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  1. Il est intéressant de noter que ces temps-ci il y a un immense boom planétaire de constructions de grande échelle et de grande hauteur... pas juste Dubai et Shanghai, mais aussi beaucoup beaucoup beaucoup d'autres villes : http://www.skyscrapercity.com/showthread.php?t=635755 Pour ceux qui sont intéressés par ces développements spectaculaires, je pense qu'ils parleront de Shanghai aux Grands Reportages à RDI ce soir 20h.
  2. Publié le 02 avril 2016 à 08h37 | Mis à jour à 09h09 Un projet d'aquarium refait surface à Montréal RÉJEAN BOURDEAU La Presse Croyez-le ou non ! Pour la deuxième fois en 15 ans, Ripley's a été sollicitée pour aménager un aquarium à Montréal. Son propriétaire, le groupe Jim Pattison étudie le projet, estimé à des dizaines de millions, voire une centaine. Cette firme de Vancouver détient Ripley's Believe It or Not !, un musée de l'étrange où l'on présente des objets étonnants. Pattison possède aussi le Ripley's Aquarium of Canada, à Toronto. DISCUSSIONS EN COURS « Nous sommes en phase de démarchage, confirme Yves Lalumière, président de Tourisme Montréal. Nous parlons à Pattison, mais d'autres promoteurs pourraient participer. » Le site n'est pas confirmé. Mais des facteurs militent pour le Vieux-Port. Il s'agit d'un pôle touristique achalandé avec un accès au bord de l'eau. C'est aussi le lieu de débarquement des croisiéristes. « D'autres endroits peuvent également être envisagés », précise le grand patron. DES IDÉES EN 2000 D'autres idées ont ensuite été avancées. La Société du Vieux-Port de Montréal a même sollicité Pattison en 2000. À l'époque, le groupe se disait « prêt à investir 90 millions, sans avoir recours aux deniers publics ». Il voulait embaucher 225 personnes. L'année suivante, le Zoo de Granby a aussi étudié la possibilité d'aménager un aquarium à Montréal. Il souhaitait investir 50 millions pour marquer son 50e anniversaire en 2003. Les deux initiatives ont été mises en veilleuse. UN GÉANT PRIVÉ Outre celui de Toronto, Pattison possède deux autres aquariums aux États-Unis. Sa division de divertissement a ouvert son premier Ripley's Aquarium à Myrtle Beach, en Caroline-du-Sud, en 1997. Un deuxième a été lancé trois ans plus tard à Gatlinburg, au Tennessee. Le conglomérat privé possède de nombreuses divisions. Il est présent dans l'automobile, l'immobilier, les aliments et boissons, les médias, etc. Ses revenus dépassent 9 milliards. Il emploie 41 000 personnes. ANNÉE RECORD Profitant de l'essor du tourisme urbain, Montréal vient de vivre sa meilleure année en 40 ans. La ville a reçu pas moins de 9,6 millions de visiteurs. Le nombre de touristes internationaux a bondi de 7,2 % en un an. Le trafic de passagers à l'aéroport Montréal-Trudeau a augmenté de 7,2 %. Le taux d'occupation des hôtels s'est élevé à 73 %. Le projet d'aquarium ajouterait à l'offre touristique montréalaise. Plusieurs grandes villes en ont un. C'est le cas de Boston et de Toronto. L'AUTRE AQUARIUM DE MONTRÉAL Montréal a déjà eu un aquarium. Connu sous le nom d'Aquarium Alcan, il était situé dans l'île Sainte-Hélène. L'attraction a été construite pour l'Exposition universelle de 1967. Des spectacles étaient présentés au lac des Dauphins. En 1988, la Ville a souhaité déménager les installations dans le Vieux-Port, mais la récession de 1990 a coupé court à ce projet. L'aquarium a fermé en 1991 et des animaux ont été transférés au Biodôme. CRÉER DES LIENS Ce projet fait suite à la création d'un groupe de démarchage, explique M. Lalumière. Présidé par Tourisme Montréal, il a été lancé l'automne dernier. Il regroupe Investissement Québec, le Fonds de solidarité FTQ, la Banque de développement du Canada et Montréal International. Son but est de « créer des liens entre les entreprises locales, les investisseurs privés et les promoteurs internationaux », peut-on lire dans un document publié en octobre dernier. PLUS DE 100 MILLIONS L'aquarium de Toronto a coûté 130 millions, indique un communiqué publié en 2011. La contribution des trois ordres de gouvernements a atteint quelque 30 millions sous forme de subventions et de crédits d'impôt. Le reste a été assumé par le groupe Jim Pattison. Le projet montréalais serait toutefois plus modeste, estime Tourisme Montréal. Au chapitre du financement, il est trop tôt pour parler de l'apport des gouvernements. D'autres partenaires pourraient aussi se montrer intéressés. L'EXEMPLE TORONTOIS Le Ripley's Aquarium of Canada a ouvert ses portes à Toronto en 2013. Il est situé près de la tour CN. On y trouve 13 500 spécimens exotiques, notamment des requins et des poissons d'eau douce. L'une de ses attractions est le plus long tunnel sous-marin du continent, que peuvent parcourir les visiteurs. L'aquarium compte neuf galeries représentant différents environnements marins. Dès sa première année, il prévoyait accueillir 2 millions de visiteurs. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201604/02/01-4966941-un-projet-daquarium-refait-surface-a-montreal.php
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  4. http://www.condosle29.com/ 16 unités de condo au total une fois toute les phases terminées. Emplacement : 6746-6756 29e Avenue C'est un petit projet, mais il y en a plusieurs en construction en ce moment dans ce quartier (Nouveau-Rosemont). Et nul doute qu'une fois le SRB de Pie IX en fonction, il y en aura d'autres! Notre article : http://blog.justeduneuf.ca/le-29-habitez-le-nouveau-rosemont/
