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  1. http://www.newswire.ca/en/story/1016933/montreal-is-confirmed-as-the-top-host-city-for-international-events-in-america MONTREAL, Aug. 6, 2012 /CNW Telbec/ - A great victory for Montréal! The city was named the top destination in America for hosting international association events, according to the official 2011 rankings set out by the Union of International Associations (UIA). As the principal host location in Québec for major international meetings, and as a 2011 finalist for the APEX award for World's Best Convention Centre, the Palais des congrès hosts thousands of conference-goers every year and generates major intellectual and economic spinoffs for Montréal and Québec. "We are very proud of our ranking, which is testimony to the efforts made by our team and by the Tourisme Montréal team to make Montréal a top conference destination for international associations seeking an exceptional experience for their participants," said Marc Tremblay, President and CEO of the Palais des congrès de Montréal. "This title, combined with our recent 90% score for customer service quality, indicates that Montréal and the Palais remain among the world's best-loved destinations. In addition to having top-notch staff, the Palais is recognized for our city centre location, the quality of our multifunctional spaces, and our quality/price ratio," he added. The Honourable Charles Lapointe, President and CEO of Tourisme Montréal, said: "Montréal's high ranking is a fitting demonstration of our city's excellence and our capacity to meet the needs of major international associations in terms of infrastructure, hosting and entertainment, to say nothing of the unique joie de vivre our city is known for. I'd like to congratulate the Palais des congrès and Tourisme Montréal teams, who earned this success through their strong work." With this victory, Montréal has taken first place among all destinations in America, beating out the continent's other major cities, including Washington, New York and Boston, as well as Toronto and Vancouver. Final 2011 rankings for America: 1- Montréal 2- Washington 3- New York About the UIA The Union of International Associations (UIA) is a research institute and documentation centre specializing in the research, monitoring and provision of information on international organizations, international associations and their global challenges since 1907. In its ongoing efforts to facilitate understanding of the nature and complexities of the international community of organizations, the UIA has become a cutting-edge technical centre with high standing in the academic, governmental, and business domains. http://www.uia.be/ About the Palais des congrès de Montréal The mission of the Palais des congrès de Montréal is to attract and host conventions, exhibitions, conferences, meetings and other events. A public institution with a commercial vocation, the Palais generates major economic spinoffs for Québec and has contributed proudly for over 28 years to sharing knowledge and enhancing Montréal's international reputation as a first-rate destination. For more information: http://www.congresmtl.com. About Tourisme Montréal Tourisme Montréal is responsible for providing leadership in the concerted efforts of hospitality and promotion in order to position the destination on leisure and business travel markets. It is also responsible for developing Montréal's tourism product in accordance with the ever-changing conditions of the market. For more information, please visit http://www.tourisme-montreal.org. SOURCE: Palais des congrès de Montréal For further information: Source: Chrystine Loriaux, Adm.A., B.A.A. Director, Marketing and Communications Société du Palais des congrès de Montréal Tel.: 514 871-3104
  2. Le Grand Montréal fait de l’effet à Cinesite. La métropole québécoise confirme sa position stratégique sur l’échiquier mondial de l’industrie cinématographique Montréal, le 18 août 2015 – La société britannique Cinesite, chef de file mondial spécialisé dans la production d’effets visuels et d’animation pour le cinéma et la télévision, a annoncé des résultats exceptionnels, dix-huit mois après son implantation dans le Grand Montréal. Le studio montréalais a en effet largement dépassé les attentes en recrutant 220 personnes en un temps record, soit deux fois plus rapidement que prévu, et en travaillant sur de prestigieuses réalisations cinématographiques. L’annonce a été faite par M. Antony Hunt, directeur général de Cinesite, en présence de M. Jacques Daoust, ministre de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations, de M. Nick Baker, consul général du Royaume-Uni à Montréal, de Mme Dominique Anglade, présidente-directrice générale, Montréal International et de M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal, Montréal International. Une plaque honorifique a été dévoilée pour célébrer ce succès et souligner l’appui stratégique du gouvernement du Québec, d’Investissement Québec et de Montréal International. Cinesite est particulièrement reconnue pour ses effets spéciaux spectaculaires, dont ceux des huits films d’Harry Potter. Depuis son implantation en 2014, le studio de Montréal a complété plusieurs films de renom, dont X-Men: Days of Future Past, San Andreas, The Man From U.N.C.L.E., et d’autres qui sortiront prochainement : The Last Witch Hunter, The Revenant, Pride and Prejudice and Zombies et Now You See Me: The Second Act. « Nous sommes enchantés de voir que notre croissance à Montréal dépasse nos objectifs, notamment en matière de recrutement. L’équipe qui grandit chez Cinesite se démarque par son talent inégalé », a indiqué le directeur du studio Cinesite, M. Antony Hunt. « Nous tenons à remercier Investissement Québec, le ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations et Montréal International pour leur appui et leur connaissance pointue du milieu des effets visuels qui nous permettent de voir loin pour notre studio », a-t-il ajouté. Une industrie avec le vent dans les voiles « L’industrie des effets spéciaux, Cinesite et Montréal ont en commun qu’ils sont des lieux de convergence entre les arts et la technologie. Montréal est une pionnière de l’industrie, et l’embauche de 220 travailleurs par Cinesite témoigne de la qualité des programmes de formation montréalais ainsi que de l’accès aux talents. Ces résultats confirment le positionnement de Montréal, ville de cinéma, et réaffirme que la Métropole est une véritable ville intelligente avec un attractif bassin de talents créatifs », a affirmé le maire de Montréal, M. Denis Coderre. Dans le Grand Montréal, l’emploi au sein du secteur des effets visuels a en effet connu une croissance annuelle d’environ 24 %, et ce, depuis la bonification du crédit d’impôt en 2009 et l’implantation subséquente de joueurs internationaux, incluant non seulement Cinesite mais également Framestore, Technicolor ou Atomic Fiction. « L’industrie des effets visuels constitue une véritable valeur ajoutée pour le Québec puisque ses entreprises investissent davantage dans les salaires de leurs travailleurs et dans le capital intangible, c’est-à-dire les dépenses en R-D et transfert technologique, en formation et développement des compétences », a affirmé Mme Dominique Anglade, présidente-directrice générale de Montréal International. « Le succès d’un joueur majeur comme Cinesite renforce également toute l’attractivité de la métropole québécoise sur l’échiquier cinématographique et contribue à positionner la région comme chef de file mondial des industries créatives à haute valeur ajoutée », a-t-elle ajouté. Mentionnons que Cinesite a récemment conclu une entente avec 3QU Studios pour créer un pipeline d’animation et soutenir la production de quatre films, le premier étant Charming (Demi Lovato, Avril Lavigne) dont la sortie est prévue pour 2016. À propos de Cinesite (http://www.cinesite.com) Établie à Londres, Cinesite est l’un des principaux fournisseurs d’effets visuels numériques dans le monde. À l’origine propriété de Eastman Kodak, l’entreprise qui a vu le jour en 1995 a été l’une des premières compagnies spécialisées en effets spéciaux au monde. Avec 650 employés, dont 500 au Canada, Cinesite est l’un des plus grands employeurs en effets visuels au Canada. Depuis plus de 20 ans, la société crée des effets visuels pour de grosses productions cinématographiques. De James Bond à Harry Potter, d’Iron Man 3 à World War Z, Cinesite a participé à la réussite d’une grande variété de films et de productions télévisuelles. Plusieurs ont d’ailleurs été récipiendaires de BAFTA et d’Oscars, et Generation Kill a même remporté un Emmy en 2009. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/le-grand-montreal-fait-de-leffet-a-cinesite/
