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  1. La caverne de Saint-Léonard deviendrait le «Centre de la Terre» La caverne de Saint-Léonard pourrait devenir un site d’attraction scientifique et éducatif, dans la même veine que le Biodôme et le Planétarium, selon la Société de spéléologie du Québec qui compte faire de ce site le «Centre de la Terre». «Alors que le Planétarium permet d’en apprendre davantage sur l’espace […] le « Centre d’interprétation de la Terre » aura comme mission d’expliquer aux visiteurs la formation des calcaires ordoviciens des basses-terres du Saint-Laurent et les mouvements de glaciers», explique le dossier de projet consulté par TC Media. Formé il y a 10 000 ans, le site caverneux qui se trouve en plein cœur de la métropole est géré par la Société de spéléologie du Québec. Chaque année, 1500 à 2500 visiteurs explorent cette caverne longue de 35m. C’est ce succès que l’organisme souhaite utiliser comme rampe de lancement pour mettre en place un projet d’envergure. «Au cours des dernières années, nous n’avons pas réussi à répondre à la demande. Nous voudrions faire quelque chose de plus gros pour mettre en valeur la grande histoire géologique du site», indique François Gélinas, directeur général de l’organisme. La vision Le nouveau centre d’interprétation serait ouvert à l’année et offrirait des salles présentant des expositions permanentes et temporaires. Actuellement, le site n’est accessible que du mois de mai au mois d’août, en raison de la main-d’œuvre, qui est composée de guides étudiants, et des conditions météorologiques. La neige et le froid ne permettent pas d’ouvrir la caverne par temps froid. De nouveaux aménagements, dont une salle étanche et l’agrandissement du pavillon du parc Pie-XII, devraient être réalisés pour permettre d’ouvrir plus de six mois par année. «Il nous faut un sas afin d’éviter que des chocs thermiques cassent la roche de la grotte. De plus, avec l’agrandissement du pavillon, nous pourrions y déménager et y faire de l’animation», explique M. Gélinas. D’autres cavernes qui demeurent inexploitées pour le moment à Saint-Léonard pourraient également être aménagées, dont celle de la rue du Saguenay. «C’est une deuxième étape. La caverne Saguenay est située dans un secteur résidentiel, et nous voudrions sonder les voisins pour nous assurer de ne pas les déranger lors de nos visites», souligne le directeur général. Le coût de la construction de cette structure n’est pas encore connu. Toutefois, l’organisme estime qu’il faudrait environ 250 000$ pour mettre en place les expositions et acheter de l’équipement. Ce montant n’inclut pas les travaux au pavillon ni la construction du sas. Les premiers pas Afin de réaliser son projet, la société souhaite y aller graduellement. Dès cet été, elle doublera son nombre de visites, passant de trois à six visites par jour. M. Gélinas espère atteindre les 30 000 visiteurs si le site est accessible à l’année. L’organisme devrait rencontrer l’arrondissement de Saint-Léonard, notamment pour la question des travaux au pavillon, au cours des prochaines semaines. De plus, il compte également commencer les démarches pour trouver du financement. «Si tout va bien, je nous donne cinq ans pour réaliser le projet», dit M. Gélinas. TC Media a tenté de joindre l’arrondissement de Saint-Léonard, mais sans succès. http://journalmetro.com/local/saint-leonard/actualites/919667/la-caverne-de-saint-leonard-deviendrait-le-centre-de-la-terre/
  2. Le Québec des visiteurs L’imaginaire touristique des «étrangers» est-il différent du nôtre? 31 décembre 2016 | Benoît Legault - Collaborateur | Voyage http://www.ledevoir.com/plaisirs/voyage/487998/le-quebec-des-visiteurs?utm_campaign=Autopost&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1483305280 Photo: Lukas AykroydLe Festival d’été de Québec et ses grands spectacles, un attrait indéniable pour les visiteursÀ quoi rêvent les étrangers quand ils pensent au Québec ? En quoi leurs fantasmes touristiques sont-ils différents des nôtres ? Rêvent-ils du mont Tremblant, de la poutine, du Festival de jazz de Montréal et d’autres icônes dont nous faisons la promotion ? Ou rêvent-ils plutôt de grandes forêts, d’animaux sauvages et d’autochtones ? Quelques « étrangers » (des non-résidants du Québec et des Québécois venus d’ailleurs) racontent. Leurs avis sont fascinants, souvent inattendus, et ouvrent des fenêtres sur leur et notre monde. Nous avons aussi consulté beaucoup de guides touristiques écrits sur le Québec. On peut distinguer quatre types d’étrangers. Il y a ceux de proximité, les Canadiens anglais et les Américains qui mythifient le Québec, lui accordant une aura de raffinement européen. Il y a les Européens, pour qui la province est une interface américaine nichée dans un climat nordique. Et il y a les étrangers de très loin, vivant dans des pays chauds, exotiques, d’où le Québec apparaît comme un pays cher, difficile à atteindre. «Benoit, montre-moi un Montréal où les Anglos ne vont pas», dit mon ami John Matthew, en marge d’un des matchs de baseball des Blue Jays de Toronto disputés à Montréal. John travaille pour les Blue Jays. J’avais l’embarras du choix, car le Montréal que voient les touristes anglos est tout petit, circonscrit. Pour que ce soit facile, je l’emmène donc rue Ontario, dans HoMa, pas bien loin du Stade olympique où jouent les Jays. John était fasciné par une pauvreté bien assumée côtoyant une gentrification élégante. Mais ce qui l’a le plus impressionné, sa rencontre déterminante, fut un hot-dog à 89 cents, relish-moutarde-chou, servi par une wétresse truculente. Il n’en revenait tellement pas qu’il a pris une photo. Et vu que, dans cette rue, tout s’appelle Ontario, ç’était bien amusant aussi. «J’ai adoré pouvoir acheter des saucisses et une bière assortie en même temps chez le saucissier Walter car je ne peux pas faire ça à Toronto.» John a aussi bien aimé se balader en autobus, il avait les yeux grands comme des 30 sous à regarder comment les Montréalais s’habillent, se comportent. John Matthew a apprécié les boutiques émergentes et les restos de hipsters barbus, mais de ça, il y en a beaucoup à Toronto. Photo: Rafael Osio CabricesLa plage du Vieux-Port de Montréal, le fleuve, l’île Sainte-Hélène et le pont Jacques-Cartier : l’architecture urbaine et la nature se déclinent en couches successives qui caractérisent Montréal et d’autres villes du Québec, selon le journaliste latino-américain Rafael Osio Cabrices. Le spectacle du monde Quand je voyage dans les pays latins, en Italie notamment, j’adore regarder les gens car leurs sentiments sont si