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  1. Enfin! J'avais peut qu'on n'y réfléchisse pas : un plan de réaménagement de l'Avenue des Canadiens-de-Montréal. Aucune idée si c'est ce projet qui sera complété, mais au moins, c'est une excellente nouvelle. Le dévoilement éventuel du PPU Quartier des Gares nous en dire beaucoup plus. Sur LemayLab : Vers l'EST : Vers l'OUEST : Vers l'EST, entre l'Avenue et la TDC : Vers l'OUEST, entre l'Avenue et la TDC :
  2. Happy to see Montreal back in the 2016 top 25 cities ranking by Monocle, one of my favorite magazines. Montreal is back at number 25. Unfortunately the magazine is not online so you will have to pick it up at a bookstore! https://skift.com/2016/06/22/monocles-new-quality-of-life-top-25-cities-survey-tokyo-is-tops-again/ A few takeaways from the Montreal description: Pros: SLR Cons: "Lack of diversity" Other Montreal mentions in this latest issue: Alexandraplatz and Quartier Marconi
  3. je sais pas s'il y a déjà un thread la dessus, je l'ai pas trouver (désolé s'il y en a un déjà) je trouve que c'est u nbeau projet pour Rosemont et un bel exemple de ce qui peut être fait sur une staion de métro http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/arr_ros_fr/media/documents/ateliers_document.pdf
  4. 28/06/2016 Mise à jour : 28 juin 2016 | 17:39 http://journalmetro.com/local/hochelaga-maisonneuve/actualites/986540/des-artistes-pour-transformer-sainte-catherine-est/ Des artistes pour transformer Sainte-Catherine Est Par Catherine Paquette TC Media Collaboration spéciale Le projet Quartier en art embellit déjà quelques vitrines de la rue Sainte-Catherine Est. La rue Sainte-Catherine Est connaîtra bientôt un vent de renouveau avec l’arrivée d’artistes et artisans dans ses locaux vacants, promet la société de développement commercial (SDC) Hochelaga-Maisonneuve. L’organisme vient de se voir accorder un financement de 90 000$ pour le projet «Sainte-Catherine, rue des artistes et des artisans», sélectionné dans le cadre du programme PRAM-Est de la Ville de Montréal. Un total de 157 631 $ partagé entre la ville-centre, la SDC et d’autres partenaires sera investi dans la réalisation de projets qui inciteront des artistes à y installer leur atelier ou leur boutique, dans le secteur de la SDC allant de l’avenue Bourbonnière à la rue Viau. L’embauche d’une personne ressource permettra de faire le lien entre les propriétaires et les artistes, et des concours d’entreprenariat encourageront certains à s’y lancer en affaires. «Il y a déjà des ateliers boutiques sur la rue Sainte-Catherine, mais on veut renforcir cette identité. Il commence déjà à avoir une clientèle pour ces produits-là», explique le directeur de la SDC Jimmy Vigneux. Le projet surfera en effet sur la vague de nouveaux arrivants dans le secteur : les Ateliers Créatifs, dont les locaux ouvriront cet été, amèneront une centaine de créateurs dans les locaux du 3890-3910, rue Sainte-Catherine. La présence d’ateliers-boutiques comme Electrik kidz, Bigarade et Gabardine et de la galerie Gham et Dafe marquent également la volonté des artistes de s’installer dans le secteur. Le projet répond au besoin d’améliorer «l’image» de la rue Sainte-Catherine. Le montant octroyé par la Ville s’ajoute aux nombreux efforts de relance de l’artère, dont le tronçon entre Pie-IX et la rue Moreau fait l’objet d’une démarche de revitalisation urbaine intégrée (RUI) de la Table de quartier Hochelaga-Maisonneuve depuis 2012. Le projet s’arrimera par ailleurs avec les efforts de la table, qui vise le recrutement d’artisans depuis plusieurs mois, après des consultations menées auprès de la population du secteur. Secteur défavorisé Parsemée de graffitis et de locaux vacants, au nombre de 46, la rue Sainte-Catherine a l’avantage d’être beaucoup moins coûteuse pour les locataires. La moyenne des loyers s’élève à 10$ le pied carré, soir la moitié moins des montants exigés sur la rue Ontario, fait savoir le directeur. «C’est un type de commerce viable sur Sainte-Catherine, puisque 100% de leur chiffre d’affaires ne se fait pas nécessairement sur la rue. Comme l’achalandage n’y est pas si élevé que sur Ontario, on considère que c’est un bon filon», affirme-t-il. Le directeur souhaite offrir à des artistes d’occuper des locaux vacants gratuitement de manière temporaire, afin d’attirer de possibles locataires. Le projet vise aussi à améliorer l’aspect des vitrines en travaillant en collaboration avec Un quartier en art, projet qui vise à afficher des œuvres d’artistes locaux dans les locaux vacants. «Il faut établir que c’est rue artistique, on veut que les artistes puissent s’exprimer sur la rue», ajoute savoir le directeur.
  5. J'ai copié le texte de l'article, mais il y a beaucoup de photos dans le lien, allez-voir le lien si ça vous intéresse! C'est moins pertinent sans les photos. C'est le genre d'intervention citoyenne qui donne une vraie personnalité à des quartiers, j'adore ça. Les rues Mentana et Waverly valent le détour si vous êtes dans le coin (Mile-End/Nord du Plateau). Pas nécessairement besoin de grands événements ou de subventions de nos gouvernements pour créer de vrais corridors d'art (même si c'est bienvenu), il faut juste des artistes impliqués dans leur quartier. Il y a aussi un terrain vague aménagé en champ d'œuvres à la sortie ouest du viaduc Van Horne, par l'artiste Glen LeMesurier, qui mérite qu'on s'y attarde. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985512/un-quartier-soude-par-lart/ Plateau-Mont-Royal: Un quartier soudé par l’art Par Josie Desmarais Texte et photos En vous baladant dans les rues du Plateau, avez-vous déjà remarqué des œuvres d’art disposées devant des résidences privées? Métro vous propose une excursion dans ce quartier foisonnant d’artistes. Waverly Dans cette rue du Mile-End, on trouve plus d’une dizaine d’œuvres sises dans les cours avant des maisons. C’est le soudeur-sculpteur Glen LeMesurier qui est derrière ces installations, qui intriguent et égaient les passants. L’artiste s’inspire des lieux et de l’architecture pour créer ses pièces, faites de morceaux de métal recyclés. Son projet artistique, Bloom (fleurir), s’étale depuis trois ans dans le quadrilatère formé par les rues Van Horne, Saint-Urbain, Fairmount et Parc. C’est l’artiste lui-même qui propose ses œuvres aux propriétaires, qui peuvent les garder aussi longtemps qu’ils le désirent ou même les acheter. C’est ce qu’a fait Richard Ryan, conseiller de Projet Montréal. «Glen marque le territoire. C’est un quartier ouvert à l’art, et les gens embarquent facilement». Une des plus récentes œuvres de Glen LeMesurier a été installée devant les bureaux d’un acuponcteur. La pièce, discrète, évoque une colonne vertébrale surmontée d’une fleur. Mentana Des résidants de la rue Mentana affichent pour leur part des sculptures de bois devant chez eux. Elles sont l’œuvre de Jacques Huet, un artiste-menuisier qui habitait la rue. À l’instar de Glen LeMesurier, il a demandé à ses voisins s’il pouvait installer ses œuvres de bois devant leurs demeures. En 2008, Jacques Huet commence un corridor d’art en disposant 13 œuvres rue Mentana. Il meurt le printemps suivant, mais les installations restent en place tout l’été. On peut présentement en observer cinq, les autres étant entreposées ou en processus de restauration. Satellite diffuseur de l’art dans l’espace a été restaurée l’été dernier par la fille de M. Huet, Christiane Dinelle. «Depuis, des voisins m’ont demandé : “En as-tu une de trop?” Alors j’en ai placé trois autres.» On peut les admirer entre les rues Mont-Royal et Gilford. Une sculpture de Glen LeMesurier a été ajouté samedi dernier sur la rue de l’Esplanade. Voyez son installation ici: (voir le vidéo dans le lien)
