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  1. Voici deux vidéos sur Montréal qui sont assez bien réalisées avec de belles images. Kudos pour les mecs d'être venus en hiver.
  2. Je ne sais pas s'il y a déjà un fil pour ce projet, mais bref je trouve ça vraiment intéressant comme idée. Le Québec aurait vraiment l'occasion de se démarquer internationalement et d'être un pionnier (enfin). Nous avons l'électricité, nous avons les matériaux et nous avons les wagons. Manque juste un petit peu de volonté...
  3. Deux projets communautaires situé derrière le YMCA sur la rue Hochelaga entre les avenue Bennett et Aird sont proposé d'être construit prochainement.
  4. Malek

    Canadiens 2013

    Bon pas de fil? PK viens d'être signé, les deux jeunes resent à Montréal... l'attaque semble pas trop mal! Départ canon en début de saison! Qu,est ce que vous en pensez??
  5. Un grosse structure est en train d'être assemblée au coin nord-ouest du rond-point Acadie. Quelqu'un sait de quoi il s'agit ? C'est assez gros, ma photo ne le rend pas.
  6. Construction dans Ville-Marie: ménage des règles d'urbanisme Publié le 05 février 2013 à 06h21 L'arrondissement de Ville-Marie gèle en partie l'attribution des permis de construction jusqu'à la fin du mois de mars, le temps de finir le ménage dans ses règles d'urbanisme kafkaïennes. Le conseil de cet arrondissement, qui englobe le centre-ville et le Vieux-Montréal, a adopté hier en première lecture un projet omnibus modifiant plus de 600 articles du règlement d'urbanisme. Les changements touchent une foule de sujets, du zonage à la hauteur des immeubles, en passant par l'agriculture urbaine. «Le règlement actuel existe depuis 20 ans et il avait clairement besoin d'être modernisé», a résumé à La Presse Affaires Bruno Collin, chef d'équipe à la division d'urbanisme, après la tenue du conseil. Selon les règles actuelles, il existe quatre familles d'utilisation du territoire: résidentielle, commerciale, industrielle et institutionnelle. Celles-ci sont divisées en 53 catégories, qui sont ensuite subdivisées en 118 types de zones. C'est autant que dans les cinq arrondissements de New York réunis, et ce, pour le seul arrondissement de Ville-Marie! «En plus d'être très rigide, cette approche complexifie énormément le règlement et le rend pratiquement incompréhensible pour les usagers, souligne un sommaire décisionnel publié hier. Par exemple, le propriétaire d'un bâtiment situé au coin des rues Wellington et Prince doit se référer à six listes différentes uniquement pour identifier les usages permis sur sa propriété.» La cartographie actuelle de Ville-Marie est si compliquée qu'on ne peut la lire à une échelle inférieure à 1: 5000. Il faut consulter la carte sur deux feuillets de 30 po sur 25 po au minimum, et les erreurs d'interprétation sont fréquentes. Bruno Collin et son équipe ont travaillé pendant huit mois à simplifier cette structure d'organisation du territoire. Ils sont partis du principe de la mixité des usages, ce qui leur a permis de réduire de 118 à 27 les types de zones. La nouvelle carte de l'arrondissement est lisible sur une feuille de 11 po sur 17 po, se réjouit-on. Le projet de règlement d'urbanisme sera soumis à une série de consultations et de présentations au cours des prochaines semaines. D'ici à son adoption finale, prévue le 25 mars, un gel partiel de l'attribution des permis de construction et d'occupation a été décrété. L'arrondissement estime que de 10% à 20% des demandes de permis seront touchées par le gel. En plus de simplifier la structure d'attribution des permis, le nouveau règlement d'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie propose une trentaine de nouvelles dispositions. En voici cinq: - Les nouvelles constructions devront inclure davantage de stationnements pour vélos, et ceux-ci devront être facilement accessibles. - Toutes les nouvelles toitures devront être écologiques. Il pourra notamment s'agir de toits «blancs» ou végétaux. - L'implantation de jardins communautaires, de parcs et d'écoles sera permise partout sur le territoire de l'arrondissement. - L'insonorisation des nouvelles constructions résidentielles devra être accrue dans les zones bruyantes. - Des stationnements pour les petites voitures seront créés. