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ErickMontreal

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Tout ce qui a été posté par ErickMontreal

  1. Publié le 16 décembre 2009 à 20h00 | Mis à jour à 20h00 Sans réforme de la Santé, les États-Unis risquent la «faillite» Agence France-Presse Washington Le président Barack Obama a une nouvelle fois plaidé mercredi pour l'adoption d'une réforme de la couverture maladie, affirmant que l'alternative était une «faillite» à terme du gouvernement fédéral, dans un entretien à une télévision américaine. Mesure phare du début du mandat de M. Obama, la réforme de la couverture maladie peine à passer au Sénat, où les élus sont divisés sur le contenu du texte, y compris parmi les alliés démocrates du président. «Si nous ne la votons pas, voici ce qui est garanti: vos primes vont augmenter, vos employeurs vont faire peser davantage de coûts sur vous», a expliqué M. Obama au micro de la chaîne ABC, qui doit diffuser l'entretien en intégralité mercredi soir et en a publié des extraits sur son site internet. Le président a aussi affirmé que les coûts des programmes fédéraux d'assurance maladie suivaient une tendance à la hausse «intenable», et que si rien n'était fait, «le gouvernement fédéral fera faillite». A terme, «personne ne conteste que les coûts de la santé vont utiliser le budget fédéral tout entier», a-t-il insisté. Mardi, M. Obama s'était dit «prudemment optimiste» sur le devenir de la réforme, affirmant que les démocrates étaient sur le point de parvenir à un accord au Sénat. Conformément à la feuille de route rédigée par la Maison Blanche, le projet de loi doit être adopté au Sénat avant la fin de 2009. Le chef de la majorité démocrate au Sénat, Harry Reid, a besoin des voix de 60 sénateurs sur 100 pour faire approuver le projet de loi en évitant une obstruction de la minorité républicaine. Le texte du Sénat vise à fournir une couverture à 31 des 36 millions d'Américains qui en sont dépourvus et à faire baisser les coûts de la santé, tout en améliorant la qualité des soins. Une fois adoptée par le Sénat, la loi devra être fusionnée avec une autre version déjà adoptée par la Chambre des représentants, avant d'être promulguée par M. Obama.
  2. Ottawa should review NB Power deal: Ont. senator Last Updated: Tuesday, December 15, 2009 | 7:14 PM AT CBC News Senator Lowell Murray said he thinks the federal government should review the proposed NB Power sale to Hydro-Québec.Senator Lowell Murray said he thinks the federal government should review the proposed NB Power sale to Hydro-Québec. (Fred Chartrand/Canadian Press) An Ontario Conservative senator is calling on the federal government to review the planned sale of NB Power to Hydro-Québec. Senator Lowell Murray, who was a deputy minister for former New Brunswick premier Richard Hatfield, said the federal government needs to get involved in the proposed power deal. "I'm motivated by a responsibility on the part of Parliament and the government to ensure there are no barriers to inter-provincial or international trade," Murray said in an interview on Tuesday. "We're still in early days here, we only have a [memorandum of understanding]. There are going to be definitive agreements and legislation and all the rest of it. But Ottawa has to get interested in this and get in the game." Murray is one of two Canadian senators who continue to sit as Progressive Conservatives, even though the federal Progressive Conservative Party has been formally dissolved. He is not a member of the governing Conservative caucus. In October, the New Brunswick government announced an agreement to sell the majority of NB Power's assets to Hydro-Québec for $4.8 billion, which would immediately erase the utility's debt. Additionally, New Brunswick residential power rates would be frozen for five years and large industrial rates cut to match Quebec levels. New Brunswick's Opposition Progressive Conservatives are opposed to the deal and have demanded an election before the sale is finalized. The proposed agreement has sparked a mixed reaction from the other Atlantic premiers. Newfoundland and Labrador Premier Danny Williams began attacking the proposed power deal even before the memorandum of understanding was announced. 'I simply wanted to remind colleagues in the Parliament and the government of Canada that they have a legitimate interest in it.'— Senator Lowell Murray Williams is opposed to the deal because he is concerned that Hydro-Québec's takeover could thwart his province's ability to transmit electricity from its Lower Churchill Falls project into the power-hungry U.S. market. Williams and Nova Scotia Premier Darrell Dexter wrote to New Brunswick Premier Shawn Graham on Dec. 2 demanding that New Brunswick build a separate transmission line to the Maine border separate from the current power grid and ensure that future applications to transmit power through New Brunswick would be handled by the existing rules. Meanwhile, Prince Edward Island Premier Robert Ghiz is now examining a similar sale of its power utility to Hydro-Québec. Deal raises nuclear, constitutional concerns Murray said another reason the proposed sale should be of interest to the federal government is because of its role in atomic energy. As a part of the agreement, the Point Lepreau nuclear reactor would be transferred to Hydro-Québec once the $1.4-billion refurbishment project is completed in February 2011. The senator said there are also broader constitutional questions about whether New Brunswick will transfer legislative jurisdiction to Quebec. "Concerns have been expressed by some of your neighbours, principally Nova Scotia and Newfoundland and Labrador, about the MOU that has been signed by New Brunswick and Quebec," Murray said. "I simply wanted to remind colleagues in the Parliament and the government of Canada that they have a legitimate interest in it."
  3. *18+* Don Cherry pète les plombs Publié le mardi 15 décembre 2009 à 07 h 47 - par Sébastien Goulet (Corus Sports)- Accusé d'encourager la violence, puis défendu par la CBC, lundi, Don Cherry a refusé, plutôt impoliment, de donner ses commentaires à un journaliste de la radio de Toronto. Le journaliste Colin D'Mello de la station 680 News de Toronto lui a demandé de formuler ses commentaires, dimanche, à la suite de l'accusation faite par le neurologue Charles Tator, à l'effet que Cherry était une « influence négative » dans la bagarre contre les coups à la tête. Le réplique de Cherry (citée dans la langue de Shakespeare) fut la suivante : « First of all, I would'nt do it on your station, I'd do it on my station. Why the f*** would I do it on yours? Now I'm telling you to f*** off. How's that? Can I tell it any more quicker than that? » Alors que D'Mello insistait, un passant s'est demandé si la conversation était enregistrée. Cherry a ensuite ri du reporter : « Did you hear what he said? I told him f*** off, and he tells me there's no way I want to comment on it? » Lors de sa dernière question, à savoir si le Dr Tator allait avoir le dernier mot, Cherry a déclaté : « I don't give a f*** about him, I don't give a f*** about him. » Audio :: http://corussports.com/hockey/nouvelles/18-don-cherry-pete-les-plombs-1882623.html
  4. That's quite heartbreaking!
  5. ErickMontreal

    La LNH à Québec?

