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  1. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  2. GE Capital : nouveau siège social à Montréal Publié le 26 mai 2009 à 10h18 | Mis à jour à 10h23 La Presse Canadienne GE Capital (GE) a annoncé mardi l'ouverture de son nouveau siège social canadien à Montréal. L'inauguration de ces bureaux, au centre-ville, «souligne notre confiance dans les perspectives de croissance à long terme des entreprises canadiennes», a indiqué le président et chef de la direction de GE Capital Canada, Patrick Palerme, dans un communiqué. Quelque 170 employés travaillent au siège montréalais de GE Capital, tandis qu'un peu plus de 400 autres travaillent dans une vingtaine de bureaux canadiens. GE Capital a lancé ses activités au Canada en 1986. La société offre aux entreprises canadiennes des services personnalisés, regroupés sous six groupes commerciaux : financement aux entreprises, financement «corporatif», financement aux fournisseurs, gestion de parcs de véhicules, financement d'avions d'affaires et financement de franchises.
  3. Vente massive chez le roi des appartements lesaffaires.com # Hugo Joncas # 10:01 El-Ad, principal propriétaire résidentiel au Québec en 2008, ne conserve que le Village olympique. Jusqu'en décembre dernier, Yitzhak Tshuva était le plus grand propriétaire d'appartements au Québec, avec plus de 6 000 unités. Aujourd'hui, le magnat israélien achève de se débarrasser de son portefeuille de logements au Canada. Au Québec, il ne conserve que ses résidences pour personnes âgées et le Village olympique, où il planifi e la construction de Cité Nature. Les dernières transactions sont sur le point d'être achevées, selon des courtiers bien au fait des négociations. Par l'intermédiaire de sa société fermée, El-Ad, et de Delek, cotée à la Bourse de Tel-Aviv, M. Tshuva a vendu plus de 8 000 appartements au Canada depuis décembre. Ido Rosen, directeur fi nancier d'El-Ad Canada, n'a pas voulu dévoiler la valeur totale du portefeuille sur le point d'être vendu. El-Ad s'est déjà départie de 4 630 unités au Canada, dont plus de 1 500 au Québec, pour 360 millions de dollars américains (448 M$ CA). D'autres projets résidentiels en vue El-Ad ne se retire pas pour autant du Canada. L'entreprise compte utiliser le fruit de la vente pour fi nancer des projets au pays. À Montréal, elle construira Cité Nature, un complexe résidentiel de 1 400 unités. À Toronto, El-Ad veut ériger Emerald City, qui compte 2 200 unités. " Nous aurons besoin d'argent pour ces deux grands projets ", dit M. Rosen. Delek, aussi contrôlée par M. Tshuva, vient en outre de vendre le Châtel, un immeuble de 27 étages et 300 appartements situé au 1625, boulevard De Maisonneuve Ouest. Alberto Crecco a déboursé 36,7 M$ pour cet immeuble qui comprend 20 000 pieds carrés de bureaux et 10 000 pieds carrés de locaux commerciaux. M. Crecco détient maintenant plus de 2 000 logements à Montréal et Toronto. Il exploite en outre 500 000 pieds carrés de bureaux dans ces villes, ainsi que le Carrefour de la Pointe, un centre commercial de l'Est de Montréal. M. Crecco entend réaliser d'autres acquisitions d'ici la fi n de 2009. " On veut acheter tant du résidentiel que du commercial et des immeubles de bureaux. " http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2009-04-23/492226/vente-massive-chez-le-roi-des-appartements.fr.html (23/4/2009 11H22)
  4. Ça aide pas pour le moral du forum, mais ça demeure de l'actualité... ------------------ À Montréal et à Toronto Les Éditions Rogers procédent à environ 40 mises à pied 22 avril 2009 - 19h38 LA PRESSE CANADIENNE TORONTO -- La division d'édition de Rogers Communications (RCI.B) a supprimé environ 40 emplois à Montréal et à Toronto en raison d'une baisse des revenus publicitaires de ses magazines, a indiqué mercredi une source familière avec la situation. Le porte-parole de l'entreprise a confirmé mercredi que les employés des bureaux de Montréal et de Toronto avaient été informés de la nouvelle, mais a refusé de préciser le nombre exact d'emplois supprimés ou les publications touchées. Les Éditions Rogers est l'éditeur de magazines et de périodiques le plus important au Canada. Il publie entre autres L'actualité, Maclean's et Châtelaine, en plus d'une douzaine d'autres magazines spécialisés.
  5. Le Canadien s’implante à Brossard Cyberpresse, PC Les joueurs du Canadien s’entraîneront sous peu de façon permanente dans complexe spécialement aménagé pour l’équipe à Brossard, sur la rive sud de Montréal. Le président du Canadien, Pierre Boivin, en fera l’annonce ce midi, en compagnie du maire de Brossard, Jean-Marc Pelletier. Il s’agit pour le Tricolore de faciliter le quotidien des joueurs et de son personnel de soutien. Les bureaux de l'équipe demeureraient toutefois au Centre Bell, dans le centre-ville de Montréal. En raison de la forte utilisation du Centre Bell, le Canadien doit fréquenter d’autres sites d'entraînement : l'Aréna Martin-Lapointe, dans l'arrondissement Lachine, les Complexes Quatre-Glaces de Brossard et Pierrefonds ainsi que l'Auditorium de Verdun.