  6. LE NEZ COLLÉ SUR LES CHANTIERS… Édition du 5 juin 2016, FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE On a le nez collé sur les grilles de chantier depuis, quoi ? Le tournant du millénaire ? Ça fait une quinzaine d’années qu’on se plaint du barda et du bordel, qu’on se désole des cônes et du trafic, qu’on peste contre les détours et la poussière. Il y a tellement de chantiers à Montréal qu’à la seconde où l’un disparaît, on en trouve 10 autres contre lesquels se plaindre, se désoler, pester… Du coup, on ne voit que ça. Et on perd de vue une chose toute bête : chaque chantier est un projet en devenir. Fou de même ! Chaque chantier qui nous a dérangés depuis 2000 est devenu une construction, un édifice, un gratte-ciel, un équipement sportif, une bibliothèque, une infrastructure nouvelle, un aménagement urbain, une piste cyclable… On se croit encore à l’ère de l’immobilisme, alors que la cadence des chantiers nous prouve très exactement le contraire. Comme si on voyait le verre au tiers vide plutôt qu’aux deux tiers plein. On voit les pancartes « À louer », mais pas les artères qui ont réussi à s’adapter à la nouvelle réalité. Comme si Masson, Beaubien et Fleury étaient dans notre angle mort. On se désole du taux de chômage, sans voir l’attrait qu’a retrouvé la métropole auprès des jeunes, des familles et des travailleurs de la nouvelle économie. Comme si le Mile End, Griffintown et le Quartier des spectacles n’existaient pas. On remarque tous les détours, mais pas l’incroyable dynamisme qui se cache derrière : le CHUM, Bonaventure, Turcot, Champlain. Comme si on tenait pour acquis ce qui se fait… dès que ça se fait. Prenez l’exemple des gratte-ciel. Pendant 22 longues années, aucune tour ne s’est construite au centre-ville. Aucune. Zéro. Nada. On a érigé la magnifique Tour IBM Marathon en 1992, puis… plus rien jusqu’en 2014 ! Or, avez-vous entendu beaucoup de monde se féliciter de cette renaissance du centre-ville, devenu l’un des plus habités du continent ? Pas moi. Mais des critiques contre les chantiers, par contre… *** Vous me trouvez jovialiste ? Je m’en doutais. Je suis donc retourné lire les textes que j’ai signés il y a un peu plus de 15 ans, quand j’étais journaliste municipal, pour voir si, comme de fait, le Montréal d’aujourd’hui est bien mieux que le Montréal d’alors. Pas sorcier, j’ai eu l’impression de lire un journal vieux de 100 ans ! Rappelez-vous cette époque où le 11 septembre était une date comme une autre. Les Expos perdaient au Stade. L’énigmatique Pierre Bourque était maire. La démocratie municipale était une abstraction. Et les fusions municipales étaient l’unique projet d’avenir… Montréal, on l’oublie, était alors un champ de ruines. J’exagère à peine. Le centre-ville avait l’air bombardé, et pas à cause des nids-de-poule, parce qu’il y avait un nombre incroyable de terrains vagues et de stationnements sauvages. Il y avait tellement d’espaces vides, en fait, qu’on pensait construire sans problème un stade de baseball en plein quartier des affaires ! À côté, on espérait le Quartier international sans même s’imaginer qu’une aussi belle réussite était possible. L’idée d’un Quartier des spectacles n’existait pas, une poignée de fous se contentait de rêver à un « Quartier des théâtres ». Juste au nord, telle une forteresse de béton, l’horrible échangeur routier au coin des avenues du Parc et des Pins bloquait la vue et l’accès au mont Royal, qui n’était d’ailleurs toujours pas protégé. Au contraire, même… Pas de Grande Bibliothèque pour rapiécer le Quartier latin, à l’est. Pas d’agrandissement du Palais des congrès, ni de recouvrement d’autoroute. Et pas de CHUM non plus, qu’on prévoyait plutôt construire en plein quartier résidentiel, dans la Petite-Patrie. Oui, oui. Au sud du centre-ville, guère mieux… Le Vieux-Montréal était à ce point abandonné que le gouvernement avait mis sur pied un programme généreux en subventions pour attirer des hôtels. À un jet de pierre, le Vieux-Port se cherchait. Il n’y avait pas encore de Centre des sciences. Pas de condos dans les entrepôts frigorifiques. Pas de véritable vision, en fait, sinon celle de permettre aux promoteurs de faire n’importe quoi, n’importe où. Un aquarium Ripley’s ? Une maison de l’OSM sur le quai Bickerdike ? Un « technodôme » à la Disney World ? Ou, tant qu’à y être, le siège social de l’ONU ? Autant d’idées qui ont été détaillées et même présentées. Oui, oui… Vers l’ouest, la Cité du multimédia venait tout juste d’être annoncée. Pas aménagée, juste annoncée, comme un autre de ces projets auxquels on ne croit pas tant qu’on ne le voit pas. On réfléchissait à une cité du commerce électronique un peu plus loin. On envisageait d’aménager des cinémas dans l’ancien Forum vide. Et le quartier Griffintown ? Aussi inconnu que son nom. Oui, oui. *** Pour apprécier le chemin parcouru, c’est bien connu, il faut se rappeler d’où on part. D’une ville morose, donc, où le problème était justement l’absence de chantiers. Bien sûr, tout ne s’est pas métamorphosé comme par magie. On n’a pas réussi à tout faire ce qu’on aurait dû faire. Et bien des projets ont été abandonnés (la « modernisation » de la rue Notre-Dame Est), balayés (le prolongement de la ligne jaune, des deux côtés) ou se sont enrayés (le rond-point Dorval, dont on parlait déjà en 2000). N’empêche que Montréal est aujourd’hui une ville autrement plus dynamique que la métropole qu’elle était, malgré son incapacité à améliorer la mobilité. C’est une ville que je préfère nettement à sa version d’il y a 15 ans, malgré ses cônes orange. C’est un milieu de vie infiniment plus grouillant qu’au tournant du millénaire, malgré ses défauts, ses laideurs et ses errements. On peut bien rouspéter en empruntant tous ces détours continuellement, mais prenons quelques minutes lorsque nous sommes coincés dans le trafic pour rêver à ce qui s’en vient. Cet échangeur Turcot qui s’annonce plus fluide et ancré dans les quartiers qu’il traverse. Ce CHUM noir autrement plus réussi que son pendant anglophone. Cette autoroute Bonaventure qui disparaîtra au profit d’une majestueuse entrée de ville. Et ce futur pont Champlain, avec ses haubans élancés, à la fois sobre et élégant. Donc oui, quand on se regarde, quand on s’attarde à tout ce qui va tout croche aujourd’hui, on se désole. Mais quand on se compare, quand on regarde le chemin parcouru et celui qui s’en vient, on se console. À condition, bien sûr, de se décoller le nez des grilles de chantier. http://plus.lapresse.ca/screens/df6be48e-9f7e-48a7-b08b-6487909e4368%7C_0.html
