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http://www.lapresse.ca/arts/television/201402/20/01-4740668-un-documentaire-sur-jean-drapeau-en-preparation.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_hotTopics_sujets-a-la-une_1664122_accueil_POS2 Publié le 20 février 2014 à 08h40 | Mis à jour à 08h40 Un documentaire sur Jean Drapeau en préparation Jean Drapeau en novembre 1982. PHOTO: ARCHIVES LA PRESSE =author%3AAndr%C3%A9+Duchesne&sort=recent"]ANDRÉ DUCHESNE La Presse Le réalisateur Bruno Boulianne prépare actuellement un documentaire sur l'ancien maire de Montréal Jean Drapeau. Le projet est une initiative de Marc Laurendeau, a appris La Presse. «Marc Laurendeau a toujours été fasciné par Jean Drapeau. Journaliste, il l'a interviewé quelques fois; dans Les Cyniques, il s'est moqué de lui et il voulait faire un film sur lui. De fil en aiguille, j'ai été approché comme réalisateur», explique M. Boulianne. Le film est construit à partir d'entrevues avec des gens qui ont connu Jean Drapeau et d'archives visuelles. Lise Bissonnette, Lise Payette, Jean-Claude Germain, Richard Bergeron ainsi que deux journalistes de La Presse, Guy Pinard (à la retraite) et l'éditorialiste François Cardinal, font partie de ceux qui livrent un témoignage devant la caméra. «C'est la première fois que Guy Pinard acceptait de parler de ce sujet parce qu'il avait été commissaire à la commission Malouf (sur le scandale des coûts associés aux Jeux olympiques d'été de 1976)», indique Bruno Boulianne. À La Presse, M. Pinard a talonné l'administration Drapeau durant de longues années. «Marc Laurendeau a voulu faire ce film pour mieux faire connaître Jean Drapeau aux jeunes générations, enchaîne M. Boulianne. Et c'est avec François Cardinal qu'on amorce l'histoire lorsqu'il raconte avoir couvert les funérailles du maire (en 1999) alors qu'il commençait sa carrière au Devoir. Il est le seul regard plus extérieur au personnage. Les autres qui témoignent ont travaillé avec Drapeau, l'ont critiqué ou l'ont couvert parce qu'ils étaient journalistes.» Un personnage fort Avocat de formation, Jean Drapeau s'est fait connaître des Montréalais dans les années 1940 par son opposition à la conscription, et au début des années 1950 par les enquêtes qu'il a menées avec Pacifique Plante sur la corruption et la moralité à Montréal. Il est élu maire de la ville en 1954, mais est défait par Sarto Fournier en 1957. Il reprend la mairie en 1960 et se fait réélire sans interruption jusqu'en 1986, année où il tire sa révérence. Le film se concentre sur les années de vie politique du maire et son influence sur Montréal. «Ce qui est fascinant avec Jean Drapeau, c'est que son discours est particulier dans chaque décennie, dit Boulianne. Il s'est construit politiquement dans les années 1940 avec la crise de la conscription, puis il a fait son premier mandat de maire dans les années 1950. Il est bâtisseur dans les années 1960 (la Place Ville Marie, la Place des Arts, Expo 67). Dans les années 1970, il est plus contesté parce qu'il devient plus autocrate. Arrivent enfin les Jeux olympiques et un long déclin jusqu'à son départ. Dramatiquement parlant, on a un personnage fort.» Marc Laurendeau n'apparaît pas à la caméra, mais sa présence est constante. Il mène les entrevues et fait la narration hors champ. Le tournage du film a eu lieu l'été dernier. Bruno Boulianne et son équipe en sont maintenant à la postproduction. Le documentaire devrait être diffusé en 2016 sur les ondes de Radio-Canada.
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Pas de doute, vous devriez toujours acheter sur Amazon, parce que les réductions sont vraiment impressionnants. Je l'ai acheté plusieurs fois déjà et ai jamais eu de problèmes. Dans ce cas, vous avez toujours amazon service client pour les demandes
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https://www.lesaffaires.com/blogues/l-economie-en-version-corsee/bye-bye-banlieue/586720 Les milléniaux n'ont qu'une envie, fuir la banlieue... On peut donc s'attendre à quatre bouleversements socioéconomiques d'ici les prochaines années concernant les métropoles nord-américaines, et en particulier Montréal, selon les trois chercheuses : 1. Une plus forte ségrégation entre riches et pauvres. Entre 2000 et 2010, la pauvreté a reculé de 10% à Manhattan et Brooklyn, mais elle a simultanément crû en banlieue, notamment à Staten Island. Pourquoi? Parce que d'une part, les jeunes talents fortunés ont rappliqué au centre-ville et d'autre part, ceux qui n'avaient plus les moyens de vivre au centre-ville (retraités, familles monoparentales, etc.) ont dû s'en aller en banlieue. Voilà pourquoi on devrait connaître à l'avenir une plus forte ségrégation entre riches et pauvres. 2. Un boom immobilier en régions. Comme les jeunes talents fortunés vont vivre en semaine entourés de béton, ils vont vite ressentir le besoin d'air frais, surtout durant les fins de semaine. Par conséquent, ils voudront s'acheter une résidence secondaire distante d'une poignée d'heures de route du centre-ville, au beau milieu de la nature. Ce qui pourrait provoquer un boom immobilier en région, par exemple dans les Laurentides ou en Estrie. 3. Davantage de gratte-ciel. L'espace étant, par définition, limité en centre-ville, le flux de nouveaux arrivants devrait entraîner la construction de nouvelles tours à condos. Et ce, notamment dans les quartiers qui n'en sont pas encore dotés. 4. Moins d'automobiles. En 2007, 73% des milléniaux américains étaient propriétaires d'une voiture; en 2011, ils n'étaient plus que 66%. C'est la première fois de l'Histoire des États-Unis que de moins en moins de jeunes possèdent une voiture. Comment expliquer ce phénomène? Non, ce n'est pas parce qu'ils n'ont pas d'argent. C'est parce qu'ils n'en veulent pas puisqu'ils n'en ont pas franchement besoin : ils vivent de plus en plus au centre-ville, où il est plus pratique, économique et écologique de prendre le vélo et les transports en commun que de rouler en voiture. D'où le recul prévisible à l'avenir du nombre de voitures achetées par la génération montante par rapport aux autres générations. Bref, bye-bye Laval et Longueuil, et bonjour Montréal!
