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  1. Montréal dévoile la plus coûteuse oeuvre d’art public au Québec Le collectif d’artistes BGL réalisera l’oeuvre de 1,1 million de dollars 30 août 2013 | Isabelle Paré , Frédérique Doyon | Arts visuels <section class="retenir retenir_paysage">Tous nos textes sur l'art public Pour lire notre série Décryptage sur l'art public </section>La Ville de Montréal annoncera ce vendredi matin l’octroi de 1,1 million de dollars au collectif d’artistes BGL art contemporain de Québec pour la réalisation de la plus coûteuse oeuvre d’art public jamais réalisée au Québec. Intitulée « La vélocité des lieux », l’oeuvre monumentale dominera du haut de ses 63 pieds le carrefour réaménagé à l’angle des boulevards Pie-IX et Henri-Bourassa, dans l’arrondissement Montréal-Nord. Le concept du collectif d’artistes, entériné ce mercredi par le comité exécutif, sera dévoilé par le maire de Montréal, Laurent Blanchard, et la conseillère indépendante Hélène Ayotte, responsable de la culture, du patrimoine et du design. Au cours des derniers mois, la question de l’art public, dopée par le débat sur le déplacement de L’homme de Calder, a divisé les divers partis municipaux, devenant un des nombreux enjeux électoraux. Choisie à l’unanimité par le jury le 19 juillet dernier, l’oeuvre de BGL sera la plus imposante jamais réalisée au Québec dans le cadre de concours tenus par le Bureau d’art public de Montréal et par le Bureau d’intégration des arts à l’architecture du ministère de la Culture. Le budget dépasse largement le « 1 % » du budget global de construction normalement dévolu aux oeuvres d’art public. L’installation trônera sur la nouvelle « entrée de ville » du carrefour Pie-IX/Henri-Bourassa, dont la réfection atteindra à terme près de 50 millions (chiffres de 2012) et s’échelonnera jusqu’en 2016. Le comité exécutif soutient que l’oeuvre contribuera à faire de ce carrefour un lieu « identitaire et emblématique » pour Montréal. Le carrefour routier ainsi enjolivé deviendra la plus distinctive des six portes d’entrée du nord de l’Île. Le coût de l’oeuvre est compris dans les 14,5 millions prévus au Programme triennal d’immobilisations 2013-2015 pour la transformation de cet échangeur dangereux, depuis longtemps considéré comme une plaie urbaine. La vélocité des lieux bouleversera la notion d’oeuvre d’art et « développera un nouveau public pour l’art contemporain », indiquent les artistes dans leur descriptif. L’installation doit prendre la forme d’un arc constitué d’autobus, faisant le pont au-dessus d’un groupe d’arbres et de maisons, ajoutent-ils. Le collectif BGL (Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière) s’est fait remarquer depuis 16ans par ses installations audacieuses qui remettent en question le rapport de l’homme à son environnement et le caractère factice de l’objet. Plusieurs de leurs oeuvres font partie des collections du Musée des beaux-arts du Canada, du Musée des beaux-arts de Montréal et du Musée d’art contemporain de Toronto. « Championne » toute catégorie des budgets d’art public, La vélocité des lieux, qui sera installée à l’automne 2015, devance de loin le montant record de 723 000 $ attribué le printemps dernier à Sans titre, de Stephen Schofield, qui ornera en 2014 la rue Jeanne-Mance, au sud de la place des Festivals. Troisièmes au palmarès municipal, les sculptures de Melvin Charney, installées en 1992 sur la place Émilie-Gamelin, avaient coûté à l’époque 350 000 $
  2. Du Globe and Mail In Montreal, delicate design gestures help us forget the big scandals By day and by night, there are adults flying through the air at Montreal’s Quartier des Spectacles on oversize, colourful swings. Streams of cyclists whip by on dedicated bike paths. Warmed by the spring sunshine, students and gallerygoers lounge on the steps at Place des Arts, where the joys of museum, opera and symphony are recognized with fortissimo. It would seem that everything is just as it should be in Montreal, where bonhomie thrives and an art has been made of small-scale urban architecture. In the leafy neighbourhood of Saint-Louis, where many artists have made their homes, the ghost of architect Luc Laporte lives on. From an 1880s commercial building on Rue St. Denis, he punched a generous, rounded arch through the masonry to connect his instant landmark bistro directly to the street; rather than depending on loud signage, he preferred to emphasize the building as sign. L’Express is a classic, with a heated, black-and-white tiled front terrace, still beloved – still packed – 33 years after he designed it. But the sweetness of the small architectural intervention is sadly being offset these days by the weight of large public works gone wrong. The corruption charges levelled against Montreal politicians have contaminated the reputation of the venerable metropolis. Last October, the city froze all non-essential public-works projects following widespread allegations of impropriety. With more arrests being made and former mayor Gérald Tremblay now ousted from office, it’s as if a slick of toxic oil is creeping along the streets, darkening the large civic projects touched by city builders and the SNC-Lavalin engineering firm. The Montreal-based global entity had its tentacles in many of the big public-sector works in the city, including the Maison Symphonique, with its handsome wood-lined concert hall but bargain-basement public lobbies; the shiny new planetarium on the eastern edge of the city; and the still-incomplete McGill University Health Centre hospital, a massive behemoth, estimated to cost $2.35-billion, and as ugly as its multilevel parking garage. It’s impossible to travel through these facilities without contemplating what troubling scenarios might have gone on. For now, then, it’s the modest, meaningful works of architecture and joyous pop-up landscapes that are left standing with integrity fully intact. Like the fans of L’Express, Montrealers are right to turn to them as places that citizens can depend on. In the open, and often under the open sky, is where the healing can begin. When, during last weekend’s Portes Ouvertes, I walked the city’s streets touring dozens of young architecture firms and funky design studios in former textile warehouses, the joy of their public-space work was intoxicating. Wanted, a two-person landscape-architecture firm, finds its motivation in the power of design to effect social change – or simply to contribute more urban comfort and delight. Last summer on Victoria Street, next to the McCord Museum of Canadian History, Paula Meijerink and Thierry Beaudoin installed an urban forest of cushy carpets of purple turf, artificial palm pavilions and curvey benches. People lounged with friends; couples posed among the outlandish neon set piece for their wedding pictures. This month, alongside the McCord, Wanted installs a temporary urban forest – ash trees with their root balls in massive sacks. Further east at Quartier des Spectacles, the colourful swings, suspended from white steel box frames, have been custom-designed by a six-person studio called Daily tous les jours. Back by popular demand for a third summer, 21 Balançoires (check out the video at vimeo.com/40980676), notes studio principal Mouna Andraos, comes complete with a musical score: The more people swing, the more intricate the melody becomes. The studio has also produced massive sing-a-longs at fairgrounds outside of Minneapolis-Saint Paul and Dallas, offering large microphones and Auto-Tune to evoke decent collective sound. An installation of projections and sound that they hope will inspire audiences to move like the stars or the Earth is being prepared by Daily tous les jours for the $48-million planetarium. The planetarium’s design features rounded, wood-clad cinemas that push out on the upper levels as aluminum-clad cononical shapes between slanted green roofs. Designed by the city’s competition-winning Cardin Ramirez Julien & Aedifica, with, among other consultants, SNC-Lavalin, the three-level building will help anchor the Olympic grounds. “It’s definitely a shame, the huge problem the city has,” says Andraos, referring to the corruption scandals. “We’re hoping that some of the projects that we do can create exchanges for people in public spaces, and spark a sense of ownership.” In the Plateau district, a group of us – including journalists from international design media; Marie-Josée Lacroix, director of Montreal’s Bureau du design; and Élaine Ayotte, a member of the city’s newly formed executive committee responsible for culture and design – are led on a tour that begins by paying design homage to Laporte, who died in 2012. Heritage advisor Nancy Dunton leads our group to a stunning row of grey limestone townhouses fronting onto genteel Saint-Louis Square. Distinctive black steel railings and simple stone stairs on the Victorian exteriors are the work of Laporte, a man variously described as a bon vivant and a curmudgeon, who was often given commissions by local residents who knew him well. We file into Laporte’s still-functioning live-work studio: At the front, an efficient bar/kitchen – designed with the rigour of a boat’s cabin, complete with built-in cabinets and espresso-maker – sits alongside a work table with shelves lined with historic architecture books. An old photo of the staff at L’Express is propped on the white tile floor. Toward the back of the long, narrow space, Laporte had renovated a horse stable to become his studio, and, past delicate glass doors, a small terrace where vines grow up a brick wall. It was from here that he designed many of Montreal’s most enduring bars and restos, including the elegant Laloux (1980) with its seamless black-steel front entrance and cream-coloured walls of black-framed mirrors; and the high-end housewares boutique Arthur Quentin (1975) with walls and ceiling lined and strapped in plywood. Human-scaled and warm to the touch, these are the places that never stop giving back. They continue to amuse and endure in ways very different from those who choose to become their city‘s laughing stock.
