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ErickMontreal

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Tout ce qui a été posté par ErickMontreal

  1. Jai rien dit... man!!!!! We fucking win!!!
  2. They are choking again! Bills of Montreal !
  3. Bute efface les doutes à Québec! Samedi 28 novembre 2009 RDS.ca Lucian Bute a défait Librado Andrade. (Photo PC) Lucian Bute a défait Librado Andrade par K.-O. au quatrième round. Quatrième round Andrade tente d'atteindre Bute avec un uppercut, sans succès. Les combinaisons de Bute atteignent souvent la cible. Le champion envoie Andrade au tapis avec une solide gauche! Bute réplique avec un solide coup au corps qui envoie à nouveau Andrade au sol. C'est terminé! Troisième round Bute atteint solidement la cible avec une bonne gauche en début de round. Il poursuit avec plusieurs bonnes combinaisons. Le champion a l'appui de la foule. Carte RDS.ca : 30-27 pour Bute Deuxième round Plusieurs petits accrochages au cours du deuxième assaut. Andrade réussit une belle combinaison. Bute réplique et tente de calmer le combat. Carte RDS.ca : 20-18 pour Bute Premier round Les deux adversaires s'étudient en début de combat. Bute est le premier à atteindre la cible avec une gauche. Le champion semble contrôler le centre du ring. Bute bouge bien et fait déplacer son adversaire.
  4. Publié le 27 novembre 2009 à 06h36 | Mis à jour à 06h38 Marianopolis: Québec donne son accord au projet Sara Champagne La Presse Après avoir exigé des changements afin de préserver les vues sur le mont Royal, le gouvernement du Québec a finalement donné son accord à la transformation de l'ancien collège des frères sulpiciens. La reconversion de l'ancien collège en un complexe résidentiel de luxe repose maintenant entre les mains de l'équipe du maire Tremblay, a confirmé Valérie Rodrigue, l'attachée de presse de la ministre Christine St-Pierre, à La Presse. Selon nos informations, le dossier a été remis à la nouvelle chef du cabinet du maire, Diane Lemieux, qui a la tâche de l'acheminer aux membres du comité exécutif pour l'approbation finale. Il ne restera plus ensuite que le sceau officiel du ministère de la Culture et du Patrimoine pour les demandes de permis de construction. Sans l'annoncer officiellement lors de la formation de son nouveau comité exécutif, le maire de Montréal a retiré la responsabilité de l'arrondissement historique et naturel du mont Royal des mains de Helen Fotopulos. Tout le dossier de mise en valeur et de protection de la montagne incombe maintenant à Alan DeSousa. En plus d'être responsable de ce dossier, le maire de Saint-Laurent est vice-président du comité exécutif et responsable des finances, en plus du développement durable. Au comité exécutif, où on a indiqué cette semaine qu'Alan DeSousa jugeait qu'il était prématuré de commenter le projet, on a expliqué qu'au moins deux autres élus auront leur mot à dire dans le projet Marianopolis. Il s'agit de Richard Bergeron, responsable de l'urbanisme, et de Helen Fotopulos, en tant que «responsable du patrimoine». Cette dernière pilotait le dossier depuis quatre ans et siégeait à la Table de concertation du mont Royal avec les propriétaires des grandes institutions et organismes de protection de la montagne. Rappelons que dans son rapport sur la transformation du collège, déposé au mois d'août, l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) avait écorché les élus de l'administration Tremblay, en leur mentionnant que le site aurait dû conserver une mission institutionnelle. L'instance avait aussi recommandé aux élus de définir la notion de «capacité limite de construction», inscrite dans son Plan de protection et de mise en valeur de la montagne. Ni l'un ou l'autre des élus n'étaient disponibles pour approfondir la question avec La Presse, hier. Une fois approuvé par les élus du comité exécutif, le projet Marianopolis, qui a suscité une levée de boucliers des organismes de défense de la montagne, est susceptible de faire l'objet d'une demande de participation référendaire, dans l'arrondissement de Ville-Marie. Avec la signature finale de la ministre Christine St-Pierre, ce sera la dernière étape avant le début des travaux prévus en quatre phases, en commençant par la restauration du séminaire. Un sentier et une chapelle Afin de satisfaire aux demandes du gouvernement, le promoteur Développement Cato a réduit les hauteurs et accepté de déplacer des bâtiments pour préserver des zones de conservation. Le nombre d'unités résidentielles passe de 325 à 300. Et la chapelle du séminaire sera restaurée pour servir de salle communautaire aux futurs propriétaires, qui devront être millionnaires pour se porter acquéreurs des unités d'habitation. À la firme-conseil en aménagement Daniel Arbour et associés, Claude Marcotte, vice-président, affirme que le promoteur a fait les concessions maximales afin que le projet demeure rentable, et qu'il devienne «acceptable pour tous». On ajoute que des servitudes de passage «à vie» permettront d'aménager un sentier d'un bout à l'autre du terrain, de l'avenue De Ramezay à l'avenue Cedar, en traversant l'ancien Sacré-Coeur, et deux autres lieux de recueillement. Les escaliers seront aussi restaurés. Selon la révision des plans, approuvée par Québec, l'entretien deviendra la responsabilité de la Ville de Montréal, qui devra en assumer les frais. À l'endroit où il y a actuellement une piscine, il est par ailleurs toujours prévu de démolir le bâtiment, pour en construire un nouveau en forme de U. Sauf qu'au lieu de faire sept étages, il comptera six étages afin de préserver les vues sur l'ancien séminaire à partir de l'intersection Cedar-Côte-des-Neiges. Et la construction d'une villa sera sacrifiée du côté de l'avenue De Ramesay. Informée hier de l'approbation du projet par La Presse, la directrice générale des Amis de la montagne, Sylvie Guilbault, était sans voix. «On a interpellé deux fois la ministre pour la rencontrer et elle n'a jamais donné suite à nos demandes, s'est insurgée Mme Guilbault. Est-ce à dire que le comité exécutif de Montréal va donner son aval comme ça, sans avis public? Je comprends bien qu'il y ait un guichet unique, mais il me semble que l'administration municipale a le dernier mot.» Le projet Marianopolis n'était pas à l'ordre du jour du comité exécutif hier. Ce qui signifie qu'il ne sera pas soumis aux élus du conseil municipal lundi prochain. Il risque d'être abordé à la dernière assemblée avant les Fêtes.
  5. L'économie québécoise poursuit son déclin Olivier Schmouker . les affaires.com . 26-11-2009 L'agriculture est en partie responsable du déclin. Photo : Bloomberg. Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a regressé de 0,3% en août, portant le recul à 2% sur les huit premiers mois de l’année, selon l’Institut de la statistique du Québec. Depuis le début de 2009, le Québec n’a enregistré qu’une seule hausse du PIB, de 0,6% en juin. En 2008, la croissance de l’économie avait atteint un taux de 1,3% au Québec. Qu’est-ce qui a aggravé le déclin de l’économie québécoise à la fin de l’été? La décroissance de la production des industries productrices de biens, qui s’est chiffrée à 0,6%. Les pertes proviennaient de l’industrie de la fabrication (– 1,2%), de celle de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse (– 1,2%) ainsi que de celle des services publics (– 0,4%). Toutefois, la production de l’industrie de l’extraction minière, pétrolière et gazière et celle de la construction se sont appréciées respectivement de 4,1% et de 0,6%. De leur côté, les industries productrices de services ont vu leur production diminuer de 0,2% en août. C’est leur quatrième recul depuis le début de 2009. Les industries à l’origine du repli sont celle de l’information et de la culture (– 1%), celle des services professionnels, scientifiques et techniques (– 0,7%) et celle de la finance et des assurances, des services immobiliers et de location à bail et de gestion de sociétés et d’entreprises (– 0,1%).