  6. Le nouveau visage de Calgary Le Bow, un édifice à bureaux de 58 étages et 236 mètres Publié le 19 février 2009 à 12h04 | Mis à jour à 12h09 (Calgary) Calgary, métropole économique de l'Alberta, veut se refaire une réputation architecturale. Son dernier projet d'édifice à bureaux, le Bow, sera le nouveau visage de la ville. Actuellement, le centre-ville de Calgary abrite d'innombrables édifices à bureaux, tous aussi carrés les uns que les autres. Mais le paysage architectural de la ville changera bientôt à jamais. Depuis juin 2007, un millier de travailleurs s'affairent à ériger le Bow, un édifice à bureaux de 58 étages et 236 mètres de hauteur qui doit être inauguré en 2011. Le Bow sera le sixième édifice le plus élevé au pays. Aucun édifice à l'extérieur de Toronto ne touchera le ciel aussi haut. Mais ce qui fera la renommée du Bow, ce n'est pas tant sa hauteur que son design audacieux en demi-lune. « C'est l'édifice qui va redéfinir Calgary. Peu importe où vous serez, c'est ce que vous verrez en premier. Le Bow est l'exemple parfait que Calgary s'intéresse à l'architecture. Ce n'est pas une tour à bureaux carrée comme on en voit partout », dit Michael Brown, vice-président de Matthews Development, l'entreprise du Texas en charge de construire le Bow. Pour les gens de Calgary, le Bow - un clin d'oeil à la rivière Bow qui traverse la ville - sera le nouveau visage de la ville, un peu comme la Tour du CN à Toronto et le Stade olympique à Montréal. Mais pour l'entreprise de gaz naturel EnCana, le projet de 1,4 milliard sera simplement un lieu de travail. EnCana sera le seul locataire du Bow. Ses employés occuperont les 58 étages de l'édifice durant au moins 25 ans, la durée du bail initial. « Ça impressionne les gens que je rencontre à l'étranger, dit Michael Brown. Il y a plusieurs tours impressionnantes au Moyen-Orient, mais aucune d'entre elles n'abrite un locataire unique. » Présentement, les employés d'EnCana sont éparpillés dans six édifices du centre-ville. Un casse-tête logistique quand vient le temps d'organiser des réunions. En 2011, tous les employés d'EnCana déménageront au Bow. « Le Bow a été construit afin d'améliorer notre productivité, dit Gerry Protti, vice-président aux affaires corporatives d'EnCana. Nous voulions un édifice attirant et fonctionnel pour que nos employés aient hâte de venir travailler le matin. » EnCana doute que le Bow vole la vedette aux autres symboles architecturaux de la ville, la Tour de Calgary et Bankers Hall. « Nous sommes fiers et nous avons hâte d'inaugurer le Bow en 2011, mais Calgary a déjà beaucoup de symboles, fait valoir M. Protti. L'important, c'est que Calgary ne revive pas une période comme les années 1980, où les gens voyaient les édifices vides ou construits à moitié en raison de la récession et du programme énergétique du gouvernement fédéral. » La récession secouant l'économie canadienne n'aura pas raison du Bow, mais l'immense chantier au centre-ville de Calgary a néanmoins été affecté. Durant les Fêtes, les travaux ont été interrompus durant deux semaines par le propriétaire du Bow, la fiducie H&R Real Estate Investment, qui peinait à trouver les 200 millions nécessaires afin de continuer la construction. Michael Brown minimise la portée de cet incident. « C'est vrai que nous avons économisé de l'argent en fermant le chantier durant les vacances de Noël, mais nous avons seulement perdu trois jours de travail en raison des jours fériés, dit-il. En plus, nous n'avons plus d'acier car nous avions pris de l'avance en raison de la température clémente l'automne dernier.» L'ingénieur originaire de Calgary est optimiste de pouvoir mener son projet à terme avant l'échéancier initial de la fin 2011. Entre-temps, Michael Brown savoure chaque minute de cette aventure avec l'intention avouée de collectionner des histoires à raconter à sa progéniture. « Je me rappelle encore les histoires que mon grand-père me racontait sur l'inauguration de la Tour de Calgary, dit-il. Il était présent comme policier. Le Bow, c'est l'édifice qui va marquer la vie de mes enfants. »
  7. Le groupe internet Google a annoncé mercredi qu'il supprimait une centaine de postes de recruteurs et fermait trois bureaux d'ingénierie. Pour en lire plus...
  8. Les enquêteurs ont trouvé dans les bureaux du financier 100 chèques signés d'une valeur totale de 173 M$ que le financier américain soupçonné d'escroquerie s'apprêtait à envoyer au moment de son arrestation. Pour en lire plus...