  7. http://journalmetro.com/plus/vacances/972394/chasse-aux-fantomes-a-griffintown/ 31/05/2016 Mise à jour : 31 mai 2016 | 23:20 Chasse aux fantômes à Griffintown Par Dominique Cambron-Goulet Métro Des vestiges de l’église Sainte-Anne sont encore bien visibles aujourd’hui. Chantal Levesque/Métro Il n’y a pas que les châteaux d’Écosse qui sont remplis de fantômes. Certains lieux de la métropole recèlent des histoires à faire peur, et il est possible de les découvrir grâce aux visites guidées de Montréal hanté. Aperçu de la visite du Griffintown hanté. Histoire du quartier Le premier arrêt de cette tournée du Griffintown hanté est un terrain abandonné de la rue Barré. «C’est ici que j’explique l’histoire de Griffintown, précise Donovan King, fondateur de Montréal Hanté. Durant la famine de 1847, Griffintown est devenu le bidonville le plus célèbre du Canada parce que 75 000 réfugiés irlandais y sont débarqués, alors que le quartier ne comptait auparavant que 50 000 citoyens.» Peu après, une épidémie de typhus a ravagé Griffintown, et de nombreuses fosses communes y ont été creusées. Héritage irlandais Ces Irlandais ont amené bien des traditions avec eux. «Lors des funérailles, il n’était pas rare que les corps soient exposés debout et que les gens festoient ou même dansent avec le cadavre, explique M. King près des vestiges de l’église Sainte-Anne, dans le parc du Faubourg-Sainte-Anne. Il y a trois ans, un homme qui magasinait un condo a vu un prêtre fantôme se matérialiser ici, ainsi qu’un cercueil avec un chœur d’enfants.» Écrasement meurtrier Une tragédie méconnue est survenue à Montréal en 1944, quand un bombardier qui avait décollé à Dorval s’est écrasé dans Griffintown, tuant les 5 membres d’équipage et 10 personnes au sol, et détruisant triplex. «Des gens disent qu’il s’agit d’un sabotage. En effet, un enfant a trouvé une pièce d’or sur le site de l’écrasement, et on sait que les joyaux de la Couronne étaient gardés dans l’édifice de la Sun Life durant la Deuxième Guerre mondiale», raconte Donovan King. Il n’a toutefois jamais été prouvé que les joyaux se trouvaient à bord du bombardier. La prostituée sans tête Un arrêt au coin des rues William et Murray, le lieu que hanterait le fantôme de Mary Gallagher, est le clou de la visite. «Le 27 juin 1879, Mary Gallagher, une prostituée de 38 ans, a été massacrée par sa meilleure amie, Suzy Kennedy, raconte Robusquet, comédien qui sert de guide pour le parcours en français. Tous les sept ans depuis 1879, des gens voient son fantôme décapité errer ici. Apparemment, elle chercherait sa tête.» Sa dernière apparition date de 2012. Oserez-vous aller vous promener à cette intersection en 2019? Infos Les comédiens-guides de Montréal hanté offrent depuis quelques années des visites des lieux hantés de Montréal en anglais. À partir du 3 juin, des excursions en français auront lieu les vendredis à 20 h, et ce, jusqu’au 7 octobre. Les visites du Griffintown hanté et du mont Royal hanté sont offertes en alternance.
  8. http://journalmetro.com/local/rosemont-la-petite-patrie/actualites/969345/un-nouveau-pub-ludique-dans-rosemont/ 25/05/2016 Mise à jour : 25 mai 2016 | 17:16 Un nouveau pub ludique dans Rosemont Par Hugo Jolion-David TC Media Collaboration spéciale - Andréanne Lupien Le nouveau rendez-vous de tous les passionnés de jeux dans Rosemont Les amoureux des soirées jeux de société sauront désormais où aller dans Rosemont avec la récente ouverture du Randolph pub ludique de Rosemont au 6505 rue des Ecores, coin Beaubien Est. C’est le deuxième pub de la lignée Randolph après celui de la rue Saint-Denis dans le quartier latin, ouvert en juillet 2012. Le concept montréalais a été créé par quatre passionnés de jeux : le comédien Normand D’Amour et ses trois associés, Justin Bazogue, Joël Gagnon et Benoît Gascon. Selon les créateurs, l’idée était de mettre en avant l’innovation dans le domaine des jeux contemporains en offrant un espace de rencontre où des animateurs proposent des jeux en fonction de la motivation et des préférences des clients. Face à l’extrême motivation de ces derniers, le pub a rapidement été victime de son succès : « Depuis deux ans le Randoph du quartier latin a une file d’attente de deux heures tous les vendredis et samedis. Il était grand temps d’ouvrir une nouvelle succursale pour satisfaire la demande » raconte Normand D’Amour. Et quel autre endroit que Rosemont pour développer le concept : « Rosemont, c’est mon quartier. Je suis né ici. C’est le plus beau et le meilleur quartier du monde. Et en plus, des quatre lieux visités, c’était le plus adéquat » explique-t-il dans un sourire. Dans un très vaste espace lumineux et décoré sous la thématique des jeux de société, le pub peut accueillir 209 personnes, du mercredi au dimanche, autour de plus de 500 jeux tels que les Aventuriers du rail, Scotland Yard ou encore Au feu!.
  9. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  10. via la Voix Pop 15/01/2016 Mise à jour : 15 janvier 2016 | 13:06 Projet de 135 condos sur la rue Saint-Rémi Par André Desroches TC Media L'immeuble résidentiel de quatre étages serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l'on trouve présentement un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. André Desroches / TC Media Un projet résidentiel comptant 135 unités d’habitation, essentiellement des copropriétés et quelques logements sociaux, pourrait voir le jour sur la rue Saint-Rémi dans le quartier Saint-Henri. L’immeuble serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l’on trouve un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. Selon ce qu’a appris TC Media, il inclurait 14 logements sociaux et 14 logements abordables. Il s’agirait d’un bâtiment de quatre étages. Le règlement d’urbanisme de l’arrondissement du Sud-Ouest prévoit pour ce secteur des immeubles de 2 à 3 étages. Le projet, qui déroge à cette norme, pourrait faire l’objet d’un projet particulier de construction. La table de concertation Solidarité Saint-Henri a organisé deux rencontres en décembre et janvier pour présenter le projet aux résidents qui demeurent dans le Village des tanneries, là où le bâtiment serait érigé. Le Village des tanneries, cette petite enclave située à l’extrémité ouest de Saint-Henri, est délimité par les rues Cazelais, Saint-Rémi et Desnoyers et la voie ferrée. Opposition du POPIR Bien qu’il ne s’agisse pour le moment que d’une proposition préliminaire, le promoteur n’ayant déposé aucun projet formel à l’arrondissement, le POPIR-Comité Logement affiche d’emblée son opposition. «Notre mandat, c’est zéro condo», déclare Fred Burrill, organisateur communautaire au POPIR. C’est un non catégorique même si le projet prévoit l’inclusion de logements sociaux. «Nous ne sommes pas pour la construction de logements sociaux à n’importe quel prix», souligne M. Burrill. Selon le POPIR, ce type de développement résidentiel ne répond pas aux besoins des locataires de Saint-Henri, dont le revenu médian est de 25 395$. «Nous voulons le plus possible que le quartier demeure un quartier populaire», insiste Fred Burrill pour qui la multiplication de projets de condos ne fait qu’accélérer l’embourgeoisement du quartier. «Nous n’avons pas encore de position», indique pour sa part Shannon Franssen, coordonnatrice de Solidarité Saint-Henri. Le Comité aménagement de la table de concertation doit se réunir au début de février pour faire le point dans ce dossier.