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201302/05/01-4618392-construction-dans-ville-marie-menage-des-regles-durbanisme.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  7. Une immense toile de Salvador Dali dévoilée à Montréal MONTREAL - Une immense toile de Salvador Dali, peinte à New York pour servir de rideau au ballet Tristan Fou présenté au Metropolitan Opera en 1944, a été pour la première fois dévoilée lundi au public à Montréal, après avoir été restaurée en Suisse. La toile, qui mesure près de neuf mètres sur quinze et représente une vision surréaliste de Tristan et Yseult, sera utilisée comme un élément de décor par le metteur en scène de cirque Daniele Finzi Pasca pour son spectacle La Verità, dont la première mondiale est prévue au théâtre Maisonneuve à Montréal le 17 janvier prochain. La Verità sera une incursion théâtrale et acrobatique dans la vie du peintre espagnol, menée par douze interprètes de la compagnie Finzi Pasca, basée à Lugano en Suisse, a indiqué Daniele Finzi Pasca lors d'une conférence de presse. Après Montréal, la toile et le spectacle entameront une tournée en Amérique du Sud jusqu'à l'été 2013, puis gagneront l'Europe, à commencer par la France, la Suisse, l'Italie et l'Espagne, a précisé le porte-parole de la compagnie, Jean-Sébastien Rousseau. La toile de Dali avait dormi pendant des décennies entreposée dans les stocks d'anciens décors du Met avant d'être achetée par une société de collection d'art européenne, dont le nom est gardé secret, mais qui pourrait bien être basée en Suisse. Le spectacle de Finzi Pasca ne s'inspire nullement du ballet de Léonide Massine, dont Dali avait écrit le livret et créé les décors et les costumes. La toile de ce dernier, représentant Tristan et Yseult empêtrés dans leur drame mêlant amour, mort et folie, est bien entendu fidèle au style surréaliste de Dali avec une brouette qui émerge du dos d'un des deux personnages et une fleur de pissenlit poussant sur la tête de l'autre, a souligné une experte de l'oeuvre de l'artiste espagnol, collaboratrice temporaire de la compagnie Finzi Pasca, Jennifer Whisper. Dali avait peur d'être fou. Il a dit cette phrase célèbre: +la différence entre un fou et moi, c'est que je ne suis pas fou+. Mais il devait s'en sentir assez proche, a-t-elle ajouté. L'émergence de cette oeuvre inconnue permet de rappeler une facette inconnue et importante de l'oeuvre de Dali qui avait beaucoup travaillé avec des grands noms de la scène, dont Peter Brook, Visconti et Béjart, a souligné Mme Whisper. A l'époque de la présentation de Tristan Fou le décor de Dali avait été jugé trop grand par les critiques. L'introduction d'acrobates par Finzi Pasca permettra au spectacle de ce dernier d'être à la hauteur de l'oeuvre, pense-t-elle. http://www.romandie.com/news/n/_Une_immense_toile_de_Salvador_Dali_devoilee_a_Montreal58051120122015.asp
  8. La phase 2 est sur le point d'être lancée. Je ne suis pas certain d'aimer le look de boîte qui écrase la première...
  9. Un communiqué vient tout juste d'être envoyé par Spectra: le Metropolis vient d'apparaître sur la liste Pollstar des 100 meilleurs "concert clubs" au monde. Il est 1er au Canada et 9e au monde! Pas de lien internet encore, c'est trop chaud. Ça viendra bientôt.
  10. Coolopolis est un blogue tenu par un anglophone qui donne trop souvent son point de vue politique, mais un blogue, ça sert à ça donc, ce n'est pas la raison de mon intervention. J'ai bien ce blogue car il nous tire souvent des photos anciennes qui mérite d'être vues. Cette fois ci, il montre un Square Phillips avec deux escaliers et je me demandais, les dates de ces photos et la raison d'être de ces deux "décentes aux enfers" comme il aime bien le préciser.