  3. Montréal International a courtisé fort partout dans le monde en 2011, et ses efforts de séduction ont porté leurs fruits. L'organisation a contribué à attirer des investissements directs étrangers de 668 millions de dollars pendant l'année, une hausse de 16% par rapport à 2010. Montréal International (MI), qui a dévoilé hier soir ses résultats au cours de son assemblée annuelle, a aidé 28 entreprises étrangères à s'implanter ou grandir ici, soit exactement le même nombre qu'en 2010. Parmi les sociétés soutenues, mentionnons le fabricant de jeux vidéo Square Enix, qui a ouvert un nouveau studio à Montréal, Google, qui a doublé ses effectifs dans la métropole, et le développeur de batteries au lithium BatHium, qui a investi 176 millions à Boucherville. Fait intéressant, les trois quarts des projets soutenus sont dans des secteurs de haute technologie. Selon l'organisme, ces investissements ont permis de créer ou conserver 2351 emplois dans la région métropolitaine. L'Europe a été au coeur des efforts l'an dernier, 50% des investissements provenant du Vieux Continent. MI a aussi attiré ou retenu 1887 travailleurs qualifiés à Montréal au cours de l'année par l'entremise de ses missions de recrutement. Le président du conseil d'administration, Normand Legault, a rappelé dans le rapport annuel que le nombre d'agences de promotion qui travaillent à attirer des investissements a quintuplé au cours des 20 dernières années, créant une concurrence de plus en plus vive. «MI continuera en 2012 à faire face à des défis importants, comme l'attractivité croissante des pays émergents comme le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine», a-t-il dit, pointant aussi la force du dollar canadien qui réduit la compétitivité de Montréal par rapport aux villes américaines. L'organisme continuera de jouer les cartes de la main-d'oeuvre qualifiée et bilingue, des programmes de soutien à la recherche et au développement, et de la qualité de vie pour attirer des gens et des dollars à Montréal. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/macro-economie/201204/20/01-4517207-montreal-international-les-investissements-etrangers-en-hausse.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS7
  4. McGill takes 12th spot in global ranking ELIZABETH CHURCH From Thursday's Globe and Mail November 8, 2007 at 5:05 AM EST An international ranking of universities has put Montreal's McGill University in 12th spot, the highest rank to be reached by a Canadian institution. The annual rating, done by London-based Times Higher-QS World University Rankings, moved McGill up from its 21st placement last year. Ten other Canadian universities made the top 200 list, with the University of British Columbia finishing in the 33rd spot and the University of Toronto in the 45th. "This is such a source of pride for us. It shows that McGill is moving in the right direction," principal Heather Munroe-Blum said. The placement means McGill is now the top-ranked public university in North America, she said. It also demonstrates that the practice of concentrating resources on areas of excellence such as neuroscience, developmental biology and law is showing results, she added. "We have chosen our spots very carefully in areas where we can be leaders in the world." The rating, which was to be released this morning in London, comes at an important time for McGill as it looks to tap its network of alumni for a major fundraising campaign and is striving to increase its profile. Harvard University once again was placed at the top of the international ranking, which was conducted by an independent firm, sold off by the owners of the Times of London in 2005. Oxford, Cambridge and Yale all shared second place. The survey considers a number of factors in its rankings and gathers input from more than 5,000 academics around the world.
  5. L'Étoile Architectes: Panzini Archiectes Fin de la construction:2007 Utilisation: Hôtel Emplacement: Quartier International, Montréal ? mètres - 22 étages http://letoile.ca/ Description: - C'est sous la banière Embassy Suites Hotels que l'hôtel ouvrira.
  6. Le projet consiste en la phase IV du réaménagement du Vieux-Port, commencé il y a de ça plusieurs années. Les grands points : Réaménagement du Quai de l'horloge Transformation du Hangar 16 en Centre d'exposition International Aménagement du Quai Jacques-Cartier INVESTISSEMENT PRÉVU 190 millions de dollars ÉTAT D'AVANCEMENT DU PROJET Étude de faisabilité HORIZON 2015
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  8. PwC fait l'acquisition du cabinet Lehoux Boivin, situé à Brossard. Une transaction qui concrétise la volonté de l'entreprise de s'étendre dans les régions québécoises et de se rapprocher des PME. «Ce n'est qu'un début dans la réalisation de notre plan stratégique, dit Nicolas Marcoux, associé directeur national, bureau de Montréal et grandes villes chez PwC. Nous étudions d'autres possibilités d'acquisition sur la Rive-Nord de Montréal, et même sur l'île.» En vigueur depuis le 1er août, la transaction accroît de 40 personnes les effectifs de PwC au Québec. Ils grimpent donc à 1 035, dont 790 à Montréal, 190 à Québec et 15 à Gatineau. Les deux cofondateurs du cabinet de Brossard, Mario Boivin et Gilles Lehoux, passeront chez PwC. Martin Fontaine et Louis-Alexandre Lehoux, fils du cofondateur du cabinet, y deviennent quant à eux associés. Les deux parties ont refusé de divulguer le montant de la transaction. Ce dernier qualifie de «coup de foudre d'affaires» la rencontre entre les deux cabinets. «Nous sommes très près de nos clients et très engagés envers la communauté locale, dit-il. PwC, qui a une forte clientèle parmi les grandes entreprises, souhaite justement se rapprocher des PME. Nous partageons la même vision et les mêmes objectifs.» Le nouvel associé de PwC croit que les clients de Lehoux Boivin bénéficieront grandement de ce ralliement à un géant des services financiers. «Ils auront le meilleur des deux mondes, juge-t-il. Ils continueront de bénéficier du même service de proximité, tout en ayant accès à des services très spécialisés et à un réseau international que nous ne pouvions leur offrir.» Le cabinet Lehoux Boivin a été fondé en 1998. Il présente un chiffre d'affaires annuel d'environ 4 millions de dollars, que PwC croit pouvoir faire doubler ou même tripler assez rapidement grâce à l'acquisition de nouveaux clients. «Ce cabinet multidisciplinaire de premier plan se spécialise dans les services offerts aux PME détenues par des propriétaires dirigeants, explique Nicolas Marcoux. En ce sens, cette acquisition constitue une preuve tangible de notre engagement envers les sociétés privées et les entrepreneurs québécois.» Depuis qu'il est revenu au Québec - il a été leader national, transactions, pour tout le Canada chez PwC, de 2012 à 2015, un poste situé à Toronto -, Nicolas Marcoux n'a cessé de marteler l'intention de PwC de s'implanter dans les régions du Québec et d'offrir ses services aux PME. Il parle même de «changer le visage de PwC au Québec». Choix de modèle d'entreprise au départ, bien sûr. Après tout, le nombre très élevé de PME dans la