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  1. Je n'ai pas trouvé de thread pour ce projet de réno. LaPresse parle de ce projet aujourd'hui Publié le 08 mars 2014 à 09h08 | Mis à jour à 09h09 Conversion d'un monument historique en condos par Karsten Rump L'ordonnance de fermeture du chantier des Appartements Bishop Court, angle Bishop et De Maisonneuve, a pris effet à la fin février, mais elle vient tout juste d'être officiellement enregistrée au palais de justice de Montréal. PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE VINCENT LAROUCHE La Presse La Commission de la construction du Québec ordonne l'arrêt immédiat des travaux de conversion d'un monument historique de grande valeur au centre-ville de Montréal, après avoir constaté que l'ancien «roi des peep-shows» de la métropole tentait d'y aménager des logements en usant de procédés douteux. L'ordonnance de fermeture du chantier des Appartements Bishop Court, angle Bishop et De Maisonneuve, a pris effet à la fin février, mais elle vient tout juste d'être officiellement enregistrée au palais de justice de Montréal. Le bâtiment de style néo-Tudor, classé «monument historique» et «immeuble de valeur patrimoniale exceptionnelle» par le gouvernement du Québec, a été construit en 1904 par les architectes Saxe et Archibald. L'Université Concordia y a longtemps eu des bureaux, puis elle a vendu l'immeuble pour 3,2 millions de dollars en 2010. D'importantes rénovations ont été entreprises pour y aménager des logements de prestige. Après une série de mésaventures financières et de problèmes avec des entrepreneurs en construction qui disaient ne pas avoir été payés, le projet a atterri entre les mains de l'homme d'affaires Karsten Rumpf. Rumpf avait été baptisé «le Roi des peep-shows» par le magazine Affaires Plus au cours des années 1990, car il était le plus important propriétaire de cinémas XXX à Montréal et Hamilton. Aujourd'hui, son adresse correspond à une boîte postale de Nassau, aux Bahamas, et l'homme s'est recyclé dans la gestion d'un imposant parc immobilier. Son représentant à Montréal n'a pas répondu à nos appels hier. La Commission de la construction dit avoir inspecté le chantier des Appartements Bishop Court à plusieurs reprises. Ses inspecteurs étaient mal reçus et avaient du mal à pénétrer sur les lieux et y ont découvert des travailleurs sans cartes de compétence. Pire, les travaux n'étaient même pas supervisés par un entrepreneur accrédité en bonne et due forme, selon eux. «Ils ont aussi constaté des problèmes qui pouvaient porter atteinte à la sécurité à cause des installations électriques», raconte Simon-Pierre Pouliot, porte-parole de l'organisme. Le propriétaire devra maintenant convaincre la Commission qu'il a régularisé la situation avant de pouvoir reprendre les travaux.
  2. Pendant ce temps, au Québec et au Canada, on recule. Accord de l'UE pour réduire de 40% ses GES d'ici 2030 JEAN-LUC BARDET Publié le 23 octobre 2014 à 19h20 Les dirigeants européens ont trouvé un accord vendredi sur un plan climat ambitieux pour mettre l'Europe en position de leader mondial dans la lutte contre le réchauffement de la planète. L'Union européenne prévoit une réduction d'au moins 40% de ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 par rapport à 1990. «Accord! Au moins 40% de réduction d'ici 2030. Accord du Conseil européen sur une politique énergétique et de climat la plus ambitieuse au monde», a écrit le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, sur son compte Twitter. Les 28 chefs d'État et de gouvernement se sont aussi entendus sur deux autres objectifs: porter la part des énergies renouvelables à 27% de la consommation et faire 27% d'économies d'énergie, a précisé M. Van Rompuy. Le premier est contraignant, mais à l'échelle de l'UE, pas de chaque Etat membre, et le deuxième objectif ne l'est pas. Les Européens, poussés notamment par l'Espagne et le Portugal, ont aussi décidé d'augmenter les «interconnexions» entre réseaux électriques au sein de l'Union, à 15% d'ici 2030, a précisé M. Van Rompuy. «C'est une bonne nouvelle pour le climat, les citoyens, la santé et les négociations internationales sur le climat à Paris en 2015», a estimé M. Van Rompuy, assurant que cela créerait «des emplois durables» et de la «compétitivité». L'accord a été obtenu à l'issue de discussions ardues qui ont duré près de huit heures à Bruxelles. C'est «un accord très ambitieux pour la planète. L'Europe montre l'exemple», s'est réjoui le président français François Hollande, qui accueillera la conférence de Paris fin 2015. «S'il n'y a pas d'accord» entre Européens, «comment convaincre les Chinois ou les Américains ?», avait-il demandé à son arrivée au sommet. Mécanismes de soutien La question du partage du fardeau était centrale entre les pays pauvres, principalement de l'est de l'Europe, qui dépendent encore largement des énergies fossiles comme le charbon, et les plus riches qui s'appuient sur le nucléaire ou sont déjà bien engagés dans la transition énergétique. Les premiers, emmenés par la Pologne, ont obtenu un «paquet de compensations» pour les aider à moderniser leur système énergétique, a indiqué une source européenne. Des mécanismes de soutien vont être créés à partir du système des quotas européens d'émission de CO2, notamment un fonds alimenté