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ErickMontreal

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Tout ce qui a été posté par ErickMontreal

  1. Publié le 27 juillet 2009 à 18h16 | Mis à jour à 18h20 Québec veut connaître l'impact de l'exploitation du pétrole dans le fleuve Alexandre Robillard La Presse Canadienne Québec La ministre des Ressources naturelles, Nathalie Normandeau, a déclaré lundi que l'exploitation des importants gisements de pétrole et de gaz naturel, dans les fonds marins du fleuve Saint-Laurent, devra se faire sans nuire au tourisme et à la pêche. Mme Normandeau a affirmé qu'un premier mandat a été récemment donné à des consultants afin d'évaluer les impacts environnementaux de tels projets, qui sont actuellement sous le coup d'un moratoire. La zone de 140 000 km carrés qui sera étudiée est divisée en quatre bassins, soit l'estuaire et le nord-ouest du golfe du fleuve, la baie des Chaleurs, l'île d'Anticosti et les Iles-de-la-Madeleine. Le programme d'évaluations environnementales stratégiques (EES), annoncé lundi à Rimouski par la ministre, ne vise pas à mesurer les réserves des fonds marins du fleuve. Mais dans l'estuaire, le potentiel en hydrocarbures a déjà été estimé à 40 milliards de pieds cubes de gaz naturel, tandis que pour le pétrole, le seul gisement d'Old Harry, au large des Iles-de-Madeleine, est évalué à deux milliards de barils. Avec cette démarche, qui s'étalera sur deux ans, Mme Normandeau souhaite rassurer la population des régions touchées, qui a déjà exprimé des craintes. Selon la ministre, le rapport des consultants recensera toutes les activités qui se déroulent sur le Saint-Laurent et à partir de ces informations, le gouvernement pourra interdire d'explorer ou d'exploiter les hydrocarbures québécois dans certains secteurs, ou encore formuler des exigences aux entreprises qui veulent obtenir un permis. «L'objectif ce n'est pas de faire mourir le secteur de la mariculture ou des pêches pour faire naître celui de l'exploitation ou de l'exploration des hydrocarbures, au contraire, a-t-elle dit, lors d'une entrevue téléphonique. Ce qu'on veut, dans le fond, c'est permettre que l'ensemble des activités puisse continuer de se déployer.» La ministre ne prévoit pas d'émission de permis avant 2012. Parallèlement aux évaluations, Mme Normandeau souhaite aussi entreprendre des travaux pour élaborer une législation spécifique à ce type d'activité, en plus de s'entendre avec Ottawa, qui conteste la souveraineté de Québec sur les fonds marins du golfe du Saint-Laurent, tout en lui concédant ceux de l'estuaire. «Ce qu'on souhaiterait, c'est la signature d'une entente administrative, a-t-elle dit. Mais on est encore loin de ça, c'est ma lecture, puisque nos prétentions sont à l'opposé de celles du fédéral.» Les évaluations environnementales, dont les objectifs ont été présentés lundi par Mme Normandeau, font suite à un rapport du Bureau d'audiences publiques en environnement, publié en 2004, après des consultations sur les impacts des activités d'exploration, plus spécifiquement le recours aux levés sismiques. Le BAPE avait noté qu'il existait plusieurs inquiétudes «sociales et scientifiques» quant aux effets à long terme sur les populations fragiles de mammifères marins et sur les stocks de poissons et d'invertébrés exploités par les pêcheurs, des déflagrations sous-marines de forte intensité que provoque cette méthode. Mme Normandeau a soutenu que les EES répondaient à la préoccupation de l'organisme gouvernemental, qui avait recommandé au gouvernement d'examiner les effets de l'exploration et de disposer d'un cadre légal et réglementaire adéquat pour cette activité. «On a, entre autres, retenu cette dimension-là, il y en a d'autres qu'on va retenir éventuellement, pour confirmer la démarche que j'ai annoncée», a-t-elle dit. Malgré tout, l'annonce de Mme Normandeau, sur le bord du fleuve, à Rimouski, a suscité certaines inquiétudes sur la rive opposée, à Tadoussac. Une biologiste du Groupe de recherche et d'éducation sur les mammifères marins (GREMM), Véronik de la Chenelière, a exprimé des doutes quant à la possibilité que l'exploitation des hydrocarbures n'ait aucun impact sur les bélugas, rorquals et autres grands poissons, très prisés par les touristes qui vont les observer en bateau. «Dans le Saint-Laurent, probablement que c'est un milieu trop unique et trop fagile pour pouvoir être soumis à ce type d'activité-là, a-t-elle dit. C'est ce qu'on en conclut à la lumière de ce qui est connu dans le monde sur les impacts de ces activités là.»
  2. For many reasons Irving Oil shelved 2nd Saint John refinery project. Around here, some rumors suggest Irving has plans to buy the Shell refinery out in Montreal for about $75-milion instead of building a new one right here in New-Brunswick. Of course, they also want to takeover all the Shell locations in Quebec and in the maritimes as well, the cornerstores as in other Irving locations would be branded Couche-Tard. Ultramar... Do not let them go!
  3. Échangeur Turcot à Montréal: Québec renonce au PPP
  4. Montréal parmi les 25 villes ayant la meilleure qualité de vie Agence QMI Julie Charette 23/07/2009 16h11 - Mise à jour 23/07/2009 16h24 Palmarès - Montréal parmi les 25 villes ayant la meilleure qualité de vie Une vue de Montréal Archives En dépit de l'été maussade et de tous les scandales qui l'ont éclaboussé, Montréal se hisse au 19e rang mondial des villes ayant la meilleure qualité de vie. Le magazine londonien Monocle publie dans son édition de juillet une liste des 25 meilleures villes où vivre sur la planète. Deux seules villes canadiennes font partie de ce palmarès soit Vancouver en 14e place et Montréal au 19e rang. Le magazine souligne d'ailleurs l'ouverture d'esprit et la joie de vivre des Montréalais. Zurich au premier rang Parmi le top cinq des villes où il fait bon vivre, Zurich rafle le premier rang grâce à son excellent service de transport en commun et ses sévères mesures environnementales. Suivent dans l'ordre Copenhague, Tokyo, Munich et Helsinki. La seule ville américaine qui trouve grâce aux yeux de Monocle est Honolulu, au 11e rang. L'an dernier, Minneapolis et Portland avaient aussi une place dans ce club sélect. Monocle analyse des critères comme la vie culturelle, les transports publics, l'éducation et les politiques environnementales.