province rend ce marché attractif pour un cabinet qui compte déjà son lot de très grands clients. Mais cet objectif peut aussi se confondre avec certains intérêts stratégiques de l'économie québécoise, croit Nicolas Marcoux. «On déplore régulièrement que des sièges sociaux quittent le Québec par voie d'acquisitions, note-t-il. Chez PwC, nous croyons que nous pouvons aider les entreprises d'ici à grandir et à devenir elles-mêmes acheteuses et consolidatrices. Grâce à nos services spécialisés, à notre expertise et à notre réseau international, nous souhaitons contribuer à créer les futurs CGI, Couche-Tard et autres WSP québécois.» Soutenir les entrepreneurs C'est par l'internationalisation que les entreprises québécoises deviendront de futures CGI. Or, les PME québécoises manquent de ressources pour se lancer à l'international. En 2012, une étude de Développement économique Canada pour les régions du Québec démontrait que l'un des principaux obstacles à l'internationalisation de nos PME était le manque de connaissances des marchés étrangers, de leurs lois et règlements et des occasions d'acquisitions qu'on peut y trouver. En ce sens, la présence de services professionnels et financiers de haute qualité en région est devenue incontournable. Même si elles n'arrivent pas encore assez à s'installer à l'étranger, peu de PME de nos jours n'ont pas de volet international dans leurs opérations. Plusieurs importent de l'Asie, exportent aux États-Unis ou ratifient des ententes commerciales avec des partenaires étrangers, notamment. Cela fait du réseau international de PwC un atout important pour ces entreprises. Mais en plus de cela, c'est aussi un certain isolement des entrepreneurs qu'il faut briser, selon Nicolas Marcoux. «Les entrepreneurs se sentent souvent seuls face aux importantes décisions qu'ils ont à prendre, déplore-t-il. Ils se heurtent à des dilemmes. Est-ce le moment de faire une acquisition ? De vendre ? De préparer le transfert de l'entreprise ? Ils ont besoin de conseils spécialisés et d'accès à des données de haute qualité concernant la dynamique d'affaires dans leur créneau ici et à l'étranger, de manière à faire des choix stratégiques judicieux.»
  9. Revitalizing Calgary's core: Some possibilities for rebirth 'Calgary has reinvented itself before ... from a ranching/agriculture-based economy to oil and gas' By Richard White, CBC News Posted: Jun 17, 2016 While it is shocking that Calgary's downtown skyscraper vacancy rate skyrocketed to 20 per cent at the end of March, and that it could soon surpass the vacancy record of 22 per cent set in 1983 (twice what it was a year ago), we should keep some perspective. These numbers are not unheard of in major corporate headquarter cities. Back in the 1970s, New York City was in decline. By the mid-70s, the city came close to bankruptcy and its office vacancy rate hit 20 per cent. In 1993, Toronto's downtown office vacancy rate hit 20.4 per cent. Vancouver's rose to 17.4 per cent in 2004. And these may not even be records, as data only goes back to 1990 for those cities. Today, New York City, Toronto and Vancouver's downtowns are booming. All downtowns go through periods of growth, decline and rebirth. Montreal's decline and rebirth In the '60s, the case could still be made Montreal was Canada's business capital. Its downtown was a major office headquarters for Quebec's natural resource industry as well as a thriving financial industry, including the head offices of the Bank of Montreal, Royal Bank of Canada and insurance giant Sun Life. In 1962, when the Place Ville Marie office designed by iconic architects I.M. Pei and Henry N. Cobb opened, it symbolized Montreal's arrival as a world-class city. This was further reinforced with the hosting of Expo '67, the arrival of Montreal Expos baseball team in 1969, and the 1976 Olympics. However, the '70s brought the threat of separation, which prompted many corporate headquarters and their executives to move to Toronto. By 1971, Toronto's population surpassed Montreal's. The 1976 Montreal Olympics, the most expensive in history, plunged the city into a legacy of debt and decline for decades. Today, Montreal has reinvented itself as an international tourist destination and a major player in the gaming and music industries. New York's return from the brink In 1975, New York City was on the brink of bankruptcy. The gradual economic and social decay set in during the '60s. The city's subway system was regarded as unsafe due to crime and frequent mechanical breakdowns. Central Park was the site of numerous muggings and rapes; homeless persons and drug dealers occupied boarded-up and abandoned buildings. Times Square became an ugly, seedy place dominated by crime, drugs and prostitution. Today, New York City is back as one of the world's most successful cities, economically and culturally, and Times Square is again one of the world's most popular urban tourist attractions. Calgary's future Perhaps Calgary has already begun to reinvent itself. Despite the growing vacancy rate downtown, the CBRE's First Quarter 2016 Report says, "Not all commercial real estate in the city has been affected, though. Suburban office space held steady from the last quarter, and the industrial real estate market is still robust because it's not tied to oil and gas." Indeed, Calgary has become one of North America's largest inland port cities, including two state-of-the art intermodal rail operations. Calgary is now the distribution headquarters for Western Canada, a position once held by Winnipeg. And so Calgary's industrial sectors employ more people than the energy sector. Calgary Economic Development is working with the real estate community to implement a "Head Office/Downtown Office Plan" with three action items. One idea is the repurposing of smaller older office spaces as incubators and innovation hubs to attract millennials and/or entrepreneurs. A good example of this is in West Hillhurst, where Arlene Dickenson has converted an old office building at the corner of Memorial Drive and Kensington Road that was once home to an engineering firm into District Ventures, home to several startup packaged goods companies. Another repurposing idea would be to convert some older office buildings into residential uses. In the U.S., programs like Vacant Places Into Vibrant Spaces have been successful but mostly for office to residential conversions of older buildings with smaller floor plates. They don't work for offices buildings with floor plates over 7,500 square feet (which is the case for most of Calgary's empty high-rise office space), as it is expensive and difficult to meet residential building codes, which are very different from commercial ones, making it tough to compete with new residential construction. In an ideal world, Calgary could become a global talent hub, where skilled workers who have been displaced from the energy and related industries continue to live in Calgary but become a remote workforce for energy projects around the world. Temporary and permanent satellite offices could be established in Calgary with teams of engineers, geologists, accountants, bankers etc. working on projects around the world. The obvious strategy would be to woo international companies in the finance, insurance, transportation, agriculture, digital media and renewable resources to set up a Canadian or North American office in Calgary, maybe even relocate here. With cities like San Francisco, Seattle and Boston facing major affordable housing crises for millennial workers, Calgary could become a very attractive place for a satellite office for companies in those cities. One "off the wall" idea postulated by George Brookman, CEO of West Canadian Industries, would be to promote Calgary as an "International Centre for Energy Dispute Resolution," similar to the Netherland's TAMARA (Transportation And Maritime Arbitration Rotterdam-Amsterdam), which offers an extrajudicial platform for conducting professional arbitration for settling disputes. However, one wonders: Could Calgary compete with London and New York, which are already leaders in the international arbitration business? Incentivize rebirth Calgary has reinvented itself before, evolving from a ranching/agriculture-based economy to oil and gas in the middle of the 20th century. Indeed, the downtown core, which is an office ghetto today, would benefit immensely if incentives could be made to convert a dozen or so office buildings into condos, apartments or hotels to foster a rebirth of the core as a place to live. Calgary at a Crossroads is CBC Calgary's special focus on life in our city during the downturn. A look at Calgary's culture, identity and what it means to be Calgarian. Read more stories from the series at Calgary at a Crossroads. http://www.cbc.ca/news/canada/calgary/calgary-core-kickstart-richard-white-1.3638276