par une petite partie (2%) des ventes de ces certificats. De leur côté, l'Espagne et le Portugal exigeaient de meilleures interconnexions avec les réseaux énergétiques européens, un sujet qui provoque des frictions depuis des années entre l'Espagne et la France. Les Espagnols attendent notamment des financements dans le plan d'investissements de 300 milliards d'euros que doit présenter d'ici la fin de l'année la nouvelle Commission Juncker. L'amélioration des interconnexions fait partie des outils pour accroître l'indépendance énergétique de l'UE, un enjeu rendu encore plus crucial par la crise en Ukraine et les menaces sur l'approvisionnement en gaz russe. Vendredi sera consacré à l'économie et aux moyens de doper la croissance, à quelques jours de l'entrée en fonction de la Commission Juncker, qui en a fait sa première priorité. La discussion, entamée à 28, sera suivie d'un mini-sommet de la zone euro qui pourrait être animé par le débat sur les règles budgétaires européennes, au moment où les projets de budget de la France et de l'Italie sont sur la sellette de la Commission. http://www.lapresse.ca/actualites/environnement/201410/23/01-4812075-accord-de-lue-pour-reduire-de-40-ses-ges-dici-2030.php
  3. Nom: Siège social de la Commission de la construction du Québec (CCQ) Hauteur: 8 étages/?? mètres Coût du projet: 62 000 000,00$ Promoteur: Commission de la construction du Québec Architecte: lemay associés Emplacement: 8475 Christophe-Colomb Début de construction: hiver 2009 Fin de construction: hiver 2011
  4. Pour promouvoir son offre de vols à destination du Québec pour cet hiver, la compagnie aérienne Air Transat s’invite dans 239 salles de cinéma à Paris du 2 novembre au 13 décembre 2011, en diffusant un spot publicitaire de 20 secondes vantant cette région, réalisé en collaboration avec la Commission canadienne du tourisme et le Ministère du tourisme du Québec. http://www.air-journal.fr/2011-11-04-air-transat-fait-sa-promo-dans-les-cinemas-538790.html
  5. Since everyone here loves Maclean's http://www2.macleans.ca/2010/10/14/the-good-bad-and-ugly/ What the hell is going on in BC? (and secondarily, Alberta, Red Deer? Seriously?!) I liked one of the comments:
  6. Un monorail pourrait réapparaître sur l'île Sainte-Hélène d'ici quelques années, comme au temps de l'Expo 67. Un projet estimé à 185 millions de dollars a été présenté jeudi dernier devant la Commission des finances du Conseil municipal et la Commission d'agglomération sur les finances, à l'Hôtel de Ville de Montréal. Le monorail circulerait sur une dizaine de kilomètres entre les principaux sites d'activités du parc Jean-Drapeau, de l'île Notre-Dame et la Place Bonaventure au centre-ville de Montréal. Ce moyen de transport est donc à l'étude, et recueille déjà des avis favorables. Le directeur général Christian Ouellet en a notamment parlé avec enthousiasme. La Société du parc Jean-Drapeau propose de réaliser plusieurs autres projets en prévision du 375e anniversaire de Montréal, en 2017. On annonçait également lundi matin la venue d'un nouveau président au conseil d'administration de la Société du parc Jean-Drapeau : Normand Legault. D'après un reportage de Benoît Chapdelaine http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/10/04/006-monorail.shtml J'aimerais bien voir ça un jour! Mais disons que j'aimerais mieux voir un SLR jusqu'à longueil avant!
  7. http://content.usatoday.com/communities/driveon/post/2010/07/new-york-cabbies-love-old-ford-crown-victoria-not-hybrids/1?csp=34
  8. Quebec vows to fight national securities plan RHEAL SEGUIN Globe and Mail Update September 18, 2008 at 4:11 PM EDT For the second consecutive day, the Quebec government waded into the federal election campaign against Conservative policies, lashing-out today at the Harper government's proposal to create a national securities commission. Quebec Finance Minister Monique Jérôme-Forget warned that in the event of a majority Conservative government in Ottawa bent on creating a national securities commission, all provinces and territories except Ontario will fight the decision right-up to the Supreme Court of Canada. The confrontation, she predicted, would disrupt markets and create havoc for investors. “The protection of investors is a provincial jurisdiction,” she said. “I suspect they (a Harper government) are going to come-up with legislation. They are going to implement such a securities commission. We are going to appeal. We're going to go as high as the Supreme Court. There's going to be disruption in the market.” The Minister added that Canada's financial leaders underestimate the impact if Ottawa moves to unilaterally impose changes without provincial consent. Ontario remained the only province to support the federal initiative. All the others propose to harmonize regulations through what they call a “passport” system, where companies can file a prospectus for approval in one province or territory and have it automatically accepted by all the others. There are currently 13 provincial and territorial securities commission. She predicts that a national securities commission will only create another layer of bureaucracy by adding a 14th commission, creating confusion for investors. “People won't know where to go. The market will want to know who's in charge. There will