    LNH : les gouverneurs parleront-ils de Québec? Publié le dimanche 13 décembre 2009 à 21 h 49 - par Corusnouvelles Le dossier de la vente des Coyotes de Phoenix et la possibilité de voir de nouvelles franchises faire leur entrée dans la Ligue nationale – comme la ville de Québec - risquent de meubler les discussions de la prochaine réunion des gouverneurs, qui se tiendra à Pebble Beach, les 15 et 16 décembre prochains. Même si la vente des Coyotes sera probablement le sujet principal, la discussion devrait rapidement dévier vers les villes de Québec, Winnipeg ou Toronto - tous des marchés potentiels - si l'on se fie à Pierre LeBrun, du réseau ESPN. Concernant la possibilité de voir une deuxième équipe s'établir près de la métropole torontoise, les avis seraient partagés. Plusieurs gouverneurs auraient montré leurs réticences alors que d'autres, au contraire, ont affirmé qu'ils seraient en accord avec l'ajout d'un nouveau club s'il est clairement démontré que les marchés de Buffalo ou Detroit n'en souffriraient pas. Outre l'ajout de nouveaux marchés, l'avenir des Coyotes de Phoenix devrait également être un des sujets phares de la réunion. Les récents développements portent à croire que la franchise de Glendale sera probablement vendue au groupe Ice Edge, une société composée d' hommes d'affaires canadiens et américains, qui a été créée dans le but d'acheter les Coyotes. Selon Pierre LeBrun, le dossier de la vente risque toutefois de soulever les passions, puisque plusieurs propriétaires seraient inquiets de l'état des finances du groupe Ice Edge. Certains propriétaires ont déjà souligner leur intention de s'opposer à la vente. Même s'il s'est dit conscient des inquiétudes, Daryl Jones, l'un des actionnaires du groupe, a affirmé à ESPN que les autres intervenants n'avaient pas à s'inquiéter puis «l'argent était le dernier des soucis du groupe.» Le dossier des coups à la tête sera également débattu durant les deux journées de réunion. Alexandre Lebrun/Corus Sports
  6. Le Québec fait la leçon à Ottawa Agence QMI Michel Hébert 13/12/2009 16h13 Même s'il pollue autant qu'en 1990 - Le Québec fait la leçon à Ottawa Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. © Photo Archives Même si le Québec pollue lui-même autant qu’il y a vingt ans, Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. «On a va continuer à faire preuve de leadership», a déclaré M. Charest alors qu’il s’envolait hier pour la capitale danoise au terme de sa mission économique en Russie. Insatisfait des cibles choisies par Stephen Harper, M. Charest soutient qu’en s’appuyant sur l’année 2006, le gouvernement fédéral aura un effet minime sur la production de GES au pays. Ottawa devrait plutôt aligner ses efforts sur l’année 1990, la référence de plusieurs pays européens. «Ottawa devrait viser 1990, on devrait tous avoir un language commun sur le plan technique», estime Jean Charest. Le gouvernement fédéral n’apprécie évidemment pas ces pressions et Stephen Harper compte sur son ministre de l’Environnement, James Prentice, pour remettre les pendules à l’heure. Jean Charest court effectivement un risque. Car même s’il se donne une cible spectaculaire et embarrassante pour Ottawa, le Québec pollue lui-même autant qu’en 1990. Et bien qu’il ait toujours publiquement appuyé l’Accord de Kyoto, il n’a globalement pas avancé dans sa guerre contre les GES, indique le relevé national des GES d’Environnement Canada de 2009 consulté par le Journal. Qu’il appuie sa performance sur l’année de référence de 2006 ou sur celle de 1990, le Québec émet autant de GES, voire un peu plus: 82 600 tonnes en 1990 contre 85 664 tonnes en 2007, en hausse de 3,7%, indique le rapport de l’agence fédérale. Le Québec n’est toutefois pas un grand pollueur; il produit 0,2% des GES au monde. À cause de sa grande capacité hydro-électrique, il ne produit que 11,1 tonnes de GES par personne. Le ratio est de 70 tonnes en Alberta et de 72 tonnes en Saskatchewan. L’Ontario se compare au Québec avec une production de GES de 15 tonnes per capita. Arrivé dans la capitale danoise hier le premier ministre Jean Charest fera connaître la cible du Québec dans les cercles d’influence. Il multipliera les interventions pour que le gouvernement fédéral vise plus qu’une réduction des GES de 3% par rapport à 1990. «On peut faire mieux», dit-il. Pour forcer la main de Stephen Harper, M. Charest fera savoir à un auditoire le plus large possible qu’il vise, lui, une réduction des GES de 20% par rapport à 1990 alors qu’Ottawa appuie son objectif de -20% sur l’année 2006. «On va donner l’exemple en choisissant nous-même une cible très contraignante, ambitieuse. Et nous allons travailler avec d’autres gouvernements pour s’engager dans des systèmes de réduction des GES, incluant une bourse du carbone», a expliqué M. Charest. Mardi, il coprésidera le Forum des leaders, une organisation regroupant des états fédérés ou «sous-nationaux» tels la Californie, la principauté de Monaco, le Poitou-Charente et l’Australie du Sud. Devraient y être l’influent gouvernement californien Arnold Schwaznagger, le prince Albert de Monaco, Ségolène Royal et Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU. M. Charest affirme que les 192 pays participant à la conférence de Copenhague parviendront probablement à une entente de principe qui débouchera sur un accord-cadre, une sorte de Kyoto II. Le Canada n’aura pas le choix d’y souscrire, estime Jean Charest. «Le défaut de s’obliger à des objectifs contraignants pourrait nous rendre vulnérables à des sanctions commerciales», dit-il. Les produits canadiens, y compris évidemment ceux du Québec, pourraient être soumis à une nouvelle taxe sur le carbone, ce qui serait nuisible sur les marchés extérieurs.