  3. Sur Jeanne-Mance: [video=youtube;mAHF8QsSu-I]http://www.youtube.com/watch?v=mAHF8QsSu-I&feature=share&list=UUCm3eAbiTKAowAPMpSdd1Xg
  4. Communiqué de presse reçu ce matin: 17h ce soir. Avis à ceux qui veulent aller voir ça. PS: Si vous savez pas qui est Roadsworth, allez voir ça (très original, et très ludique): http://roadsworth.com/home/
  5. http://mtlunescodesign.com/fr/projet/Portes-Ouvertes-Design-Montreal Montréal est une ville où le design et les designers - qu’ils soient des domaines de l’architecture ou du design d’intérieur, industriel, graphique, ou de la mode - représentent une force dynamique de la vie culturelle et économique. En juin 2006, Montréal a été désignée Ville UNESCO de design et fait désormais partie du Réseau des villes créatives de l'Alliance globale pour la diversité culturelle mis en place par l'UNESCO en 2004. Cette désignation décernée par l’UNESCO, tant sur la base des actifs que du potentiel de développement de la métropole montréalaise en architecture et en design, doit aujourd’hui être comprise et appropriée par les montréalais. La validation du titre Montréal, Ville UNESCO de design auprès des citoyens passe par la poursuite du travail de diffusion, de vulgarisation et de sensibilisation à la qualité en design et en architecture entrepris avec succès depuis 1998 par l’administration municipale au moyen de Commerce Design Montréal. Le concept même des Portes Ouvertes Design Montréal hautement public et accessible, à l’instar des Journées des Musées montréalais ou de la Culture, ou des circuits Commerce Design Montréal, est de faire [re]découvrir le design et les designers aux montréalais de façon à ce qu’ils s’approprient et soient fiers de la désignation UNESCO tout en devenant plus intéressés par ceux et celles qui façonnent leur quotidien. Depuis 2007, le bureau Design Montréal de la Ville de Montréal prend le parti d’ouvrir ces Portes ouvertes la première fin de semaine du mois de mai à toutes les disciplines du design, avec emphase sur celles qui ont un plus grand impact sur le cadre de vie montréalais (design de ville). L’originalité des Portes Ouvertes Design Montréal est de s’appuyer sur une sélection déjà existante de projets et de professionnels montréalais qui, chaque année, se distinguent dans le cadre de prix et concours d’architecture et de design crédibles, nationaux, voire internationaux. Ces lauréats restent trop souvent méconnus du public, la promotion des concours étant souvent limitée à un cercle réduit d’initiés. L’idée des Portes Ouvertes Design Montréal est de mettre fortement en lumière tous ces lauréats montréalais (concepteurs et projets) qui justifient, alimentent et sont les meilleurs ambassadeurs de Montréal Ville UNESCO de design. L’événement a pour but de : développer une culture de la qualité en architecture et en design : sensibiliser, éduquer et élever les exigences des montréalais de façon à créer une plus forte demande pour des projets innovants et de qualité démocratiser l’accès à l’architecture et au design en resituant ces professions et leur production dans le quotidien des montréalais faire découvrir au public les métiers du design et de l’architecture, défaire les préjugés envers ces professions et démontrer la richesse, la diversité et le talent de l’offre montréalaisefaire connaître la récente désignation de Montréal au titre de Ville UNESCO de design, en expliquer les fondements et développer la fierté du public situer l’action de Design Montréal comme une valeur ajoutée pour les organismes du milieu qui contribue au rayonnement de leur concours et à la notoriété de leurs lauréats
  6. http://www.mercer.com/qualityoflivingpr#city-rankings Montréal figure assez bien pour les infrastructures en 13e position, et devant Toronto. Les infrastructures sont definis comme tel: 'electricity supply, water availability, telephone and mail services, public transportation, traffic congestion and the range of international flights from local airports'.
  7. VILLE DE MONTRÉAL RÈGLEMENT 12-053 RÈGLEMENT AUTORISANT UN EMPRUNT DE 17 800 000 $ AFIN DE FINANCER LA RÉALISATION DE TRAVAUX D'INFRASTRUCTURES, D'AMÉNAGEMENT ET DE RÉAMÉNAGEMENT DU DOMAINE PUBLIC ET POUR L’ACQUISITION DE MOBILIER URBAIN DANS LE SECTEUR DU PÔLE FRONTENAC Vu l’article 544 de la Loi sur les cités et villes (L.R.Q., chapitre C-19); Attendu que l’emprunt prévu au présent règlement est décrété dans le but d’effectuer des dépenses en immobilisations prévues au programme triennal d’immobilisations de la Ville de Montréal; À l’assemblée du 17 décembre 2012, le conseil de la Ville de Montréal décrète : 1. Un emprunt de 17 800 000 $ est autorisé afin de financer la réalisation de travaux d'infrastructures, d'aménagement et de réaménagement du domaine public et pour l'acquisition de mobilier urbain dans la partie du secteur nommé Pôle Frontenac constituée de la rue Ontario entre l'avenue De Lorimier et la rue Lespérance. 2. Cet emprunt comprend les frais et honoraires d’études, de conception et de surveillance des travaux, les acquisitions d’immeubles et les autres dépenses incidentes et imprévues s’y rapportant. 3. Le terme total de cet emprunt et de ses refinancements ne doit pas excéder 20 ans. 4. Pour pourvoir aux dépenses engagées relativement aux intérêts et au remboursement de capital des échéances annuelles de l'emprunt, il est affecté annuellement à cette fin une portion suffisante des revenus généraux de la Ville de Montréal, conformément aux règles prévues par la Loi sur l’exercice de certaines compétences municipales dans certaines agglomérations (L.R.Q., chapitre E-20.001). 5. Le conseil affecte à la réduction de l’emprunt décrété au présent règlement toute contribution ou subvention qui pourrait être versée pour le paiement d’une partie ou de la totalité de la dépense décrétée par le présent règlement. __________________________ Ce règlement a été promulgué par l'avis public affiché à l'hôtel de ville et publié dans Le Devoir le 5 février 2013.
  8. Sur le site de NEUF (DCYSA). J'ignore où en est ce projet... Remarquez le français irréprochable de la firme et son autonomie face à GoogleTranslate.
  9. http://www.ledevoir.com/culture/arts-visuels/363843/epelle-moi-une-ville En 26 lettres, l’exposition ABC : MTL brosse un portrait multiforme de la métropole québécoise à partir de propositions d’artistes et du public Isabelle Paré 13 novembre 2012 Arts visuels Photo : Collection CCA. Don de La fondation Sandra et Leo Kolber. © Olivo Barbieri Né d’un vaste coup de sonde lancé au public en juin dernier par le CCA, ABC : MTL est en perpétuel mouvement, les propositions devant être remplacées périodiquement par de nouvelles d’ici mars 2013. Ici, Le parc d’amusement de La Ronde et le pont Jacques-Cartier, Montréal, 2004, une photographie d’Olivo Barbieri. À RETENIR MTL : ABC, un autoportrait de Montréal Au Centre canadien d’architecture, du 13 novembre 2012 au 31 mars 2013 Un autoportrait de Montréal en 26 lettres ? Cela donne Montréal qui rime avec culte, citoyen, ruelle, soccer et… urgence. ABC : MTL n’est pas une exposition, mais bien une conversation en 3D, une machine à penser la ville imaginée et lancée mercredi par le Centre canadien d’architecture (CCA). Abécédaire échevelé né d’un appel de projets lancé aux artistes et au public, l’exercice accouche d’un portrait-robot de la ville aux cent clochers, à mille lieues des idées reçues et des trappes à touristes. « L’idée n’était pas de faire une exposition, mais d’inventer une façon d’investir l’imaginaire de la ville contemporaine. Ce sont des voix, des conversations sur des moments quotidiens, qui sont appelés à changer au fil des mois », a expliqué hier Mirko Zardini, directeur et conservateur en chef du CCA, pour expliquer la teneur de ABC : MTL, un projet inédit dans le paysage muséal. Oubliez les incontournables icônes, lieux symboliques et autres marqueurs du paysage de l’ancien Hochelaga, l’autoportrait de la ville tracé par ces voix plurielles venues d’ici et d’ailleurs est complètement inopiné. Montréal s’y dévoile en un puzzle d’impressions urbaines, une mosaïque collective s’intéressant autant à l’environnement bâti, aux espaces délaissés, à la vie de ses habitants qu’à ses incongruités quotidiennes. Né d’un vaste coup de sonde lancé au public en juin dernier par le CCA, l’autoportrait urbain en 26 lettres est en perpétuel mouvement, les propositions devant être remplacées périodiquement par de nouvelles d’ici mars 2013. Le but : traduire par une idée le profil physique et social de la métropole et l’incarner dans une lettre. Carte blanche fut laissée aux participants sur les moyens de transposer l’essence de leur ville. Sur les 250 propositions reçues sous forme d’images, de clips, de