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Dès vendredi soir, une exposition à la Maison de l’architecture du Québec (MAQ) offrira un regard sur des bâtiments qui auraient pu faire partie du paysage montréalais, mais qui, pour diverses raisons, n’ont jamais abouti. Une soirée intitulée Perdants magnifiques, qui accompagne l’exposition, se tiendra au Centre Phi. Huit architectes viendront à cette occasion expliquer comment leurs projets, finalistes à des concours d’architecture, n’ont finalement pas été choisis, et raconter ce que l’expérience leur a appris. «Les bureaux [d’architectes] les plus intéressants au Québec, ce sont souvent ceux qui participent à des concours, parce que c’est un peu comme faire ses gammes. Ça permet d’aller plus loin et de réfléchir, de faire sortir les idées, lance la cofondatrice de la MAQ, Sophie Gironnay. Ça pousse les bureaux à donner le meilleur d’eux-mêmes.» Ces projets sont «très détaillés et très, très élaborés, c’est comme si on les voyait», assure Mme Gironnay. «On veut vraiment montrer tout ce qui se trame et qui n’est pas connu, et qui se comparerait à bien des œuvres d’art contemporain. Ces projets architecturaux sont largement aussi bien réfléchis et aussi beaux, et ils méritent d’être connus par le public», juge-t-elle, en ajoutant que ce n’est pas parce qu’un projet n’est pas retenu qu’il n’est pas intéressant. «Pas du tout! Ça, c’est un autre débat, mais ce n’est pas toujours le meilleur projet qui gagne.» «Ça raconte toutes les idées qui bouillonnent ici à Montréal, mais qui ne sont pas saisies par les promoteurs, et qui, donc, n’aboutissent pas. Il y a ici le talent qu’il faut pour faire quelque chose de beaucoup mieux que ce qu’on a.» – Sophie Gironnay, cofondatrice de la Maison de l’architecture du Québec Pourquoi ces projets n’ont-ils jamais abouti? Certains ont été refusés parce qu’ils étaient trop audacieux ou parce qu’ils semblaient «techniquement impossibles» à l’époque. Parfois, un projet est abandonné pour des raisons anecdotiques. «Ça peut être parce qu’il y a eu un changement d’administration à la mairie, ou parce que le développeur a acheté un terrain plus grand à côté et que finalement ça sera autre chose», explique Mme Gironnay. Infos L’exposition Montréal jamais construit se tient à la Maison de l’architecture du Québec, partir de vendredi et jusqu’au 14 février. La soirée Perdants magnifiques aura lieu le lundi 26 octobre à 19 h, au Centre Phi. http://journalmetro.com/actualites/montreal/861560/le-montreal-qui-aurait-pu-etre/
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Bien que je trouve ton qualificatif beaucoup trop fort, le «dédain» n'est pas supposé, il est bien réel de la part de plusieurs forumistes (pour ne pas dire la majorité visible) si on prend les exemples de l'architecture de l'AC Hotel, du nouveau look du 444 De Maisonneuve Ouest (la première mouture avait pourtant fait l'unanimité... dans le sens inverse) ou de la pertinence du béton à nu (jusqu'à nouvel ordre) de la colonne Rocco de l'Icône alors que tout le reste de la tour est louangé. Je trouve ce comentaire très réducteur car ils sont loin d'être les seuls à décrier le look de certains projets. Et si le journaliste se réfère au forum c'est peut être parce que lui aussi en a un peu marre du silence et de la complaisance qui règne au sein du milieu concernant les nouveaux projets architecturaux de Montréal ? La majorité silencieuse ? Qu'est-ce qui te faire croire qu'elle ne pense pas elle aussi que la TDC 1 est la plus ordinaire de toutes les nouvelles tours entourant le Centre Bell ? Et ne te méprends pas, même un posteur aussi caustique que Rocco est ravi de voir toute cette effervescence. Ce qui serait vraiment dommageable pour le forum c'est que, comme toi, tout le monde ici s'extasie de voir tous ces nouveaux projets... nonobstant la qualité de leurs architectures respectives. Désolé mais personnellement je préfère de très loin une seule tour Avenue plutôt qu'une douzaine d'AC Hotel. Heu, c'est parce que c'est un peu beaucoup la fonction et le but d'un forum de discussion sur Internet.
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St-Lambert poursuit Montréal parce qu’elle lui «cache la vue»
un sujet a posté IluvMTL dans L'actualité
http://lenavet.ca/4834/st-lambert-poursuit-montreal-parce-quelle-lui-cache-la-vue/ CONFLIT JURIDIQUE St-Lambert poursuit Montréal parce qu’elle lui «cache la vue» 14 avril 2015 Montreal Skyline - Jul.09 «Montréal pourrait commencer par dynamiter la tour de Radio-Canada et la place Ville-Marie pour démontrer sa bonne foi » − Crédit image : Emmanuel Huybrechts La ville de St-Lambert a annoncé mardi qu’elle poursuivra la ville de Montréal car ses nombreux grattes-ciel et tours d’habitation empêchent ses citoyens de bien voir le paysage, le ciel et le soleil. « Les soirs d’été, nos citoyens veulent prendre un verre dans leur cour et admirer le ciel sans avoir à endurer des édifices qui briment leur vision, a expliqué le maire de la banlieue de la Rive Sud. C’est une question de respect envers les gens de St-Lambert.» L’administration de St-Lambert s’est défendu d’avoir des demandes déraisonnables dans ce dossier, affirmant que «ce qui est injuste, c’est de construire un centre-ville majeur à quelques kilomètres seulement d’une petite ville dortoir tranquille, en faisant complètement fi des impacts sur les résidants de celle-ci.» «Montréal pourrait commencer par dynamiter la tour de Radio-Canada et la place Ville-Marie pour démontrer sa bonne foi », a ajouté le maire. Au moment de mettre en ligne, St-Lambert envisageait également de poursuivre la métropole parce qu’elle est plus grosse sur les cartes géographiques, ce qui «nuit à la visibilité de notre belle banlieue». sent via Tapatalk -
Voici un projet qui nous est passé sous le nez. C'est un beau petit projet, très bien situé sur le bord du canal et près du Centre Gadbois. Il est d'ailleurs sur le meme terrain qu'un autre projet de Mondev qui est terminé: http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/18812-St-Henri-Zone-C-4-4?p=134046#post134046 Celui-ci a 6 étages et est en location. Je ne croyais pas qu'il était si avançé dans sa construction, c'est très rapide, probablement parce que c'est de la location. http://www.mondev.ca/condo-montreal-les-berges-du-canal-en-location-face-au-canal-lachine.html?ProjetID=117
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Petit projet à la porte de la Petite-Italie. Techniquement nous ne sommes pas dans la Petite-Italie mais les promoteurs jouent la carte de la Petite-Italie donc je vais continuer dans la même veine. C'est petit mais ça s'ajoute à tous les autres petits projets dans le secteur. Par contre il y a une mode qui me fatigue un peu. C'est de faire un demi étage sur le toit, probablement pour utiliser comme terrasse. Je ne sais pas si c'est parce que les gens demandent ce genre de terrasse ou si c'est la ville (arrondissements) qui n'autorise pas d'étage complet supplémentaire mais accepte un compromis du genre. Il commence à y en avoir de plus en plus et je comprends lorsque c'est sur une petite rue résidentielle mais sur le Boul St-laurent !!! http://g16.ca/fr/
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- accepte
- arrondissements
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J'ai entendu parler de ça ce matin. REFLEXION MONTREAL. Le fondateur est Martin Bergeron. Je ne serais pas surpris qu'il soit un lecteur de mtlurb, peut-être même un membre, qui sait? http://reflexionmontreal.com/ Voyez son préambule: Pour ma part je partage assez ce chauvinisme nécessaire! Bravo à cette initiative et j'espère qu'elle portera des fruits.