be a court challenge right up to the Supreme Court because the provinces argue is their jurisdiction,” Ms. Jérôme-Forget said. “Quebec isn't alone. You have British Columbia, Alberta, Manitoba, the Atlantic provinces. They are all on side.” Improvements to the current system are needed, she added, such as finding ways to accommodate restrictions imposed by the Charter of Rights and Freedoms. In the past, that has created obstacles for prosecutors who want to use confidential information held by regulator bodies in pursuing criminal cases such as fraud. “We don't want to change the Charter but we have to find ways to share the information,” she said. Backed by two international studies, the Minister argued that Canada's current securities regulations are among the best in the world and that there was no need to change the system. The comments came at the conclusion of a federal-provincial meeting of ministers responsible for their respective securities commissions. Her charge against the Harper government's intrusion in a provincial jurisdiction comes on the heels of severe criticism by Quebec this week against other Conservative policies. On Wednesday, Cultural and Communications Minister Christine St-Pierre scoffed at federal Heritage Minister Josée Verner's suggestion that if Quebec wanted more funding for culture it should use its own money. “We've increased budgets (for culture) by 25 per cent. We're already doing our share,” Ms. St-Pierre said in referring to the $45-million in federal cutback in programs including those aimed at promoting Canadian and Quebec culture abroad. The cutbacks sparked widespread criticism from Quebec's cultural community including world renowned theatre artist Robert Lepage, who said the Harper government was discouraging home grown artists from seeking prominence abroad by locking them into a “cultural prison.” Ms. Jérôme-Forget also challenged the Conservative party's claim that it has fixed the fiscal imbalance between Ottawa and the provinces, especially after signing a multi-billion agreement for infrastructure projects. “Obviously for me it's not enough. Post-education (money) for all provinces has not been settled. ” Ms Jérôme-Forget said. “There was a great move done by Mr. Harper….but for post secondary education there is still room to manoeuvre.” Despite mounting tensions over a growing number of issues, the Quebec government stopped short of calling Mr. Harper's vision of open federalism a failure. “The objective of federalism isn't to say: ‘If I don't get everything, I'll slam the door.' You have to build alliances and on occasion force your position and try to influence others. It's normal to have differences,” she said.
  9. Vers une seule commission canadienne... Mise à jour le lundi 12 janvier 2009 à 8 h 19 Les marchés financiers canadiens sont régis par 13 agences provinciales et territoriales, mais un seul organisme national pourrait bientôt prendre le relais. Selon le quotidien The Globe and Mail, des experts recommandent au ministre des Finances Jim Flaherty de créer une seule commission des valeurs mobilières au Canada. Tom Hockin, le président du Groupe d'experts sur la réglementation des valeurs mobilières, publiera et expliquera ses conclusions lundi après-midi, à Vancouver. Le Groupe d'experts a été mis sur pied par le ministre Flaherty il y a près d'un an. Le mandat des experts est de proposer des mesures pour améliorer la réglementation des valeurs mobilières au Canada. Au mois de novembre, le gouvernement minoritaire du conservateur Stephen Harper réaffirmait son intention de s'engager dans la voie d'une seule commission, tout en laissant aux provinces opposées au projet la possibilité de s'y soustraire. Le Québec et l'Alberta font partie des opposants tandis que l'Ontario défend depuis longtemps l'idée d'un organisme unique. Le Globe and Mail rapporte que les experts proposeront au ministre Flaherty de suggérer aux provinces d'adhérer volontairement à la nouvelle instance nationale. Si elles refusent, le ministre aura la possibilité d'offrir aux entreprises d'adhérer à la réglementation nationale. Le fédéral pourrait aussi contester devant les tribunaux l'entêtement des provinces à maintenir en force leur réglementation sur les valeurs mobilières. Les conclusions du Groupe risquent fort d'irriter certaines provinces qui tiennent à leurs pouvoirs en matière réglementaire. La ministre des Finances du Québec Monique Jérôme-Forget croit qu'en tentant d'enlever ce pouvoir aux provinces à la faveur d'une seule commission des valeurs mobilières au Canada, le gouvernement Harper remettrait en question le fédéralisme d'ouverture qu'il prône depuis son arrivée au pouvoir. Le premier ministre Stephen Harper a convoqué ses homologues des provinces et territoires à une rencontre le 16 janvier, à Ottawa. La réglementation des marchés financiers fait partie de l'ordre du jour des discussions, tout comme l'accélération des investissements en infrastructure, l'élimination des barrières au commerce interprovincial et le développement des communautés autochtones. Tom Hockin est un ancien ministre d'État aux Finances et ex-président de l'Institut des fonds d'investissement du Canada. Parmi les six autres membres du Groupe figure Denis Desautels, ancien vérificateur général du Canada.