  5. La Presse: La revanche du centre-ville Depuis plus de 10 ans, on dénigre Montréal sur bien des tribunes. Au cours des dernières années, ses détracteurs ont eu beau jeu de dépeindre la métropole québécoise comme une ville en crise, avec ses scandales à l'hôtel de ville, ses nids-de-poule, son pont Champlain qui se dégrade et son métro régulièrement en panne, pour ne donner que ces exemples. Pourtant, quand on enlève nos lunettes noires pour regarder la situation dans son ensemble, on s'aperçoit que la métropole est loin d'avoir dit son dernier mot. Cette année, le centre-ville verra apparaître plus de grues qu'il n'en a vues depuis bien longtemps. Pour 2014 seulement, on parle de huit édifices à vocation résidentielle ou mixte de plus de 30 étages en cours de transformations majeures, en construction ou sur le point de l'être. Avec Le V (40 étages, 250 unités), l'Altoria/Aimia (34 étages, 152 unités), le Roccabella (41 étages, 540 unités), l'Icône (39 étages, 357 unités), le Waldorf Astoria (34 étages, 100 unités), l'Avenue (50 étages, 315 unités), la Tour des Canadiens (48 étages, 700 unités), la Tour Union/Tom condos (35 étages, 377 unités), ce sera de près de 3000 nouveaux logements qui verront s'installer des travailleurs intéressés par la vie au centre-ville et possédant un pouvoir d'achat important. Un milieu de vie «Il y a un très grand intérêt pour le centre-ville et la demande est forte parce que la vie au centre-ville de Montréal est vibrante, intéressante, sûre et agréable, dit Paul Lewis, professeur d'urbanisme à l'Université de Montréal. Les gens constatent de plus en plus que ce style de vie présente beaucoup d'avantages.» En offrant un milieu de vie attrayant sur le plan résidentiel, on stimule non seulement l'apparition de nouveaux commerces destinés à répondre aux besoins des nouveaux habitants, mais on attire aussi les emplois. «L'élément le plus important pour les entreprises dans le choix d'une ville, c'est de pouvoir compter sur un bassin de main-d'oeuvre qualifiée. La floraison de nouvelles entreprises technologiques qui choisissent les quartiers centraux est liée au développement résidentiel. Les travailleurs de ces entreprises sont souvent des jeunes professionnels qui aiment habiter près de leur lieu de travail», dit Mario Polèse, professeur et chercheur au Centre urbanisation, culture et société de l'Institut national de recherche scientifique. Selon lui, il ne faut pas s'inquiéter outre mesure au sujet des problèmes actuels d'infrastructures. «Tout le monde est d'accord sur le fait qu'ils sont extrêmement gênants et qu'il est important de les régler, mais c'est une phase qui va passer et que d'autres villes traversent aussi, dit-il. Ce n'est pas cela qui va déterminer, à long terme, la santé économique de la région de Montréal. Je n'ai pas encore entendu une entreprise ou un homme d'affaires dire qu'ils ne viendront pas s'installer à Montréal à cause de ses problèmes d'infrastructures.» Par contre, ces enjeux médiatisés en font oublier d'autres, moins spectaculaires, et sur lesquels il faudrait se pencher davantage, explique le chercheur. «Ce qui est tout aussi important pour qu'une grande métropole puisse rayonner sur le plan économique, ce sont les éléments qui favorisent sa connectivité à l'échelle internationale et régionale. C'est important pour les gens d'affaires d'avoir des interactions faciles avec le reste du monde, comme des vols directs vers d'autres grandes villes. La situation de Montréal à cet égard est loin d'être idéale, pour diverses raisons, que l'on parle du train ou de l'avion. La liaison avec New York, par exemple, est lamentable.» Un nouveau maire L'arrivée de Denis Coderre à la mairie suscite d'énormes attentes. Le nouveau maire a annoncé six priorités pour la Communauté métropolitaine de Montréal: un pont Champlain sans péage, planifier les transports en commun, mettre en place une stratégie économique, mettre en oeuvre le Plan métropolitain d'aménagement et de développement, favoriser le logement social et assurer un leadership fort. Avec autant de défis à relever, les prochaines années s'annoncent cruciales pour le développement et l'avenir de Montréal. «L'un des plus grands défis sera d'attirer et de retenir les familles de classe moyenne, et de stopper leur exil vers la banlieue, dit Paul Lewis. Mais ce ne sera pas une bataille facile.» MONTRÉAL EN CHIFFRES > Population : 1,98 million (2012) > Nombre d'emplois : 977 900 (décembre 2013) > Nombre d'établissements manufacturiers : 9055 (2010) > Taux d'activité : 65 % (décembre 2013) > Taux d'emploi : 59,1 % (décembre 2013) > Taux de chômage : 9,1 % (décembre 2013) > PIB aux prix de base par habitant : 58 126 $ (2012) > Revenu disponible des ménages par habitant : 26 469 $ (2012) Source : Institut de la statistique du Québec PRINCIPAUX SECTEURS D'ACTIVITÉ À MONTRÉAL EN 2012 1. Commerce de gros et de détail: 141 300 emplois (15,0% du total) 2. Soins de santé: 113 040 emplois (12,2%) 3. Services professionnels, scientifiques et techniques: 106 446 emplois (11,3%) 4. Fabrication: 101 736 emplois (10,8%) 5. Information, culture et loisir: 68 766 emplois (7,3%) 6. Hébergement et restauration: 62 172 emplois (6,6%) Source: Desjardins, Études économiques
  6. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2014/01/20140113-121935.html L'autoroute 40 ouest a été complètement fermée à la circulation, lundi midi, après qu'un morceau de béton eut chuté d'un viaduc dans l'ouest de Montréal. (Photo Agence QMI) Une voiture a été touchée par du béton et d'autres véhicules ont subi des crevaisons. (Photo Agence QMI) L'incident, qui n'aurait pas fait de blessé, s'est produit près de la sortie pour les boulevards Henri-Bourassa et Hymus <small class="caption" style="color: rgb(128, 128, 128); font-family: arial, helvetica; background-color: rgb(20, 21, 35);">(Photo Agence QMI)</small> Une voiture a été touchée par du béton et d'autres véhicules ont subi des crevaisons. <small class="caption" style="color: rgb(128, 128, 128); font-family: arial, helvetica; background-color: rgb(20, 21, 35);">(Photo Agence QMI)</small> L'incident, qui n'aurait pas fait de blessé, s'est produit près de la sortie pour les boulevards Henri-Bourassa et Hymus
  7. Ruisseau Molson : géolocalisation avec photos aériennes de 1947, Boisé entre Notre-Dame et Hochelaga D'autres vidéos ici: http://www.youtube.com/results?search_query=ruisseau+molson&oq=ruisseau+molson&gs_l=youtube.3...621375.626339.0.626962.15.13.0.2. 2.0.669.2141.7j3j1j1j0j1.13.0...0.0...1ac.1.11.you tube.X7WLMaMAQbk