  9. Tours à bureaux: le marché avantage les locataires 29 décembre 2008 - 09h28 La Presse Laurier Cloutier Parce que les conditions économiques se détériorent rapidement, le marché des bureaux, tant à Montréal qu'ailleurs au Canada, tourne à l'avantage des locataires. Pourtant, la pénurie de locaux a soulevé l'inquiétude des locataires en 2008 à Montréal. La contrepartie, c'est qu'il faudra faire une croix sur les chantiers attendus de tours à bureaux à Montréal, et pour plusieurs mois. C'est l'évaluation que fait Jean Laurin, président et chef de la direction de GVA Devencore, de Montréal, une société canadienne spécialisée dans l'immobilier commercial. Les compagnies immobilières SITQ, Westcliff, Canderel, Magil-Laurentienne/Desjardins et Sidev n'ont pas encore trouvé le locataire principal pour lancer la construction de leur tour à bureaux respective. Les promoteurs devront patienter encore six mois, sinon jusqu'en 2010, estime Jean Laurin. Pourtant, au printemps de 2008, plusieurs s'attendaient à la construction d'une première de ces tours, en raison du plus faible taux d'inoccupation depuis longtemps à Montréal. Peu favorable à court terme «Le marché n'est plus favorable à court terme pour trouver ce locataire principal et amorcer la construction de cette tour à bureaux», note Jean Laurin. «La tempête économique remet tout en question: le plan d'affaires, l'organisation, la situation financière, déclare le président. Ça force à la réflexion.» Entre-temps, des promoteurs pourront par contre restaurer des immeubles existants, bien situés, dans quelques quartiers. Ils pourront ainsi en rénover au centre-ville, afin d'améliorer leur attrait pour les locataires. D'autres en trouveront le long des lignes de métro. On pourra convertir des immeubles industriels en bureaux. Car pour les locataires, les économies vont prendre la tête des priorités, du moins à court terme, souligne Jean Laurin. «Ils vont mettre au congélateur le prestige et l'image de marque.» «Au cours des six premiers mois de 2009, il ne va rien se passer. Après, on verra d'abord quel type de reprise se dessine», déclare le président de Devencore. Les constructeurs pourront tout de même rénover de cinq à 10 immeubles à Montréal en 2009, avec un nombre de pieds carrés plutôt appréciable, estime Jean Laurin. Il faudra pour cela que des promoteurs aux reins solides découvrent de bons immeubles à restaurer, bien localisés. Place à la négociation Dans ce contexte en évolution rapide, des locataires de Montréal et d'ailleurs au Canada, avec des baux qui approchent de l'échéance, peuvent renégocier avec les propriétaires, ajoute le président. Pour garder un bon locataire, le propriétaire de l'immeuble va accepter de négocier un bail à la baisse. «De gros propriétaires en particulier s'adaptent rapidement à la nouvelle situation du marché. La tendance des prix est à la baisse», note Jean Laurin. Le président de Devencore revient de New York, où «la valeur des immeubles et les loyers ont baissé, pendant que le taux d'inoccupation des bureaux a augmenté au rythme de la dégradation des disponibilités financières des entreprises. Et à Londres, c'est encore pire», dit-il. «Au Canada, le taux d'inoccupation des bureaux devient relativement élevé et les pressions à la hausse sur les loyers se sont évaporées. À Calgary, à Vancouver et à Ottawa, le marché devient plus favorable aux locataires. À Toronto, des constructeurs ont même mis en chantier de nouvelles tours de 2,5 à 3,5 millions de pieds carrés, à livrer sur le marché en 2009 et 2010, ce qui favorisera aussi les locataires», explique Jean Laurin. À Montréal, le taux d'inoccupation a fini par augmenter légèrement, mais on ne trouve toujours pas sur le marché les grands blocs de locaux contigus recherchés, conclut le président de Devencore. LE MARCHÉ DES TOURS À BUREAUX Grands centres urbains (automne 2008) SUPERFICIE (pi2) / INOCCUPATION / TAUX LOCATIF Toronto: 64,8 millions / 6,8% / 45$/pi2 Montréal: 45,2 millions / 5,5% / 33$/pi2 Calgary: 34,5 millions / 3,8% / 50$/pi2 Vancouver: 24,3 millions / 2,4% / 52$/pi2 Ottawa: 16,9 millions / 2,3% / 39$/pi2 Source: GVA Devencore
  10. La filiale financière de Chrysler Canada a annoncé la fermeture de trois bureaux dans le but de consolider ses activités à Toronto, une décision qui touchera 145 travailleurs. Pour en lire plus...