  7. Y a-t-il trop d'immigrants? Publié le 12 décembre 2009 à 05h00 | Mis à jour le 12 décembre 2009 à 05h00 Claude Picher La Presse Le marché du travail n'est plus capable d'offrir des emplois de qualité à tous les immigrants qui arrivent au Canada. Il faut donc se demander si le temps est venu de revoir les plafonds d'immigration à la baisse. La question n'est pas posée par un quelconque groupe de pression xénophobe, mais par Peter Grady, un économiste de grande réputation. M. Grady, ancien haut fonctionnaire au ministère des Finances, a notamment été consultant à la Commission Macdonald et président du Groupe de travail sur l'emploi saisonnier et l'assurance-emploi. Dans un article publié dans la dernière livraison de Fraser Forum, la revue mensuelle de l'Institut Fraser (1), M. Grady rappelle qu'en 2006, plus de 250 000 immigrants se sont installés au Canada. Il propose d'introduire une nouvelle cible beaucoup plus basse, à 100 000 par année. D'emblée, il reconnaît que sa proposition risque de faire des vagues. «Avec le système de sélection actuel, il est impossible d'intégrer harmonieusement 250 000 nouveaux arrivants par année sur le marché du travail, écrit-il, mais bien peu de gens sont prêts à l'admettre, et encore moins à faire quelque chose pour corriger la situation.» Pourtant, la situation des immigrants sur le marché du travail se détériore constamment depuis un quart de siècle, y compris chez ceux qui détiennent un diplôme universitaire. Jusqu'en 1980, la position des immigrants sur le marché du travail épousait un modèle bien connu : un immigrant récent (arrivé depuis moins de cinq ans) pouvait s'attendre à gagner plus ou moins 80 % du salaire d'un travailleur né au Canada. Au bout d'une période variant de 10 à 20 ans, la plupart des immigrants réussissaient à combler cet écart, et souvent à faire mieux. Le scénario ne tient plus. Ainsi, en 1980, un homme immigrant récent, diplômé universitaire, gagnait en moyenne 79 % du salaire d'un travailleur né au Canada. Ce pourcentage est passé à 61 % en 1990, 59 % dix ans plus tard, et seulement 48 % en 2005. Concrètement, cela signifie qu'en dollars ajustés pour tenir compte de l'inflation, le salaire de l'immigrant est passé de 48 500 $ en 1980 à 30 300 $ en 2005. Pendant la même période, le Canadien d'origine a vu son salaire passer de 61 400 $ à 63 200 $. Autrement dit, le travailleur né au Canada a réussi à maintenir son pouvoir d'achat, et même un peu plus, tandis que la condition de l'immigrant, même titulaire d'un diplôme universitaire, s'est fortement détériorée. Le même raisonnement s'applique aux hommes et aux femmes, aux diplômés et aux non diplômés, aux travailleurs qualifiés comme aux autres. Sur tous les fronts, la situation des immigrants empire. Non seulement les revenus des immigrants reculent, mais ils ont plus de difficulté à trouver un emploi. En 2006, le taux de chômage était de 5,2 % chez les hommes nés au Canada et de 9,3 % chez les immigrants récents. Les chiffres équivalents pour les femmes sont 5 % et 14,3 %. Mais pourquoi donc les immigrants n'arrivent-ils pas à de meilleurs résultats? M. Grady rappelle qu'en 1993, Immigration Canada a apporté des changements à son système de pointage. Traditionnellement, un candidat à l'immigration se méritait un certain nombre de points, distribués selon une série de critères (âge, éducation, connaissance d'une des deux langues officielles, expérience de travail, emploi déjà garanti au Canada, etc). Ce système a été modifié pour mettre davantage l'accent sur les qualifications professionnelles et l'éducation. Avec des résultats probants, du moins sur papier. Depuis 1995, la majorité des immigrants adultes qui s'installent au Canada sont des travailleurs qualifiés. Et depuis 2000, les diplômés universitaires sont également majoritaires. Or, il y a une énorme différence entre les chiffres officiels et la vrai vie. Sur le terrain, il est clair que les employeurs n'accordent pas beaucoup d'importance à l'expérience de travail acquise à l'étranger, et encore moins aux diplômes étrangers. Dans ces conditions, la situation des immigrants continuera à se détériorer. Pour M. Grady, la seule façon de corriger le problème est de rehausser les critères de sélection. Selon ce raisonnement, plus on est rigoureux dans le choix des immigrants, plus on restreint forcément le nombre de nouveaux arrivants; en revanche, ceux qui sont admis auront de plus fortes chances de se tailler une belle place sur le marché du travail. Mais ce n'est pas demain la veille que cela arrivera. Réaliste, l'auteur conclut : «Ce ne sera pas facile d'introduire cette réforme. Tous les partis politiques sont soumis à d'énormes pressions pour maintenir l'immigration à des niveaux élevés, sans égard pour les conséquences économiques.» ----- (1) On peut télécharger gratuitement la revue (disponible en anglais seulement) à partir de la page d'accueil de l'Institut : http://www.fraserinstitute.org
  8. Halak : discussions entre CH et Flyers? Publié le dimanche 13 décembre 2009 à 13 h 05 - par Corusnouvelles (Corus Sports)- S'il faut en croire le Philadelphia Daily News, les Flyers seraient intéressés à Jaroslav Halak. Reste à savoir si le Canadien est trop gourmand... Selon ce que le quotidien rapporte dimanche, le Tricolore demanderait l'un des six meilleurs attaquants des Flyers en retour du gardien slovaque. Les six meilleurs attaquants des Flyers cette saison sont Jeff Carter, Mike Richards, Scott Hartnell, Daniel Brière, Claude Giroux et Simon Gagné. Le quotidien a d'ailleurs parlé avec le directeur général des Flyers, Paul Holmgren, au sujet des gardiens. Rappelons que les Flyers cherchent désespérément un gardien depuis la blessure à Ray Emery. C'est Brian Boucher qui garde le fort présentement. Les Flyers vont cependant disputer près de 30 matchs lors des six prochaines semaines, ce qui est trop pour Boucher. Devant cette situation, les Flyers ont octroyé un contrat d'essai dans la Ligue américaine au vétéran John Grahame. Depuis la fin de la dernière saison, Grahame n'a gardé les filets que dans des ligues amicales. Il évoluait avec l'Avangard d'Omsk dans la KHL l'an dernier. Il sera en uniforme ce soir contre les Penguins de Wilkes Barre-Scranton. Grahame sera le substitut de Nicola Riopel, qui a amassé une impressionnante fiche de 43-11-4 l'an passé avec les Wildcats de Moncton dans la LHJMQ.