évidents. Nos Anglos vivent ici le même type de fascination. «Sur le plan culturel, un de mesgrands moments de 2016 a été de voir de grands shows internationaux de rock au Festival d’été de Québec, avec des centaines de milliers de spectateurs exubérants», dit Lukas Aykoyd, un des meilleurs journalistes touristiques au Canada. Il couvre beaucoup aussi la musique et les sports depuis Vancouver. «Les gens sont dans leur bulle, sur la côte Ouest, quand ils assistent à un spectacle. Ici, c’est plus convivial, voir un show est une expérience collective. Voir un match de hockey aussi; assister à un match des Canadiens, c’est unique. Le Centre Bell est la cathédrale du hockey avec son orgue!» Lucas dit que la nature québécoise ne l’attire pas tellement, «car il y a pas mal de nature chez moi. Mais je n’oublierai jamais une balade en scooter sur le mont Royal pendant les couleurs d’automne, en route vers le marché Jean-Talon». Les gens sont dans leur bulle, sur la côte Ouest, quand ils assistent à un spectacle. Ici, c’est plus convivial, voir un show est une expérience collective. Assister à un match des Canadiens, c’est unique. Le Centre Bell est la cathédrale du hockey avec son orgue! Lukas Aykoyd, journaliste touristique au Canada, couvre aussi la musique et les sports depuis Vancouver. Arbres en ville Le marché Jean-Talon fascine les étrangers. Les Nord-Américains baignent joyeusement dans son ambiance bohème, les Européens adorent y trouver des produits québécois exceptionnels, au Marché des saveurs notamment. «Le marché Jean-Talon mepermet de mesentir chez moi à Montréal», explique Rafael Osio Cabrices, journaliste et auteur vénézuélien basé dans la métropole. «Montréal merappelle aussi Caracas à cause de toute la nature qu’on voit et qu’on sent dans la ville», dit-il. Il rejette toutefois la perception du Québécois latin. «C’est vraiment de la foutaise. Viens au Venezuela, tu verras c’est quoi, le caractère latin. Les Québécois sont très calmes, posés. En outre, les hommes d’ici ne sont pas du tout machistes comme le sont ceux de chez nous.» Le Québec est donc latin pour les Anglo-Saxons et nordique pour les Latins ! Des visas pour le Canada On ne se rend pas compte, ici, à quel point il est souvent difficile pour des étrangers d’obtenir un visa afin de visiter le Canada. «Pour la plupart des Latino-Américains, le visa de touriste pour le Canada est plus cher et plus difficile à obtenir que celui pour les États-Unis. Les Latino-Américains qui peuvent venir ici vont vraiment apprécier les restaurants, la ville culturelle intense et les festivals de Montréal, explique Rafael. Très peu de villes de l’Amérique latine ont une vie culturelle comparable. Il y a Mexico, Buenos Aires, et peut-être les mégapoles du Brésil.» Et l’hiver québécois, est-ce exotique et attirant ? «Très peu de Latino-Américains rêvent de l’hiver. Nous avons peur du froid! Toute température sous les 22°C est considérée comme froide chez nous, alors l’hiver comme attrait, non, pas vraiment. Malgré tout, c’est sûr que tous les enfants aiment l’hiver et c’est bien de leur montrer cela une fois. Mais il faut alors acheter des vêtements juste pour un voyage. Ça fait beaucoup d’argent», dit-il. Les Latino-Américains qui peuvent venir ici vont vraiment apprécier les restaurants, la vie culturelle intense et les festivals de Montréal Rafael Osio Cabrices, journaliste et auteur vénézuélien basé à Montréal La Gaspésie, oui et non Photo: Pierre Charbonneau Tourisme QuébecDes fruits de mer servis à l’Auberge de montagne des Chics-Chocs, en Gaspésie. La gastronomie québécoise est à la fois excellente et abordable, un point fort de l’attrait du Québec. Cadre chez Hydro-Québec, Kim-Nhan Ly est la tante de l’auteure Kim Thúy. Arrivée avec la vague des boat people vietnamiens à la fin des années 1970, elle conserve un tendre souvenir de la région de Granby qui l’a accueillie. Et la première qu’elle a voulu visiter, c’est la Gaspésie. «J’en avais fait le tour en auto avec mon chum. C’était un classique touristique incontournable à l’époque. J’ai adoré, mais j’ai peu visité les autres régions du Québec. Pour le moment, mesvoyages, c’est surtout aller dans le Sud et aller voir ma famille disséminée dans plusieurs lieux.» La jeune peintre et entrepreneure française Aurélia Bizouard a vécu en de nombreux endroits au Canada, dont Montréal. Arrivée au pays il y a quelques années, elle n’a pas vu la Gaspésie. «Les voyagistes français ne semblent pas privilégier cette région. Après Québec, on avait visité en groupe Charlevoix et le Saguenay, avec Tadoussac et ses baleines. Voir la grande nature, aller à la rencontre des Québécois, c’était le but du voyage initial», explique-t-elle. «Plus tard, je suis allée sur la Côte-Nord et j’ai pris un traversier vers la Gaspésie en hiver. Le choc des glaces sur la coque, c’était formidable. Le Québec devrait peut-être promouvoir davantage ce type d’expérience», dit Aurélia Bizouard, qui habite maintenant Vancouver. Des guides Photo: Aurélia BizouardLe Vieux-Québec baigne dans une lumière colorée en fin de journée. Ce lieu magique demeure l’attraction numéro un pour les marchés internationaux. Nous avons consulté la majorité des guides internationaux écrits en français et en anglais sur le Québec. La Gaspésie et les autres régions touristiques très éloignées des grands centres sont relativement peu décrites. Le Vieux-Québec et le Montréal culturel sont bien sûr les vedettes de tous les guides, avec des sections secondaires sur les régions limitrophes. Le fjord du Saguenay et la côte de Charlevoix apparaissent comme les étoiles actuelles du tourisme régional tourné vers l’étranger. Les Laurentides et l’Estrie sont aussi régulièrement mentionnées. Et les îles de la Madeleine exercent une certaine fascination. On a toujours l’impression que les étrangers viennent ici pour vivre la culture autochtone. Pourtant, les mentions de ce tourisme sont courtes et furtives dans les guides touristiques étrangers. La reconnaissance étrangère de l’histoire exceptionnelle du Québec est évidente. Par exemple, dans un Insight Guide du Royaume-Uni, on écrit : «Les premiers Nord-Américains après les Indiens, ce sont les Québécois.» Au final, les étrangers semblent aimer à peu près les mêmes attractions et les mêmes endroits que les Québécois, mais pour des raisons différentes, en fonction de leurs traits culturels et de leurs motivations touristiques. Benoit Legault a beaucoup écrit sur le Québec pour des publications étrangères: le Guide du routard, l’édition britannique du Guide Vert Michelin, les guides américains Frommer’s et USA Today.