  11. Un magnifique projet de résidences pour personnes pré-retraitées et retraitées autonomes. Le projet comporte quelques 700 logements répartis dans 4 tours d'habitations; tous les services, incluant un centre d'activités physiques, une marina, restaurants, salles de rencontre, sentiers de marche, etc., etc., seront disponibles dans ce site unique et exclusif à ses résidents. La mise en chantier est prévue pour le printemps 2007 et les premiers résidents pourront y déménager à compter de juillet 2008. L'ouverture de nos bureaux de location est prévue pour l'automne 2007. http://www.junon-dev.com/francais/NosProjets/residences-Pre-Retraites-RetraitesAutonomes.htm
  12. L’Industrielle-Alliance investit 100M$ à Montréal Denis Lalonde, lesaffaires.com 7 octobre 2008 Pour en savoir plus Autres textes : Industrielle-Alliance 1981 McGill College Articles de l'industrie L’Industrielle-Alliance a acquis une participation de 50% dans la société Edifice 1981 McGill College, propriétaire de l’édifice du même nom situé au centre-ville de Montréal, pour un montant de 100 millions de dollars. La société acquiert l’immeuble qui regroupe deux tours à bureaux inter-reliées avec un partenaire financier dont l’identité n’a pas été révélée. Construit en 1981, le 1981 McGill College est un édifice de classe A qui comprend deux tours de 16 et 20 étages totalisant 625 000 pieds carrés de superficie locative. L’avenue McGill College est l'une des artères les plus prestigieuses de Montréal, au coeur du milieu des affaires. Cette acquisition porte à 28 le nombre d'édifices dont l'Industrielle Alliance est propriétaire au Canada, pour une superficie locative totale de 4 millions de pieds carrés et une valeur marchande de quelque 600 millions de dollars. Dans la région de Montréal, l'Industrielle Alliance est propriétaire de plusieurs édifices, dont la Tour L'Industrielle-Vie et le 2200 McGill College, deux édifices à bureaux situés en face du 1981, avenue McGill College.
  13. 11 octobre 2008 - © 2008 LE COURRIER DU SUD Le plus grand centre commercial asiatique ouvre ses portes à Brossard Jean-François Ducharme 11 octobre 2008 - 09:00 Économie - BROSSARD. En plus d’être la seule ville officiellement multiculturelle du Québec, Brossard peut maintenant se targuer de posséder le plus grand centre commercial de la province. La Place Kim Phat, un centre d’une superficie de 60 000 pieds carrés, regroupera dix commerces. Pour l’instant, seulement deux locataires ont emménagé dans la place située au 7209 boul. Taschereau, les autres s’y établiront officiellement en décembre. Rapprochement avec la communauté Le Centre Sino-Québec de la Rive-Sud a déménagé ses bureaux de l’arr. du Vieux-Longueuil le 30 septembre dernier. «Nos bureaux sont plus grands, nous possédons plus de salles et nous nous rapprochons de la communauté chinoise, affirme la secrétaire/commis-comptable du Centre, Linda Doyon. Nous anticipons une hausse d’achalandage et de services offerts prochainement.» L’autre locataire présent est une compagnie de télécommunications, l’une des deux seules entreprises non-asiatiques du centre. Les commerçants qui s’installeront prochainement sont le Supermarché Kim Phat, le résultat de la fusion des deux épiceries existantes; le restaurant Kam Fung; un restaurant vietnamien; un restaurant coréen; un restaurant de fondue mongolienne; une clinique d’acupuncture; un magasin de thé; ainsi que des espaces à bureaux. Projet unique Le directeur administratif de la Place Kim Phat, Alex Yip, est fier d’avoir crée cette agglomération de produits et de services asiatiques à Brossard. «Les commerçants sont emballés par ce projet unique au Québec, dit-il. De plus, nous jouissons d’une excellente visibilité et d’un emplacement stratégique.» La mission du centre commercial est de renforcer la communauté asiatique, qui est déjà très importante à Brossard. Au recensement de 2006, on dénombrait d’ailleurs 7995 citoyens chinois, ce qui représente 11,3% de la population. En incluant les communautés asiatiques du sud, du sud-est, de l’occident et des philippines, Brossard comptait plus de 22% d’asiatiques, une augmentation de 4% par rapport à 2001. «Nous ne visons pas uniquement la clientèle asiatique, souligne Alex Yip. Les francophones, anglophones et membres des différentes communautés ethniques apprécieront la Place Kim Phat.»
  14. Immeubles de bureaux: la crise retardera des projets 7 octobre 2008 - 07h04 La Presse Laurier Cloutier La rareté de bureaux libres au centre-ville de Montréal s'accentue et touche un record historique, mais la crise financière pourrait retarder les projets de nouvelles tours. «D'ici de six à neuf mois, un projet d'immeuble de bureaux devrait tout de même être annoncé», assure à La Presse Affaires le président et chef de la direction de GVA Devencore, Jean Laurin, après son étude d'hier sur le marché canadien, où les locaux vides sont rares partout pour les locataires. À Montréal, plus de 95% des bureaux sont occupés et c'est en outre la seule ville canadienne où on ne construit toujours pas d'immeuble de ce type, malgré un marché saturé à 100% au moment de sa livraison éventuelle, note Jean Laurin. Des promoteurs travaillent à cinq projets de tours à Montréal, souligne-t-il. Ceux de Hines et de SITQ Immobilier, au 900, De Maisonneuve Ouest, et de Westcliff, au Square Victoria, sont bien connus dans l'industrie. Le plus récent, c'est celui de Sidev, à l'ouest du Complexe Desjardins et au sud de la rue Sainte-Catherine. Magil-Laurentienne et Canderel sont en outre sur les rangs avec des tours de jusqu'à un million de pieds carrés, près de la Place Bonaventure et