  9. Gillette to phase Tiger Woods out of ads New York — Associated Press Published on Saturday, Dec. 12, 2009 11:57AM EST Last updated on Saturday, Dec. 12, 2009 4:05PM EST New York — Associated Press Published on Saturday, Dec. 12, 2009 11:57AM EST Last updated on Saturday, Dec. 12, 2009 4:05PM EST One of Tiger Woods’ major sponsors will phase the world’s most valuable athlete out of its advertisements while he takes time off to repair his personal life. Gillette’s announcement Saturday marks the first major sponsor of the superstar athlete and corporate pitchman to distance itself from Woods. “As Tiger takes a break from the public eye, we will support his desire for privacy by limiting his role in our marketing programs,” said Gillette, a division of Procter & Gamble. Other sponsors are mulling their options and trying to gauge the fallout from the man who has become the face of golf, as he drops off the circuit for an unspecified period. AT&T said it is evaluating its relationship with the golfer. Representatives from Accenture won’t say what its plans are regarding Woods, whom the consulting firm has used to personify its claimed attributes of integrity and high performance. “I think you will see the handful or so of companies that he has relationships with doing some real soul searching and making some probably, for them, difficult decisions in the next few days,” said Larry L. Smith, president of the Institute for Crisis Management, in Louisville, Ky. Late Friday, Woods announced an indefinite leave from golf and public life to try to rescue his marriage after a two weeks of intense coverage of his infidelity sullied his carefully cultivated good guy image. The decision and contrite tone of his statement was seen by marketing experts as a smart step to repairing his public image. His previous brief and vague statements on the matter were criticized as insufficient to quell the intense scrutiny and to lessen the damage from more than a handful of women who claim to have had affairs with him. “It’s just like your most beautiful fashion brand is being trashed,” said John Sweeney, director of sports communication at the University of North Carolina at Chapel Hill’s School of Journalism and Mass Communication. “I don’t expect Tiger to be the gold standard anymore, but he’s not going out of business ... He’s too big and too talented to be fired, but he will have significant declines from what he was.” Woods, 33, spent 13 years burnishing a pristine personal brand. His good looks and multiracial heritage gave him broad appeal. His domination of the game and fist-pumping flair for the dramatic established his tournament appearances as must-see TV. His work ethic is admirable. Marketers were drawn to his image as a clean-cut family man who mourned the death of the father who taught him the game, doted on his mother and married a former Swedish model with whom he has two young children. Woods is the pitchman for brands ranging from AT&T to Accenture to Nike. His array of endorsements helped him become the first sports star to earn $1 billion. Michael Jordan, Woods’ closest contemporary, is a distant second. Jordan has accumulated about $800 million during an NBA career that spanned nearly 20 years, according to Forbes. Nike, which built its $650-million golf business around Woods, said late Friday it supports his decision. Gatorade, a unit of PepsiCo Inc., said previously it supports Woods and said Saturday it has no updated comment. Gillette’s decision includes phasing out Woods from its television and print advertising, and from public appearances and other efforts linking the two entities together, Gillette spokesman Damon Jones said. “This is supporting his desire to step out of the public eye and we’re going to support him by helping him to take a lower profile,” he said. Gillette, which operates from Boston while parent P&G is based in Cincinnati, has had a contract with Woods since 2007. Jones declined to provide further details, including length and value, of the contract. Woods hasn’t been seen in a prime-time television commercial since a Gillette spot on Nov. 29, according to research firm Nielsen Co. Jones said that was because golf is currently off-season, so the company is promoting new products like Gillette Fusion MVP with football and baseball stars instead, because those seasons are more current. As any ads featuring Woods expire, they will not be renewed. Jones said that did not mean the company was severing its ties with Woods. There had been no upcoming scheduled public appearances for Woods, he said. He declined to comment on when the company would resume including Woods in its marketing, and would not say whether that would be linked with the timing of Woods comeback, when and if he decides to resume playing golf.
  10. ErickMontreal

    La LNH à Québec?

    NHL return for Quebec City? By MICHEL HEBERT, QMI AGENCY Last Updated: 10th December 2009, 8:34am MOSCOW - After a long discussion with National Hockey League commissioner Gary Bettman last Friday, Quebec premier Jean Charest says he believes the NHL will return to Quebec City. According to the premier, Bettman is "sincere" and wants to see a franchise return to the former home of the Nordiques. Charest noted that the "planets are aligned" in such a way that the profitability of a new professional team is no longer a question for him. CHAREST OPTIMISTIC Charest is in Moscow for a round of economic talks with the Russian government and business leaders. The premier was asked by QMI Agency yesterday if he thought a deal would be worked out. "Yes, I think it will happen," Charest replied. The conversation between Charest and Bettman last Friday focused on Quebec City and the possibility of bringing in an NHL team to the city nearly 15 years after the Nordiques left for Colorado. "I sat next to him and had a long conversation during the hockey game. I questioned him about the possibility of getting a team in Quebec City and I found his reaction very encouraging. He seemed very open to me," Charest said yesterday. Charest said he understood the NHL would have to "take steps to find an owner," but that this wasn't a real obstacle. Weighing his words carefully, Charest reminded Bettman that Quebec City will very likely have a multipurpose arena that is due to replace the current Coliseum, a key element to snagging a professional team. Charest said he explained to the commissioner that the long-term goal was to have the Olympic Games held in Quebec City and that world-class sports infrastructure was part of that plan. SINCERELY INTERESTED "I really liked Bettman's reaction because I felt he was sincerely interested in having a team from the NHL come to Quebec City," Charest said. The premier said the likeliest scenario at this point would involve the transfer of a troubled team, such as the Phoenix Coyotes, to Quebec City. "A hockey team is expensive," Charest said. The Phoenix Coyotes are currently valued at between $200 million and $300 million US. But Charest said that his conversation with the Bettman was reassuring. "They've established rules that give a better chance to cities like Quebec City. They've put a framework together that allows a club to be operated with predictable costs," he said. Bettman also told the premier he's already discussed the idea with Quebec City mayor Regis Labeaume. "I think it's going to happen. I say that by intuition. With these issues, (it's possible) to only see obstacles, but when you realize that the people who are directly concerned are looking for reasons to do it. And that's what I felt with Mr. Bettman. "You can feel that he's optimistic and very open to there being a team in Quebec City. After that, it will take competitive operating costs for the arena," he said.