  3. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2016/04/26/003-culture-tourisme-montreal-etude.shtml Un touriste sur quatre vient à Montréal pour la culture Publié le mardi 26 avril 2016 à 15 h 54 Le Festival international de jazz de Montréal Si l'on sait que les nombreux festivals et musées attiraient leur lot de touristes à Montréal chaque année, une étude confirme l'importance de la culture dans le portrait touristique de la métropole. Ainsi, 26 % des touristes, soit un sur quatre, choisissent Montréal comme destination de voyage pour son offre culturelle. L'étude, commandée par Tourisme Montréal, montre également que ces visiteurs culturels dépensent 1,1 milliard de dollars dans la métropole. Chaque année, 2,3 millions de touristes viennent à Montréal pour un événement culturel. Leurs dépenses représentent 44,9 % des dépenses touristiques totales. À lire aussi : Le tourisme musical, le sauveur des festivals payants à Montréal? Quels événements attirent principalement ces touristes? Les festivals attirent à eux seuls 7,5 millions de visites et quatre d'entre eux totalisent un achalandage de 4,2 millions de visites. Il s'agit du Festival international de jazz de Montréal, des FrancoFolies, du Festival Juste pour rire et de Montréal en lumière. Les musées montréalais ne sont pas en reste, avec 7 millions d'entrées, soit 49 % de la fréquentation totale des musées pour le Québec. Les attraits culturels accueillent 9 millions de visiteurs et les arts de la scène 3 millions d'entrées. La firme LJM Conseil a réalisé cette étude pour le compte de Tourisme Montréal. Puisqu'il existe peu de données et de statistiques sur le tourisme culturel, LJM Conseil a croisé des données provenant de diverses sources, comme Statistique Canada, l'Observatoire de la culture et des communications du Québec et des sondages commandés par Tourisme Montréal. Rappelons que, l'automne dernier, Tourisme Montréal a lancé le Passeport MTL culture. Avec ce forfait, les touristes peuvent, sous réserve de disponibilité, assister à des pièces de théâtre, à des spectacles de danse, à des concerts et à quelques festivals, en plus d'accéder à des expositions. Cette offre regroupe 31 organismes culturels, dont le TNM, le Musée des beaux-arts, l'Igloofest, l'Orchestre symphonique de Montréal (OSM) et le Festival international de la littérature.
  4. Un parc aquatique de 40 M$ sera construit à Blainville Sur la table à dessin depuis un peu plus de deux ans, le projet de parc aquatique Aquapolis vient de franchir une nouvelle étape avec l’acquisition d’un terrain de quelque 900 000 pieds carrés. Situé aux abords de la sortie 28 de l’autoroute 15, le terrain en question subira, à la faveur d’un investissement privé de 40 millions de dollars (11 millions de dollars pour les bâtiments et 29 millions de dollars pour les équipements), une transformation majeure pour devenir un parc aquatique intérieur unique au Canada, dit-on. D’une superficie totale de 100 000 pieds carrés, dont une grande partie sera vitrée, le parc sera complété par des aménagements extérieurs qui s’étendront pour leur part sur une superficie de 30 000 pieds carrés. Aquapolis sera aménagé en quatre espaces thématiques, soit la détente (plage, piscine, bains bouillonnants, jets et douches hydromassants, boutique, restaurant, bar), l’aventure (rivières lentes, cascades, toboggans, rapides), le jeu (arbre à eau, geysers, marelle aquatique) et le coin des petits (garderie et pataugeoire). «Voilà un projet structurant qui aura des effets positifs à plusieurs égards: des revenus supplémentaires pour la Ville, des retombées économiques sur les commerces et les restaurants, de la création d’emplois et la mise en valeur du territoire dans le cadre de notre vision d’espace et d’avenir», a déclaré François Cantin. 500 000 visiteurs par année Selon les projections présentées par Gilles Debut, porte-parole des promoteurs dans le projet, la capacité d’accueil d’Aquapolis sera d’environ 2 500 personnes par jour, ce qui se traduira, sur une base annuelle, par quelque 500 000 visiteurs. «La clientèle sera locale et régionale, mais également touristique grâce à sa localisation et à son originalité», ajoute-t-il. Le prix moyen pour une journée au parc aquatique sera de 27 $ par personne. Les investisseurs associés au projet, nommément Jordan Aberman (Groupe Divco), Sal Fratino (Groupe Rosdev) et Alain Chayer (Liaison capitale), sont d’avis que Blainville représente l’endroit stratégique par excellence pour l’implantation du parc aquatique, tant pour son dynamisme économique, souligne M. Chayer, que pour son accessibilité. Il n’est pas exclu qu’un centre hôtelier vienne se greffer au projet dans les années à venir, ajoute-t-on, bien que cela nécessitera l’acquisition d’un autre terrain. La construction du parc commencera une fois les études de sol terminées, ce qui mènera vraisemblablement au printemps prochain. Le chantier se déploiera ensuite sur une période de 18 mois, pour ouverture du parc, espère-t-on, en novembre 2015. On estime entre 300 et 400 le nombre d’employés qui y travailleront. «Je suis très enthousiaste face à ce projet soutenu par des promoteurs privés et qui permettra à notre ville et à notre région de se doter d’une infrastructure qui s’ajoutera avantageusement à notre offre récréotouristique locale et régionale», s’est réjoui, en terminant, le maire. Pour voir la vidéo de présentation du projet, rendez-vous sur le http://www.youtube.com/watch?v=VQGFV2v2DlI http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/tourisme/un-parc-aquatique-de-40-m-sera-construit-a-blainville/561907#.UkXQ-4ZLMlQ
  5. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2014/03/17/002-2013-annee-record-pour-le-beaux-arts-demontreal.shtml
  6. Qu'ils aient visité le Vieux-Port, marché sur le Mont-Royal ou encore arpenté les rue du Plateau, les visiteurs qui ont mis les pieds dans la métropole pour deux nuitées ou plus au cours de l'année 2011 sont vraisemblablement repartis satisfaits de leur séjour, puisque 84% d'entre eux ont affirmé avoir certainement l'intention de recommander la destination à leurs proches. Et près de 49% des touristes ont donné une note de satisfaction de 9 sur 10 à la métropole en 2011, alors qu'ils étaient 40% à lui attribuer ce résultat en 2006. C'est du moins ce que révèle un sondage mené par la firme de recherche Ipsos pour le compte de Tourisme Montréal, dévoilé mercredi. Ainsi, l'année dernière 7,8 millions de touristes ont foulé le sol montréalais, une augmentation de 1,7 % par rapport à 2010. De ce nombre, 56 % provenaient du Québec, 21 % du reste du Canada et 23 % des États-Unis ou d'ailleurs dans le monde. Parmi les attraits les plus visités par les voyageurs, le Vieux-Port arrive en tête, suivi du parc du Mont-Royal et du Quartier chinois. Médias sociaux Par ailleurs, les données du sondage démontrent que les médias sociaux ont maintenant une importante influence dans le choix des destinations touristiques. La preuve, à la