  10. Publié le 16 juillet 2009 à 06h35 | Mis à jour à 06h37 Montréal serait affaibli La Presse Doris Juergens Que faut-il penser de la création d'une commission fédérale des valeurs mobilières? Jusqu'ici, le débat a surtout porté sur la bataille juridique que Québec s'apprête à livrer à Ottawa afin de contester la compétence de l'État central en matière de valeurs mobilières. Or, ce dossier comporte aussi un enjeu important pour Montréal, et c'est celui de l'avenir de son industrie des services professionnels reliés à ce secteur. Au cours des derniers mois, nous avons consulté un groupe de 25 gens d'affaires montréalais provenant de cabinets d'avocats, de firmes de comptables, de grandes entreprises et de regroupements d'affaires. Les répondants ont accepté de nous parler avec l'assurance que leur identité et leurs propos demeureraient confidentiels. Le sujet nous intéressait parce que nous offrons nous-mêmes des services-conseils en communication aux entreprises et organismes dans le secteur financier, y compris l'Autorité des marchés financiers. Informée de notre projet, cette dernière nous a exprimé son intérêt pour notre initiative et nous a procuré un soutien financier pour élargir la portée de cette recherche, que nous avons complétée en toute objectivité. Les résultats de cette recherche qualitative démontrent que la création d'une commission fédérale des valeurs mobilières affaiblirait encore davantage la place de Montréal comme centre financier. Pour Montréal, cela se traduirait par une diminution d'influence, une perte d'expertise, en plus de ternir son image. La majorité des personnes interrogées, surtout les avocats, se disent peu ou pas du tout favorables à la création d'une commission fédérale et craignent un affaiblissement des compétences professionnelles dans le secteur des valeurs mobilières à Montréal. On appréhende particulièrement une perte d'influence et un exode de cerveaux au bénéfice de Toronto, où l'on s'attend que sera établie la Commission fédérale. Nécessité non démontrée À peu près tous les intervenants, peu importe leur secteur, estiment que cette commission ne contribuera pas à mieux protéger les investisseurs. À ce sujet, tous déplorent le peu de succès du gouvernement fédéral en matière d'enquêtes criminelles liées aux valeurs mobilières. Les leaders interrogés sont très majoritairement d'avis que le système de passeport est suffisamment efficace et ne voient pas la nécessité de créer une commission fédérale. Ils croient même que cette question ne se poserait plus si l'Ontario acceptait d'adhérer au système de passeport. De plus, ils ne sont pas convaincus que les bénéfices annoncés se réaliseront et ils estiment que le gouvernement fédéral n'a pas fait la preuve de la nécessité d'un tel organisme. Parmi les répondants, les grands émetteurs sont presque les seuls à être plus favorables à la création d'une commission fédérale, dans l'espoir d'une plus grande efficacité. Beaucoup appréhendent aussi la disparition de la proximité avec l'organisme et le fait de ne plus voir les expertises et les spécificités locales reflétées au sein d'une commission fédérale. Ces expertises - et donc des professionnels hautement qualifiés - migreraient vers la commission fédérale, privant ainsi les régions de leur savoir-faire. Les répondants estiment également que les PME québécoises seraient affectées. On voit difficilement comment les petits émetteurs trouveraient leur compte avec une commission fédérale à Toronto. La question de la langue a été soulevée par plusieurs intervenants qui s'inquiètent du glissement vers l'anglais et de la perte éventuelle d'une expertise chez les professionnels capables de travailler dans les deux langues. Mais certains font valoir qu'un organisme fédéral aura des obligations liées à la Loi sur les langues officielles que n'ont pas les organismes provinciaux. Actuellement, seuls les « prospectus « d'un émetteur qui vise le marché du Québec doivent être traduits en français. Il nous intéressait de savoir comment les autres firmes de services et les entreprises voyaient l'instauration d'une commission fédérale des valeurs mobilières. Nous savons maintenant que certains pensent que c'est une bataille que Montréal devrait livrer, car il en va de l'avenir de l'industrie des services reliés aux valeurs mobilières au Québec. Plusieurs avocats croient qu'il s'agit d'une juridiction partagée entre les deux paliers de gouvernement et, étant donné l'issue incertaine d'une démarche en Cour suprême, ils pensent que Québec devrait négocier avec le fédéral pour préserver le maximum d'acquis pour Montréal. L'auteure est associée et directrice de la recherche au Cabinet de relations publiques NATIONAL
  11. Québec va contester le projet de commission unique des valeurs mobilières Publié le 08 juillet 2009 à 11h36 | Mis à jour à 13h05 Martin Vallières La Presse (Montréal) «Le système actuel fonctionne. Le Québec entend affirmer sa compétence en matière de valeurs mobilières et c'est pas vrai qu'on va laisser migrer ça à Toronto», a indiqué le ministre des finances du Québec, Raymond Bachand, en conférence de presse, ce matin a Montréal. Le 6 février dernier, le gouvernement du Canada avait présenté à la Chambre des communes le projet de loi C-10 portant sur la création d'une commission pancanadienne. Le projet a été adopté le 12 mars. Le gouvernement québécois affirme n'avoir d'autre choix que de prendre la voie de la contestation judiciaire et d'obtenir l'opinion de la Cour d'appel sur ces questions constitutionnelles. À son avis, le projet fédéral met en péril la compétence législative et les instances administratives du Québec. Le gouvernement québécois pense, d'autre part, que la crise financière a récemment démontré que, contrairement à ce qu'affirme le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, la réglementation des valeurs mobilières s'avère plus efficace lorsqu'elle est effectuée par des organismes non centralisés. Good move Québec, fight them up !