  11. Superhospital's cost might double Projected at $800M in the 1990s; MUHC dismisses report of soaring price tag as rumour By AARON DERFEL, The GazetteDecember 9, 2009Comments (10) MUHC executive director Arthur Porter visits the Glen Yard, future site of the megahospital, in April 2008. MUHC executive director Arthur Porter visits the Glen Yard, future site of the megahospital, in April 2008. Photograph by: ALLEN MCINNIS, GAZETTE FILE, The Gazette At a public meeting in September, Arthur Porter could hardly contain his joy as he announced that after years of delays, the future hospital of the McGill University Health Centre was finally going to be built. At precisely noon on Dec. 3, he said, the MUHC would choose the winning bid to construct the $1.12-billion hospital in the city's west end. And the following morning, he added, everyone would be invited to a sod-turning ceremony at the construction site, the former Glen railway yard. Well, Dec. 3 has come and gone with no announcement, and there was no sod-turning on Friday. No reason has been given for the delay, but a news report has suggested that the price tag has soared by $300 million. Back in the 1990s, when MUHC planners first proposed the hospital, their cost projection was $800 million, and it might now be nearly double that figure. An MUHC official advised The Gazette yesterday to contact the government for answers about the latest delay. Meanwhile, the press attaché to Health Minister Yves Bolduc told a reporter to contact the MUHC to find out the reasons for the postponement. "Certain elements that were foreseen by this stage have not yet been met," Marie-Ève Bédard said. "The process is still continuing and it would be premature" to make an announcement, she said. "Perhaps the MUHC could explain to you exactly what stages it hasn't reached." Porter himself did not return calls from The Gazette, but Diane Fagan, manager of communications for the MUHC redevelopment, said the MUHC has completed all its work and the file is now in the hands of the provincial government. Fagan was alluding to the fact that the hospital will be built as a public-private partnership, or PPP. "Dr. Porter had committed to completing our obligations for the PPP process by Dec. 3, and we did that," Fagan said. "As you know, this is a process that we have to undertake with government, and there are a number of steps that government has to go through between that and the point of being able to formally announce it. So those steps are proceeding and we're working with government and it has been going very well." Asked to comment on a report the cost has jumped by $300 million to about $1.5 billion, Fagan said: "All of that is rumours." However, Porter has repeatedly said each day the project is delayed adds $100,000 to the final cost simply as a result of inflation. Porter first made that comment in November 2006. Using his figures, the inflation cost alone over three years would amount to an increase of more than $110 million - and counting. Indeed, if one takes into account the $250-million expansion of the Montreal General Hospital now under way, the total cost of the MUHC redevelopment could top $1.7 billion. In a report last month, Quebec auditor-general Renaud Lachance raised a number of questions about the PPP model, in which a private consortium would build and manage the hospital, leasing it back to the province over 30 years. Bédard said the government is still committed to the PPP model, but she added that "we want a better control of the costs associated with the PPP." Because a private consortium borrows at a higher interest rate than the government and must turn a profit, experts have warned the PPP model will ultimately cost taxpayers more than if the hospital were financed and built by the government. Two consortia are vying for the MUHC contract. Bédard said a decision will probably be made next month. aderfel@gazette.canwest.com © Copyright © The Montreal Gazette
  12. Le plan Carbonneau pour ruiner le Québec Permalink 09/12/09 13:52, Pierre Duhamel / Général, 682 mots Pour la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, les choses sont claires et simples. Les contribuables québécois doivent payer plus d’impôts pour payer les augmentations de salaires des employés de l’État. Ses propositions sur les finances publiques du Québec seraient désastreuses pour les Québécois et leur économie. Voici pourquoi. Hausser les impôts Claudette Carbonneau veut reprendre les baisses d’impôts de 950 millions de dollars accordées aux Québécois en janvier 2008. Ces baisses réduisaient de 40 % l’écart entre les Québécois et les autres Canadiens. Je fais remarquer à la présidente de la CSN qu’il subsiste un écart de 60 % et que seules trois provinces sont plus imposées que le Québec. Sa proposition ne vise qu’à nous redonner le titre de contribuables les plus imposés en Amérique du Nord, un championnat auquel je ne tiens pas particulièrement. Quant aux entreprises, soulignons que le Québec est la seule province à avoir augmenter l’impôt des entreprises depuis 2001. Les juridictions concurrentes cherchent à diminuer le fardeau fiscal des entreprises pour qu’elles puissent prospérer, investir et embaucher sur leur territoire. Pour rester concurrentiel, le Québec a entrepris d’éliminer la taxe sur le capital, une mesure qui a permis aux sociétés d’abaisser leur fardeau fiscal de 20 % depuis 2002. Non à la compression des dépenses Le gouvernement Charest veut limiter la croissance des dépenses à 3,2 % par année. On ne parle pas ici de diminution des dépenses, mais d’un ralentissement de leur augmentation. De plus, cette hausse de 3,2% reste un peu plus élevée que la croissance anticipée de l’économie au cours des prochaines années. Ce n’est pas comme si le Québec avait du rattrapage à faire au niveau des dépenses publiques, bien au contraire. Les dépenses de programmes – les services de l’État à la population – représentaient en moyenne 26 % du PIB québécois entre 1989 et 2009, contre 17 % pour l’Ontario et 20,3 % pour la moyenne des provinces canadiennes. Surtout pas de hausse de la TVQ L’idée de Madame Carbonneau, c’est de faire payer toute la facture par les 58,6 % des contribuables qui paient de l’impôt et d’épargner tous les autres. Elle fait partie d’une école où vaut mieux taxer la production, plutôt que la consommation. Pour elle, une hausse d’un point de la TVQ serait évidemment «régressive», puisqu’elle avantagerait les mieux nantis. Je lui ferait néanmoins remarquer que les Québécois de la classe moyenne sont déjà lourdement imposés et que les mieux nantis seraient les premières cibles d’une hausse de la TVQ, parce qu’ils consomment davantage. De plus, les plus démunis sont compensés par le gouvernement pour la TVQ et il en serait varisemblablement ainsi si le gouvernement voulait hausser les tarifs d’électricité. Sept ans pour rétablir l’équilibre budgétaire Le gouvernement Charest prévoit des déficits cumulés de 13,2 milliards de dollars d’ici 2013-2014. 13 milliards qui s’ajoutent à la dette déjà considérable du Québec. En ne limitant pas la croissance des dépenses et en refusant l’augmentation de la TVQ, le déficit atteindrait 26,9 milliards de dollars, soit plus du double. Même en ajoutant la ponction fiscale de 3,6 milliards de dollars en quatre ans favorisée par la CSN, on arrive avec 10 milliards de dollars supplémentaires à ajouter à la dette du Québec. En ajoutant deux autres années de déficit au niveau de 2013-2014, on parle de plus de 30 milliards de dollars. Ces dizaines de milliards participeront à la croissance du service de la dette, déjà le troisième poste budgétaire après la santé et l’éducation. Les propositions de Claudette Carbonneau sont injustes pour les contribuables Québécois et ruineuses pour les finances publiques. C’est bête et c’est cher et cela rendra le financement des services de l’État encore plus difficile.
  13. Le commissaire de la MLS en visite à Montréal NEW YORK – Le commissaire de la Major League Soccer (MLS) Don Garber était de passage à Montréal aujourd'hui afin d'y rencontrer le président de l'Impact de Montréal Joey Saputo et des représentants du gouvernement, dans le but de discuter d'une future expansion de la MLS dans le deuxième plus gros marché au Canada. Le commissaire Garber, qui était accompagné du président de la MLS Mark Abbott, a rencontré Joey Saputo hier soir, puis en compagnie du président de l'Impact, a rencontré ce matin le Ministre des Finances du Québec Raymond Bachand et le Maire de Montréal Gérald Tremblay. « Nous avons poursuivi nos discussions avec la famille Saputo au sujet d'une future expansion de la MLS à Montréal et nous avons eu des rencontres très productives avec le Ministre des Finances du Québec Raymond Bachand, afin d'assurer des fonds pour l'expansion du Stade Saputo, a déclaré Don Garber suite à ses deux réunions. Nous avons mentionné à plusieurs reprises que Montréal serait un marché extraordinaire pour la MLS et nous avons hâte de poursuivre nos discussions. » « Nous sommes très heureux de la venue des dirigeants de la MLS à Montréal, a déclaré le président de l'Impact Joey Saputo. Les rencontres ce matin avec le Ministre Bachand et le Maire Tremblay ont été très positives. Il est clair pour nous, et ce plus que jamais, que la venue de la MLS à Montréal n'est plus qu'une question de temps. On espère d'ailleurs avoir des nouvelles dans le premier trimestre de l'année 2010. » L'Impact de Montréal, considéré comme un club de deuxième division en Amérique du Nord, dispute ses matchs locaux au Stade Saputo, un stade de 13 034 sièges, qui a ouvert ses portes en mai 2008. Le Stade Saputo a été conçu de façon à pouvoir augmenter sa capacité selon les critères de la MLS. La saison 2010 dans la MLS marquera les débuts du nouveau club d'expansion l'Union de Philadelphie. En 2011, la ligue passera de 16 à 18 équipes, alors que Portland et Vancouver se joindront au circuit.