  10. Initialement pévu à Laval, la Cité du commerce international chinois sera finalement construite à Longueuil, sur deux terrains du boulevard Moïse-Vincent qui appartenaient à la ville (La Presse) *** ANCIEN ARTICLE via L'Écho de Laval : Un centre de commerce international chinois sur l’île Jésus? Le ciné-parc sera transformé en Chinatown Par Claude-André Mayrand Mercredi 27 novembre 2013 00:28:59 HNE Photo: Alarie Photos Une vue aérienne du ciné-parc, dont le terrain appartient au Groupe Montoni. C'est à cet endroit que prendrait forme le Chinatown lavallois EXCLUSIF-LAVAL - Une importante compagnie asiatique, Min Ying Holdings, projette de s’implanter sous peu à Laval dans un centre de commerce international qui sera entouré de centaines de résidences de luxe qui abriteront environ 1 000 familles chinoises fortunées. Le lobbyiste et ancien député fédéral Roger Pomerleau, qui travaille sur ce dossier depuis plusieurs mois, a confirmé les informations obtenues par L’Écho de Laval. Le terrain qui serait retenu est celui de l’ancien ciné-parc de Laval, situé en bordure de l’autoroute 15 et propriété du Groupe Montoni. Une autre entreprise chinoise, Mirabel International Trading Center (M.I.T.C), basée au Québec et fondée alors que le projet lorgnait l’aéroport de Mirabel, est aussi impliquée dans le projet de centre. L’arrivée du centre de commerce international chinois sera confirmée une fois que les derniers détails seront conclus avec le Groupe Montoni. Il a été possible d’apprendre que le projet était passé par le bureau d’Immigration Canada, qui a approuvé l’arrivée massive des Chinois au Québec. Le centre de commerce international lavallois serait une version réduite du Centre de commerce international de Yiwu, le «paradis des consommateurs», situé au sud de Shanghai. On y retrouve 62 000 kiosques qui présentent plus de 400 000 produits dont les prix de vente influencent les prix du marché partout dans le monde. «Il y aurait 1 000 entreprises chinoises qui viendraient s’établir au Québec pour faire du commerce directement ici en éliminant les intermédiaires, explique Roger Pomerleau. Ce serait comme un bureau des ventes, une vitrine pour présenter des produits. Toute la production serait faite en Chine.» Un quartier chinois lavallois? Autour du centre, un véritable quartier chinois de luxe prendrait forme. Des maisons à 800 000 $ et plus seraient érigées pour accueillir les entrepreneurs chinois et leurs familles. D’autres maisons déjà érigées à Laval pourraient aussi être achetées pour accueillir tout le monde si le terrain du Groupe Montoni n’est pas assez vaste. «Au départ, on se demandait si le réseau hôtelier lavallois avait la capacité d’accueillir le flux touristique qui serait causé par la présence de ce centre unique en Amérique du Nord, affirme une source au fait du dossier qui a requis l’anonymat. Des gens d’affaires de partout au Canada et aux États-Unis voyageraient à Laval pour conclure leurs ententes plutôt que de voyager jusqu’en Chine.» Les entrepreneurs chinois se seraient engagés à apprendre le français dans leur première année de résidence au Québec et à fournir un minimum de 1 000 emplois à la population locale. Le terrain idéal Le terrain de l’ancien ciné-parc est celui qui a le plus plu aux dirigeants de l’entreprise chinoise dans leurs recherches. «C’est pour trouver un terrain qu’on m’a approché en premier lieu, précise Roger Pomerleau. Nous avons visité une quinzaine de terrains de grande envergure.» L’ancienne usine Hyundai de Bromont, l’ancien terrain de l’hippodrome Blue Bonnets et un terrain de Ville Saint-Laurent ont été étudiés parmi ces 15 terrains. Au départ, un terrain de Vaudreuil-Dorion avait été retenu et l’information avait coulé dans les médias en octobre 2012. Les développements n’ont pas fonctionné pour ce terrain en raison des permissions environnementales requises qui étaient trop longues à obtenir. «Le dossier a évolué depuis et le terrain de l’ancien ciné-parc est celui qui leur a plu davantage en bout de ligne», précise M. Pomerleau. L’entreprise chinoise désirait un endroit pouvant accueillir un large stationnement pour le centre de commerce, facile d’accès par les transports en commun et situé près des aéroports. «Groupe Montoni s’est engagé à obtenir rapidement tous les permis requis», conclut M. Pomerleau. Le lobbysite parle d’un dossier très complexe, qui progresse lentement. «Ce sont des négociations très ardues. Il y a eu plusieurs offres et contre-offres.» Plusieurs appels ont été logés au Groupe Montoni afin de parler à Dario Montoni, qui n’a pas retourné nos appels. À lire également: Que fait Min Ying Holdings? Chinatown: Martin Cauchon et Jean Chrétien impliqués
  11. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2016/04/26/003-culture-tourisme-montreal-etude.shtml Un touriste sur quatre vient à Montréal pour la culture Publié le mardi 26 avril 2016 à 15 h 54 Le Festival international de jazz de Montréal Si l'on sait que les nombreux festivals et musées attiraient leur lot de touristes à Montréal chaque année, une étude confirme l'importance de la culture dans le portrait touristique de la métropole. Ainsi, 26 % des touristes, soit un sur quatre, choisissent Montréal comme destination de voyage pour son offre culturelle. L'étude, commandée par Tourisme Montréal, montre également que ces visiteurs culturels dépensent 1,1 milliard de dollars dans la métropole. Chaque année, 2,3 millions de touristes viennent à Montréal pour un événement culturel. Leurs dépenses représentent 44,9 % des dépenses touristiques totales. À lire aussi : Le tourisme musical, le sauveur des festivals payants à Montréal? Quels événements attirent principalement ces touristes? Les festivals attirent à eux seuls 7,5 millions de visites et quatre d'entre eux totalisent un achalandage de 4,2 millions de visites. Il s'agit du Festival international de jazz de Montréal, des FrancoFolies, du Festival Juste pour rire et de Montréal en lumière. Les musées montréalais ne sont pas en reste, avec 7 millions d'entrées, soit 49 % de la fréquentation totale des musées pour le Québec. Les attraits culturels accueillent 9 millions de visiteurs et les arts de la scène 3 millions d'entrées. La firme LJM Conseil a réalisé cette étude pour le compte de Tourisme Montréal. Puisqu'il existe peu de données et de statistiques sur le tourisme culturel, LJM Conseil a croisé des données provenant de diverses sources, comme Statistique Canada, l'Observatoire de la culture et des communications du Québec et des sondages commandés par Tourisme Montréal. Rappelons que, l'automne dernier, Tourisme Montréal a lancé le Passeport MTL culture. Avec ce forfait, les touristes peuvent, sous réserve de disponibilité, assister à des pièces de théâtre, à des spectacles de danse, à des concerts et à quelques festivals, en plus d'accéder à des expositions. Cette offre regroupe 31 organismes culturels, dont le TNM, le Musée des beaux-arts, l'Igloofest, l'Orchestre symphonique de Montréal (OSM) et le Festival international de la littérature.