  6. Le CRTC permet la diffusion d'Al Jazeera English La Presse Canadienne . les affaires.com . 26-11-2009 Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) a annoncé jeudi qu'il approuve la demande de licence pour une chaîne en anglais d'Al Jazeera. Par le passé, l'organisme de régulation a souvent hésité à accorder une licence à des chaînes étrangères susceptibles de concurrencer des réseaux canadiens. Cette fois-ci, le CRTC explique que sa décision s'inscrit dans une politique visant à promouvoir la diversité des points de vue éditoriaux. De plus, le CRTC n'a pas imposé à Al Jazeera English le genre de surveillance du contenu qui avait fait échouer la demande de licence de sa chaîne en langue arabe en 2004. La chaîne d'information internationale est déjà diffusée dans 100 pays, à la télévision ou sur Internet. Elle emploie quelque 1200 journalistes, dont certains sont canadiens. Son directeur, Tony Burman, a déjà été à la tête de CBC News et a contribué à récolter des appuis au Canada pour la demande de licence. Le CRTC a noté que la chaîne a reçu un grand nombre d'interventions en faveur de son ajout aux listes numériques, notamment de la part de l'Association des libertés civiles de la Colombie-Britannique, du leader du Nouveau Parti démocratique, Jack Layton, et du sénateur conservateur Hugh Segal. Quelques groupes, comme le Congrès juif canadien et B'nai Brith Canada, ne se sont pas opposés à la demande de licence, mais ont indiqué qu'ils demeureraient vigilants quant au contenu diffusé. Dans une décision dissidente, le conseiller Marc Patrone a cependant soutenu que le CRTC aurait dû tenir compte des antécédents des services arabes d'Al Jazeera, qui ont déjà été mis sur la sellette pour avoir présenté du contenu jugé offensant. Il a également exprimé des doutes quant à l'indépendance totale des deux chaînes _ en arabe et en anglais _ l'une par rapport à l'autre. "C'est aussi une occasion ratée d'envoyer un message international concernant les normes et les codes journalistiques que nous considérons assez importants pour les exiger de tous les nouveaux radiodiffuseurs qui souhaitent s'implanter dans ce pays", a écrit M. Patrone. "Ajouter de la diversité est nécessaire, mais pas à n'importe quel prix."
  7. Bombardier cuts 715 aerospace jobs Last Updated: Thursday, November 26, 2009 | 9:21 AM ET Bombardier Aerospace is laying off 715 workers in its Montreal-area facilities because of slow orders for its regional CRJ aircraft. The aerospace manufacturer announced the layoffs in a statement issued Thursday morning. "There are not enough projected CRJ aircraft sales to maintain the current production plans," said Guy C. Hachey, Bombardier Aerospace president and chief operating officer. "Although we are in discussions with several airlines, we had to finalize our aircraft delivery schedule for the next fiscal year. "We fully recognize the impact this additional workforce reduction will have on our affected workers and their families." Orders for the CRJ aircraft have dwindled in the last year because of the depressed global economy, Hachey said. The 715 employees will remain on payroll until at least January 2010, when the job cuts will start to take effect. Bombardier Aerospace has announced more than 4,000 layoffs worldwide this fiscal year. The company still harbours hope that it will be able to sell its efficient C-Series aircraft to more airline clients.
  8. Air France-Delta: 280 emplois quittent Montréal Publié le 26 novembre 2009 à 06h35 | Mis à jour à 06h41 Marie Tison La Presse La coentreprise transatlantique créée par Air France-KLM et Delta Air Lines fait ses premières victimes à Montréal. Les deux transporteurs fermeront leurs centres d'appels respectifs dans la métropole québécoise le 31 août prochain, ce qui entraînera la perte de 280 emplois. Les emplois seront transférés dans les centres d'appels de Delta aux États-Unis. Le centre d'appels de Delta à Atlanta devrait notamment se doter d'une équipe d'une trentaine de personnes pour répondre aux appels de la clientèle francophone des deux transporteurs. «Le client ne verra pas la différence, a affirmé la vice-présidente et directrice générale d'Air France-KLM au Canada, Benedicte Duval, en entrevue téléphonique avec La Presse Affaires. On lui parlera en français.» En mai dernier, Air France-KLM et Delta ont établi une coentreprise pour exploiter en commun les liaisons entre l'Europe et l'Amérique du Nord. Les sociétés ont entrepris une étude pour identifier des services qui pouvaient être mis en commun. C'est ainsi que Delta sera responsable des activités de réservation et du service à la clientèle d'Air France-KLM en Amérique du Nord, alors qu'Air France-KLM sera responsable des mêmes services en Europe. Mme Duval a souligné que 85% des appels reçus par le centre d'Air France-KLM à Montréal provenaient des États-Unis. Seulement 15% proviennent du Canada et d'autres marchés, notamment des Antilles, lorsque les centres d'appels responsables sont débordés. Elle a indiqué qu'il n'avait pas été question de conserver une équipe francophone à Montréal parce qu'un centre d'appels trop petit n'était pas efficace. «Déjà, notre centre d'appels de 140 personnes est moins efficace que les centres d'appels plus gros», a-t-elle affirmé. Elle a rappelé qu'il y a une dizaine d'années, Air France avait rapatrié à Montréal toutes ses activités nord-américaines de réservation pour, justement, améliorer leur efficacité. Ces emplois reprennent maintenant le chemin du sud. Mme Duval a souligné que les partenaires avaient choisi d'annoncer la fermeture des centres d'appels de Montréal dès maintenant pour donner aux employés un bon neuf mois pour trouver de nouveaux emplois. Ceux qui le voudront, surtout ceux qui parlent français, seront les bienvenus chez Delta à Atlanta. Air France-KLM fermera également la petite agence qu'elle conservait au centre-ville, dans les mêmes locaux que le centre d'appels, et transférera ses activités à l'aéroport Montréal-Trudeau. Comme celui d'Air-France-KLM, le centre d'appels de Delta à Montréal compte 140 personnes. «Les personnes touchées par la fermeture auront la possibilité d'obtenir d'autres postes à l'intérieur de Delta, ou elles recevront des indemnités de départ et de l'assistance pour la recherche d'emplois», a déclaré Susan Elliott, responsable des relations avec les médias au siège social de Delta, à Atlanta. Jointe par courriel, Mme Elliott s'est révélée un peu moins affirmative que Mme Duval au sujet des services dédiés à la clientèle francophone. Elle n'a pas répondu directement lorsque La Presse Affaires lui a demandé si Delta mettra une équipe francophone en place et comment elle recrutera ce personnel. «Nous sommes présentement à identifier les besoins en personnel dans nos centres d'appels américains», a-t-elle simplement répondu. Toujours en raison de l'entente conclue avec Air-France-KLM, Delta fermera son centre de réservation de Londres au dernier trimestre de 2010.