  5. Canada’s best and worst run cities The RankingsThis survey, the first of its kind in Canada, provides citizens in 31 cities across the country with comparative data on how well—or poorly—their city is run, measured by the cost and quality of the public services it delivers. (Why 31? We took the 30 largest cities in Canada, added whatever provincial capitals were not on the list, then subtracted a few cities from the Greater Toronto Area for better regional balance. Somehow that left 31.) Though the overall results—Burnaby, Saskatoon and Surrey, B.C. lead the pack; Charlottetown, Kingston, Ont., and Fredericton trail—will be of particular interest, they are less important than the process this is intended to kick off. We aim not merely to start some good barroom arguments, but to help voters to hold their representatives to better account, and indeed to help city governments themselves. For without some sort of yardstick to measure their performance, either against other cities or against their own past record, how can they hope to know whether they are succeeding? To compile the survey, Maclean’s commissioned the Halifax-based Atlantic Institute for Market Studies, expanding on the institute’s earlier work measuring the performance of municipalities in Nova Scotia and New Brunswick. Unlike other studies, this does not try to measure quality of life, or which city is the “best place to live.” Rather, it focuses on the contribution of local governments to this end. This survey looks at a city’s efficiency—the cost of producing results—and the effectiveness of its services, including how well each city does when it comes to things like maintaining roads and parks, picking up garbage and putting out fires. Click below to see how the numbers break down. __________________________________________________________________________________ Montréal en queue de peloton Mise à jour le mercredi 22 juillet 2009 à 10 h 18 La ville de Montréal se retrouve au bas du classement au chapitre des villes les mieux gérées du Canada. Au Québec, elle fait aussi piètre figure, derrière Longueuil, Sherbrooke, Québec et Gatineau. Ce sont les conclusions d'une étude effectuée par l'Atlantic Institute for Market Studies (AIMS), et dont les résultats ont été publiés dans le magazine Maclean's, mardi. La recherche s'est attardée au rendement des villes quant à leur production de résultats et à l'efficacité de leurs services, tels que l'entretien des routes et des parcs, et la collecte des ordures. Sur les 29 villes canadiennes étudiées, la métropole québécoise s'est donc placée au 21e rang. Les analystes concèdent que Montréal a un niveau de services supérieur, mais ont montré du doigt le coût de ses services, sa dette et ses taxes. Au chapitre de la gouvernance, les résultats de l'étude ne sont pas plus satisfaisants pour Montréal. Elle occupe le peloton de queue avec une 27e position. « Décentralisation exagérée » - Benoît Labonté En entrevue avec le Journal de Montréal, le chef de l'opposition de Montréal, Benoît Labonté, estime que ces résultats sont « catastrophiques » pour une ville comme Montréal. « C'est dû à une décentralisation exagérée depuis 2003. Quand on a 19 arrondissements avec 19 directeurs généraux, 19 administrations, 19 petits domaines, ça finit par coûter cher », a-t-il ajouté. Le président du comité exécutif de Montréal, Sammy Forcillo, s'est porté à la défense de l'administration municipale. Selon lui, la métropole a été défavorisée en raison du mauvais état dans lequel se retrouvaient les infrastructures souterraines notamment. « Il y a eu un sous-investissement pendant des années et, actuellement, on est en train de faire du rattrapage. On met les bouchées doubles et ça coûte cher », a-t-il souligné au quotidien montréalais. L'autre côté du pont Jacques-Cartier L'administration municipale de Longueuil a pour sa part de bonnes raisons de se réjouir. La même étude place cette ville de la Rive-Sud au 5e rang canadien et bonne première au Québec. Ce sont notamment son taux de taxation, le plus bas des 29 villes étudiées, et son faible niveau de dépenses qui ont permis à Longueuil de se démarquer. De tailles similaires à Montréal, Vancouver (4e), Toronto (10e) et Calgary (11e) ont déclassé la métropole québécoise. Sherbrooke (6e), Québec (9e) et Gatineau (12e) ont aussi fait bonne figure. Comme la ville de Victoria, Laval n'a pas été évaluée, puisqu'elle n'a pas fourni suffisamment de données. En publiant ce classement, le magazine Maclean's souhaite « enclencher un processus » pour améliorer les services dans les villes canadiennes.
  6. Un grand prix à bon prix? Éric Clément - La Presse 22 juillet 2009 | 23 h 48 Bernie Ecclestone a eu écho de pressions de la part de plusieurs écuries de Formule 1 qui sont en faveur d'un retour en Amérique du Nord. Le gouvernement canadien, le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal vont bientôt annoncer une nouvelle proposition financière au grand manitou de la Formule 1, Bernie Ecclestone, afin de permettre le retour du Grand Prix du Canada à Montréal pour un minimum de cinq ans, voire de façon permanente. La Presse a appris que les discussions entre les trois ordres de gouvernement, en cours depuis huit mois en vue de récupérer la course de Formule 1, ont beaucoup progressé et qu'une annonce sera faite prochainement. Ces échanges ont lieu à un très haut niveau. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, le ministre des Finances et ministre responsable de la métropole, Raymond Bachand, et le ministre fédéral des Travaux publics et responsable de la région de Montréal, Christian Paradis, y participent directement. Un homme d'affaires québécois sert de lien privilégié avec Bernie Ecclestone. Selon plusieurs sources, cet homme d'affaires est l'ex-ministre conservateur Michael Fortier, que La Presse n'a pu joindre. L'entente entre les trois ordres de gouvernement est pratiquement ficelée. Elle tient compte de nouvelles considérations financières mais aussi de la capacité de payer des trois gouvernements. Bernie Ecclestone avait demandé plus de 30 millions par année pour inscrire Montréal dans le calendrier de la Formule 1. «Irréaliste» Le contrat qu'il proposait l'an dernier, accompagné d'une double garantie gouvernementale et bancaire, prévoyait que le Grand Prix du Canada fournirait 173,5 millions à l'entreprise de M. Ecclestone, Formula One Administration Limited (FOA), pour les années 2009 à 2013. Cela revenait à demander 34,7 millions par an à Montréal. Mais il ne s'agissait que des frais de plateau fixes, une dépense centrale de l'organisation d'un Grand Prix de Formule 1, puisqu'il s'agit du coût d'invitation des écuries. À côté, M. Ecclestone demandait à bénéficier des revenus liés à la visibilité sur le circuit Gilles-Villeneuve et aux loges privées d'entreprises des paddocks, soit des revenus supplémentaires de 16 à 20 millions. Les trois ordres de gouvernement avaient rejeté cette proposition, jugée «irréaliste». Ils avaient plutôt offert le 4 novembre 2008 que le total des frais de plateau soit de 110,5 millions de 2009 à 