  8. Philippe Mercure LA PRESSE Publié le 12 septembre 2012 à 06h31 (Montréal) Il a les poches profondes, un historique de succès et un réseau de contacts qui s'étend partout au Canada et aux États-Unis. Et il débarque à Montréal avec des millions de dollars à miser sur les entreprises d'ici. EnerTech Capital, important gestionnaire de capital-risque spécialisé dans les énergies vertes et l'efficacité énergétique, ouvre un bureau à Montréal. Il sera dirigé par Anne-Marie Bourgeois, une figure bien connue du milieu des technologies propres qui compte 17 ans d'expérience dans le secteur. «La présence d'Hydro-Québec et de son Institut de recherche, qui génèrent beaucoup d'innovation en nouvelles technologies, est l'un des aspects qui nous ont attirés au Québec. L'autre est le grand nombre d'entreprises innovantes dans le secteur de l'énergie et des technologies propres qu'on voit émerger dans la province», a dit à La Presse Affaires Wally Hunter, associé principal d'EnerTech Capital. Fondé aux États-Unis en 1996, EnerTech possède aujourd'hui des bureaux à Philadelphie, Toronto et Calgary. Son métier: miser de l'argent sur de jeunes entreprises du domaine des énergies vertes et de l'efficacité énergétique dans l'espoir de les voir percer. Le portefeuille d'EnerTech atteint aujourd'hui 450 millions US et l'entreprise a généré 31 «sorties» - un terme qui signifie qu'elle a réussi à récupérer son investissement (et parfois beaucoup plus) dans une entreprise parce que d'autres investisseurs ont pris le relais, que l'entreprise est entrée en Bourse ou qu'elle a fait l'objet d'une acquisition. EnerTech vient de lancer le quatrième fonds de son histoire, dont 60 millions ont déjà été récoltés. Taille visée: 150 millions. Selon M. Hunter, on peut s'attendre à ce que 20% de la somme ou même davantage soit investi dans les entreprises du Québec. Pour identifier les meilleures occasions d'affaires dans la province, EnerTech s'est réjoui d'avoir recruté Anne-Marie Bourgeois. Mme Bourgeois a notamment participé au financement des entreprises en démarrage de technologies propres au sein de la fondation Technologies du développement du durable Canada. «Son expérience et sa connaissance du marché québécois vont nous être très précieuses, a dit M. Hunter. On se sent comme des recruteurs de hockey qui ont gagné leur repêchage.» «De Philadelphie, il peut être difficile de bien prendre le pouls du marché québécois. De mon côté, je connais très bien les entreprises - ça fait 17 ans que je travaille avec elles. On va donc être beaucoup plus proactifs à partir de maintenant», dit de son côté Mme Bourgeois. Fait intéressant, EnerTech avait reçu un investissement d'Hydro-Québec quand elle avait lancé son deuxième fonds. L'entreprise a déjà annoncé son intention de travailler de concert avec Cycle Capital, un gestionnaire de capital-risque québécois entièrement qui se consacre aux technologies propres. «Nous connaissons Cycle depuis longtemps et nous sommes actuellement en train de regarder quelques-unes de leurs entreprises», a révélé M. Hunter. Deux transactions en particulier sont à l'étude, a-t-il précisé. Loin de craindre la concurrence, Cycle Capital a salué l'arrivée de ce nouvel acteur au Québec. «Cycle fait rarement des investissements seul, et c'est extrêmement positif d'avoir des partenaires qui amènent d'autres ressources financières et d'autres liens dans le marché au niveau international», a commenté Andrée-Lise Méthot, fondatrice et associée principale chez Cycle Capital. «Le seul fait qu'un acteur de la trempe d'EnerTech démontre de l'intérêt pour le Québec prouve qu'il se passe des choses intéressantes dans notre marché», a ajouté Mme Méthot. Outre l'argent, EnerTech amènera avec lui tout un réseau de co-investisseurs, notamment américains, qui pourront investir et éventuellement conseiller et aider à propulser les entreprises québécoises sur lesquels ils miseront. «C'est peut-être le plus grand bénéfice pour le Québec, dit à ce sujet M. Hunter. Des investisseurs qui n'avaient pas nécessairement le Québec sur leur radar risquent d'investir ici parce qu'ils nous connaissent, qu'ils connaissent notre réputation et notre feuille de route.» ENERTECH CAPITAL EN UN COUP D'OEIL - Fondé en 1996 - Gère un portefeuille de 450 millions US - 31 sorties réussies - Déploie actuellement son quatrième fonds http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201209/12/01-4573234-energies-vertes-un-investisseur-majeur-debarque-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  9. Petit projet de 25 unités sur 3 étages. Ce n'est surement pas en hauteur mais j'aime le design du condo qui est toute en brique rappelant le passé industriel de ce quartier et s'intégrant bien avec d'autres batiments du secteur. Malheureusement il n'y a qu'une toute petite photo sur la page d'accueil du constructeur et je ne suis pas capable de l'insérer ici. Par contre il y a d'autres infos sur la page de ce projet. http://grouperossi.ca/main.cfm?p=11&l=fr&ProjetID=43
  10. 6 juin 2007 Une partie de la rue Sainte-Catherine deviendra piétonne, entre les rues Saint-Hubert et Papineau, durant six week-ends de l'été. Ce projet pilote, s'il est concluant, pourrait mener à donner accès aux piétons d'autres artères montréalaises. L'expérience avait été tentée avec succès lors des Outgames, l'an dernier. « Les gens aiment ça, prendre un verre et regarder passer les gens », explique le directeur général de la Société de développement commercial (SDC) du Village, Bernard Plante. « C'est une autre ambiance complètement. » L'objectif principal de l'arrondissement est d'attirer les touristes et les consommateurs pour contrecarrer la concurrence des commerces de banlieue. « Toutes les expériences européennes et nord-américaines en terme de piétonnisation ont toutes eu des impacts positifs en terme d'achalandage commercial », soutient le maire de l'arrondissement Benoît Labonté. Les rues transversales demeureront ouvertes durant ces week-ends pour piétons seulement. Résidents et passants accueillent le projet avec enthousiasme et si les réactions demeurent aussi positives à la fin de l'été l'arrondissement pourrait rendre la mesure permanente. « Non seulement sur la rue Sainte-Catherine, mais aussi ailleurs dans l'arrondissement », poursuit le maire Labonté. Le maire de l'arrondissement vise notamment la rue Saint-Paul. Benoît Labonté rappelle que les villes de Boston et Ottawa possèdent toutes des rues piétonnes. De plus, le plan de transport présenté par la Ville, il y a quelques semaines, recommande de diminuer la présence de l'automobile au profit d'autres modes de transport dans la métropole.