  9. 4000$ par an pour stationner sa voiture 24 novembre 2009 | 18h47 Agence QMI Les Montréalais dépensent des sommes avoisinant parfois 600 $ par mois pour stationner leurs véhicules dans les tours à bureaux du centre-ville, une tarification dont la valeur n’est fixée qu'en fonction de loi de l’offre et de la demande. C’est ce qui ressort d’une enquête réalisée par l'Agence QMI auprès de compagnies propriétaires de 21 édifices à bureaux et complexes commerciaux de la Métropole. L’étude permet de constater que les travailleurs montréalais sont appelés à payer des sommes variant entre 180 $ et 660 $ par mois pour stationner leur véhicule, des montants, qui dépassent dans certains cas le versement d’un loyer mensuel sur le Plateau Mont-Royal. C’est à l’hôtel Delta centre-ville, qui ne dispose pas de forfait mensuel, où l’on retrouve la tarification la plus élevée à Montréal, soit 660 $ par mois (22,00$ / jour x 30 jours). Hormis ce cas particulier, ce sont les stationnements du 1501 McGill College et du Centre Eaton qui dominent le classement avec une facture mensuelle de 361,50$, pour un espace de stationnement non réservé, une dépense annuelle de 4338,00$. Les quatrièmes et cinquièmes positions de ce palmarès sont occupées par Place Montréal Trust et la Tour KPMG qui demandent respectivement 306 $ et 299,12$ aux automobilistes qui désirent y laisser leurs véhicules pendant un mois. C’est la Place Alexis Nihon et le Palais des Congrès qui offrent finalement le tarif le plus abordable pour stationner son véhicule pendant un mois avec une facture de 180 $, une aubaine. Offre et demande Contactée afin d’expliquer ces écarts de prix surprenants, Amélie Plante, porte-parole de la SISQ, une société qui administre notamment la Place Ville Marie et le 1000 de la Gauchetière, rappelle que « c’est vraiment une question d’offre et de demande». «On considère le ratio du nombre de pied carrés de l’immeuble et le nombre de places de stationnement disponible » explique Mme Plante. «Plus le ratio est élevé, plus le prix va être élevé. Pour un immeuble d’un million de pieds carrés qui n’a que 100 places, c’est sûr que ça va être plus cher», poursuit la principale intéressée. Il n’existe présentement aucune réglementation gouvernementale visant à contrôler la tarification des stationnements privés. Baisse d’affluence à prévoir? Les propriétaires de stationnements privés de la Métropole pourraient enregistrer de fortes diminutions de leurs revenus au cours des prochains mois, selon Richard Bergeron, chef de Projet Montréal. ontacté par QMI, le nouveau responsable du plan d'urbanisme au sein du comité exécutif de la Ville a averti qu’en raison de la construction prochaine de 25 000 nouveaux espaces sous-terrains, «tout le monde va perdre de l’argent». «Au fil des années, entre 2005 et 2009, on a autorisé la construction de plusieurs milliers de places. C’est un grand projet inutile qui va faire perdre de l’argent à tout le monde, en plus d’augmenter inutilement le coût d’acquisition des ménages.» Actuellement, selon M. Bergeron, les stationnements du centre-ville sont remplis au 2/3 de leur capacité. Pas si cher Quant à la tarification «variable» des stationnements, M. Bergeron affirme que les montréalais ne paient «pas si cher». «Le coût mensuel du stationnement doit être à peu près de 1% du coût de la construction de l’espace. Actuellement, il faut débourser 40 000 $ pour construire un de ces espaces. Suivant ce raisonnement, le coût mensuel devrait osciller aux environs de 400 $». La variété des tarifs mensuels offerts à Montréal fait toutefois dire à CAA Québec qu’il faut chercher avant de signer son contrat. «C’est une activité qui relève du privé. Les gens ne sont pas obligés d’aller dans ces stationnements là. De voir une si grande panoplie de prix, une si grande variété, ça prouve qu’il faut magasiner», tranche Brigitte Roussy, la porte-parole du CAA. Tarif stationnements mensuels non-réservés 1-Delta centre-Ville 660,00 $ 2-1501 McGill College 361,50 $ 3-Centre Eaton de Montréal 361,50 $ 4-Place Montréal Trust 306.00 $ 5-Tour KPMG 299,12 $ 6-Place Ville Marie 286,54 $ 7-Les Tours Bell Canada 283,50 $ 8-Tour IBM Marathon 275,62 $ 9-Édifice Laurentienne 275,62 $ 10-Mariott Château Champlain 264,37 $ 11-Tour Telus 259,61 $ 12-1000 de la Gauchetière 255,00 $ 13-Tour CIBC 250,00 $ 14-Tour de la Bourse 243.00 $ 15-Place Bonaventure 242,69 $ 16-Complexe Desjardins 237,04 $ 17-TD Bank 230.00 $ 18-Place-Dupuis 230,00 $ 19-Centre Sheraton 210,00 $ 20-Place Alexis Nihon 180,00 $ 21-Palais des congrès 180,00 $
  10. Le 24 novembre 2009 Altitude Montréal: comme à l'hôtel L'Altitude Montréal, un immeuble de luxe de 33 étages, qui offrira à ses copropriétaires des services hôteliers, devrait être construit au coeur du centre-ville de Montréal. Le Groupe Daca veut innover en construisant, au coeur du centre-ville de Montréal, un complexe résidentiel de luxe qui offrira à ses copropriétaires des services hôteliers, sans être un hôtel. Le promoteur a acheté deux terrains de stationnement, deux ruelles et le terrain où était auparavant établi le Dublin Pub, à l'angle des rues Cathcart et University. En diagonale avec la Place Ville-Marie, il compte commencer à construire dès l'été prochain l'Altitude Montréal, un immeuble de 33 étages abondamment fenêtré. «Les grandes chaînes hôtelières américaines construisent toutes des hôtels avec des condos au-dessus, explique Bertrand Leboeuf, président du Groupe Daca. Notre projet est différent puisque les services hôteliers seront offerts à la carte uniquement aux copropriétaires. Ceux-ci n'auront pas à subir un flot constant de visiteurs.» Propriétaire de l'hôtel Marriott SpringHill Suites, dans le Vieux-Montréal, l'entreprise désirait initialement construire un autre hôtel Marriott. Elle s'est ravisée, mettant son expérience différemment à profit. Sa stratégie semble toucher une corde sensible. Avant même l'ouverture officielle du bureau des ventes, qui aura lieu mercredi prochain, le Groupe Daca a déjà vendu 35 unités. À des prix qui oscillent entre 400$ le pied carré (aux étages inférieurs) à 950$ le pied carré (pour les appartements terrasses de type penthouse aménagés sur deux étages), ce n'est pas peu dire. Ce qui plaît? L'emplacement du projet, de même que la qualité de vie proposée. «L'immeuble deviendra un emblème à Montréal, prédit M. Leboeuf. Il va marquer le centre-ville.» La clientèle cible? Ceux qui désirent un pied-à-terre à Montréal parce qu'ils ont un chalet dans les Laurentides ou encore passent plusieurs mois par année sous des cieux plus cléments. Aussi, des couples, une fois les enfants partis, qui ne veulent plus s'astreindre à entretenir leur propriété. «Nous avons aussi plusieurs clients internationaux, qui cherchent à faire un bon investissement», précise le promoteur. Les copropriétaires auront notamment accès à une piscine, un centre sportif, une salle de billard, un golf virtuel avec un écran géant, une salle de cinéma pour 12 personnes et une salle de réception. Ils seront évidemment les bienvenus au restaurant et au centre de santé qui seront aménagés au rez-de-chaussée et seront ouverts au public. Mais ils pourront aussi se faire livrer des repas. L'immeuble comptera environ 140 appartements, qui seront desservis par cinq ascenseurs. Un d'entre eux sera réservé au service, comme dans un hôtel. Les chambres pourront d'ailleurs être faites tous les jours, si désiré, et un service de buanderie sera offert. Un concierge, présent durant les heures d'ouverture, pourra appeler un taxi ou dénicher des billets de hockey. Autre particularité: lorsque nécessaire, les copropriétaires pourront louer une voiture à l'heure. Si le promoteur se demandait s'il y avait une place à Montréal pour un projet de luxe, il est maintenant rassuré. Certains acheteurs ont acquis deux et même trois unités: ils ont réservé une suite pour eux dans les étages 11 à 29 (où les appartements sont plus grands... et plus chers) et un condo (ou deux) pour leurs enfants, dans les étages 4 à 10. La superficie des unités varie alors de 800 à 1300 pieds carrés. L'arrondissement de Ville-Marie voit d'un très bon oeil la disparition de deux terrains de stationnement à un endroit aussi stratégique. «C'est notre volonté d'éliminer les stationnements extérieurs afin d'animer et de densifier le centre-ville, indique Nancy Shoiry, directrice du service de l'aménagement urbain et des services aux entreprises. Un à un, les stationnements sont remplacés par des projets immobiliers.»
  11. Je souhaite sincèrement une victoire principalement pour Cahoon, Chiue et AC pour qui ça pourrait être la fin. De plus, il faut dire que les Alouettes, malgré les défaites récentes à la Grey Cup, est une organisation très solide, géré de mains de maitre et ca depuis le retour en 1996. Sans l'ombre d'un doute, l'organisation sportive la plus constante à Montréalaise au cours des quinze dernières années. Chapeau à Marc Trestman, Jim Pop et Larry Smith, les architectes de cette brillante organisation. Let's hope they gonna shut the co-called 'Rider Nation' up and bringing the cup back where it belongs... Montreal!