  12. Valeurs mobilières: Ottawa prépare une commission nationale Publié le 22 juin 2009 à 16h09 | Mis à jour le 22 juin 2009 à 18h33 La Presse Canadienne Ottawa Le gouvernement fédéral a fait un pas de plus vers la création d'un organisme national de réglementation des marchés financiers en annonçant lundi la mise sur pied d'un bureau de transition dont le mandat sera de coordonner le projet avec les provinces et avec l'industrie. Ce bureau sera présidé par l'ancien président de la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique, Doug Hyndman. Il sera secondé par le Torontois Bryan Davies, qui occupe depuis 2006 le poste de président du conseil de la Société d'assurance-dépôt du Canada. Le ministre des Finances Jim Flaherty a assuré que l'adhésion au futur organisme de réglementation serait volontaire et que le Québec - qui s'y est toujours opposé - pourrait choisir de rester à l'écart. Il ne perd cependant pas espoir de voir un jour la Belle Province rentrer dans le rang. «Nous ne claquons la porte au nez de personne. Je rêve du jour où nous aurons un organisme de régulation vraiment national», a-t-il insisté lors d'un point de presse à Ottawa. Pour le ministre, la création d'une commission nationale contribuera à la consolidation de l'État canadien. Il a toutefois insisté lundi pour dire qu'il faudrait respecter les expertises et les spécificités régionales tout au long du processus. Le gouvernement du Québec n'a cependant pas semblé rassuré par ces propos. Le grand argentier de la province, Raymond Bachand, craint que le projet de régulateur national crée de l'incertitude sur les marchés à un bien mauvais moment. «La dernière chose dont on a besoin c'est un débat de structures. Moi j'ai besoin que mes autorités de valeurs mobilières et les commissions des autres provinces concentrent 100 pour cent de leur énergie sur la réglementation, la surveillance des marchés et faciliter la reprise économique», a-t-il martelé. Le ministre Bachand a ajouté que, s'il le fallait, Québec pourrait se tourner vers les tribunaux pour faire valoir son point de vue et défendre son Autorité des marchés financiers. L'annonce de Jim Flaherty n'a pas non plus été bien accueillie par les partis d'opposition à Ottawa. Pour le Bloc québécois et le Nouveau Parti démocratique, la création du bureau est une manoeuvre de plus pour faire pression sur les «provinces récalcitrantes». «C'est de la provocation», a résumé le leader parlementaire du Bloc québécois, Pierre Paquette, en entrevue à La Presse Canadienne. «On n'est pas dupes du tout. Le caractère volontaire, c'est tout simplement pour s'assurer d'isoler le Québec et d'éventuellement le forcer à intégrer cette commission-là», a-t-il ajouté. De son côté, le chef-adjoint du Nouveau Parti démocratique, Thomas Mulcair, reproche à Ottawa d'empiéter encore une fois dans un champ de compétence exclusive des provinces. Les deux hommes se sont par ailleurs dits «outrés» que le ministre Flaherty ait attendu que les travaux parlementaires soient suspendus pour faire son annonce. «Il n'a même pas eu le courage de soulever le débat pendant que la Chambre siégeait encore. Il a attendu le premier jour où la Chambre ne siège plus», a souligné M. Mulcair, qui est le seul député néo-démocrate du Québec. Le projet d'un organisme national est cher aux yeux des conservateurs et particulièrement du ministre Flaherty, qui en a fait l'une de ses priorités depuis son arrivée en poste en 2006. L'industrie des services financiers, très largement basée à Toronto, en a aussi fait l'un de ses chevaux de bataille depuis quelques années. Les libéraux, qui ont longtemps été favorables à l'idée d'un organisme pancanadien de régulation des marchés, ont récemment indiqué qu'ils avaient désormais des doutes et qu'ils préféreraient demander à la Cour suprême de se pencher sur la constitutionnalité du projet avant de se prononcer. Actuellement, chaque province et territoire est responsable du commerce des valeurs mobilières à l'intérieur de ses frontières. Plus de 85 pour cent des inscriptions et des transactions réglementées sont toutefois sous la juridiction de la Commission des valeurs mobilières de l'Ontario.