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60 unités, quand même pas mal, sur des Érables au sud d'Ontario. http://www.groupevistacorp.com/projets-condo/Le-Des-Erables.html?ProjetID=97 je mets dans la section Aprouvés parce que ça ne requiert pas de dérogation.
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- aprouvés
- dérogation
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La mondialisation est un énorme rouleau compresseur qui uniformise les villes de la planète. Partout, les mêmes McDo, Starbucks et chaînes hôtelières. Et pourtant, ce qui rend les villes intéressantes et attrayantes, c’est leur singularité, leurs différences, leur identité… C’est ce que nous rappelle de façon magistrale Daniel A. Bell, professeur de philosophie mondialement reconnue rattaché à l’Université Tsinghua de Beijing, dans son dernier livre The Spirit of Cities : Why the Identity of a City Matters in a Global Age. Cosigné avec le professeur Avner de-Shalit, cet ouvrage est un tour du monde des identités, en neuf villes bien circonscrites : Jérusalem et la religion, Paris et le romantisme, Berlin et la tolérance, New York et l’ambition… Montréal et ses deux langues! danielbellClichés, tout ça? Au contraire, il s’agit chaque fois d’une incursion en profondeur dans ce qui définit véritablement ces villes. Une véritable psychothérapie, en fait, réalisée par deux auteurs qui ont foulé les lieux dont ils parlent (en soi, c’est déjà beaucoup…). Les 21 pages sur Montréal sont un pur délice. Parce que Bell est né à Montréal et connaît très bien cette ville, mais surtout parce qu’il l’aime, parce qu’il l’a percée, parce qu’il l’a comprise dans ses plus intimes détails historiques et complexités culturelles. Ce qu’il doit fort probablement à la distance qu’il entretient aujourd’hui avec Montréal. Sa conclusion : la métropole québécoise est riche de ses deux communautés linguistiques qui forment, ensemble, son identité… Ce propos en fera probablement sursauter plusieurs pour qui cette dualité est plutôt une menace. Mais au contraire, il s’agit d’un atout qui, aujourd’hui, mérite d’être célébré, comme le souligne Bell avec justesse. Le français, langue officielle au Québec autant que dans sa métropole, est certes menacé par l’anglais dans certaines institutions. Les raisons sociales des entreprises constituent un réel problème. Et la vigilance est plus que nécessaire pour éviter des dérapages comme ceux de la Caisse et du CHUM. Mais rien de tout cela n’a à voir avec la cohabitation des Francos-Montréalais et des Anglos-Montréalais, sur laquelle s’est fondé Montréal à travers le temps. Rien de tout cela ne mine les relations harmonieuses qu’entretiennent généralement les deux communautés linguistiques. Rien de tout cela ne fait de «nos» Anglos une menace au français, peu importe s’ils regardent ou pas «notre» télé et «notre» cinéma. Et rien de tout cela n’efface les énormes progrès qu’ont accompli, de gré ou de force, les anglophones au cours des années. Bell rappelle qu’une majorité d’entre eux parlent français, alors qu’ils étaient à peine 3% à en faire autant en 1956… Aujourd’hui, ajoute-t-il, les francophones aisés sont attirés par NDG, les Anglos progressistes se font une fierté d’habiter le Plateau et les deux communautés sont de plus en plus interreliées. Phénomène, d’ailleurs, que soulignait L’actualité récemment : 80 % des Anglos se disent suffisamment bilingues pour soutenir une conversation en français, 83% veulent que leurs enfants soient bilingues et presque la moitié des Anglos choisissent un partenaire chez les Francos… «Bref, souligne Bell, les guerres de langues ont laissé place à des attitudes beaucoup plus relaxes (…) Il y a toujours certaines tensions, mais les relations entre les communautés francophone et anglophone n’ont jamais été aussi naturelles qu’aujourd’hui.» Un fait qu’il est important de se faire rappeler au moment où l’on sent croître certaines inquiétudes linguistiques. http://blogues.cyberpresse.ca/avenirmtl/2012/04/13/l%E2%80%99identite-de-montreal-ses-deux-langues%E2%80%A6/
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- anglos
- aujourd’hui
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Parce que fut un temps où les Montréalais étaient fiers sans raison apparente et qu'aujourd'hui, cette fierté semble s'être envolée alors que nous devrions l'être plus que jamais. Réveillez-vous Montréalais, parce qu'ailleurs dans le monde, on nous envie: http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/333743/questions-d-image-une-ville-et-sa-fierte
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ok c'est pas une tour de 72 étages, mais encore un autre parmi une quantité constante année après année de beaux petits projets infill, celui-ci dans ce qui est l'un des plus beaux secteurs (le plus beau?) de Montréal - les environs du parc Molson à Rosemont. http://www.lebeaubiendesecores.com/ on réalise pas l'impact de ces bâtiments class et sobres, parce qu'ils sont discrets. mais depuis plusieurs années, leur multiplication commence à avoir un effet vraiment cool (rapiécement) sur la trame urbaine. celui-ci pourrait être un peu plus moderne, mais ça va.