  11. Le Cirque du Soleil agira désormais à titre de consultant pour d'autres artistes sur des projets d'envergure. Son premier client? Madonna, qui a fait appel au Cirque pour la mise en scène de sa tournée MDNA qui commence cette semaine. Ce n'est pas la première fois que le Cirque du Soleil offre ses services à d'autres artistes. L'hiver dernier, l'entreprise québécoise a aidé Madonna sur son spectacle de la mi-temps du Super Bowl. L'expertise du Cirque pour la conception de costumes a aussi servi sur le plateau de tournage de plusieurs films (confidentialité oblige, le Cirque ne peut dévoiler quels films). «Notre entreprise est d'abord une entreprise de création. (...) Ce nouveau service d'affaires permet à nos équipes de création de vivre des projets différents et stimulants qui valorisent leur savoir-faire créatif», a indiqué Daniel Lamarre, président et chef de la direction du Cirque, par voie de communiqué. Le Cirque produit actuellement 21 spectacles à travers le monde. Son nouveau service de consultation amènera le Cirque à travailler avec la même «démarche créative», mais sur des projets qui ne sont pas traditionnellement identifiés au Cirque du Soleil. En clair, le Cirque pourra travailler sur un spectacle sans y intégrer des numéros d'acrobatie. «Nous avons longtemps résisté (de faire de la consultation pour d'autres artistes) car notre carnet de commandes est plus que rempli, mais l'expérience du spectacle du Super Bowl nous a fait tripper, dit Renée-Claude Ménard, directrice des communications du Cirque du Soleil. Beaucoup de gens ont pensé que notre contribution au spectacle du Super Bowl était seulement la partie des acrobates, mais nous avons imaginé l'ensemble de la mise en scène.» Le nouveau service de consultation du Cirque, réservé aux «projets d'envergure», sera sous la responsabilité de Jacques Méthé, directeur de la division des événements spéciaux du Cirque et producteur pour le Cirque du spectacle de Madonna au Super Bowl. Pour son premier mandat, le service de consultation du Cirque a dépêché Michel Laprise à la mise en scène de la tournée MDNA de Madonna. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201205/30/01-4530167-le-cirque-du-soleil-devient-consultant.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS13
  12. Un autre série d'immeuble qu'on pourrait qualifier de "taudis"... Mais au moins, il y a du changement qui s'en vient .... Il y avait d'autres immeuble du même ensemble dont les travaux étaient un peu plus avancés près de Jarry, mais je pouvais pas m'arrêter.
  13. Il y a deux phases à ce projet. Deux immeubles similaires. Le rez-de-chaussé est assez haut ce qui me semble inhabituel mais intéressant. Il y a un rendu pour chaque immeuble sur le site mais encore une fois je n'arrive pas à les copiers. Je laisse le site du promoteur car il y a d'autres projets mais la plupart ont été posté ici meme. http://www.chapam.ca/projets.html Phase 1: Phase 2:
  14. Robert Beauchemin, collaboration spéciale La Presse On m'avait prévenu, l'avenue du Parc subit le même sort que le boulevard Saint-Laurent il y a quelques années. Trottoirs défoncés, voies de circulation réduites, bouchons, boue, grillages de fer: tout est annonciateur de difficultés. Cependant, que cela ne vous empêche pas d'aller visiter Damas, un remarquable petit resto syrien, ouvert depuis quatre mois. Il appartient à ce genre qui nous remue. Pas uniquement pour son décor confortable, évocateur de l'Orient certes, mais d'un Orient de luxe, moderne, sans artifice folklorique, sans garde-à-vous nostalgique, sans lourdeur. Mais surtout pour sa cuisine, raffinée et opulente. La Syrie et le Liban sont très proches culturellement. Leurs cuisines se touchent, leur histoire est une collision de mélanges et de perplexité permanente. C'est que la Syrie entoure presque complètement le Liban. Les conflits passés n'ont pas empêché leurs cuisines de se nourrir réciproquement au point d'être pratiquement indiscernables. La cuisine syrienne, c'est un peu la cuisine libanaise, avec les formidables spécialités aleppines et ses influences juives, arméniennes et turques en prime. Le restaurant Damas en donne une interprétation fine, moderne et parfaitement authentique. Ce n'est ni la cuisine de souk, ni de vieille mémé. Les jeunes patrons d'origine syrienne, frères et soeurs, sont nés à... Calgary et ont manifestement décidé de dévoiler le meilleur de leurs racines culinaires. Allez! Il était minuit moins cinq; ravagées par la médiocrité commerciale, traînées dans la boue de la rapidité, le no man's land gastronomique, elles retrouvent ici une sorte de grandeur un peu décadente et extraordinairement raffinée. Car découvrir une telle cuisine, c'est s'exposer à d'autres parfums, d'autres douceurs, des notes acidulées, parfois cinglantes, des contrepoints insoupçonnés entre le sucré et le salé, des associations de textures et de couleurs singulièrement franches qui nous font souvent défaut en Occident. Chez Damas, on les découvre par des entrées spectaculaires. Et des plats d'une remarquable robustesse, aux goûts aussi crus et directs que les regards des Syriens quand ils nous apostrophent dans la rue. On reste presque sur la défensive devant tant de brillance, de chaudes associations de parfums, rose, pistache, olive, persil, sésame, tant de fulgurance en cuisine! Aussi bien dans les grillades que les salades et les petits plats de légumes et de fromages, chauds ou froids, qui nous servent d'entrées. Au fond, c'est un peu ça prendre un pays et le comprendre de l'intérieur, par le goût. Pour tous les sens À table, la salade fattouche, faite à l'instant de concombre, tomates, poivrons frais, est remuée avec de la très bonne huile d'olive, du citron fraîchement pressé, de la poudre de sumac légèrement acidulée. Puis un sauté de pointes d'okras miniatures, intensément tomaté, capiteux et riche avec des notes de mélasse de grenadine. Des kibbes d'agneau sont moelleux, goûteux et s'effritent délicatement sous nos doigts. On les trempe