2013, soit 22,1 millions par année en moyenne. S'ajoutait une participation aux profits qui correspondait à un minimum de 10 millions. Ecclestone réclamait par ailleurs à Normand Legault 12 millions que le promoteur du Grand Prix montréalais devait, selon lui, à sa compagnie responsable de la commercialisation des droits de la Formule 1. M. Legault a répondu ce printemps par la bouche de ses avocats... et le dossier n'est toujours pas réglé. Selon nos sources, le maire Tremblay, qui sollicitera un troisième mandat aux élections du 1er novembre prochain, veut régler rapidement ce dossier afin de ne pas être perçu comme celui qui était maire de Montréal quand le Grand Prix du Canada a disparu. L'objectif est donc de faire en sorte que Bernie Ecclestone, qui deviendrait le seul promoteur du Grand Prix de Montréal, soit satisfait de la proposition financière et qu'en même temps, il comprenne que Montréal est une étape marquante dans le milieu sélect de la Formule 1 et importante tant pour les constructeurs automobiles que pour sa propre entreprise. M. Ecclestone a eu écho de pressions de la part de plusieurs écuries de Formule 1 qui sont en faveur d'un retour de ce circuit automobile en Amérique du Nord, une vitrine majeure pour leur marché. De plus, les courses disputées la saison dernière dans de nouveaux pays ne semblent pas avoir toujours connu le succès financier et populaire escompté. Impact sur l'économie montréalaise La proposition qui sera annoncée sous peu tient compte du fait que l'impact du Grand Prix sur l'économie montréalaise est très important. La Ville estimait l'an dernier que les retombées économiques du Grand Prix étaient de 75 millions, avec des revenus fiscaux de 20 à 25 millions pour Ottawa et Québec. Or, selon nos informations, l'ampleur des retombées économiques aurait été revue à la hausse, ce qui dégagera un peu d'argent pour bonifier la proposition financière. Québec, Ottawa, la Ville de Montréal et Tourisme Montréal pourraient ainsi offrir l'équivalent de 15 millions par année pendant cinq ans. De cette somme, 5 millions proviendraient des gouvernements, 5 millions de Tourisme Montréal, 3 millions d'une enveloppe fédérale pour les manifestations de grande portée internationale et le reste de la métropole, sous forme surtout de services et d'amélioration des équipements. «La Ville n'a pas les moyens de donner une grosse somme d'argent, nous dit une source proche de l'administration Tremblay. Mais on peut offrir gratuitement tous les services municipaux nécessaires à l'organisation du Grand Prix, comme le service incendie, les services de police, la location des installations, l'accès à tout le territoire nécessaire, etc. Le maire Tremblay veut que ce soit une offre rentable pour toutes les parties.» Montréal a ainsi récemment décidé d'acheter l'équipement qui appartenait au Groupe Motorisé International (GMI), de Normand Legault, soit des plateformes, des écrans géants et des barrières pour le circuit Gilles-Villeneuve, un investissement de 1,5 million. Avec la proposition financière de 15 millions s'ajouteraient les revenus des trois jours du Grand Prix, sûrement aux alentours de 30 millions en 2010, donc un total de 45 millions par année directement dans les goussets de Bernie Ecclestone. De plus, devenu le promoteur de la course, il va pouvoir se tourner vers un organisateur local pour gérer la manifestation. François Dumontier, président d'Octane Management, est actuellement le grand favori pour remplir ce rôle. «Les trois ordres de gouvernement veulent une solution à long terme, nous dit notre source. Une entente avec la FOA devra se faire sur 5 à 10 ans. Ce sera une proposition réaliste qui tiendra compte de la capacité de payer des contribuables et du fait que les dépenses de la Ville sont gelées.»
  7. F1 à Montréal : les autorités s'activent Jeudi 23 juillet 2009 RDS.ca Gérald Tremblay (Photo RDS) Alors que les rumeurs d'un possible retour de Jacques Villeneuve en Formule Un se font de plus en plus persistantes, Montréal semble plus déterminée que jamais à de nouveau être du Grand Cirque. Les gouvernements fédéral et provincial ainsi que la Ville de Montréal annonceront bientôt un nouveau montage financier au grand patron de la F1 Bernier Ecclestone afin de permettre le retour du Grand Prix du Canada dans la métropole québécoise pour au moins cinq ans, même peut-être plus, rapporte le quotidien La Presse dans son édition de jeudi. Les négociations entre les différents partis auraient beaucoup progressé et elles auraient eu lieu à « un très haut niveau ». Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, le ministre des Finances et ministre responsable de la métropole, Raymond Bachand, et le ministre fédéral des Travaux publics et responsable de la région de Montréal, Christian Paradis, y participeraient directement, tout comme l'ancien ministre conservateur Michael Fortier. Les trois ordres de gouvernements seraient d'ailleurs sur le point de s'entendre.
  8. Baisse de la population active: des économistes sonnent l'alarme Publié le 22 juillet 2009 à 15h52 | Mis à jour à 15h55 La Presse Canadienne À défaut d'une croissance de sa force de travail, le Québec s'expose à de graves conséquences préviennent des économistes de Desjardins. Si les récentes données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) et de Statistique Canada prévoient que l'augmentation des taux de natalité et d'immigration vont freiner le déclin de la population québécoise d'ici 2056, les économistes de Desjardins constatent tout de même une baisse de la population active au même moment que le vieillissement de la population s'accentue. En entrevue à La Presse Canadienne mercredi, l'économiste Hendrix Vachon a rappelé que le déclin de la population des 15 à 64 ans devrait s'amorcer dès 2014 et se poursuivre au cours de la décennie suivante. Si rien n'est fait, Desjardins prévoit une diminution de la population active au Québec de 0,1 pour cent à 0,4 pour cent de 2014 à 2021. Les entreprises québécoises devront donc modifier leur façon de faire si elles désirent maintenir leur niveau de productivité d'ici 2021. Mais relever la productivité avec la même quantité de ressources, voire moins de travailleurs, n'est pas une tâche facile. À défaut de pouvoir augmenter la force de travail, les entreprises québécoises devraient notamment investir davantage dans de meilleures technologies, plus performantes, afin de pouvoir augmenter leur productivité, indique M. Vachon. Au cours des dernières années, le Québec a enregistré une hausse moyenne de sa productivité de travail d'environ 1 pour cent par année. Selon les nouvelles prévisions de Desjardins, les gains de productivité nécessaires au maintien d'une croissance du PIB potentiel sont de 2 pour cent d'ici 2021 M. Vachon propose donc à court terme de solliciter un plus grand nombre de travailleurs à se joindre à la population active ou à demeurer sur le marché du travail plus longtemps. Sinon, prévient-il, les problèmes et les défis à relever d'ici les 15 prochaines années vont demeurés entiers.
  9. ErickMontreal

    La LNH à Québec?