du Square Phillips. Click here to find out more! La Ville de Montréal consacre aussi des efforts à la mise en valeur de secteurs comme Griffintown, le faubourg des Récollets (autoroute Bonaventure) et Chabanel, dit Jean Laurin. Par contre, des «prêteurs vont analyser attentivement tout projet avant de s'embarquer dans son financement» à cause de la crise financière, reconnaît le président. «Le promoteur devra avoir de l'expérience, un emplacement de choix et des locataires sérieux», explique-t-il. «Ça pourrait prendre un peu plus de temps avant de construire, mais il ne faut pas mettre toutes les institutions financières dans le même panier, ajoute Jean Laurin. Les caisses de retraite doivent investir leurs rentrées régulières de fonds.» Cela pourrait favoriser le projet de SITQ Immobilier, filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Encore faut-il que les loyers éventuels soient à la hauteur des coûts de construction et de financement. Jean Laurin souligne que les loyers n'ont pas grimpé de façon radicale, malgré la rareté des bureaux, et ils ne sont pas encore tout à fait au rendez-vous, estime-t-il. Après le projet dédié du Campus Bell, aucun locataire important n'a encore annoncé une expansion d'envergure de ses activités, pour justifier illico une nouvelle tour au centre-ville, dit-il. Le taux d'inoccupation de 4% à Montréal équivaut à ceux de Toronto et d'Edmonton. Dans le Vieux-Montréal et le Quartier international de Montréal, ce taux s'approche même de 2%, comme à Vancouver, Calgary et Ottawa, au grand dam des locataires. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20081007/LAINFORMER/810070843/5891/LAINFORMER01
  15. Cominar achète le 2001 McGill College Le 2001, McGill College. 2 octobre 2008 - 11h12 Presse Canadienne Le Fonds de placement immobilier Cominar (CUF.UN) a annoncé jeudi qu'il avait acquis, pour 165 M$, la tour de bureaux de 24 étages située au 2001, avenue McGill College, à Montréal. Le nom du vendeur n'a pas été précisé. Pour financer la transaction, Cominar a conclu une entente à long terme d'environ 97,2 M$ avec une compagnie d'assurance canadienne. Le solde du prix d'achat sera réglé par prélèvement sur les facilités de crédit courantes de Cominar. L'immeuble, d'une superficie de 528 532 pieds carrés, est situé du côté est de l'avenue McGill College, au coin de la rue Sherbrooke Ouest. Il est relié à des immeubles historiques en pierre grise de quatre étages situés sur la rue Sherbrooke. Click here to find out more! L'immeuble a un taux d'occupation actuel de 90%. La clôture de l'acquisition est assujettie à la procédure usuelle d'enregistrement des immeubles, qui doit suivre son cours dans les prochains jours. Cette acquisition, jugée importante par Cominar, porte la valeur des actifs de l'entreprise à environ 1,7 G$. Michel Dallaire, président et chef de la direction de Cominar, a affirmé, jeudi, au moment de l'annonce de cette transaction, que la compagnie était activement à la recherche d'un immeuble de bureaux à acquérir à Montréal depuis que le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) a entamé en juin 2006 une procédure d'expropriation à l'égard d'un de ses immeuble de bureaux situé au 300, avenue Viger Est, à Montréal. Cominar est le plus important propriétaire et gestionnaire d'immeubles commerciaux au Québec. L'entreprise possède un portefeuille immobilier composé de 213 immeubles comprenant 37 immeubles de bureaux, 39 immeubles commerciaux et 137 immeubles à caractère industriel et polyvalent qui couvrent une superficie totale de 18,1 millions de pieds carrés dans les régions de Québec, de Montréal et d'Ottawa.
  16. Miranda Technologies investit pour agrandir ses bureaux montréalais 26 septembre 2008 - 16h50 Presse Canadienne Technologies Miranda a annoncé vendredi son intention d'investir 8 millions $ pour effectuer des travaux d'agrandissement à son siège social, à Montréal. L'entreprise, spécialisée dans la conception, la fabrication et la distribution de matériel et de logiciels pour l'industrie de la télédiffusion, prévoit ainsi accroître la capacité de ses infrastructures de recherche et développement et de fabrication. La superficie de ses bureaux sera accrue de 55 pour cent, pour atteindre 8500 mètres carrés. Selon le président et chef de la direction Strath Goodship, le volume des ventes de Miranda a plus que triplé depuis que la société s'est établie dans ses installations actuelles, en 2001. «Notre succès a engendré des besoins d'espaces additionnels et nous réalisons cet investissement pour soutenir notre croissance et demeurer concurrentiels à long terme», a-t-il précisé dans un communiqué. La plupart des activités de l'entreprise de 450 employés seront ainsi centralisées dans cet emplacement unique, a-t-il ajouté. Selon Ben Jekic, un analyste chez Desjardins Sécurité financière, cette décision démontre toute la confiance qui habite les dirigeants de l'entreprise et permet d'envisager «une croissance de qualité et de l'amélioration dans les opérations quotidiennes». M. Jekic a noté que des améliorations au niveau de la gestion avaient eu des répercussions positives sur les opérations et «devraient produire de plus grands bénéfices bruts et réduire le temps requis pour commercialiser ses nouveaux produits». Miranda a cessé ses opérations en Grande-Bretagne et décidé de rapatrier à son siège social la fabrication de produits autrefois confiée en impartition. M. Jekic a attribué aux actions de la compagnie un prix-cible de 13,75$. L'action de Miranda a cédé vendredi 28 cents, soit 4,2 pour cent, pour clôturer à 6,36 $ à la Bourse de Toronto. Pour en lire plus...