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Des chiffres obtenus grâce à la Loi d'accès à l'information indiquent que, malgré une population trois fois supérieure, Montréal reçoit moins que Québec dans un des quatre principaux programmes d'infrastructures. Programme d'infrastructures de loisirs C'est vrai pour l'important programme d'Infrastructures de Loisirs, qui permet aux villes canadiennes de réparer ou construire des installations sportives. Des chiffres obtenus indiquent qu'à Montréal, quatre projets d'une valeur de 3,321 millions de dollars ont été approuvés. Québec a obtenu le financement pour quatre projets d'une valeur de 3,565 millions de dollars. À Montréal, trois arénas de la métropole ont reçu des subventions de 1 million de dollars pour mettre à niveau les systèmes de réfrigération. Cependant, environ le tiers des projets acceptés par Ottawa ont été censurés par l'Agence de développement économique du Canada, qui gère ce programme. Cela signifie que d'autres projets à vocation sportive pourraient êtres annoncés d'ici quelques mois. Reste qu'à Montréal certains projets, comme la réfection de l'aréna Ahuntsic, semblent être morts au feuilleton. En septembre dernier, l'ex-président du comité exécutif Claude Dauphin aurait confirmé à la députée fédérale d'Ahuntsic, Maria Mourani, que l'aréna serait l'objet d'un projet de rénovation de 5 millions de dollars. Ottawa aurait aussi confirmé à madame Mourani que les fonds ont été envoyés à Montréal. Mais le projet ne serait plus dans les cartons, aux dires de la députée. Elle se demande si les millions dorment quelque part à Montréal ou si les contribuables d'Ahuntsic sont victimes du fait qu'ils ont voté pour un des deux partis d'opposition. « Pourquoi avant l'élection municipale, on était une priorité - et j'ai même des confirmations écrites ici - et puis, qu'après les élections, soudainement, on ne fait plus partie du décor? Est-ce que c'est parce que Ahuntsic n'a pas voté pour le maire de Montréal? C'est ça, moi, ma question », affirme Me Mourani. Fonds de stimulation de l'infrastructure En ce qui a trait au fonds de stimulation de l'infrastructure, Montréal a obtenu jusqu'ici 42 millions de dollars. Québec, avec le tiers de la population, en a obtenu presque autant, c'est-à-dire 40 millions de dollars. Les chiffres ont été colligés par Infrastructure Canada, qui gère ce programme destiné à financer des programmes de réfection routière. Renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées Quant au fonds pour la réfection des conduites d'eau, Montréal n'a obtenu que 36 millions de dollars. Selon Louise Harel, la chef de Vision Montréal, cela représente moins de 10 % des fonds disponibles pour le Québec. « C'est vraiment décevant, parce que les gouvernements supérieurs ont créé ces programmes-là, mais cela ne reviendra pas. Et ça ne reviendra pour un bon bout de temps, parce qu'on connaît les niveaux de déficits de Québec et d'Ottawa », souligne Mme Harel. Dans un sommaire décisionnel publié lundi, l'administration explique que les investissements importants réalisés par Montréal depuis trois ans ont rendu la tâche de la Ville plutôt difficile. L'ajout de projets supplémentaires aurait été compliqué pour deux raisons. Puisque la Ville défraie le tiers du coût des projets, l'ajout de projets aurait été prohibitif pour Montréal. De plus, ça aurait présenté un défi logistique pour la Ville, compte tenu du grand nombre de projets d'infrastructures déjà prévus avant le plan de relance fédéral. Fonds d'initiatives vertes Montréal figure mieux dans le cadre de ce programme, parce que la métropole a obtenu 67 millions de dollars pour des projets de traitement des déchets. La ville de Québec a obtenu seulement 16 millions dans le cadre de ce programme. L'administration Tremblay n'a pas répondu à nos appels. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/04/19/008-Gentile-infrastructure-Quebec.shtml
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Bande à part le 26 mars 2010 15:27 par Yuani Fragata Hier soir, un résident a porté plainte au Service de police de la ville de Montréal pour la musique forte émanant d’une salle du centre-ville. La réponse policière, soit de faire baisser le volume de moitié, soulève des questions quant au mandat du quartier des spectacles. Je me permets d'écrire cette lettre ouverte aux Montréalais. Chers concitoyens, Je vous écris cette missive à la suite d'une soirée gâchée par un honnête citoyen n'aimant pas se faire déranger pendant son sommeil. Tout à fait compréhensible, me direz-vous, mais la nature de la plainte se fait un peu infirmer par le contexte dans lequel elle s'est manifestée. Hier, à la Société des arts technologiques, le Californien Flying Lotus venait nous rendre visite avec son gros son dansant. La SAT, salle de diffusion d'arts numériques et de musiques électroniques, est située en plein coeur du quartier des spectacles, sur la main, aussi connue sous le nom de boulevard Saint-Laurent. Pour vous situer, c'est au coin de la rue Sainte-Catherine, voisin des Foufounes Électriques, du Métropolis, du Club Soda et des Katacombes : des lieux bruyants. Ah! le quartier des spectacles : terre promise du festoiement, saint Graal des arts de la scène, Mecque du bruit sous toutes ses formes; car le bruit, disons-le franchement, on commence à manquer d'endroits où l'on peut en faire dans notre chère métropole. Quand le Zoobizarre s'est effondré sous un constant harcèlement policier issu des plaintes des résidents contre le bruit, résidents qui jugeaient que vivre sur une artère commerciale leur garantissait tout de même le droit à la quiétude, nous nous sommes dit : « Bon... C'est tout de même un quartier résidentiel, mais au moins on nous promet un quartier des spectacles. » Quand le Main Hall, la Casa del Popolo et le Green Room ont fait face à des plaintes de bruit qui ont handicapé leur capacité à tenir des évènements, on s'est dit : « C'est débile! Le plateau a toujours été un quartier bruyant et l'on était là avant les condos, mais au moins il nous reste le quartier des spectacles. » Tous ces endroits, quand nous les avons vus fermés ou menacés de fermeture pour d'autres infractions, nous savions que la vraie nature de ces actions était une guerre au bruit que la ville se livrait à elle-même. Toutefois, nous regardions le quartier des spectacles en nous disant qu'il nous resterait au moins cet endroit pour nos manifestations sonores. Maintenant, je vous pose une question, chers concitoyens