  13. California Cities Face Bankruptcy Curbs By BOBBY WHITE MAY 28, 2009 As California seeks more funds from its cash-strapped cities and counties to close a $21 billion budget deficit, some state legislators are pushing a plan that could compound municipalities' pain by making it tougher for them to file for bankruptcy. The bill would require a California municipality seeking Chapter 9 bankruptcy protection to first obtain approval from a state commission. That contrasts with the state's current bankruptcy process, which allows municipalities to speedily declare bankruptcy without any state oversight so that they can quickly restructure their finances. The bill, introduced in January, has passed one committee vote and could reach a final vote by mid-July. The bill was sparked by the bankruptcy filing last year of Vallejo, Calif., just north of San Francisco. Vallejo's city leaders partly blamed work contracts with police and firefighters for pushing the city into bankruptcy, and won permission from a bankruptcy court in March to scrap its contract with the firefighters' union. That spurred the California Professional Firefighters to push for statewide legislation to curtail bankruptcy, said Carroll Willis, the group's communications director. "What we don't want is for cities to use bankruptcy as a negotiating tactic rather than a legit response to fiscal issues," he said, adding that he worries cities may work in concert to rid themselves of union contracts by declaring bankruptcy. If the bill passes, it could hurt cities and counties by lengthening the time before they can declare bankruptcy. That creates a legal limbo during which a municipality is more vulnerable to creditors. The proposed state bankruptcy commission would be staffed by four state legislators, which some critics worry could politicize the bankruptcy process. "This bill is impractical," said John Moorlach, a supervisor in Orange County, Calif., which filed for bankruptcy in 1994. "In many instances, haste is important. If you can't meet payroll but have to delay seeking protection, what do you do?" California towns and counties face a catalog of troubles. Earlier this month, voters rejected five budget measures, sending the state deficit to $21 billion. To overcome the gap, Gov. Arnold Schwarzenegger has proposed borrowing $2 billion from municipalities, using a 2004 state law that lets California demand loans of 8% of property-tax revenue from cities, counties and special districts. But that proposal lands as California municipalities are already facing steep declines in tax revenue because of the recession. Dozens are staring at huge deficits, including Pacific Grove and Stockton, which have publicly said they are exploring bankruptcy. Assemblyman Tony Mendoza, a Democrat who introduced the bankruptcy bill, said the initiative is needed to protect the credit rating of California and its ability to borrow and sell bonds. Mr. Mendoza added that he wants to avoid bankruptcy's repercussions on surrounding communities by offering a system that examines all of a municipality's options before filing for bankruptcy. "Municipalities should have a checks and balance system in place based on the fact that all economies are interconnected," he said. Dwight Stenbakken, deputy executive director for the California League of Cities, a nonprofit representing more than 400 cities, said the group is lobbying against the bill because "there's nothing a state commission can bring to the process to make this better." Write to Bobby White at bobby.white@wsj.com
  14. More Quebecers see immigrants as threat: poll By Marian Scott, The GazetteMay 22, 2009 6:59 Protesters demonstrate outside Palais des congrès during the Bouchard-Taylor hearings on reasonable accommodation in November 2007. Protesters demonstrate outside Palais des congrès during the Bouchard-Taylor hearings on reasonable accommodation in November 2007. Photograph by: John Kenney, Gazette file photo One year after a provincial report on the accommodation of cultural minorities, a majority of Quebecers still say newcomers should give up their cultural traditions and become more like everybody else, according to a new poll. Quebecers’ attitudes toward immigrants have hardened slightly since 2007, when the Bouchard-Taylor commission started hearings across Quebec on the “reasonable accommodation” of cultural communities. The survey by Léger Marketing for the Association for Canadian Studies found that 40 per cent of francophones view non-Christian immigrants as a threat to Quebec society, compared with 32 per cent in 2007. Thirty-two per cent of non-francophones said non-Christian immigrants threaten Quebec society, compared with 34 per cent in 2007. “If you look at opinions at the start of the Bouchard-Taylor commission and 18 months later, basically, they haven’t changed,” said Jack Jedwab, executive director of the non-profit research institute. “If the hearings were designed to change attitudes, that has not occurred,” he added. Headed by sociologist Gérard Bouchard and philosopher Charles Taylor, the $3.7-million commission held hearings across Quebec on how far society should go to accommodate religious and cultural minorities. It received 900 briefs and heard from 3,423 participants in 22 regional forums. Its report, made public one year ago Friday, made 37 recommendations, including abolishing prayers at municipal council meetings; increasing funding for community organizations that work with immigrants and initiatives to promote tolerance; providing language interpreters in health care; encouraging employers to allow time off for religious holidays; studying how to hire more minorities in the public service; and attracting immigrants to remote regions. Rachad Antonius, a professor of sociology at the Université du Québec à Montréal, said it’s no surprise the commission failed to change Quebecers’ attitudes toward minorities. “Focusing on cultural differences is the wrong approach,” Antonius said. Cultural communities need to achieve economic equality by having access to education, social services and job opportunities, he said. “If there is greater economic integration, that is what is going to change things,” he said. The poll reveals persistent differences between younger and older Quebecers and between francophones and non-francophones on cultural and religious diversity. For example, 56 per cent of respondents age 18 to 24 said Muslim girls should be allowed to wear hijabs in public schools, while only 30 per cent of those 55 and over approved of head scarves in school. Sixty-three per cent of non-francophones said head scarves should be permitted in school compared with 32 per cent of French-speaking respondents. Only 25 