  11. Une autre rénovation dont on parle sur Cyberpresse. L'ancienne station d'électrification de la Shawinigan Water and Power Company, dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, est en train d'être convertie en une coop d'habitation certifiée LEED or et Novoclimat.
  12. Vous voyez une publicité qui est hors de l'ordinaire et qui mérite d'être vue par tous ? On pourra en discuter ici et annoncer à tous l'endroit à visiter. Je commence, station Place des arts, édicule Bleury, à l'extérieur, il y a un abribus qui donne sur Bleury. Sur celui-ci, une très bonne pub de la Banque Laurentienne. Je ne veux pas trop vous en dire, pour vous garder la surprise. Si vous passez par là, elle vaut la peine d'être prise en photo !
  13. Le Cirque du Soleil a acquis en décembre un terrain vague d'une valeur de 3,2 millions de dollars à proximité de son siège social dans le quartier Saint-Michel, à Montréal, pour y développer ses installations. Selon des documents consultés par Radio-Canada, ce terrain a été acheté en 2008 de la Ville de Montréal pour 2,8 millions de dollars par une compagnie à numéro appartenant à Guy Laliberté, le fondateur et chef de la direction du Cirque. Les prix correspondent aux évaluations municipales. Selon une porte-parole du Cirque du Soleil, l'entreprise a acquis ce terrain en décembre de la compagnie de Guy Laliberté dans le but de le développer « au moment opportun [...] pour une vocation communautaire ou administrative », mais refuse d'en expliquer les raisons détaillées. Le terrain pourrait néanmoins servir à y construire de nouveaux bureaux. Pour l'instant, les employés du Cirque sont logés dans des bureaux loués à proximité du site. « Le Cirque a bel et bien acheté ce terrain près de la TOHU. Cependant, nous n'avons pas pour l'instant de projets établis. Il faut garder en tête le fait que le Cirque est installé dans le quartier Saint-Michel depuis 1997 et que nous avons toujours investi dans l'optique d'être bien ancrés dans le quartier », affirme la porte-parole Tania Orméjuste. « Le Cirque du Soleil ne se cache pas d'être intéressé par les terrains qui pourraient devenir disponibles dans le quartier Saint-Michel pour développer le centre de création qu'est le siège social international », poursuit-elle. L'arrondissement Saint-Michel dit n'avoir délivré aucun permis de construction pour ce terrain récemment ni avoir reçu de demande de permis. Il n'existe pas d'autres transactions ces dernières années dans le secteur au nom de Guy Laliberté ou de sa compagnie à numéro. Ce terrain est partiellement occupé par Rebuts solides canadiens, une société qui trie les matières recyclables de plusieurs arrondissements. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/01/11/013-cirque-soleil-terrain.shtml
  14. J'ai fait une petite recherche pour ce projet, mais je n'ai pas trouvé d'informations... Le bâtiment est en train d'être fini, on installe les rampes des balcons, etc... J'espère ne pas partir un sujet pour un projet déjà répertorié!