de cette ville que j'aime tant : Quand la guerre au bruit se transporte dans ce quartier où l'on nous a promis la liberté de produire tout le tapage que nous voulions, que nous reste-t-il? Nous, Montréalais, sommes prétentieux et paresseux. Nous nous complaisons avec une image mentale de notre ville fondée sur des idées qui nous viennent des années folles du jazz à Montréal. Nous pensons que nous avons le monopole sur la vie nocturne au Canada, souvent sans être allés voir ce qui se passe à Toronto. Nous croyons que les gens qui passent par ici sont vraiment impressionnés par notre environnement nocturne, mais la vérité est toute autre. Je reviens d'Austin. Vous voulez voir c'est quoi la fête? 6th Street un vendredi soir. Êtes-vous déjà allés à Rio de Janeiro? Lapa le week-end. Berlin, vous connaissez? Barcelone? Lisbonne? Bangkok? Montréalais, quel genre de ville désirez-vous habiter? Au rythme où les forces de l'ordre matraquent les lieux de diffusion, notre vie culturelle va se retrouver aux oubliettes en moins d'une décennie. Je sais que ça va sembler alarmiste, mais il y a des précédents. Voulez-vous le modèle de Manhattan qui a été épuré de ses clubs, incluant le légendaire Twilo, parce que le maire Giuliani a décidé que le bruit c'était fini? Peut-être préférez-vous d'une ville comme Paris, où il est impossible d'avoir une sonorisation qui pousse à sa pleine capacité parce que les règles municipales l'interdisent? Cité d'un article du New York Times sur la mort de la nuit parisienne : « La capitale se couche tôt et empêche les noctambules de vivre leurs passions. La faute aux règlements et à l'embourgeoisement général. » Tiens donc! Vous voyez des similitudes? Ne préférez-vous pas un modèle comme Austin, ou Rio, où l'on concentre tout à un endroit, mais à cet endroit on ne se plaint pas quand les décibels montent? Un choix s'impose, parce qu'à ce rythme, c'est une lente destruction de la musique la nuit qui s'exécute. Si l'on veut préserver ce qui nous reste comme lieux de diffusion et se doter d'un réel quartier des spectacles, n'est-il pas temps de commencer à faire des plaintes nous aussi? Dans son classique ouvrage Bruits, Jacques Attali dit que le son est présage de changements à venir. En ce moment, les seuls qui font du bruit, ce sont les amants du silence. Pensez-y. Yuani Fragata Réalisateur-coordonnateur Bande à part (aussi danseur et rockeur quand la police lui permet)
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http://www.villagia.ca/ Une nouvelle tour est en construction... la grue est visible de la 13 et de la 15. Qui peut passer faire un tour dans le coin? Je ne trouve rien sur internet. C'est dans les 14-15 étages si on se fie à la hauteur de la grue montée. D'après-moi c'est sur Place des Cageux parce que la grue est tout près du 4300, un immeuble de 17 étages appelé Les Terrasses Paton. Il y avait un projet de deux tours projetées il y a quelques années.
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Incoryable comment la ville travaillent a contre courrant. Stop urban sprawl. Bring people back to the city. Le francais est menace parce que les gens quittent la ville pour les banlieus. And then this. On it goes...the suspects who want to run this city are joke. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200910/29/01-916550-tremblay-hausserait-les-taxes-de-16-en-4-ans.php
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Si vous ne m'avez pas beaucoup entendu récemment c'est parce que j'étais en vacances à Chicago. Voici un petit échantillon.
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Entrevue avec James Cherry, pdg d'Aéroports de Montréal
un sujet a posté ErickMontreal dans L'actualité
Entrevue avec James Cherry, pdg d'Aéroports de Montréal Publié le 22 août 2009 à 10h46 | Mis à jour à 10h57 L'aéroport Montréal-Trudeau poursuit sa cure de rajeunissement avec l'ouverture, cette semaine, d'un nouveau secteur des départs vers les États-Unis. Tous les regards se tournent maintenant vers la fameuse navette ferroviaire entre l'aéroport et le centre-ville de Montréal, qui tarde toujours à entrer en gare. La Presse a rencontré le président-directeur général d'Aéroports de Montréal, James Cherry, pour discuter de ce projet, de l'avenir de Montréal-Trudeau et de celui de l'aérogare de Mirabel, toujours désespérément vide. Q: Comment s'est passée l'ouverture du nouveau secteur des départs? R: En général, ça a très bien fonctionné. Nous sommes très satisfaits. Mais malgré tous les tests, toutes les simulations que nous avons faites, le premier jour après l'ouverture, il y a toujours des petits ajustements à faire. C'est normal. Q: Qu'est-ce qui reste à faire comme travaux à l'aéroport? R: Les aménagements du rond-point Dorval vont entraîner beaucoup de travaux ici pour harmoniser l'accès à l'aéroport. C'est un projet qui va durer deux ou trois ans. Ça va coûter pas loin de 100 millions en réaménagement des routes et en création de viaducs. Q: Et la fameuse navette ferroviaire? R: C'est l'autre priorité. Sous le nouveau bâtiment, nous avons créé la coquille de la gare. La vraie question: il n'y a pas assez de capacité sur les voies ferrées actuelles pour laisser passer d'autres trains. Il faut avoir des voies réservées au transport de passagers. Mais il faut décider quel trajet. Il y a deux possibilités: un trajet parallèle aux voies du CP qui arrive à Lucien-L'Allier et un deuxième parallèle aux voies du CN qui arrive à la gare centrale. ADM a toujours dit que sa préférence, c'est clairement d'arriver à la gare centrale. C'est au coeur de la ville, il y a intermodalité avec VIA, avec plusieurs trains de banlieue, AMTRAK, deux lignes de métro. Selon les études et les tests que nous avons faits, il y a même un impact sur l'achalandage. Q: Pourquoi alors considérer Lucien-L'Allier? La Gare centrale, c'est plus cher? R: Oui, parce que le trajet est plus loin, mais quand on dit que c'est plus cher, on parle d'une marge de 10%. On ne parle pas de deux fois plus cher. C'est un dossier très complexe. Il faut prendre en considération le coût de réalisation du projet, les impacts environnementaux, le nombre de personnes affectées, la complexité du projet, l'impact sur l'achalandage. On va terminer les études nécessaires cet automne. Q: Ça prend du temps. R: Il y a des gens qui se sont énervés parce que ça prend quelques mois de plus que prévu. Mais pour moi, un projet de cette complexité, si ça prend un ou deux mois supplémentaires, c'est pas la fin du monde. Au