suite de leur séjour dans la métropole québécoise, près de 37% des visiteurs partagent leur expérience à Montréal en publiant en ligne des photos de leur voyage, alors que 25% d'entre eux émettent des commentaires sur différents sites Internet. De plus, le web a été l'outil le plus utilisé par les touristes qui ont atterri à Montréal pour l'organisation et les réservations. Plus de la moitié d'entre eux (57%) ont eu recours à internet pour planifier leur voyage. http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/montreal/201205/23/01-4527907-les-visiteurs-satisfaits-de-leur-sejour-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  7. Les tenues bigarrées de Jean Paul Gaultier et les guerriers chinois en terre cuite ont valu l'an dernier au Musée des beaux-arts de Montréal la plus forte fréquentation de son histoire, soit quelque 767 000 visiteurs d'avril 2011 au 31 mars 2012. Le succès remporté par ces deux expositions a permis de faire voler en éclats le record précédent de 636 219 visiteurs, établi en 2007-2008 grâce aux expositions dédiées à l'art cubain, au couturier Yves Saint-Laurent et Wharol Live. Il s'agit pour le MBAM d'une hausse de 20 % par rapport à ce record précédent et de 36 % par rapport à l'an dernier. Le MBAM doit une fière chandelle à L'empereur guerrier de Chine et son armée de terre cuite, qui a permis l'entrée de plus de 250 000 visiteurs à ses tourniquets. Les mannequins animés de Gaultier ont fait tourner la tête de 175 000 visiteurs alors que le redéploiement des collections permanentes a joué un rôle marquant dans l'atteinte de ce nouveau record. http://www.ledevoir.com/culture/arts-visuels/346642/767-000-visiteurs-en-2011-2012
  8. Les touristes ont fait de Montréal une destination de choix en 2011. Selon les chiffres compilés par Tourisme Montréal et dévoilés mercredi, quelque 7,7 millions de touristes auraient envahis la métropole québécoise au cours des 12 derniers mois. Il s’agit du meilleur score depuis les Jeux olympiques de 1976. Ces nombreux visiteurs ont permis aux hôtels de Montréal d’afficher un taux d’occupation moyen de 67,24 % en 2012, en hausse de 2,5 % par rapport à 2010. Les touristes auront par ailleurs dépensé la somme record de quelque 2,3 G$ pendant leurs séjours dans la métropole au cours de la dernière année. Tourisme Montréal estime que la présence de Montréal dans une vingtaine de palmarès internationaux, en 2011, et le bouche-à-oreille positif que cela a suscité explique en partie le succès de la dernière année. Car en plus d’avoir été mentionnée par Arcade Fire lors de la cérémonie des Grammys, la métropole s’est retrouvée en troisième place du palmarès des meilleures villes d’été publiées par Lonely Planet et parmi les dix villes les plus branchées du monde selon le New York Times. Tourisme Montréal et ses partenaires auront fort à faire pour maintenir le nombre de visiteurs au niveau de la dernière année en 2012, notamment en raison du nombre de congrès internationaux attendus à Montréal, qui est 5 % moins important en 2012 qu’il ne l’était en 2011. http://www.journalmetro.com/montreal/article/1068778
  9. Tourisme Montréal a la cote Agence QMI Mélanie Colleu 17/11/2011 18h18 MONTRÉAL – Les touristes semblent ravis de leur escale à Montréal, si bien que la plupart d’entre eux ramènent dans leurs valises l’intention d’inciter leurs proches à suivre leur exemple. Une enquête de satisfaction effectuée à la demande de Tourisme Montréal indique en effet que plus de 80 % des répondants accordent une note d’au moins 8 sur 10 à leur séjour dans la métropole. Environ 99 % affirment même vouloir recommander la destination à leur famille et leurs amis. L’ambiance générale de la ville, l’art, la culture, la courtoisie des habitants et l’offre de divertissement de la métropole font, entre autres, pencher la balance du côté positif. «Les visiteurs apprécient l’accueil qu’ils reçoivent à Montréal ainsi que la convivialité des Montréalais», a dit Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, en soulignant également les nombreux évènements culturels et sportifs que propose la ville tout au long de l’année. Plus de 7 millions de touristes en 2010 La fréquentation touristique montréalaise en 2010 a enregistré une augmentation de 4,5 % par rapport à 2009. Tout au long de l’année, 7,4 millions de visiteurs ont traversé le St-Laurent pour venir flâner quelques jours dans les rues pavées du Vieux-Port, l’un des lieux les plus prisés de l’île. Près de 55 % d’entre eux provenaient du Québec, environ 21 % d’une autre province canadienne et autour de 24 % des États-Unis ou d’ailleurs dans le monde. Le sondage a été réalisé auprès des visiteurs ayant séjourné au moins deux nuits à Montréal durant l’année 2010.
  10. Un plan de stationnement avant-gardiste Nouvelles générales - Politique municipale Écrit par Charles Poulin Jeudi, 28 octobre 2010 15:38 Mise à jour le Jeudi, 28 octobre 2010 17:40 Projet Montréal a présenté son nouveau plan de stationnement sur le Plateau-Mont-Royal pour l’année 2011 et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il est avant-gardiste. Ayant comme buts avoués d’augmenter ses revenus tout en incitant les gens à ne plus utiliser leur voiture, le maire de l’arrondissement, Luc Ferrandez, et le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, ont dévoilé jeudi qu’ils allaient uniformiser le tarif des parcomètres à 3$ l’heure, ajouter 600 parcomètres et mettre sur pied un projet pilote qui, s’il fonctionne, éliminerait les vignettes de stationnement et obligerait les visiteurs à migrer vers le transport en commun. «Nous avions dit que nous irions jusqu’au bout, bien on y va, tranche M. Bergeron. Oui, ça va vite, mais nous avons des obligations de résultat. Nous voulons que les bénéfices qui découlent de ces mesures profitent aux résidants.» Le nouveau plan de stationnement veut réduire l'utilisation de la voiture dans l’arrondissement Plateau-Mont-Royal. Photo d'archives Chantal Poirier Ces 600 nouveaux parcomètres seront placés près des artères commerciales, dès janvier. L’uniformisation des tarifs se fera également au début de l’année. L’avenue du Parc sera épargnée pendant la durée des travaux sur l’artère. L’arrondissement estime que les revenus nets supplémentaires seront de 6M$ par an, en admettant qu’il n’y ait pas de baisse d’achalandage. De ce montant, 30% sera réinvesti directement à l’amélioration des rues commerciales. «Nos artères commerciales font face à la concurrence des power centres et des centres commerciaux sans moyens, avance M. Ferrandez. Nous voulons développer nos forces, et le commerce sur rue en fait partie.» Plusieurs commerçants se sont dit opposés à cette hausse de parcomètres et de tarifs par crainte que les visiteurs ne fuient leur commerce et n’y reviennent plus. «L’autre choix, c’était une taxe spéciale, fait remarquer le maire de l’arrondissement. Le Plateau-Mont-Royal est endetté, nous devions faire quelque chose.» Parcojour Le Plateau implantera également