    Ce qui est le plus crucial à mes yeux pour l'instant c'est la construction d'un nouveau building. NHL ou pas, Québec mérite beaucoup mieux que le vétuste Colisé Pepsi. Je crois que les investisseurs seront au rendez-vous, la ou le bas blesse le plus selon moi c'est de connaitre la volonté réelle de Bettman de voir un club s'établir à Québec. De plus, je suis loin d'être persuadé que le Canadien pourrait voir d'un bon œil la venue d'un club à Québec, ce qui aurait pour effet de littéralement couper de près de la moité son marché primaire. Enfin, malheureusement Montréal était la seule franchise qui s'était opposé à l'expansion de Québec. Vivement le retour des bleus !
  10. Impact makes another MLS bid 'Montreal dossier' on league's agenda, Joey Saputo says By RANDY PHILLIPS, The GazetteJuly 22, 2009 9:43 AM As poorly as things have gone for the Impact on the field this season and in recent days off it, the soccer franchise is still focused on a future in MLS. Montreal joining MLS will be on the agenda when commissioner Don Garber heads meetings in Salt Lake City next week before the league's annual All-Star Game in Salt Lake City. MLS all-stars face England's Everton FC on July 29 at Rio Tinto Stadium. "My understanding is that expansion isn't on the agenda per se, but the Montreal dossier is," Impact president Joey Saputo told The Gazette. "We should hear from them again right after the all-star break to know what the next steps are." The Impact is looking to join North America's premier professional soccer league by 2012, if not sooner. An indication that Montreal will get serious consideration came last week when Garber told the New York Daily News that Montreal and St. Louis were high on the list as expansion possibilities. Presently there are 15 teams in the MLS, including Toronto FC, which joined in 2007. Philadelphia will join the league next year, and 2011 will see the addition of Portland and Vancouver, both still in the United Soccer Leagues First Division with the Impact. Saputo last met Garber and league officials at MLS headquarters two months ago and returned to say efforts to secure a franchise were back on track after the league rejected a bid by Saputo in partnership with then-Montreal Canadiens owner George Gillett which fell short of the league's $40-million U.S. expansion fee and wasn't considered. Saputo has taken on the task alone with the help of his family, which has already spent $15 million (Canadian) on the club's new home at Saputo Stadium. He's prepared to a pay a $35-million franchise fee, the same amount paid by Portland and Vancouver, and is confident the Quebec government will kick in another $25 million for a necessary expansion of the stadium from 13,000 to 21,000 for MLS purposes. There have been no major developments on the subject since May, but Saputo knows no one has forgotten Montreal. "Sometimes no news is good news. That's the approach I'm taking," he said. "Our talks with MLS on how to make things happen by 2011 or 2012 are still ongoing, "From our standpoint, I don't think we're going to go through a bid process," Saputo added. "They understand where we are. We understand where they are and it's just trying to make it happen." Saputo is passing up an invitation to attend the MLS showcase game because it's the day after the Impact plays host to French Ligue 1 champion FC Girondins de Bordeaux in an international friendly. Bordeaux meets French Cup winner En Avant de Guingamp at 3 p.m. on Saturday at Olympic Stadium for the 14th edition of the Champions Trophy, which won't be anything like a friendly, and for which more than 25,000 tickets have been sold. "I have some people coming in from Argentina because we play (Club Atlético) River Plate on Aug. 4," Saputo said of another international friendly against one of the top clubs in the history of Argentine soccer. "I let (MLS) know it had nothing to do with not appreciating the invitation for their All-Star Game, because I would have loved to be there." The Impact tries to snap a five-game winless streak when it plays host to the expansion Cleveland City Stars tonight (7:30 p.m., The Team 990 Radio, CKAC Sports, USLlive.com). The game comes a little more than 48 hours after the team released veteran midfielder Sandro Grande for putting a choke hold on teammate and playing assistant-coach Mauro Biello during a heated verbal altercation during a 3-0 loss to the Thunder in Minnesota on July 11. The incident was caught by a photographer and seen online around the world. Grande had been on indefinite suspension until Monday's decision. Grande said he was shocked when told by Saputo Monday morning that he was no longer with the team after three consecutive seasons. He told soccer writer Martin Smith of ruefrontenac.com the punishment was "completely disproportionate" to his actions on the field. "I'm paying dearly for a mistake I made for the first time in my life," Grande said. "I had never been suspended before this season and now, instead of seeing the person I am, you just look at the photo that was taken on the field in Minnesota." rphillips@thegazette.canwest.com © Copyright © Canwest News Service
  11. Publié le 20 juillet 2009 à 06h44 | Mis à jour le 20 juillet 2009 à 06h45 Percées de soleil, risques d'orages Sur le front de l'économie, les nouvelles encourageantes se succèdent. Aux États-Unis, les géants financiers Goldman Sachs et JPMorgan Chase ont rapporté de spectaculaires profits pour le deuxième trimestre de l'année. En Chine, la croissance a été de 7,9% au cours des trois derniers mois, ce qui laisse penser que l'Empire du Milieu atteindra son objectif de 8% pour l'année. Selon les experts consultés par Bloomberg, les ventes de maisons chez nos voisins du Sud devraient avoir atteint en juin leur plus haut niveau depuis octobre 2008. Et pour la première fois, l'administration Obama fait publiquement preuve d'optimisme: le secrétaire au Trésor, Tim Geithner, a parlé jeudi dernier d'«importants signes de reprise». Bref, le pire semble passé. Toutefois, l'économie américaine (et donc l'économie mondiale) reste exposée à des risques considérables. Et avant que la reprise ne s'installe pour de bon, beaucoup de gens vont perdre leur emploi, ou leur maison, ou les deux. Malgré son bénéfice de 3,4 milliards de dollars américains au second trimestre, la situation de JPMorgan Chase révèle à quel point l'économie américaine reste fragile. La banque a fait son argent dans le secteur de l'investissement. Au chapitre du crédit à la consommation et des prêts hypothécaires, par contre, elle a subi des pertes importantes. Le crédit personnel a aussi plombé les résultats de la Bank of America. Ainsi, sa division de cartes de crédit a perdu 1,6 milliard au cours du deuxième trimestre. Enfin, le groupe financier CIT, important prêteur aux PME, se retrouve au bord de la faillite. On peut toutefois voir comme un signe encourageant le fait que les Bourses n'ont pas paniqué devant cette perspective et que Washington a refusé de venir en aide à CIT. De toute évidence, on estime que l'économie est désormais assez solide pour résister à la faillite d'un acteur de moyenne importance. L'envers de cette stabilisation, c'est que les mauvaises habitudes semblent revenir au galop. En vertu de son système de rémunération, Goldman Sachs pourrait verser une moyenne de 770 000$ à chacun de ses 29 000 employés en 2009. Les plus hauts dirigeants recevront des dizaines de millions. Ne s'agit-il pas du genre de pratiques qui ont poussé les banquiers à prendre des risques excessifs dans le passé? Avec la confiance qui revient, le secteur financier relève la tête et combat plus férocement les nouveaux contrôles envisagés par les gouvernements. La semaine dernière, le patron de JPMorgan a averti l'administration Obama que la réglementation plus sévère imposée aux émetteurs de cartes de crédit nuira considérablement à ce secteur déjà en difficulté. Les gouvernements doivent certes se garder d'aller trop loin. Mais après ce qui s'est passé depuis un an, le secteur financier ne peut pas espérer qu'on lui fasse aveuglément confiance. Souhaitons par ailleurs que les petits investisseurs aient appris de la crise que, peu importe la sévérité des règlements, ils sont les premiers responsables de la protection de leurs avoirs. Il leur faut s'informer, diversifier leurs placements, épargner, ne s'endetter qu'avec prudence. Et surtout, se tenir loin de ceux qui leur promettent des rendements miraculeux. apratte@lapresse.ca