contraire, je préfère comprendre le détail de tous les enjeux dès le début, parce que nous avons vu des histoires d'horreur, des projets pour lesquels ils ont découvert des problèmes après les avoir lancés. C'est ce que nous voulons éviter. Q: Quand espérez-vous voir le premier train? R: Je pense qu'aussitôt que nous aurons le feu vert du gouvernement, ça devrait prendre environ de 36 à 48 mois pour mener le projet à terme. Si on peut avoir un commencement au début de 2011, on parle de 2014. Q: Avec la situation économique actuelle, comment ça va à Montréal-Trudeau? R: Depuis le début de l'année, nous avons à peu près 6% de moins de passagers que l'année dernière. Nous venons de recevoir les chiffres pour le mois de juillet. Il y a une décroissance de seulement 1,2%. Je pense qu'on s'approche d'un tournant. À long terme, on peut anticiper une croissance annuelle moyenne de 2 à 3%. Q: Montréal-Trudeau a-t-il la capacité pour faire face à cette croissance? R: Selon les études que nous avons faites, selon notre compréhension de la situation démographique et économique de Montréal et de l'évolution de la technologie, Trudeau sera le choix pour Montréal au moins jusqu'à 2040. Q: Donc, on n'a pas besoin de Mirabel? R: Montréal n'est pas une ville qui peut utiliser deux aéroports, il n'y a pas assez de trafic pour les deux. C'est pour cette raison qu'en 2002, nous avons annoncé qu'il fallait fermer un de ces deux aéroports. C'était clair que Trudeau était l'aéroport qu'il fallait choisir pour l'avenir de Montréal. Est-ce que ce sera nécessaire de repenser cette décision un jour? Oui, c'est fort possible. Il faudra voir quelles seront les options. Parmi elles, il y aura Mirabel, mais peut-être que Mirabel ne répondra pas aux besoins. Q: Pourquoi? R: Les bâtiments qui sont là aujourd'hui ne sont pas utilisables. Ils ont déjà 40 ans. Ils ne respectent pas les exigences de sécurité du trafic moderne. Si on veut utiliser l'aérogare, il faudrait tout refaire l'intérieur. Il faudrait un autre bâtiment neuf pour le trafic domestique et transfrontalier. Et il n'y a que deux pistes, alors qu'il y en a trois à Dorval. Nous avons estimé que ça coûterait de 5 à 6 milliards. Q: La fameuse aérogare de Mirabel, qu'en faites-vous? R: Le projet que nous avions établi était très intéressant. Mais en 2007, nous sommes tombés au milieu d'une crise financière et les gens n'ont pas pu conclure leur financement. On ne peut pas continuer d'attendre, on va chercher d'autres solutions. Ce n'est pas que nous voulons faire beaucoup d'argent avec ça, nous voulons trouver des vocations qui vont aider pour le recouvrement des coûts pour l'aéroport. Parce que même aujourd'hui, nous avons une perte annuelle à Mirabel. Vous pouvez imaginer, juste l'aérogare, le coût de sécurité, d'assurance, d'électricité, de chauffage, de climatisation, c'est des millions de dollars par année, mais il n'y a aucun revenu. Q: Est-ce que ce ne serait pas plus facile de démolir l'aérogare et de faire autre chose? R: Oui, c'est sûrement une option, mais ce n'est pas facile à démolir, c'est un bâtiment plein d'amiante. Nous avons évalué cela. Mais il faut au moins essayer encore une fois de trouver une autre vocation, d'étudier toutes nos options avant la démolition. -
10 things you can do in Montreal but not Toronto Toronto Star lists Jul 03, 2009 04:30 AM 1. Bring your own wine without being charged a ridiculous corkage fee that defeats the whole purpose. ok jusqu'à maintenant 2. Rent a bicycle from the public bike system, Bixi, and ride some of the most extensive bike paths anywhere. ok 3. Take St. Lawrence Market and Kensington Market combined, double their size, and enjoy the spacious Marché Jean-Talon. encore que le St.Lawrence Market est sympathique 4. Sit and stew at a red light, unable to turn right, because it's against the law. As a pedestrian, dodge traffic as unsympathetic drivers get a jump on the green light. Je trouve que la réputation des conducteurs montréalais est exagérée. La cohabitation piétons / automobilistes se passe plutôt bien, en général 5. Find a strip bar with very little effort, often in your own neighbourhood. bon, là j'imagine que c'est parce qu'ils sont très visibles au centre-ville. Parce qu'ailleurs, il n'y en a pas tant que ça, tout de même 6. Drink beer at a major festival without being corralled into a beer garden. oh yeah, tout à fait vrai 7. Live in a world rich with Quebec TV shows, Quebec films, Quebec musicians and stars, and a media that believes, in a twist on the old saying, "If it doesn't bleed Quebec, it doesn't lead." mmm... c'est plus que le peu de vedettes canadian qu'il y a ne nous intéresse pas 8. See people wearing crampons to navigate treacherous, ice-covered sidewalks in winter . . . and legitimately fear being killed by snow removal equipment. Bof. Est-ce tellement mieux à Toronto? 9. Hear separatist extremists attempt to drown out an English band at a Saint-Jean-Baptiste Day concert, or hint at violence if the Battle of the Plains of Abraham is re-created. il oublie de mentionner que la réaction contre le banissement des groupes anglos a été presque unanime. Pour la bataille des Plaines d'Abraham, par contre, je crois qu'il a raison. Je trouve que les autorités ont vite plié devant la "menace" de quelques extrémistes... On s'en serait foutu un peu, non? 10. Watch a hefty extra chunk of your tax dollars disappear into provincial government coffers. C'est de moins en moins vrai. Les familles sont avantagées au Québec au niveau fiscal. Les célibataires et couples sans enfants le sont en Ontario. - Andrew Chung quand même intéressant de voir Montréal d'un point de vue extérieur