un projet pilote en mars ou avril, qui, s’il fonctionne, devrait éliminer les vignettes de stationnement telles qu’on les connaît. Les parcojours seront installés dans les secteurs de l’École des métiers de la construction et dans Milton Parc. Le principe est le suivant: tous les espaces de stationnement réservé aux résidants disparaissent. En contre-partie, tous les espaces du secteur visé deviennent payants, sans exception, 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Les résidants peuvent toujours se procurer une vignette anuelle au coût de 75$. Les visiteurs, eux, ont le choix entre acheter une vignette mensuelle, un coupon journalier ou encore payer à l’unité pour les trois premières heures, après quoi le tarif devient le même que pour un jour. Projet Montréal a même prévu le coup pour les amis et les familles des résidants. Ceux-ci pourront se procurer un livret de 15 coupons quotidiens au coût de 15$ (1$ l’unité), qu’ils pourront donner à leur visiteurs. Pour éviter les abus, le second livret coûtera plus cher et ainsi de suite. Les OBNL auront eux droit à des vignettes gratuites pour leurs bénévoles. «Nous avons 52 types d’interdiction de stationnement sur le Plateau, rappelle Luc Ferrandez. L’implantation des parcojours signifie une tarification plus conplexe, mais le stationnement devient beaucoup plus simple.» «Le but visé est de décourager l’utilisation de la voiture dans l’arrondissement, poursuit-il. Nous savons que 8% des automobilistes viennent ici faire des achats, et 37% sont des travailleurs. Ce sont les travailleurs que nous voulons aller chercher, parce qu’ils ont d’autres options comme le transport en commun.» Luc Ferrandez et Richard Bergeron disent ne pas savoir quels seront les résultats du projet pilote, mais si tout va bien, il pourrait être étendu. «C’est quelque chose d’intéressant, mais ça doit être testé», conclut M. Ferrandez. Les trois SDC d'accord Les trois sociétés de développement commercial (SDC) du Plateau se sont dites en accord avec les annonces faites par Luc Ferrandez et Richard Bergeron. «La difficulté qu’a la Ville de Montréal à investir dans son développement comme métropole, conjuguée à la faible dotation des arrondissements de Montréal comme le Plateau-Mont-Royal, entraîne des conséquences fâcheuses sur la qualité de vie des Montréalais et la vitalité de leurs artères commerciales, indiquent-elles dans un communiqué émis jeudi. Il nous faut inévitablement faire preuve d’imagination pour faire face aux défis et nous démarquer des grandes bannières et des joueurs tels que Devimco (Quartier DiIX30), lesquels sont toujours en mesure d’investir des sommes considérables en promotion et en aménagements pour rendre leur expérience d’achat encore plus unique. «La hausse du coût du stationnement préconisée par l’arrondissement Plateau-Mont-Royal représente un pari risqué, ajoutent les organismes. Elle peut devenir un outil de développement très efficace si elle est bien gérée. C’est pourquoi les SDC de l’avenue du Mont-Royal, de la rue Saint-Denis et du boulevard Saint-Laurent accueillent l’engagement de l’arrondissement de verser aux SDC de son territoire 30% des nouveaux revenus tirés de l’augmentation du coût du stationnement comme une nouvelle positive.» http://www.ruefrontenac.com/nouvelles-generales/politiquemunicipale/29511-un-plan-de-stationnement-avant-gardiste
  11. Lors de la signature du traité de la Grande Paix de Montréal avec les nations amérindiennes il y a 309 ans, Montréal comptait à peine 1 200 habitants. Voilà le genre d’anecdotes qui parsèment le nouveau spectacle multimédia Signé Montréal, présenté lundi par le musée Pointe-à-Callière. Les visiteurs habitués à l’ancienne vidéo qui parcourt toute l’histoire montréalaise en 18 minutes seront charmés. La salle a été largement repensée, et sur un gigantesque écran en U de 270 degrés, les grands moments de la métropole défilent de façon dynamique. Au sol, les vestiges de fondations datant de l’époque des premiers colons retrouvent vie grâce à un ingénieux système de projection et d’éclairage. Dans le casque d’écoute, Montréal se raconte (bientôt en huit langues) de façon optimiste mais sans complaisance (on ne manque pas de parler du coût du Stade olympique, par exemple!). Les Iroquoiens et leurs maisons longues, les fondateurs De Maisonneuve et Jeanne Mance, l’invasion anglaise (1760), l’essor économique, l’arrivée des premiers triplex (1891), la mode du tramway (jusqu’à 54 lignes), l’Expo 67 et ses 50 millions de visiteurs : tout y passe. Le spectacle est «un beau cadeau pour que les touristes aient accès à l’histoire de Montréal rapidement», indique la directrice générale du musée, Francine Lelièvre. Le coût du projet s’élève à 2,5 M$, mais celui-ci durera dix ans, précise Mme Lelièvre. Il faut y ajouter 1 M$ pour le réaménagement de la salle de 185 places, qui comprend aussi une scène pouvant accueillir des évènements corporatif. Des jeux virtuels animent en outre le site internet du musée, et un magnifique ouvrage reprend les grandes lignes du spectacle ainsi que son iconographie. http://www.journalmetro.com/linfo/article/679501--montreal-vu-par-pointe-a-calliere Petit video:http://vimeo.com/16288680
  12. La saison estivale 2010, de mai à septembre, peut être qualifiée d'excellente pour l'ensemble de l'industrie touristique montréalaise. En effet, les dernières analyses font état d'une augmentation de plus de 13 % du nombre de chambres d'hôtel vendues durant l'été 2010, comparativement à celui de 2009. Le prix des chambres a quant à lui augmenté d'environ 6,8 % pour l'été. Plusieurs facteurs expliquent l'accroissement du nombre de visiteurs dans la métropole cette année, notamment le retour du Grand Prix de Formule 1 du Canada et la stabilisation de l'économie mondiale. Mais les efforts considérables déployés par les intervenants touristiques pour promouvoir Montréal à titre de destination dynamique et le travail des professionnels de l'industrie des congrès pour attirer des réunions d'affaires d'envergure dans la ville ont aussi porté fruit. « L'année 2009, qui avait si cruellement frappé notre industrie, est désormais chose du passé et nous ne pouvons que nous réjouir des excellents résultats de l'été 2010 », mentionne le président-directeur général de Tourisme Montréal, l'honorable Charles Lapointe. « La rapidité avec laquelle nous avons réagi pour contrer à la fois la conjoncture économique maussade de l'an dernier, l'entrée en vigueur du passeport obligatoire pour nos voisins américains désireux de séjourner au Canada et la restriction de visa pour les voyageurs mexicains, a permis à Montréal de tirer son épingle du jeu dans un contexte où la concurrence est extrêmement féroce entre les villes. Grâce, entre autres, au travail acharné et à l'expertise des équipes de Tourisme Montréal comme des artisans de l'industrie, la métropole a pu se démarquer des autres destinations et attirer un nombre record de visiteurs, qu'il s'agisse de séjours d'agrément