  12. http://www.newswire.ca/news-releases/keywords-to-expand-its-montreal-studio-creating-100-jobs-577614131.html MONTRÉAL, Canada and DUBLIN, Ireland, April 29, 2016 /CNW Telbec/ - Keywords Studios, an international technical service provider to the global video game industry, announced today that it intends to expand further in Montréal, creating 100 new jobs within the next three years. This announcement was made during a visit of The Honourable Denis Coderre, Mayor of Montréal and President of the Montréal Metropolitan Community, at Keywords headquarters in Dublin, Ireland, and after his discussions with Andrew Day, Chief Executive Officer of Keywords Studios. We love the city and we love the quality of the talent we can find in Montréal", commented Mr Day. "Since coming to Montréal in 2010, we've had great results there and we want to continue this success." Keywords offers technical services to the gaming industry. Functional testing and localization testing are the main tasks accomplished in Montréal. Keywords' clients includes the world's best-known developers, among which, to name a few, Ubisoft, WB Games, Zynga, King and Sony. They have worked on thousands of different titles such as Rise of the Tomb Raider, Halo 5: Guardians, Assassin's Creed Syndicate, Candy Crush, Clash Royale and Mobile Strike. "Keywords' decision to continue to invest in our metropolis illustrates once again Montréal's strength in the video game industry", said The Honourable Denis Coderre, Mayor of Montréal and President of the Montréal Metropolitan Community, during his visit of Keywords' headquarters, part of his European trip. "What's more, it does highlight the fact that the whole gaming cluster plays a vital role in our economy and that Montréal is the place to be." Montréal International, Greater Montréal's investment promotion agency, has provided support to Keywords Studios over the years. "Along with our government partners, we've been working with Keywords since their arrival in Montréal, stated Stéphane Paquet, Vice President - Investment Greater Montréal at Montréal International. Their reinvestment is most welcome and the whole team at MI look forward to continuing working with Keywords on other projects." "I hope that this most recent announcement is only a first step, added Mr Day, since we are currently studying further more ambitious possibilities for our Montréal studio." Keywords' Montréal studio currently employs around 350 employees.
  13. http://www.newswire.ca/news-releases/115-new-jobs-created-in-greater-montreals-fintech-industry---iocs-opens-its-first-north-american-software-development-centre-in-montreal-577237671.html MONTRÉAL and LONDON, United Kingdom, April 27, 2016 /CNW Telbec/ - IOCS - the world´s first developer of multi-tenant, end-to-end e-commerce platform for the processing of complex agreements - has chosen Montréal to establish its first software development centre in North America. With the support of Montréal International, IOCS, which is growing at an annual rate of 100%, will pursue its ambitious expansion strategy using Québec's metropolis as a springboard. The company plans to create a team of over 115 highly skilled employees in Montréal within the next three years.
  14. Une institution internationale déménage son siège social de Paris à Montréal L'organisation internationale New Cities Foundation (NCF) déménagera son siège social de Paris à Montréal le printemps prochain, une implantation qui devrait créer 25 emplois dans la métropole. John Rossant, président et fondateur de NCF, est dans la métropole ce vendredi en vue de signer l'entente de principe avec Montréal International, qui a contribué à attirer cet investissement. « Notre décision de miser sur Montréal constitue un jalon majeur dans le développement de notre organisation à travers le monde ainsi que dans l'élaboration et la mise en place de solutions concrètes aux problématiques de développement urbain », a déclaré M. Rossant. L'organisme sans but lucratif, fondé à Genève en 2010, vise à soutenir le développement des villes partout dans le monde, alors que le mouvement d'urbanisation s'accélère. NCF compte plusieurs institutions universitaires parmi ses membres, comme le Massachusetts Institue of Technology (MIT), ainsi que des entreprises comme Ericsson, Bombardier et Google. Les trois niveaux de gouvernement - municipal, provincial et fédéral - ont contribué financièrement pour attirer l'organisme au Québec. Montréal International a toutefois refusé de dévoiler l'ampleur des subventions consenties par l'État. Les dirigeants de NCF cherchent présentement des locaux à Montréal pour accueillir leur nouveau bureau principal. « Grosse prise » Pour Montréal International, l'attraction d'une institution internationale comme NCF constitue « une grosse prise », puisqu'elle devrait contribuer au rayonnement de la métropole à l'étranger. Les organisations du genre - Montréal en compte une soixantaine - génèrent des retombées économiques annuelles de 300 millions de dollars et contribuent à maintenir 1500 emplois dans la métropole, soutient Montréal International. La métropole compte entre autres quatre sièges d'organismes des Nations Unies, dont l'Organisation de l'aviation civile internationale, ainsi que l'Agence mondiale antidopage et l'Agence universitaire de la francophonie. Selon Montréal International, la métropole québécoise affiche la troisième plus importante concentration d'organisations internationales en Amérique du Nord, derrière Washington et New York. Outre son nouveau siège social montréalais, NCF conservera des bureaux à Paris, New York et Genève. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201512/18/01-4932560-une-institution-internationale-demenage-son-siege-social-de-paris-a-montreal.php
  15. Technologies de l’information : 60 nouveaux emplois dans le service aux entreprises. – LINKBYNET, société française spécialisée dans l’hébergement, la sécurité et la gestion des structures et applications informatiques, annoncera aujourd’hui l’expansion de ses activités dans le Grand Montréal, cinq ans après y avoir implanté avec succès son siège social nord-américain. La société a en effet connu une croissance exceptionnelle au Québec durant cette période, en investissant près de 12 millions de dollars et en recrutant près d’une centaine d’employés, un succès considérable comparativement aux 8,4 millions de dollars et 60 embauches prévus initialement. Forte de cette réussite, LINKBYNET prévoit d’ailleurs créer 60 nouveaux emplois d’ici 2020. Offrant des services personnalisés pour héberger, gérer et sécuriser les applications et infrastructures informatiques de petites et grandes entreprises, LINKBYNET a fait progresser son chiffre d’affaires de quelque 50 000 dollars en 2011 à plus de 2,5 millions de dollars en 2015. Elle ambitionne maintenant de tripler, d’ici cinq ans, son chiffre d’affaires et de doubler ses effectifs au Canada, principalement dans le Grand Montréal. L’annonce sera faite par M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord, en présence de M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore, ainsi que des membres de la direction du groupe