'élève à 47 millions. Il s'agit, en gros, de recherches sur les pièces qui servent à former la structure des avions et des hélicoptères. «Il peut s'agir d'études sur de nouveaux matériaux, par exemple», a précisé un proche du dossier. Cinquante chercheurs provenant des trois entreprises et de l'Institut de recherche aérospatiale du CNRC participent à ce projet actuellement. «Ils sont tous basés dans la région de Montréal. C'est très facile pour eux de communiquer ou de se rencontrer», a souligné Jacques Saint-Laurent.
  23. Montréal, première de classe? La Presse Simon Coutu Des étudiants à la pelle, des fonds abondants en matière de recherche et développement: la métropole compte de nombreux atouts dans sa course aux investisseurs étrangers, mais elle peine aussi à recruter des travailleurs qualifiés. Montréal est la ville où les coûts en recherche et développement sont les plus bas en Amérique du Nord et où l'on retrouve le plus d'étudiants par habitant. Dans son rapport annuel sur les «indicateurs d'attractivité» de Montréal, l'organisme Montréal International conclut que le climat économique de la métropole est propice à l'investissement étranger si on le compare aux grandes villes nord-américaines. Montréal International a comparé la ville aux 19 autres centres nord-américains les plus populeux ainsi qu'aux autres métropoles canadiennes en se basant sur sept indicateurs. On y apprend que Montréal se classe au premier rang canadien pour le nombre de brevet détenus et en deuxième position nord-américaine pour sa qualité de vie. Mais la métropole peine aussi à recruter de la main-d'œuvre qualifiée, indique Montréal International. «C'est certain que Montréal n'est pas New York. Toutefois, on n'y retrouve pas le climat économique sombre que vivent les citoyens américains», soutient le président-directeur général de Montréal International, André Gamache. Maxim Amstrong, économiste au Conference Board du Canada, apporte quelques bémols à l'étude menée par Montréal International. Il croit que le document de promotion est réaliste, mais qu'il ne met en valeur que les meilleurs côtés de la métropole. «Les cinq dernières années ont enlevé beaucoup de pouvoir d'attraction à Montréal. La ville a perdu plusieurs emplois dans le domaine manufacturier. Ce sont les domaines des hautes technologies, de la recherche et des services qui ont contrebalancé l'effet de cette baisse de production.» Vendre Montréal Le PDG de Montréal International pense que la position actuelle de la métropole sur l'échiquier nord-américain est le fruit de l'étroite collaboration entre tous les acteurs du milieu. «Au cours des dernières années, on a mis tout le monde autour de la même table, dit-il. Les changements se font généralement lorsqu'on est capable de reconnaître ses forces et ses faiblesses. Il y a eu une restructuration des outils gouvernementaux. Le monde municipal s'est aussi organisé de concert avec le secteur privé.» Le climat économique favorable stimule les grands travaux de construction. Les deux futurs centres hospitaliers universitaires constituent les plus importants investissements en santé en Amérique du Nord. «Les métiers de la construction ne nécessitent pas de grandes études, explique M. Gamache. La demande est extrêmement forte. Ces nouveaux projets vont aussi avoir un impact considérable dans le domaine de la santé et pour l'industrie pharmaceutique.» Une référence en recherche et développement Sylvie Gagnon, porte-parole d'Investissement Québec, croit que Montréal se démarque dans le secteur de la recherche et du développement grâce à la collaboration étroite entre les écoles, les centres de recherche et les entreprises. «Les coûts reliés à l'exploitation d'un centre de recherche sont très compétitifs à Montréal. Les mesures fiscales du gouvernement favorisent aussi ce secteur.» C'est à Montréal que sont octroyées 30% des subventions canadiennes à la recherche universitaire, souligne Mme Gagnon. «Le réseau de la recherche et du développement à Montréal et au Québec est très vaste. Les entreprises n'ont pas le choix d'investir dans ce secteur. Si elles ne le font pas, elles se font dépasser par la concurrence internationale.» Des locomotives pour l'économie Selon