dans une sorte de sauce au yaourt citronné. On les présente joliment dans des assiettes toutes blanches. Un humus est assorti de viande de boeuf épicée, saupoudrée de pistaches et de noix de pins rôties, d'un trait d'huile, de gouttes de citron. C'est aussi beau à voir qu'un tableau de Francis Bacon. Et c'est bien meilleur. Les plats continuent d'arriver, ils sont copieux, affriolants dans leurs couleurs ardentes et leurs fumets intenses. Le muhammara - une purée de poivrons, de piments forts, de pain, de noix, tout cela malaxé à de la mélasse de grenadine - est un peu salé, mais on le termine en se léchant les doigts. C'est irrésistible, toute cette abondance. Des cailles grillées au citron et au piment, des courgettes confites, une purée de betteraves et d'aubergines au sésame. En plat, ce sera la même tonitruance, oh! Seigneur! Un plat de kebabs, traité dans une sauce riche aux cerises aigres, avec une petite pyramide de riz cuit au centre, est sucré à fond et pourtant bizarrement... salé. C'est l'un des plats les plus intenses qu'il m'ait été donné de goûter ces dernières années. J'ai envie de partir là-bas dès ce soir! Le Fatta de jarret d'agneau mélange, pèle-mêle, le pain grillé, un yaourt épais comme du miel, des épices, des pistaches, de la coriandre fraîche, de la menthe et de l'ail. Après ces étourdissements, on se demande: comment font-ils? Nous terminons sur des douceurs tout aussi suaves, la meilleure faite de fromage, de noix et parfumée d'un doigt d'eau de fleur d'oranger, il me semble. En un mot, ce resto est tout simplement épatant. Qu'attendez-vous? Damas 5210, avenue du Parc, Montréal 514-439-5435 Prix: Les mezze entre 5 et 15$, les plats de 17 à 27$, une formule comprenant 3 services pour 36$. Ce n'est pas donné pour ce genre de cuisine, c'est vrai. Mais le soin et la finesse des préparations justifient les prix et, au bout du compte, c'est raisonnable. Comptez une centaine de dollars pour deux personnes. Service: Rien ne vaut la courtoisie. La patronne est comme le temps qui passe, elle vous fait oublier vos soucis. Faune: Jeune et urbaine, couples pittoresques qui articulent leurs remontrances en chuchotant, groupes d'étudiants anglos bruyants et sympathiques, portant tuques et jeans en bas des hanches. Vin: On a obtenu le permis après notre passage. Décor: Mille et une nuits croisé à la trattoria du coin, un brin tapageur, mais confortable. (") Qualité et finesse de la cuisine. Et de l'accueil. (-) Pour y accéder, il faut passer derrière un mur grillagé, comme la frontière entre le Mexique et le Texas. On y retourne? Tout de suite! http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/restaurants/201011/15/01-4342827-restaurant-damas-raffinement-et-opulence.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_vivre_259_accueil_POS1
  15. Bonjour, Chez moi dans mon corridor central j'ai fait une exposition de Montréal en construction et je voulais en partager une peu avec vous. Si vous avez d'autres photos en construction de nos jours où du passée, amusons nous, exposons-les.
  16. Probablement une publicité bien placée de la part de Tourisme Montréal pour combattre les page du MacLean's et d'autres magazines, Un cahier spécial est inclut dans le Globe and Mail d'aujourd'hui http://www.montreal2025.com/pdf/Globe_and_Mail20091110.pdf
  17. Voici 2 photos de mon nouveau bureau, il ne faisait pas très beau aujourd'hui mais je vais en prendre d'autres bientôt. Je vais essayer d'aller aux autres coins du bureau pour d'autres angles Le delta a l'air d'un nain:
  18. Publié le 27 avril 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Budget 2008 de la fête du Canada: 85% au Québec Malorie Beauchemin La Presse (Ottawa) Tant sous les conservateurs que sous les libéraux, le Québec continue d'être inondé d'argent pour célébrer la fête du Canada. L'an dernier, c'est 3,2 millions de dollars qui ont été accordés à la Belle Province par Patrimoine Canada pour financer le comité Le Canada en fête, responsable des festivités, selon des documents obtenus grâce à la loi d'accès à l'information. Or, le budget total du Ministère pour tous les comités des 10 provinces et trois territoires s'élève à 3,77 millions. L'Ontario, en comparaison, a reçu 100 000$ de Patrimoine Canada pour son comité Le Canada en fête, l'Alberta, 50 000$, le Yukon, 20000$ et l'ensemble des régions de l'Atlantique, un total de 196 000$. Le Québec retire donc à lui seul 85% de l'enveloppe, soulevant la grogne, de nouveau, des souverainistes. «C'est 85% qui va au Québec, mais c'est pour 100% de propagande», estime Carole Lavallée, porte-parole du Bloc québécois sur les enjeux touchant le ministère du Patrimoine canadien. «Normalement le Québec a de la difficulté à avoir sa juste part dans les différents programmes, ajoute-t-elle. Encore récemment, on le voit concernant l'harmonisation des taxes, le Québec n'a pas sa part, on réclame des milliards au fédéral. Le seul moment où on a plus que notre part, une part injuste, c'est quand ils veulent fêter le Canada.» À Patrimoine Canada, on explique que le Québec bénéficie de la contribution la plus élevée parce que le comité «organise des activités dans 29 villes importantes d'un bout à l'autre de la province, en plus d'accorder des subventions et des contributions pour des célébrations communautaires», indique le document obtenu par La Presse. D'autres événements Au bureau du ministre du Patrimoine, James Moore, on rappelle par ailleurs que le comité Le Canada en fête au Québec contribue aussi au financement des célébrations entourant d'autres événements, dont la Saint-Jean-Baptiste, le 24 juin, et la Journée nationale des Autochtones, le 21 juin. «C'est la seule province où ça fonctionne de cette façon», souligne Deirdra McCraken, porte-parole du ministre. Pour le Bloc québécois, l'enjeu revient continuellement, peu importe le gouvernement en place. «Les conservateurs et les libéraux, sur le plan de la propagande fédéraliste, sont pas mal à égalité. Il n'y a pas de différence, soutient Carole Lavallée. Ils essaient de nous faire avaler le drapeau du Canada de force dans la gorge comme on gave des oies. Ils doivent bien s'apercevoir que ça ne fonctionne pas.» Le gouvernement libéral, en 2005, a réduit le budget total des comités des célébrations du Canada de 4,9 à 3,7 millions, et la contribution attribuée au Québec est passée de 4,5 millions à 3,2 millions, «afin que des fonds puissent être répartis à d'autres provinces et territoires», stipule le document. Mais dans les faits, le budget des autres provinces et territoires n'a été augmenté que de quelques milliers de dollars, selon les chiffres de Patrimoine Canada. Le budget pour les fêtes de cet été est actuellement en cours d'approbation, note-t-on au Ministère. Avec la collaboration de William Leclerc