LINKBYNET, lors d’un cocktail-conférence au Centre des sciences de Montréal. « LINKBYNET a misé sur le Grand Montréal en 2010 pour étendre ses activités de services infonuagiques et informatiques. Après cinq ans, nous pouvons affirmer que c’était un bon pari, tant au niveau de l’expertise technique que des opportunités commerciales », a déclaré M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord. « Nous sommes heureux de célébrer ce succès avec nos clients, partenaires et amis qui nous ont accompagnés dans notre croissance », a-t-il également ajouté. Soutenue par Montréal International et Investissement Québec dans ses projets d’implantation et d’expansion, LINKBYNET répond aux besoins urgents et grandissants des entreprises montréalaises et québécoises, telles L’Oréal Canada, Bolloré ou encore CAA Québec. « Le succès de LINKBYNET, qui a connu une croissance significative de ses opérations et qui a su se positionner stratégiquement au sein de l’industrie des technologies de l’information en Amérique du Nord, démontre une nouvelle fois l’attractivité du Grand Montréal. La métropole québécoise est en effet reconnue pour son bassin de talents qualifiés, sa situation géographique enviable et ses coûts d’opération hautement compétitifs », a déclaré M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore. « De plus, LINKBYNET offre une expertise très ciblée et à l’avant-garde des nouvelles technologies, qui permet de soutenir la compétitivité de nombreuses entreprises dans la région, et ce, tous secteurs confondus », a-t-il conclu. Mentionnons que LINKBYNET a remporté de nombreuses distinctions au cours des dernières années, incluant le trophée du meilleur « cloud hybride », décerné par VMWare en 2014 et le prix du « Customer obsession partner », attribué par Amazon web service en 2015. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/linkbynet-expansion-grand-montreal/
  16. Création de 500 emplois sur cinq ans dans le secteur de l’environnement au Québec. Montréal, le 2 décembre 2015 – Afin de satisfaire les besoins du marché québécois de la collecte, du transport et du traitement des matières résiduelles, Derichebourg Environnement annonce l’implantation de son siège social nord-américain à Montréal. L’entreprise prévoit créer 500 emplois au Québec, et ce, au cours des cinq prochaines années. Le leader européen de la collecte des déchets ménagers rassemblera notamment au sein de sa nouvelle filiale les ressources matérielles et humaines dédiées à la collecte des déchets ménagers sur deux arrondissements de la Ville de Montréal, soit Rosemont–La Petite-Patrie et Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. L’annonce a été faite par le maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal, M. Denis Coderre, en mission en France dans le cadre de la tenue de la 21e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP21), qui se tient du 30 novembre au 11 décembre à Paris. « Les collectivités doivent faire face à une réduction de budget pour la collecte de déchets, tout en améliorant leurs services aux usagers. C’est pourquoi les municipalités doivent trouver des prestataires capables d’innover et de présenter des offres concurrentielles », a déclaré M. Thomas Derichebourg, président de Derichebourg Canada Environnement. « C’est dans cette optique que Derichebourg Environnement désire accélérer son développement à l’international et plus particulièrement au Canada, en faisant de sa filiale montréalaise la plus importante en Amérique du Nord au sein du Groupe. » Derichebourg s’est engagé dans une politique de recherche et développement à long terme visant à mettre en place des filières pérennes de traitement des biens en fin de vie, respectant et même dépassant les objectifs de valorisation fixés par les directives européennes. « Avec l’arrivée d’un nouveau joueur comme Derichebourg, la métropole québécoise renforce sa position dans la valorisation des matières résiduelles et le développement des compétences dans la collecte et le traitement des déchets », a déclaré M. Denis Coderre, maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal. « La Ville de Montréal priorise toujours des services publics efficaces et efficients, essentiels pour assurer la croissance économique, générer le plus de bénéfices possible pour la collectivité et optimiser le bien-être de tous les citoyens », a-t-il ajouté. Montréal International, en collaboration avec Investissement Québec, a soutenu la société française Derichebourg dans son implantation dans la région. « Le marché de la collecte et du traitement des déchets est en pleine croissance dans le monde. Le Grand Montréal pourra dorénavant compter sur l’expertise ciblée et à l’avant-garde d’un nouvel acteur reconnu en Europe, qui pourra partager son savoir-faire avec des partenaires académiques, institutionnels et industriels au Québec », a déclaré M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal, Montréal International. « Cette implantation vient renforcer l’économie du Québec et de la grande région montréalaise. De concert avec nos partenaires en prospection, nous avons eu l’occasion d’entretenir des échanges fructueux avec Derichebourg, qui ont permis de mettre en valeur avec succès nos avantages concurrentiels. Cette relation est appelée à se développer et nous comptons bien accompagner l’entreprise dans son développement au Québec », a conclu M. Pierre Gabriel Côté, président-directeur général d’Investissement Québec. Mentionnons que Derichebourg Environnement dispose d’opérations dans toute la France (Paris, Ile de France, Marseille, Caen), en Italie (Turin, Milan, Florence, Sardaigne), au Maroc (Rabat, Marrakech), et à l’Ile de la Réunion dans l’Océan Indien. À propos de Derichebourg (http://www.derichebourg.com) Le Groupe Derichebourg est un acteur majeur, au plan international, des services aux entreprises et aux collectivités. Avec un chiffre d’affaires 2014 de 2,56 milliards d’euros, l’entreprise compte aujourd’hui 28 000 collaborateurs dans le monde, répartis dans 14 pays et sur 3 continents. Derichebourg propose une gamme complète et intégrée de prestations dans deux secteurs d’activités complémentaires et à travers deux entités distinctes : Derichebourg Environnement. Services à l’environnement : recyclage et valorisation des biens en fin de vie, collecte & gestion des déchets industriels et ménagers, propreté urbaine. Derichebourg Multiservices. Services aux entreprises (multiservices) : propreté, énergie, aéronautique, intérim, accueil, manutention, milieux sensibles. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/derichebourg-implantation-siege-social-nord-americain-dans-le-grand-montreal/
  17. steve_36

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    Il est difficile à ce stade ci de mesurer l'ampleur de cette nouvelle mais chose certaine, ca ne peut pas être négatif. Au contraire, c'est une bonne nouvelle et possiblement une excellente nouvelle. Par contre je suis curieux de savoir ou seront situés les bureaux de l'agence et combien d'employés y œuvreront. Je verrais bien les bureaux situés dans le même édifice que ceux du comité olympique canadien ou encore dans le quartier international.