textes, de performances, de poésies, de plans et plus encore, au moins le tiers est venu du grand public. Dix collaborateurs connus, dont Atelier Big City, Saucier + Perrotte Architectes, DHC/ART, Héritage Montréal, l’ONF et Fonderie Darling, se sont associés de près à cet exercice démocratique « in progress ». Montréal en toutes lettres Si le CCA a sélectionné les 26 premières idées de départ, là s’arrête le contrôle sur le contenu de cette image en mouvement qui a l’allure des forums sur Internet. L’exercice intuitif révèle, et révélera encore, des surprises. L’économie, l’industrie, la corruption sont absentes de cette photo de famille - et pourtant ! Mais de nouvelles idées viendront se greffer au profil de cette métropole dressé à chaud. À terme, 90 projets seront présentés en rotation. « En fait, le résultat est tout à fait cohérent avec le flou actuel qui règne à Montréal. La réponse obtenue du public distille cette impression d’une multitude de visions sans liens entre elles, sans consensus », explique le directeur du CCA. De A à Z Voici en quelques lettres, quelques extraits de cet abécédaire populaire, construit tant par les Montréalais que par le regard de visiteurs de passage. Nicolas Baier, Réminiscence, 2011 DHC/ART, Fondation pour l’art contemporain E comme dans Exil. Avec 30 % d’immigrants, Montréal est devenu une terre d’asile. Cette réalité transpire d’Histoires de vie, un projet vidéo de l’Université Concordia, qui s’immisce dans la vie de quatre Montréalais forcés de quitter leurs pays d’origine en raison de la guerre ou de violation de leurs droits. C comme dans Citoyen. Les policiers casqués ont marqué l’imaginaire des derniers mois. Iconoclaste, la photographe Emmanuelle Léonard campe les policiers de l’anti-émeute de façon humaniste, déboulonnant l’agressivité associée à leur image. L’anti-matricule 728. I comme dans Independent. Montréal est devenue la capitale de la musique Indie, avec l’émergence des Arcade Fire, Grimes, Miracle Fortress, The Dears, Bran Van 3000 et autres icônes de la scène musicale indépendante. Des vidéos de ces divers groupes sont diffusées chaque soir à 17 h au CCA. I comme dans Island. Montagne d’ambitions, tonnes d’inertie. La photo de Gabor Szilasi du slogan « La fierté à une ville », opposé à la zone délaissée sous le pont Jacques-Cartier, est un rappel cinglant de l’immobilisme qui continue de sévir à Montréal. Prise il y a près de 30 ans, cette vue du pont Jacques-Cartier depuis la rue Notre-Dame est en tout point identique à ce que l’on y retrouve aujourd’hui. Gabor Szilasi, Série d’enseignes lumineuses, La Fierté a une ville, Montréal. 1983. CCA Collection. ©Gabor Szilazi M comme dans Montroyalite. Le photographe Robert Burley a saisi avec son objectif une trace de l’unicité géologique de Montréal. Montagne surgie dans la plaine, le mont Royal est formé d’une roche ignée unique appelée la montroyalite. Robert Burley, Roche dans les bois, Mont Royal, 1990. Collection CCA. ©Robert Burley P comme dans Partition. Le collectif Audiotopie présente une partition faite à partir de bruits ambiants recueillis dans les couloirs souterrains de Montréal. L’expérience immersive nous entraîne de la station de métro Square-Victoria à la station Place-d’Armes. Parcours Reso-électro - L'Audiotopie (extrait mp3) S comme dans Soccer. Sport fédérateur entre tous à Montréal, le soccer donnera vie au Complexe de soccer à Saint-Michel. Le projet de Saucier + Perrotte redonnera en sus vie à l’ancien dépotoir Miron, pour en faire un des plus grands parcs de la ville. Mais l’alphabet ne s’arrête pas là. À ce portrait en toutes lettres s’ajoutent conférences et discussions au CCA avec les auteurs de ces vignettes montréalaises. D’autres lettres, et des capitales, viendront s’ajouter en décembre, janvier et février à cette série. Dont C pour Concrete, une sculpture de béton, formée de fragments de bitume récemment tombés de diverses infrastructures montréalaises… Ouille.
  10. MONTREAL - When James Essaris looks out over his flat concrete kingdom of 20 downtown parking lots that he started collecting in 1956, he sees a precious urban resource where others see ugliness. The much-maligned parking lot, long considered an urban eyesore and enemy of public transit, is becoming an increasingly rare feature on the downtown streetscape. Essaris, longtime owner of Stationnement Métropolitain, sees his barren concrete as more than just a chance for him to pocket some cash on the barrelhead: he believes in the good that parking lots do and considers the spaces to be the lungs of downtown commerce. “The City of Montreal should give free parking to come downtown. We’re chasing people out to the shopping centres,” he said. The new parking lot tax was adopted in 2010 and brings in $19 million a year to fund public transit. The tax is determined by a complicated formula that Essaris says in practice makes city taxes about twice as expensive on a surface lot as it would for another type of structure. The city held public hearings on the issue this spring and response to the surface parking eradication campaign — through the new parking tax and allowing larger-scale buildings on the empty lots — was greeted positively, according to City of Montreal Executive Committee member Alan DeSousa. “It brings more money into the city coffers and removes the scars in the downtown area,” he said. He said that some of lost parking spaces have been replaced by indoor parking in the various projects. But after seeing his taxes double in recent years, Essaris is now doing what many other parking-lot owners have done: He has started sacrificing his supply of parking spaces for housing, most recently building a 38-storey Icône condo tower at de la Montagne St. and René Lévesque Blvd. He has some misgivings, however, knowing that those spots will be sorely missed. “We cannot survive without parking in the city. I wish everybody could take the bus and métro, it’d make things easier, but you cannot force people onto the métro when they have a car,” he said. Urban retailers have long begged their merchants associations to create more places to park, perhaps no more than on the Main where about half of all members regularly plead for more parking, according to Bruno Ricciardi-Rigault, president of the SDBSL. “It would be really nice if we had a few more parking lots,” he said. However, the dearth of spaces is only going to intensify as the few remaining parking lots near St. Laurent Blvd. are slated to be redeveloped. Ricciardi-Rigault is bracing for more complaints from restauranteurs who have lost customers because their motorist clientele was fed up with circling the block. “Some people want to spend the whole afternoon, shop, go to Jeanne Mance Park, come back for a beer. Paying $20 to park on the street, that‘s asking a lot,” he said. Condo towers have been replacing lots in the downtown core at an impressive pace and the result is higher prices at indoor garages, reflected in a recent Colliers study that ranks Montreal as having the second-highest parking prices of any big Canadian city. Rates have risen an eye-opening 11 per cent since last year, as the average monthly price for an unreserved spot in a downtown underground commercial lot was $330.96 — $88 above the national average. The proliferation of private parking lots once inspired many to liken Montreal to a bombed-out city, but that is no longer the case. “We were spoiled by having tons of parking lots, now Montrealers will have to get used to much higher parking costs,” said Colliers representative Andrew Maravita. He credits a lower commercial vacancy rate for pushing prices higher. Up until the 1960s, Montreal tacitly allowed even historic buildings to be demolished and replaced by parking lots and until recently turned a blind eye to the countless rogue illegal lots that dotted the downtown core. For ages, Montreal surface parking lots were fly-by-night operations, changing ownership to avoid bylaw restrictions ordering them to be paved, landscaped. The city always said they couldn’t chase every owner down. But in recent years, authorities have increased taxes and cracked down on illegal lots, combining the stick of punishment with the carrot of juicy rezoning booty. In the past, many property owners failed to see the point of building on their parking lots, as the zoning frequently only allowed for small buildings. Those restrictions have been lifted on many of those properties, resulting in a bonanza for parking-lot owners whose land increased in value. The strategy was put into place with input from architect and former Equality Party leader Robert Libman, who previously served on the city’s Executive Committee. “A lot of projects