  15. Publié le 28 avril 2010 à 07h37 | Mis à jour le 28 avril 2010 à 07h39 Vendre son âme à Toronto Nathalie Petrowski La Presse Il y a longtemps que je ne fréquente plus les églises et que leur lustre suranné n'exerce plus aucun charme sur moi. Et pourtant, dès l'instant où j'ai mis les pieds dans l'église Saint-Nom-de-Jésus au coeur d'Hochelaga-Maisonneuve, j'ai été renversée, bouleversée, totalement «flabergastée». Par quoi? Par l'extraordinaire beauté de cette église, tendue de feuilles d'or et d'une incroyable richesse décorative avec ses quatre anges sculptés par Alexandre Carli, ses vitraux importés de France et cet imposant tableau de la Pentecôte peint par Georges Delfosse, sans oublier l'orgue, le majestueux orgue Casavant de 90 jeux et de 6500 tuyaux, restauré à grands frais par le gouvernement et qui domine la nef, tel un magnifique oiseau déployant ses ailes dorées. Que ce sanctuaire d'une incomparable richesse érigé en 1905 ait veillé sur un quartier pauvre et ouvrier pendant plus d'un siècle est en soi le signe d'une générosité sociale qui mérite d'être rappelée et applaudie. J'ai découvert l'église Saint-Nom-de-Jésus il y a deux ans, un soir de concert pendant le festival Orgues et couleurs qui a été créé justement pour mettre en valeur l'orgue Casavant. Et ce soir-là, moi qui me fous des églises et de la religion, j'ai pris la pleine mesure, pour ne pas dire la pleine démesure, du patrimoine religieux québécois. De sa valeur. De son importance. De son poids historique dans la lente édification d'une identité et d'une culture québécoises. Déjà ce soir-là, j'avais cru comprendre que l'église était menacée par les bulldozers d'une entreprise de démolition à la solde du dieu condo. Mais à ce moment-là, tout n'était pas joué pour Saint-Nom-de-Jésus. La possibilité, mince mais réelle, que l'église abandonnée par les fidèles se trouve une nouvelle vocation en devenant une salle de concert et un musée de l'orgue, existait encore. Deux ans plus tard, face à l'inertie et à l'indifférence du gouvernement, ce n'est malheureusement plus le cas. Si personne ne vient à la rescousse de l'église d'ici juillet, l'orgue Casavant, qui demeure le sixième orgue quant à la taille en Amérique du Nord, sera acheté par une prospère cathédrale de Toronto qui le déménagera chez elle. Privée du plus grand joyau, voire de son âme même, Saint-Nom-de-Jésus perdra la moitié de sa valeur et de son pouvoir d'attraction. Et comme l'archevêché de Montréal vient d'annoncer qu'il ne pourra assumer les travaux de réparation urgents d'un million dont a besoin Saint-Nom-de-Jésus, il ne lui restera qu'à vendre. Vous me direz que ce n'est pas la première fois qu'une église de Montréal est vendue en pièces détachées ou sacrifiée au dieu condo. C'est vrai à cette nuance que l'église Saint-Nom-de-Jésus est une des plus belles, sinon la plus belle église de Montréal. En matière de flamboyance, elle n'a rien à envier à la basilique Notre-Dame. Dilapider une telle oeuvre d'art est non seulement un péché mortel, c'est une honteuse aberration. Comme l'écrit Réjean Charbonneau de l'Atelier d'histoire d'Hochelaga-Maisonneuve, «nul besoin d'être catholique pour estimer que ce trésor patrimonial doit être protégé à tout prix.» À quoi j'ajouterais, protégé et sauvé. On ne peut évidemment pas comparer le démantèlement d'une église à un tremblement de terre, à un désastre naturel ou à une catastrophe humanitaire. Face aux calamités qui s'abattent sur les plus démunis du monde, les Québécois ont été d'une générosité exemplaire, n'hésitant jamais à donner pour venir en aide aux sinistrés d'Haïti, du Liban, du Chili et j'en passe. Les artistes québécois n'ont pas été en reste non plus avec leurs spectacles bénéfice si nombreux qu'ils sont presque devenus une industrie. Sauver la vie et les meubles des autres est noble, mais sauver ses propres meubles l'est aussi. Or à ce chapitre, notre feuille de route est loin d'être exemplaire. Nous avons regardé partir et mourir des pans entiers de notre patrimoine architectural sans verser une larme. Nous avons laissé des édifices, des sculptures et des statues pourrir et moisir sans que cela nous fasse un pli sur la différence. On ne peut pas tout sauver, tout sauvegarder. Il y a un tri à faire, des priorités à dégager et une hiérarchie de la conservation à établir. Or ces gestes-là n'ont toujours pas été faits par le gouvernement québécois qui attend sans doute que le ciel lui tombe sur la tête pour se doter d'une politique du patrimoine religieux. Et plus le gouvernement attend, plus il hypothèque l'avenir de ce patrimoine. L'église Saint-Nom-de-Jésus, je le répète, n'est pas qu'une simple église. C'est un trésor national qui doit être protégé et dont l'âme mérite mieux que d'être vendue à l'encan à Toronto. Nul besoin d'être catholique pour comprendre cela.