per cent of francophones said Quebec society should try harder to accept minority groups’ customs and traditions while 74 per cent of non-francophones said it should make more of an effort to do so. The poll also found Quebecers split on an ethics and religion course introduced last year in schools across the province. A coalition of parents and Loyola High School, a private Catholic institution, are challenging the nondenominational course, which they say infringes parents’ rights to instill religious values in their children. Half of francophones said the course was a good thing while 78 per cent of non-francophones gave it a thumbs up. When asked their opinion of different religious groups, 88 per cent of French-speakers viewed Catholics favourably, 60 per cent viewed Jews favourably – down 12 percentage points from 2007 – and 40 per cent had a favourable opinion of Muslims (compared with 57 per cent in 2007). Among non-francophones, 92 per cent viewed Catholics with favour, 77 per cent had a positive opinion of Jews and 65 a good opinion of Muslims. A national poll published this month by Maclean’s Magazine also revealed that many Canadians are biased against religious minorities, particularly in Quebec. The survey by Angus Reid Strategies reported that 68 per cent of Quebecers view Islam negatively while 52 per cent of Canadians as a whole have a low opinion of the religion. It found that 36 per cent of Quebecers view Judaism unfavourably, compared with 59 per cent of Ontarians. The Léger Marketing survey of 1,003 Quebecers was conducted by online questionnaire May 13-16. Results are considered accurate within 3.9 percentage points, 19 times out of 20. mascot@thegazette.canwest.com © Copyright © The Montreal Gazette
  15. États-Unis - Pourquoi la crise? AFP Édition du mercredi 06 mai 2009 Washington -- La Chambre des représentants se penche aujourd'hui sur la création d'une commission d'enquête sur les déboires économiques Les sénateurs ont déjà approuvé la création d'une commission parlementaire pour examiner les causes de la crise économique. La Chambre des représentants américaine devrait approuver aujourd'hui un projet de loi visant à créer une commission d'enquête indépendante pour examiner les causes de la crise économique, sur le modèle de celle instaurée après les attentats du 11 septembre 2001. Après le Sénat fin avril, la Chambre se prononcera sur le projet aujourd'hui, a-t-on appris hier au bureau du représentant républicain Darrell Issa, qui a introduit le texte à la chambre basse. Le texte devrait être soutenu par de nombreux parlementaires de tous bords. La présidente démocrate de la Chambre, Nancy Pelosi, a déjà fait part de son soutien. «Alors que le Congrès et l'administration s'emploient à répondre à la crise financière, il est judicieux de mettre en place une commission indépendante pour savoir ce qui a échoué et pourquoi», écrit M. Issa dans un communiqué. Le projet prévoit que la commission indépendante sera composée de 10 membres choisis parmi des «citoyens ayant une expérience dans les domaines de la banque, la régulation des marchés, la fiscalité, la finance et le logement». Les témoins qu'elle fera citer ne pourront pas s'y soustraire, aucun parlementaire ni membre de l'administration ne pourra y siéger et elle devra rendre sa copie au président et au Congrès le 15 décembre 2010. «Le but de cette commission n'est pas de désigner des coupables, mais plutôt d'identifier les erreurs de façon à ce que les efforts pour faire redémarrer l'économie et éviter une nouvelle crise ne soient pas vains», précise M. Issa. Le Sénat avait approuvé le texte le 22 avril sous la forme d'un amendement à une loi contre la fraude dans le système financier. Les sénateurs ont également approuvé le même jour la création d'une commission parlementaire ayant une mission semblable. L'idée a été lancée par le républicain John McCain, candidat malheureux à la présidentielle de novembre, et son collègue démocrate Byron Dorgan. Interrogé sur cette commission, le chef de la majorité démocrate de la chambre basse, Steny Hoyer, a répondu hier qu'elle servirait à «voir comment [la crise] s'est déroulée, pourquoi et quelles sont les démarches que nous devons entreprendre pour éviter que cela ne recommence». «Je pense qu'il y un consensus sur cette commission même si tout n'a pas été finalisé», a-t-il ajouté.
  16. Publié le 05 mai 2009 à 00h13 | Mis à jour à 00h17 Québec doit mettre Montréal en tutelle, estime Louise O'Sullivan Catherine Handfield La Presse Louise O'Sullivan, ancienne conseillère municipale et candidate à la mairie de Montréal, a demandé à Québec lundi de mettre en tutelle l'administration du maire Gérald Tremblay jusqu'aux élections du 1er novembre. «Vous n'avez d'autres alternatives que d'imposer la tutelle (...) et de mandater la Commission municipale du Québec pour superviser dorénavant toutes les décisions du comité exécutif et des divers arrondissements», a écrit Mme O'Sullivan dans une lettre adressée à la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau. Louise O'Sullivan, qui a quitté l'équipe du maire Tremblay en 2005 et qui a fondé son propre parti ce printemps, demande également de convoquer Gérald Tremblay et ses lieutenants à une commission parlementaire pour faire la lumière sur les controverses qui ont ébranlé la Ville ces derniers mois. «Devant la tournure de plus en plus malsaine que prend chaque jour la saga des scandales entourant l'administration de la Ville de Montréal, je me vois dans l'obligation de vos réécrire pour vous demander d'agir de façon urgente et sévère pour rétablir le climat de confiance envers les actions de nos élus municipaux», écrit-elle. L'ex-conseillère estime que le chef de l'opposition officielle, Benoît Labonté, et le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, ont failli à leur tâche. «Tous les élus ont voté en faveur de projets douteux de l'administration sortante et ce n'est qu'après le travail d'enquête de certains journalistes, particulièrement du quotidien La Presse, que l'opposition a commencé à poser des questions», poursuit-elle. Au cours des derniers mois, les médias ont mis au jour les séjours de l'ancien président du comité exécutif de Montréal, Frank Zampino, sur le yacht de l'homme d'affaires Tony Accurso, alors que la Ville s'apprêtait à octroyer le contrat des compteurs d'eau. Un autre controverse entoure la gestion du projet Contrecoeur par la SHDM, un dossier qui a incité le vérificateur général à recommander la tenue d'une enquête policière.
  17. Le discours de l'ancien patron de la Caisse, Henri-Paul Rousseau, n'a pas répondu à toutes les questions selon le Parti québécois, qui réclame toujours la tenue d'une commission parlementaire. Pour en lire plus...