going on now, on streets like Crescent and Bishop and that area, were previously zoned for two or three storeys. The urban plan capped those at a minimal height. The rezoning has made it more alluring for owners to build instead of leaving it vacant,” he says. Libman’s war against above-ground parking lots is personal. “They’re ugly and they undermine the downtown urban fabric,” Libman said. But he concedes that commerce relies on people being able to drive to a business. “You’ve got to find that careful balance between offering too much parking, making it too easy vs. your objective of discouraging people to take their car downtown and using public transit, that’s the fine line you have to find between the two,” he said. Developers are required to include parking in new projects, but the amount varies from place to place. In Laval, many projects are required to have two parking spaces per condo unit, while in the Plateau it’s close to zero spaces, although a typical recipe calls for one spot per two units. The one part of the city perhaps most challenged by a dearth of parking facilities is the booming Old Montreal area. The issue has long been considered such an urgent problem that one proposal from a decade ago even suggested that the massive silos in the Old Port be used to park cars. More recently, Old Montreal planners have installed an electronic billboard indicating where spaces could be found, but the pressure on parking endures, according to Georges Coulombe, whose real-estate company has been snapping up properties in the area for the last four decades. Coulombe concedes that area commerce has been hurt by a lack of space for cars. “People from places like Longueuil want to come shop on the weekend, but they can’t do it anymore, it’s too expensive to park, they end up going to malls closer to home.” He attempted to address the problem through a plan to build a high-tech robotic parking facility that could accommodate twice as many cars as a regular indoor lot. However, he did the math and found that it wouldn’t make sense because of city taxes. “I had a small 3,000-foot terrain that I would have turned into 300 spaces, but the city wanted to tax not just the building but the machinery inside. It made it impossible.” Much-hyped futuristic robotic parking systems are seen by some as a potential solution to parking woes and have actually been around for quite some time. The city has had at least three pigeon-hole parking systems as the earlier incarnations were known; one was opened on de la Montagne St. in the 1950s and another on Mansfield, where a worker was crushed by an elevator. A third more recent one was in operation at St. Jean and Notre Dame until a decade ago. Authorities frequently cite the fear of being unable to put out a car blaze in their opposition to such facilities. And although a few such high-tech robotic lots could elegantly alleviate parking pressures, one expert says that the standalone dedicated parking buildings will probably never get built. Chris Mulvihill, the New Jersey-based President of Boomerang Systems, a high-tech car-stacking parking lot system, notes that any landowner would most probably opt for a different sort of project. “Take any place where it’s very hard to get a parking spot,” Mulvihill says. “You’d think building a garage and charging for parking would be a good business model, but the economics dictate that if there’s a high demand for parking in that area, it’s because it’s a hot, happening place, so there are real-estate developers who want to build on that land. The demand makes it uber-expensive. A landowner could make a lot more money doing something other than parking on it.” © Copyright © The Montreal Gazette Read more: http://www.montrealgazette.com/Parking+squeeze+Downtown+businesses+feeling/7453989/story.html#ixzz2ASqBCwJE
  11. Il est grand temps que l'on y voit. Montréal est absent de cette liste, mais quel en est le rang? Singapore en 2011: 17ième rang " en 2012: 1ier " http://ca.finance.yahoo.com/photos/top-megacities-with-the-best-public-transport-slideshow/world-s-best-megacities-for-public-transport-photo-1350542401.html ================================================ Note: Sur cet autre rang mondial, Toronto est absent !!! Top 10: Public Transit Systems http://ca.askmen.com/top_10/travel/top-10-public-transit-systems_10.html
  12. http://journalmetro.com/actualites/montreal/169134/trois-idees-que-montreal-devrait-importer/ Montréal accueillera du 11 au 13 octobre un important sommet sur le patrimoine canadien. Si Montréal tire plutôt bien son épingle du jeu en termes de sauvegarde du patrimoine, elle pourrait quand même s’inspirer d’autres villes. Décryptage. Gérer le parc Jean-Drapeau à la vancouvéroise À Vancouver, l’équivalent du parc du Mont-Royal s’appelle le parc Stanley. Cette ancienne zone militaire de 400 hectares est le troisième plus grand parc urbain en Amérique du Nord, devant Central Park. Sa particularité? Comme les autres parcs de Vancouver, il est géré par sept administrateurs qui sont élus par les citoyens pour un mandat de trois ans. «Les candidats doivent notamment présenter leur vision de développement avant d’être élus et doivent ensuite rendre des comptes aux citoyens de façon mensuelle, dans le cadre d’assemblées publiques», explique Dinu Bumbaru, directeur des politiques d’Héritage Montréal. Selon lui, ce mode de gestion devrait être importé, notamment à la Société du parc Jean-Drapeau, qu’il qualifie de «baronnie». La Société du parc Jean-Drapeau a souvent fait les manchettes à cause des salaires mirobolants de ses dirigeants et de sa gestion opaque (l’ancien directeur général, qui fut un temps directeur d’Union Mont*réal, s’est fait mettre à la porte récemment). «Le parc Jean-Drapeau est un lieu d’histoire où s’est tenue l’Expo. Il mériterait qu’on lui donne une structure démocratique», clame M. Bumbaru. Malgré son mode de fonctionnement plus ouvert, le parc Stanley n’a pas été épargné par les politicailleries. En 2009, l’opposition dénonça ainsi les tentatives d’ingérence du maire Gregor Robertson dans les affaires du Board of Parks and Recreation. Promouvoir l’art public comme Calgary «L’art public, à Montréal, on en parle; à Calgary, on agit», lance Dinu Bumbaru qui cite en exemple la nouvelle promenade décorée d’œuvres récemment aménagée le long de la rivière Bow. Dans la métropole albertaine, pour chaque projet municipal qui dépasse le million de dollars, 1 % du projet va à la réalisation d’une œuvre d’art destinée à être exposée sur le site. De 2004 à 2011, 31 œuvres totalisant 10,2 M$ ont ainsi été créées et 17 pro*jets étaient en cours d’élaboration. Si la valeur artistique est inégale, M. Bumbaru pense que Montréal devrait quand même s’inspirer de ce programme. «J’ai d’ailleurs proposé aux membres d’Héritage Montréal qu’on aille voir ce qui se fait à Calgary pour y puiser des idées», rigole M. Bumbaru. Si la Ville de Montréal a adopté en 2010 un nouveau cadre d’intervention en art public qui contient plusieurs engagements, elle n’a toutefois fixé aucun échéancier pour l’intégration des œuvres aux futurs projets d’architecture. Calgary travaille, comme Montréal, à trouver une nouvelle vocation à son ancien Planétarium, mais a déjà réhabilité son square Viger, deux dossiers qui traînent à Montréal. Sauver les vieilles publicités murales comme à Lyon Montréal compterait encore plus d’une centaine de vieilles publicités peintes sur les murs à la gloire notamment des phonographes Lindsay, des fourrures John Henderson et des cigarettes Turrets. L’écrivaine Réjane Bougé a publié un livre sur le sujet qui sort en librairie cette semaine : Sur les murs d’un Montréal qui s’efface. Selon elle, il faudrait étudier la possibilité de sauvegarder certaines de ces réclames qui jouent encore un rôle, même si les marques qu’elles vantent ont aujourd’hui disparu. «Le passé et le présent se chevauchent dans un dialogue éloquent qui fait prendre conscience de l’usure du temps», écrit-elle à leur sujet. Pour les sauver, on pourrait, par exemple, faire parrainer la restauration d’une publicité murale par une entreprise appartenant au même secteur d’activité, suggère-t-elle. Du même souffle, elle se questionne. «L’émotion que suscitent ces vieilles publicités tient au fait qu’on voit l’usure du temps et qu’on se dit qu’elles vont finir par disparaître. Je me demande si elles dégageraient la même chose, une fois restaurées», a-t-elle déclaré. Montréal pourrait s’inspirer de Lyon, qui a reconnu les murs peints comme des œuvres d’art lorsqu’elle a établi sa politique municipale d’aménagement et de mise en lumière des espaces publics, favorisant ainsi par la bande la restauration de ses vieilles réclames.