  12. Publié le 23 novembre 2009 à 16h36 | Mis à jour à 17h22 Latendresse échangé: «Je suis soulagé» Marc Antoine Godin La Presse Guillaume Latendresse a été échangé au Wild du Minnesota en retour de l'attaquant franco-ontarien Benoît Pouliot. «Je suis soulagé», a admis Latendresse, qui s'est brièvement entretenu avec La Presse lundi. Le Québécois de 22 ans a appris vers 16h30 qu'il était transféré à une autre équipe. «Pour le moment, je vais relaxer quelque peu avec ma famille avant de faire d'autres commentaires.» Pourquoi soulagé? Parce que la pression liée à son insuccès, doublée d'une relative incompréhension par rapport au mandat qu'il devait remplir, l'ont en quelque sorte mené à un cul-de-sac. En cédant Latendresse, le Canadien se départit de l'un de ses rares joueurs de gros gabarit capable d'imposer une présence physique en zone adverse. Or, Latendresse semblait plafonner offensivement avec le Canadien avec seulement trois points en 23 matchs. Pouliot, qui est capable d'évoluer au centre comme à l'aile gauche, avait été réclamé tout juste avant Carey Price lors du repêchage de 2005. À 6'3 et 200 livres, il possède un bon gabarit et vient à peine d'avoir 23 ans. Or, même s'il a déjà été un quatrième choix universel, Pouliot tarde à faire sa marque dans la Ligue nationale. Le natif d'Alfred n'a récolté que dix buts et dix passes en 74 matchs, dont seulement deux buts et quatre points en 14 rencontres cette saison. Après un passage prometteur à Sudbury, dans la Ligue junior de l'Ontario, Pouliot a laissé miroiter le potentiel d'un marqueur de premier plan dans la LNH, ce qui ne s'est pas concrétisé jusqu'ici. Certains lui reprochent une certaine mollesse dans son jeu qui entraîne de mauvaises pénalités
  13. A LOOK AHEAD: ALS AND RIDERS MEET FOR GREY CUP FOR FIRST TIME The 97th Grey Cup will be a historic one. For the first time in the game's illustrious history, the Montreal Alouettes and Saskatchewan Roughriders will meet to decide the '09 CFL championship at McMahon Stadium on Sunday. Coverage of the Grey Cup game begins on TSN and TSN HD at 1pm et/10 am pt. Montreal advanced to the title game Sunday with a lopsided 56-18 win over the B.C. Lions in the East Division final behind a record-tying five touchdown passes by Anthony Calvillo. The Roughriders kept pace with a thrilling 27-17 home victory over the Calgary Stampeders thanks to two second-half touchdown passes from Darian Durant to snap a 10-10 half-time tie with the defending Grey Cup champions. Calgary was attempting to become the first team since the '96-'97 Toronto Argonauts to successfully defend a Grey Cup title and the first squad since the '94 B.C. Lions to win the title as the host squad. Last year, the Stampeders prevented Montreal from doing so, downing the Alouettes 22-14 at Olympic Stadium. The win will earn Saskatchewan its eighth Grey Cup appearance since 1948, when the Regina Roughriders became a provincially owned and operated club. Saskatchewan will get its second title shot in three years (the Riders beat Winnipeg in the '07 title game) and its first-ever championship meeting with Montreal. The Alouettes find themselves in the CFL championship game for the seventh time since 2000 but they're looking for just their second victory over that span. Saskatchewan's Grey Cup berth will be the first for cornerback Omarr Morgan, in his 10th CFL season. Morgan has spent nine of those years with the Riders but missed the club's '07 title run after spending that season with the Edmonton Eskimos. Earning Morgan a championship ring was a rallying cry by some Riders players last week during practice. Montreal and Saskatchewan finished the regular season atop their respective divisions. The Alouettes posted a CFL-best 15-3 record while Saskatchewan finished tied with Calgary atop the West Division with 10-7-1 records, but the Riders got top spot based on beating the Stampeders 2-0-1 in head-to-head meetings. And that was indeed significant as it secured Saskatchewan first place for the first time since '76 and earned it home-field advantage for the rematch with Calgary. So not only did the Stampeders have to overcome the Riders, but also more than 30,000 of their rabid football fans. Montreal swept the season series with Saskatchewan 2-0, downing the Riders at Mosaic Stadium 43-10 on July 18 before earning a 34-25 home victory on Aug. 21. The Alouettes were dominant against West Division rivals in 2009, posting a 6-2 record. And they were also good on the road with a CFL-best 6-3 mark away from Molson Stadium. That's in stark contrast to last season when Montreal was 3-5 versus Western Conference clubs and finished the season 0-3 against Calgary. While the Riders lost both times against Montreal, they were an impressive 5-3 overall against East Division teams. Calvillo, the CFL's outstanding player last season who's the East nominee for the award this year, threw for just 451 yards in the two games against Saskatchewan. But he completed 43-of-63 attempts (68 per cent) and had four touchdowns against no interceptions. Calvillo finished the season third overall in passing with 4,639 yards despite not playing in Montreal's regular-season finale. The 16-year CFL veteran completed 72 per cent of his passes and threw a league-high 26 TD strikes while surrendering just six interceptions. With Calvillo under centre, Montreal led the CFL in scoring (33.3 points per game), touchdowns (50), TD passes (33) and time of possession (33 minutes 18 seconds). But the Alouettes also finished first in field goals (50) as kicker Damon Duval scored a league-record 242 points. The Alouettes also countered with a defence that led in 21 of the league's 25 categories, including fewest points allowed (18 per game). Saskatchewan's offence was tied with Calgary for second in scoring (28.6 points per game) despite being ranked fifth in both passing and rushing. Defensively, the Riders were fourth in yards allowed (353.4 per game) but seventh against the run (123.8 per game), something an Alouettes offence that was second in rushing (119.9 yards per game) could look to exploit. Not surprisingly, Montreal's offensive star against Saskatchewan was running back Avon Cobourne. He surpassed the 100-yard rushing plateau in both games, running for a combined 247 yards and scoring twice. On the season, Cobourne finished with 1,214 yards rushing, averaging a stellar 5.4 yards per attempt, which scoring a league-high 13 TDs on the ground. Montreal also boasted three 1,000-yard receivers in Kerry Watkins (81 catches, 1,243 yards, eight TDs), Jamel Richardson (85 catches, 1,055 yards, nine TDs) and Ben Cahoon (89 catches, 1,031 yards, two TDs). Cobourne was also a valuable contributor to the passing game with 56 catches for 458 yards and two TDs. To no one's surprise, Montreal will be well represented at the CFL awards banquet this week in Calgary, with five nominees in the six categories. Joining Calvillo will be defensive end Anwar Stewart (top defensive player), offensive lineman Scott Flory (top lineman), Cahoon (top Canadian) and kick-returner Larry Taylor (top special-teams player). Saskatchewan will have one representative, that being defensive lineman John Chick. Durant, though, had trouble with Montreal's stout defence. Durant was 29-of-51 passing (56.8 per cent) for 438 yards with two touchdowns but surrendered four interceptions. Overall, Durant was fourth in CFL passing with 4,348 yards and was named a West Division all-star. He had 24 TD strikes but also 21 interceptions. Weston Dressler finished as Saskatchewan's leading receiver with 62 catches for 941 yards and four touchdowns. But it was the unit's Canadian content proved to be its backbone. Andy Fantuz of Chatham, Ont., Rob Bagg of Kingston, Ont., and Regina's Chris Getzlaf combined for 167 catches for 2,220 yards and 15 touchdowns this season, with Fantuz and Bagg both recording clutch TD grabs to anchor the Riders' second-half success against Calgary.