  11. Nom: 1215 Square Phillips Hauteur: ~40 étages, possiblement - Coût du projet: Promoteur: Canderel Architecte: Emplacement: zone orangée sur la quatrième image Début de construction: Fin de construction: Site internet: *PROJET ANNULÉ* Canderel a annulé ce projet et l'a mis en vente pour se concentrer plutôt sur son projet de tour à bureaux dans le Quartier des Spectacles et aussi sur un projet résidentiel inconnu au moment de l'annulation.
  12. La ville a annoncé via le PPU du Quartier des Gares la construction d'une coopérative d'habitation au coin nord-est de l'intersection des rues Notre-Dame et de la Cathédrale.
  13. Les Affaires CONNEXION | INSCRIPTION BLOGUES ACCUEIL > BLOGUES > JULIEN BRAULT image INTELLIGENCE ARTIFICIELLE JULIEN BRAULT Neoshop, une boutique venue d'Europe, veut vous vendre des produits technos québécois Publié à 13:05 Lancée à Laval (en France) en 2013, Neoshop a aidé 70 start-ups françaises à commercialiser leurs produits. La première boutique Neoshop hors France devrait ouvrir ses portes à Montréal en septembre prochain. Exploitée par le Quartier de l’innovation, la boutique aura pour mission de supporter les start-ups québécoises en leur permettant de tester leur produit plus rapidement auprès des consommateurs. L’emplacement de la première incarnation de la boutique n’a pas été déterminé, si ce n’est qu’elle aura pignon sur rue à l’intérieur de la zone dont se réclame le Quartier de l’innovation. À terme, toutefois, Neoshop devrait déménager dans l’ancien Planétarium Dow, qu’on est en train de rénover. Lancée à Laval (en France) en 2013 par l’organisme de développement économique Laval Mayenne technopole, Neoshop a aidé 70 start-ups françaises à commercialiser leurs produits. Après avoir ouvert une boutique éphémère à Paris en décembre, l’organisme veut maintenant exporter son concept. Selon Gabrielle Langlois, directrice des opérations du Quartier de l’innovation, l’organisme est en négociation avec des partenaires dans une douzaine de villes européennes, qui sont intéressés à ouvrir des boutiques Neoshop. La boutique Neoshop à Montréal devrait ainsi offrir des produits de start-ups européennes, mais réserver la plupart de ses tablettes aux produits locaux. En contrepartie, cette affiliation européenne pourrait permettre à des start-ups québécoises d’introduire leurs gadgets en Europe. Validation de produits innovateurs Les vendeurs de Neoshop recevront une formation qui leur permettra de donner de la rétroaction aux entrepreneurs, pour qui Neoshop servira de terrain d’essai dans le monde du détail. Si certains d’entre eux choisiront sans doute de retourner à la planche à dessin, les autres se verront offrir des services d’accompagnement à la commercialisation par Neoshop. Alors que la France ne manque pas de start-ups à l’origine de produits physiques, c’est moins le cas au Québec, où Neoshop pourrait avoir du mal à garnir ses tablettes. Lorsque je lui ai demandé si elle considère un vêtement de bébé en chanvre comme un produit de start-up, Gabrielle Langlois m’a assuré que non. «Ça peut être low tech, mais il faut qu’il y ait de l’innovation dans le produit; on ne veut pas être un deuxième Salon des métiers d’art.» sent via Tapatalk
  14. Excellent reportage sur l'histoire des résidents de Milton-Park contre le projet Cité Concordia http://www.tou.tv/tout-le-monde-en-parlait/S01E09 http://www.imtl.org/montreal.php?vsearch=1&expo=MILTON&m=Milton-Parc%20ghettho%20McGill
  15. Ce projet est situé dans le quartier Mercier-Ouest au 5655 rue Pierre-de-Coubertin, Montréal. Photos : Construction Vergo
  16. LUMINOTHÉRAPIE AU QUARTIER DES SPECTACLES 15.10.2013 // Le Partenariat du Quartier des Spectacles a dévoilé les deux lauréats de la quatrième édition du concours Luminothérapie. Ces œuvres agrémenteront les déambulations des visiteurs et des Montréalais dans le Quartier des Spectacles du 11 décembre 2013 au 2 février 2014. La place des Festivals sera mise en valeur par l’installation métaphorique Entre les rangs, conçue par l’équipe multidisciplinaire menée par la firme d’architecture KANVA. En parallèle, les huit façades du Quartier des Spectacles qui servent de support tout au long de l’année à différentes projections de vidéos artistiques seront animées pendant la durée de l’évènement Luminothérapie par les vidéoprojections ludiques Trouve Bob du collectif CHAMPAGNE CLUB SANDWICH. LAURÉAT - ANIMATION DES ESPACES PUBLICS: KANVA EN COLLABORATION AVEC UDO DESIGN, CÔTÉ JARDIN, BORIS DEMPSEY ET PIERRE FOURNIER http://mtlunescodesign.com/fr/projet/2013-Animation-des-espaces-publics
  17. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=24767&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques La Ville de Montréal veut créer une seule zone touristique où les établissements commerciaux pourront être ouverts 24 heures par jour 16 avril 2015 Montréal, le 16 avril 2015 - Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, a annoncé hier que la Ville de Montréal avait fait connaître au gouvernement du Québec sa demande afin qu'il autorise, pour une période de cinq ans, l'établissement à Montréal d'une zone touristique unique. Cette zone permettrait aux établissements commerciaux concernés de pouvoir exercer leurs activités en dehors des heures et des journées prévues par la Loi sur les heures et les jours d'admission dans les établissements commerciaux. La nouvelle zone touristique comprendrait les secteurs du centre-ville, de l'île Notre-Dame (secteur du Casino de Montréal), du Vieux-Montréal et du Quartier chinois, les territoires des sociétés de développement commercial du Quartier Latin et du Village, ainsi que du Quartier des spectacles. Les établissements situés au centre-ville et sur les territoires des sociétés de développement commercial du Quartier Latin et du Village, ainsi que du Quartier des spectacles, auraient tous la possibilité de rester ouverts 24 heures par jour, tous les jours de la semaine, comme c'est le cas actuellement dans les secteurs de l'île Notre-Dame (secteur du Casino de Montréal), du Vieux-Montréal et du Quartier chinois. « Nous sommes persuadés qu'une telle mesure aura un impact important sur l'activité économique à Montréal. Elle permettra d'offrir une meilleure offre commerciale à la fois à une clientèle de jour et de nuit qui est très présente sur un territoire où sont concentrés plusieurs attraits et de nombreuses activités », a déclaré le maire de Montréal. L'autorisation actuelle consentie par le ministère de l'Économie, de l'Innovation et des Exportations du Québec est d'une durée maximale de cinq ans et vient à échéance le 24 mai prochain. Le statut touristique actuel de la zone centre-ville ne s'applique que les samedis et les dimanches de 17 h à 20 h. sent via Tapatalk