  13. http://www.ecologieurbaine.net/2012-10-18-udem-jan-gehl Conférence-midi - UdeM | Jan Gehl : Pour des villes à échelle humaine Ajouter à mon horaire 18 octobre 2012, 12h00 - 13h30 CONFÉRENCE-MIDI de 45 minutes en anglais. La présentation sera suivie d'une brève période d'échange avec le public et d'une séance de signatures. INSCRIPTION fortement conseillée Places limitées - Entrée libre Inscrivez-vous dès maintenant ici, ou à partir du bouton au bas de cette page UNE CO-ORGANISATION du Centre d'écologie urbaine de Montréal avec Université de Montréal Amphithéâtre Hydro-Québec (local 1120) Faculté de l’aménagement 2940, ch. de la Côte-Sainte-Catherine Montréal QC Métro Université-de-Montréal Itinéraire Google Maps Conférence-midi Cette conférence résumera la vision et les propositions de Jan Gehl pour des villes à échelle humaine. Jan Gehl est de passage à Montréal pour le lancement de l'édition française de son livre Cities for people publié par les Éditions Écosociété, en collaboration avec le Centre d'écologie urbaine de Montréal, l'Ordre des urbanistes du Québec et Mission Design. Pour des villes à échelle humaine, qui est le fruit de 50 années de travail de cet important penseur et praticien de l’urbanisme, est appelé à devenir un outil indispensable pour construire les « écocités » de demain. M. Jan Gehl Professeur émérite de design urbain de l’Académie royale des beaux-arts du Danemark et membre honoraire de plusieurs organisations, dont l’Institut royal d’architecture du Canada. Fondateur et associé de Gehl Architects, il a travaillé au réaménagement de villes comme Copenhague, Londres, Amman, Melbourne, New York, Seattle et San Francisco. Architecte MAA et FRIBA, M. Gehl a reçu le prix Sir Patrick Abercrombie pour ses contributions exemplaires à l’aménagement des villes de la part de l’Union internationale des architectes ainsi qu’un doctorat honorifique de l’Université Heriot-Watt à Edimbourg. Jan Gehl a obtenu un post-doctorat international honorifique de la part du Royal Institute of British Architects (Int. FRIBA) en 2006 ainsi que de l’American Institute of Architecture et d’Architecture Canada en 2008. Jan Gehl est l'auteur de plusieurs livres incluant Life between Buildings, Public Spaces, Public Life, et Cities for People. Pour des villes à échelle humaine est le premier livre à être traduit en français. S'enregistrer maintenant
  14. http://www.nytimes.com/2011/11/18/business/global/hip-cities-that-think-about-how-they-work.html?pagewanted=1&_r=2&smid=fb-share The story of young people, full of ambition, energy, skill and talent, moving to enticing cities that call to them like a siren’s song is as old as modern civilization. And in a world where national borders are easier to traverse, where more countries are joining the prosperous global middle class and where the cost of a one-way plane ticket is more affordable, young professionals probably have more cities to choose from than ever before. This survey is not based solely on quality of life, number of trees or the cost of a month’s rent. Instead, we examine some cities that aim to be both smart and well managed, yet have an undeniably hip vibe. Our pick of cities that are, in a phrase, both great and good: Auckland With its beaches, inlets and lush coastal climate, the Kiwi metropolis has always had great natural beauty going for it (and, now, for the first time in 24 years, it is the home to the World Cup Rugby Champions). But we digress. Currently counting 1.5 million residents , the government is projecting the city to hit the two million-mark in just 30 years. The city has recently voted to create a new central core that mixes sustainable housing and mixed-use development. The public transportation system, which includes subways, trams, busses and ferries, is constantly being expanded. Measures to increase the density of the urban landscape, meant to ultimately prevent encroachment on surrounding lands, as well as planting “green carpets” along urban roads demonstrate a keen eye toward creating a greener future. Plus, the city is expanding its free Wi-Fi coverage, according to a city official. Auckland is doing its best to “up their game with urban design,” said Angela Jones, a spokesperson for the city, turning a beautiful but provincial capital into a smart city. Berlin This culture capital combines low rents, a white-hot arts scene, good public transportation and myriad creative types — from media to design to technology — from all over the world. Known as Europe’s largest construction zone for at least 10 of the past 20 years, 4.4-million-strong Berlin has probably changed more in that time than any other large European city. And while the restaurants have become more expensive, the clothes are now more stylish and the D.J.’s have added more attitude, there is still plenty of real city left to be discovered by the thousands of artists and young professionals who move here every year to make this the pulsing center of Germany, the powerhouse of Europe. Besides radical renovations to the government center, main train station and the old Potsdamer Platz, the city recently turned a historic airport in its heart into a vast urban park. A short-term bike-rental system is in place and the old subway system, reunited after the fall of the wall, like the city itself, is as efficient as ever. Besides artists and bohemians looking for the vibe, the city — home to several prestigious universities, research institutes and many a company headquarter — is brimming with smart scientists and savvy businessmen. Barcelona Anyone who has walked down Las Ramblas on a summer evening or has stared at the Sagrada Familia for long enough understands why this city attracts planeloads of tourists. Music, good food, great weather and strong technology and service sectors compete to make this city of 1.6 million a home for all those who want to stay beyond summer break. If all the traditional charms of Barcelona were not enough, an active city government is trying to keep this city smart, too. Under its auspices, photovoltaic solar cells have been installed on many public and private rooftops. Charging stations for electrical cars and scooters have recently been set up around the city, in preparation for the day when residents will be tooling around in their electric vehicles. A biomass processing plant is being built that will use the detritus from city parks to generate heat and electricity, and free Wi-Fi is available at hotspots around the city. Cape Town Wedged between sea and mountain, Cape Town’s natural setting is stunning. Nor does the city — with its colorful neighborhoods, historic sites, and easy charm — disappoint. And while its one of Africa’s top tourist destinations, it also attracts many new residents from around the globe. The local government is trying to lead the growing city of 3.5 million with a more inclusive government and development structure, to overcome the gross inequities of South Africa’s past. Four major universities and many research institutes make Cape Town one of the continent’s bustling research centers. Named the 2014 World Design Capital last month, the city government is encouraging a cluster of design and creative firms in a neighborhood called the Fringe. The 2010 World Cup of soccer was a boon for infrastructure, especially public transportation. A new bus system, with dedicated lanes, has been rolled out in recent years to keep the many suburbs connected and alleviate crushing traffic. Under a program called Smart Cape, libraries and civic centers have computer terminals with free Internet access. Poverty and crime are still issues in Cape Town, but overall quality of life indicators rank the city as one of the best in Africa. Copenhagen Progressive, cozy and very beautiful, the young and the elegant flock to this northern light. Rents might not be as low as in other hip cities, but the social infrastructure in this metropolitan area of 1.9 million cannot be beat. Offering a prosperous blend of art, culture and scene, this highly tolerant city is attracting young professionals lucky enough to work in the center of Danish industry and commerce. A mix of stately old European buildings and modern, green-oriented architecture speaks of a city that treasures the old but loves experimenting with the new. Despite its cool Scandinavian climate, the Danish capital might just be the most bicycle-friendly city in the world. Bike superhighways crisscross the city, and statistics show that more than a third of the city’s inhabitants commute to work or school on their trusty two-wheelers. A metro system was inaugurated in the last decade for those who choose to go without. With sunlight-flooded underground stations and clean, driverless subway cars, the system looks more like a people-mover at an international airport than an urban transport system. Having committed itself to reducing carbon levels by 20 percent before 2015, some of the city’s power is generated by wind. The city has been so successful in cleaning up its once-industrial harbor that it has been able to open three public baths in a harbor waterway. Curitiba, Brazil One of the smartest cities in Latin America, Brazil’s wealthy regional capital attracts many new inhabitants with jobs in service and production sectors, and with the promise a functioning city. The 1.7 million residents have access to a bus-based rapid transport system so good that more than 700,000 commuters use it daily. Buses run on designated lanes that, because of a unique and modern urban design, have right-of-way and preferred access to the city center. A beautiful botanical garden and other city parks, along with other strong environmental measures, keep the air largely clear of pollution, despite Curitiba’s land-locked location. The city strives to be sustainable in other ways, too. According to reports, it recently invested $106 million, or 5 percent, of its budget into its department of environment. The city government makes itself integral in the lives of Curitibans, not just seeking comment and feedback on policies, but also organizing a host of events. “Bike Night” is the latest craze in the active city. Each Tuesday, residents take to their bikes and peddle through the night, accompanied by municipal staff members. Montreal With its hearty French and North American mix, this city of 3.6 million has a real soul thanks to low living costs and long winter evenings. And it is no slouch when it comes to good food, hip culture, well-appointed museums and efficient transportation. With four major universities and plenty of bars, the nightlife in this bilingual city has a well-deserved reputation. Because the winters tend to be long and cold, the city possesses an extensive underground network connecting several downtown malls and a subterranean arts quarter. When spring finally does arrive, and snow is cleared from the many bike paths, the city puts out its 3,000 short-term-rental bicycles, known as Bixi. City-sponsored community gardens are sprouting around town, giving urbanites a chance to flex their green thumb. Montreal is an incredibly active town where festivals celebrating everything from jazz to Formula One dominate the city’s calendar during the summer. Thanks to Mount Royal, a large central park and cemetery that serves as cross-country, snowshoe and ice-skating terrain in the winter and becomes a verdant picnic ground and gathering spot in the summer, Montrealers never have to leave city limits. Santiago A vibrant mix of Latin American culture and European sensibility, this Chilean city is modern, safe and smart. The rapidly growing city of 6.7 million — , which, perhaps surprisingly, was first subject to urban planning mandates in the mid-20th century — is still ahead of others in South America when it comes to urban governance. A law curtailing urban sprawl and protecting the few natural spaces close to the city is exemplary. Beautiful old cultural jewels like the library and fine art museum are dwarfed by serious commercial skyscrapers. The smell of local food, good and inexpensive, brings life even to the streets of its financial district. One of the most extensive public transport systems on the continent whisks more than 2.3 million commuters to and from work or school every day. Because of its high altitude, pollution is a problem — one that the national government is trying to curb with various green initiatives. Short-term bike rentals exist in one of the more active parts of town, and significant city funds have been used to construct bicycle lanes. For a city this modern, however, Santiago has few parks. But the ocean is just a short drive to west and the mountains to the east. Shanghai China’s commercial heart has grown tremendously in the past couple of decades. Attracting young professionals with its jobs and opportunities rather than with museums and hip nightlife, this megacity of 23 million is surprisingly smart. Its top-down urban planning approach is efficient in a city made up of separate 16 districts and one county. City coffers are put to use building enormously ambitious infrastructure, like a deepwater port, tunnels, bridges and roadways. A good indicator for the rapid and deliberate growth of the city is the metro system. First opened in 1995, it is now the world’s longest subway network, according to city officials. Adding a futuristic aspect to the utilitarian system is a Maglev (magnetic levitation) line that connects the airport to the city, and on which the train travels at speeds of up to 431 kilometers, or 268 miles, per hour. But Shanghai’s urban development is also green. The city claims that it put the equivalent of $8 billion into environmental improvement and cleanup, which include sewage treatment systems but also an impressive number of city parks. In addition, Shanghai has made its city government more accessible by running a Web site were residents can find municipal information, and read a blog entitled “mayor’s window.” Vilnius, Lithuania One of the greenest of the former Eastern bloc capitals, Vilnius has a forward-thinking city government. In a recent Internet video that spread virally, the mayor, Arturas Zuokas, is seen crushing a Mercedes parked on a bike path with a tank. Beyond the obvious political theater of the stunt, the city, whose metropolitan area population is 850,000 takes providing good public transportation seriously. A recent study suggested that some 70 percent of the capital’s citizens either walk, bike or take the bus. Vilnius, a verdant city that despite some communist architectural clunkers is charmingly medieval and surprisingly well maintained, boasts an old town that is a Unesco world heritage site. After the fall of the old regime, the city took great pains to retool its waste disposal systems, building a modern landfill in 2005. The capital attracts young professionals, and not just from Eastern Europe, who see in Vilnius a rising star in business and appreciate all that the extensive cultural scene in the little capital has to offer.