  12. Des questions? Samedi 18 juillet 2009 RDS.ca Par Francis Paquin Les semaines se suivent et se ressemblent pour les Alouettes et ce n’est sûrement pas l’entraîneur-chef Marc Trestman qui s’en plaindra. L’unité défensive montréalaise a encore une fois connu un fort début de match en corrigeant les bourdes de l’attaque et les Alouettes ont pris la mesure des Roughriders de la Saskatchewan 43-10, samedi après-midi au Mosaic Stadium. Les Alouettes ont ainsi enregistré une troisième victoire en autant de rencontres depuis le début de la saison pour demeurer la seule équipe invaincue depuis le début de la saison dans la Ligue canadienne de football. Ils ont également signé un troisième gain aux dépens d’un club de la division Ouest, égalant du même coup leur total de l’an dernier. Anthony Calvillo a rejoint Ron Lancaster au deuxième rang de l’histoire de la Ligue canadienne de football en complétant sa 333e passe de touché en carrière, tandis que Bryan Chiu a établi un record d’équipe en disputant une 204e partie dans l’uniforme des Alouettes. Le quart-arrière des Alouettes a complété 24 de ses 34 tentatives de passes pour des gains de 281 verges avec deux touchés. Il a d’abord lancé sa 332e à Kerry Carter avant de rejoindre Kerry Watkins dans la zone des buts pour un troisième match de suite. Avon Cobourne a récolté 100 verges au sol pour la deuxième fois en trois rencontres et marqué deux majeurs. Il a terminé sa journée de travail avec des gains de 145 verges sur 25 courses. Damon Duval a quant à lui réussi des placements de 40, 30, 21 et 40 verges en plus d’ajouter trois simples. Les Alouettes disputeront leur prochaine rencontre jeudi prochain, alors que les Tiger-Cats de Hamilton seront les visiteurs au Stade Percival-Molson. La ligne défensive fait des siennes Les hommes du coordonnateur défensif Tim Burke ont repris là où ils avaient laissé depuis le début de la saison en réussissant un sac du quart et une interception ainsi qu’en recouvrant trois échappés. La défensive montréalaise a donné son seul touché au début du deuxième quart après que Watkins eut perdu le ballon aux mains de Keith Shologan à la ligne de quatre dans le territoire des Alouettes. Les autres points inscrits par les Roughriders ont été le résultat d’un simple et d’un touché de sûreté. Les joueurs de la ligne défensive ont de nouveau été les grands responsables des succès des leurs, John Bowman effectuant un sac et recouvrant un échappé, Keron Williams ajoutant une interception. Leurs coéquipiers des unités spéciales ont également eu leur mot à dire, puisque Dahrran Diedrick a bloqué un botté au début du premier quart, tandis que Diamond Ferri a recouvré un échappé sur le botté d’envoi suivant le touché de Carter.
  13. Une femme meurt écrasée par un bloc de béton Catherine Handfield La Presse Une femme de 33 ans est morte ce soir dans le centre-ville de Montréal, écrasée sous un bloc de béton qui s'est détaché du 17e étage d'un immeuble. Le tragique accident est survenu vers 18h, à la résidence Inn Marriott, située sur la rue Peel, à l'angle de l'avenue De Maisonneuve.La victime et son conjoint, également âgé de 33 ans, soupaient au rez-de-chaussé de l'immeuble quand le bloc s'est détaché, a traversé la verrière et terminé sa chute sur la dame. Son décès a été constaté à l'hôpital. Le conjoint, qui a été également blessé, a subi un important choc nerveux. L'homme, dont la vie est hors de danger, a perdu des doigts, selon Olivier Lapointe, porte-parole de la police de Montréal. Les enquêteurs sont sur les lieux pour élucider les causes du drame, qui semblent pour l'instant accidentelles.
  14. Quebec could make $9.5B a year selling water to U.S.: report By NINA LEX, ReutersJuly 16, 2009 3:50 PM Quebec could raise as much as $9.5 billion a year by reversing the flow of three northern rivers to generate power and export water to the United States, according to a report made public yesterday. The Montreal Economic Institute said Quebec could divert floodwaters from the three rivers in the spring, pumping the excess water higher, and then letting it flow south through the Ottawa River to the St. Lawrence. The rivers - the Broadback, Waswanipi and Bell - currently flow into James Bay and then into Hudson Bay. The report said that diverting the floodwater from north to south would boost levels on the St. Lawrence River and let U.S. and Canadian authorities increase their use of freshwater from the Great Lakes without any risk to St. Lawrence - a major international seaway. "The revenue generated by exporting freshwater would be the result of complex negotiations between state, provincial and federal governments," said the report, compiled by former hydroelectric power engineer Pierre Gingras. "Whatever the outcome of negotiations, and given the probable increase in the value of water in the coming years, this revenue from the sale of water would contribute significantly to the financial health of the Quebec government and the general prosperity of Quebecers." The idea of bulk water exports from Canada has always been controversial, for political, environmental and security reasons. But Gingras said the scheme could net the province about $7.5 billion a year - assuming that the extra water supplied some 150 million people who paid a "very reasonable" $50 a year for the water. The project, which Gingras calls Northern Waters, would also build 25 hydroelectric plants and dams along the Ottawa River, generating electricity worth $2 billion a year. He put the cost of the project at $15 billion and said it could be completed by 2022. "It should be a very profitable project for Quebec," he said. But environmental group Great Lakes United said a project like Northern Waters could be devastating to the environment. "The seasonal runoff is not surplus water. The rising and lowering of the rivers and lakes is critical to protecting the marsh which is home to so much wildlife," program director John Jackson said. He said the project was contrary to legislation that forbids the bulk export of Canadian water from any of the five major basins, including the Hudson Bay Basin. "There would be huge legal fights. There is no way you could win those battles," Jackson said. The report - available at http://www.iedm.org - said the environmental impact would be relatively small because the project would only capture "seasonal surplus waters." © Copyright © The Montreal Gazette
  15. Microsoft ouvrira des boutiques dès l'automne Nelson Dumais, collaboration spéciale, Technaute.ca 16 juillet 2009 | 14 h 46 La presse spécialisée faisait écho, hier, d'une annonce de l'Empire à l'effet que les premières Boutiques Microsoft seront ouvertes dès l'automne, possiblement en même temps que le lancement de Windows 7. Or, a précisé Kevin Turner, le COO («Chief Operating Officer») de Microsoft qui prenait la parole devant les participants du «Worldwide Partner Conference», ces magasins seront situés à proximité des très populaires Apple Store. Cette affirmation fait suite à une annonce similaire faite en février dernier où on parlait de surfaces commerciales permettant aux différents produits Microsoft d'être exhibés pour mieux les faire connaître et, éventuellement, vendus. Microsoft a même embauché un ancien de chez Wal-Mart, David Porter, pour diriger ce réseau de boutiques en devenir.