  16. Est-ce que quelqu'un est au courant de ce qu'il advient du chantier de l'échangeur de l'Île-des-soeurs ? Ce chantier est COMPLÈTEMENT désert depuis plusieurs mois... Et pourtout, il me semble loin d'être terminé.
  17. Par cette belle journée, je devais faire effectuer une petite révision sur mon rutilant bolide dans un garage dans l'est de la ville. Le tout prenant une heure, et vu que le voyage en transport en commun jusque dans un endroit intéressant serait plus long que cela, j'en ai profité pour visiter le quartier au pied de notre industrie pétrochimique. Voici mes quelques photos et commentaires: Aux alentours de la rue René-Levesque, nous retrouvons beaucoup de bungalows, le plus souvent mal entretenus. Un décors industriel en toile de fond est omniprésent: Quelques petites industries se mêlent aux habitations sur les rues résidentielles: En se dirigeant vers Sherbrooke, une voie ferrée et des panneaux d'avertissements bordent le côté gauche de la rue: Jolie vue de sa cours: À cet endroit, l'odeur n'est pas loin d'être insupportable, la gorge commence à piquer. On se demande pourquoi des gens voudraient vivre avec une telle puanteur en permanence, rongeant peu à peu leurs poumons. La pauvreté est assez marquée: Juste au de coin cette rue résidentielle, nous arrivons sur Sherbrooke, et ce sera l'heure du retour vers le garage: Et voilà, c'était ma petite visite dans ce quartier pas très touristique!
  18. Publié le 04 juillet 2009 à 09h53 | Mis à jour le 04 juillet 2009 à 09h54 Bienvenue à la... Montréal Nathalie Petrowski La Presse Revenir à Montréal après un voyage à l'étranger peut parfois causer un choc. Cette fois-ci, le choc était d'autant plus grand que nous arrivions d'Istanbul, ville des Mille et Une Nuits, dont la beauté incandescente nous avait laissés pantois et éblouis. Si Montréal n'a rien à envier à Barcelone, comme le disait si bien le ministre Raymond Bachand l'an dernier, autant dire que Montréal a tout à envier à Istanbul, une ville vibrante, moderne et cruellement sous-estimée. En même temps, Montréal n'est pas non plus entièrement dépourvu de charmes, surtout les soirs d'été où le Festival de jazz le transforme en ville festive et tropicale. C'est ce que je me disais tandis que l'avion survolait la ville avant de se poser sur la piste. C'était aussi l'avis de mon voisin, un jeune Français d'environ 30 ans qui venait expressément à Montréal pour le Festival de jazz. La perspective de passer la semaine à nager dans la grande piscine musicale du Festival réjouissait tellement ce grand blond, paysagiste de métier, qu'il a souri pendant tout le vol. Il a continué à sourire en descendant de l'avion. Mais arrivé aux douanes, là où une longue et sinueuse chaîne de cordons force les voyageurs à marcher à la queue leu leu comme des bovins qu'on mène à l'abattoir, son sourire radieux s'est mué en rire jaune. Au bout de 40 minutes de cet absurde manège sans doute imaginé par un fonctionnaire frustré de ne pas voyager, il ne riait plus. Nous non plus, à la différence qu'au lieu d'être un brin agacés comme notre jeune ami français, nous avions carrément honte de venir d'une ville où les visiteurs sont traités comme du bétail à leur descente d'avion au milieu d'un aéroport où les valises arrivent toujours avant leurs propriétaires. Heureusement, une