  15. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=19271&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques Dévoilement des finalistes du concours visant l'intégration d'une œuvre d'art public sur la promenade Jeanne-Mance 16 juillet 2012 Montréal, le 16 juillet 2012 -La responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, a le plaisir d'annoncer le nom des six finalistes du concours en art public qui a été lancé afin d'intégrer une œuvre en cinq temps à la future promenade Jeanne-Mance, au cœur du Quartier des spectacles. Il s'agit de David Armstrong-Six, Valérie Blass, Michel de Broin, Valérie Kolakis, Stephen Schofield et Louise Viger. « Les travaux d'aménagement des espaces publics dans cette partie du Quartier des spectacles représentent une belle occasion de faire une place importante à l'art public. L'intégration d'une œuvre fragmentée en cinq éléments distincts permettra aux passants d'en faire une lecture séquentielle et ce parcours véhiculera très certainement l'identité unique de cet espace qui constitue le cœur culturel de la métropole. En tenant un concours visant l'intégration d'une nouvelle œuvre d'envergure, nous réaffirmons notre engagement à favoriser l'accès à l'art public aux quatre coins de la ville et je tiens à féliciter les six finalistes qui, par leur parcours et leur créativité, ont su se démarquer auprès des membres du jury », a déclaré Mme Fotopulos. L'œuvre fragmentée qui découlera de ce concours s'intégrera aux cinq plateformes qui seront aménagées prochainement sur le côté est de la rue Jeanne-Mance, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René-Lévesque. Les cinq éléments qui constitueront l'œuvre permettront aux passants de faire une lecture narrative de l'œuvre ainsi que de l'espace qui l'accueille et contribueront grandement à mettre en valeur l'art public dans le Quartier des spectacles. Clin d'œil à ce haut-lieu du divertissement culturel, l'œuvre devra témoigner de la nouvelle identité de ce secteur, véritable témoin de la créativité et de la diversité culturelle montréalaise. Rappelons que ce projet sera réalisé dans le cadre de la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux publics du gouvernement du Québec. En outre, dans son cadre d'intervention en art public adopté en juin 2010, la Ville s'est engagée à intégrer l'art public dans tous les grands projets d'aménagement urbain sous sa responsabilité et à inciter chacun des arrondissements à se doter d'un plan d'intervention dans ce domaine. À propos des finalistes David Armstrong-Six est représenté à Montréal par la Parisian Laundry. Ses œuvres ont été présentées notamment à la Kunstlerhaus Bethanien à Berlin (2012), à la Biennale de Montréal (2011) et au Musée d'art contemporain de Montréal (2008). Valérie Blass est représentée à Montréal par la Parisian Laundry. Elle a remporté le Prix Louis-Comptois de la Ville de Montréal en 2010 et le Musée d'art contemporain de Montréal lui a consacré une exposition solo en 2012. Michel de Broin est représenté à Barcelone par la Galerie Toni Tàpies. Il a réalisé plusieurs œuvres d'art public tant au pays qu'à l'étranger, notamment Révolutions et L'arc qui font partie de la collection municipale. Il présentera une rétrospective de son travail au Musée d'art contemporain de Montréal en 2013. Valérie Kolakis est représentée à Montréal par la Galerie Donald Browne. Récemment, ses œuvres ont été présentées à l'Œil de poisson à Québec (2012), à Plein Sud (2011) et à la Triennale québécoise au Musée d'art contemporain de Montréal (2011). Stephen Schofield est représenté à Montréal par la Galerie Joyce Yahouda. Ses sculptures ont fait l'objet d'une exposition à la New-Jersey City University (2011) et au Textile Museum of Canada à Toronto (2010). Il est récipiendaire du Prix Louis-Comptois de la Ville de Montréal (2005) et a réalisé deux œuvres d'art intégrées à l'architecture en 2012. Louise Viger a présenté ses œuvres au Musée national des beaux-arts de Québec (2010 et 2011) et au Musée d'art contemporain de Montréal (2000). Elle a réalisé plusieurs œuvres d'art public dont Des lauriers pour mémoire-Jean-Duceppe (1923-1990) qui fait partie de la collection municipale.
  16. Source: Société immobilière du Canada Location: Montréal Un nouvel appel public de déclaration d’intérêt a été publié à la section des appels d’offres, au sujet de la propriété de la SIC à Longueuil, au Québec. Vous pouvez consulter l’entente de partenariat pour un développement immobilier en cliquant ici. http://www.clc.ca/sites/default/files/Appel_public_de_declaration_dinteret-Longueuil_Quebec.pdf
  17. Condo development proposed for site of former Kentucky Fried Chicken outlet Cheryl Cornacchia The Gazette Monday, September 19, 2011 A public consultation will be held Monday night in Dorval on a zoning change that would pave the way for the construction of a three-storey, 30-unit condominium development across the street from the Pine Beach AMT commuter train station. The zoning change would couple two vacant lots into one property measuring close to 16,000 square metres. One of the properties is the empty lot on the corner of Cardinal Ave. and Pine Beach Blvd. where a Kentucky Fried Chicken outlet stood until it was demolished about five years ag. The other lot is 505 Clement Ave., a private home until it was torn down two years ago. The middle-density housing development is just one of many going up in the West Island along the transportation corridor. "It’s one of the trends," said Mario St. Jean, Dorval’s director of urban planning. Building along the train line "makes sense. You wake up, take your breakfast and, after a quick walk, you are at the train station." St. Jean said a private developer has already submitted plans to Dorval for the project. A similar although larger middle density project is Dorval Espace MV, St. Jean said. Located on Bouchard Blvd., it includes condos, townhouses on property formerly owned by Novartis Canada, the pharmaceutical company. That project is well on its way to completion. The public consultation is scheduled for 7:50 p.m. in the municipal council chamber at Dorval city hall, 60 Martin Ave. http://westislandgazette.com/news/25286
  18. (Courtesy of The Montreal Gazette) I guess that is a step in the right direction
  19. 30 avril 2011 Marathon d'architecture à la Grande bibliothèque -------------------------------------------------------------------------------- La quatrième édition du marathon d'architecture permettra aux architectes lauréats des Prix d'excellence 2011 de présenter leur projet primé devant le public pendant 8 minutes, top chrono! De 13 h à 17 h, ils révèleront les faits saillants, parfois cocasses, qui ont entouré la réalisation de leur projet. Objectif? Faire connaître la démarche de l'architecte et la synergie avec son client, un élément essentiel au succès de tout projet d'architecture. Le défi en est un aussi de séduction puisque les architectes font campagne jusqu'au 31 mai pour remporter le Prix du public Loto-Québec ainsi que le Prix Vision architecture & jeunesse remis en collaboration avec Joli-Coeur Lacasse avocats. Entrée libre. Les projets lauréats seront présentés à tour de rôle (voir l'horaire). http://www.pea-oaq.com Direction | Ordre des architectes du Québec | 1825, boulevard René-Lévesque Ouest, Montréal (Québec) H3H 1R4 | T. 514.937.6168 | info@oaq.com | oaq.com Production déléguée : SCPGR | Sylvie Champeau | 1858, avenue Woodland, Montréal (Québec) H4E 2J3 | T. 514.983.6547 | pea@scpgr.com | scpgr.com Horaire Description Firmes ou organismes 12 h 30 Ouverture des portes 12 h 45 Mot de Bienvenue Bibliothèque et Archives nationales du Québec 12 h 50 Mot du président de l'Ordre des architectes du Québec André Bourassa, architecte 12 h 54 Mot du partenaire principal, TD Assurance Meloche Monnex Marie Cacchione, Directrice, Marché de l'affinité, Québec 12 h 58 Explications des règles du Marathon d'architecture et coup d'envoi Sylvie Champeau, agence SCPGR, productrice déléguée 13 h 00 Mission Kitcisakik, Architectes de l'urgence Canada Guillaume Lévesque, architecte, lauréat du prix Action 13 h 10 Résidence Saint-Hubert _naturehumaine 13 h 20 Résidence de la Congrégation _naturehumaine 13 h 30 Abbaye Val Notre-Dame Atelier Pierre Thibault inc. 13 h 40 Résidence André-Coindre (1965) Jean-Marie Roy, architecte (présentation par Martin Dubois, Patri-arch) 13 h 50 Les Quatre Arbres Les Architectes Boutros + Pratte 14 h 00 Agrandissement du Centre de formation professionnelle Gabriel-Rousseau Le consortium AC/a (Anne Carrier architecte) et Poulin architectes 14 h 10 Conservatoire de musique et d'art dramatique de Montréal Saia Barbarese Topouzanov architectes 14 h 20 Théâtre Denise-Pelletier Saia Barbarese Topouzanov architectes 14 h 30 Le 300 St-Paul �� Place Telus ABCP Architecture en collaboration avec Claude Guy, architecte 14 h 40 Siège social de Schlüter-Systems (Canada) inc. DCYSA architecture & design 14 h 50 Centre spécialisé de technologie physique du Québec Le consortium bisson associés + carl charron architecte 15 h 00 Université de Sherbrooke �� nouveau campus de Longueuil Le consorium Marosi +Troy, Jodoin Lamarre Pratte, Labbé architecte 15 h 10 Hôtel Marriott de l'aéroport Montréal-Trudeau et Siège social d'Aéroports de Montréal Provencher Roy + Associés architectes 15 h 20 Restauration du pavillon de la Jamaïque de l'Expo 67 à l'île Notre-Dame Réal