  18. LE MINISTRE SAM HAMAD ANNONCE UNE DÉMARCHE CONCERTÉE POUR L'AMÉNAGEMENT DU PARCOURS D'ENTRÉE DE VILLE DE MONTRÉAL Un concours international d'idées en design urbain est lancé MONTRÉAL, le 20 mai 2011 /CNW Telbec/ - Le ministre des Transports, M. Sam Hamad, a annoncé aujourd'hui, dans le cadre du Forum stratégique sur le développement des infrastructures de transport organisé par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, une démarche concertée pour l'aménagement du parcours d'entrée de ville de Montréal. Cela se traduira par la tenue d'un concours international d'idées en design urbain pour le parcours reliant l'Aéroport international Montréal-Trudeau au centre-ville de Montréal dans le corridor de l'autoroute 20. Initiée par le ministère des Transports, cette démarche concertée réunit en une table de travail les représentants des principaux organismes dans ce secteur, soit la Ville de Montréal et ses arrondissements Côte-des-Neiges - Notre-Dame-de-Grâce, Lachine, Sud-Ouest et Ville-Marie, les villes de Dorval, Montréal-Ouest et Westmount, la Communauté métropolitaine de Montréal, la Conférence régionale des élus de Montréal, Parcs Canada, Aéroports de Montréal, l'Agence métropolitaine de transport ainsi que le Canadien National et le Canadien Pacifique. « La présente décennie a vu et verra de nombreux projets se concrétiser dans ce corridor, notamment ceux du ministère des Transports. Il s'agit là d'une occasion unique de coordonner l'aménagement urbain de ce corridor et d'obtenir des propositions à la hauteur de nos aspirations », a déclaré le ministre Hamad. Pourquoi choisir le corridor de l'autoroute 20 ? Principale porte d'entrée internationale du Québec, le corridor de l'autoroute 20, entre l'aéroport et le centre-ville, constitue pour de très nombreux visiteurs le premier contact avec Montréal et le Québec. C'est également le décor quotidien de milliers de Montréalais qui y circulent en voiture, en train ou en autobus. Ce secteur de la ville est en effervescence et de nombreux projets autant publics que privés sont appelés à s'y réaliser au cours des prochaines années. Il s'agit donc d'une occasion unique de créer un véritable parcours d'entrée de ville de calibre international pour la métropole. Un concours international d'idées Le concours international d'idées pour le développement d'une vision stratégique d'aménagement du corridor de l'autoroute 20 s'adresse à tous les professionnels en aménagement, qu'ils soient architectes, designers urbains ou urbanistes. Ces professionnels sont invités à former des équipes multidisciplinaires comptant également des artistes, scénographes et spécialistes en transport. Les différentes idées qui seront proposées permettront de mieux définir les possibilités de développement et de dégager les options qui font consensus pour l'ensemble des intervenants. Plus spécifiquement, ce concours international d'idées cherche à réinventer et à harmoniser les liens des multiples composantes de ce parcours et les milieux de vie adjacents. « La tenue d'un concours international d'idées permettra d'obtenir des propositions de visions macroscopiques d'aménagement qui reflètent l'identité et la maturité de Montréal et qui soutiennent sa vitalité. La tenue du concours permet aussi de souligner le 5e anniversaire de la désignation de Montréal Ville UNESCO de design en soutenant les efforts d'accroissement de la qualité du design des lieux montréalais afin d'en promouvoir la viabilité et l'attractivité», a souligné M. Hamad. Le concours sera officiellement lancé le 9 juin 2011 lors d'un appel de participation qui présentera l'ensemble des modalités et les documents qui guideront l'élaboration des propositions. Les équipes auront jusqu'au 7 octobre pour déposer leurs projets. Le ministère des Transports a confié à la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal (CPEUM) le soin de piloter le concours international d'idées et l'effort de concertation qui en découle. Fondée en 1996, la CPEUM a pour mission le développement de connaissances et de moyens d'intervention dans les domaines du paysage et de l'environnement. La CPEUM mise, pour ce faire, sur des collaborations étroites avec ses principaux partenaires, dont le ministère des Transports, qui participent aux projets de la CPEUM depuis ses débuts. « Plus que jamais, nos emprises autoroutières doivent s'intégrer de façon harmonieuse dans les milieux urbains dans lesquels elles se trouvent. Une intégration concertée et cohérente permettra à ce parcours de devenir une signature urbaine pour notre métropole», a conclu M. Hamad. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Mai2011/20/c6522.html
  19. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/banque-industrielle-commerciale-chine-montreal/ Bonne nouvelle, évidemment, mais l'histoire ne dit pas ou ils vont s'installer.