  14. AREAL ASSAULT MONTREAL -- Anthony Calvillo tied a CFL playoff record with five touchdown passes as the Montreal Alouettes romped to a 56-18 victory over the B.C. Lions before 53,792 fans on Sunday afternoon to advance to the Grey Cup game. The Alouettes will play in their seventh Grey Cup since 2000 next Sunday in Calgary against the West Division champion. It was a second year in a row they defeated a crossover team from the West in the East Division final, having beat Edmonton 36-26 last year. Jamel Richardson and Brian Bratton, with two each, and Kerry Watkins had TD receptions while Richardson added another on a blocked punt return for Montreal. John Bowman added one more TD with a 41-yard interception return off backup Lions QB Travis Lulay, who replaced Casey Printers late in the game. Damon Duval added two field goals and a single. Calvillo equalled the league mark for post-season TD passes held by five other players. Paris Jackson caught a TD throw from Printers, Ryan Grice-Mullen scored on a record 106-yard punt return and Paul McCallum had a field goal for B.C., which was attempting to be the first crossover team to reach the Grey Cup. They beat Hamilton in overtime in the East semifinal last week. Montreal had a dominant 15-3 season while B.C. was only 8-10, but the East final was seen as a toss-up because of the strong form Printers showed after joining the Lions in September and because the Alouettes have a history of struggles against their rival from Vancouver. Even with the loss, the Lions are 11-5 against Montreal since Wally Buono became coach in 2003. But this was no contest. The near-sellout crowd roared while the Montreal defence shut down Printers and running back Martell Mallett, who had gained 213 yards in a win over the Alouettes this season but fumbled twice in this one. The offence shredded B.C. for long gains. The Lions started strong with a drive that led to McCallum's 35-yard field goal, but Duval answered right back with a 47-yard effort. Then Montreal took over as Mallett fumbled and Shea Emry recovered on the B.C. 22. On the next play, Calvillo hit Richardson alone in the end zone. Billy Parker picked off a Printers pass and returned it 45 yards to the Lions' 18 and five plays later, Watkins caught a four-yard TD toss. On their next possession, Watkins broke a LaVar Glover tackle and romped 91 yards to the B.C seven, and Richardson caught his second TD pass 4:22 into the second quarter. Larry Taylor fumbled a punt to give the Lions the ball on the Montreal 14 and, on the next play, Printers found Jackson at the back of the end zone to cut the score to 24-10. But Calvillo hit back with a 45-yard TD pass to Bratton before the Lions closed out the half with a McCallum single for a 20-point deficit. Momentum could have switched again 4:54 into the third quarter as Grice-Mullen raced around the left side for a 106-yard punt return TD, beating a league playoff record 103-yard return by Henry (Gizmo) Wiliams of Edmonton in 1992. But Montreal marched back for Bratton's 14-yard TD catch and Cory Huclack blocked a punt and Richardson ran it in at 11:20. Duval added a field goal early in the fourth for a 30-point lead. Duval added a point on a missed field goal to give the Alouettes a team-record 49 points, one more than they scored in a playoff game against Hamilton in 1956. Notes: The Lions lost cornerback Dante March to an injury early in the first quarter. . . The last QB with five TD tosses in a playoff game was Dany Barrett in 1991. . .Richardson tied a team record shared by three others with three TDs in a playoff game.. . It was Montreal's first game at the Big O since a loss to Calgary in last year's Grey Cup game.
  15. Énergie Nouveau-Brunswick divise les provinces de l'Atlantique Publié le 20 novembre 2009 à 14h48 | Mis à jour à 14h55 La Presse Canadienne Churchill Falls, T-N-L Les premiers ministres des provinces de l'Atlantique sont ressortis d'une rencontre, vendredi au Labrador, divisés par la vente d'Énergie Nouveau-Brunswick à Hydro-Québec. Les premiers ministres de la Nouvelle-Écosse et de Terre-Neuve-et-Labrador demandent à leur homologue du Nouveau-Brunswick, Shawn Graham, de garantir que leur province respective pourra continuer à exporter de l'électricité via le territoire néo-brunswickois. M. Graham et le premier ministre terre-neuvien, Danny Williams, sont aux antipodes l'un de l'autre depuis que la vente d'Énergie Nouveau-Brunswick à Hydro-Québec a été annoncée il y a trois semaines. M. Williams estime que cette transaction dotera le Québec d'un contrôle total sur les exportations d'électricité à destination du nord-est des États-Unis et empêcherait sa province de vendre l'hydroélectricité éventuellement produite par le projet du cours inférieur du fleuve Churchill - un argument que réfute M. Graham. Après la rencontre, M. Williams et son homologue néo-écossais, Darrel Dexter, ont demandé à M. Graham une garantie écrite que leurs provinces pourront continuer à exporter de l'électricité via le Nouveau-Brunswick, si la vente d'Énergie Nouveau-Brunswick est finalisée. M. Graham a refusé de prendre un tel engagement.
  16. Publié le 19 novembre 2009 à 20h27 | Mis à jour à 20h31 Les coûts projetés pour le CHUM et le CUSM enfleraient de 60% La Presse Canadienne Montréal Les coûts projetés pour la construction du Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM) et du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) ont de nouveau gonflés en raison de la formule retenue de partenariats public-privé (PPP), selon ce qu'a rapporté TVA, jeudi. La facture gonflerait dans les deux cas d'environ 60 pour cent. Jusqu'à maintenant, la phase un du projet du CHUM, soit la construction du centre de recherche, était évalué à 320 millions $, tandis que les coûts projetés de construction du CUSM s'élevaient à 2,2 milliards $, selon TVA. Un comité restreint formé de l'Agence des PPP, du ministère de la Santé et des deux hôpitaux se serait penché, mercredi et jeudi, sur les propositions finales des deux consortiums retenus dans les deux projets. Or, TVA soutient que selon des sources près du dossier, il faut s'attendre à une autre explosion des coûts. Mercredi, le vérificateur général du Québec, Renaud Lachance, a fait valoir que les arguments soulevés pour justifier la décision du gouvernement de moderniser les grands hôpitaux universitaires en mode PPP ne reposent pas sur des bases objectives et solides. C'est du côté du financement que le bât blesserait. Actuellement, lorsque le gouvernement est maître d'oeuvre de ces projets, les banques prêtent à un taux d'intérêt de 4,5 pour cent, alors que pour le secteur privé, les intérêts varient de 6,5 à 8 pour cent, selon ce qu'a relevé TVA. Dans quelques semaines, les noms des deux consortiums retenus et les coûts des projets seraient dévoilés.
  17. Les opposants se manifestent Mise à jour le mardi 17 novembre 2009 à 17 h 07 Commentez (18) Des opposants à la vente de la société Énergie NB à Hydro-Québec manifestent à Fredericton mardi. Quelques centaines de personnes étaient déjà présentes lorsque la manifestation a commencé, à 11 h. « Il me semble que c'est absolument à l'encontre de tout ce qu'il y a de sensé parce que c'est un pouvoir qu'on a pour la vie, et là, le vendre, c'est irréversible. C'est une situation qui sera irréversible, puis je pense que c'est assez évident que ce n'est pas la bonne chose à faire », affirme Hélène Lapointe, une manifestante. Pat Roy, du Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier, reconnaît que les grandes entreprises recevront de meilleurs tarifs si Hydro-Québec achète Énergie NB, mais il ne croit pas que ce soit la seule solution pour sauver les entreprises au bord de la faillite. « On voit au Québec présentement des usines qui ferment aussi. Ont-ils l'électricité moins chère ou quoi? On se demande la même question ici. Est-ce que ça va les sauver? Non, ce n'est pas ça qui va les sauver », soutient Pat Roy. Une première brèche semble même apparaître dans les rangs du gouvernement de Shawn Graham à ce sujet. Lors de la manifestation, le ministre du Développement social, Kelly Lamrock, a indiqué qu'il ne sait pas encore s'il va appuyer le projet de vente ou non. Moi je vais le dire, moi je vais écouter. Je vais avoir quelques réunions publiques dans ma circonscription. Je vais voter avec ma conscience. — Kelly Lamrock, ministre du Développement social Les manifestants se sont donné rendez-vous dans la capitale à l'occasion de l'ouverture de la session de travaux législatifs. Ce projet de vente sera sans doute à l'avant-scène des débats au cours de cette session parlementaire. Il s'agit des derniers travaux législatifs avant les élections générales de 2010. Des membres du Cabinet défendent l'entente Les ministres du gouvernement libéral de Shawn Graham interviennent sur tous les fronts ces jours-ci pour défendre l'entente de principe conclue avec Hydro-Québec. Le ministre des Finances, Greg Byrne, était devant des gens d'affaires de Grand-Sault, lundi. Son discours devait porter sur le prochain budget, mais il a plutôt été question de la vente d'Énergie NB. Les piliers du gouvernement Graham multiplient les réunions avec des gens d'affaires et ils sont présents dans toutes les tribunes téléphoniques, mais le message livré n'est pas exactement le même partout. Au sujet de la possibilité de modifier l'entente de principe sur la vente d'Énergie NB, le ministre de la Justice, Michael Murphy, disait ceci lors d'un débat enregistré la semaine dernière: « On doit avoir des débats et on doit recevoir des idées pour faire les améliorations. Ce n'est pas parfait, ce n'est pas fini et ce n'est pas un fait accompli. » Le ministre d'Entreprise Nouveau-Brunswick, Victor Boudreau, semble toutefois écarter tout changement. « L'essentiel de cette entente-là est ce que nous avons besoin comme province pour aller de l'avant », dit-il. Le député progressiste-conservateur Jeannot Volpé, ancien ministre de l'Énergie, dénonce le manque de cohérence des divers ministres qui défendent le projet de vente. « Ils essaient de vendre un produit sans le connaître, puis ils essaient de faire une propagande sans savoir ce qu'il y a dans l'entente », dit-il. Le débat se transporte maintenant à l'Assemblée législative où le discours du Trône sera prononcé à 15 h. Danny Williams cherche des appuis aux États-Unis...... Le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Danny Williams, a rencontré des gens d'affaires à New York pour leur expliquer son point de vue contre la vente d'Énergie NB. Selon lui, si cette entente de principe entre en vigueur, cela signifie qu'Hydro-Québec contrôlera la transmission, la production, l'établissement des prix et la réglementation de toutes les lignes terrestres vers les États américains à l'est de l'Ontario. Danny Williams Le premier ministre Danny Williams a prononcé un discours à New York lundi. Danny Williams a déclaré qu'il ne peut pas imaginer un pire scénario pour le nord-est des États-Unis. Il a soutenu que le monopole du marché par Hydro-Québec est de mauvais augure pour les consommateurs américains. Danny Williams a aussi fait la promotion du projet hydroélectrique du bas Churchill, au Labrador. Il a dit aux New-Yorkais qu'il est dans leur intérêt que l'énergie du bas Churchill soit acheminée aux États-Unis. M. Williams estime qu'une plus grande concurrence au Canada procurera de meilleurs tarifs aux consommateurs américains.