  16. :: Montréal, Québec :: http://www.flickr.com/photos/puusik/ http://www.flickr.com/photos/puusik/ http://www.flickr.com/photos/puusik/ http://www.flickr.com/photos/urbmtl/ http://www.flickr.com/photos/31216330@N06/
  17. Mercredi 15 Juillet 2009 à 23h01 Un banquier de la LNH en déroute Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Le groupe financier CIT est au bord de la faillite. Après avoir tergiversé pendant plusieurs jours, l’administration Obama a finalement choisi de ne pas se porter à la rescousse de cette institution financière vieille de 101 ans. Ce groupe financier établi à New York l’a révélé en tout début de soirée, après que la négociation de son titre à la Bourse de New York eut été arrêtée quelques heures plus tôt. Aux yeux du gouvernement, CIT ne tombe pas dans la catégorie des institutions financières qui sont dites trop importantes pour tomber. Son actif sous gestion, de 75 milliards de dollars américains, est le dixième de celui de la défunte banque d’affaires Lehman Brothers. Toutefois, la clientèle de ce banquier se compose essentiellement de PME américaines, notamment dans l’industrie de la guenille. Ainsi, la faillite de CIT, qui est presque jugée inéluctable par l’agence de notation de crédit Standard & Poor’s maintenant que le gouvernement américain l’abandonne à son sort, pourrait faire des ravages dans l’économie des États-Unis. D’ailleurs, et c’est ce qui intéressera les amateurs de hockey, CIT a financé nombre d’équipes de la Ligue nationale, à la suite de son acquisition en 1999 de la firme torontoise Newcourt Credit Group. En 2006, un consortium bancaire dirigé par CIT aurait consenti 240 millions US à George Gillett, le propriétaire du Canadien de Montréal, afin qu’il puisse refinancer le club, la division sports et spectacles et le Centre Bell, selon l’hebdomadaire américain SportsBusiness Journal. L’an dernier, CIT a offert une facilité de crédit de 100 millions de dollars à la Rexall Sports Corporation afin de permettre à cette entreprise propriété de Daryl Katz de mettre la main sur les Oilers d’Edmonton. (Lire le communiqué ici.) CIT Group aurait aussi financé les Sénateurs d’Ottawa, les Devils du New Jersey et les Nashville Predators, selon le Globe & Mail. «Cela va être horrible (pour la LNH), a confié à ce quotidien torontois un conseiller financier non identifié qui travaille auprès d’équipes de hockey. Je ne sais pas ce qui va arriver quand ces financements arriveront à échéance.»
  18. Publié le 15 juillet 2009 à 11h38 | Mis à jour à 11h46 Québec, 3e meilleure destination en Amérique du Nord La Presse Canadienne Québec Québec occupe une place de plus en plus enviable dans le coeur et les souvenirs de voyage des lecteurs du magazine américain Travel + Leisure. La Vieille Capitale se retrouve au troisième rang des meilleures destinations de l'Amérique du Nord (États-Unis et Canada) dans le classement 2009 de la publication; l'an dernier, elle était au sixième rang. Pour l'ensemble des destinations, tous continents confondus, Québec se classe au 19e rang cette année.La ville identifiée comme la meilleure destination aux États-Unis et au Canada par les lecteurs de Travel + Leisure est New York. San Francisco suit au deuxième rang. Selon Dany Thibault, président du conseil de l'Office du tourisme de Québec, cette reconnaissance est sans doute redevable aux festivités du 400e anniversaire de la ville de Québec et aux efforts promotionnels consentis sur le marché américain en 2008. Montréal est pour sa part au neuvième rang cette année, alors qu'elle figurait au septième rang de ce classement l'an dernier. Pour l'ensemble de la planète, la meilleure destination 2009 de Travel + Leisure est la ville d'Udaipur, en Inde, qui détrône ainsi le numéro de l'an dernier, Bangkok. Le classement de Travel + Leisure est issu d'un sondage réalisé de janvier à mars en partenariat avec la firme américaine Harris Interactive. Dans les numéros de février et de mars du magazine, les lecteurs ont été invités à donner leur appréciation des différentes destinations touristiques à travers le monde. Des villes de partout dans le monde étaient évaluées selon les panoramas, la culture et l'art de vivre, les restaurants et la nourriture, les gens, les valeurs ainsi que les boutiques.