  19. Ex-Centris délaisse le cinéma Le Devoir Odile Tremblay Édition du mardi 13 janvier 2009 Mots clés : Ex-Centris, Culture, Cinéma, Montréal, Québec (province) Daniel Langlois donne une nouvelle vocation à ses salles Daniel Langlois fondait il y a dix ans, boulevard Saint-Laurent, le complexe Ex-Centris, consacré jusqu'ici au cinéma. Photo: Jacques Grenier Le temple cinématographique Ex-Centris, qui fêtera ses dix ans en juin, un des rares complexes dédiés au cinéma de qualité à Montréal, cessera sa programmation régulière de films à compter du 20 mars prochain. Son propriétaire et mécène, Daniel Langlois, entend changer la vocation de l'établissement pour le convertir en lieu d'exploration culturelle diversifiée: performances musicales, oeuvres interactives, art de la scène multimédia, etc. «Ce n'est jamais le fun de dire: "On laisse aller". Moi aussi, ça me fait de la peine, déclarait hier Daniel Langlois au Devoir. J'annonce une nouvelle positive: l'objectif d'explorer à fond l'ensemble des possibilités offertes par nos installations et les offrir au public, avec un aspect triste. Les cinéphiles perdent un lieu unique. Je le sais.» Sa vision le mène ailleurs. «Mon intérêt dans la vie, c'est un contenu diversifié, l'accès à des cultures variées, interactives. J'ai continué dans le cinéma le plus longtemps possible. La technologie avant-gardiste des salles permettait au départ d'explorer de nouvelles avenues, mais en se concentrant sur les films, il devenait impossible de diffuser d'autres types de projets. On a conservé ce mandat-là durant dix ans. Tout au long des opérations, on a essayé d'intégrer, en plus de la programmation cinéma, l'exploration culturelle, mais les paramètres de diffusion de films rendaient la cohabitation impossible. Les contraintes imposées par la distribution traditionnelle du cinéma, qui sont basées sur un nombre de séances fixes par jour et sept jours sur sept, sont acceptables pour les salles à vocation spécialisée et équipées uniquement pour la projection du cinéma. Par contre, cela limite grandement un lieu polyvalent comme Ex-Centris, qui désire programmer à sa guise un contenu varié et expérimental. Je ne pouvais présenter un show de danse, par exemple. Nos opérations n'ont jamais été commerciales, et je ne coupe pas les projections de films pour des raisons économiques. Il est évident toutefois que les coûts d'exploitation ont augmenté, mais pas le prix des billets.» Une partie du personnel devra quitter le poste, six personnes en tout, dont Paule Vaillancourt, directrice des opérations des salles, Marie-Christine Picard, directrice de la programmation, Nadine Viau, attachée de presse, ainsi que des projectionnistes et plusieurs placiers. Exit les bons films qui plaisaient si fort aux cinéphiles? «Pas tout à fait, répond Langlois. On va faire du cinéma sur le mode événementiel. Quand il y aura des visionnements de films, ils seront associés à d'autres activités: conférences, échanges, activités interactives. J'ai accompli le travail que j'avais à faire. D'autres poursuivront cette mission: le Beaubien occupe de plus en plus de place, ainsi que le cinéma du Parc. Ils prendront la relève. Au début, on était presque seuls dans ce créneau. Pas aujourd'hui.» Daniel Langlois entend défendre son amour du septième art: «Pour moi, le cinéma demeure une des formes les plus puissantes et complètes pour véhiculer des émotions et des concepts humains, et je resterai toujours un cinéphile. Cela dit, il existe d'autres formes d'expression qui m'intéressent.» Et qu'en est-il du Festival du nouveau cinéma dont le fief était l'Ex-Centris? «Si le FNC veut revenir ici, les installations seront transformées, précise Daniel Langlois. Mais deux écrans traditionnels sur trois demeureront en activité. Ça sera aux dirigeants du FNC de faire leur choix. Ils pourraient très bien décider de revenir ici.» Dès le 20 mars, les salles de cinéma seront fermées pour quelques mois, afin d'intégrer de nouveaux équipements et des installations supplémentaires, conformes à la vocation multidisciplinaire. Pour les cinéphiles, toutefois, le deuil est immense. «Il s'agit d'une grande perte pour le Québec et pour la diffusion du cinéma d'auteur, déclarait hier Claude Chamberlan, directeur de la programmation au Festival du nouveau cinéma et longtemps à la tête de la programmation des films à Ex-Centris. Si peu de cinémas se consacrent aux films d'auteur. Je crains l'effet domino. Quand des salles sont éliminées, moins d'oeuvres de la cinématographie internationale peuvent trouver leur vitrine. En plus, elles marchaient bien, ces salles-là.» Le Cinéma Parallèle, une des trois salles de l'Ex-Centris, rampe de lancement pour plusieurs films québécois, documentaires et fictions confondus, devrait renaître ailleurs. «Nous allons le relocaliser et cherchons présentement un local. Pas question de l'abandonner», assure Claude Chamberlan, lui aussi en état de choc. http://www.ledevoir.com/2009/01/13/227162.html (13/1/2009 8H45)
  20. Le ministre fédéral des Finances répète que les pays doivent éviter le protectionnisme, et se dit prêt à prendre d'autres mesures pour compenser la perte d'investissements étrangers au Canada. Pour en lire plus...