Paul, architecte 15 h 30 Théâtre de Quat'Sous Les architectes FABG (Brodeur, Gauthier, Lavoie, architectes) 15 h 40 Place des Festivals - Quartier des spectacles Daoust Lestage inc. architecture design urbain 15 h 50 Vitrines habitées - Quartier des spectacles Daoust Lestage inc. architecture design urbain 16 h 00 Scandinave Les Bains Vieux-Montréal Saucier + Perrotte Architectes 16 h 10 Boutique Michel Brisson_ Saucier + Perrotte Architectes 16 h 20 Unité de vie des Filles de la charité du Sacré-Cœoeur de Jésus acdf* architecture | urbanisme | intérieur / Allaire Courchesne Dupuis Frappier 16 h 30 La Cornette YH2, Yiacouvakis Hamelin, architectes 16 h 40 Géométrie noire YH2, Yiacouvakis Hamelin, architectes 16 h 50 Maison-atelier du Moine Urbain Gabriel Rousseau, architecte 17 h 00 Conclusion du Marathon et vernissage de l'exposition Entrée libre �� Auditorium de la Grande Bibliothèque, 475, boul. De Maisonneuve Est, Montréal �� Métro Berri-UQAM Marathon d’’architecture 2011 « Un défi intellectuel pour les architectes, 240 minutes de pur bonheur et d’’inspiration pour le public. » « Une invitation à venir voir performer puis rencontrer les architectes qui se sont illustrés dans le cadre des Prix d’’excellence en architecture de l’’Ordre des architectes du Québec. » Le samedi 30 avril http://www.oaq.com/larchitecture/actualite/evenements/vue_detaillee/article/marathon_darchitecture_le_30_avril_a_la_grande_bibliotheque.html
  20. Les faits saillants du comité exécutif du 29 mars 2011 Montréal, le 31 mars 2011 - Le président du comité exécutif et maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, présente un compte rendu des principales décisions prises par le comité exécutif (CE) lors de la séance du mardi 29 mars 2011. .... • le concept d'aménagement, l'élaboration des plans et devis et le lancement d'un appel d'offres public pour la réalisation des travaux (MBAM). Le projet d'aménagement prévoit le verdissement de l'environnement de la rue Sherbrooke et de l'avenue du Musée ainsi que l'intégration d'œuvres d'art, prêtées par le Musée, sur le domaine public le long de l'avenue du Musée et de la rue Sherbrooke. En créant un aménagement urbain distinctif autour du complexe muséal, la Ville de Montréal est heureuse de soutenir le MBAM dans son important projet d'expansion. ... http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=16184&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques
  21. MONTRÉAL, le 28 février 2011 - Au nom de la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le député de Marquette, M. François Ouimet, la responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, ainsi que le maire de l'arrondissement de Lachine, M. Claude Dauphin, annoncent l'investissement de 10, 9 M$ pour le réaménagement et l'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow dans l'arrondissement de Lachine. Ce projet est financé dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal. Le coût global de ce projet, qui s'inscrit dans le programme de rénovation, d'agrandissement et de construction de bibliothèques (RAC), est de 10,9 M$. La Ville et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCF) investiront chacun 4,3 M$, tandis que l'arrondissement injectera près de 2,3 M$. L'ouverture de la bibliothèque agrandie et rénovée est prévue pour le printemps 2013. Soulignons que durant les travaux, les services offerts aux citoyens seront maintenus, mais temporairement relocalisés au sein de l'arrondissement. « Je suis très fier d'être ici aujourd'hui pour annoncer ce beau projet pour les citoyens de Lachine, qui permettra à la bibliothèque Saul-Bellow d'être un pôle culturel plus attrayant et accessible. Cette réalisation, où battra le cœur de Lachine, a été rendue possible grâce à un engagement commun pris lors du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle. Le concours d'architecture associé à ce projet offre une occasion privilégiée de se surpasser et de viser l'excellence. L'effervescence de notre communauté passe indéniablement par l'accès à un lieu de savoir et de culture vaste et diversifié », a souligné M. François Ouimet. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent accès à la culture et au savoir à ceux qui les fréquentent. Les citoyens de Lachine pourront profiter d'une bibliothèque agrandie, modernisée et axée sur les besoins des familles. Aujourd'hui, notre Administration démontre, encore une fois, qu'elle est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré Mme Fotopulos. « Je suis heureux d'annoncer ce projet de réaménagement et d'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow puisqu'il s'agit d'un investissement direct qui permettra d'offrir aux citoyens de Lachine une bibliothèque moderne, attrayante, fonctionnelle et ouverte à sa communauté. Ce projet vise à combler l'important déficit de l'arrondissement en matière d'offre de service, tant sur les plans qualitatifs que normatifs. Il permettra de plus, de consolider un pôle culturel et social au cœur de l'arrondissement de Lachine », a affirmé M. Claude Dauphin. Ce projet a été retenu par la Ville et le MCCCF sur la base de critères spécifiques, soit : l'écart par rapport aux normes qui avait été rendu public dans le Diagnostic des bibliothèques municipales de l'île de Montréal, la volonté de l'arrondissement de s'engager financièrement, ainsi que la faisabilité et la qualité du projet. Architecture, développement durable et art publicLa future bibliothèque Saul-Bellow intégrera le bâtiment existant (1427 m2) et un ajout d'environ 1194 m2. Une fois les travaux terminés, la superficie de la bibliothèque aura presque doublée. La conception de la bibliothèque fait l'objet d'un concours d'architecture qui contribuera à consolider le statut de Montréal Ville UNESCO de design. Ce nouvel équipement culturel vise une certification environnementale LEED OR. L'appel de candidatures pour le concours d'architecture, qui se déroulera en deux étapes, a été lancé le 16 février dernier. Un jury formé de sept membres recommandera à la Ville de Montréal et à l'arrondissement de Lachine sept finalistes parmi les architectes qui auront déposé leur dossier de candidature. Les sept finalistes retenus présenteront ensuite un concept sur la base duquel l'équipe lauréate sera choisie. Les membres du jury sont : monsieur Patrice Poulin, architecte, PA LEED et gestionnaire immobilier à la Direction des stratégies et des transactions immobilières de la Ville de Montréal; monsieur Alex Polevoy, directeur - Culture, sports, loisirs et développement social, au sein de l'arrondissement de Lachine; madame Julie-Anne Cardella, directrice de la bibliothèque de Westmount; monsieur Daniel Pearl, architecte et professeur à l'Université de Montréal; madame Louise Bédard, architecte; monsieur Maxime Frappier, architecte; madame Anne Carrier, architecte, et monsieur Charles Ferland, architecte et membre suppléant. Selon la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec, la Ville procèdera en 2012 à un concours d'art public sur invitation visant à doter la bibliothèque Saul-Bellow d'une œuvre. Rappelons que cette politique consiste à réserver un pourcentage de l'ordre de 1% du budget de construction à la réalisation d'une ou de plusieurs œuvres conçues spécifiquement pour ce lieu. La réalisation du projet d'oeuvre d'art sera gérée par la Division des équipements culturels, de l'art public et du patrimoine artistique par l'entremise de son Bureau d'art public. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1344&lang=fr
  22. There are an article in The Gazette (which I shall put after this post) that speaks about Montreal embracing open data. Also, anybody every been to Ottawa, Quebec? lol How Open Data Initiatives Can Improve City Life by Aliza Sherman Major city governments across North America are looking for ways to share civic data — which normally resides behind secure firewalls — with private developers who can leverage it to serve city residents via web and mobile apps. Cities can spend on average between $20,000 and $50,000 — even as much as $100,000 — to cover the costs of opening data, but that’s a small price to pay when you consider how much is needed to develop a custom application that might not be nearly as useful. Here are a few examples of initiatives that are striving to make city governments more efficient and transparent through open data. 1. Apps4Ottawa – Ottawa, Quebec Careful to adhere to security and privacy regulations for their open data program, the City of Ottawa started sharing data in several areas: geo-spatial (roadways, parks, runways, rivers, and ward boundaries); recreation facilities; event planning; civic elections data; and transit, including schedules. Other data the city is pursuing includes tree inventory, collections schedules for garbage, recycling and compost, and bike and foot paths. Ottawa aligned their first open data contest, Apps4Ottawa, with the school year (September 2010 to January 2011 ) to involve colleges and universities as well as residents and local industry. Categories for the contest included “Having Fun in Ottawa,” “Getting Around,” “Green Environment/Sustainability,” “Community Building,” and “Economic Development.” The winner is scheduled to be announced later this evening. Guy Michaud, chief information officer for the City of Ottawa, said their open data efforts have already spurred economic development and is meant to be good for local entrepreneurs. The city receives no revenue through the apps, and the developers can sell what they create. In turn, Ottawa residents get improved services from applications that are created, with better access to city data and more user-friendly formats and platforms. 