  19. :: Montréal, Québec :: http://www.flickr.com/photos/laraqueen-/
  20. ErickMontreal

    Expos de Montréal

    "Un nouveau stade aurait réussi" - Felipe Alou Lundi 13 juillet 2009 RDS.ca Felipe Alou (Photo RDS) Felipe Alou est l'une des figures sportives les plus connues et les plus marquantes qu'a connu le Québec. L'ancien gérant des Expos, qui a cessé de diriger il y a trois ans, était de passage dernièrement à Montréal. À l'âge de 74 ans, Felipe Alou est toujours droit comme un chêne. Et celui qui a dirigé les Expos pendant 10 ans demeure actif dans le baseball. « La santé est bonne », soutient Alou. Je travaille pour les Giants depuis huit ans, maintenant en tant qu’assistant au directeur général. » Lorsqu'il revient dans la région montréalaise, ce qu'il fait régulièrement, Alou se désole de voir qu'aucune équipe professionnelle n'a pris la relève des Expos, même en tant qu'équipe des ligues mineures. Et il ne décèle plus la trace de l'organisation montréalaise dans le baseball majeur. « Les Nationals ne sont pas les anciens Expos », estime l'ancien gérant. « Les joueurs ont changé et il ne reste que quelques entraîneurs et des gens de l’administration. » «Washington n’a jamais été une ville de baseball ; malgré le nouveau stade, ça ne fonctionne pas. À Montréal, un nouveau stade aurait réussi », admet-il. Click here to find out more! Felipe Alou croit que les Expos sont disparus faute d'un nouveau stade au centre-ville. Il estime que le tandem Loria-Samson n'a pas été patient dans le dossier des Expos alors qu'ils ont attendu de nombreuses années avant de pouvoir enfin construire un stade à Miami pour y loger les Marlins. « Ce sont des américains! Voici ma réponse », affirme Alou. « Ils ont pu acheter l'équipe puis la vendre pour en racheter une autre sans se préoccuper des Nationals, Ils ont réalisé une bonne affaire. » Lors des années de vaches maigres des Expos, le gérant Alou était la plus grande vedette de l'équipe. Il a eu la chance de diriger de grands joueurs, mais ne peut dire lequel il a le plus admiré. « Il y en a eu tellement », se souvient Felipe. Toutefois, je place sur un pied d’égalité Marquis Grissom, Larry Walker, Moises Alou, Andres Galarraga et Pedro Martinez. Felipe Alou ne croit au retour prochain du baseball majeur à Montréal, mais il espère tout de même y assister de son vivant. D’après un reportage de Jean-Luc Legendre
  21. Analyse : la fin de l'Empire… canadien François Normand, Les affaires 13:10 Le Canada ne fait même plus partie des huit plus importantes économies de la planète. Les articles, reportages, analyses sont légion pour nous prédire la fin de « l’empire américain ». En fait, s’il y a un pays qui perdra de l’influence dans les prochaines années dans le monde, ce n’est pas les États-Unis, mais plutôt le Canada. Le sommet annuel du G8 (Canada, États-Unis, France, Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Japon, Russie), qui traite des grands enjeux de la planète, en est un bon exemple. Crée en 1975, le G7 (devenu plus tard le G8, avec la Russie) tire à sa fin dans sa forme actuelle. Les prochains sommets – à l’exception de celui qui se tiendra au Canada, en 2010 – comprendront sans doute de nouveaux membres comme la Chine, l’Inde et le Brésil. Ces pays étaient tous présents à L’Aquila, en Italie, la semaine dernière, mais sur une base informelle. Du moins, pour l’instant. Car avec la montée en puissance de ces pays émergents, le G8 (essentiellement un club occidental) ne sera plus représentatif de la diversité de politique et de l’économie mondiales. Dans un entretien au quotidien français Le Monde, le 8 juillet, le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a sans doute dit tout haut ce que plusieurs chefs d’État et de gouvernement pensent tout bas en déclarant que «le G8 n’a plus sa raison d’être». Et pour le Canada, c’est une bien mauvaise nouvelle puisqu’il perdra de l’influence dans un forum comptant des géants démographiques comme la Chine (1,3 milliard d’habitant), l’Inde (1,1, milliard) et le Brésil (191 millions). Et même au chapitre de l’économie, nous faisons de moins en moins le poids. À vrai dire, le Canada ne fait même plus partie des huit plus importantes économies de la planète, même s’il est officiellement membre du G8. En 2008, trois institutions – le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et la CIA, l’agence américaine de renseignement – classaient l’économie canadienne au 11e rang… De plus, nous sommes déjà déclassés par la Chine (3e rang) et le Brésil (10e rang selon le FMI et la CIA, mais déjà au 8e selon la Banque mondiale). Et l’Inde s’approche à grands pas au douzième rang, sans parler du Mexique . Cela dit, le Canada aura toujours sa place dans les grands forums économiques internationaux. Mais sa voix sera de moins en moins audible à côté de celle des États-Unis, des Européens (à travers l’Union européenne) et des Asiatiques – avec les Chinois, les Indiens, les Japonais en tête. Même la France (5e puissance économique mondiale, qui compte près de 65 millions d’habitants si l’on tient compte de ses territoires outre-mer) peine à faire entendre seule sa voix. Imaginez le Canada!
  22. Le déficit américain dépasse les 1000 milliards Publié le 13 juillet 2009 à 14h05 | Mis à jour à 14h07 Agence France-Presse Washington Le déficit budgétaire des États-Unis s'est encore alourdi en juin pour dépasser les 1000 milliards de dollars à l'issue de ce neuvième mois de l'exercice 2008-2009, selon les chiffres officiels publiés lundi à Washington. Le déficit de l'État fédéral s'est creusé de 94,318 milliards de dollars au mois de juin, indique le département du Trésor dans son rapport mensuel sur le budget. C'est un déficit record pour un mois de juin, mais c'est un peu moins que ce que prévoyaient les analystes (97,0 milliards). En conséquence, le déficit cumulé depuis octobre 2008, premier mois de l'exercice en cours, atteignait 1086,263 milliards de dollars à la fin du mois de juin. Le déficit cumulé ne cesse de franchir des records depuis le mois de février. Selon les projections du Bureau du budget du Congrès, il devrait dépasser la somme pharaonique de 1800 milliards de dollars à la fin de l'exercice, le 30 septembre 2009. Le mois de juin est traditionnellement un mois d'excédent budgétaire, mais comme les mois précédents, les comptes de l'État ont été affectés par la baisse des recettes fiscales liées à la crise (la collecte des impôts étant moindre du fait de la baisse des revenus des entreprises et des ménages) et la hausse des dépenses liées à la récession (relance budgétaire et hausse des prestations sociales). Les recettes de l'État ont ainsi atteint 215,364 milliards de dollars en juin, soit 17% de moins qu'un an plus tôt. C'est le 14e mois de baisse consécutive des recettes en glissement annuel. Les dépenses ont connu un mouvement inverse, progressant de 37% sur un an, pour atteindre 309,682 milliards de dollars, un record pour un mois de juin. Juin a été le neuvième mois consécutif de déficit. Il faut remonter à mars 1992 pour retrouver une série de soldes négatifs plus longue (11 mois).