  21. Alcoa garde le cap au Québec 22 janvier 2009 - 06h41 La Presse Hélène Baril La crise frappe dur dans le secteur de l'aluminium, mais le plus important producteur mondial ne remet pas en question ses projets d'expansion au Québec. Les discussions se poursuivent avec le gouvernement du Québec pour obtenir un bloc d'énergie supplémentaire pour doubler la capacité de l'aluminerie de Deschambault, a fait savoir hier le président d'Alcoa Canada, Jean-Pierre Gilardeau, après s'être adressé aux membres de l'Association de l'industrie électrique du Québec. Alcoa (AA) et le gouvernement du Québec s'étaient entendus pour accélérer ces discussions, avec l'objectif de les conclure en 2008. Si les pourparlers durent toujours, ce n'est pas parce qu'Alcoa est moins pressée de le voir aboutir, a assuré M.Gilardeau. «C'est une négociation très complexe, qui prend du temps, et il y a eu des élections entre-temps qui ont fait en sorte d'allonger les délais, mais on est encore dans un mode négociations qu'on espère régler bientôt.» Alcoa veut obtenir 500 mégawatts d'électricité supplémentaire à un tarif avantageux afin de doubler la capacité de son usine de Deschambault au coût de 1,4 milliard de dollars et pour certains autres projets dont le président d'Alcoa a refusé de parler hier. «Les autres projets sont encore trop flous pour pouvoir en parler», a-t-il dit. Comme les autres producteurs d'aluminium, Alcoa a dû effectuer un important changement de cap pour s'ajuster à la dégringolade rapide de la demande et du prix du métal. L'entreprise a déjà annoncé une réduction de 18% de sa capacité de production et une diminution de 13% de son effectif, soit 13 500 emplois. Les activités d'Alcoa au Québec ont été épargnées par le couperet. L'entreprise a plutôt décidé de devancer la modernisation de l'usine de Baie-Comeau, un investissement de 1,2 milliard. Ce projet suit son cours et n'est pas menacé par la décision d'Alcoa de réduire de moitié ses investissements en 2009, a assuré Jean-Pierre Gilardeau. "Nos alumineries au Québec sont parmi les mieux placées dans le groupe Alcoa." Malgré les réductions de production déjà annoncées partout dans le monde, les stocks augmentent et le prix de l'aluminium continue de baisser. Plusieurs analystes estiment que d'autres réductions de production seront nécessaires. La présidente de Rio Tinto Alcan, Jacynthe Côté, a aussi dit mardi que d'autres réductions de production pourraient être nécessaires. Hier, le président d'Alcoa Canada n'a pas voulu s'embarquer dans ce genre de prévisions. «On n'a rien autre à annoncer pour le moment, on suit la situation et on a fait l'effort que nous avions à faire.» Même si certains analystes croient qu'une reprise pourrait se manifester à la fin de 2009 ou au début de 2010, Jean-Pierre Gilardeau pense que ce sera plus long. «À mon avis, on est là-dedans pour encore cinq ou six trimestres», a-t-il dit. À moyen terme, Alcoa planifie une forte augmentation de sa production d'aluminium pour satisfaire une demande qui ira croissant. La consommation mondiale d'aluminium, qui est actuellement d'environ 38 millions de tonnes, devrait atteindre 70 millions de tonnes dans 10 ans, a souligné M. Gilardeau. Pour satisfaire cette demande, il faudra que les alumineries actuelles fonctionnent à plein régime et qu'il s'en construise une vingtaine d'autres. «Avec la crise économique actuelle, la courbe de progression ne sera pas aussi linéaire que ce qu'on entrevoyait il y a encore peu de temps, a-t-il dit. Mais les tendances lourdes sont là pour appuyer cette croissance et pour justifier les projets d'avenir qu'Alcoa entretient ici, au Québec, et à l'étranger.» Le titre d'Alcoa valait hier 8,54$US à la Bourse de New York. Depuis un an, il a varié entre un creux de 6,80$US et un sommet de 44,77$US.
  22. Relancer l'économie avec les infrastructures ? 22 janvier 2009 - 06h33 La Presse Stéphane Paquet Après avoir abaissé son taux directeur à 1% mardi, la Banque du Canada a prévenu que l'économie canadienne se contracterait de 1,2% cette année. Face à ces prévisions moroses, les yeux se tournent vers le ministre des Finances, Jim Flaherty, qui a promis d'appuyer sur l'accélérateur mardi prochain, avec la présentation d'un budget expansionniste. Son discours doit notamment contenir des dépenses en infrastructures et des baisses d'impôts. Laquelle de ces options peut le plus relancer une économie qui s'enlise? Automne 2007. Le gouvernement fédéral s'apprête à faire un cadeau aux consommateurs canadiens, en baissant la TPS de 6% à 5%. Le maire de Maniwaki Robert Coulombe, qui est par la suite devenu président de l'Union des municipalités du Québec, saute dans sa voiture et se rend à Québec. Il veut convaincre les trois partis à l'Assemblée nationale de mettre la main sur ce pactole d'un peu plus d'un milliard de dollars et de créer un fonds qui permettra de réparer les infrastructures municipales. L'UMQ n'a pas réussi à convaincre Québec. Les Québécois ont eu droit à leur baisse de TPS. Les routes, les ponts, les aqueducs et les égouts vieillissants ont dû attendre, l'aide supplémentaire n'est pas venue. Mardi, quand le ministre Flaherty présentera son budget, à Maniwaki comme dans les autres villes du pays, les maires devraient être plus chanceux que ne le fut la délégation de l'UMQ à l'automne 2007. Dans ses quelques déclarations claires sur le contenu de son budget, le ministre n'a pas caché qu'il y aurait de l'argent pour les infrastructures. «C'est la meilleure façon de mettre les gens à l'emploi et de créer de l'activité économique», souligne M. Coulombe, du cellulaire de sa voiture. Il n'est pas le seul à attendre avec espoir les milliards d'Ottawa. Une majorité d'économistes pensent aussi que c'est le meilleur moyen de relancer l'économie canadienne qui s'enlise. Yves St-Maurice, économiste en chef adjoint chez Desjardins, est de ceux-là. «Ce qui est important, c'est qu'on injecte de l'argent rapidement, de façon efficace dans l'économie et de le faire directement.» Pour lui, c'est aux gouvernements à agir, pas aux consommateurs par l'entremise d'une baisse d'impôt. De plus, comme Barack Obama l'a fait en mettant l'accent sur l'environnement et l'énergie, les investissements gouvernementaux permettent aux autorités de donner une direction à l'économie, de les insérer dans "une vision à moyen terme de ce que va être l'économie dans trois ou cinq ans". Compte tenu de l'état actuel de l'économie, tout le monde s'entend sur le fait qu'Ottawa doit prendre des mesures qui auront un effet rapidement. Depuis la semaine dernière, le