2. CivicApps.org – Portland, Oregon After tracking Vivek Kundra’s efforts at the federal level with data.gov, Portland, Oregon launched CivicApps.org, a project initiated out of the mayor’s office to bring a more localized approach to the open data movement. Skip Newberry, economic policy advisor to the mayor, say that the project’s main objective is to improve connections and the flow of information between local government and its constituents, as well as between city bureaus. To call attention to the release of public data, they also launched an app design contest, highlighting the tech talent in Portland’s software community. According to Rick Nixon, program manager for the Bureau of Technology’s Open Data Initiative for the city of Portland, CivicApps.org took a more regional approach to cover the multiple layers of local government: County, Metro, TriMet, and the City of Portland, all of which collect and maintain various kinds of public data. Data sets released include regional crime, transit, infrastructure (i.e. public works), and economic development programs. Additional projects, such as the PDX API, have been launched in order to make the raw data from CivicApps more useful to developers. In addition to developer-specific apps, a number of transit related apps — bike, train, bus, mixed modes — were also developed. A very popular and established transit app, PDXBus, was re-released as open source under the rules of the CivicApps contest. Other popular apps helped provide residents greater awareness of their surroundings such as where to find heritage trees, where to find urban edibles, and where to locate each other during disaster relief efforts. 3. CityWide Data Warehouse – Washington, DC For years, the District of Columbia provided public access to city operational data via the Internet. In keeping with the mayor’s promise to be transparent, the program CityWide Data Warehouse was launched, and provides citizens with access to over 450 datasets from multiple agencies. The first two datasets released were service requests from the mayor’s call center, including trash pickup, pot hole repair, street light repair, snow removal, parking meter issues and crime data. According to David Stirgel, program manager for Citywide Data Warehouse, the project looks for data that be of interest to the widest possible audience and which will remain reusable over time. Some of the applications that have come out of the program include Track DC, which tracks the performance of individual District agencies, and summary reports that provide public access to city operational data. Some of the applications built by companies and individuals using the data include Crime Reports and Every Block. In 2008, the District Mayor’s office, the District of Columbia’s Office of the Chief Technology Officer, and digital agency iStrategyLabs launched Apps for Democracy, an open code app development contest tapping into District data that cost $50,000 and generated 47 apps. The contest was repeated in 2009. Over 200 ideas and applications were submitted, and the winner was an iPhone and Facebook app called Social DC 311. It could be used to submit service requests, such as reporting potholes and trash problems. An honorable mention was given to FixMyCityDC. Unfortunately, neither app is maintained today. 4. NYC Data Mine – New York, NY NYC BigApps 2.0 is part of an initiative to improve the accessibility, transparency, and accountability of city government. According to Brandon Kessler, CEO of ChallengePost, the company and technology powering the NYC BigApps 2.0 Software Challenge, Mayor Bloomberg challenged software developers to use city data from the NYC.gov Data Mine to create apps to improve NYC, offering a $20,000 in cash awards to the winners. The second annual challenge closed its call for submissions at the end of January 2011 and opened the vote to the public. Voting ends on March 9. Requirements included that the software applications be original and solely owned by the entrants, that they use at least one of the datasets from the NYC.gov Data Mine, and be free to the public throughout the competition and for at least one year after the challenge. The panel of judges reads like a “who’s who” of New York tech luminaries, and includes Esther Dyson of EDVenture, Fred Wilson of Union Square Ventures, Jack Dorsey of Square and Twitter, and Kara Swisher of All Things Digital. One of the first year’s winning apps was WayFinder, an augmented reality Android app which allows users to point their phone in a direction and see which subways and Path trains are in front of them. 5. DataSF – San Francisco, California Like other city governments, San Francisco’s goal for their DataSF program was to improve transparency and community engagement as well as accountability. Ron Vinson, director of media for the city’s Department of Technology also stated potential for innovation in how residents interact with government and their community. With an emphasis on adhering to privacy and security policies, the city can stimulate the creation of useful civic tools at no cost to the government. Before launching, they reached out to Washington, DC to identify the most popular datasets, and learned that 20% of the datasets represented over 80% of the downloads. With this information, they went out first with crime, 311, and GIS data. They also allowed the public to request data through a submissions mechanism on the website where others could vote on their suggestions. This input is now required reading for the city administrator thanks to an executive directive and open data legislation. Since launching in August 2009, DataSF has accumulated over 60 applications in its showcase. According to Vinson, the city stays engaged with their tech community by participating in local unconferences and meetups. http://mashable.com/2011/02/15/how-open-data-initiatives-can-improve-city-life/
  23. Un nouveau marché public à Montréal Jean-Louis Fortin 11/01/2011 17h46 En plus de pouvoir fréquenter les marchés Atwater et Jean-Talon, les Montréalais seront en mesure d’acheter des aliments frais dans un nouveau marché public qui pourrait voir le jour à proximité des autoroutes 15 et 40, dans l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, a appris 24H. Le projet d’entre 3 et 4 millions $, encore à l’étape des approbations, pourrait obtenir le feu vert dans les prochaines semaines, selon nos informations, d’autant plus que les autorités politiques et administratives de l’arrondissement souhaitent qu’il voie le jour. C’est l’Association des jardiniers maraîchers du Québec (AJMQ) qui a présenté une demande en ce sens à la Ville. Une centaine producteurs membres de l’AJMQ, qui occupent un centre de distribution agroalimentaire pour les commerces et restaurants, situé à côté du Marché Central, pourront ainsi vendre leurs produits directement grand public. Achalandage élevé Sur le site, au moins un des immenses quais de chargement pour camions serait converti en un « grand marché public », explique André Plante, directeur général de l’AJMQ. Un endroit un peu à l’image du marché Jean-Talon, mais de moindre ampleur, illustre-t-il. Selon, lui, la proximité du Marché Central, un grand centre commercial, est susceptible d’attirer un nombre important de visiteurs. « On s’attend à ce que ça soit extrêmement achalandé. On pense que les gens voudront venir acheter des produits frais », prévoit André Plante. Ronald Cyr, directeur de l’arrondissement, précise que les fonctionnaires municipaux accompagnent actuellement l’AJMQ, mais que le permis de construction n’a pas encore été émis. « La construction d’un marché est certainement un point d’intérêt pour les marchands et les citoyens », assure-t-il toutefois. Sur place pour longtemps André Plante attend un feu vert de l’arrondissement « d’ici un mois ». L’AJMQ, décrit-il, devra d’abord transformer l’un des autres quais sur le site en un entrepôt fermé, pour y transférer une partie des activités de distribution. Dans une deuxième phase de construction, 10 000 pieds carrés de superficie à l’intérieur d’un bâtiment adjacent pourraient aussi accueillir des commerces à l’abri des caprices de Dame Nature. Ce projet d’expansion survient moins de six mois après que les maraîchers aient refusé de déménager du site de 800 000 pieds carrés qu’ils occupent actuellement pour le centre de distribution. La firme Bentall, le gestionnaire du Marché Central, leur avait proposé de se relocaliser dans l’Est de la Ville pour pouvoir compléter le développement du centre commercial, mais les maraîchers ont rejeté l’idée à 75%, de peut de perdre leur clientèle. jeanlouis.fortin@24-heures.ca http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/01/20110111-174642.html
  24. Excellente discussion trouvee sur Spacing Montreal a propos du groupe 'Montreal Ouvert' qui fait la promotion de l'idee que la ville ouvre ses base de donnees au public. Merveilleuse idee quant a moi. Les liens: http://spacingmontreal.ca/2010/10/09/open-source-city/ http://montrealouvert.net/
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