ou de congrès, et je tiens à dire merci à tous ceux et celles qui ont contribué à ce succès », de conclure Charles Lapointe. Un des défis pour les prochaines années sera de continuer à combler les quelque 5 000 chambres d'hôtel ajoutées depuis une décennie, principalement dans le créneau de qualité supérieure. Le parc immobilier du Grand Montréal compte aujourd'hui plus de 31 000 chambres. Ces récents investissements majeurs montrent que Montréal se démarque avec une offre qui se renouvelle, ce qui entraîne des répercussions positives sur l'expérience touristique des visiteurs internationaux. Une vision et une stratégie proactives pour conserver l'élan La stratégie de développement et de commercialisation de la destination, amorcée l'an dernier, se poursuit afin de conserver les acquis de Montréal sur la scène mondiale avec notamment la mise sur pied, dans les prochains jours, d'une démarche stratégique proactive. Tourisme Montréal a remis le mandat entre les mains de l'un des conseillers en stratégie les plus respectés de Montréal, M. Marcel Côté, associé-fondateur du groupe Secor. Dès la semaine prochaine, un sondage sera réalisé auprès des membres de l'organisation et une consultation effectuée auprès de leaders de l'industrie touristique montréalaise et québécoise. Cette nouvelle démarche permettra de trouver des avenues novatrices pour Tourisme Montréal en marketing, en vente et en développement de produits. Elle s'inscrit aussi dans la mission de l'organisation d'assumer le leadership de l'effort concerté de promotion, d'accueil et de positionnement de la destination auprès des marchés de voyages d'affaires et d'agrément. Montréal reçoit annuellement quelque 7,5 millions de touristes, tous séjours confondus, dont les dépenses touristiques représentent 2,5 milliards de dollars. Bilan saison touristique 2010 à Montréal : http://www.octgm.com/pdf/bilan-touristique-ete-2010.pdf http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1157&lang=fr
  13. EXPOSITION UNIVERSELLE DE SHANGHAI 2010 - MONTRÉAL DÉVOILE LA MAQUETTE DE SON LIEU D'EXPOSITION En prévision de l'Exposition universelle de Shanghai 2010, Montréal a dévoilé les principaux aspects de son lieu d'exposition intitulé Espace Montréal, un lieu unique qui offrira aux visiteurs une expérience des plus spectaculaires. L'Espace Montréal sera situé dans le secteur réservé aux meilleures pratiques urbaines, une zone rassemblant une cinquantaine de villes du monde. D'une superficie de près de 500 mètres carrés, l'Espace Montréal proposera aux visiteurs de découvrir le Complexe environnemental de Saint-Michel et ses innovations technologiques par l'entremise d'une projection multimédia sur une maquette évolutive qui les fera vivre virtuellement les grandes métamorphoses de ce quartier de Montréal. L'Exposition universelle de Shanghai se déroulera du 1er mai au 31 octobre 2010 sous le thème Meilleure ville, Meilleure vie. Plus de 200 pays et organisations internationales participeront à cet événement d'envergure. Pour la première fois dans l'histoire des Expositions universelles, les villes sont invitées à y participer.
  14. Tourisme Montréal accueillera 100 000 visiteurs de moins cette année 28 avril 2009 - 10h52 Carl Renaud Argent Le nombre de touristes qui vont visiter Montréal va glisser de 1,6% en 2009 selon Tourisme Montréal. L’organisme estime que la métropole accueillera 6,89 millions de visiteurs pour des séjours de plus de 24 heures, soit 110 000 visiteurs de moins que l’an dernier. Malgré la chute du nombre de visiteurs, Tourisme Montréal anticipe que les dépenses des touristes vont rester stables aux environs de 2,12G$. L’industrie touristique montréalaise devra cependant multiplier les efforts pour lutter contre le ralentissement économique qui menace la saison 2009. Tourisme Montréal a choisi de miser sur le web pour vendre Montréal dans de nouveaux marchés et rejoindre une clientèle moins touchée par le marasme économique. Une attention particulière sera apportée aux voyageurs des marchés nord-américain, français, britannique et mexicain.
  15. Un nouveau salon de l'habitation à Montréal Publié le 13 février 2009 à 11:53:49 | Mis à jour à 11:58:30 Marie-France Léger La Presse Alors que la morosité économique s’est installée, voici qu’un nouveau salon de l’habitation voit le jour, réunissant 50 constructeurs immobiliers sur un total de quelque 200 exposants. Au Stade olympique, le salon Habitat Ville et Banlieue, du 12 au 15 mars, présentera au public, sous un même toit, une centaine de nouveaux projets immobiliers de ville, aussi bien à Montréal, sur la couronne nord et la Rive-Sud. «Je suis très optimiste, affirme le vice-président de l’événement, Robert Yelle. À Montréal, il n’y avait pas de plateforme pour les acheteurs de maisons neuves.» Les projets présentés seront de type condos – surtout à Montréal – et des maisons unifamiliales et en rangée, pour la banlieue. Selon M. Yelle, les visiteurs n’auront pas moins de 15 000 nouvelles unités d’habitation à se mettre sous la dent. Il s’agit d’un salon extrêmement ciblé réunissant seulement des promoteurs et des entrepreneurs spécialisés. Un speed dating nouveau genre Quelque 50 000 visiteurs sont attendus pour discuter avec des constructeurs d’habitations et experts du milieu. Le salon opte pour une formule tout à fait nouvelle où les promoteurs eux-mêmes rencontreront les visiteurs à l’occasion de rencontres rapides, telles les speed dating, de l’habitation, qui auront lieu le samedi et dimanche. «J’ai une dizaine de promoteurs pour le moment. Ils vont rencontrer les acheteurs potentiels pendant une dizaine de minutes et, à la cloche, on change !» souligne Robert Yelle. Au salon Habitat Ville et Banlieue, en une seule visite, les acheteurs potentiels en sauront davantage sur le marché immobilier et sur les nouveaux produits et matériaux directement reliés à la construction ou à la rénovation. Des maisons vedettes seront montées pour l’occasion dont la maison ADCOM, une maison éco-énergétique, un concept d’habitation abordable à haut rendement énergétique, avec fabrication en atelier des panneaux mariant composantes écologiques et conventionnelles. Dans un tout autre style, on pourra également visiter une maison préfabriquée en béton de type manoir européen de la compagnie Géo-Metrix Precast Canada, d’une étanchéité à toute épreuve. Des constructeurs très importants participent à ce premier rendez-vous dont Groupe Cholette, Voyer et Tremblay, ADCOM Construction inc., Corporation Proment, Construction Rheault, Samcon, Développements immobiliers F. Catania & associés inc. et Géo-Metrix. _______________________ Le salon Habitat Ville et Banlieue ouvre ses portes jusqu’à 21 h du jeudi au samedi les 12, 13 et 14 mars, mais ferme à 17 h le dimanche 15 mars. Coût d’admission des visiteurs : 14 $ (adultes). Il est possible de payer un forfait de 20 $ pour ce salon et le salon Chalets et maisons de campagne, qui se déroule du 19 au 22 février au Stade olympique.