ministre fédéral des infrastructures, John Baird, répète même qu'il est prêt à revoir des lois sur la protection de l'environnement pour s'assurer que les projets décolleront rapidement. Aussi, il espère s'entendre avec les provinces pour éviter que les impacts environnementaux ne soient étudiés deux fois, une première par les provinces, une seconde par le fédéral. Selon les calculs de M. St-Maurice, il faut environ 15 milliards d'investissements annuels pour augmenter le PIB de 1%. D'autres plus optimistes, qui attribuent un plus grand impact aux dépenses d'infrastructures, parlent plutôt de 12 milliards. Les pessimistes font état de 20 milliards. Pas tout dans le même panier L'économiste en chef de Valeurs mobilières Laurentienne, Carlos Leitao, classé deuxième meilleur économiste au monde par Bloomberg l'automne dernier, était aussi grandement favorable aux dépenses d'infrastructures pour relancer l'économie. Notez bien le temps du verbe ici: était, à l'imparfait. «Oui aux infrastructures, mais je ne mettrais pas tous mes oeufs là-dedans», dit-il. Ce qui l'a récemment fait changer d'avis, en partie du moins, c'est l'ampleur du déficit anticipé à Ottawa, autour de 40 milliards. M. Leitao craint qu'Ottawa ne se mette à trop dépenser, qu'il y ait du gaspillage. «Il y a un risque qu'on fasse des routes vers nulle part», dit-il, en référence au "pont vers nulle part" rendu célèbre par Sarah Palin en Alaska. Une autre crainte, c'est qu'Ottawa arrive avec un gros projet. «Les études nous démontrent, dit-il, que ce qui est vraiment efficace pour stimuler l'économie, c'est une multitude de petits projets. Plus qu'un gros.» Il y a aussi un autre risque qui vient à l'esprit quand on écoute M. Coulombe, de l'UMQ: l'inflation. Si tous les gouvernements - fédéral, provincial, municipal - veulent des bétonnières dans leur cour arrière, les coûts risquent d'augmenter. Déjà, avec le programme québécois d'infrastructure lancé à la suite de l'écroulement du viaduc de la Concorde en 2006, les villes remarquent que les travaux coûtent «de 5% à 10% plus cher», selon le président de l'UMQ. «C'est une préoccupation... C'est l'ensemble des membres qui nous disent que les coûts des travaux sont plus importants.» Bémol de l'économiste de Desjardins: le secteur de la construction ayant ralenti ces derniers mois avec une perte de 44 000 emplois pour le seul mois de décembre, il y a une marge de manoeuvre. En plus de remettre du monde au travail, les travaux d'infrastructures ont d'autres avantages. D'abord, on peut arrêter de dépenser quand l'économie est relancée. Aussi, les gouvernements peuvent récupérer 35% de leurs dépenses en économies et en retombées fiscales, selon les chiffres des municipalités. Enfin, les dépenses laissent un héritage concret. Le maire de Maniwaki en rêve, de cet héritage, lui qui est prêt à rénover son aqueduc, mais n'a pas les 2,5 millions nécessaires pour le faire. Et à voir les tuyaux qui pètent au grand froid à Montréal et d'autres villes du Québec cet hiver, on comprend que bien d'autres maires en rêvent aussi. OTTAWA A D'AUTRES OUTILS DANS SON SAC Faciliter le crédit Les banques ont peur de prêter de l'argent? Il faut en injecter par un autre canal pour que les entreprises puissent emprunter et investir. C'est ce qui s'est produit en novembre quand Ottawa a annoncé un investissement de 350 millions de dollars dans la Banque de développement du Canada. Lundi, Ottawa a confirmé avoir versé 250 millions à la BDC, les 100 autres millions le seront plus tard. Avec cette première tranche, la BDC estime qu'elle pourra offrir 1,5 milliard de financement aux PME canadiennes. «Ça demeure une estimation», explique Michel Bergeron, vice-président aux relations d'entreprise de la BDC, qui précise que la somme totale qui sera consentie dépendra du niveau de risque des prêts. Ottawa pourrait mardi prochain revenir à la charge avec de l'argent supplémentaire pour aider les entreprises à se financer. La BDC compte 28 000 clients. Recycler les travailleurs L'idée, toute simple en apparence, c'est de prendre des travailleurs d'une industrie en déclin et les former pour qu'ils aillent combler les postes de secteurs en croissance. Le travail d'Ottawa et des provinces, c'est de s'assurer que les chômeurs trouvent des cours et puissent retourner vite sur le marché du travail. En pratique, de tels programmes ont parfois donné des résultats mitigés dans un passé pas si lointain. Des travailleurs de l'industrie forestière de Lebel-sur-Quévillon, qu'on a formés pour devenir mineurs, se sont retrouvés le bec à l'eau quand la mine n'a plus eu besoin d'eux, les prix des matières premières ayant plongé comme celui du bois et du papier. Bonifier l'assurance emploi Pour que les personnes qui ont perdu leur emploi continuent à dépenser, donc à faire rouler l'économie, Ottawa pourrait augmenter les chèques d'assurance emploi. En plus, le gouvernement fédéral pourrait réduire le nombre d'heures de travail nécessaire avant d'être couvert par l'assurance. Le montant assurable pourrait aussi être plus élevé. Bref, en donner plus aux chômeurs. Comme le souligne Carlos Leitao, de Valeurs mobilières Laurentienne, «ce sont des dépenses qui se font tout de suite». Et à peu près tout le monde s'entend sur la nécessité d'agir maintenant. Ottawa a toutefois des réticences: il sera politiquement difficile de réduire les prestations une fois la crise passée. Les cinq règles d'or pour relancer l'économie 1 Les mesures du gouvernement doivent être mises en place rapidement. 2 Il doit s'agir d'investissements plutôt que de dépenses. 3 Pour maximiser l'impact sur l'économie locale, les investissements doivent avoir une partie importée limitée (contre-exemple: investissement dans des machineries importées des États-Unis ou du Japon). 4 Les sommes injectées ne doivent pas être récurrentes, question d'éviter les déficits structurels. 5 Les investissements doivent être diversifiés afin d'éviter les pénuries de main-d'oeuvre, par exemple dans la construction.
  23. Secouée, comme d'autres, par le ralentissement économique, l'entreprise Plastiques Moore, de Saint-Damien, vient de trouver un peu de réconfort. Pour en lire plus...
  24. L'économiste Benoit Durocher a beau prédire d'autres pertes d'emplois au Canada, il jure être un optimiste dans l'âme. Pour en lire plus...
  25. Le pays est en meilleure position que d'autres pays industrialisés pour faire face à la récession actuelle et devrait en sortir plus vite, a estimé le premier ministre. Pour en lire plus...
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