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Publié le 07 juin 2009 à 09h27 | Mis à jour le 07 juin 2009 à 09h28 Sortirons-nous grandis de la crise? Alain Dubuc La Presse Plusieurs pays ont tenté de se servir de la crise comme d'un tremplin, en utilisant les énormes moyens déployés dans le combat contre la récession pour rendre l'économie plus compétitive, pour mieux rebondir et sortir renforcés de l'épreuve. C'est le sens, par exemple, du plan de relance du président Obama, qui consacre des ressources importantes à l'éducation, à la recherche et au développement durable. Est-ce le cas ici? Sortirons-nous renforcés de cette crise? Ce n'est pas évident du tout. Le risque est grand que nous nous retrouvions avec exactement les mêmes problèmes qu'avant, dans un contexte plus difficile, et avec moins de moyens pour les résoudre. Pendant que nous étions accaparés par la récession, nous avons eu tendance à oublier les enjeux qui semblaient prioritaires avant que la crise n'éclate. Les lucides se sont inquiétés du choc démographique et de la crise financière vers laquelle se dirigeait le Québec. Deux rapports, ceux de Jacques Ménard et Claude Castonguay, décrivaient l'impasse du système de santé. Mon essai, Éloge de la richesse, portait davantage sur les retards du Québec en termes de productivité et de niveau de vie. Le même constat peut être fait pour le Canada où les succès pétroliers de l'Ouest ont créé une illusion de prospérité et masqué le fait que le Canada est un pays en perte de vitesse. Les pertes massives d'emplois en Ontario, 234 000 depuis le début de la récession, illustrent cette fragilité. Qu'est-ce qui nous attend après la crise? Le problème démographique sera exactement le même. Le problème financier s'aggravera. Au plan québécois, la situation était déjà précaire, avec un endettement élevé et une marge de manoeuvre nulle. Le dernier budget de Monique Jérôme-Forget prévoyait des déficits pour plusieurs années, mais ne proposait pas de démarche convaincante pour revenir à l'équilibre. Et le risque est fort que les choses empirent, si on regarde ce qui se passe du côté d'Ottawa. Le déficit fédéral, prévu à 34 milliards dans le dernier budget, a explosé et dépassera plutôt les 50 milliards. Quant à la compétitivité de l'économie, on n'observe aucun progrès notable. Peu d'efforts ont été déployés pour corriger notre principal problème économique, notre retard en productivité. Le budget fédéral insistait sur des mesures de relance immédiates - avantages fiscaux ciblés, travaux d'infrastructures - et contenait très peu de mesures que l'on pourrait qualifier de structurantes. Dans le budget du Québec, où l'on trouvait peu de mesures nouvelles, l'effort de relance reposait essentiellement sur le vaste programme d'infrastructures déjà en marche. En sortie de crise, nous nous retrouverons donc avec des gouvernements endettés, sans marge de manoeuvre, peut-être forcés d'alourdir le fardeau fiscal, avec une économie fragilisée, par exemple dans l'automobile ou la forêt, avec des entreprises qui auront moins de ressources pour l'investissement. Le tout dans un contexte politique qui ne favorisera pas autant les efforts de création de richesse, parce que la crise a provoqué un glissement idéologique qui renforce la méfiance à l'égard du secteur privé et des marchés. Bien sûr, à court terme, le Québec et le Canada connaîtront sans doute une embellie. La récession est moins forte au Canada que dans les autres pays industrialisés, et elle est moins forte au Québec que dans plusieurs autres provinces. Résultat, notre classement pour le niveau de vie s'améliora sans doute. Mais ce sera une victoire illusoire, parce qu'elle reposera sur les problèmes des autres plutôt que sur nos propres succès. Un peu comme un joueur de tennis qui remporte un match parce que son adversaire a une cheville foulée. adubuc@lapresse.ca
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Publié le 24 mai 2009 à 08h19 | Mis à jour à 08h19 La révolution d'Obama Alain Dubuc La Presse Barack Obama a annoncé cette semaine une initiative qui aura un impact économique et environnemental considérable. Il s'agit d'une entente avec l'industrie pour imposer de nouveaux standards d'émissions des véhicules, qui réduiront de façon significative la consommation d'essence et les émissions de gaz à effet de serre. Ce virage, que le président américain a décrit à juste titre comme historique, a eu peu d'échos ici. Et pourtant, même si elle a été décidée à Washington, cette politique nous affectera autant que les Américains. Parce que les 20% de l'industrie automobile nord-américaine qui se trouvent au Canada devront se conformer à ces standards. Et parce que le gouvernement canadien, à la remorque de Washington, sans politique énergétique propre, a déjà laissé entendre qu'il s'ajusterait à ces normes américaines. Cela veut dire que nous serons directement affectés en tant que consommateurs. Entre 2012 et 2016, les producteurs devront réduire les émissions de dioxyde de carbone des véhicules du tiers, et la consommation d'essence d'environ 30%. Pour les automobiles, la consommation devra être, en moyenne, de 35 milles (48 km) au gallon en 2016, soit environ 5,6 litres aux 100 kilomètres. C'est une révolution. Cet objectif extrêmement ambitieux a réussi à rallier le gouverneur républicain de la Californie, Arnold Schwarzenegger, dont les efforts pour imposer des normes environnementales sévères dans son État avaient été bloqués par l'administration Bush. Mais le tour de force du président, c'est d'avoir réussi à faire accepter cette révolution aux constructeurs automobiles qui, jusqu'ici, avaient résisté farouchement. C'est sans doute là un des effets positifs de la crise. L'industrie américaine, qui vit maintenant aux crochets de l'État, n'est plus capable d'imposer sa logique. L'impact environnemental sera significatif, si l'industrie réussit à se conformer à ces normes. Cela équivaut, sur une période de six ans et demi, à retirer 177 millions d'autos de la circulation. Ces mêmes normes, qui s'appliqueront de ce côté-ci de la frontière, auront un effet important, quand on sait qu'au Québec, 31% des émissions des GES proviennent du transport routier. Ce sera tout un choc pour l'industrie, qui devra faire des miracles pour respecter ces cibles, modifier sa gamme de véhicules, accélérer l'innovation technologique, investir des milliards pour convertir les usines. Ce n'est pas rien. Les consommateurs seront aussi touchés. Ces autos moins énergivores coûteront 1300$ de plus, quand on additionne l'effet des normes des administrations Bush et Obama. Cette somme pourra toutefois être récupérée par le choix d'une plus petite auto et par les économies d'essence. Et pourtant, cette nouvelle politique, qui représente un des gestes les plus significatifs pour réduire les émissions de GES, n'a pas suscité ici les réactions qu'elle méritait. Parce que c'est aux États-Unis? Parce que Barack Obama fait trop d'annonces? J'ai une autre explication. J'y vois le reflet d'une tension entre deux façons de résoudre les défis environnementaux: l'approche pragmatique et l'approche militante. Cette réduction draconienne des standards des émissions sera efficace, elle donnera des résultats. Mais elle s'inscrit dans la logique du système; elle ne remet pas en cause la culture de l'automobile, elle la rend plutôt moins nuisible, elle la civilise. La plupart des groupes environnementaux privilégient plutôt une approche qui réduit la place de l'automobile, par le vélo, les transports en commun, l'aménagement urbain. Des avenues dans lesquelles il faut mettre toutes nos énergies. Mais derrière les objectifs immédiats, les batailles environnementales se mènent à un second niveau et s'inscrivent dans un projet plus global qui cherche aussi à modifier les comportements humains, à repenser le système socioéconomique. Voilà pourquoi le projet américain ne suscite pas tant d'enthousiasme. Les militants voudraient changer le système. Ce que montrent les projets du président Obama, c'est que le système peut changer. adubuc@lapresse.ca