l'étude, Montréal se classe au troisième rang nord-américain pour la croissance de l'emploi en haute technologie. La ville est quatrième en ce qui a trait à la concentration de l'emploi dans ce domaine. Les sciences de la vie, les technologies de l'information et des communications (TIC) ainsi que l'aérospatiale sont les trois domaines qui font la renommée de la ville. La vitalité de la Montréal dans le domaine des hautes technologies a un effet indirect sur celui des services. Selon Montréal International, 24 000 emplois devraient être créés dans la métropole en 2008, une hausse de 1,3%. À lui seul, le secteur des services engendrera 20 000 de ces emplois. «Les secteurs spécialisés sont des locomotives pour l'économie montréalaise, explique M. Gamache. Il y a beaucoup de travail pour les étudiants, ce qui leur permet de poursuivre leur formation. Il y a aussi des emplois plus spécialisés, comme les services juridiques et comptables, qui sont stimulés par l'essor des hautes technologies.» Aujourd'hui, ajoute-t-elle, «les entreprises ont des solutions d'affaires créatives. Il y a aussi des secteurs qui sont basés presque exclusivement sur la créativité comme l'industrie du jeu vidéo». Manque de main-d'œuvre Le déclin de la population montréalaise constitue l'aspect le plus sombre de l'étude. La ville se classe au 11e rang nord-américain avec un taux de croissance de 0,73%. «Notre main-d'œuvre n'est pas suffisante, déplore M. Gamache. Les taux de natalité et d'immigration sont bas. Il y a aussi un faible taux de rétention des travailleurs étrangers.» Maxim Amstrong croit que les villes comme Montréal n'ont pas le choix de trouver plus de main-d'œuvre et de s'attaquer à la pénurie. «Les entreprises déménagent maintenant pour trouver des employés, dit-il. De plus en plus, les gens recherchent une qualité de vie offerte par de petites villes canadiennes.» De son côté, le responsable du développement économique au comité exécutif de la Ville de Montréal, Alan DeSousa, croit que le manque de main-d'œuvre est une conséquence heureuse de la vitalité de l'économie montréalaise. «Nous sommes victimes de notre succès. Le défi de Montréal et du Québec est de profiter de cette opportunité pour former des gens et répondre à la demande de main-d'œuvre.» 34% En 2007, les investissements étrangers représentaient 43 % de tous les investissements privés non résidentiels du Grand Montréal. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080628/LAINFORMER/806281160/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER ______________________________________________________________________________________________________________________ Des milliers d'étudiants s'installent... puis repartent 28 juin 2008 - 09h57 La Presse Philippe Orfali Avec ses 156 000 étudiants, Montréal se classe première parmi les grandes villes d'Amérique du Nord pour le nombre d'étudiants par habitant. Contrairement à ses rivales, Montréal peine toutefois à conserver ses jeunes diplômés: seulement le quart d'entre eux ont décidé de s'établir dans la métropole en 2005. Montréal est une ville qui attire énormément d'étudiants et de chercheurs pour une agglomération de sa taille, explique le titulaire de la chaire de recherche du Canada sur les villes du savoir, Rémy Tremblay. «Montréal, c'est un peu le Boston du Canada. Ce sont deux grandes villes qui, sans être gigantesques, comptent un nombre important d'institutions postsecondaires et attirent des étudiants de partout dans le monde.» Environ 14 500 personnes inscrites dans les universités montréalaises proviennent de l'étranger. «Mais à la différence de Boston, à Montréal, les étudiants s'en vont une fois leurs diplômes en poche.» Au banc des accusés: le fait français. «Montréal est avant tout francophone. Nombre d'étudiants canadiens-anglais et américains viennent faire leurs études à Montréal et profitent de leurs années dans la métropole.» Et puis s'en vont. Une théorie que vient confirmer des données de l'Université McGill, dont 49% des anciens étudiants ont quitté la ville après leurs études. «C'est une très bonne chose d'avoir beaucoup d'universités et d'étudiants. Mais c'est encore plus important d'être capable de garder les diplômés», souligne Maxim