  16. Le musée du Cosmodôme fera peau neuve Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du mardi 10 février 2009 Mots clés : Cosmodôme, Musée, Québec (province), Laval (région) Inauguré depuis 1994, le Centre des sciences de l'espace du Cosmodôme présentait depuis la même exposition à ses visiteurs. Alors que le projet de refonte existe sur les planches à dessin depuis quelques années, la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, a confirmé hier l'octroi des 7 millions de dollars nécessaires à sa réalisation. La Ville de Laval et ses partenaires investissent pour leur part 3,5 millions. Le Devoir a pu observer vendredi dernier les maquettes de la nouvelle galerie. Les concepteurs la bâtiront comme si vous pénétriez dans une station spatiale, des sas et trois séries de cinq pièces se succédant. Les éléments intemporels, comme l'histoire de la conquête de l'espace, ne changent pas, concède la responsable des communications, Julie Pominville. Par contre, depuis 1994, des bonds de géant ont été faits dans certains domaines de la conquête spatiale. «Par exemple, notre volet télécommunications commence à être désuet. Le renouvellement va faire revenir la clientèle qui a déjà vu l'exposition et maintenir l'intérêt», explique-t-elle. Il faudra attendre environ un an et demi avant de décoller de la Terre à bord du simulateur vidéo qui lancera l'exposition. Les rénovations ne devraient toutefois pas entraîner de fermeture prolongée. La ministre Michelle Courchesne estime que le Centre des sciences de l'espace a permis à Laval de percer l'échiquier touristique de la région de Montréal. «Ses retombées économiques sont indéniables», a-t-elle ajouté par voie de communiqué, alors que les investissements dans les infrastructures sont accélérés pour contrer la crise économique. «Nous voulons que cet équipement puisse continuer à susciter l'intérêt des visiteurs pour les sciences de l'espace», a dit le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, qui souhaite que «le Cosmodôme éveille encore plus chez les jeunes la passion des sciences de l'espace, car choisir de travailler dans le domaine de l'espace constitue une option de carrière comme une autre». La campagne actuelle de recrutement de nouveaux astronautes par l'Agence Spatiale canadienne rappelle que le rêve de s'envoler à bord d'une navette demeure (un peu) réalisable. http://www.ledevoir.com/2009/02/10/232830.html (10/02/2009 20H25)
  17. Source: Cyberpresse Nouvelle signalisation dans le Vieux-Montréal Une nouvelle signalisation sera installée dans le Vieux-Montréal à l'intention des automobilistes. Plus de 80 panneaux d'affichage électronique seront progressivement installés pour faciliter le stationnement dans ce quartier très achalandé de la métropole.Ces panneaux indiqueront en temps réel le nombre de places disponibles ainsi que l'itinéraire pour s'y rendre. André Lavallée, qui est responsable de l'aménagement urbain à la Ville, estime que ce nouveau système permettra d'améliorer la qualité de vie des résidants tout en aidant les visiteurs à trouver une place de stationnement. Ce système de «jalonnement dynamique» est inspiré d'une technologie très utilisée en Europe, coûtera 1,5 million $ et sera pleinement opérationnel d'ici avril prochain.
  18. Le nombre total s'est établi à 2,3 millions, à la suite d'une hausse des voyages d'une nuit ou plus en provenance des États-Unis. Pour en lire plus...
  19. Quand Montréal écoute ses touristes Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du mardi 30 septembre 2008 Mots clés : Internet, Tourisme, Montréal Un «tableau de bord» permet de suivre ce que racontent les visiteurs sur Internet Si cartes et guides demeurent incontournables pour les touristes, de plus en plus de visiteurs se fient au Web pour préparer leur voyage, et Montréal entend bien en profiter. Photo: Jacques Grenier Avant de voyager en vrai (et après aussi), le nouveau touriste se promène sur la grande Toile pour y récolter et y semer des informations sur ses destinations. Tout y passe: des suggestions d'itinéraires aux critiques de restaurants, des jugements sur la qualité des hôtels aux propositions de sorties culturelles. «Certains blogueurs ont plus d'influence que les journalistes traditionnels, et il faut en tenir compte dans sa stratégie de mise en marché d'une destination touristique», expliquait hier Carmen Ciotola, vice-présidente communication marketing de Tourisme Montréal, aux quelque 220 professionnels réunis pour l'ouverture d'une conférence internationale organisée sur le thème Tourisme culturel: tendances et stratégies. La rencontre qui se poursuit toute la semaine est organisée par le Conseil international des musées et son comité pour l'éducation et l'action culturelle. Près de 80 % des participants arrivent d'une trentaine de pays. Nouvelles technologies La question des nouvelles technologies, et surtout du Web 2.0 (le réseau plus social, interactif et participatif), a monopolisé une part des réflexions de l'atelier matinal sur «les grandes tendances internationales». La représentante de Tourisme Montréal a expliqué que son organisme de promotion de la ville a développé depuis trois ans un «tableau de bord» (à usage interne seulement) pour suivre la «marque Montréal» dans le monde. En juillet dernier, cet indicateur a par exemple suivi 190 postes précis (blogues, forums, etc.) où il était question de la métropole québécoise pour un total de 55 heures de veille. «On peut suivre l'activité et mieux intervenir, expliquait Mme Ciotola. Avec ce site, on en vient à cibler un voyageur urbain qui s'alimente aux nouveaux médias.» Une pyramide de perceptions permet de comprendre encore plus précisément comment est jugée la ville. Les opinions étaient par exemple favorables à près de 90 % en juillet au sujet des arts et de la culture. Mieux: Tourisme Montréal permet aux visiteurs-internautes de bonifier son propre contenu promotionnel. Deux millions de visiteurs fréquentent le site de Tourisme Montréal par année. Depuis quelques mois, 3000 internautes ont proposé des itinéraires dans Montréal, dont une centaine se retrouvent directement sur le site. Un service de baladodiffusion (podcasting) compte déjà 50 épisodes. Le dernier traite des expositions en cours sur l'art et la musique, dont Andy Warhol Live au Musée des beaux-arts de Montréal. Le sujet du tourisme culturel est dans l'air cet automne. Culture Montréal organisera en effet un colloque sur le même thème en novembre. Bon an mal an, 20 % des parts du marché de certaines destinations tombent dans la catégorie du tourisme culturel. Montréal reçoit plus de six millions de visiteurs annuellement, dont une bonne part attirée par les musées ou les activités artistiques, y compris les festivals. «Notre examen du Web 2.0 montre que la marque Montréal est excellente, a résumé Carmen Ciotola. C'est une ville de gens et de lieux, où le nouveau et l'ancien se côtoient, l'Amérique et l'Europe. En plus, la population locale partage énormément avec les visiteurs.» http://www.ledevoir.com/2008/09/30/208266.html (30/09/2008 11H36)