belle ambiance régnait de l'autre côté des portes. S'il y a un endroit où mesurer l'impact touristique du Festival de jazz, c'est bien aux arrivées de l'aéroport. Et ce soir-là, l'achalandage, la fébrilité et le nombre de pancartes arborant le logo du festival étaient des indicateurs qui ne mentaient pas. Je venais de retrouver confiance dans Montréal. J'étais même heureuse d'être de retour en ville quand subitement, à la sortie du stationnement, mon regard s'est posé sur un panneau publicitaire. «Bienvenue à la Montréal» disait le panneau. J'ai répété à plusieurs reprises le slogan dans l'espoir d'en extirper un sens. En vain. De deux choses l'une: ou bien le rédacteur était un anglophone qui ne parlait pas français, ou bien un francophone inculte qui s'était trompé de jeu de mots. D'une manière comme de l'autre, ce message ne voulait rien dire sinon qu'à Montréal, ceux qui massacrent le français sont les bienvenus. Cent mètres plus loin, ma confiance déjà chancelante s'est définitivement abîmée contre un gros tas de gravats posé comme un champignon nucléaire à la sortie de l'aéroport. L'autoroute 20 fermée à la circulation n'était plus qu'un chantier hideux, inauguré trois jours plus tôt. Devant ce paysage en ruine, notre chauffeur de taxi a hoché la tête d'un air découragé. Ils n'auraient pas pu attendre la fin du Festival de jazz? a-t-il grommelé. En effet. Qu'est-ce qui empêchait le ministère des Transports d'attendre la fin du festival et le départ de la visite pour commencer à excaver à gogo? Rien, évidemment, sauf un peu de bonne volonté et la conscience que l'image d'une ville tient à une foule de petits détails comme ceux-là. Dans sa plus récente offensive, Tourisme Montréal rappelle l'importance de faire de Montréal une destination séduisante. C'est une riche idée, sauf que séduire un touriste avec une destination est une chose. Faire en sorte qu'il continue d'être séduit une fois arrivé à destination en est une autre. À Montréal, le jazz est toujours séduisant. Les enclos de bétail, les panneaux publicitaires débiles et les chantiers de démolition, un peu moins.
  19. Un mariage de 15milliards de dollars entre les deux plus grandes pétrolières canadiennes, Suncor et Petro-Canada, serait sur le point d'être annoncé, selon le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  20. Les négociations commencent lundi entre Chrysler et le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile. Chrysler a jusqu'au 31 mars pour conclure une entente afin d'être admissible au soutien financier des deux paliers de gouvernement. Pour en lire plus...
  21. Tandis que l'appel des propositions pour la réalisation du CHUM est sur le point d'être lancé, des économistes et des médecins remettent en cause le bien-fondé de la formule du PPP dans le contexte économique actuel. Pour en lire plus...
  22. Les autorités américaines et la direction de la Citigroup, l'une des plus grosses banques des États-Unis se sont entendues sur les termes d'une prise de possession de 40% de la banque par Washington. Pour en lire plus...
  23. Sur le point d'être largué par General Motors, le constructeur automobile suédois a déposé vendredi, devant un tribunal suédois, une demande de mise en redressement judiciaire pour éviter la faillite. Pour en lire plus...