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Publié le 17 mai 2009 à 07h33 | Mis à jour le 17 mai 2009 à 07h35 Gros gloutons, gros barrages Patrick Lagacé La Presse Hydro-Québec va donc construire ces quatre barrages sur la rivière Romaine. Je devrais déchirer ma chemise et dire que c'est écoeurant, qu'on détruit la nature, qu'on saccage le patrimoine pour éclairer les maisons des Américains. Pourtant, non. Je ne vais pas déchirer ma chemise. Parce que c'est ma faute, ce barrage. Ma faute et la vôtre aussi. Parce que nous sommes des gloutons énergétiques. Comme tous les Occidentaux, ou presque, en cela. La croissance de la demande énergétique des Québécois est constante et imparable: 1% par année. Ça n'a l'air de rien, mais c'est énorme. C'est 10% en une décennie. Je sais, je parle du Québec alors qu'il s'agit de vendre de l'électricité aux Américains. Sauf qu'après la construction des quatre barrages, l'électricité de la Romaine va éclairer nos maisons. À terme, nous sommes toujours rattrapés par ce foutu 1%. À terme, nous sommes toujours rattrapés par nos téléviseurs 64 pouces au plasma (et celui de 32 pouces au sous-sol), par la thermopompe, par le chauffe-piscine, le ventilateur, le climatiseur, le frigo, le congélateur, le chauffe-eau, l'ordinateur, les plinthes qui nous chauffent, les lumières de Noël, les ampoules électriques qui nous éclairent (ou qui éclairent nos pièces vides). Traduction: nous sommes toujours rattrapés par tous les cossins de la vie moderne qui fonctionnent magiquement quand on les branche dans le mur. * * * Je ne veux pas planter les environnementalistes. Leur job, leur vocation, c'est de défendre l'environnement. Ils sont parfois moralisateurs mais, sur le fond, ils ont raison: l'environnement n'est pas exactement en bonne santé. S'ils ne déchirent pas leur chemise, qui le fera? Sauf que quand je les entends parler de la Romaine, j'ai de la misère à les suivre. D'abord, il y a eu ces déclarations de Daniel Green, selon lesquelles l'hydroélectricité n'est pas une énergie verte. C'est vrai... selon le fisc de 27 États américains qui appliquent le RPS, ou Renewable Portfolio Standard, m'explique Jean-Thomas Bernard, professeur titulaire de la chaire en économique de l'énergie électrique de l'Université Laval. Le RPS force les fournisseurs d'énergie à inclure, dans leur offre d'électricité, une fraction produite par certaines technologies vertes comme la biomasse, l'éolien et le solaire. C'est une façon de stimuler ces industries naissantes. «Et la grande hydroélectricité, qu'on trouve surtout au Québec, n'est pas considérée comme une énergie verte par le RPS», dit le professeur Bernard. Sauf que l'hydroélectricité reste une énergie propre, très propre, au palmarès des façons de produire de l'électricité. «Avec les forêts détruites, le pourrissement des arbres, il y a quand même des émissions de CO2, selon Jean-Thomas Bernard. Sauf que c'est minime, par kilowattheure produit, si on compare au charbon.» * * * L'autre mantra des environnementalistes, dans l'opposition à la Romaine, c'est dire que le Québec devrait mieux gérer l'électricité qu'il produit avant d'en produire encore plus. Miser sur les programmes d'économie d'électricité. J'en suis. Sauf que ça n'arrivera jamais. D'abord, l'électricité, au Québec, ne coûte pas cher. On se fiche de ce qui ne coûte pas cher. On le dilapide. C'est un peu comme les radars photo. Pourquoi les gens roulent-ils vite? Parce que le risque de se faire pincer est mince. Pourquoi lèvent-ils le pied, dans les pays où un système de radars photo est en place? Parce que le risque de se faire pincer est grand. Traduction: parce que, s'ils roulent vite, ils vont payer. Idem pour l'électricité. Pour que l'économie d'énergie fonctionne, il faudrait qu'elle coûte plus cher, cette énergie. Malheureusement, pour l'écologiste moyen, c'est plus facile de taper sur Hydro que de dire aux Québécois qu'on devrait augmenter le coût de l'électricité afin d'en utiliser moins. Parce que quand on parle de hausser les tarifs de l'Hydro, que ce soit pour réduire la consommation d'électricité ou s'enrichir collectivement en la vendant aux Américains, vaut mieux revêtir son casque Joffa à grille: les roches viennent vite... Ensuite, l'Homo quebecus, dans le confort de son salon, quand il regarde Occupation double, ne veut pas se faire embêter par la conservation de l'électricité. Il ne veut pas se faire dire qu'il devrait aller éteindre la lumière de la salle de bains, où il est allé pendant la pause publicitaire. Et quand il part travailler, il ne veut pas faire le tour de la maison pour baisser le chauffage. Parce que c'est compliqué, être moins énergivore. Dans son quotidien, quand on est roi de son petit univers, empereur de son grand bungalow, c'est emmerdant de modifier son comportement de glouton énergétique. C'est moins emmerdant de laisser l'État construire des barrages monstrueux sur des rivières que 98% des Québécois ne verront jamais de leurs yeux. Je termine sur un extrait de la chronique d'hier de François Cardinal, qui couvre l'environnement pour La Presse: «Le Canada est 16e au palmarès Greendex du National Geographic. Le pays se classe ainsi avant-dernier d'une liste de 17 pays en raison de la taille des maisons, de la consommation d'énergie et, surtout, de la propension des Canadiens à se déplacer dans des voitures toujours plus grosses.» Gros gloutons, gros barrages. On n'en sort pas.
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Si Kyra Coleman ne craint pas de s'installer seule à Osborn, c'est qu'elle est née ici et y a vécu toute sa vie. Mais c'est aussi parce qu'elle connaît son quartier comme bien peu de résidants peuvent se vanter de le faire. Pour en lire plus...
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