  18. Pourquoi l’État coûte cher 17/11/09 11:59, Pierre Duhamel Si le Québec croule sous les dettes, c’est en partie parce qu’il croule sous les structures. Nous sommes les champions du monde de la structure bureaucratique. Voici une radiographie du monstre que nous ne finissons pas d’alimenter. Le Québec est divisé en 17 régions administratives, 18 agences de santé et des services sociaux, 22 régions touristiques (dont Laval !) et 61 commissions scolaires. Chacune de ses entités a délimité son propre territoire et on peut se retrouver dans la région touristique des Cantons de l’Est, mais dans la région administrative de la Montérégie. Vous voulez vacciner la population de Montréal, Longueuil, Laval et Repentigny, toutes des villes limitrophes de la métropole, et vous avez quatre agences de santé à pied d’œuvre, définissant leurs propres priorités et émettant leurs directives potentiellement contradictoires dans le même marché de consommateurs. Montréal est prisonnière d’une structure abracadabrante. Déjà ce n’est pas simple avec les 19 arrondissements et les 103 élus, sans doute un record mondial pour une ville de cette taille. Il faut évidemment ajouter l’agglomération de Montréal qui regroupe Montréal et les 15 villes de banlieue de l’île. C’est sans compter sur la Communauté métropolitaine de Montréal qui compte, tenez-vous bien, 82 municipalités, 14 municipalités régionales de comté, deux agglomérations et cinq régions administratives. Et comme si cela ne suffisait pas, il y a un organisme au gouvernement qui s’appelle la Table métropolitaine de Montréal. J’ai recensé 189 commissions, sociétés, régies et autres organismes relevant du gouvernement du Québec. On trouve un Bureau de la Capitale nationale et une Commission de la capitale nationale. On pourrait philosopher longtemps sur la pertinence d’une Société des bingos du Québec. D’autres organismes ont des noms évocateurs. Que pensez-vous de la Commission des appellations réservées et des termes valorisants ? Pourquoi un Office Québec-Wallonie-Bruxelles pour la jeunesse, un Office Québec-Amérique pour la jeunesse, un Office franco-québécois pour la jeunesse, quand il existe une Office Québec-Monde pour la jeunesse et un Secrétariat à la jeunesse ? Le ministère de la Santé et des services sociaux est en soi un bel exemple de complexité administrative avec ses 10 organismes, ses 18 agences régionales et ses 88 directions administratives. Ce sont ces gens-là qui devraient simplifier le fonctionnement des hôpitaux ? Mais mon organisme préféré est l’extraordinaire Secrétariat du comité ministériel de la prospérité économique et du développement durable en matière d’allégement réglementaire et administratif. 18 mots… pour alléger !
  19. Montréal, deuxième ville de party au monde Agence QMI Jean-Marc Gilbert 14/11/2009 17h10 À en croire le palmarès fait par l’organisation touristique Lonely Planet, qui a récemment publié son nouveau guide de voyage 1000 Ultimate Experiences, Montréal est la deuxième meilleure ville de party au monde. Se classant tout juste derrière la ville de Belgrade en Serbie, les auteurs de ce classement qualifient Montréal de «destination de plus en plus populaire chez les voyageurs étrangers». Selon eux, on y retrouve «des boîtes de nuit pleines à craquer», «une atmosphère vieux-quartier», et «de la bonne bière locale»... De quoi bien s’amuser toute la nuit! On fait également référence au populaire festival Juste Pour Rire qui se tient chaque été. Tremblay s’en réjouit Le maire de Montréal Gérald Tremblay a été mis au courant de cette nomination et l’a commenté par voie de communiqué, la semaine dernière. «Ces deux prix (Montréal s’est aussi mérité un prix pour les BIXI) nous démontrent qu'en misant sur ses créateurs et sur l'innovation, Montréal a fait le bon choix et réussit ainsi à se démarquer.» Ce dernier pense aussi que ce genre d’honneur permet à la métropole d’être «reconnue tant au national qu'à l'international [...] et j'en suis particulièrement fier.» Les autres villes figurant à ce classement des 10 plus grandes villes de party dans le monde sont dans l’ordre: Buenos Aires en Argentine, Dubaï aux Émirats arabes unies, Thessaloniki en Grèce, La Paz en Bolivie, Cape Town en Afrique du Sud, Bakou en Azerbaïdjan, Auckland en Nouvelle-Zélande et Tel Aviv en Israël.
  20. J'aurais aimé qu'ils considèrent ce revêtement plutôt que les panneaux préfabriqués : From drum118 at UT http://www.urbantoronto.ca - X Condominium.