  18. Une passerelle «grandiose» à l’entrée du pont Jacques-Cartier? Une passerelle «grandiose» pourrait remédier au problème de sécurité des piétons à l’entrée du pont Jacques-Cartier qui fait rager les citoyens du quartier Sainte-Marie dans le centre-sud. La firme d’architectes Rayside Labossière propose à l’arrondissement de Ville-Marie d’y aménager cette structure de type «parc linéaire», dont Métro a obtenu copie des plans. Cette passerelle – passant juste au-dessus de la sculpture florale «L’homme qui plantait des arbres» – relierait tous les coins du parc des Vétérans et du parc des Faubourgs ainsi que toutes les rues adjacentes évitant ainsi aux piétons et aux cyclistes de faire des détours rebutants ou de s’aventurer sur les voies dangereuses. La conseillère du district, Valérie Plante, espère que les plans de la firme seront considérés par les hautes instances. Mme Plante connaît bien ce quadrilatère entre les rues Ontario, Papineau, Sainte-Catherine et de Lorimier autour du métro Papineau; ces rues qui encerclent les bretelles d’accès au pont Jacques-Cartier. Résidente de ce quartier, elle voit chaque jour des piétons et des cyclistes «s’aventurer» dans ce secteur dont les bretelles d’accès au pont traversent et divisent les deux parcs (voir plan). Tout autour, des écoles, une épicerie, une entrée de métro; des essentiels qui obligent les citoyens du secteur à traverser ces voies que Mme Plante qualifie de «véritables entrées d’autoroute». La conseillère et ses citoyens s’inquiètent pour la sécurité des passants qui traversent ces voies rapides où les voitures prennent leur vitesse de croisière pour accéder au pont. «Il y a des piétons qui traversent [les bretelles d’accès] n’importe comment, il y en a que c’est cellulaire à la main, d’autres qui zigzaguent à travers le flux de voitures. Traverser ici, c’est n’importe quoi», a affirmé d’emblée Mme Plante à Métro. C’est que malgré la présence de quelques traverses piétonnes (point 1 et 2 sur le plan), les piétons qui partent d’un peu partout à travers le quartier et qui convergent pour la plupart vers le métro choisissent plus souvent de traverser aux endroits non-adaptés pour éviter les détours. «Toute la population qui vient de la rue Sherbrooke et du Plateau descendent par les rues Cartier et Dorion, donne en exemple Antonin Labossière, résidant du quartier et architecte chez Rayside Labossière. C’est normal, ils ne veulent pas faire le détour pour aller prendre la lumière destinée aux piétons sur la rue Papineau (point 2), puis traverser à nouveau la deuxième (point 1) pour revenir prendre la rue Cartier et aller vers le métro», dit celui qui avoue être parmi les «piétons aventuriers». Résultat: plusieurs traversent ainsi les bretelles d’accès à 4 voies (point 3), là où il n’y a aucune installation assurant la sécurité des piétons. «La seule solution que la Ville a trouvée, à court terme, c’est qu’elle compte mettre une clôture (au point 3), mais les gens vont la traverser quand même. S’il y a autant de gens qui traversent à cet endroit, c’est peut-être qu’il y a un problème», note Mme Plante. Même les passages pour piétons (points 1 et 2) inquiètent la conseillère municipale, alors que la brigadière, les piétons, les poussettes et les cyclistes aguerris doivent se partager le petit espace asphalté en attendant la lumière verte. «Quand la lumière devient rouge, les voitures ne la voient pas tout de suite. La brigadière a peur pour sa vie. Elle me disait que quand la lumière change, elle ne s’engage pas tout de suite sur la voie», alerte la conseillère. La présence policière aux heures de pointe dans ce secteur, qui a pour but de calmer la vitesse des voitures et la fougue des piétons, n’aurait donc que peu d’impact, selon elle. «C’est un quartier sectionné, qui semble être rapiécé. Ce secteur, on l’appelle la cicatrice», déplore la conseillère. L’idée d’une passerelle pour recréer un lien entre le parc des Vétérans et le parc des Faubourgs, désenclaver la portion sud et la portion nord du secteur et corriger le problème de sécurité est ressortie des discussions des citoyens il y a maintenant quelques années. «Ça avait été nommé par plusieurs résidants, ça revient souvent dans les consultations publiques où les gens ont l’impression que la situation actuellement est plus un irritant qu’un avantage», indique Antonin Labossière. «Dès que je suis entrée en mandat, et même avant, on me parlait de cet endroit et l’idée de la passerelle m’a été suggérée à quelques reprises», ajoute Mme Plante. Après une demande de la conseillère Plante, la firme d’architectes Rayside Labossière, qui s’implique au sein de plusieurs tables de quartier, lui est revenue à l’automne avec ce plan proposant leur idée de cette passerelle (voir photo). Avec ces plans en main, Mme Plante espère maintenant que la proposition fasse son bout de chemin. Et même si une telle structure pourrait être dispendieuse, elle estime que la Ville a des «marges de manœuvre, avec ses surplus budgétaires» et qu’une telle idée «qui allie vie montréalaise, sécurité et projet d’envergure» en vaut la réflexion. Une structure «grandiose» Et tant qu’à y construire une structure pour améliorer la sécurité du quadrilatère, tous s’entendent pour dire qu’il faut miser gros sur la beauté de l’objet. «Il y a moyen de faire une passerelle et que ça ne ressemble pas à une passerelle laide et moche que personne ne va monter; faire quelque chose de super beau qui devient presque un symbole d’entrée de Montréal», fait valoir l’architecte Antonin Labossière. «Il faut quelque chose de grandiose qui marque les automobilistes qui entrent dans la Ville par le pont, poursuit la conseillère Valérie Plante. Et pour les piétons, c’est aussi une façon de se réapproprier notre vue sur le pont Jacques-Cartier qu’on ne voit que très peu», ajoute-t-elle, espérant que la passerelle devienne également un endroit où les citoyens pourront flâner. http://journalmetro.com/actualites/montreal/802109/une-idee-de-passerelle-grandiose-a-lentree-du-pont-jacques-cartier/#
  19. Visionnez ici la présentation du projet Un projet « vert » en harmonie avec le milieu : Début des travaux d'aménagement de l'antenne ferroviaire Longue-Pointe en piste multifonctionnelle 4 juillet 2014 Montréal, le 4 juillet 2014 – Le maire de l'arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve et responsable du développement durable, de l'environnement, des grands parcs et des espaces verts au comité exécutif de la Ville de Montréal, M. Réal Ménard, en présence de ses collègues élu-es de l'arrondissement et de M. Aref Salem, responsable du transport au comité exécutif de la Ville de Montréal, a annoncé ce matin, en conférence de presse, le début des travaux d'aménagement de l'antenne ferroviaire Longue-Pointe, localisée dans le district de Maisonneuve–Longue-Pointe, en piste multifonctionnelle de 0,5 km, qui se déploie d'est en ouest, de la rue Viau à l'avenue Bennett et entre les rues de Rouen (nord) et Ontario (sud). « Je suis fier d'annoncer le début des travaux de l'antenne ferroviaire Longue-Pointe qui, à la suite de consultations publiques tenues en 2012 dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, répond maintenant aux attentes du milieu. Cette piste multifonctionnelle sera un aménagement vert, récréatif et sécuritaire