  17. La Banque Nationale négocie l'acquisition de Option Retraite 2 septembre 2008 - 17h12 Presse Canadienne La Banque Nationale négocie l'acquisition de Option Retraite. La Banque Nationale (NA) annoncera sous peu l'acquisition du Groupe Option Retraite, une firme qui compte 18 000 clients et qui gère des placements de plus de 1,5 G$, a appris mardi La Presse Canadienne. Dans un entretien téléphonique, le président-fondateur de l'entreprise, Richard Dorval, a dit avoir obtenu l'assurance que la Banque continuerait à mettre de l'avant la philosophie d'Option Retraite. M. Dorval n'a pas voulu révéler le montant de la transaction. Option Retraite compte 180 employés et 15 bureaux au Québec et en Ontario. Certains bureaux pourraient être fusionnés avec ceux de la Financière Banque Nationale, mais aucune perte d'emploi n'est prévue. Dans le cadre de l'accord, qui doit être annoncé officiellement d'ici la fin du mois, Richard Dorval deviendra conseiller spécial de la Banque Nationale. Une porte-parole de la Banque, Marie-Claude Lavigne, a souligné que l'institution était actuellement en «mode acquisition», en ajoutant toutefois qu'elle n'avait pas l'habitude de «commenter des spéculations de cet ordre».
  18. Le groupe-conseil Roche est sur le point de faire l'acquisition d'un concurrent en difficultés financières, IMS Experts-Conseils, qui a des bureaux au Québec. Pour en lire plus...
  19. Pénurie record de bureaux au centre-ville La Presse Laurier Cloutier Le choix de Montréal par Morgan Stanley, qui embauchera jusqu'à 500 personnes, va augmenter encore la demande pour des bureaux au centre-ville, sur un marché déjà en pénurie record et avec des loyers sous pression. La banque d'affaires new-yorkaise Morgan Stanley devra trouver de 75 000 à 125 000 pieds carrés à Montréal, affirme à La Presse Affaires Jean Laurin, président de GVA Devencore, chef de file canadien en conseil et courtage immobilier aux entreprises. La location d'une telle superficie pourra nécessiter la mise en chantier d'un immeuble de bureaux car les grands locaux vacants n'ont jamais été aussi rares à Montréal. SITQ Immobilier, pour sa part, cherche d'ailleurs un locataire principal pour 40% d'une tour projetée de 350 000 pieds carrés, avant de la mettre en chantier, boulevard De Maisonneuve, tout près de l'ex-Ben's, note un porte-parole, Jacques-André Chartrand. Ce projet, évalué à 150 millions de dollars, est un partenariat avec la société texane Hines. Selon la dernière étude de GVA Devencore, le taux d'inoccupation est passé de 7,1% à 3,7% à Montréal en un an, «un plancher historique», note Jean Laurin, comparativement à 10% en 2004. Ailleurs au Canada, le taux n'a jamais été aussi bas non plus. «Quand le marché tombe sous la barre de 7%, il est mûr pour une tour», ajoute la porte-parole, Sylvie Bachand. Jean Laurin s'attend non seulement à la construction d'une tour, mais aussi à la conversion d'immeubles industriels en bureaux, dans le Vieux-Montréal (ex-locaux liés au port), le quartier de la fourrure (près de La Baie) et celui du vêtement, dans le quadrilatère ceinturé par les artères Saint-Urbain, Rosemont, Saint-Joseph et Saint-Denis. «Le coût d'occupation peut aller du simple au double» dans ces quartiers par rapport au centre-ville, explique Jean Laurin. Si le loyer coûte de 45$ à 55$ le pied carré dans une nouvelle tour, il peut descendre à 25$-35$ dans des usines reconverties. Par contre, ces locaux réaménagés ne conviennent pas à tous. Ils peuvent attirer des entreprises de la publicité, des médias, des services au secteur financier, précise Jean Laurin. Allied Properties, de Toronto, qui a racheté la Cité du multimédia, de Montréal, fait partie des promoteurs qui ciblent des immeubles à restaurer, souligne le président de Devencore. Ces projets peuvent prendre un an car, paradoxalement, en dépit du faible taux record de locaux vacants, le marché immobilier est en période d'analyse, dit Jean Laurin. Tous scrutent la crise financière aux États-Unis, car si son impact déborde, le ralentissement économique peut se transformer en récession prolongée, «ce qui n'est jamais favorable au développement immobilier», dit Jean Laurin. Malgré cette période de transition, «l'appétit pour l'immobilier demeure fort», assure le président, d'autant plus que l'inflation s'accroît. Par contre, les entreprises peuvent patienter trois mois avant de s'engager à long terme pour un bail de 150 000 pieds carrés, mais pas trop, car la construction d'une tour prendra de 24 à 30 mois, dit-il. Les 200 employés du sous-traitant Compuware, que Morgan Stanley doit d'abord embaucher, travaillent à la Cité du multimédia. Compuware n'a pas rappelé La Presse Affaires sur l'utilisation de ces locaux. La Cité négocie, mais n'a pas de locaux vacants, déclare par contre le directeur immobilier, Jean-François Burdet. Outre la tour SITQ-Hines, la firme Devencore voit un intérêt croissant pour l'immeuble de 300 000 à 400 000 pieds carrés de Westcliff au carré Victoria. La demande potentielle s'accroît aussi pour une tour de jusqu'à un million de pieds carrés de Magil Laurentienne à l'angle des rues Université et Saint-Jacques, près de Place Bonaventure. Quant à Canderel, elle veut aménager un immense stationnement au carré Phillips, selon Devencore. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080508/LAINFORMER/805080932/-1/LAINFORMER01