  21. NB Power union slams Hydro-Québec deal Last Updated: Friday, November 13, 2009 | 8:50 PM AT CBC News Ross Galbraith, business manager of Local 37 of the IBEW, says NB Power members haven't been told how the deal with Hydro-Québec will affect their pension plan.Ross Galbraith, business manager of Local 37 of the IBEW, says NB Power members haven't been told how the deal with Hydro-Québec will affect their pension plan. (CBC) The union representing 2,200 NB Power workers has come out against the sale of the utility to Hydro-Québec, citing pension plan concerns. Local 37 of the International Brotherhood of Electrical Workers has spent the last two weeks analyzing the proposed deal, said business manager Ross Galbraith. But members continue to be left in the dark about their pension plan, he said. 'What we need to see is legal commitments, things that are hard and fast, that we know we can count on.'—Ross Galbraith, union business manager "They've not received much in the way of communication, and the types of things we've gotten is not anything that is legally enforceable," Galbraith said. "The problem is we can't just say `Well everything is going to be fine.' What we need to see is legal commitments, things that are hard and fast, that we know we can count on on a go-forward basis." The memorandum of understanding (MOU) to sell most of NB Power to Hydro-Quebec states that existing union contracts will be respected, but a lawyer hired by the union says the word "respected" has no legal standing, Galbraith said. Agreement unclear "When you see the MOU, it says members will be offered employment. It doesn't say people will be seamlessly transferred with all their rights and benefits and the things that they've accrued. So the language is kind of unclear." It's also unfair that current NB Power employees will remain in their existing pension fund, while new employees would come under an unspecified new plan, he said. Energy Minister Jack Keir said he understands why the union is nervous, but he says the wording of the final contract, due to be signed by the end of March, will be iron-clad. "Nothing's going to change for them in terms of their employment contracts, in terms of their collective rights and in terms of their pension plan moving forward in the province of New Brunswick," Keir said. Under the proposed deal, announced Oct. 29, Hydro-Québec would take over most of New Brunswick's generating stations for $4.8 billion, which represents the equivalent of NB Power's debt, Premier Shawn Graham has said. Hydro-Québec would promise to freeze residential power rates in New Brunswick for five years. During the same period, large industrial rates would be lowered to the power prices offered to similar customers in Quebec, but they would not be frozen. That component of the deal is worth an estimated $5 billion to NB Power customers, according to Graham. The proposed sale of NB Power needs legislative approval before it can go ahead. The Progressive Conservatives have demanded an election over the issue and have promised to stall the legislation if there is no immediate campaign. The Liberal government has said if the deal is delayed past March 31, NB Power's planned three per cent rate hike will go forward, instead of the rate freeze promised in the Hydro-Québec agreement. _________________________________________________________________ Watch out for Point Lepreau Published Saturday November 14th, 2009 D5 W.E. (Bill) Belliveau Based on the feedback I have received and keeping tabs on the blogs, it would seem to me that about 75 per cent of New Brunswick residents oppose the sale of NB Power assets to Hydro Quebec. The other 25 per cent are either on the fence or support the sale. Most of the opposition to the MOU/deal has an anti-Quebec and by implication an anti-French feeling to it. Danny Williams' rants continue to resonate because people are not familiar with the terms of the Newfoundland deal that was made by Joey Smallwood 40 years ago, probably one of the dumbest agreements ever signed by anybody, anywhere. People ask me for my opinion on the NB Power deal. I tell them clearly that I support it but that the MOU has a few holes in it (more on that in a minute). They tell me they don't understand the terms of sale while admitting they have not read the MOU. They claim they want more information. They also tell me that they think the assets of NB Power must have more value than the $10 billion Hydro Quebec is offering. As I have said before, the value of an asset can only be determined by the price someone is willing to pay for it. To my knowledge, there are no other buyers for NB Power. Furthermore, I'm told that an independent valuation of NB Power assets by an international banking group that specializes in mega corporate takeovers determined that NB Power's asset value is consistent with Hydro Quebec Hydro's offer to purchase. Assuming the credibility of this valuation, there are at least four reasons to support the sale of NB Power's assets to Hydro Quebec: 1. We lose our $4.7 billion debt; 2. We benefit from a five year rate-freeze on residential rates; 3. Electricity from Hydro Quebec would reduce our carbon footprint; and 4. Our major industrials (resource and manufacturing businesses) would benefit from a 30 per cent rate reduction that will make them more competitive, preserve jobs and help grow the New Brunswick economy. There are some loose ends in the MOU. I think they should be dealt with before an agreement is signed. The most important concern Point Lepreau, residential rates and purchase agreements with alternative energy suppliers. My major concern is Lepreau. What happens if it can't be fixed or if cost overruns cause Hydro Quebec to back away from Lepreau? That would leave us with a huge debt, something in the order of $3 billion. In my opinion, any agreement with Hydro Quebec has to be accompanied by a guarantee of certification for Lepreau, delivered by AECL and backed by the federal government. With such guarantee, failure to gain certification would shift the burden of Lepreau's debt from NB Power to the federal government. If we get stuck with Lepreau, we would only have half a deal with Hydro Quebec and we would be stuck with a mountain of debt. That is not good enough. The good news is that replacement power from Hydro Quebec during the Lepreau shutdown will be considerably cheaper than alternative fossil fuel generation. In respect to residential rates, I believe they have to be tied to rates charged to Quebec customers. As I mentioned in an earlier column, this could be as simple as 125 per cent of the Quebec residential rate. The other thing we might want to look at is contract rates in five year blocks, ad infinitum. Quebec could afford to do this because its costs are not subject to fuel price shocks and it could reasonably hedge against inflation. My third concern is for the development of alternative and renewable energy forms like wind energy. There has to be something in the agreement that guarantees access to the grid for any New Brunswick based renewable energy production. Guaranteeing power purchase agreements will be a little trickier because the cost of renewable alternatives, using conventional technology, is considerably higher than either the cost of Quebec hydro power or the cost of fossil fuel power generation. I would suggest that producers be guaranteed purchase of alternative energy at prices equal to the average of all power purchased by NB Power. One final point -- people have this romantic notion that loss of ownership would somehow cost us the benefits of our beloved utility. For example, Leopold Ouellet, an accountant in Northern New Brunswick describes "NB Power as the province's economic development engine" while opposing the sale of NB Power to Hydro Quebec. NB Power, in its present configuration offers nothing to prospective developers except non-competitive power rates. It will only become an economic development engine if we can find a way to complete the sale to Hydro Quebec and benefit from their competitive industrial rates. * W.E. (Bill) Belliveau is a Shediac resident and Moncton business consultant. His column appears every Saturday. He can be contacted at bill.bellstrategic@nb.aibn.com _________________________________________________________________ The only other option for NB Power November 11th, 2009 44 comments When I asked last week for people to put forward serious alternatives for NB Power that would keep rates competitive, orderly pay down debt and allow for the phasing out of oil/coal electricity generation, there were no takers. In fact, I haven’t heard any serious options in the wider media either. So last week I asked three people that I know have had close dealings either with NB Power or energy policy in New Brunswick. All three concluded that the model NB Power was operating was unsustainable if the vision for the utility was as I outlined in the first paragraph. All three said NB Power could remain a stand alone utility for a number of years but rate increases would need to be well above average. This observation is not a revelation. Electricity costs have gone up in New Brunswick since 2002 at twice the rate of overall inflation and the were projected to rise even faster until the government capped rate increases to 3%. That’s a nice card trick but, like Enbridge, you are just pushing those costs to future rate payers. If costs are increasing at 5% and you cap rate increases at 3%, somewhere down the road someone will have to pay the piper. So I asked my panel (separately) to give me a serious alternative to the HQ deal. All three said the likely outcome for NB Power would be a sale to Emera. Not now but in a few years when the situation was more desperate, the NB government would unload the utility to Emera as part of that company’s plan to be a large privately owned power utility in the Maritime Provinces and New England. But Emera wouldn’t take NB Power’s debt - not all of it. The government would likely have to absorb at least a couple of billion of debt. In addition, there would be no rate freezes for residential or declines for industry. The reality is that right now NB Power is in a relative position of strength. HQ wants to dramatically increase its U.S. business and could benefit from NB Power’s strategic position - and is willing to pay for it - to the tune of several billion dollars. If this deal is scuttled, NB Power will end up negotiating with potential suitors from a position of weakness and that could cost us billions. The point is that Emera doesn’t really see NB as a strategic channel to ship cheap hydro to the U.S. It has none - so it certainly won’t assign billions worth of value to the province. I’ll close with this. Two of the three people I talked to said they were surprised that the government went through with the deal (MOU) because the political hit was going to be heavy no matter what. Even if you like the deal, one said, for a resident or business it is a bit like “kissing your sister” - even if you like it you would never admit it. Very few people are going to admit to like selling of NB Power to Hydro-Quebec even if they realize it is the best option out there. http://davidwcampbell.com/
  22. Je ne sais pas trop si c'est représentatif mais les commentaires sur CBC vont te donner une bonne idée.. lol
  23. Dieppe (Moncton,NB) pushes French, bilingual sign bylaw Proposed sign law open for discussion in January Tuesday, November 10, 2009 | 6:13 AM AT CBC News Dieppe is proposing a bylaw that will require all future commercial signs on the exterior of buildings in the southeastern New Brunswick city to be either in French or bilingual. Dieppe city councillors brought forward the sign bylaw on Monday night in an attempt to quell a long-simmering debate in the francophone city over the number of English-only signs. The proposed bylaw is not in force yet and the city will give people opposed to the idea a chance to speak at a public meeting in January. The move was greeted with applause by people in the audience at Monday night's meeting, including Martin Rioux-LeBlanc, who ignited the debate after gathering 4,000 names on a petition in January in an attempt to get bilingual signs in the city. "It's a big step for New Brunswickers, it's a big step for Dieppe and we can be proud of that," Rioux-LeBlanc said. The bylaw states that any new signs that go up in Dieppe will have to be either in French or bilingual, but existing signs would not be affected. Dieppe, a city of roughly 18,000 people, is the province's only francophone city that offers municipal services in both official languages. Natural progression Dieppe Mayor Jean LeBlanc said the proposal is a natural progression from years of trying to convince businesses through education to switch from English-only signs. "Dieppe has been promoting French and promoting French culture — the linguistic landscape of our city — for a long time. This is just a continued progression towards making sure our community is well reflected," the mayor said. Dieppe, along with its neighbouring Moncton, are popular shopping destinations for people in the Maritimes and have attracted a large number of businesses in recent years. However, most business signs are still in English only, which is what instigated the petition to adopt a new sign bylaw. Although New Brunswick is officially bilingual, the province's language law does not cover the private sector. So any regulation over the language on signs in municipalities must come from the local government. Municipalities are covered under the Official Languages Act, if they are designated as a city or have an official language minority that forms 20 per cent of the population. That would require, for instance, local bylaws to be published in both official languages, but it would not extend to commercial signs. Positive regulation Michel Doucet, a prominent constitutional lawyer who specializes in language law at the University of Moncton, has been pushing the city to pass such a bylaw. Doucet said this is a step forward for bilingualism. "It's something that will be very difficult for somebody, who is in good faith, to oppose this," Doucet said. "What the municipality has done is ensure that the linguistic image for this municipality transpires through its sign law. And I believe that the council now needs the support of the people of Dieppe to come forward and to congratulate what the council has done." Along with the public meeting on the bylaw that is planned for January, Dieppe city council is also seeking an opinion from the Greater Moncton Planning Commission on the bylaw.