qui embellira le quartier tout en améliorant la qualité de vie des résidents. Il y aura plantation de 78 arbres d'espèces variées ainsi que 941 arbustes et de nombreuses vivaces. De plus, les eaux de pluie seront captées et un système d'éclairage moins énergivore sera installé », a souligné le maire de l'arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, M. Réal Ménard. Le projet de réaménagement de l'antenne ferroviaire Longue-Pointe en piste multifonctionnelle La Ville de Montréal a signé un bail à long terme de 60 ans avec le ministère des Transports, actuel propriétaire de cette partie de l'ancienne emprise ferroviaire, afin d'aménager entre autres cette piste multifonctionnelle. Les travaux d'aménagement de 3,2 M$ sont financés par la Ville et l'agglomération de Montréal. Ils débuteront en août 2014 pour se poursuivre pendant une période de 13 à 15 semaines. Une étape de plus dans la mise en place du Quartier vert Maisonneuve Le responsable du transport au comité exécutif de la Ville de Montréal, M. Aref Salem, a déclaré : « Ce projet s'inscrit dans l'optique de l'établissement du Quartier vert Maisonneuve, dont le cœur est le marché Maisonneuve, à proximité de la rue Notre-Dame. Le projet du quartier vert vise ainsi à apaiser la circulation et à améliorer la sécurité par la réduction des vitesses et de la circulation de transit. L'implantation d'une piste multifonctionnelle dans cette ancienne emprise ferroviaire sera un jalon de plus dans la mise en place d'un corridor cycliste est-ouest dans l'axe de la rue Souligny. » Un projet attendu dans Hochelaga-Maisonneuve Selon la conseillère du district de Maisonneuve–Longue-Pointe, Mme Laurence Lavigne Lalonde : « C'est grâce à la participation de nos citoyens et citoyennes ainsi qu'à nos partenaires que ce projet d'aménagement s'est précisé. Cette piste multifonctionnelle, inscrite dans ce quartier densément peuplé, présente également un important lieu de socialisation avec son jardin communautaire, sa place publique et son aire de jeu pour les enfants. De plus, le développement résidentiel récent du secteur s'est fait en harmonie avec ce projet. » Source : Arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve
  20. http://blogue.onf.ca/blogue/2015/05/21/montreal-dhier-aujourdhui-films-onf/ Montréal de 1940 à aujourd’hui à travers les films de l’ONF Films Documentaire | 21 mai 2015 par Emilie Nguyen Des années 1940 à aujourd’hui, la ville de Montréal a fait l’objet de nombreux films de l’ONF. En fouillant dans la collection, force est de constater que la cité aux cent clochers a été la muse de plusieurs cinéastes, tels que Jacques Giraldeau, Jacques Leduc, Hubert Aquin, Luc Bourdon et Michel Brault. Chacun à leur manière, ils nous ont donné à voir la ville dans un style cinématographique propre à leur démarche et à leur époque. Objectif-Expo-67-tv-big Image tirée du film Objectif 67 En raison de mon obsession pour l’ordre et la chronologie, j’ai rassemblé quelques-uns de ces titres de manière à pouvoir suivre l’évolution de la ville à travers les décennies. Une occasion de replonger dans le Montréal des années 1940 et d’entreprendre une balade au parc Lafontaine sur une musique bucolique; d’être aux premières loges pour admirer les chars allégoriques du défilé de la Saint-Jean-Baptiste en 1959; de prendre le mini-rail pour revivre en couleur les heures merveilleuses de l’Expo 67; de revisiter le quartier Griffintown et les commerces du boulevard Saint-Laurent dans les années 1970; de contempler Montréal sous toutes ses coutures dans les années 1990, et de terminer le voyage par une flânerie interactive sur le Mont-Royal en compagnie de l’écrivain Dany Laferrière. Bon voyage temporel! 1940 La cité de Notre-Dame (1942) Avec ce documentaire passionnant, redécouvrez la ville de Montréal en 1942…et en couleur! Entrez dans le quotidien fourmillant de la métropole avant les gratte-ciel et les autoroutes. Déambulez parmi ses églises, ses vieux marchés, ses galeries d’art, ses universités, son aéroport, ses gares de triage et son port, guidé par une charmante narration. La Cité de Notre-Dame par Vincent Paquette, Office national du film du Canada Au parc Lafontaine (1947) Dans ce court métrage, voyez comment les Montréalais profitaient des beautés du Parc Lafontaine dans les années 1940. À l’époque où les ours noirs, les renards, les chats sauvages et les oiseaux de proie cohabitaient gaiement; où les enfants s’amusaient sous l’oeil attendri des parents, des amoureux, des promeneurs. On y rencontre des gens de tous les âges, tous les types, tous les genres, car chaque jour le tout Montréal se donne rendez-vous au parc Lafontaine… Au parc Lafontaine par Pierre Petel, Office national du film du Canada 1950 Au bout de ma rue (1958) Filmé par Michel Brault, ce charmant petit film raconte l’histoire d’un gamin vivant dans le centre-sud de Montréal qui profite d’un jour de congé pour prendre la poudre d’escampette. Suivez-le alors qu’il découvre le bord de l’eau, l’horizon élargi du grand fleuve Saint-Laurent et l’activité bouillonnante du port de Montréal, tel qu’il était en 1958. Au bout de ma rue par Louis-Georges Carrier, Office national du film du Canada Jour de juin (1959) Revivez les festivités de la Saint-Jean-Baptiste à Montréal en 1959. Soyez aux premières loges d’une foule de 700 000 à 800 000 personnes pour voir passer les chars allégoriques, les fanfares d’un événement annuel qui rappelle à tout un peuple ses racines profondes. Jour de juin par ONFB, Office national du film du Canada 1960 À Saint-Henri le cinq septembre (1962) Réalisé par Hubert Aquin en 1962, ce grand classique impérissable du cinéma québécois nous fait visiter en 24 heures le quartier populaire de Saint-Henri à travers les images tournées par un collectif des plus grands cinéastes de l’époque. Le film a été inspiré par le roman Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy. À Saint-Henri le cinq septembre par Hubert Aquin, Office national du film du Canada Objectif 67 (1967) Évoquant les heures merveilleuses de l’Expo 67, ce film en couleur nous replonge au coeur de cet événement marquant dans la vie des montréalais. Dans sa course, la caméra prend le minirail, visite les îles, la Ronde, la Cité du Havre, envahit les pavillons, les restaurants, suit les clowns et capte la joie de la foule. Objectif : Expo 67 par William Brind, Office national du film du Canada 1970 Griffintown (1972) Le quartier Griffintown n’a pas toujours été le berceau de condominiums argentés et des jeunes gens branchés. Ce court métrage documentaire nous montre le quartier tel qu’il était dans les années 1970, ignoré et dévasté. Une population réduite mais opiniâtre s’acharne à y vivre et à lutter contre la tyrannie de l’industrie qui cherche à les exproprier. Griffintown par Michel Régnier, Office national du film du Canada Une rue de lait et de miel (1973) Tourné dans les années 1970, ce court métrage documentaire rend hommage au boulevard Saint-Laurent, artère principale de Montréal. Une rue qui demeure, pour