  20. Le tourisme montréalais à l'heure de la mondialisation 18 août 2008 - 06h39 La Presse Jean-François Cloutier Carl, portier au Hilton Bonaventure de Montréal, parle de plus en plus souvent français au travail. Il utilise aussi l'espagnol davantage quand il dépose les valises de clients mexicains dans leurs voitures. À l'inverse, il rencontre de moins en moins d'Américains. Et ce n'est pas une simple impression. L'expérience du portier traduit les mutations qui touchent l'industrie hôtelière montréalaise. L'été en cours n'échappe pas à un portrait qui se précise année après année. «Des Français, y en a beaucoup, surtout de Paris», dit Robert Rioux, chauffeur de Skyport qui fait la navette entre des hôtels du centre-ville et l'aéroport. Quand La Presse Affaires lui a parlé, il embarquait une équipe d'agents de bord du transporteur allemand Lufthansa. Il pourrait bientôt avoir comme clients de plus en plus d'agents de bord chinois, indiens, émiratis... «On est à l'ère de la mondialisation, dit Pierre Bellerose, vice-président de Tourisme Montréal. Avant, le tourisme à Montréal était essentiellement nord-américain. Maintenant, il vient aussi d'Europe, de la Chine, de l'Amérique du Sud.» Bond de 6,7% Des statistiques de l'organisme révèlent que le nombre de touristes d'outre-mer a fait un bond de 6,7% en 2007, pour un total frisant le million de visiteurs. Cette croissance a permis de compenser en partie une baisse de 5% du nombre de touristes américains. Et ce pourrait n'être qu'un début. Le tourisme chinois reste sous-développé en regard du potentiel d'un pays de 1,3 milliard d'habitants en pleine croissance. C'est sans parler de l'Inde et de son milliard de citoyens de plus en plus riches. «Les marchés chinois et indien pourraient fournir des apports phénoménaux de touristes dans les années à venir», croit Gilles Larivière, de la firme de consultants en tourisme Horwath. Selon lui, la proportion de touristes américains continuera de baisser dans les prochaines années: «En nombre absolu, il va peut-être y avoir une hausse des touristes américains mais, globalement, leur poids sera moins important», croit-il. Moins d'Américains Pour l'instant, l'industrie touristique montréalaise peut dire merci aux touristes dits internationaux. Effarouchés par la montée du huard et les contrôles accrus à la frontière, les Américains désertent la métropole: «On voit des baisses de 5% depuis 2002. Bout à bout, ça finit par faire pas loin de 30%», explique M. Bellerose. «La chambre qui leur coûtait 99$ leur coûte maintenant 159$. Ils ne sont pas forcément conscients du taux de change mais ils voient la différence dans le prix des forfaits qu'on leur propose», avance M. Larivière. Selon lui, les touristes qui venaient du Nord-Est des États-Unis en automobile sont les plus susceptibles de changer leurs habitudes: «Il y a confusion sur la question de savoir s'il faut un passeport pour entrer au Canada», déplore William Brown, de l'Association des hôtels du Grand Montréal. Heureusement, le Québec a la cote auprès des Français, qui profitent de la force de l'euro. M. Bellerose observe aussi une «croissance exceptionnelle» des visiteurs mexicains. En dépit de cela, la plupart des experts s'attendent à de moins bonnes affaires en 2008: «La hausse du nombre de visiteurs d'outre-mer ne devrait pas permettre d'absorber toute la baisse du tourisme américain cette année», craint M. Bellerose. À plus long terme, de nombreux chantiers témoignent cependant de la confiance des investisseurs. Entre 2007 et 2011, 4000 chambres d'hôtel auront été ajoutées dans la métropole. Nombre des nouveaux hôtels sont d'ailleurs financés par des capitaux... européens et moyen-orientaux.
  21. Aux prises avec de nombreux obstacles (pluie, essence, économie), La Ronde fait l'expérience des montagnes russes cette saison, au point de rater sa cible de visiteurs attendus jusqu'ici. Pour en lire plus...
  22. Important déclin du nombre de touristes au Canada Montréal (La Presse) Joshua Clipperton Presse Canadienne Toronto Le Québec n'est pas la seule région canadienne touchée par la baisse du tourisme. Les trois principales destinations touristiques au pays, Montréal, Toronto et Vancouver, font toutes état de déclins significatifs du nombre de visiteurs en juillet. Les responsables du tourisme montréalais s'attendent à accueillir environ 7,8 millions de touristes cet été, pour un apport de près de 2,7 milliards $ - mais c'est moins que d'autres années, d'après John Dunn, le vice-président exécutif de Tourisme Montréal. Selon lui, toutes les conditions sont réunies pour nuire au marché canadien du tourisme cet été: prix record de l'essence, force du dollar canadien, règlements américains sur les passeports et ralentissement de l'économie mondiale. Bien que les visiteurs venus d'Europe et d'Amérique du Sud se fassent plus nombreux, ils ne suffisent pas à combler le vide laissé par les Américains qui choisissent de rester chez eux à cause de la faiblesse de l'économie et du coût élevé de l'essence à la pompe, ajoute-t-il. Vancouver attire habituellement à peu près 8,7 millions de touristes par an, qui y dépensent 3,7 milliards $. La ville a reçu six pour cent de moins d'Américains cette année, comparativement à l'an passé, selon le bureau de tourisme de la ville. Sur une période d'un an, c'est significatif, estime Walt Judas, de Tourism Vancouver. Toronto, qui a accueilli 10,6 millions de visiteurs, et bénéficié de dépenses de plus de 4 milliards $, en 2007, a connu un bon début d'été en 2008, mais cette tendance s'est estompée depuis, indique le responsable du tourisme torontois, Andrew Weir. Les dernières données de Statistique Canada datent de mai 2008 et montrent qu'au cours des cinq premiers mois de l'année, le pays a reçu près d'un million de visiteurs de moins qu'à la même période en 2007 - soit un recul de 10 pour cent. De leur côté, les Canadiens ont été plus nombreux à choisir de passer leurs vacances à l'étranger. Entre janvier et mai, près de 2,5 millions de Canadiens de plus sont sortis du pays qu'à la période correspondante en 2007, un bond de près de 13 pour cent. En revanche, certaines parties des Maritimes s'en sont un peu mieux tirées que le reste du pays. La Nouvelle-Ecosse a notamment enregistré une légère hausse de ses touristes au cours de l'année qui s'est terminée en mai 2008. Le temps pluvieux qu'ont connu le Québec et l'Ontario a aussi affecté le tourisme, selon Greg Klassen, de la Commission canadienne du tourisme. En 2007, le tourisme a contribué pour 28,6 milliards $ au produit intérieur brut du Canada, a précisé M. Klassen.
  23. Les dépenses touristiques au pays ont progressé de 1,3 % au cours des trois premiers mois de 2008. Statistique Canada indique que les dépenses des Canadiens ont continué d'augmenter, tandis que celles des visiteurs étrangers ont diminué. Pour en lire plus...
  24. Le Devoir Édition du lundi 26 mai 2008 Mots clés : exposition, photographie, Culture, Montréal Douze photographes montréalais exposent depuis hier leur vision toute personnelle de Montréal sur d’immenses suspensions coniques accrochées dans l’Atrium du centre Eaton. De l’aire de restauration au 5e étage, qui accueille une rétrospective plus étendue de l’œuvre de ces capteurs d’images, les visiteurs peuvent voir Montréal sous un autre jour. Le public est également invité à déposer ses propres photos de la métropole dans le site http://www.districtmontreal.com. À vos caméras!
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