  14. Marché immobilier: la folie reprend-elle à Montréal? 8 décembre 2009 | 15h30 Louis-Pierre Côté Argent Récemment, un bungalow situé près du populaire marché Jean-Talon à Montréal a trouvé preneur pour la somme de 227 000$. Rien d'inusité dans cela, direz-vous. Sauf que le vendeur demandait 199 000$ pour sa propriété... La surenchère immobilière qui a sévi il y a à peine deux ans partout au pays semble de retour à Montréal. «Ces temps-ci, dans certains secteurs primés, ce n'est pas exceptionnel que des résidences soient vendues à un prix plus élevé que celui qui était demandé», a expliqué à Argent Marie-France Vachon, agente immobilière pour La Capitale du Mont-Royal. Ces secteurs primés sont ceux du centre-ville de Montréal, à savoir Rosemont, Petite-Patrie, Villeray, le Plateau, Notre-Dame-de-Grâce et Outremont. Les propriétaires du bungalow dont nous parlons ci-haut ont reçu un total de 31 offres. Plus souvent, ce seront de deux à quinze offres qui seront déposées, à la suite de 30 à 70 visites d'acheteurs potentiels, ce qui fait de Montréal un marché qui est définitivement en faveur des vendeurs, selon Mme Vachon. Dans les couronnes Nord et Sud de Montréal, le marché est plus équilibré, mais il demeure tout de même un marché à l'avantage des vendeurs. Mme Vachon ne croit pas pour autant qu'on assiste à une bulle immobilière, ou que les acheteurs paient trop cher pour leur chez-soi. «Les banques ont resserré leurs critères pour accorder les prêts, et dans les cas où le prêt est assuré par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), on voit arriver un évaluateur de la SCHL» pour s'assurer de la valeur réelle de la propriété, souligne-t-elle. Le phénomène n'est pas propre à Montréal. À Vancouver, une vingtaine de personnes ont campé toute une nuit pour être les premiers à mettre la main sur un des condos nouvellement construits dans un quartier recherché. Le lendemain, 163 condos sur les 224 mis en vente avaient été vendus. Selon une étude de la Banque TD, les ventes de maisons ont bondi de 74% en octobre et les prix ont grimpé de 20% depuis le creux de 2008. Dans certains marchés, les prix sont revenus à leur sommet de 2007 et même davantage. Les bas taux d'intérêt favorisent un tel engouement, estime les experts, qui craignent toutefois que la hausse des taux à venir au cours des prochaines années ne crée des problèmes financiers à ces nouveaux propriétaires
  15. ErickMontreal

    TVA Sports

    Quebecor veut briser le monopole de RDS Publié le mardi 8 décembre 2009 à 07 h 24 - par Sébastien Goulet (Corus Sports)- Quebecor Media, qui a comme projet de lancer une chaîne de télé sportive, veut briser coûte que coûte le monopole de RDS sur la diffusion des matchs du Canadien de Montréal. Dans une entrevue à La Presse Affaires, le président de Quebecor, Pierre Karl Péladeau, a affirmé que si le CRTC n'accède pas à sa requête, Quebecor Media s'adressera au Bureau de la concurrence. Pour briser le contrat liant RDS au Canadien de Montréal et à la LNH jusqu'à la fin de la saison 2012-2013, Quebecor mise d'abord sur le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes, qui étudiera la demande de licence de TVA Sports, lundi prochain. Le grand patron de Quebecor n'a pas voulu préciser combien sa future chaîne TVA Sports serait prête à payer pour diffuser certains matchs du Canadien.
  16. La fermeture complète écartée chez Shell 7 décembre 2009 | 16h09 Olivier Bourque Argent La direction de la raffinerie Shell de Montréal-Est a écarté aujourd’hui la fermeture complète de ses installations mais l’incertitude demeure très vive chez les 500 employés qui ne savent toujours pas ce qu’il adviendra de leur emploi. Une rencontre était prévue aujourd’hui avec les syndiqués et les cadres. Mais selon le syndicat, Shell n’a pas voulu détailler la direction que prendra la raffinerie alors que les perspectives économiques sont difficiles à évaluer. Il reste donc encore plusieurs options sur la table, Shell affirmant qu’aucune décision n’a été prise. Parmi celles-ci, la vente, la formation d’une coentreprise, la poursuite de l’exploitation par Shell et la transformation en terminal demeurent à l’évaluation. Cette dernière option fait particulièrement peur au syndicat des employés alors que seulement une vingtaine de travailleurs serait nécessaire pour opérer ce terminal. «Je ne peux pas dire que nous soyons très rassurés par la rencontre d’aujourd’hui. Nous n’en savons pas beaucoup plus et la situation demeure depuis l’été, c’est long pour les employés», a souligné à Argent Jean-Claude Rocheleau, président du syndicat de Shell de Montréal-Est. Sur une possible vente, le syndicat affirme que la direction n’est pas plus loquace. «On nous dit qu’il y a des acheteurs crédibles mais pas question de divulguer l’information», souligne M. Rocheleau. Plusieurs rumeurs d’acheteurs potentiels circulent depuis plusieurs semaines. Les noms d’Esso et d’Irving reviennent régulièrement, selon nos sources. La poursuite de l’exploitation par Shell n’a pas non plus été écartée. Dans un communiqué de presse, Shell affirme ne pas avoir d’échéancier ferme et qu’elle fera «une annonce appropriée lorsque les résultats complets de l’étude seront connus». Le syndicat inquiet Une autre tendance lourde inquiète le syndicat pour la raffinerie de Shell de Montréal-Est. Plusieurs projets de pipelines notamment Keystone font en sorte que le raffinage risque fort d’être effectué des États-Unis à l’avenir. «On le voit, la plupart des pipelines vont se rendre vers le Sud. Vous savez il y a 36 nouvelles demandes de projets qui amèneraient le brut vers les États-Unis. Pour nous, cela signifie des pertes d’emplois», constate M. Rocheleau. En juin dernier, TVA apprenait que Shell évaluait la fermeture de ses installations montréalaises. Les retombées de l'entreprise sont évaluées à 200 millions $.