  20. Un festival de niche qui tire son épingle du jeu. http://www.montreal.tv/portail/blog/2011/02/marche-international-du-film-sur-lart-a-montreal/
  21. Per this article in The Gazette: http://www.montrealgazette.com/news/Montreal+picked+five+hubs+Future+Earth+project/10008798/story.html Montreal has been selected as one of five global hubs for a United Nations project called Future Earth, an ambitious 10-year initiative to build and connect international research on the environment and sustainable development — and to find ways to intensify and accelerate the impact of that research. It is a united, international effort to create sustainability and advance scientific study on questions of environmental impact, to merge science and public policy — and to address urgent environmental challenges. Future Earth’s globally distributed secretariat will also have hubs in Paris, Tokyo, Stockholm and Boulder, Colo. Those involved in petitioning to get the hub here — there were at least 20 competing bids — believe that Montreal’s star will definitely shine brighter on the international stage now. While the project will involve all of Montreal’s universities, Concordia University will house the local hub that will bring together Quebec researchers to contribute to this major scientific initiative. It is news that has Concordia president Alan Shepard smiling these days, although he is primarily focused on what a coup this is for Montreal and the opportunities he believes will emerge from it. “This is great for Montreal and very good for Concordia,” Shepard said in an interview on Monday. “We’ll be the host but it’s collaborative, an intersection for all the universities in Montreal to work together on climate change and the health of the Earth.” The universities came together to work on a joint proposal to lobby for the hub at the urging of Montréal International, which acts as an economic driver for Greater Montreal. Montréal International vice-president Stéphanie Allard is also convinced that Montreal’s involvement in the project can only be a boon to its universities and to the city itself. “It’s a very big opportunity for all the universities and for Montreal,” said Allard, who oversees international organizations. “It will increase our visibility in the world, it will establish us as an international city and it will certainly make us more attractive to researchers.” Future Earth is the result of a commitment made in 2012, at the United Nations conference Rio+20, to develop a new international network to advance sustainability. It is being overseen by the International Council of Science, a non-governmental association with a goal to strengthen international science for the benefit of society. The project is committed to developing the knowledge for responding effectively to the risks and opportunities of global environmental change and for supporting transformation towards global sustainability in the coming decades. It will mobilize tens of thousands of scientists while strengthening partnerships with policy-makers and other stakeholders in the quest for a sustainable planet. “Solutions to the major sustainability challenges facing humanity require integrated science and a closer relationship with policy-makers and stakeholders than we have seen to date,” said Yuan-Tseh Lee, president of the ICSU. “Future Earth has been designed to respond to these urgent needs, and I am impressed by the innovative consortium that has come together to drive the program forward.” In making its pitch, Montréal International cited that Montreal has a rich, diverse and high quality research network already in place, that it is multicultural and multilinguistic, that it is very well-positioned to be a hub and that office space is cheaper here than in many cities. Shepard said it’s hard to say what financial benefits there could be for the city, but he said having the secretariat will certainly bring UN resources, international visitors, research opportunities, graduate students and lots of attention. “Montreal becomes a neuronetwork and it’s glowing really bright,” he said, adding that the project meshed well with Concordia’s “intellectual values” of integrating different academic disciplines. An added bonus is that it also fits well with a preoccupation of the university’s students, namely sustainability and environmental science. “Future Earth clearly recognizes Montreal’s research capacity and the valuable contribution we will make in developing solutions to global environmental challenges,” said Shepard. “It’s a beautiful thing to have in your city; it will bring great intellectual leadership and passion and opportunity.” kseidman@montrealgazette.com Twitter: KSeidman
  22. http://montrealgazette.com/news/local-news/two-montrealers-striving-to-improve-citys-economic-lot?__lsa=4920-2f19 Among the people charged with promoting Montreal’s economic development, Éric Lemieux and Dominique Anglade are on the front lines. They’re battling with other cities around the world as Montreal vies for scarce new jobs and investment dollars, often competing against lucrative incentives offered by other jurisdictions. Lemieux is trying to breathe new life into the city’s financial sector while Anglade seeks out high-tech companies, aerospace firms and life science businesses willing to invest here. Banks and insurance companies have moved their headquarters to Toronto and local stock exchanges have closed but Lemieux, who heads the private-public agency known as Finance Montreal, sees new opportunities ahead. “Canada has a stable economy with good financial regulation,” he says, and the country emerged from the 2008-09 financial crisis with a healthy banking sector. That should help to attract international banking activities. The city has an “excellent pool of talent supplied by its universities and business schools,” he says, with 8,000 students enrolled in finance programs. It also boasts much cheaper operating costs than places like New York and Boston. “Banks like BNP Paribas, Société Générale and Morgan Stanley all made the decision to locate some of their operations here.” Montreal has over 100,000 jobs in the financial sector and derives close to 7 per cent of local GDP from the 3,000 financial firms working here. It’s become an important centre for pension fund management, led by the giant provincial agency the Caisse de dépot et placement as well as other large players such as PSP Investments and Fiera Capital. The sector includes more than 250 money-management firms. The city is developing a new area of expertise in financial derivatives like futures and options on stocks, currencies and bonds, which are traded on the Montreal Exchange. And financial technology is also a selling point for Montreal. It has a growing presence in software development and information technology for the asset management industry, as traders look for every technical edge they can get. Part of Lemieux’s effort comes through the International Financial Centre program, which offers employment-based tax credits to financial firms that set up international operations here. “I think it’s a good success story,” he says. “There are more than 60 companies and 1,000 jobs that have located here” under the plan. “Seventy per cent of them would not be in Montreal if there wasn’t this support. We’re talking of $100 million in direct and indirect benefits.” Another important asset is the local venture capital industry, which finances startups and early-stage firms founded by entrepreneurs. The sector is led by such funding institutions as Teralys Capital and the Fonds de Solidarité. Put it all together and the portrait of the city doesn’t look too bad. According to the Global Financial Index — an international ranking that measures both size and industry perceptions — Montreal is the world’s 18th financial centre, up from 31st spot four years ago. Dominique Anglade runs Montreal International, the agency that prospects worldwide for foreign direct investment on behalf of the 82 municipalities in the Communauté métropolitaine de Montréal. Like Lemieux, she sees fierce competition for investment dollars. In this tough environment, the Montreal area has had its share of successes. 2013 was an exceptional year, as Montreal International helped to secure a record $1.2 billion in foreign direct investment (FDI). The year just ended will fall short of that mark but will “continue our momentum,” says Anglade. The city was recognized as having the best attraction strategy in North America in a survey by FDI Magazine, a sister publication to Britain’s Financial Times. The record performance was driven by several major expansions of foreign multinationals in the Montreal area, including French video-game maker Ubisoft and Swedish telecom giant Ericsson. The presence of multinationals is critical to the Montreal economy. They account for 20 per cent of local GDP and nine per cent of jobs, as well as a large share of private research and development. Montreal International’s task is to convince them not only to stay but to invest and expand here. Multinationals often pit one plant location against another to see which one will produce the best value proposition. Montreal International’s job is to stay in constant touch with the companies that have a presence here to find out what they want to accomplish and what they need to survive. Anglade targets certain niches where the city is already strong such as information technology, video games, special effects for movies and TV, aerospace and life sciences. Information technology represented by far the biggest share of the new money coming into the city in 2013. The video game industry also remains a strong performer, with five of the world’s top 10 selling games produced in Montreal. A significant percentage of deals — about 60 per cent — involve government financial assistance through provincial tax credits but Anglade doesn’t apologize for the financial aid offered to the private sector. “The competition in the U.S. has no limit. They have billions in terms of incentives and that’s why we have to be extremely strategic in Montreal and focus on specific sectors.” She notes that Swedish appliance maker Electrolux opted to close its plant in nearby L’Assomption, employing 1,300, and shifted operations to Tennessee after it was offered a rich package of incentives by three levels of government. Still, in industries that require more skill and knowledge, the availability of talent is Montreal’s strong point, Anglade says. “One of the surprises that people have about Montreal is its talent pool. I can’t tell you how many companies have said ‘wow, this is amazing’ when they start to fill positions here. It’s why we need to stress the importance of education. It’s critical for the future of Quebec.”
  23. https://www.onf.ca/film/helicopter_canada Il y a quelques belles vues de Montréal (29:10) Quelques captures:
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