  20. Où va le marché de la construction au Québec en 2008? Canoë Mathieu Bruckmüller 17/01/2008 19h58 Malgré les mauvais chiffres des trois derniers mois sur le front des mises en chantier au Québec et la baisse anticipée pour 2008, les professionnels de la construction restent optimistes. « Depuis trois ans, on nous prédit un ralentissement. Or, nous performons davantage chaque année », indique Jacques Fournier, copropriétaire du Village Parisien, un projet de 600 unités résidentielles à Brossard. Luc Bourgoin, économiste à l’Association de la Construction du Québec (ACQ), abonde dans le même sens. Selon lui, plusieurs facteurs militaient pour une baisse du marché l’an dernier. D’une part, le taux de propriété au Québec, l’un des plus bas au Canada, s’est déjà considérablement redressé au cours des trois dernières années. D’autre part, l’accessibilité à la propriété devient plus difficile en raison de la hausse du prix des maisons. Enfin, la croissance du nombre de nouveaux ménages au Québec est en baisse. « En dépit de ces vents contraires, 2007 fut assez exceptionnelle pour l’industrie grâce notamment à la vigueur du marché de l’emploi et à la hausse tardive des taux hypothécaires », relève-t-il. D’après la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), la construction résidentielle au Québec, en décembre 2007, a affiché un recul de 25 % par rapport à 2006, de 28 % en novembre et de 19 % en octobre. Sur l’ensemble de l’année, les mises en chantier demeurent en hausse de 4 % par rapport à 2006. De son côté, l’ACQ prévoit un ralentissement en douceur de la construction pour 2008, mais estime que le marché va rester soutenu. Sentiment partagé par Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs Mobilières Banque Laurentienne : « 2008 sera un peu moins vigoureuse que 2007, mais demeura fort respectable. Ce ralentissement devrait se faire sentir dans les quatre coins du Québec, surtout à Montréal où l'offre de condominiums sur le marché semble quelque peu élevée », explique-t-il. Pour les Industries Bonneville, pas de baisse en vue, bien au contraire. Après des ventes comparables entre 2006 et 2007, avec environ 500 maisons construites, le groupe anticipe une hausse de 20 % en 2008, hausse liée à l’ouverture récente de deux bureaux à Calgary et Mont-Tremblant. « Nous sentions que la demande était moins forte l’année passée au Québec. Sans ces nouveaux bureaux, nous aurions subi une baisse de 20% », dit toutefois Dany Bonneville, vice-président ventes et marketing. Son de cloche similaire pour Jacques Fournier qui s’attend lui aussi, pour cette année, à une croissance de ses ventes supérieure à 10 % pour. « L’année a démarré en trombe. Depuis 5 ans, le marché est excellent », témoigne de même Stephen Taylor, directeur des Constructions Première Classe, dans la région de Québec. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/01/20080117-195839.html
  21. Genivar acquiert une société de conception et ingénierie, en Ontario Il y a 8 heures MONTREAL - Le société montréalaise de génie et de conseil Genivar a annoncé, mardi, qu'elle achète l'ontarienne Transenco, qui fait de la conception d'infrastructure, notamment pour les routes, les autoroutes, ponts et systèmes de transports publics. Genivar, qui est constituée en fonds de revenu, précise que Transenco a été fondée en 1994 et compte une vingtaine d'employés dans ses bureaux situés dans trois localités de l'Ontario; elle compte parmi ses clients le ministère provincial des Transports, des municipalités et des promoteurs. La direction de Genivar souligne que les besoins en infrastructures au Canada "sont très importants" car les gouvernements investissent beaucoup pour réhabiliter les routes et autres infrastructures. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hrMraUFaGxvTw8PpbiwNLcpc4Nrw
  22. Laval attire une autre société montréalaise Clarins transférera son siège social canadien et une centaine d’employés dans l’ouest de l’île par Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 30 novembre 2007 à 14:55 Voici la maquette du futur siège social de Clarins Canada qui bordera l'est de l'autoroute 13, à hauteur du boulevard Notre-Dame. L'immeuble de 108 000 pieds carrés abritera des bureaux administratifs, un entrepôt et une boutique SPA. Fichier: Clarins Maquette Laval attire une autre société montréalaise Clarins transférera son siège social canadien et une centaine d’employés dans l’ouest de l’île Entreprise implantée à Montréal depuis 40 ans, Clarins Canada quittera au printemps ses installations de l’arrondissement Saint-Laurent à la faveur d’une place d’affaires et d’un nouvel entrepôt en bordure de l’autoroute 13, près de Notre-Dame. Il s’agit d’un investissement