Armstrong, économiste au Conference Board du Canada. Montréal International en est bien consciente. Depuis trois ans, l'agence et la Conférence régionale des élus de Montréal ont pris des mesures afin de retenir les étudiants et travailleurs étrangers. «On tente de faciliter l'obtention du visa de travail et du certificat d'acceptation, pour qu'ils puissent travailler dans n'importe quelle entreprise. C'est un peu long à mettre en place, mais ça porte fruit», assure le directeur de la mobilité internationale chez Montréal International, Bernard de Jaham. Même si la taille de sa population la situe au 16e rang en Amérique du Nord et au deuxième rang canadien, «Montréal se hisse souvent dans le peloton de tête des 20 plus grandes agglomérations du continent nord-américain et au premier rang canadien», affirme le président du conseil de Montréal International, Pierre Brunet, dans la préface de la troisième édition des Indicateurs d'attractivité. Le palmarès compilé par Montréal International contient toutefois de nombreuses lacunes, croit Rémy Tremblay, qui est également l'auteur d'une étude sur les palmarès de villes. «Comme c'est généralement le cas de ces exercices, on choisit les indicateurs les plus favorables ou on les présente de manière à ne pas trop nuire à la ville que l'on veut promouvoir.» «Le cas le plus flagrant est le tableau sur la scolarisation. On dit que 50% des Montréalais détiennent un DEC ou un baccalauréat. Mais on se garde bien de comparer ces données avec celles d'autres villes! Si Raleigh (capitale de la Caroline-du-Nord) et Ottawa avaient été incluses dans l'étude, Montréal aurait moins bien paru.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080628/LAINFORMER/806281161/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  24. À voir la quantité de gens (touristes inclus) qui se promènent au centre-ville après 17h les samedis, je crois que l'initiative suivante serait une très bonne idée. Il faut maintenant attendre la décision du ministère. La Ville est d'accord pour l'ouverture prolongée des commerces du centre-ville Montréal, le 26 juin 2008 - M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif, annonce que la Ville appuie la demande de la Société de développement commercial Destination Centre-Ville visant à prolonger jusqu'à 20 heures, les samedis et dimanches, l'admission aux commerces au centre-ville et dans une partie du Vieux-Montréal. « Nous demandons au ministère du Développement économique, de l'Innovation et l'Exportation (MDEIE) d'adopter cette mesure qui favoriserait l'activité économique au centre-ville et permettrait de mieux répondre aux besoins des touristes étrangers ainsi qu'à la clientèle régionale et suprarégionale, dont les excursionnistes d'un jour, parce que, comme nous l'apprend Tourisme Montréal, le magasinage est l'activité préférée des visiteurs au centre-ville », a déclaré M. DeSousa. « La notoriété du centre-ville s'explique par le grand nombre d'activités et d'événements qui s'y tiennent et par la présence de nombreux attraits touristiques sur son territoire et en périphérie. Il reçoit annuellement cinq millions de touristes, de même qu'il constitue la plus importante concentration hôtelière dans la région et celle qui enregistre le plus grand nombre de nuitées touristiques. Cet afflux de consommateurs représente un atout indéniable pour les 3000 commerces qui en font un pôle économique exceptionnel avec ses quelque 300 000 emplois », a expliqué M. DeSousa. Destination Centre-Ville s'est entendu avec l'arrondissement de Ville-Marie et le MDEIE pour désigner la zone touristique qui sera couverte par le prolongement de la plage horaire commerciale les samedis et dimanches. Le territoire visé se situe dans le périmètre suivant : coin Sherbrooke et Atwater, Sherbrooke vers l'est jusqu'à Saint-Urbain, Saint-Urbain vers le sud jusqu'à Saint-Antoine, Saint-Antoine vers l'ouest jusqu'à de Bleury, de Bleury vers le sud jusqu'à Saint-Jacques, Saint-Jacques vers l'ouest jusqu'à University, University vers le sud jusqu'à Notre-Dame, Notre-Dame vers l'ouest jusqu'à de la Montagne, de la Montagne vers le nord jusqu'à Saint-Antoine, Saint-Antoine vers l'ouest jusqu'à Atwater, Atwater vers le nord jusqu'à Sherbrooke.