  17. Publié le 07 décembre 2009 à 20h39 | Mis à jour à 20h42 Sables bitumineux: une étude contredit les chiffres de l'industrie La Presse Canadienne Edmonton Une étude indépendante publiée lundi aux États-Unis laisse sous-entendre que la pollution provenant des sables bitumineux de l'Alberta est cinq fois plus élevée et deux fois plus étendue que ne l'affirment les statistiques produites par les dirigeants de l'industrie. L'étude affirme que les émissions toxiques issues des sables bitumineux se comparent à un déversement majeur de pétrole... chaque année. Les responsables du gouvernement et de l'industrie disent que la contamination notée dans les sols et rivières de la région est naturelle, mais l'étude la lie étroitement à l'extraction des sables bitumineux. Selon David Schindler, co-auteur de l'étude, les chercheurs ont découvert d'importants apports de composés organiques toxiques issus de l'industrie des sables bitumineux dans la rivière Athabasca et ses affluents. M. Schindler a ajouté que l'industrie était la principale source de pollution de la rivière. L'étude critique également le programme de contrôle du gouvernement de l'Alberta. Celui-ci a réagi en mettant en doute les conclusions de l'étude. Selon Preston McEachern, scientifique environnemental de l'Alberta, les sources de contamination sont plus importantes près des installations de sables bitumineux parce que c'est là que les dépôts de bitume sont les plus concentrés. Quant au programme de contrôle, M. McEachern soutient qu'il a d'abord pour objectif de fournir une information à l'échelle régionale. La province de l'Alberta se fie à des informations spécifiques issues de l'industrie, revue par des inspecteurs provinciaux, pour obtenir des données plus détaillées. Ce n'est pas le premier rapport à mettre en doute les données produites par l'industrie et cibler les répercussions environnementales. À l'été de 2008, l'équipe de chercheurs de M. Schindler avait mis en place des stations de contrôle le long de l'Athabasca et de quelques-uns de ses affluents, et découvert des concentrations pétrochimiques une fois que les courants passaient au-delà des installations de sables bitumineux.
  18. Il va réussir sa campagne de salissage et je suis persuadé qu'il va trouver de bonnes oreilles au Canada-Anglais... Danny Williams plaide sa cause en Alberta Mise à jour le vendredi 4 décembre 2009 à 12 h 07 Le premier ministre Danny Williams s'est adressé aux membres de la Chambre de commerce de Calgary le jeudi 3 décembre 2009. Le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Danny Williams, est allé jusqu'en Alberta jeudi pour décocher une flèche à Hydro-Québec. Lors d'un discours prononcé devant un groupe de gens d'affaires à Calgary, M. Williams a accusé Hydro-Québec de vouloir le monopole de l'énergie dans l'est du Canada. Il a aussi accusé la société québécoise de vouloir faire dérailler le projet terre-neuvien de construire un barrage hydroélectrique sur le bas du fleuve Churchill, au Labrador. Danny Williams a déclaré qu'il s'agit du meilleur projet vert en Amérique du Nord à l'heure actuelle. Selon lui, ce projet serait créateur d'emplois dans les quatre provinces de l'Atlantique, ainsi qu'au Québec et en Ontario. Le premier ministre a ajouté que ce projet est très important pour toute la région et qu'il est bloqué par le Québec. Le premier ministre terre-neuvien a récemment véhiculé les mêmes propos lors d'un discours prononcé à New York. Danny Williams s'oppose à l'entente de principe annoncée cet automne par les gouvernements du Nouveau-Brunswick et du Québec pour la vente d'actifs de la société Énergie NB à Hydro-Québec. À la fin d'octobre, M. Williams a déclaré que ce projet est désavantageux pour sa province, les Maritimes et l'Ontario. Selon M. Williams, si Hydro-Québec achète aussi les sociétés d'énergie de l'Île-du-Prince-Édouard et de la Nouvelle-Écosse, le Québec contrôlerait tout le secteur de l'énergie aux Maritimes. Terre-Neuve-et-Labrador serait isolée, ajoute le premier ministre, et l'énergie ne serait plus offerte à un prix concurrentiel dans la région. Il craint que l'Ontario soit alors « à genoux » et que cela soit mauvais pour tout le pays. Des années de frustration Terre-Neuve-et-Labrador prépare son projet de barrage sur le bas Churchill depuis des années. La province a l'intention de vendre l'électricité ainsi produite dans le nord-est des États-Unis. Le gouvernement Williams espérait conclure une entente avec le Nouveau-Brunswick, au lieu du Québec, pour transporter cette énergie. Électricité, Labrador Installations hydroélectriques au Labrador (archives). La frustration de Danny Williams au sujet du Québec provient d'une entente conclue par les deux provinces en 1969. Ce contrat permet à Hydro-Québec d'utiliser l'électricité produite par les installations du haut Churchill pour 0,25 ¢ le kilowatt/heure. Ce dont les Terre-Neuviens étaient loin de se douter il y a 40 ans, c'est qu'Hydro-Québec allait revendre cette électricité 36 fois plus cher. Ce contrat est valide jusqu'en 2041. Terre-Neuve-et-Labrador crie à l'injustice. Selon M. Williams, l'année dernière seulement, Hydro-Québec a engrangé des profits d'environ 1,7 milliard de dollars grâce à ce contrat, alors que Terre-Neuve-et-Labrador a récolté 63 millions de dollars. Danny Williams affirme aujourd'hui qu'il ne laissera pas le Québec empêcher sa province de vendre son hydroélectricité aux États-Unis. Il soutient que le projet du bas Churchill sera réalisé et qu'il ne le donnera jamais au Québec. Les premiers ministres du Nouveau-Brunswick et du Québec ont annoncé à la fin d'octobre une entente de principe historique pour la vente de la majorité des actifs d'Énergie NB à Hydro-Québec. Cette transaction de 4,8 milliards de dollars effacerait la dette d'Énergie NB. Dans le cadre de cette entente, Hydro-Québec gèlera les tarifs résidentiels de l'électricité au Nouveau-Brunswick pendant cinq ans. Durant cette période, les tarifs des grandes entreprises seraient réduits au même taux offert à cette catégorie d'abonnés au Québec, mais ils ne seraient pas gelés. Les gouvernements estiment à 5 milliards de dollars la valeur de cette partie de l'entente.