  24. Gun registry favoured only by Quebecers: poll Last Updated: Wednesday, November 11, 2009 | 4:06 PM ET CBC News A poll suggests Quebecers are alone in wanting to save the long-gun registry, with most Canadians outside the province appearing content to abolish it. The findings in the latest survey by The Canadian Press/Harris-Decima come a week after the House of Commons gave approval in principle to a private member's bill aimed at killing the controversial registry. In Quebec, a majority of respondents say they're opposed to abolishing the registry, which was created after 14 women were killed at École Polytechnique in Montreal in 1989. Fifty-six per cent of Quebecers polled said they oppose abolishing the registry, in contrast to the majority of people questioned in Atlantic Canada, British Columbia, Alberta and Manitoba-Saskatchewan, who support cancelling the registry. Residents in Ontario who participated in the poll were split on the issue, according to Harris-Decima's results. Quebecers also held distinctive views about the registry's role in public security, with more than half of respondents believing it has helped fight and prevent crime. That's about 19 per cent more respondents than the national average of the other provinces. The poll comes as the debate over the long-gun registry slowly inches forward in the House of Commons. Last week a key vote was held on a private member's bill that would wipe out the registry. Conservative MP Candice Hoeppner tabled the bill on the contentious registry. The Bloc Québécois caucus voted against it, while 12 NDP and eight Liberal MPs backed the Conservative caucus in voting for the bill. On the same day as the vote, Quebec's legislature, the national assembly, unanimously adopted a motion reiterating Quebecers' reliance and belief in the registry. The Conservative government has wanted to abolish the registry on the basis that it is expensive and inefficient. The Harris-Decima poll surveyed about 1,000 Canadians by telephone between Nov. 5 and 8. The poll's margin of error is 3.1 per cent, 19 times out of 20.
  25. Publié le 11 novembre 2009 à 12h20 | Mis à jour à 17h47 Échangeur Turcot: Montréal tient mordicus à ses voies réservées Tommy Chouinard La Presse (Québec) Le responsable du développement durable à la Ville de Montréal, Alan de Souza, a réitéré, aujourd'hui, la volonté de l'administration Tremblay de mettre en place un «véritable réseau régional de voies réservées aux transports collectifs sur l'ensemble du réseau routier métropolitain», dans le cadre du projet de l'échangeur Turcot. La Ville de Montréal a accueilli sans enthousiasme le rapport du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE), qui recommande d'apporter plusieurs «modifications substantielles» au projet de reconstruction proposé par le ministère des Transports du Québec (MTQ). Plusieurs des recommandations les plus importantes formulées par la Ville de Montréal, en audiences publiques, sur la réduction de la circulation et les transports en commun, ont été ignorées par le BAPE. La recommandation du BAPE de maintenir le niveau de circulation actuel dans l'échangeur, utilisé quotidiennement par près de 300 000 véhicules, ainnsi que la «timidité» des mesures proposées sur le plan des transports en commun, ont toutefois visiblement déçu l'administration Tremblay. «Nous avons la conviction, a déclaré M. De Souza, que la mise en place d'un véritable réseau régional de voies réservées aux transports collectifs, sur l'ensemble du réseau métropolitain, permettrait d'alléger la circulation dans le complexe Turcot, sans compromettre la fluidité». M. De Souza a révélé que le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et la ministre des Transports du Québec, Mme Julie Boulet, ont discuté du dossier dès ce matin, et que les équipes de travail de la Ville et du MTQ doivent se renconter prochainement, pour reprendre le dialogue. M. De Souza a rapporté que le ministère «aurait fait certaines avancées» sur des aspects importants de ce projet, «mais que la question des transports en commun reste entière». Plus cher que 1,5 milliard $ Pendant ce temps, à Québec, la ministre des Transports, Julie Boulet, a indiqué que le projet de reconstruction de l'échangeur Turcot coûtera plus cher que les 1,5 milliards de dollars prévus au départ par le gouvernement. Elle dit recevoir «positivement» le rapport très critique du BAPE, qui recommande des «modifications substantielles» au projet et remet en question tout le concept proposé par son ministère. «Notre objectif est de faire le plus possible pour répondre aux recommandations du BAPE», a-t-elle noté cet avant-midi. La facture sera inévitablement revue à la hausse. «C'est certain que les ajouts et les bonifications qui seront apportés vont avoir une répercussion au niveau des coûts du projet», a reconnu Mme Boulet. «Depuis 2007, on l'a toujours dit, dès l'annonce, que c'est un projet en constante évolution.» «Quand on sera en mesure de voir quels élément on ajoute, et que ce sera autorisé par ma collègue de l'Environnement, on se présentera devant les médias pour dire que, dans un premier temps, le projet devait coûter tant et que maintenant, avec les bonifications et les ajouts qui ont été suggérés par le BAPE et qui feront partie dorénavant du projet, le prix sera ajusté, ça c'est clair». Les «bonifications» auront un coût, mais le projet sera en bout de ligne «mieux intégré au milieu urbain», dans un secteur «densément peuplé avec beaucoup de particularités». C'est «un projet pour les 10, 15, 50 années à venir», et il est important qu'il réponde aux «besoins» et aux «attentes», a-t-elle plaidé. Le gouvernement fixera un «juste prix», mais la ministre a refusé de dire la facture qui serait, à ses yeux, acceptable. «Si on ajoute du transport collectif, il y a des coûts. Mais les transports collectifs font partie des recommandations du BAPE, et c'est une préoccupation pour nous également.» Intégration urbaine L'échangeur Turcot est le plus gros carrefour autoroutier de la province. Construit pour l'Expo 67 dans le sud-ouest de Montréal, l'échangeur relie entre elles les autoroutes Décarie (A-15), Ville-Marie (A-720) et l'A-20, et est utilisé à tous les jours par près de 300 000 automobiles et camions. Sa reconstruction va durer sept ans. Le coût du projet était jusqu'à présent estimé à 1,5 milliard $. En audiences publiques, en mai et juin dernier, le concept proposé par le MTQ pour reconstruire l'échangeur Turcot a été rejeté par une large majorité des participants, incluant les villes et arrondissements de l'ile de Montréal, les autorités de santé publique et l'ensemble des citoyens et des organismes du sud-ouest de la métropole. En conférence de presse, M. De Souza a rappelé les cinq revendications principales formulées par la Ville, lors des consultations du BAPE, au printemps dernier. Montréal demandait que la reconstruction de l'échangeur soit réalisée en mode conventionnel plutôt qu'en partenariat public-privé. Le MTQ a annoncé cet été que le projet sera réalisé en mode conventionnel. Sur le plan urbain, la Ville de Montréal a demandé que le projet soit mieux intégré aux quartiers qu'il traverse, et que les terrains qui entourent l'échangeuur soient reverdis. La Ville a aussi réclamé que le MTQ trouve le moyen de réaliser le projet sans procéder à la démolition de 170 logements, comme prévue au sud de l'autoroute Ville-Marie (A-720). Dans son rapport, le BAPE estime «qu'il n'est pas possible de souscrire» à la démolition de logements pour la reconstruction d'infrastructures routières et présente plusieurs recommandations précises et utiles quant au reverdissement des terrains autour du nouvel échangeur, qui recoupent les demandes de la Ville. M. De Souza s'est aussi dit «satisfait de constater que le BAPE a bn saisi l'importance de mieux favoriser l'intégration urbaine de ce projet, en demandant des modifications majeures sur es tronçons qui traversent des secteurs habités.»
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