  25. Organisation internationale dédiée au développement durable et aux droits humains - L'Institut des Affaires Culturelles International s'établit à Montréal MONTREAL, le 25 juin /CNW Telbec/ - En collaboration avec Montréal International (MI), l'Institut des Affaires Culturelles International (ICAI) inaugure officiellement aujourd'hui son secrétariat, situé en plein coeur du centre-ville de Montréal. L'organisation internationale, précédemment établie à Bruxelles, en Belgique, regroupe un réseau de 31 organisations nationales travaillant à la promotion de la culture comme levier du développement humain. "C'est un jour important pour Montréal, le Québec et l'ensemble du Canada puisque nous accueillons aujourd'hui une organisation reconnue mondialement pour ses efforts visant à réduire la pauvreté, à renforcer l'autonomie des femmes, à freiner la propagation du VIH-SIDA et à soutenir l'agriculture durable", a déclaré M. Dave Murphy, vice-président, Organisations internationales, à Montréal International. "ICAI se joint ainsi officiellement aux 70 organisations internationales déjà présentes sur le territoire montréalais. Chacune d'elle contribue au développement économique de notre région ainsi qu'à son rayonnement international", a-t-il ajouté. Selon M. Lambert Okrah, secrétaire général de l'Institut des Affaires Culturelles International, "le transfert du secrétariat d'ICAI à Montréal représente une étape importante pour l'organisation qui continue de croître en s'appuyant sur 40 ans de travail en développement humain à travers le monde. Montréal est une ville captivante, diversifiée et internationale qui offre une foule de possibilités. Sa situation géographique est particulièrement stratégique à un moment où ICAI cherche à élargir la portée de son rôle et de son influence quant à l'élaboration de politiques de développement à l'échelle mondiale". M. Okrah a reconnu le soutien important de Montréal International à l'occasion de ce transfert et est heureux qu'ICAI puisse se joindre à la communauté stimulante et en pleine croissance des organisations basées à Montréal et impliquées dans le développement international. "Nous nous réjouissons de ces nouvelles occasions d'apprendre et de former des partenariats et collaborations", a-t-il ajouté. L'appui de Montréal International à ICAI a été rendu possible grâce aux efforts concertés et au soutien financier de ses partenaires : Développement économique Canada, le ministère des Relations internationales du Québec et la Ville de Montréal. Les nouveaux bureaux d'lCAI sont situés au 555, boulevard René-Lévesque Ouest, à Montréal. A propos de l'Institut des Affaires Culturelles International (http://www.ica-international.org) Fondé en 1977, l'Institut des Affaires Culturelles International (ICAI) est une organisation internationale à but non lucratif dédiée exclusivement au traitement des enjeux liés à la pauvreté, aux conflits et à l'injustice en utilisant la culture comme levier du développement humain. ICAI, qui regroupe un réseau de 31 organisations nationales, utilise une approche unique et participative qui permet aux communautés de déterminer et de gérer leur propre développement, en plus de défendre des causes politiques, économiques et sociales associées à certains défis. ICAI met en oeuvre de nombreux programmes et effectue de la recherche ainsi que des activités dans le domaine de la politique mondiale. A propos de Montréal International (http://www.montrealinternational.com) Créé en 1996, Montréal International est issu d'un partenariat privé-public. Il a pour mission de contribuer au développement économique du Montréal métropolitain et d'accroître son rayonnement international. Montréal International a comme mandats d'attirer dans la région métropolitaine les investissements étrangers, les organisations internationales et la main-d'oeuvre stratégique, ainsi que de soutenir le développement de l'innovation et des grappes de haute technologie. L'organisme est financé par le secteur privé, la Communauté métropolitaine de Montréal, la Ville de Montréal ainsi que les gouvernements du Québec et du Canada. Depuis l'an 2000, Montréal International a contribué à la réalisation de 422 projets d'investissements directs étrangers totalisant 6,3 milliards de dollars. Ces investissements ont permis de créer plus de 31 500 emplois et d'en maintenir plus de 5 500.
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