  18. Québec maintient être en faveur d'une commission de deux jours pour étudier la gestion de la Caisse. Le PQ exige que sa mission soit aussi à l'ordre du jour et que la ministre des Finances vienne témoigner. Pour en lire plus...
  19. La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, annonce qu'il n'y aura pas de commission parlementaire sur les pertes de 40 milliards de dollars à la Caisse de dépôt et placement du Québec. Le Parti québécois juge cette décision irresponsable. Pour en lire plus...
  20. André Pratte La Presse Des voix se sont élevées contre la décision de la Commission des champs de bataille nationaux de souligner le 250e anniversaire de la bataille des Plaines d'Abraham. Des députés péquistes et notre collègue Lysiane Gagnon (dans La Presse d'hier) soutiennent qu'on n'a pas à célébrer la défaite des Français. Le «Réseau de résistance du Québécois» a sommé la Commission d'abandonner son projet de «répugnante opération de propagande fédéraliste». Rien dans le programme annoncé par l'organisme fédéral ne laisse penser qu'il s'agit de fêter la victoire de Wolfe. Le calendrier met l'accent sur des activités de nature politiquement neutre et pédagogique. Cela étant, faudrait-il passer sous silence cet anniversaire, alors même qu'on déplore la piètre connaissance qu'ont les Québécois de leur histoire? Ces protestations sont inspirées par un fantasme, l'illusion selon laquelle si Montcalm avait gagné, le Canada serait nécessairement devenu un pays indépendant et français. Rien n'est moins sûr. Comme l'ont souligné nombre d'historiens, la défaite de Montcalm est davantage la conséquence de l'affaiblissement de la présence française en Amérique que sa cause. À l'époque de la Conquête, la population de l'Amérique anglaise est 20 fois plus importante que celle de l'Amérique française. Le destin en a déjà décidé: l'Amérique du Nord sera essentiellement anglaise. Le refus de commémorer la bataille des Plaines est également révélateur du déni de notre héritage britannique. Cet héritage fait pourtant partie intégrante de ce que sont les Québécois d'aujourd'hui. Notre culture, nos institutions, notre économie portent la marque de la coexistence de nos deux peuples. Refuser de l'admettre, c'est occulter ce que nous sommes au profit d'un mythe, au profit d'une cause. S'il fallait ranger au grenier de l'histoire tout ce qui nous rappelle la Conquête, on fermerait le parc des Champs-de-Bataille et y érigerait des condos; on raserait les Fortifications; personne ne voudrait reconstruire le Manège militaire de Québec; on changerait tous les noms de lieux à consonance anglaise ; on expulserait les anglophones du Québec. On ne s'étonne pas de voir des indépendantistes provoquer un scandale avec une broutille, ils soufflent sur la voile de leur option. Cependant, il est désolant d'entendre le premier ministre Charest se dissocier de l'initiative de la Commission et s'écraser encore une fois devant le discours souverainiste. Lui, Jean Charest, qui a longtemps rêvé d'être premier ministre du Canada; lui dont la mère était d'origine irlandaise; lui dont une partie significative de l'électorat est anglophone. Quelle faiblesse! Il a fallu un député adéquiste, Éric Caire, pour faire la part des choses, à l'instar de tous ces Québécois francophones qui ont suffisamment confiance en eux pour ne pas grimper dans les rideaux à chaque mention de Wolfe ou de McCartney. La bataille des Plaines d'Abraham, a dit le député de La Peltrie, «fait partie de notre histoire, de notre identité. Il faut vraiment avoir une mentalité de colonisés pour se sentir attaqués par ça». Lors d'une cérémonie à l'occasion du 60e anniversaire du débarquement de Normandie, le président français, Jacques Chirac, déclarait au chancelier allemand Helmut Kohl, qui était à ses côtés pour l'occasion: «Il n'est pas de conflit, fût-il douloureux et profond, qui ne puisse un jour laisser place au dialogue et à l'entente.» Si la France et l'Allemagne peuvent commémorer côte à côte les événements marquants de la Seconde Guerre mondiale, comment expliquer que les Québécois de diverses origines et opinions ne puissent faire de même pour leur histoire commune? http://www.cyberpresse.ca/opinions/editorialistes/andre-pratte/200901/24/01-820655-la-bataille-des-plaines.php
  21. Le premier ministre du Québec et sa ministre des Finances misent sur la commission parlementaire pour comprendre l'important écart de rendement entre la CDPQ et les autres fonds de retraite canadiens. Pour en lire plus...
  22. La commission des Finances du Sénat donne le feu vert à sa nomination malgré des critiques sur ses erreurs fiscales. Pour en lire plus...
  23. La Commission européenne a envoyé une «lettre de grief» à Microsoft pour lui signifier ses soupçons d'un abus de position dominante dans l'intégration systématique d'Internet Explorer à Windows. Pour en lire plus...
  24. La ministre Monique Jérôme-Forget a réitéré mardi son opposition à l'établissement d'une commission pancanadienne des valeurs mobilières proposé la veille par un groupe de travail. Pour en lire plus...
  25. Les deux provinces pourraient demander à la Cour suprême du Canada de trancher au sujet de la création, par le gouvernement Harper, d'une commission pancanadienne des valeurs mobilières. Pour en lire plus...
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