  19. Publié le 03 décembre 2009 à 08h07 | Mis à jour à 08h08 Apprécier la LCF pour ce qu'elle est Jean-François Bégin La Presse Il a souvent été de bon ton de critiquer la Ligue canadienne de football, de voir en elle un pâle succédané de la NFL, une ligue mineure à huit clubs où, chaque automne, le moins mauvais l'emporte. Allez dire ça aux milliers d'amateurs qui se sont massés sur les bords de la Catherine, hier midi, pour acclamer les Alouettes. Les partisans qui ont signifié leur amour aux hommes de Marc Trestman savent bien qu'Anthony Calvillo n'est pas Peyton Manning et qu'Avon Cobourne ne concurrencera jamais Adrian Peterson. Ceux qui ont scandé «One more year!» à la place des Festivals pour réclamer le retour de Ben Cahoon comprennent que sans la LCF, la carrière de l'homme aux mains de Velcro, trop petit, pas assez rapide, aurait pris fin dès sa sortie des rangs universitaires. Mais les amateurs se moquent bien de tout cela. Et ils ont bien raison. J'ai eu le privilège d'être témoin de plusieurs grands moments de sport depuis que j'ai commencé à signer cette chronique, il y a six ans et des poussières. Je pense à la première victoire de Roger Federer à Wimbledon. Au 100 et au 200 stupéfiants (merci, Pierre) d'Usain Bolt aux Jeux olympiques de Pékin. À la médaille d'or de Clara Hughes dans le 5000 des JO de Turin. Vous me permettrez d'ajouter la Coupe Grey 2009 à la liste. Les Oiseaux nous ont offert une pièce d'anthologie, dimanche soir, au stade McMahon de Calgary. La remontée qu'ils ont effectuée au quatrième quart, alors que tout espoir semblait perdu - ils tiraient de l'arrière par 16 points avec un peu moins de 11 minutes à écouler - était du grand théâtre sportif, un concentré d'émotions fortes et de performances extraordinaires sous pression: les passes précises de Calvillo, la défense qui empêche les Roughriders de la Saskatchewan de gagner un premier jeu alors que les Alouettes avaient désespérément besoin de reprendre le ballon une dernière fois, l'échappé de Brian Bratton récupéré par Étienne Boulay. Jusqu'à l'invraisemblable dénouement: Damon Duval, qui profite d'une deuxième chance inespérée et donne l'avance aux Alouettes pour la première fois du match, alors qu'il ne reste plus de temps à l'horloge. Pour l'intensité dramatique, ça valait bien l'ultime poussée d'Eli Manning et des Giants de New York contre les Patriots de la Nouvelle-Angleterre lors du Super Bowl XLII, il y a deux ans. Même si ce n'était «que» la Ligue canadienne de football. C'est la beauté du sport et particulièrement d'un sport d'équipe comme le football: le plaisir qu'il procure aux spectateurs ne dépend pas uniquement de la performance pure des athlètes. Il découle aussi en grande partie du suspense qui se construit sur le terrain, le temps d'un match ou d'une série. Pendant mon séjour à Calgary, j'ai assisté à un match de l'équipe nationale de hockey féminin, qui affrontait une équipe midget AAA locale. Dans l'absolu, le niveau était plusieurs coches en bas de celui de la LNH. Ça n'a pas empêché la partie, qui s'est terminée par une victoire des filles en fusillade, d'être autrement plus palpitante que la gênante défaite du Canadien face aux Maple Leafs de Toronto, mardi. Pareil pour la Coupe Vanier: les Golden Gaels de Queen's ont battu les Dinos de l'Université de Calgary de justesse (33-31), samedi, à Québec. Un véritable thriller. Je n'ai entendu personne se plaindre que le calibre était moins fort que dans la NCAA. Ce que j'essaie de dire, c'est qu'au lieu de lever le nez sur la LCF, les snobs qui la dénigrent devraient la prendre pour ce qu'elle est. Une ligue différente, au jeu axé sur la passe, dont les particularités - le terrain immense, les trois essais et, mon préféré, le chrono qui s'arrête aux arrêts de jeu dans les trois dernières minutes - garantissent le plus souvent du football spectaculaire jusqu'à la dernière seconde de jeu. Ce n'est pas la NFL? Pis après!
  20. L'entreprise de jeux vidéo THQ s'implantera à Montréal Publié le 03 décembre 2009 à 16h48 | Mis à jour à 16h51 Lia Lévesque La Presse Canadienne Un autre important acteur du monde des jeux vidéo, THQ, s'établira bel et bien à Montréal. L'annonce officielle en a été faite, jeudi à Montréal, par de hauts dirigeants de cette entreprise de Los Angeles, du ministre du Développement économique, de l'innovation et de l'exportation, Clément Gignac, ainsi que de représentants d'Investissement Québec et de Montréal international. Québec investira 3 millions $ dans le projet, en plus d'offrir des crédits d'impôts et des mesures incitatives, a précisé le ministre, au cours d'une rencontre avec la presse pour confirmer l'implantation à Montréal du studio de THQ. M. Steve DeCosta, vice-président finances et administration de l'entreprise, a précisé qu'ultimement, THQ pourrait investir entre 125 et 150 millions $ au bout de cinq ans. D'abord 60 emplois y seront créés et, éventuellement 400 emplois après cinq ans. THQ y fera du développement de produits, de la recherche et du développement, de la création artistique et de l'adaptation de titres en différentes langues, a précisé l'entreprise.
  21. Als parade their Cup for Montreal fans Cyberpresse.ca http://www.montrealgazette.com
  22. Owned by the Leafs... pathetic La coupe Grey est la seule coupe que verra le Centre Bell..kidding, kidding (mais pas tant que ca)
  23. Publié le 01 décembre 2009 à 21h46 | Mis à jour à 21h53 Terre-Neuve veut renégocier son entente hydro-électrique avec le Québec La Presse Canadienne Québec Le gouvernement du Québec a rejeté mardi la demande de Terre-Neuve-et-Labrador qui veut renégocier l'entente hydroélectrique conclue entre les deux provinces concernant Churchill Falls. «Ce n'est pas la première fois que Terre-Neuve tente de remettre en question l'entente qui a été signée sur Churchill Falls, à un point tel qu'en 1988 la Cour suprême a tranché, a reconnu le bien-fondé des arguments de la province de Québec à ce moment-là», a déclaré la ministre des Ressources naturelles, Nathalie Normandeau. «Il n'y a pas d'élément nouveau et puis je ne commenterai pas davantage sur cette autre action qui est menée par Terre-Neuve aujourd'hui», a-t-elle ajouté. Ed Martin, président de Nalcor Energy, la société d'État de Terre-Neuve-et-Labrador responsable de la production et de la transmission de l'électricité dans la province, a écrit lundi à Hydro-Québec pour lui demander de considérer la possibilité d'effectuer des changements raisonnables aux tarifs prévus par l'accord signé en 1969. Selon M. Martin, une montée imprévisible de la valeur de l'énergie hydroélectrique fait en sorte que le Québec achète l'électricité de Terre-Neuve pour une petite fraction de sa valeur marchande réelle. Le contrat arrive à terme en 2041. Le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Danny Williams, s'est amèrement plaint de la situation, soutenant que l'entente avait permis au Québec de récolter quelque 22 milliards $ jusqu'à présent alors que Terre-Neuve avait dû se contenter d'environ 1 milliard $. Récemment, M. Williams a aussi fustigé Hydro-Québec en raison de son intention d'acquérir les installations énergétiques du Nouveau-Brunswick pour la somme de 4,75 milliards $, une vente qui compromettrait selon lui la mise en oeuvre d'un projet hydroélectrique dans la partie inférieure du fleuve Churchill. MM. Martin et Williams ont tous les deux nié que leur dernière tentative pour renégocier l'entente de Churchill Falls avait quelque chose à voir avec l'achat d'Energie NB par la société d'État québécoise. Ed Martin a demandé à Hydro-Québec de répondre à sa requête avant le 15 janvier.
  24. Coupe Grey Cup 2009 Courtesy of La Presse (Cyberpresse Montreal)
  25. Pour la première fois depuis 1977, Montréal compte deux équipes championnes..Impact et Alouettes!! (Cyberpresse)
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