  24. Le plan Obama menace 2000 emplois au Québec Publié le 02 février 2009 à 06h35 | Mis à jour à 06h37 Martin Croteau La Presse Le plan de relance économique de Barack Obama menace 2000 emplois au Québec, selon une coalition d'entreprises qui transforment l'acier. Le nouveau président américain a beau promettre de réviser la clause qui interdira l'importation de ce métal pour des travaux d'infrastructure, des dizaines d'entrepreneurs québécois craignent d'être frappés de plein fouet par cet élan protectionniste. Les exportations canadiennes d'acier vers les États-Unis valaient 11 milliards en 2007. Il n'y a pas d'aciérie au Québec, mais une soixantaine d'entreprises fabriquent des matériaux d'acier destinés à la construction, comme des poutres et des charpentes. Ces compagnies, qui emploient 6000 personnes, exportent chaque année pour environ 500 millions au sud de la frontière. Or, le plan de sauvetage avalisé mercredi par le Congrès menace directement l'industrie québécoise de l'acier. Les entreprises pourront continuer de vendre leurs produits à des clients privés, par exemple à un promoteur qui construit un hôtel à New York. Mais elles seront exclues des appels d'offres pour tous les projets d'infrastructures financés par le gouvernement, comme la construction d'hôpitaux ou la réfection d'aéroports. Les deux tiers des investissements de 820 milliards seront consacrés à ces travaux. Et en période de récession, peu d'entreprises privées ont les moyens de se lancer dans de vastes projets de construction. C'est pourquoi les sociétés québécoises dépendent des investissements publics comme jamais. «Ça va nous empêcher de soumissionner certains projets, ceux dans lesquels il y aura des fonds fédéraux», s'inquiète Jean-François Blouin, directeur général de Supermétal Structures. Cette entreprise, qui exploite des usines à Lévis et à Sherbrooke, a construit les charpentes métalliques de plusieurs bâtiments publics au Canada et aux États-Unis. Il y a trois ans, avant le boom pétrolier en Alberta, 80% de ses produits étaient vendus au sud de la frontière. Si le marché américain ferme ses portes, plusieurs des 500 travailleurs de Supermétal Structures pourraient se retrouver au chômage. «Ça pourrait signifier des pertes d'emplois, c'est bien évident», indique M. Blouin. Ottawa sollicité L'entreprise est loin d'être la seule à s'inquiéter, affirme Sylvie Boulanger, directrice de la section québécoise de l'Institut canadien de la construction en acier. Ce groupe presse le ministre du Commerce international, Stockwell Day, d'accentuer les efforts diplomatiques pour freiner l'élan protectionniste de l'administration Obama. «C'est sûr que le plan nous tue», dénonce Mme Boulanger. Elle estime que le tiers des 6000 travailleurs de l'acier québécois, peut-être davantage, perdront leur emploi si le plan est adopté dans sa mouture actuelle. L'une des seules entreprises québécoises qui pourrait profiter du plan de relance américain est le Groupe Canam. Près de la moitié des 12 usines de l'entreprise beauceronne sont situées aux États-Unis et pourraient donc éviter d'être pénalisées. Mais Canam exploite aussi deux établissements au Québec, dont les 850 emplois dépendent en grande partie des exportations vers la Nouvelle-Angleterre. «Si les Américains veulent mettent une barrière là-dessus, nos usines de Saint-Gédéon et de Boucherville vont devoir repenser leurs affaires», a indiqué à La Presse le président du Groupe Canam, Marc Dutil. Il promet toutefois de ne pas «fermer les lumières» de ses usines québécoises. «Ceux qui vont avoir un bras de levier sont ceux qui ont des usines des deux côtés de la frontière, reconnaît Sylvie Boulanger. C'est clair que, en tant que compagnies, elles vont devoir se réorganiser pour passer à travers. Mais qui va être pénalisé? Toute la partie canadienne.» Ballet diplomatique Le Sénat américain doit encore approuver le plan de relance avant qu'il soit mis en oeuvre. La Maison-Blanche a promis vendredi de revoir le projet pour s'assurer qu'il ne viole pas les ententes commerciales des États-Unis. Le premier ministre Stephen Harper avait exprimé son inquiétude, la veille, et affirmé que la montée du protectionnisme pourrait compromettre la reprise économique. Malgré tout, le soutien politique au plan reste fort, si l'on en croit l'entrevue qu'a accordée le vice-président Joe Biden au réseau CNBC, jeudi, dans laquelle il a déclaré: «Je pense qu'il est légitime qu'il y ait des clauses Buy American.»
  25. John Thain, qui a piloté la vente de Merrill Lynch, vient d'être évincé après la perte de 15,4 milliards US subie par Merrill Lynch. Pour en lire plus...
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