nombre d’immigrants, l’endroit où s’est amorcée leur vie nouvelle. Dans cet excellent film, le cinéaste revisite la rue et les commerçants qui l’ont accueilli à l’âge de huit ans, lorsqu’il arriva au Canada avec ses parents. Une rue de lait et de miel par Albert Kish, Office national du film du Canada 1980 Albédo (1982) Mélangeant fiction et documentaire, ce long métrage établit un parallèle entre la vie du photographe David Marvin et l’histoire de Griffintown, un quartier de Montréal auquel il a consacré une partie de son œuvre. Albédo par Jacques Leducet par Renée Roy, Office national du film du Canada 1990 Les amoureux de Montréal (1992) Le cinéaste Jacques Giraldeau nous présente Montréal sous toutes ses coutures et dans tous ses replis… Montréal baignée dans toutes ses lumières, été comme hiver, revisitée par un cinéaste amoureux de ses rues, de ses ruelles, de ses quartiers, de ses parcs, de son fleuve, de ses églises, de ses édifices… Visages d’hier et d’aujourd’hui. Une ville disparate, de verre et de béton, façonnée par des architectes qui lui ont donné un corps et… une âme! Les amoureux de Montréal par Jacques Giraldeau, Office national du film du Canada 2000 La mémoire des anges (2008) À la fois documentaire, poème et essai, La mémoire des anges est une expérience unique permettant de revisiter la ville de Montréal des années 1950 et 1960, avec ses grandes figures, ses lieux emblématiques et ses citoyens ordinaires. Pour ce faire, le cinéaste Luc Bourdon a procédé à un assemblage d’archives et d’extraits tirés de 120 films produits par l’ONF. Un tour de force magistral! La mémoire des anges par Luc Bourdon, Office national du film du Canada 2010 Sacrée montagne (2010) Revisitez un des lieux les plus emblématiques de Montréal avec ce documentaire Web qui explore notre relation au sacré à travers le Mont-Royal. Dans cette courte vidéo tirée du projet, l’écrivain Dany Laferrière livre une réflexion sur la place du sacré dans l’histoire et l’imaginaire québécois, revivant pour l’occasion ses premiers pas dans ce Montréal que sa mère, depuis Port-au-Prince, appelait « la ville de Dieu ». Sacrée montagne – La métaphore de Montréal par Hélène de Billyet par Gilbert Duclos, Office national du film du Canada À Saint-Henri, le 26 août (2011) Tourné en 24 heures, À St-Henri, le 26 août rassemble quelques-uns des plus brillants cinéastes documentaires québécois d’aujourd’hui autour de cet ancien quartier ouvrier de Montréal. Dans un style cinéma direct, à l’affût des histoires qui font l’épaisseur d’une journée dans la vie quotidienne du quartier, ce film parcourt des trajectoires qui se côtoient ou se traversent tout en restant opaques les unes aux autres. Réalisé en 2010, ce film est un hommage à l’oeuvre collective d’Hubert Aquin, À Saint-Henri le cinq septembre. Il témoigne de la transformations d’un espace urbain resté profondément enraciné dans son passé industriel vibrant. La musique a été composée par le talentueux Patrick Watson. Le film est maintenant disponible en location. Pour le visionner, cliquez ici. À St-Henri, le 26 août – (Bande-annonce) par Shannon Walsh, Office national du film du Canada D’où je viens (2013) Dans ce superbe documentaire, le cinéaste Claude Demers (Les dames en bleu) revisite le quartier populaire de Verdun où il a grandi pour y interroger le mystère de ses origines. La ville et le fleuve Saint-Laurent constituent la toile de fond de cette ode à la vie et à la beauté du monde. Une œuvre libre et humaine, qui nous montre un visage de Verdun que vous n’avez jamais vu. Pour en savoir plus, lisez notre entretien avec le réalisateur. Le film est maintenant disponible en location. Pour le visionner, cliquez ici. D'où je viens – (Bande-annonce) par Claude Demers, Office national du film du Canada Et vous, quels sont vos films préférés de notre collection sur Montréal? À Saint-Henri le cinq septembre, Au parc Lafontaine, cité, Claude Demers, D'où je viens, Documentaire, film, Griffintown, Histoire, Hubert Aquin, Jacques Giraldeau, Jacques Leduc, La cité de Notre-Dame, La mémoire des anges, Luc Bourdon, Métropole, Michel Brault, mont Royal, Montréal, Saint-Henri, Saint-Jean-Baptiste, Saint-Laurent, Urbanisme, Ville, ville-marie, webdocumentaire sent via Tapatalk
  21. http://journalmetro.com/actualites/montreal/759841/une-oeuvre-suspendue-de-janet-echelman-a-la-place-emilie-gamelin/ Une oeuvre suspendue de Janet Echelman à la place Émilie-Gamelin Par Audrey Neveu Métro DenverGracieuseté Studio EchelmanPrevious photoNext photo EXCLUSIF logoL’oeuvre «1.26» de l’artiste américaine de renommée internationale Janet Echelman surplombera la nouvelle place Émilie-Gamelin réaménagée, a appris Métro. Cette sculpture suspendue sera dévoilée au cours de l’inauguration le 7 mai prochain et y sera exposée jusqu’au 4 octobre. Le titre de l’oeuvre s’inspire du tremblement de terre du Chili en 2010, lors duquel le temps aurait été comprimé de 1,26 secondes en raison de la redistribution de la masse de la Terre. Pour Janet Echelman, artiste accomplie et professeure à l’Université Harvard, ce chiffre symbolise la connexion entre les individus, peu importe où ils se trouvent sur la planète. «La sculpture prend une signification différente dans chaque ville, selon le contexte urbain, a confié Janet Echelman à Métro. Elle bouge dans le vent, à la manière d’une chorégraphie. Elle change tout le temps, comme une relation.» «1.26» a notamment été exposée à Denver, à Amsterdam et à Singapour. La structure suspendue, d’une quarantaine de mètres de largeur et de hauteur, est faite en fibres Spectra®, extrêmement légères et entrelacées en filet. Sa forme étoilée toute en couleurs sera illuminée la nuit tombée. Elle sera arrimée aux bâtiments de l’UQAM et de la Place Dupuis. «C’est assez extraordinaire. On espère que l’œuvre va susciter la curiosité, qu’elle fera se déplacer les gens, qui viendront l’admirer et voir les activités aux Jardins Gamelin», explique Pascale Daigle, directrice de la programmation au Partenariat du Quartier des spectacles. 15 La fibre Spectra® utilisée pour fabriquer l’œuvre suspendue est 15 fois plus solide que l’acier en proportion de son poids. La venue de cette œuvre unique marquera en grand le réaménagement de la place Émilie-Gamelin, rebaptisée Jardins Gamelin pour l’été. «Ça s’inscrit dans une logique de réappropriation citoyenne. On voulait créer un rythme différent, un rendez-vous permanent où les gens se réuniront sans se poser de questions», fait valoir Pascale Daigle. Le Partenariat du Quartier des spectacles a fait appel à l’organisme à but non lucratif Pépinière & Co., également à l’origine du Village éphémère. Un resto-bar, une terrasse permanente, des jardins avec plantations et maintes activités citoyennes viendront revitaliser la place publique. Janet Echelman sera d’ailleurs présente à l’inauguration des Jardins Gamelin. «Montréal est une ville tellement dynamique, vivante et cosmopolite, je suis très excitée de participer au renouvèlement de cet espace public», dit-elle.