  23. How Pepsi won the Quebec Cola Wars By René Bruemmer, The GazetteJuly 11, 2009 MONTREAL - Pepsi had a major problem. More specifically, Pepsi had a major Quebec problem. After decades of protracted Cola Wars, the perennial challenger was finally making some headway on Coke in 1984, which outsold Pepsi four-to-one in Canada in the early ’70s. Waves of successful marketing campaigns, including the long-running “Take the Pepsi Challenge” taste test, helped bring Pepsi up to parity with Coke in English food stores in Canada by 1980. Except in Quebec, which was jarring because the province had long been associated with a fondness for Pepsi – so much so the corporation’s first bottling plant outside of the U.S. opened in Montreal in 1934. Yet the corporation’s latest rebranding campaign, “The Choice of a New Generation,” backed by global superstars Michael Jackson, David Bowie and Madonna, was falling flat in Quebec. In 1984, according to a report compiled by the Canadian Congress of Advertising, Pepsi had stalled at 87 per cent of Coca-Cola’s share in a province that imbibed 25 to 30 per cent of all the soft drinks in Canada. Marketers decided to embark on a risky, expensive and unorthodox scheme: abandon Michael Jackson and develop an advertising strategy that would reflect the distinct society’s cultural differences, sensibilities and sense of humour. Riskier still because while Pepsi had been adopted as a self-effacing term by some Quebecers, it was also a derogatory slur used by non-francophones to describe them. If the marketing plan was seen as offensive, Pepsi could become a pariah. Being No. 2 had its advantages, however, noted University of Ottawa marketing professor Luc Dupont. “As the constant David, Pepsi was condemned to take risks, which made it more inventive, forced it to rely more on its intelligence,” he said. Pepsi would stake its multimillion-dollar offensive on a local comedian and his coterie of bizarre characters. In exchange, Quebec would become, and remain, one of the few places in the world where Pepsi has conquered the king of pop. *** Pepsi is celebrating its 75th anniversary in Quebec this year, in conjunction with the opening of the Montreal plant in 1934. It’s rolling out a new logo and ad campaign, one of more than a dozen branding changes over a history that dates back to 1898. It’s also putting $40 million into its Montreal bottling facilities, one of several plants in the province employing a total of 1,200 people. That investment, along with large amounts of money spent sponsoring sports and culture (among them the Colisée Pepsi arena in Quebec City, and the Pepsi Forum in Montreal) is another key to its success, says Éric Blais of Toronto-based Headspace Marketing, which advises companies on how to reach the Quebec market. “They have become part of the cultural landscape, both through marketing and direct involvement in the province,” Blais said. Despite the fact it was created only 12 years after Coke, Pepsi remained a constant second, staking its market share largely on the fact it was distributed in larger, reused beer bottles and offered more fizz for the buck (actually a nickel for a 12-ounce bottle in the Depression era). But being the underdog allowed it to take chances. In the 1940s it became one of the first corporations to use a realistic black family in its ads (as opposed to Aunt Jemima), and hired a black manager for all-black sales teams that would target the huge niche market of African Americans, despite virulent opposition from within and outside of the company, including the Ku Klux Klan. But in the 1980s the New Generation offensive – meant to lure young drinkers who would make Pepsi their habit – was tanking here. Standard marketing practice would have been to tweak the campaign by translating it into French and using some of Quebec’s many popular rock stars. Instead, the J. Walter Thompson company relied on qualitative research and decided go with a different selling point – comedy. “Young Quebecers in the 1980s ... were crowning their own celebrities and creating their own made-in-Quebec lifestyle,” wrote the J. Walter Thompson company in a submission to the Cassies, the Canadian Advertising Awards. “Research revealed an inner confidence among Quebec target groups. ... “Since Quebec was culturally unique, it had developed its own entertainment system complete with its own stars,” especially in the comedy milieu. “It was a style of comedy that used typical Quebecois stereotypes to redefine the emerging new ‘street-smart’ culture of young, urban Quebecers.” Claude Meunier, famous for his absurdist humour on Ding et Dong television skits, was chosen. The theme of Meunier’s ads remained an intractable joie de vivre and an undying love of Pepsi. His brief, 30-second spots debuting in 1985 and featuring a variety of characters and a humour only Quebecers could appreciate became an instant hit. Pepsi came almost neck and neck with Coke the same year. By 1986, David had surpassed Goliath and continued to thrive, despite the fact Coke fought back, outspending Pepsi two-to-one on six media campaigns between 1985 and 1993. “Quebecers had the sentiment that a multinational corporation finally took the trouble to try and understand them, using the same language, with the same accents,” Dupont said. A nation moored in a sea of English could empathize with company fighting for purchase in an ocean of Coke. “Subconsciously, Quebecers identify with products that are No. 2,” Dupont said. “In addition to the absurd humour and joy of life, they like to say, ‘We’re different here. We changed things.’ ” The Meunier campaign would last 18 years, aided by the fact Meunier became the star of La Petite Vie, an early ’90s Quebec sitcom watched by 4 million out of a possible 6 million viewers every Monday night. The Meunier Pepsi campaign won the 1993 CASSIE Best of Show advertising award. *** Today, Coke dominates the global market with 51 per cent of the total sales compared with Pepsi’s 22 per cent, according to John Sicher, editor of Beverage Digest. But in Quebec, the Pepsi stable of soft drinks owns 61 per cent of the market to Coke’s 20, said Manon Lavallée, market development manager for PepsiCo Canada. It’s a dominance unseen anywhere else in North America, although Pepsi does nudge out Coke by a slight margin in the Atlantic provinces and a few states. (Coke officials told The Globe and Mail recently the gap is not that large in Quebec when restaurant, hotel and sporting events sales are factored in, but did not give specific numbers.) Twenty-five years after Meunier started with Pepsi, he’s still there, although in a lesser role, shifting to Diet Pepsi. Pepsi opted for a new campaign to speak to a new, multicultural generation of Quebecers in 2003, featuring five young men extolling the unique elements of Quebec (poutine, potholes, moving day and here we say “icitte," not “ici”) under the banner “Ici, c’est Pepsi.” In the rest of the world, it’s Coke. Which is remarkably similar to Molson Canadian’s I Am Canadian ad campaign that focused on Canada’s uniqueness vis-a-vis the U.S. “Pepsi’s ad campaign allowed us to feed that image of ourselves as different," Dupont said. “Even though in fact, we are not so different.” The Pepsi Meunier campaign is taught in textbooks now, Dupont said, a lesson in how to adapt to your market, and change with the time. In its submission for a Cassie award, members of the BBDO Canada marketing firm responsible for the Ici campaign wrote: “The driving force behind Pepsi’s Quebec success was Claude (Meunier’s) unique ability to show that Pepsi is a natural companion to Quebecers.” For the Ici c’est Pepsi campaign, consumers in test market groups “told us Pepsi is part of the fabric of Quebec life and they should be damn proud of it.” The Ici spots, said Chris Hamilton of Pepsi in Strategy Magazine, tested in the top two per cent of all ads ever tested in Quebec. The campaign won a 2005 Cassie. “The ads gave a sense of belonging, the pride in being distinctive,” Blais said. “They tapped into that sentiment of being proud of being the only place in the world where Pepsi is No. 1. “It said ‘We stand on our own, we are distinct.’ ” rbruemmer@thegazette.canwest.com © Copyright © The Montreal Gazette
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