évalué à quelque 10 M$ du Groupe Montoni, propriétaire du terrain et des immeubles que sa division construction est actuellement à ériger. Selon ce que le Courrier Laval a appris, ce coup de filet est l'aboutissement d'un démarchage de cinq longues années mené auprès des dirigeants de cette société. Expansion Les projets d'expansion de Clarins Canada, troisième distributeur de l'industrie des cosmétiques et des parfums en importance au pays, nécessitaient un déménagement. Non seulement le groupe augmentera-t-il la superficie de son entrepôt et de son siège social canadien de 35 %, mais Clarins pourra toujours, au besoin, ajouter à sa capacité d'entreposage par la possibilité d'un agrandissement qu'offre le terrain adjacent. Une option non négligeable pour cette entreprise qui «fait de plus en plus d'acquisitions de marques», explique la vice-présidente des finances et des opérations, Louise Villaggi. Outre la gamme originale de produits de soins et de maquillage connue sous la bannière de la multinationale française fondée en 1954, Clarins Canada possède une seconde division abritant les marques Thierry Mugler et Azzaro de même que toutes les marques dont elle assure la distribution. Fait intéressant à noter, les nouveaux quartiers généraux de Clarins avoisineront ceux de Andlauer Transport et Services (ATS), l'entreprise qui assure le service de livraison à travers tout le pays. Personnel À compter du 1er avril 2008, Laval gagnera un nouveau siège social et la centaine d'emplois s'y rattachant. «L'annonce du déménagement a été bien accueillie par notre personnel», fait savoir Mme Villaggi. Incidemment, la majorité de ces employés qui convergent tous les matins de la semaine vers les installations actuelles de l'arrondissement Saint-Laurent résident à Laval. Par ailleurs, la vice-présidente des finances et des opérations signale que l'avènement du métro à Laval a pesé dans la balance quand est venu le temps de choisir le site. «Nos employés qui habitent sur l'île de Montréal et sur la rive-sud et qui utilisent les transports en commun seront tout aussi bien servis», assure-t-elle, précisant qu'un circuit d'autobus relie la station Montmorency à ses futurs bureaux et que la distance à parcourir est sensiblement la même qui sépare les locaux actuels à la station Côte-Vertu. Fichier: Clarins Maquette
  23. 21 novembre 2007 - 07h12 La Presse Laurier Cloutier Le marché des tours de bureaux se porte bien et des promoteurs pourraient ainsi en mettre en chantier de nouvelles, prochainement. «Il y a de moins en moins de locaux de bureaux vacants au Canada. Le taux d'inoccupation a rarement atteint un niveau aussi bas et depuis longtemps», déclare à La Presse Affaires le président de la société canadienne de consultants en immobilier GVA Devencore, Jean Laurin. GVA Devencore va compléter «d'ici quelques jours une étude canadienne sur l'immobilier non résidentiel et portant surtout sur les bureaux», indique Jean Laurin. Comme les locaux disponibles deviennent plus rares, «des projets de tours de bureaux devraient lever de terre au Canada et pas seulement dans l'Ouest canadien», assure Jean Laurin. Les manufacturiers de l'Ontario souffrent aussi de la hausse du dollar, notamment dans l'automobile. «Mais trois projets d'immeubles de bureaux sont malgré tout en construction à Toronto, dit Jean Laurin. Ailleurs au Canada, c'est plus tranquille, mais des projets d'immeubles de bureaux devraient quand même être lancés d'ici deux ou trois ans à Montréal, Ottawa, Calgary et Vancouver.» Voilà les paroles de mon patron, c'est encourageant, mais c'est vague. Pas trop trop de détails!
  24. La Presse Le lundi 14 mai 2007 Le décor date d'Expo 67. L'espèce de virevent est une oeuvre de Richard Turner, un artiste de Vancouver. Le concept a été baptisé Sky Watcher, ou Le lunatique, en version française. L'oeuvre est plantée dans un bassin sur le terrain des bureaux administratifs portuaires de Montréal, que l'on peut apercevoir à partir de la rue Pierre-Dupuy. À l'époque, la sculpture de métal était étincelante au milieu d'un bassin flambant neuf rempli d'eau fraîche. Un lecteur du Zélateur se demande pourquoi l'oeuvre est laissée à l'abandon. Le virevent est rongé par la rouille, le bassin est fissuré et il n'y a pas d'eau. «C'est désolant», dit-il. L'explication Le Zélateur a dû passer par l'arrondissement de Ville-Marie, puis par la Ville de Montréal, pour enfin parvenir à parler à France Poulin, responsable des communications du Port de Montréal. Elle explique que la compagnie Seagram avait fait don de l'oeuvre alors que les actuels bureaux du Port de Montréal abritaient le siège social de l'Expo 67. L'été dernier, le Port de Montréal a commencé à se pencher sur un projet de réaménagement de ses terrains. «Une étude a été réalisée pour restaurer la sculpture et le bassin, explique Mme Poulin. Les travaux devraient débuter cet automne. « Mme Poulin n'était pas en mesure de dire à combien sont estimés les coûts de la restauration.
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