  22. Les commerçants commencent à réaliser que les stationnements sont pas si important que ça pour attirer leur clientelle... http://m.24heures.ca/24hmontreal/actualites/archives/2015/04/20150416-183632.html La Petite-Italie: stationnement sacrifié pour des terrasses Améli Pineda Hier à 18:36 Photo Améli Pineda / 24 Heures Stefano Faita, co-propriétaire de Impasto. MONTRÉAL - Malgré un manque de stationnement dans le secteur, des restaurateurs de la Petite-Italie, à Montréal, sont prêts à sacrifier des places de stationnement pour voir plus terrasses dans les rues du secteur. Stefano Faita, copropriétaire du restaurant Impasto, fait partie des restaurateurs qui troqueront les espaces de stationnement devant leur commerce pour installer une terrasse. «Même si on perd une couple de places de stationnement, je ne crois pas que ce soit un gros problème. Je pense au Plateau, où on se promène et qu'il n'y a pas toujours de stationnement et pourtant, les terrasses sont bondées», a dit M. Faita. Il soutient qu'avec seulement une douzaine de places supplémentaires grâce à cette terrasse, les retombées économiques viendront éponger les mois plus difficiles. Un avis partagé par Nick De Palma, propriétaire du restaurant Inferno situé sur la rue Dante. «L'hiver a été très difficile alors c'est certain qu'avec une terrasse ça aide à arrondir nos fins de mois», a-t-il confié. Solutions recherchées À la Société de développement commercial (SDC) Petite-Italie-Marché Jean-Talon, Cristina D'Arienzo assure que des solutions sont actuellement analysées pour combler le manque de stationnement dans le quartier. «Ce n'est pas les une ou deux places qui vont changer la problématique. Le manque de stationnement dans le quartier est connu et on travaille pour y remédier», a fait valoir Mme D'Arienzo. Elle indique que la SDC tente d'établir des partenariats pour occuper des stationnements privés, notamment dans des immeubles à condos, ainsi qu'au marché Jean-Talon, qui possédera un stationnement souterrain de 350 places. Doubler le nombre de terrasses Le maire de Rosemont-La Petite-Patrie, François W. Croteau, veut doubler le nombre de terrasses dans le quartier dès cette année. Quatre nouvelles rues seront autorisées à implanter des terrasses sur la rue, soit les rues Dante, Saint-Zotique, Shamrock ainsi que Beaubien, entre la 1re avenue et Fabre et entre Saint-Denis et Saint-Laurent. «On veut que ça amène une qualité de vie, que ça attire des gens pour que le quartier soit animé», a dit M. Croteau. En plus des restaurants et cafés, les autres commerces pourront aussi se doter d'une terrasse publique, à l'image des «placottoirs» sur le Plateau, qui constituent un espace de rencontre, avec des bancs et de la verdure. «On veut amener les commerçants à créer une vie de quartier. Si une crèmerie veut offrir un espace pour ses clients, elle pourra aussi le faire en implantant sa propre terrasse», a mentionné M. Croteau. Dans Rosemont, la saison des terrasses sera lancée le 1er mai. sent via Tapatalk
  23. Pas de Camion à Déchets dans le QDS Source: Spacing Montreal There aren’t going to be any dump trucks blocking up the streets in Montreal’s new Quartier des Spectacles. Last Wednesday, the City approved a proposition to replace public trash cans with receptacles for garbage, recyclables and compostables, all hooked up to an vacuum-powered collection system. Waste placed in each receptacle would be sucked into a network of underground tubes and transported to a central processing location (possibly located in Place Desjardins). At first glance, this system may seem unduly costly and invasive, not to mention energy intensive. But since the streets in the QDS are already slotted to be ripped up in order to replace ageing sewers, aqueducts and power-lines, throwing in the waste-collection system will only cost an additional $8.2 million (according to a planner who worked on the proposal). Under the new system, garbage collection in the neighborhood would rely on electricity rather than fossil fuels, which may not be a bad idea given the cost and environmental impacts of burning fuel. Most importantly, the new garbage collection system would also apply to residents and businesses located in the Quartier des Spectacles. For instance, the restaurants in Place Desjardins would be able to be compost food scraps, saving several hundred tons of waste from landfills each year. Although Montreal is behind cities like Toronto who offer composting for household waste, this initiative would be the first in North America to offer composting on the public domain and for businesses. ENVAC, the European company that engineers these systems worldwide, built their first trash-vacuuming system in Stockholm in 1961 and it is still in operation (it has an expected lifespan of about 50 years, although that is probably standard for sewers and other infrastructure). Teaching the hoards of drunken festival-goers and clueless tourists to sort trash from recyclables and organic waste is a challenge for the future…
  24. http://www.lapresse.ca/arts/arts-visuels/201501/31/01-4840166-musee-mccord-2015-lannee-photographique.php Publié le 31 janvier 2015 à 14h00 | Mis à jour le 31 janvier 2015 à 14h00 Musée McCord: 2015, l'année photographique ÉRIC CLÉMENT La Presse Le musée McCord honorera de belle façon la photographie en 2015 avec, en point d'orgue, une rétrospective des oeuvres de Horst P. Horst et un hommage au photographe montréalais David Wallace Marvin. L'affichiste Vittorio et les céramiques queer de Léopold L. Foulem, Paul Mathieu et Richard Milette complètent la programmation. Feux de camp : le baroque dit Queer de Léopold L. Foulem, Paul Mathieu et Richard Milette Du 9 avril au 16 août Le musée d'histoire sociale de la rue Sherbrooke amorcera sa nouvelle saison avec une exposition de 70 pièces de trois céramistes qui exploitent la culture homosexuelle, l'identité et la sexualité queer. « C'est une expo conçue par le Gardiner Museum de Toronto qui montre des oeuvres d'art décoratif en lien avec la culture gaie, très importante à Montréal, de façon humoristique. C'est un corpus très audacieux de la part de ces trois artistes montréalais », dit Suzanne Sauvage, présidente et chef de la direction du musée. Horst - photographe de l'élégance Du 14 mai au 23 août Mise en circulation par le Victoria and Albert Museum de Londres et présentée en exclusivité nord-américaine, cette première grande rétrospective des oeuvres du photographe de mode Horst P. Horst (1906-1999) comprendra 250 clichés, dont ses photos de studio, ses travaux avec les surréalistes et ses clichés de voyages au Moyen-Orient. On pourra aussi voir ses carnets de croquis, des images d'archives (tournées notamment dans les studios de Vogue dans les années 40), des revues, des robes de haute couture signées Chanel ou Lanvin et des études de nus. Beaucoup de photos en noir et blanc, mais aussi en couleurs. L'expo évoquera ses sources d'inspiration, notamment son intérêt pour l'art gréco-romain. David Wallace Marvin Du 12 juin au 18 octobre Le musée présentera, à l'extérieur, avenue McGill College, 23 photos grand format de David Wallace Marvin (1930-1975) sur son quartier de Griffintown dans les années 60 et 70. Des photos de tavernes, de vieilles enseignes, d'épiceries placardées d'affiches publicitaires et de ruelles encombrées qui contrasteront avec l'allure actuelle du quartier. Des clichés d'un quartier ouvrier marqué alors par la pauvreté et un certain délabrement immobilier. « Ces photos font partie du fonds de 6000 négatifs 35 mm de David Wallace Marvin qui nous a été donné. Elles sont superbes », assure Suzanne Sauvage. Montréal dans l'oeil de Vittorio Du 25 septembre au 10 avril 2016 Le musée célébrera le travail de l'affichiste et designer montréalais Vittorio (de son vrai nom Vittorio Fiorucci) depuis les années 60 jusqu'à l'an 2000, alors qu'il témoigne, en dessinant, de l'histoire sociale et culturelle de Montréal. « Il a été le témoin de nombreux événements tels la libération des femmes, la renaissance de la rue Crescent, les expropriations à Mirabel ou les mouvements environnementaux », dit Suzanne Sauvage. Il s'agit de la première exposition d'envergure sur Vittorio depuis sa mort en 2008. Le musée présentera 60 affiches, des photos, des objets personnels, des extraits vidéo, des illustrations, des calendriers et des bandes dessinées.
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